Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Tar cabhrú linn, Nexus ! (Cahir)

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Ïrika Ó Briain

Humain(e)

Re : Tar cabhrú linn, Nexus ! (Cahir)

Réponse 30 mercredi 10 février 2016, 14:27:26

La proposition d'Ïrika aurait pu en choquer et en dégoûter plus d'un c'est vrai. Tout le monde ne partageait pas ce plaisir étrange et bien moins naturelle. Alors forcément, elle craignait qu'il ne refuse et ne la juge trop durement. Elle même avait un peu honte de sa demande, mais si elle ne l'avait pas faite, elle l'aurait peut-être regretté, alors autant se lancer.

Cahir eut comme une hésitation, qui ne dura qu'une seconde, suspendu au dessus de ses lèvres, mais qui rendit la princesse un peu nerveuse. Finalement elle le vit sourire et sentit sa main se crisper sur ses fesses, ce qui excita la jeune femme. Alors il prononça les mots qu'elle attendait et qui la soulagèrent, annonçant sans détour qu'il adorerait défoncer son cul. Une décharge brûlante envahit la jeune femme qui sourit à son tour.

Ils s'embrassèrent de nouveau avec envie, comme deux assoiffés sous un soleil de plomb. Cahir était un homme incroyable à la beauté chevaleresque et le simple fait de sentir son sexe en érection sur sa peau la mettait dans tous ses états. Rien qu'à imaginer la suite elle en avait des frissons dans tout le corps. Enfin, l'homme annonça qu'il allait honorer la partie de son anatomie sur laquelle ils s'étaient mis d'accord au départ : son sexe. Ïrika se mordilla les lèvres et lorsqu'elle sentit le mouvement du guerrier et la pointe de son sexe se présenter entre ses cuisses elle poussa un soupire, crispant ses mains sur les épaules de son amant. Celui-ci fit de même pour trouver un appui lui permettant, enfin, de s'enfoncer en elle.

La princesse sentit le membre imposant la remplir et elle poussa un léger gémissement. C'était encore meilleure qu'elle ne l'avait imaginé ! Et lorsqu'il se mit à remuer en elle, ce fut plus stupéfiant encore. Le mât de chair brûlant et dur écartait les parois étroites de son intimité nimbée de cyprine, devenant de plus en plus impérieux et vorace au fur et à mesure qu'il la prenait.

- Oooh... c'est... c'est si bon !

Pour plus de plaisir encore, elle écarta un peu plus ses cuisses et se cambra un peu, sentant le sexe du guerrier pénétrer plus profondément alors qu'il accélérait légèrement la cadence. A chacun de ses coups de reins, elle laissait échapper un soupire ou un gémissement de plaisir, cherchant parfois ses lèvres pour l'embrasser et glisser sa langue contre la sienne.

Impossible pour la princesse de cacher à quel point elle aimait ça ! Pour rien au monde elle n'aurait souhaité que cela s'arrête, bien au contraire. Et tandis qu'il continuait de la besogner de la plus luxurieuse des façons, elle gémit :

- Continue Cahir, baise moi fort !

Oui, elle avait bien dit ça. Ce n'était certes pas très chaste de la bouche d'une princesse, mais elle s'en fichait. Ce soir elle était une femme assoiffée de sexe et elle l'assumait entièrement.
Cahir était l'homme de la situation et jouait parfaitement son rôle, faisant gémir la petite princesse Irlandaise de plus en plus fort.
~ Ceci est mon compte principal ! Mais j'ai aussi des personnages secondaires si ça vous intéresse ^^ ~

Cahir

Humain(e)

Re : Tar cabhrú linn, Nexus ! (Cahir)

Réponse 31 jeudi 11 février 2016, 01:36:38

Ils étaient maintenant ensemble, à l’unisson, formant un couple magnifique, reliés par l’un des liens les plus anciens du monde : le sexe. Et ils faisaient l’acte sexuel le plus pur, le plus intense... Le coït. Cahir s’enfonçait en elle, bandant ses muscles, soupirant contre son corps, le reflet des flammes de la cheminée les noyant ensemble, les deux corps entremêlés et couchés sur la peau de bête. Cahir la pénétrait, tout simplement, sentant, à chaque coup, les seins d’Ïrika rebondir et s’enfoncer contre son torse, puis l’homme repartait en arrière, et en avant, continuant à s’unir avec la femme.

« Hmmm... Hum... »

L’apatride soupirait, lentement, en prenant des forces, bandant ses muscles. Quelle joie, quelle joie ! Oui, il était bon, indéniablement bon, de s’enfoncer dans le corps d’une femme, de ne former plus qu’un avec elle, de s’unir et de se mélanger. Ensemble, ils dépassaient leurs individualités pour former un tout unique, et leurs cœurs se rythmaient ensemble, sur la même fréquence, celle du désir, du plaisir. Ses coups de reins s’enfonçaient, sa queue, tendue et érigée, était comme un mât se plantant dans la cale de la femme, remontant à chaque fois, soulevant légèrement le corps de la femme, au fur et à mesure que leurs chairs claquaient ensemble, la sueur venant les lier, formant comme une sorte de « colle » qui les reliait davantage.

