Peluche à domicile [Mizuhiro]

Hummm... Je vais aller chercher quelque chose, Mizu’... Pendant ce temps, tu vas laver un peu le sol, tu as foutu un de ces souks... Utilise ta langue ! Lèche !

Oui maîtresse!

Pendant que j'était au sol nettoyant le carellage de maîtresse Mélinda que j'avais souillé de ma semance, elle ouvrit une porte menant sur la caverne d'Ali Baba. Maîtresse Mélinda avait une impressionnante collection de sex toys, dont un en forme de sexe de cheval que je remarqua du coin de l'oeil. C’était un chevalet sur lequel elle m'attacha solidement et une sorte de ventouse dans laquelle elle inséra mon sexe.

J'étais intérieurement heureux qu'elle ait ça! je ne tennais plus debout, et j'avais encore envie d'elle.

Voilà... Comme ça, tu ne saloperas pas mon tapis, ma belle... Prête ? »

Oui! MaAaaaaAAAaaouwwrrrrr!

Je n'eut pas le temps de répondre qu'elle s'enfonça à nouveau en moi.

« Haaaannn... Je... Hum... Je dois bien admettre que tu as un cul fait pour se faire prendre, ma belle, haaaaannn ! »

Mon souffle était trop court pour lui répondre. Mon extase était tellement pure que j'étais avachi sur le chevalet de ma maîtresse à baver en gémissant, concentrant les dernières forces physiques qu'il me restait pour resserrer les muscles de mon arrière train pour offrir plus de plaisir à ma maîtresse. Mon fessier était si accueillant que la moite chaleur à l'intérieur relaxait les muscles des pénis qui y entraient tout en les émoustillant en les aspirant tendrement vers mes profondeurs annales. Une fois excité, mon anus s'ouvrait de lui même comme pour réclamer de ce faire remplir. Le léger effet d'aspiration de ma rondelle délicate déposait une sorte de baiser sur le gland de ma partenaire quand elle sortait et entrait de mon fessier.

Incapable de lever la tête, j'appuya mon menton sur le chevalet et remarqua que la ventouse dans laquelle était encastré mon pénis me drainait de mon liquide génital pour remplir un seau.

Owi! maîtresse est en train de traire le pénis de Mizu! Mizu est une petite vache lubrique qui aime se faire traite à grand coup de trique sur sa petite prostate de chienne! Miaaaouw!

Au fil du temps, mon regard se perdit dans le vague et le seau débordait, mais je m'en fichait. Les muscles de ma personne avaient disjonctés et j'étais mou comme un chewing gum sauf mon pénis qui continuait de se vidanger de sa sève. Au fil des heures, les muscles de mon derrière finirent eux aussi par se relâcher. Je perdit le compte du nombre de seau que je remplis. 10? 15? plus? aucune idée.

Bien que relâché, l'intérieur de mon anus pris une autre dimension de confort pour maîtresse Mélinda. Car si au début mon anus la suçait tendrement, maintenant elle devait avoir l'impression de sodomiser un moule en caramel adapté aux formes de son pénis car plus un seul millimètre carré de son glorieux membre ne m'échappait. Moi j'étais une sorte de loque lubrique et gémissante qui suppliait sa maîtresse de le remplir et de continuer à lui violenter le cul encore et encore.

Je voulais que ça ne s'arrête jamais. Tant pis si après je ne serais plus jamais capable de m'assoir, mais j'en voulais encore! Cette potion que j'avais bu, me donnais la possibilité de jouir sans fin et je dois avouer que de sentir mon esprit s'étioler sous l'avalanche d'orgasmes que me donnait ma maîtresse était addictif.

S'il vous plait maîtresse! remplissez le petit cul de Mizu! Pitié! Mizu veux être votre vide couille! Mon cul vous appartient! Haannnn!!

J'avais soif de son sperme. J'en avais envie! Je ne vivais que pour boire dans une petite gamelle en argent, la délicieuse sève masculine de ma maîtresse! Je voulais son sperme et l'implorait comme la pute que j'étais pour qu'elle daigne m'accorder ne serais-ce qu'une gorgée de sa semence.

Le Terranide avait forcément dû subir des mutations génétiques. Mélinda ne voyait aucune autre explication pour justifier son comportement actuel, sa résistance incroyable face au sexe. Elle le sodomisa pendant une bonne demi-heure avant de s’arrêter. Il jouissait comme une vache, et elle commençait à sentir les limites de son corps. La vampire respirait bruyamment, en haletant, ayant déjà joui à plusieurs reprises dans le cul de sa peluche. Le chevalet l’empêchait de bouger, l’offrant éternellement à elle. Néanmoins, elle se devait d’y aller avec parcimonie. Plusieurs solutions s’offraient à elle. Il lui suffisait de boire un peu de sang pour retrouver sa vitalité, en parfaite vampire qu’elle était. Cependant, si elle buvait le sang de Mizuhiro, le sortilège qui lui permettait d’être infatigable s’affaiblirait nécessairement, puisqu’elle s’attaquerait à sa force vitale. La vampire n’eut pas trop longtemps à hésiter. Puisque Mizuhiro avait une résistance exceptionnelle, elle-même prendrait quelque chose d’exceptionnel.

