La Paladine et la Déesse [PV]

« Alors, c’est elle... »

Açoka hocha la tête. Elle lui expliqua à nouveau le combat difficile qu’elle avait mené contre les fanatiques de l’Ordre de la Croix de Feu. La Croix-de-Feu était un ordre de paladins servant l’Ordre Immaculé, avec une vision très extrémiste à l’égard de la magie, considérant que tout utilisateur de la magie noire ou de la magie élémentaire était forcément maléfique. La Croix-de-Feu était ainsi proche de l’Inquisition, et s’était récemment illustrée en appréhendant des sorcières, qui finissaient brûlées sur le bûcher. Cet ordre commençait à gagner de l’influence, et disposait de plusieurs bastions, ainsi que de recrues en perpétuelle augmentation.

Pour Sha, la Croix-de-Feu était une menace indéniable, mais aussi une opportunité certaine. La Déesse était sur le pied de guerre. Elle était ressortie il y a quelques semaines de son aventure auprès des Olympiens*, une aventure très riche, puisqu’elle en avait récupéré une femme, Sanguilia, une Déesse infernale redoutable, qui portait son bébé. La fille de deux puissantes Déesses... Une promesse impressionnante pour le futur, mais également source de dangers. Sha était en effet troublée, et, quand elle était revenue chez elle, elle avait entrepris la construction d’une grande forteresse, destinée, non seulement à accueillir sa famille, mais aussi à se préparer contre les menaces à venir.

Les Olympiens étaient devenus fous. Sha avait découvert que leur agressivité résultait du fait qu’ils avaient été contaminés par les maux de la Boîte de Pandore. À ce stade, elle ignorait si c’était eux-mêmes qui avaient ouvert la Boîte, ou quelqu’un qui l’avait fait pour les corrompre, mais ils étaient corrompus. Et, plus troublant encore, elle savait désormais que les Olympiens avaient participé à son bannissement. Sha avait donc besoin d’hommes puissants, et avait donc commencé à s’intéresser à la Croix-de-Feu.

« Tu as obtenu une magnifique proie, Açoka... »

La main de Sha caressa distraitement les cuisses de la femme, qui commençait à émerger. Açoka était partie en mission d’exploration, seule, afin d’en savoir davantage sur la Croix-de-Feu, et était revenue avec cette femme. Elle n’était pas à la tête de la Croix-de-Feu, mais en était l’un des membres les plus influents. Zirael était aussi belle que redoutable, et Açoka avait eu bien du mal à la vaincre.

« Elle commence à se réveiller, cette petite... »

Dans son ventre, Sha portait deux magnifiques bébés. Açoka elle-même portait l’une des filles de Sha. L’Ombre, elle, portait l’enfant d’Açoka, et celui de Kiriko. Elle allait bientôt avoir au moins cinq filles, en incluant celle qui poussait dans le ventre de Kiriko, et celle dans le ventre de Sanguilia. Raison de plus pour agrandir ses locaux... Mais la conséquence concrète, c’était surtout que, avec ces deux enfants en plus, la libido de Sha, déjà très évoluée, avait atteint des sommets considérables.

L’Ombre portait son habituel manteau noir, ouvert au milieu, donnant sur son sexe, nu, et où pointait une belle verge, signe du fait qu’elle était en manque. Le corps de Zirael était suspendu en l’air, maintenu par des tentacules noirs, les femmes se trouvant dans une pièce sombre, une cellule sans fenêtres, éclairées uniquement par des bougies.

« Allez... Debout, ma beauté ! »

Un tentacule supplémentaire jaillit alors, et fouetta les fesses de Zirael.

C’était souvent un traitement très efficace pour réveiller les prisonnières...


* : Cf. RP « Après l’effort ».

Si la paladine Zirael n'était pas tombée sans férocement se battre, elle était en revanche tombée dans un piège grossier. A sa venue dans un village de ces contrées, elle avait entendu parler par les villageois locaux d'une sorcière qui les terrorisait, et qui avaient imploré son aide. L'elfe, en tant que paladine de l'Ordre de la Croix-de-Feu, avait naturellement répondu à ces appels de détresse. Elle n'était ni une mercenaire ni une sorceleuse, qui n'allait combattre le mal que quand il y avait de l'argent à la clef. Toutefois, dans l'équation, Zirael avait ignoré de prendre en compte le fait que ce village était proche du domaine connu de Sha, la déesse des sorcières. A son arrivée dans un bosquet éloigné de tout autre passage régulier, elle était tombée dans une embuscade tendue par des orcs ainsi que par une femme qui les commandait.
Elle avait fini capturée, mais cela n'avait pas été sans mal pour son assaillante, dont tous les orcs avaient fini par être tués par la paladine. Elle même n'avait triomphé que de peu, goûtant à la légendaire endurance des paladins, qui usaient de magie divine pour combattre plus longtemps et plus fort. L'Ordre de la Croix-de-Feu était néanmoins surtout connu pour former des paladins spécialisés dans la traque des pratiquants de la magie, car leur entraînement donnait à leurs membres non seulement une quasi-immunité à la magie, mais également la possibilité de couper net la possibilité aux mages et sorcières d'utiliser leurs pouvoirs.

Mais la femme qu'elle avait eu à affronter n'était pas une servante de Sha ordinaire, dans le sens où à aucun moment la paladine n'avait senti la moindre capacité magique en elle, et par conséquent, ne comptait absolument pas dessus pour attaquer Zirael. Mais même si l'elfe n'avait pas été face à une ennemie de prédilection, elle n'en avait pas moins failli s'en sortir, seule une feinte suivie d'une passe d'armes permettant de passer ses défenses lui avait porté le coup de grâce, et en sentant la lame se glisser dans ses chairs, profondément...et bien Zirael ne s'était pas attendue à se réveiller un jour.