Elle gémissait, elle soupirait, elle l’encourageait, et, peu à peu, ils s’abandonnaient. Car c’était là le véritable pouvoir du sexe ; il vous aliénait, et réveillait en vous cet être sauvage, primitif, que vous vous efforciez d’oublier avec votre culture, votre éducation... Mais, face au sexe, toute votre culture s’effaçait devant des désirs primaires et ancestraux, et c’était ainsi, de cette manière, que Cahir prenait la femme, qu’il s’enfonçait en elle, et qu’il répondait à ses supplications par des grognements et des coups de reins, oubliant la Princesse, ne voyant là qu’une femme, une femme avec qui il s’unissait, là, devant le reflet des flammes, comme un miroir à leur propre passion.

« Ïrika, oui... Tu... Haaa... Tu aimes ça, h-HEIN ?!... Hmmm... Que je te prenne... Comme si tu étais une traînée... ! »

Il soupirait, grognait contre elle, et continuait à la prendre, devant parfois fermer les yeux, en soupirant. L’apatride avait chaud, terriblement chaud, mais cette chaleur n’était pas repoussante. Au contraire, elle les unissait, elle les reliait, les rapprochait ensemble. Cahir la prenait donc, avec cette force, avec cette férocité primitive, et les baisers sur le cou d’Ïrika devenaient des mordillements, tandis que la femme le griffait dans le dos. Ce n’était plus la raison qui parlait, qui les dictait, mais une passion dévorante, une passion fondamentale, une passion vivante et brûlante, explosive et inflammable.

Elle brûlait en eux, dans leurs corps, dans leurs muscles... Et elle ne risquait pas de s’éteindre rapidement.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Ïrika Ó Briain

Humain(e)

Re : Tar cabhrú linn, Nexus ! (Cahir)

Réponse 32 jeudi 11 février 2016, 23:34:45

Irika ne le savait pas jusque là, mais elle s'en rendait compte dans les bras de Cahir, elle adorait le sexe. Oui, elle adorait ça. Toutes les sensations vécues étaient incroyables et la seule et unique chose qui l'obsédait à cet instant c'était qu'il continue à la pénétrer ainsi avec toute la fougue et la puissance dont il était capable. Oui, peut-être que la plupart des gens faisaient preuve de retenue lorsqu'ils faisaient l'amour, mais ce soir, le guerrier et la princesse avaient décidé d'ignorer purement et simplement la courtoisie et les bonnes manières, se laissant entraîner dans le monde incroyable du sexe jusqu'à faire tomber toute les barrières. Il n'était plus temps d'user des bons mots et des belles expressions, seul comptait la faim animale de la luxure et les bas instincts.

La jeune femme était de plus en plus excitée en entendant son amant grogner et soupirer de plaisir tandis qu'il la baisait ardemment. Chaque coup de rein envoyait son membre dans les profondeurs accueillantes de son intimité, secouant le corps de la belle au rythme de ses mouvements, eux-même accompagnés des gémissements de la belle.
Lorsqu'Ïrika entendit Cahir parler sans aucune formalité et d'une manière sincèrement sauvage et qui pouvait paraître dégradante pour certain, la princesse enfonça légèrement ses ongles dans le dos de son partenaire, le griffant légèrement et gémissant un peu plus fort. Ces mots avaient eu l'effet d'une bombe en elle, elle qui n'aurait certainement pas réagit comme ça en d'autres occasions.

Est-ce qu'elle aimait réellement être en quelque sorte humiliée pendant l'acte ? Ce n'était pourtant pas ce qui s'était passé pendant ces cinq dernières années... alors pourquoi maintenant ? Sans doute parce qu'elle avait confiance en Cahir et qu'il ne faisait pas partie de ceux qui lui avait tout prit. Il était bel homme en plus de cela et était bon avec elle.

- Haaan, oui j'aime ça ! J'aime quand tu... hum-mmh... quand tu me baises comme ça...aaah ! Oui ! Traite moi comme un catin !

Ïrika avait décidément mit ses bonnes manières au placard, se laissant complètement aller et se fichant bien des conséquences visiblement, tant que Cahir continuait de la pilonner comme il le faisait. Plus rien n'avait d'importance à part ça.

Les gémissements plaintifs de la belle furent bientôt accompagnés de véritables couinements de plaisir, ne contrôlant plus les vagues impressionnantes qui l'emportaient encore et encore. C'était décidément un plaisir de se laisser dominer par ce mâle fort et musclé, de sentir son sexe s'enfoncer brutalement en elle, de l'entendre grogner à ses oreilles, de sentir ses dents lui mordiller le cou et lui envoyer des décharges grisantes dans tout le corps ! Après cela elle ne pourrait sans doute plus s'en passer, elle en était consciente. Mais peu importe ! Elle en voulait encore !
~ Ceci est mon compte principal ! Mais j'ai aussi des personnages secondaires si ça vous intéresse ^^ ~

Cahir

Humain(e)

Re : Tar cabhrú linn, Nexus ! (Cahir)