Elle alla chercher dans ses affaires, et ne tarda pas à sortir une petite seringue rouge. Un liquide se trouvait à l’intérieur... Du sang. Mais pas n’importe quel sang. Lentement, entre ses doigts recouverts de latex, Mélinda regardait cette injection. C’était un sang qui n’avait pas très bon goût, et qui avait été modifié par des alchimistes afin d’augmenter de manière drastique les capacités sexuelles du vampire se faisant injecter. Mélinda en prenait rarement, car, dans cet état, tout son corps était survitaminé, et elle ne se reconnaissait plus... Mais l’appétit de Mizuhiro était trop fort pour ses propres petits bras.

*Il me faut de quoi tenir la cadence...*

Sa petite chienne avait été éduquée, programmée et entraînée pour être une perverse, pour être une sodomite convaincue. Mélinda, maintenant, s’en rendait bien compte. Sa propension à jouir n’était pas normale, et elle se demandait bien quelle était la contrepartie de telles capacités... Car la magie n’était jamais totalement gratuite, et exigeait toujours un prix. De telles capacités entraînaient nécessairement une réduction d’autres performances. C’était le prix à payer, et Mélinda n’en savait pas encore assez sur Mizu’ pour le savoir. Et sa main continuait à tenir la seringue, hésitant toujours à se faire l’injection. Elle l’avait déjà fait quelques fois, et elle avait été terrible, épuisant lourdement ses esclaves, transformant son lit en une orgie glauque qui l’avait fait passer pour une antichambre du Cercle de la Luxure.

Elle observait la seringue, puis Mizuhiro, qui se dandinait sur le chevalet. Elle s’humecta les lèvres, faisant claquer sa langue, puis décida d’y aller, et la planta dans sa nuque, puis appuya sur le poussoir. Le sang fusa en elle, et Mélinda poussa un cri en tombant au sol. Perte d’équilibre. Sa vision se mit à devenir floue, à remuer, et ses griffes se développèrent totalement, de même que ses attributs vampiriques. Elle se mit à grogner, à quatre pattes sur le sol, ses canines se mettant à pointer, ses beaux yeux verts devenant d’un rouge sang. Mélinda grognait et gémissait, puis retrouva le contrôle de son corps, et se releva.

« Rrrrrrrrrrrr-rrrrrrrrrrrrr... »

Elle s’avança, et même sa queue avait grossi, enflant et se durcissant, lui faisant un terrible mal de chien. La vampire en soupirait, et posa ses mains sur les fesses de Mizu’, soupirant, soufflant longuement, ses joues rouges. Elle guida ensuite sa verge, et retourna la pénétrer en grognant. La vampire ne parlait plus. Le sang explosait dans ses veines, fusant à toute allure, et la vampire la pénétrait rudement.

« Haaaaaaaaaaa-Haaaaaaaaaaaaaarr !! »

Sa respiration était lourde, précipitée, ses doigts se serraient contre ses poils, et il continuait à jouir, à se déverser, tandis qu’elle-même se mit à jouir, le temps se diluant, disparaissant dans une espèce de transe. Minutes et heures filèrent, et l’estomac de Mizuhiro ne tarda pas à s’arrondir sous les projections de sperme qu’une Mélinda débridée relâchait.

Quand un vampire était en manque de sang, il devenait une sorte de bête sauvage, incapable de se retenir, rentrant dans une espèce de transe, de rage... L’injection de Mélinda reproduisait cette situation, mais en l’appliquant à un contexte sexuel. Le moins qu’on puisse dire, c’est que le résultat final était détonnant !

Quand maîtresse Mélinda en eut finit avec moi, mon ventre était tout tendu et arrondi du à la quantités de sperme qu'elle lâcha en moi. Ma rondelle était bien ouverte et la merveilleuse sève de ma maîtresse dégoulinait lentement hors de moi sur mes testicules. Finalement, au bout de plusieurs heures, les grognements de mon estomacs calmèrent mes ardeurs.

Depuis combien de temps on faisait ça? Sans doute longtemps! voire même toute la nuit car mon estomac était terriblement vide, ce qui m'indiquait qu'il devait être 9 heure du matin minimum. Ma maîtresse avait du utiliser une drogue bizarre pour tenir le coup. Nos ébats prirent fin lorsque l'un des serviteur de maîtresse Mélinda frappa à la porte pour annoncer le petit déjeuné.

Comme la faim m'avais calmé je prit un petit air adorable et demanda :

Moi aussi je peu avoir un petit déjeuné? J'ai très très faim maîtresse!

J'avais tellement la dalle que en tout et pour tout j'ai engloutis 5 gaufres, 4 croissants et pain au chocolats, 8 crêpes, 2 bols de lait, 6 toast beurré et 6 autres avec de la confiture. Après le sexe j'ai vraiment très faim. Après manger, douche et dormir parce que vu la nuit blanche que j'ai passé c'était indispensable pour rester belle pour maîtresse Mélinda. Après avoir bien dormi, j'ai demander à Anna et Inni ou était Marina pour jouer un peu avec elle et faire office de peluche pendant qu'elle travaille pour la dé-stresser et la décontracter.

