Le moment tant attendu, le dénouement quasi ultime de cette situation qui n’avait que trop duré ! Pour la première fois, Minnie allait faire l’amour ; et en plus, à une personne de son choix. Et ce choix s’était portée sur Daisy, ce garçon qui était dans les mêmes conditions que lui. Depuis qu’il l’avait vu, il y a quelques temps, il avait senti quelque chose. Une attirance presque magnétique, incontrôlable. Et maintenant, après avoir vu qu’il désirait hargneusement son corps, son souhait fut exhaussé. La Comtesse avait enfin décidé à les laisser se faire l’amour, au beau milieu de toute une assemblée qui ne faisait rien d’autre si ce n’était se moquer d’eux. Mais à proprement parlé, Minnie s’en fichait. Tout ce qui importait, était qu’il allait sodomiser son comparse, et qu’il allait lui offrir la même en retour. En somme, les deux Princesses allaient joyeusement se défleurir la rondelle, mutuellement.
Et ce fut Minnie qui ouvrit le bal. Embrassant fougueusement Daisy, jusqu’à en perdre son souffle, il finit par délaisser ses délicieuses lèvres au profit de son arrière-train. Le plus étonnant, était que si les deux garçons n’avaient quasiment aucunes formes, on ne pouvait pas contredire le fait que leurs popotins étaient presque aussi généreux que celui d’une belle femme. Il suffisait de voir celui de Daisy ; il était bien bombé. Un plaisir à l’état pur, surtout quand Minnie posa ses frêles mains dessus, puis commença à pousser son sexe au sein même de ses entrailles. Un soupir s’échappa de ses lèvres, alors que son corps entier tremblait sous le désir et le plaisir. Il n’avait fait, pour le moment, que rentrer sa verge et pourtant, c’était déjà très sensationnel. Entrouvrant les lèvres, il sentit un feu ardent ronger son bas-ventre, le poussant finalement à enchainer.
Il raffermit son emprise sur les petites fesses de son acolyte, puis commença alors à effectuer ses vas et viens. Son sexe rentrait puis sortait, de plus en plus rapidement. Au final, il était vraisemblablement en train de sodomiser la princesse qui se tenait devant lui. Et les soupirs et gémissements que cette dernière poussait étaient tout simplement magnifique, à ses oreilles. Cela l’excitait encore plus. Minnie labourait vigoureusement Daisy, le faisant agiter en avant et en arrière à chaque coup de butoir. « Ouiiiiiii !!! Hmmmmm c’est boooooon !!!!! » Gémit-il, alors que sa langue se mit à pendre, sans même le vouloir. Sa verge entrait et sortait nerveusement, pilonnant sans relâche cette petite rondelle si étroite et serrée, mais qui faisait tant de bien à Minnie. Plus il tapait, plus il s’enfonçait loin dans ses entrailles ; après tout, sa trique était quand même très conséquente.
Au bout de quelques temps, la pression commença à devenir bien trop forte pour être contenue plus longtemps. Serrant des dents, Minnie enfonça ses doigts dans les belles fesses de Daisy, alors que tous ses muscles se crispèrent. « Haaaaa !!! » Soupira-t-il intensément, sentant l’orgasme pointer son nez. Et il n’avait pas eu tort ; à peine quelques instants après, il sentit son sexe vibrer intensément, avec une puissante et brûlante salve de foutre qui le remontait. « HMMM DAISY !!!! HAAAAA !!! » Cria-t-il une dernière fois, alors qu’il fut foudroyé par l’orgasme pointant. Sa verge explosa littéralement dans son fondement, libérant alors un torrent de foutre qui alla se déverser dans son estomac. Son souffle s’était perdu au même moment que son esprit. L’orgasme avait été si foudroyant qu’il avait presque faillit perdre connaissance. C’était la première fois qu’il pouvait jouir aussi librement, et qui plus était, dans un cul.
Attendant un peu, il finit par se retirer, quittant alors le chaud et accueillant arrière-train de Daisy. Avant de passer à son tour, il se courba puis vint très tendrement déposer un baiser sur l’une de ses fesses, qu’il fit durer un certain temps. « Hmm … » Couina-t-il, alors qu’il embrassait amoureusement cette fesse, qu’il finit malheureusement par quitter. C’était à présent au tour de Daisy de venir prendre plaisir, et Minnie était entièrement prêt à l’accueillir en lui.