Réponse 33 vendredi 12 février 2016, 12:51:05

Le sexe les libérait, le sexe libérait cette part de violence qui sommeillait en eux, qui sommeillait en tout individu. La violence, cette chose honnie de la sphère publique, trouvait, dans le sexe, une approche bien différente. Elle s’appliquait avec joie et envie, et expliquait pourquoi le sexe était un jeu entre adultes… Car le sexe, à n’en point douter, était violent et douloureux. Il était de ces douleurs libératoires, jouissives, celles qu’on accueillait avec joie. C’était cette violence qui s’imposait entre eux, qui venait rythmer leurs ébats, cette violence qui les dirigeait et les liait ensemble. Cahir s’enfonçait en elle, dans ce corps doux et chaud, ne pouvant s’empêcher d’y revenir, ne pouvant s’empêcher de l’embrasser, de la mordre. Elle griffait son dos, il pinça son sein. Elle soupirait contre lui, il haletait sur sa joue, partageant des baisers où les dents mordaient les lèvres, tandis que sa queue, impériale, unique, totalisatrice, s’enfonçait en elle, encore et encore.

Il y allait franchement, se libérant totalement et pleinement, se débarrassant de toute entrave ou de toute hésitation qui auraient pu le retenir. Cahir s’enfonçait en elle, il glissait dans son corps, il la malmenait joyeusement, et retourna l’embrasser. Elle voulait se faire traiter « comme une catin », et il y alla donc, passant à l’étape supérieure :

« Han, ma chérie, tu… Tu es si bonne, haa… Hum… »

Parler était difficile, Cahir devait faire des efforts, reprendre son souffle. Il haletait, le corps en feu, et continua ses mouvements, pinçant le téton de la femme, tirant sur son sein, et enchaîna ensuite. Le brave homme avait bien des idées derrière la tête, et commença à les exprimer, en apposant ses lèvres sur la joue de la femme, grognant et soupirant contre elle.

« Insulte-toi, humm… Traite-toi… Traite-toi de salope… »

Sa parole était rauque, trahissant le mélange d’excitation et d’envie qu’il ressentait en ce moment.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Ïrika Ó Briain

Humain(e)

Re : Tar cabhrú linn, Nexus ! (Cahir)

Réponse 34 vendredi 12 février 2016, 23:15:25


Étrangement et sincèrement, le fait que Cahir la maltraite un peu autant physiquement que verbalement l’excitait au plus haut point. Ce n'était peut-être pas très glamour ni romantique, mais elle n'en avait strictement rien à faire. Après tout, ici, non seulement personne ne pouvait les voir, mais personne ne la connaissait. Et tout le monde se fichait bien de savoir si elle était un peu maso sur les bords ou non. Elle la première. Son seul but était de ressentir le plus de plaisir possible et d'atteindre l'orgasme, pour elle comme pour son partenaire. Et il n'y avait rien de meilleur que de sentir ce sexe pleinement épanouit s'empaler en elle avec force et rapidité ou encore de sentir son souffle et d'entendre ses grognements d'excitation. Tout ceci la portait un peu vers l'extase, multipliant ses gémissements et ses soupires.

Heureusement, elle n'était pas seule dans cette espèce de folie propre au sexe. Essoufflé, peinant à s'exprimer sous l'effort, Cahir exprima le souhait qu'elle s'insulte et se traite de salope. Il avait comprit que plus rien n'était en mesure de froisser la princesse et s'exprimait alors librement à son tour. Et pour lui donner plus de satisfaction encore, Ïrika était prête à n'importe quoi. Et d'une voix plaintive et gémissante de plaisir, elle s’exécuta :

- AaaaAah... donnes moi tout ce que tu as Cahir ! Haaan... je ne suis qu'une salope... prends-moi comme une chienne !

Comment d'aussi vilains mots pouvaient-ils sortir de la bouche d'une princesse ? Parce qu'elle était avant tout une femme et que la guerrier était un fougueux amant qui lui donnait envie de se lâcher, d'aller plus loin, de se surpasser. Et si pour cela elle devait se traiter de tout les noms et faire preuve de la plus choquant des vulgarité, alors elle le ferait sans hésiter.

- Hmm... c'est si bon ! Insulte-moi à ton tour... je veux t'entendre... aaah...

Elle s'agrippa plus fort encore à Cahir, tentant de repousser toujours plus l'orgasme qui ne tarderait sûrement pas. Dans un mouvement, elle encercla les hanches du guerrier de ses jambes et se cambra au maximum, rendant les sensations encore plus puissantes.
Une violente décharge électrisa l'Irlandaise tandis qu'elle poussait de petits cris de plaisir, secouée par les violents coups de reins de son amant.
~ Ceci est mon compte principal ! Mais j'ai aussi des personnages secondaires si ça vous intéresse ^^ ~

Cahir

Humain(e)

Re : Tar cabhrú linn, Nexus ! (Cahir)