Par la suite, je lui ait demandé si je pouvais voir maîtresse Mélinda car je voulais lui parler. Comme je suis sa peluche, elle me fit une petite faveur et m'aménagea un petit créneau de 10 minutes pendant la manucure de la maîtresse. Je me retrouve alors face à elle et je me mets alors à ses pieds pour caresser ses mollets avec ma joue comme une gentille petite chatte.

J'ai adoré passé la nuit avec vous maîtresse! j'espère que vous me punirez encore et encore à l'occasion!

Tandis que Mizuhiro allait jouer avec Marina, après avoir transformé son estomac en un gouffre, Mélinda, elle, dormit comme une pierre, étalée en plein milieu de son lit. La jeune vampire subissait les contrecoups de l’injection qu’elle avait dû utiliser pour défoncer le cul de Mizuhiro, et, tandis qu’elle dormait, elle avait laissé des servantes faire le ménage, afin que sa chambre soit propre, et qu’elle n’empeste pas le sexe. La vampire tenait à conserver un certain standing, et, en tenue de maids, ses servantes firent donc le ménage, passant la serpillière, ouvrant la fenêtre, tout en se privant pas pour observer leur Maîtresse en train de dormir, déposant parfois des bécots sur son front. Quand Mélinda dormait, les traits un peu juvéniles de son visage prenaient le pas sur l’expression mâture se dégageant de l’ensemble de son corps, la faisant alors ressembler à une délicieuse jeune fille. Elles ne se gênaient donc pas pour l’observer, tout en continuant à faire le ménage.

Quand Mizuhiro revint, Mélinda s’était réveillée depuis une trentaine de minutes. Toute nue, elle s’était extirpée de son lit, surprise de ne sentir personne avec elle pour la border, et les souvenirs de la nuit lui revinrent... L’injection, sa sodomie sur Mizu’... Elle n’y avait pas été avec délicatesse, mais il fallait réussir à satisfaire ce petit mutant que Marina lui avait fait faire acheter. La vampire bâillait à s’en décrocher la mâchoire, de quoi provoquer des bâillements en série si on l’observait, puis s’étira, et s’observa dans un miroir.

*Hum.. Ça va, je suis encore présentable...*

Elle s’inquiétait surtout pour ses précieux cheveux, car, mine de rien, elle n’avait pas pris un bain depuis plusieurs heures... Ce qui, à son humble goût, était bien trop long. Mélinda accordait une grande importance à sa chevelure, et, si elle était effectivement présentable, il n’en restait pas moins que ses cheveux étaient légèrement décoiffés, ce qui était irritant. Elle s’assit donc sur un fauteuil, en se disant qu’elle allait appeler ses servantes pour préparer son bain... Quand Mizuhiro revint la voir. Elle s’était attendue à ce que, après leur folle nuit, la grosse peluche ne soit en train de dormir à poings fermés, mais la créature violette semblait être aussi énergique que tantôt.

*À quoi est-ce qu’on l’a drogué, Seigneur ?*

Mélinda fatiguait peut-être ses chéries au travail en leur forçant à avoir de fréquents rapports sexuels, mais elle les autorisait aussi à se reposer. Elle vit le Terranide lécher tendrement ses pieds, comme s’il se sentait naturellement soumis face à elle... Une soumission qui ne l’avait pas empêché de pénétrer dans cette chambre comme s’il était instinctivement chez lui. Il fallait aussi se méfier de ça : entre la résistance et la soumission servile, il y avait deux écueils à éviter, un juste milieu à trouver. Un soumis total était autant une plaie qu’un esclave rebelle, car l’esclave soumis, de par sa soumission, avait tendance à penser qu’il ne pouvait jamais fauter, et que, ce faisant, il entretenait avec sa Maîtresse un lien privilégié, un lien qui l’amenait à faire tout ce qu’il voulait, et, en définitive, à devenir comme le rebelle : il confondait ses propres désirs avec ceux de sa Maîtresse.

Les joues de Mizuhiro se frottaient contre les mollets d’une Mélinda silencieuse (et nue) lorsqu’il se mit à parler :

« J'ai adoré passé la nuit avec vous maîtresse ! J'espère que vous me punirez encore et encore à l'occasion ! »

Elle sourit légèrement. Une punition volontaire n’était pas vraiment ce qu’on pouvait appeler une punition, mais elle saisissait l’idée... Ce qui l’amenait encore à se demander ce que Mizuhiro pouvait supporter. Quand on laissait à ses esclaves leurs désirs se superposer à ceux de leurs maîtres, ils finissaient par imposer leur loi, confondant la servitude avec un marché, où ils pouvaient piocher ce qu’ils voulaient, et écartaient ce qu’ils n’aimaient pas. Or, en devenant la propriétaire de Mizuhiro, Mélinda avait droit de vie et de mort sur lui. Elle pouvait faire tout ce qu’elle voulait sans avoir rien à craindre.