C'est une vague subite de douleur au niveau de son fessier qui la fit sortir subitement de sa torpeur. Immédiatement après, elle tenta de bouger, mais elle sentit bien vite des liens...visqueux la retenir, au niveau de ses chevilles et de ses poignets. Elle était légèrement suspendue en l'air, dans une position qui n'était pas sans rappeler une crucifixion, et elle leva alors la tête tout en continuant d'essayer de se débattre...avant que ses yeux ne se posent sur une silhouette qu'elle connaissait, pour l'avoir étudiée dans les archives de l'Ordre.

Sha...déesse des sorcières...

L'elfe avait dit ces quelques mots sur un air de dégoût d'autant plus prononcé que la déesse était presque nue devant elle, et arborait un pénis grand et tendu depuis son entrejambe. La paladine n'était pas dupe, et avait une assez bonne idée de la raison pour laquelle elle était encore vivante, et prisonnière, elle allait être torturée. Zirael, bien qu'elle soit une paladine hautement placée au sein de l'Ordre, doutait que ses frères et soeurs ne prennent le risque de prendre d'assaut directement la demeure d'une divinité, et surtout, de prendre le risque de sacrifier de multiples vies dans le fol espoir de n'en secourir qu'une.
En d'autres termes, elle se savait perdue.

Vous ne briserez ni ma foi ni mon esprit, quoi que vous puissiez me faire. Tuez moi, vous nous ferez gagner du temps à toutes les deux...simple suggestion.

La petite Zirael ne tarda pas à se réveiller. La paladine l’ignorait, mais elle allait jouer un rôle crucial dans le devenir de Sha. L’Ombre avait senti toute la puissance de cette femme, tout son potentiel, qu’elle avait mis au service de l’Ordre Immaculé, et dont Sha avait maintenant acquis la certitude que l’Ordre se trompait. Elle était manipulée sans même le réaliser, et, reprenant rapidement conscience, Zirael la regarda, et indiqua que Sha ne la briserait jamais, et qu’il serait plus simple de la tuer. Sha sourit malicieusement, et caressa avec sa main la joue de la jeune femme, son pouce se posant sur ses lèvres. Elle sentit alors Zirael tenter de la mordre, mais ne repoussa pas ses dents, souriant même davantage. Cette petite était vraiment mignonne, et, rien que pour ça, Sha comptait bien se défouler sur elle.

« Malheureusement, Zirael, je suis embêtée... Tu vois, ma femme, Kiriko, est partie pour Galbadia afin de mener une mission cruciale, et mon autre femme, Açoka, est enceinte. Et je ne veux pas risquer qu’elle perde son bébé en la baisant sauvagement, comme je le fais en ce moment. C’est simple... Il faut que mes deux femmes soient ensemble pour réussir à me sustenter en se relayant mutuellement, car, depuis que je porte leurs bébés, je suis encore plus insatiable qu’avant... Et, crois-moi, venant de moi, ce n’est pas peu dire ! »

Elle retira alors sa main, et les tentacules abaissèrent alors Zirael, la rapprochant du sol, l’arrêtant toutefois à hauteur du bassin de Sha. Avec sa main, elle caressa le corps de l’elfe, glissant le long de ses beaux cheveux soyeux, caressant ses hanches, glissant sur son armure, sa queue venant se frotter ici et là contre les hanches de la belle elfe. L’Ombre ne mentait pas. Kiriko était partie pour une quête très importante à Galbadia, bien loin des terres de Sha, et, en attendant, c’était Açoka qui avait pour tâche d’épancher les soifs de sa Déesse. Et même Açoka avait pu noter combien sa Déesse était devenue plus énergique, plus endurante. On disait que la grossesse avait parfois de curieux effets sur la libido des femmes enceintes, et c’était particulièrement vrai pour Sha.

L’Ombre se glissa dans le dos de Zirael, et souleva sa jupe, la pliant contre sa ceinture, délivrant ainsi un accès direct vers son bassin. Se pinçant les lèvres, Sha sourit, et ses mains vinrent caresser les délicieuses fesses musclées de la paladine.

« Tu as vraiment un corps magnifique, Zirael... Il est vraiment dommage que tu le mettes au service d’une idéologie fanatique et corrompue.[/color] »

Sha continua à la caresser, tout en se rapprochant davantage.

« Allez, ne traînons pas... Peu m’importe que tu veuilles résister ou non. En l’état, je vois surtout une femme vierge et résistante, suffisamment pour pouvoir épancher ma soif. Je vais donc... Te baiser bien fort ! »

Elle aurait pu prendre des gants, mais Zirael ne le méritait pas vraiment. Et puis, Sha mentait un peu. En réalité, elle voulait la briser, et, pour ça, le sexe était toujours une très bonne approche. En d’autres circonstances, elle l’aurait sans doute préparé un peu... Mais là, elle estimait que cette paladine méritait une bonne leçon, et enfonça donc sèchement sa verge dans son vagin, perforant presque immédiatement son hymen.

« Ça y est... Le premier sang. Maintenant, dis-moi... Combien de temps comptes-tu tenir avant d’hurler, petite pute ? »

Et Sha commença à remuer en elle, crispant ses mains sur ses fesses, filant d’avant en arrière, de plus en plus fortement...