Réponse 35 lundi 15 février 2016, 07:29:54

Ils étaient ensemble, sur la peau de bête, sous le reflet des flammes, faisant l’amour, avec cette dose de sauvagerie qui était en train de croître en eux. Une sauvagerie qui s’exprimait, non seulement dans les actes, mais aussi dans les mots. Cahir soupirait, grognait, mordait son cou, griffait sa peau, tirant sur ses seins, et sa queue, tendue, lourde, imposante, continuait à remuer en elle, joyeusement. L’apatride soupirait, et la prenait. Oh, mais que c’était bon ! L’homme aimait ça, profondément... S’unir avec une femme, encore et encore, et... Et quelle femme ! Ïrika était une beauté magnifique, et, quand il la prenait, il la regardait. Il la voyait soupirer, gémir, ses yeux se focalisaient sur ses lèvres, ses délicieuses lèvres qui s’ouvraient pour pousser des cris, pour souffler contre son visage.

Cahir aimait ça, tout simplement. Son corps filait contre elle, et, alors qu’ils continuaient à faire l’amour, elle finit par s’insulter. Hum ! Il ne l’embrassait plus, il la mordait. Il ne caressait pas son sein, il le pinçait... Et, quand elle lui demanda de l’insulter, il répondit par un baiser fort, en mordillant et en tirant sur ses lèvres, puis donna un nouveau coup de reins, fort, faisant craquer le sol.

« Oui, oui... Haaann, une vraie pute ! Tu aimes ça, hein ? HEIN, tu aimes ?! Qu’on... Hn... Qu’on te baise... Comme une traînée ! Tu... Haaa, Ïrika, tu... Tu es vraiment... La Reine des putes ! Oh, ma SALOPE !! »

Aussi galant et chevaleresque soit-il, Cahir avait, en lui, ce fond de bestialité et de sauvagerie propre aux êtres humains, un fond qui se réveillait et s’affirmait pleinement en ce moment. L’apatride la prenait, encore et encore, l’insultant, se délectant de ses hurlements. Le sexe, c’était ça, un mélange de plaisir et de douleur, un mélange joyeux de souffrance et de joie qui se réunissaient ensemble pour former quelque chose d’explosif, d’explosif et de jouissif. Les deux corps se frottaient l’un à l’autre, et l’apatride continuait à soupirer et à gémir, enfonçant son corps en elle.

Il suait, et, de son menton, des gouttes de sueur tombaient sur elle, ses poils naissant caressant sa fine peau de bébé. Ïrika était vraiment, et sur tous les aspects, une femme à la beauté somptueuse. L’homme la prenait donc, encore et encore, jusqu’à atteindre l’orgasme.

Il l’embrassa encore, et se força à la regarder pendant qu’il jouissait, et, même s’il dut fermer ses yeux pendant quelques secondes, ce fut bien en la regardant qu’il balança sa semence, une semence chaude qui éclata en elle.

« Ïrika ! » s’exclama-t-il finalement.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Ïrika Ó Briain

Humain(e)

Re : Tar cabhrú linn, Nexus ! (Cahir)

Réponse 36 lundi 15 février 2016, 15:38:22

Il était curieux de voir à quel point on ignorait notre nature profonde, comme lorsque d'un coup on entre dans une colère noire et qu'on réalise qu'on est capable du pire alors qu'on se pensait si paisible et pacifique. Ou encore, comme ici, que l'on était capable des mots et des gestes les plus choquants en plein acte charnel qui allait à l'encontre de notre éducation et de nos principes.  Oui, l'être humain était plein de surprise. Ïrika et Cahir ne faisaient pas exception, s'exprimant sans complexe tandis qu'ils faisaient brutalement l'amour sur cette peau de bête, près d'un feu ardent, aussi vif et brûlant que leur plaisir.

La jeune femme ne semblait plus pouvoir se passer de ce sexe fier qui la pourfendait sans relâche, secouant son corps à un rythme fou. Elle avait chaud, peinait à respirer, gémissait de façon incontrôlable alors qu'il l'insultait, la mordait, la pinçait, la harcelait de ses coups de bassins impérieux. C'était merveilleux... tout simplement incroyable, et la belle Irlandaise savait que l'orgasme était proche et qu'elle ne tiendrait plus longtemps. Cahir était décidément un homme épatant.

Le regard fiévreux, elle croisait parfois son regard brillant durant quelques brèves secondes avant de refermer les paupières, comme pour éviter de perdre pied, mais aussi pour profiter encore plus pleinement des sensations ressenties. Soudain, le plaisir atteint son paroxysme, éclatant en elle comme un feu d'artifice, au moment même où le guerrier jouissait de son côté et déversait en elle sa chaude semence. Elle se cambra, crispée, enfonçant ses ongles plus encore dans la peau de son amant en poussant un dernier gémissement plaintif. La tête lui tourna violemment sur le coup tant la sensation fut puissante.

Puis, doucement, ses muscles se détendirent et elle se laissa aller totalement contre la peau blanche et douce sur le sol, essoufflée, le corps luisant de sueur, serrant le corps de Cahir contre le sien.

- C'était... tu as été... fantastique...