Mélinda remua son autre pied, et vont frotter le museau de Mizu’, plongée dans ses pensées.

« Hum... Il y a des chances, même si je crois que passer toutes mes nuits avec toi finira par me tuer d’épuisement... Nous sommes en plein après-midi, et je ne me suis même pas encore lavée... »

C’était terrible ! Et il allait falloir qu’elle y remédie... Vite.

Mizu se sentais au paradis. Mélinda était devenu Tout pour lui. La seule chose à présent qui hantait son esprit était de servir Mélinda. Certes en cas de danger il serait trop lâche pour s'interposer mais c'était déjà pas mal. Vu que sa maîtresse désirais du repos, il la laissa tranquille en lui demandant de l'appeler si elle désirait quoi que ce soit de sa part. De plus, vu la folle nuit qu'il avait passé, Mizu avait terriblement faim et besoin d'une bonne douche.

Il se lava au moins deux ou trois fois pour enlever les odeurs et les résidus de laitance sur sa fourrure et alla quémander du poisson dans la cuisine. Ne sachant pas ou aller ni que faire quand on ne lui demande rien, il fureta et fouilla un peu partout. Mizu adore se cacher, fouiller les endroits oublier pour trouver des trésors. La seule chose qu'il trouva fût une araignée qui lui fit pousser un cri de terreur et s'enfuir à toutes jambes renversant un cuisinier sur son passage tellement il était fou de terreur.

Une fois hors de danger, il souffla un peu. L'endroit était vraiment immense. Tellement qu'il se perdit. Il n'a pas un grand sens de l'orientation. Du coup il marcha au hasard des couloirs recherchant un visage familier. Rien! Etant un chat, Mizu à un très grand besoin de sommeil et d'un endroit sur ou s'adonner à son passe temps favoris : la sieste.

A l'odeur, il rechercha une odeur agréable et la suivit pour se retrouver dans la pièce ou l'on entreposait le linge propre. Il grimpa sur une étagère et se faufila dans l'une des panières pour y élire domicile et s'endormir à l'intérieur.

A son réveil, il sortit la tête de la panière.

Tiens? Je ne suis plus au même endroit! Hum! Peut être devrais-je demander mon chemin.

Je demanda alors mon chemin et une personne en armure m'accompagna jusqu'à maîtresse Mélinda.

J'étais tout content de la retrouvée. Je lui fit un grand sourire en me frottant l'arrière de la tête d'un air bête.

Ah! Maîtresse! Héhé! Excusez moi! Je me suis perdu! Je suis contente de vous avoir retrouvée!

Après sa première rencontre de la journée avec Mizuhiro, ce dernier était reparti gambader dans le harem, laissant ainsi à Mélinda le temps de s’habiller et de finir de se laver. Comme à son habitude, elle prit un bain en compagnie de plusieurs femmes, puis, ensuite, des esclaves se chargèrent de la coiffer, de la nettoyer, tout en caressant et en salivant sur son beau corps. Le sexe faisait partie intégrante du harem, il était sa vie, son existence, sa structure, et Mélinda en était le cœur et le socle. Nue, la belle vampire adorait voir les regards de ses esclaves sur son corps, et, tandis qu’on la coiffait, et qu’on la pouponnait, caressant et baisant ses pieds et ses jambes, une autre esclave vint la rejoindre dans sa loge. Ce n’était pas une esclave comme les autres... Ayumi faisait partie de cette catégorie d’esclaves qui, au sein du harem, avaient pour but de défoncer d’autres esclaves, de les former et de les dresser. Elle était une esclave-dominatrice, comme une sorte de déléguée, se chargeant de former les jeunes esclaves, parfois en se montrant bien plus cruelle et bien plus perverse que la grande Maîtresse du harem. Ayumi était une femme sportive et endurante, très belle, avec des muscles et des abdominaux. Elle adorait défoncer les nekos et les jeunes femmes timides, son petit plaisir mignon étant de les baiser debout tout en sentant leurs corps se presser et se tortiller contre le sien. Elle avait alors une main sur leur nuque, une autre sur leurs fesses, et faisait doucement, mais non moins fermement, remuer sa hampe de chair en elles.

« Qu’as-tu, ma belle Ayumi ?
 -  J’ai entendu parler d’un nouveau pensionnaire dans votre harem, Maîtresse... »

Tout en s’approchant, elle portait comme souvent juste son maillot de bain, une tenue extrêmement courte se contentant d’une bande unique qui, en décrivant des mouvements sur son corps, parvenait à masquer son intimité et ses seins, formant une croix à hauteur du haut de sa poitrine. Sa main caressa l’une des esclaves à hauteur de la tête, Ayumi se plantant juste à côté de Mélinda... Ce qui amena à la vampire à légèrement tourner la tête vers elle, tandis que, pendant ce temps, deux femmes caressaient ses jambes, utilisant une sorte de lotion rendant sa peau plus brillante et plus douce.

