Le rire d’Ïrika était aussi agréable que le frottement de l’eau sur votre corps. Sa douce voix cristalline remonta le long de ses oreilles. Cahir avait lancé ça sans même prendre sérieusement le temps d’y réfléchir, juste parce qu’il avait senti une tension nerveuse chez le corps de cette femme... Chose qu’il pouvait aisément comprendre. Elle était en un endroit qu’elle ne connaissait pas, et venait d’apprendre que la magie existait, et que Cahir, pour ne rien arranger, avait des gènes démoniaques dans le corps. L’apatride aurait pu croire qu’elle se payait sa tête, mais il avait souvent eu des phénomènes comme ça quand il était un officier militaire. Ses hommes, ou tout simplement la garde civile, ramassaient parfois des gens affublés de vêtements bizarres, qui ne comprenaient rien à ce qui leur arrivait, et tombaient dans les pommes quand des sortilèges magiques avaient lieu sous leur nez, ou que des gardes démoniaques les interrogeaient. Cahir n’avait jamais vraiment compris qui étaient ces individus, mais il savait que ces gens disparaissaient des asiles où ils étaient placés, sans que personne ne semble vraiment s’en intéresser.
Ils étaient ensemble, dans cette chambre, et Ïrika ne tarda pas à le rappeler à l’ordre. Cahir hocha la tête, conservant sur ses lèvres son sourire, ses mains toujours posées sur les délicieuses hanches de la femme.
« À vos ordres, Majesté... Je ne suis que votre humble soldat, après tout, destiné à vous protéger... Et à vous combler dans la mesure de mes moyens... »
Cahir retourna lécher le postérieur de la femme, en retournant contre elle. Il avait découvert sa passion pour la sodomie après avoir été limogé de l’armée, en devenant un simple vagabond. Le sexe, avant ça, ne l’avait jamais vraiment intéressé. Depuis lors, les choses étaient différentes. Peut-être était-ce une conséquence du fait qu’il n’ait plus de batailles à mener pour épancher sa frustration sexuelle inconsciente ? Ou alors, le fait que, ayant quitté l’armée, et ayant désormais uniquement à s’occuper de lui, il se soit autorisé des plaisirs que, jadis, il estimait plus triviaux ? En tout cas, il était bien là, à lécher ce délicieux cul, sa langue heurtant sa croupe, s’enfonçant dans son fondement.
Il sentait cette délicieuse chair, ces deux bosses moelleuses qu’il pétrissait avec ses mains, tout en enfonçant sa langue. Le petit bouton rose était là, timide, étroit, discret, et il le lécha, encore et encore, tout en le titillant avec la pointe de sa langue, avant de juste redescendre, sa langue glissant sur sa raie, son nez heurtant alors cette extrémité rose. Cahir remontait ensuite, et lécha à nouveau son bouton, jusqu’à pouvoir y insérer sa langue. Les soupirs d’Ïrika l’inspiraient, tout comme les craquements du plancher quand le corps de la belle rousse filait en avant, se courbant. Il finit par retirer son visage, se releva un peu, et approcha sa main de son corps.
Un doigt se glissa en elle, s’enfonçant dans son corps, et, avec son autre main, il caressa l’épaule de la femme, descendant le long de ses côtes, grattant sa peau. Il remuait son doigt, l’enfonçant le plus loin possible, , puis le fit un peu tournoyer, et, alors que l’anus de la Princesse dilatait, il en glissa un second. Peu à peu, elle pouvait sentir la virilité de Chair se presser contre son postérieur, lui-même déplaçant son autre main, venant masser l’un des seins de la femme, pinçant son téton.
« Je crois que vous êtes prête, Majesté... »
Cahir suçait ses doigts, les recouvrant bien de salive, avant de les enfoncer dans le fondement de la femme, tournoyant pour recouvrir ses parois de liquide, afin de faciliter le glissement. De plus, sa verge était recouverte de la salive d’Ïrika. Il retira pour de bon sa main, et se positionna un pue plus, venant caresser la croupe de la douce femme avec son sexe. Lui aussi commençait à devenir fébrile, la respiration lourde, le désir venant croître en lui, et s’emparant de ses émotions. Un petit démon était en lui, le dominant, et il soupira encore.
Sa queue glissait contre le cul d’Ïrika, et il posa sa main dessus.
« Très bien, Votre Altesse, je viens... »
Il approcha son sexe de son fondement, et tapa contre la petite porte rose de son corps, puis soupira encore, reprenant son calme... Et rajouta ensuite, malicieux, tout en pinçant l’une des fesses d’Ïrika avec son autre main.
« Maintenant, tu n’es plus une Princesse, Ïrika... Tu es... Ma petite chienne ! »
Et l’apatride donna alors un coup de reins plus puissant que les autres. Il avait bien préparé le terrain, et sa queue heurta la chair de la femme, rentrant en elle, lui faisant pousser un long soupir. Il fallait la motiver un peu, la faire hurler... Et Cahir sentait également une forte douleur autour de son sexe, tant il était comprimé par la chair étroite de la femme. C’est ce qui l’amena donc à soupirer lourdement, à se reculer, puis à s’enfoncer encore... Et à donner une belle gifle sur ses fesses, comme pour se donner du courage. Mais, au-delà de l’effort physique, il en était sûr...
Il adorait ça !