Il l'avait comblée, c'était une certitude. Et elle peinait clairement à s'en remettre ! Ses cuisses frissonnaient encore de l'ardeur dont elles avaient été victimes. Tendrement, elle referma ses lèvres sur celle de l'apatride, abreuvant non seulement de leur douceur, mais aussi de son parfum suave qui se dégageait de son corps après l'effort.

Elle se détacha finalement de sa bouche pour laisser retomber sa tête au sol, caressant le visage du guerrier sous toute ses coutures. Elle louait le ciel d'avoir mit cet homme sur sa route.

- Merci pour tout, Cahir. Ça faisait des années que je ne m'étais pas sentie aussi bien. Et tu m'as aussi redonné espoir. Je ne sais comment te remercier.

Dans un sens, cet ébat plaisant et sportif était une manière de le remercier, mais elle craignait sans doute que ce ne soit pas suffisant. Elle sourit, bercée par le crépitement des flammes dont la lueur les entourait d'un halo chaleureux et envoûtant.
~ Ceci est mon compte principal ! Mais j'ai aussi des personnages secondaires si ça vous intéresse ^^ ~

Cahir

Humain(e)

Re : Tar cabhrú linn, Nexus ! (Cahir)

Réponse 37 lundi 15 février 2016, 19:23:34

Ils devinrent un pendant un bref moment, un corps uni et indivisible, un corps relié à ses deux extrémités par leurs sexes. Unis dans la passion et le désir, unis dans un même élan, qui finit par les amener au point culminant. Dans d’onctueux soupirs, les deux amants se vidèrent mutuellement, et Cahir alla remplir le corps de la femme… Puis les gémissements et les couinements laissèrent place à des respirations profondes et lourdes,  et les deux corps se retrouvèrent mêlés l’un à l’autre, serrés sur la peau de bête, Cahir couché sur le flanc de la femme. Il avait couché avec Ïrika, il avait même royalement couché avec elle. Maintenant, les deux amants reprenaient leur souffle, vautrés l’un contre l’autre,

Elle lui avoua qu’il avait été « fantastique », et l’homme ne put que sourire, un fin sourire amusé qui alla se dessiner sur ses lèvres. Fantastique, vraiment ? Hey, ça lui allait droit au cœur ! L’apatride souriait donc, et alla l’embrasser sur les lèvres, avant de s’allonger sur le dos, et de l’inviter, de la main, à venir se poser contre son torse. Ils n’étaient toujours pas sur le lit, et le feu continuait à crépiter.

« Hm… Je dois admettre que… Que c’est très agréable. »

Comment aurait-il pu dire le contraire, après tout ?

« Magnifique, même… Tu as un corps de rêve, Ïrika. »

Il lui sourit alors, caressant ses cheveux, et l’embrassa sur le sommet du crâne. Il resta ainsi comme ça, pendant un certain temps, heureux, le corps encore tout frémissant des ébats que les deux amants avaient eu. On pouvait le voir, à la manière dont sa poitrine se soulevait et s’abaissait lourdement. L’apatride avait donné beaucoup aujourd’hui, et reprenait des forces, car il savait que ce n’était pas fini. Et, ainsi, pendant qu’il caressait le dos de la femme, l’une de ses mains venait à descendre, à lentement descendre… Il glissait le long de cette peau fine et douce, la griffant parfois un peu, tout en continuant à descendre, jusqu’à pouvoir, finalement, poser l’une de ses mains sur sa croupe, qu’il se mit à serrer, avec un sourire sur les lèvres, flattant ainsi son délicieux petit cul.

Cahir n’avait pas oublié… Et ça, il le fit tout naturellement remarquer à sa somptueuse amante :

« Il y a encore un fantasme qu’il nous faut accomplir, Votre Grâce… Du moins, sauf si tu es trop fatiguée pour que je vienne m’occuper de ton divin et magnifique petit cul »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Ïrika Ó Briain

Humain(e)

Re : Tar cabhrú linn, Nexus ! (Cahir)

Réponse 38 jeudi 18 février 2016, 12:24:35

Difficile de nier à quel point elle avait apprécié cet ébat. Le sexe était aussi un bon moyen de s'extérioriser et de chasser les  idées noires. L'Irlandaise se sentait incroyablement bien et reprenait maintenant son souffle tout contre Cahir et sur le torse duquel elle se lova en fermant doucement les yeux. Elle balada alors sa main sur sa peau, s'arrêtant pour souligner parfois une cicatrice qui se trouvait sur le chemin. A ce moment précis, aussi étrange et égoïste que ce soit, elle ne pensait plus à Caelan et à son pays natal. Et ça faisait un bien fou de ne plus s'inquiéter ou de désespérer à chaque seconde. Oui, coucher avec un homme tel que Cahir était salvateur dans un sens.

Le plus important était sans doute qu'il y ait prit autant de plaisir qu'elle. Le sourire aux lèvres, elle profitait de ce moment calme accompagné par les caresses du guerrier. Depuis combien de temps n'avait-elle pas reçu de geste tendre ? Bien trop longtemps. Elle ne se souvenait même plus de la dernière fois où cela s'était produit. Peut-être juste après que la tête de son père ait roulé sur le plancher, lorsque sa mère l'avait serré très fort contre elle et avait déposé un baiser humide de larmes sur son front... Finalement ce n'était même pas un joyeux souvenir.