« En effet... Tes informations sont correctes.
 -  On m’a dit qu’il était un soumis... Et je suis sûre que Maîtresse connaît mes penchants pour les boules à fourrures... »

Un mince sourire vint éclairer les délicieuses lèvres de Mélinda. Elle ne répondit pas immédiatement, car l’un de ses coiffeurs lui demanda de pencher la tête en arrière, les mains recouvertes de gants en latex en profitant pour caresser son menton. Les quatre esclaves s’occupant du corps de Mélinda, deux à hauteur de ses cheveux, et deux à hauteur de ses jambes, étaient toutes amoureuses de leur Maîtresse, adorant son corps, et celles à hauteur de ses jambes en profitaient volontiers pour lécher sa belle peau blanche.

« Oui... Je suis au courant... »

La main d’Ayumi caressait la tête d’une des esclaves occupées à caresser la Maîtresse, tirant parfois sur ses cheveux.

« Et je sais ce que tu souhaites lui faire... Mizuhiro reviendra me faire en fin de matinée, tu n’auras qu’à te tenir prête, Ayumi... »

Malgré son comportement bourrin, Mélinda aimait beaucoup Ayumi. L’esclave avait du répondant, et, surtout, elle ressentait pour Mélinda une profonde admiration. Sa redoutable perversion était également très agréable à voir et à observer. Ayumi sourit donc devant cette promesse, un sourire carnassier, puis hocha la tête... Mélinda en profita pour relever sa main, et massa les fesses d’Ayumi.

« Viens me donner à boire... »

Comprenant le sens de cette demande, Ayumi se concentra, et une verge ne tarda pas à apparaître entre ses cuisses, puis elle l’approcha de la bouche de Mélinda, allant la prendre, pendant que ses coiffeurs finissaient ses longues boucles de cheveux.


Une fois Mélinda prête, cette dernière accueillit Mizuhiro dans une tenue différente que sa traditionnelle et longue robe dorée.  En effet, elle portait maintenant une élégante guêpière rouge et noire avec une petite cape rouge à hauteur de ses jambes.

« Ah! Maîtresse ! Héhé ! Excusez-moi ! Je me suis perdu ! Je suis contente de vous avoir retrouvé ! »

Mélinda lui fit un sourire ravi. Sur le flanc, elle se tourna face à lui. Ils étaient dans une pièce assez confortable, avec une grande cheminée, plusieurs fauteuils... Et Ayumi, qui se releva lentement, ondulant des hanches.

« Je suis également contente, Mizuhiro... Je tenais à te présenter Ayumi, qui a très envie de profiter de toi, et de te montrer toute l’affection que le harem te voue... »

Pour tout éclaircissement, Ayumi se contenta d’un ample sourire pervers, une lueur de plaisir dansant dans le fond de ses yeux.

Bien que Mizuhiro soit un peu décoiffé par son séjour dans la panière de linge propre, il n'en restait pas moins très féminin. Cet aspect échevelé lui conférait un petit aspect exotique et sauvage qui fût bien vite chassé lorsqu'il se mit à pétrir les genoux de sa maîtresse en ronronnant.

Je suis également contente, Mizuhiro... Je tenais à te présenter Ayumi, qui a très envie de profiter de toi, et de te montrer toute l’affection que le harem te voue...

Mizu regarda alors l'amie de sa maîtresse en penchant la tête sur le côté avec une moue féline adorable. Il l'observait sans bouger de son regard émeraude et s'avança petit à petit vers elle. Le fait qu'elle soit bien bâtie et musclée l'intimida, mais plus il s'approcha d'elle, plus il ressentait son odeur. Son odeur l'attirait subtilement de sorte que Mizuhiro ne pouvait s'empêcher de s'approcher. Arrivé à sa portée, Mizu couvrit le reste de la distance à 4 pattes. Il approcha son visage des pieds de l'étrange femme, et au moment ou sa fourrure rencontra sa peau, il se sentit tout chose.

Il se mit à ronronner en frottant sa joues contre les mollets de la femme. Elle avait une sorte d'odeur féline qui mettait Mizu en joie. Il s'arrêta pour ensuite lever la tête et la regarder pour lui dire avec un sourire timide :

Je suis ravi de vous rencontrer maîtresse Ayumi! Tout comme je suis à maîtresse Mélinda je suis également tout à vous!

Mizu tout en câlinant l'une des chevilles d'Ayumi regarda Mélinda sa maîtresse en chef et lui demanda :

Maîtresse Mélinda! Surtout n'hésitez pas à me mettre à contribution dans votre harem! Donc c'est vous que je vais servir maîtresse Ayumi! Qu'est ce que vous voulez que je fasse? Je peu tout faire! Sauf aller dans des endroits ou il y a des insectes! Je deviens fou de panique quand j'en vois un! ça me terrorise! Mais pour ce qui est d'assouvir les désirs charnels de mes maîtres je suis imbattable!

Mizu réfléchit un moment et demanda :

Hem! Vous voudriez peut être que je mette quelque chose ou que j'aille me recoiffer avant de profiter de moi? Je me suis endormis dans la panière à linge et j'ai laissé mes vêtements dans la chambre de maîtresse Mélinda!