Soudain, les caresses de Cahir se dirigèrent vers le bas de son dos, jusqu'à ses reins, avant d'agripper ses fesses dans une main. Sa demande lui revint à l'esprit subitement et elle ne put s'empêcher de sourire. Le guerrier comptait bien la satisfaire si elle n'était pas trop fatiguée. Riant presque, elle se redressa légèrement pour le regarder et lancer :

- Mais de quoi es-tu fait au juste ?

Il est vrai qu'un homme capable de jouir deux fois de suite et d’enchaîner une nouvelle danse charnelle était extrêmement rare. Il était décidément un homme plein de surprises. Et la princesse ne comptait nullement gâcher un tel entrain. 

L'embrassant de nouveau, elle remonta doucement sa jambe contre la sienne, allant titiller les bourses de son partenaire de son genou avec une extrême douceur, sa main s'occupant de branler délicatement le membre encore humide de leur ébat précédent. Elle-même ressentait déjà l’excitation grimper de nouveau à l'idée d'être chevauchée par le beau mâle. Elle savait que la chose pouvait être douloureuse. Les rares fois où les barbares s'étaient permis de la prendre ainsi, ils avaient été si violent qu'elle avait été presque incapable de tenir sur ses jambes ensuite. Mais elle avait confiance envers Cahir et aussi fougueux et impétueux soit-il, elle était persuadée de vivre un moment incroyable.

Souriant de plus belle et osant même se montrer coquine à la limite de paraître perverse, elle lui souffla à l'oreille :

- Alors viens, mon beau guerrier. Viens défoncer le cul de ta petite princesse...

Amusée, elle passa doucement sa langue sur les lèvres de l'homme, écrasant sa poitrine contre son corps et ondulant contre lui pour signifier qu'elle était la proie d'un puissant désir. Elle lui laissa ainsi l'initiative d'agir à sa guise...
~ Ceci est mon compte principal ! Mais j'ai aussi des personnages secondaires si ça vous intéresse ^^ ~

Cahir

Humain(e)

Re : Tar cabhrú linn, Nexus ! (Cahir)

Réponse 39 samedi 27 février 2016, 13:06:05

« Et bien... Comme je te l’ai dit, je viens d’Ashnard. C’est une région composée d’humains et de démons, et les démons sont connus pour avoir une vitalité sexuelle exceptionnelle. Je suppose que ma famille doit avoir eu, à un moment ou à un autre, quelques démons au cours de sa lignée. »

C’était, pour l’apatride, l’explication la plus simple pour justifier pourquoi, si le sexe le fatiguait, il était capable de retrouver, la plupart du temps, si ce n’est sa vigueur, au moins son appétit.

« Et puis, au-delà de ça, Ïrika, tu es une femme d’une remarquable beauté... Il serait criminel de ne pas l’honorer correctement, dussé-je m’effondrer par la suite sous l’effort. »

Visiblement convaincue par ces quelques sommaires explications, Ïrika vint délicatement le caresser avec son genou, se lovant davantage contre lui. Ils étaient dans leur bulle, aussi, et Cahir n’avait pas envie que cela s’arrête. C’était ce genre de moments, en-dehors du temps et de l’espace, qu’on avait envie d’étirer à l’infini. Plus de Skellige, plus d’apatridie, plus de rébellion, plus de peuple à retrouver, rien d’autre que l’attraction chimique des corps, rien d’autre que ce désir fondamental, et totalitaire, totalitaire en ce qu’il vous permettait d’oublier tout le reste. Qui n’avait pas envie de s’y réfugier ?

Elle se tenait là, au-dessus de lui, véritable nymphe tentatrice, en l’embrassant, et en lui disant d’y aller... Et lui, de son côté, palpait les fesses de la femme, ses mains semblant comme collées à cette partie de son corps, ne s’en écartant que pour mieux les pétrir et les malaxer. Ses mains glissaient dessus, approuvant cette douceur, cette chaleur, cette partie si particulière de l’anatomie qui le faisait toujours fantasmer. Un sourire vint ensuite perler sur ses lèvres quand elle l’invita à y aller.

« J’apprécie ta confiance, ma chérie... Mais ne m’en veux pas si tu as du mal à t’asseoir par la suite... »

Il l’embrassa en retour, puis s’écarta alors, et l’invita à bien se mettre à quatre pattes.

« Bombe ton petit cul, cambre-toi... »

Y avait-il spectacle plus joli que le corps d’une femme, à quatre pattes, éclairé par les reflets chatoyants du feu de cheminée, qui se courbait vers le bas, faisant ployer son dos en redressant son bassin ? Elle était parfaite, tout simplement... Cahir se surprit même à l’observer, béatement, pendant quelques secondes. Dans ce genre de circonstances, son sexe avait tendance à se réveiller, et, effectivement, il commença à ressentir une certaine tension au niveau de l’entre-jambes.