Comme Mizu ne savais pas quels étaient ses gouts, il l'accabla de question la pauvre Ayumi. Quoi qu'il en soit, la seule chose claire dans son esprit c'était que les désirs de cette femme serons des ordres pour lui.

Mélinda, main posée sur sa hanche, regarda Mizuhiro, en espérant que le neko efféminé accueillerait sans problème une autre femme... C’était un Terranide aussi soumis que pervers, et Mélinda était impatiente de pouvoir l’envoyer au boulot. Mine de rien, son harem était avant tout une entreprise, entreprise qui, pour tourner et pour fonctionner, devait rapporter du chiffre d’affaires. Cette séance avec Ayumi était un test, mais il n’y avait pas trop de risques de le voir échouer. En effet, outre sa beauté naturelle, Ayumi couchait généralement avec une neko par jour, ce qui faisait qu’il y avait, sur son corps, une odeur féline, odeur à laquelle les Terranides étaient sensibles... Comme Mizuhiro. Intimidée, le Terranide finit par se mettre à quatre pattes, en se rapprochant des mollets d’Ayumi, qui s’humecta les lèvres, sentant des frissons d’excitation la traverser. Pour elle, lui offrir ce Terranide était un véritable cadeau de la part de sa Maîtresse, et elle comptait bien l’honorer comme il se doit.

Cependant, Mizuhiro était un vrai moulin à paroles, enchaînant et multipliant les questions, aussi bien à destination de Mélinda que d’Ayumi. Il débordait de joie, d’envie de bien faire, et probablement d’une excitation lancinante et palpable. Mélinda sourit lentement, tout en se déplaçant un peu, agréable à voir dans sa nouvelle tenue. Ce n’était pas sa classique robe dorée, mais allait-on s’insurger contre un peu de changement ? Une femme belle et aisée se devait d’avoir une large garde-robes, et elle aimait personnellement plutôt bien ce nouvel ensemble. Elle s’observait devant le miroir, en sentant, encore une fois, à l’idée de se voir, des pulsions narcissiques... Comme une envie forte de coucher avec elle-même.

« Si tout se passe bien, Mizuhiro, tu seras mise à disposition des clients dès aujourd’hui...
 -  Mais, rassure-toi, petite pute, je vais profiter de toi avant... Et, comme tu as envie de parler... »

Ayumi se glissa dans le dos de Mizuhiro, et gifla son cul, avant de se crisper à ses poils, et de se concentrer. Elle ferma les yeux, banda les muscles, et se crispa un peu avant de pousser... Et son membre jaillit, la magie rose enveloppant le corps d’Ayumi pour la doter de cet appendice masculin si pratique. Elle soupira longuement, et son sexe vint caresser les fesses poilues et duveteuses de Mizuhiro, glissant sur son corps.

« Hum... Je vais te défoncer le cul, ma chérie... Et, pendant que je le ferais, tu vas regarder ta Maîtresse... Puis, si tu veux aboyer, je t’invite vivement à le faire. D’accord, ma salope ? »

Conformément à ce que Mélinda estimait, Ayumi s’avérait très dominatrice, et Mélinda entreprit de s’asseoir sur un fauteuil, un verre de sang frais à la main, juste devant le couple... Ayumi enfonça alors sa verge dans le cul de Mizuhiro, exactement comme elle l’avait dit, et commença à faire le remuer. Enculer les autres était quelque chose qu’Ayumi adorait faire... Au même titre que le sexe forcé.

« Oh ouuuiii, putain... Ce que ton cul est bon, ma salope... !! »

Le spectacle pouvait commencer...

Hum... Je vais te défoncer le cul, ma chérie... Et, pendant que je le ferais, tu vas regarder ta Maîtresse... Puis, si tu veux aboyer, je t’invite vivement à le faire. D’accord, ma salope ? »

Cette phrase à elle seule suffit à exciter Mizuhiro. Il se contenta de miauler en lui faisant un petit sourire vicieux afin de la taquiner afin qu'elle soit le plus sévère possible. Quand le membre d'Ayumi entra brutalement dans son derrière il se cambra un peu et poussa un long gémissement. Les coups de reins d'Ayumi faisait bouger son bassin ce qui avait pour effet de faire valser son membre tendus dans les airs, exécutant par ce fait une danse érotique.

« Oh ouuuiii, putain... Ce que ton cul est bon, ma salope... !! »

La seule chose qui gênait Mizu été de ne pas avoir été attaché. Depuis le temps qu'il est esclave, il est habitué à n'être qu'un vide couille sur patte, mais il avait tout de même ses préférences. Il usa alors de sa souplesse féline pour soulever l'une de ses pattes et caler sa jambe sur l'épaule d'Ayumi afin de prendre une position qui allait lui permettre d'être plus brutale dans ses pénétrations.

Si vous le trouvez bon maîtresse Ayumi, j'aimerez offrir un bon moment à vous et maîtresse Mélinda! S'il vous plait! Ne me ménagez pas!