« Hum... Dieu, que tu es belle, ma chérie... Défoncer ton petit cul, te faire hurler comme une truie, ça va... Ça va vraiment être jouissif. »

Cahir se rapprocha d’elle, mais il n’était pas totalement rustre. Avant de la prendre, il fallait la préparer, et il fléchit donc les genoux, approchant son visage de ses fesses. La sodomie... C’était quelque chose qu’il avait commencé à aimer suite à son apatridie. Avant cela, il voyait ça comme la marque des violeurs, une violence sexuelle qu’il se refusait à pratiquer, l’assimilant presque à la zoophilie. Et puis... Disons qu’il avait changé d’avis à force de voir un défilé de beaux culs.

Ses doigts glissèrent contre la croupe de la femme, cherchant à écarter ses fesses l’une de l’autre, afin de faire apparaître la porte arrière, ce délicat trou, délicat et discret, mais qui lui faisait de l’œil. Sa langue s’approcha alors, et il commença à la lécher, sentant cette petite disparité contre sa langue, alors que son organe lingual flattait et frottait sa peau. Il soupira, sa tête enfouie contre ses fesses, et, saisi par une idée subite, se redressa alors.

Elle avait peur de la sodomie, ce qui était bien normal, et, dans ce genre de cas, rien ne valait une petite blague pour détendre l’atmosphère :

« Je te préviens... Si tu me pètes dessus, tu vas passer un très mauvais quart d’heure... »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Ïrika Ó Briain

Humain(e)

Re : Tar cabhrú linn, Nexus ! (Cahir)

Réponse 40 lundi 28 novembre 2016, 17:09:28

Des ancêtres démons, voilà une chose peu banale qu'Irika n'aurait jamais cru avant aujourd'hui. Cela ressemblait à une vieille légende irréelle ou à une histoire pour faire peur aux enfants. Si certains écrits faisaient en effet référence à de telles créatures, personne n'avait eu une preuve quelconque de leur existence. Mais le monde dans lequel elle avait atterrit était bien réel bien qu'il ne soit pas le sien. Elle avait rapidement comprit, grâce à Cahir, que ce qu'elle pensait impossible ne l'était pas. Les monstres existaient et vraisemblablement, les démons aussi. Cette idée la fit légèrement tressaillir, mais elle oublie bien vite ce tracas dans les bras du guerrier apatride. Le fait qu'il parvienne à garder son désir et son membre au garde à vous la ravissait pleinement et c'est tout ce qui importait à présent.

Les yeux fermés, elle s'abandonnait tout à fait et appréciait la sensations de ses mains qui pétrissaient ses fesses. Irika ignorait encore si elle appréciait vraiment la sodomie, mais elle comptait bien en avoir le cœur net. Très vite, il l'invita à prendre position à quatre pattes et elle s’exécuta, se cambrant avec grâce et sans pudeur, un sourire aux lèvres. Il resta un instant silencieux tout en l'observant d'un regard brûlant et le simple fait de réveiller le désir en lui l'excitait beaucoup.  Il la complimenta de nouveau, avouant à quel point il avait hâte de la faire crier de plaisir. Ses paroles la firent frémir d'envie. Le simple fait que ces mots sortent de la bouche de Cahir la rassurait plutôt que l'effrayer. Ce qui n'avait pas été le cas avec les barbares.

Enfin, il se rapprocha et écarta ses fesses afin de préparer son fondement. Irika se mordit la lèvre inférieure. Cette sensation toute simple fit battre son cœur plus fort contre sa poitrine et échauffait son désir. Tout à coup il se retira et lança avec humour qu'il valait mieux qu'elle ne lui pète pas dessus. Irika éclata subitement de rire sans pouvoir se retenir. Elle aurait pu mal le prendre, pourtant ce n'était pas du tout le cas. Lorsqu'elle reprit avec peine son sérieux, elle lui lança un regard amusé et répliqua :

- Quel idiot tu fait ! Je suis une princesse, voyons, ce genre de chose  ne risque pas d'arriver ! Reprends donc ta tâche où tu l'as laissée, grand sot !

Elle réprima un nouveau rire. Voilà bien longtemps qu'elle n'avait été d'aussi bonne humeur et elle se rendait compte à quel point cela lui avait manqué de rire. Elle découvrait aussi quelle joie et quel plaisir immense il y avait à faire l'amour. Tous ses soucis semblait s'être envolés, il n'y avait plus qu'elle, ce beau guerrier et cette agréable cheminée qui crépitait encore près d'eux. La nuit était fabuleuse !
~ Ceci est mon compte principal ! Mais j'ai aussi des personnages secondaires si ça vous intéresse ^^ ~

Cahir

Humain(e)

Re : Tar cabhrú linn, Nexus ! (Cahir)