Les accoups d'Ayumi étaient d'une puissance hallucinante, et dans cette position, Mizuhiro avait son point G en première ligne de sorte qu'il soit inévitable. La verge de maîtresse Ayumi tamponna avec fureur la prostate de Mizu dont le visage pétrit de plaisir reflétait son côté vicieux. Très vite sous l'effet du plaisir, son sexe se mit à cracher sa laitance de façon ininterrompue. Faisant ainsi découvrir sa faculté à Ayumi. La libido de Mizuhiro n'avait aucune limite de même que sa production séminale.

A chaque fois qu'Ayumi percutais sa prostate, cela créait une éjaculation encore plus volumineuse que la précédente. Au bout d'une demi heure, Mizuhiro avait déjà répandu pas loin de 10 litres de son sperme sur le sol et le pire c'est qu'il en réclamait encore. Il alla même plus loin en regardant Mélinda en lui disant entre deux cris de plaisirs :

Maîtresse...Si vous voulez....participer....ne vous génez pas!

Il se lécha les babines et ajouta :

Après tout je suis fait de manière à servir plusieurs maître à la fois!

Mizuhiro révélait un peu de son vrai visage : quand tout est normal il aime ressembler à une petite chatte toute mignonne, mais tout au long de sa vie d'esclave, il n'a été dressé que pour le sexe. Encore et toujours et cette potion qu'il à avalé chez son ancienne maîtresse n'avait fait qu'empirer les choses.

Non seulement il provoquait Ayumi en invitant Mélinda, mais en plus, il le faisait de manière à plaire à Mélinda en exposant son vice.

Il sentit alors le sperme chaud d'Ayumi envahir son arrière train et dandina lubriquement son derrière pour masser son sexe en disant d'un air coquin :

J'espère que ce n'est pas déjà finit? Je suis à peine chaud!

Ayumi n’avait pas pour habitude de se ménager quand elle sodomisait quelqu’un, a fortiori un esclave soumis ne demandant que ça. Elle sentait bien que le canal de Mizuhiro s’adaptait facilement, ce qui trahissait une forte expérience en la matière. Autrement dit, ce n’était pas la première fois qu’il se faisait déglinguer le derrière, et Ayumi le vit même relever l’une de ses pattes. Agile, Mizuhiro voulait faciliter son travail, et Ayumi enroula l’un de ses bras autour de cet appui supplémentaire, et s’en servit pour le défoncer plus longuement, son corps remuant d’avant en arrière dans son fondement, explosant son cul. Le ménager ? Ce n’était clairement pas dans ses intentions, et elle grognait, haletait, gémissait, se tortillant en lui, enfonçant sa verge aussi loin que possible, avant de la ramener en arrière, puis de l’enfoncer à nouveau. De longs soupirs s’échappaient de sa gorge, et, pendant ce temps, Mélinda, elle, observait ce spectacle.

Voir Ayumi à l’œuvre était effectivement un magnifique spectacle, plein d’énergie, plein de vie, vibrant de désir et de passion. Elle la voyait se tortiller dans le dos de Mizuhiro, sans relâche, avec un acharnement qui faisait plaisir à voir, son corps rebondissant d’avant en arrière, son vit malmenant son corps, déchirant ses fesses... Et il se mit à piailler, voulant que la Maîtresse vienne. À son corps défendant, Mélinda était très excitée par ce qu’elle voyait, surtout par le spectacle constitué par Ayumi. Sa belle sportive était l’un de ses chouchous, non seulement pour sa beauté, sa perversion naturelle, mais aussi parce que tout cela formait un tout magnifique. Même si on pouvait reprocher à Ayumi son côté brutal et garçon manqué, il n’en restait pas moins vrai qu’elle était une femme formidable, une merveilleuse amante, et que sa dévotion était un spectacle continuel.

Ayumi haletait, gémissait, et, au bout de plusieurs minutes, alors que Mélinda restait silencieuse, elle finit par jouir en lui, se vidant dans son cul, grognant et soupirant. Sa respiration lourde et haletante suivit ses gémissements, ses cris, et ses insultes copieuses.

« Petite pute ! avait-elle éructé. Hun-hunnn... Sa... Salope !! Pétasse !! Oh putain, ouais, ce que t’es bonne, ma chienne ! »

C’était en suivant ce genre de phrases qu’elle avait fini par se vider dans le corps de Mizuhiro, déchargeant le tir, vidant ses couilles en jouissant dans son cul. Reprenant ensuite son souffle, papillonnant des yeux à plusieurs reprises, Ayumi conserva son sexe en lui, et le jeune esclave en profita pour les inciter à continuer.

« Nous n’en avons pas encore fini avec toi, Mizuhiro, rassure-toi sur ce point. »

Mélinda s’approcha de lui, et caressa ses cheveux... Puis se concentra, et une verge se mit à pointer.

« Continuons donc... D’accord, ma petite pute ? Ayumi n’en a pas encore fini avec toi...
 -  Oh ça non... »

Et, joignant le geste à la parole, les deux femmes s’empressèrent de le prendre encore.