Réponse 41 jeudi 01 décembre 2016, 18:47:05

Le rire d’Ïrika était aussi agréable que le frottement de l’eau sur votre corps. Sa douce voix cristalline remonta le long de ses oreilles. Cahir avait lancé ça sans même prendre sérieusement le temps d’y réfléchir, juste parce qu’il avait senti une tension nerveuse chez le corps de cette femme... Chose qu’il pouvait aisément comprendre. Elle était en un endroit qu’elle ne connaissait pas, et venait d’apprendre que la magie existait, et que Cahir, pour ne rien arranger, avait des gènes démoniaques dans le corps. L’apatride aurait pu croire qu’elle se payait sa tête, mais il avait souvent eu des phénomènes comme ça quand il était un officier militaire. Ses hommes, ou tout simplement la garde civile, ramassaient parfois des gens affublés de vêtements bizarres, qui ne comprenaient rien à ce qui leur arrivait, et tombaient dans les pommes quand des sortilèges magiques avaient lieu sous leur nez, ou que des gardes démoniaques les interrogeaient. Cahir n’avait jamais vraiment compris qui étaient ces individus, mais il savait que ces gens disparaissaient des asiles où ils étaient placés, sans que personne ne semble vraiment s’en intéresser.

Ils étaient ensemble, dans cette chambre, et Ïrika ne tarda pas à le rappeler à l’ordre. Cahir hocha la tête, conservant sur ses lèvres son sourire, ses mains toujours posées sur les délicieuses hanches de la femme.

« À vos ordres, Majesté... Je ne suis que votre humble soldat, après tout, destiné à vous protéger... Et à vous combler dans la mesure de mes moyens... »

Cahir retourna lécher le postérieur de la femme, en retournant contre elle. Il avait découvert sa passion pour la sodomie après avoir été limogé de l’armée, en devenant un simple vagabond. Le sexe, avant ça, ne l’avait jamais vraiment intéressé. Depuis lors, les choses étaient différentes. Peut-être était-ce une conséquence du fait qu’il n’ait plus de batailles à mener pour épancher sa frustration sexuelle inconsciente ? Ou alors, le fait que, ayant quitté l’armée, et ayant désormais uniquement à s’occuper de lui, il se soit autorisé des plaisirs que, jadis, il estimait plus triviaux ? En tout cas, il était bien là, à lécher ce délicieux cul, sa langue heurtant sa croupe, s’enfonçant dans son fondement.

Il sentait cette délicieuse chair, ces deux bosses moelleuses qu’il pétrissait avec ses mains, tout en enfonçant sa langue. Le petit bouton rose était là, timide, étroit, discret, et il le lécha, encore et encore, tout en le titillant avec la pointe de sa langue, avant de juste redescendre, sa langue glissant sur sa raie, son nez heurtant alors cette extrémité rose. Cahir remontait ensuite, et lécha à nouveau son bouton, jusqu’à pouvoir y insérer sa langue. Les soupirs d’Ïrika l’inspiraient, tout comme les craquements du plancher quand le corps de la belle rousse filait en avant, se courbant. Il finit par retirer son visage, se releva un peu, et approcha sa main de son corps.

Un doigt se glissa en elle, s’enfonçant dans son corps, et, avec son autre main, il caressa l’épaule de la femme, descendant le long de ses côtes, grattant sa peau. Il remuait son doigt, l’enfonçant le plus loin possible, , puis le fit un peu tournoyer, et, alors que l’anus de la Princesse dilatait, il en glissa un second. Peu à peu, elle pouvait sentir la virilité de Chair se presser contre son postérieur, lui-même déplaçant son autre main, venant masser l’un des seins de la femme,  pinçant son téton.

« Je crois que vous êtes prête, Majesté... »

Cahir suçait ses doigts, les recouvrant bien de salive, avant de les enfoncer dans le fondement de la femme, tournoyant pour recouvrir ses parois de liquide, afin de faciliter le glissement. De plus, sa verge était recouverte de la salive d’Ïrika. Il retira pour de bon sa main, et se positionna un pue plus, venant caresser la croupe de la douce femme avec son sexe. Lui aussi commençait à devenir fébrile, la respiration lourde, le désir venant croître en lui, et s’emparant de ses émotions. Un petit démon était en lui, le dominant, et il soupira encore.

Sa queue glissait contre le cul d’Ïrika, et il posa sa main dessus.

« Très bien, Votre Altesse, je viens... »

Il approcha son sexe de son fondement, et tapa contre la petite porte rose de son corps, puis soupira encore, reprenant son calme... Et rajouta ensuite, malicieux, tout en pinçant l’une des fesses d’Ïrika avec son autre main.

« Maintenant, tu n’es plus une Princesse, Ïrika... Tu es... Ma petite chienne ! »

Et l’apatride donna alors un coup de reins plus puissant que les autres. Il avait bien préparé le terrain, et sa queue heurta la chair de la femme, rentrant en elle, lui faisant pousser un long soupir. Il fallait la motiver un peu, la faire hurler... Et Cahir sentait également une forte douleur autour de son sexe, tant il était comprimé par la chair étroite de la femme. C’est ce qui l’amena donc à soupirer lourdement, à se reculer, puis à s’enfoncer encore... Et à donner une belle gifle sur ses fesses, comme pour se donner du courage. Mais, au-delà de l’effort physique, il en était sûr...

Il adorait ça !
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Répondre
Tags :