Voila que sa maitresse venait se joindre au fun. Mizu en était ravi. Il se mit à quatre pattes pour lui offrir sa bouche pendant qu'Ayumi lui besognait les fesses. Il lui offrit une fellation digne de son rang.

Cependant tout ce plaisir était dur à maîtriser car Ayumi était habile et savait exploiter au maximum le point G de Mizu. Le pauvre chat ivre de plaisir ne se rendit pas compte tout de suite qu'il avait éjaculé plus de 50 litres de laitance sur les pieds de sa maîtresse.

La production séminale de Mizu devenait de plus en plus excessive au fur et à mesure que son plaisir augmentait. La quantité de sperme qu'il produisait était problématique car Ayumi souleva la question après que maîtresse Mélinda et elle même ait relâché leurs plaisir dans les entrailles de Mizu:

Maîtresse Mélinda! Pardonnez mon impertinence, mais ne pensez vous pas que votre esclave ne se répande pas un peu trop? Nous pataugeons littéralement dans sa semence! Une telle quantité peu s'avérer problématique pour le business vous ne pensez pas?

Hem! en fait à cause de la potion que j'ai accidentellement avalée, il n'y à théoriquement aucune limite à ma production séminale! Mais plus je ressent de plaisir plus j'ai du mal à me contrôler! J'en suis désolé! Si vous le voulez je peux finir d'assouvir vos envies et nettoyer après!

Mélinda allait devoir trouver une solution quand à la production de sperme immodéré de Mizu. Ce dernier ne voulant pas que son petit problème de sur production ne pose problème se mit à plat ventre pour regarder Mélinda d'un air suppliant.

Il tenta tout de même quelque chose par peur de se faire mettre dehors à cause de cette petite imperfection.

Heu! Il doit bien y avoir un moyen rapide pour tirer avantage de ma particularité maîtresse! comme vendre le surplus ou faire des bains avec ou je ne sait pas moi! En faire quelque chose d'utile! Vous en pensez quoi?

Mélinda et Mizu regardèrent alors Mélinda impatient de connaitre son verdict car certes c'est embêtant mais jamais personne n'avait été capable de faire ça avant Mizu! Il y avait donc sans doute quelque chose à en tirer!

Mizu resta sage et se contenta de ronronner en arborant un visage adorable tout en secouant sa croupe pour inciter Ayume et Mélinda à reprendre quite à inonder la chambre sous son plaisir.

Donc? Maîtresse! Qu'allez vous faire concernant la particularité de ce chat?

Ayumi se moquait bien de savoir si Mizuhiro était un homme ou une femme. Tout ce qu’elle voyait, c’était un être soumis, soit, à ses yeux, une petite pute bonne à baiser et à défoncer. Et, alors qu’elle défonçait Mizu’, elle remarqua rapidement que ce dernier crachait abondamment du sperme. Au bout de quelques minutes, d’épaisses flaques se formèrent sur le sol. Ayumi n’avait, en soi, rien contre le foutre, mais, même pour elle, c’était impressionnant... Ce qui l’amena à demander à Mélinda ce qu’elle comptait faire de tout ce foutre, qui s’étalait sur le sol comme si une averse venait d’éclater, ou que le sexe de leur Terranide était devenu une fontaine à sperme. Mélinda, pour le coup, se devait de réfléchir, ses doigts gantés venant tripoter ses belles lèvres.

« Heu ! Il doit bien y avoir un moyen rapide pour tirer avantage de ma particularité maîtresse ! comme vendre le surplus ou faire des bains avec ou je ne sait pas moi ! En faire quelque chose d'utile ! Vous en pensez quoi ? »

Les deux esclaves étaient suspendus à ses lèvres, et, après quelques secondes, Mélinda répondit :

« Nous allons trouver un moyen de traire ton sperme, Mizuhiro... J’ai une Ushi, Melrose, et je la traie régulièrement de ses montées de laits, afin de les revendre ensuite. Ton foutre pourrait être vendu à des magiciens ou à des alchimistes, qui utilisent les fluides sexuels comme composant de plusieurs de leurs solutions alchimiques. »

Le harem de Mélinda était, fondamentalement, une entreprise, une société commerciale. Elle voulait se faire du profit, de l’argent, et, pour cela, vendre les produits dérivés du harem était une bonne chose. La seule question utile, maintenant, était de trouver un moyen de traire tout ce foutre sur le sol, de trouver un moyen de le récolter. Au contact du sol, n’importe quel liquide perdait de sa pureté, en rentrant en contact avec les bactéries et les autres particules et parasites qui traînaient habituellement dans n’importe quel environnement.

« Je crois qu’il faudra mettre un tuyau dans ton sexe quand on t’enculera, afin de le relier à des bouteilles... Ça me semble être la meilleure idée... En attendant, Mizu’, tu te chargeras de nettoyer toi-même tout ce que tu fais ! Tu as une langue quia l’air efficace, alors... Sers-toi en ! »

Les ordres venaient à nouveau de fuser, autoritaires et forts.