Au moins, elle comptait de manière intelligible. Il avait connu des esclaves qui étaient bien moins franche du collier là-dessus ; Il lui fit un sourire alors qu'il passait les mains sur les magnifiques marques rouges qui ornaient son corps ; Il lui sourit et lui flatta la croupe avant d'y mettre une petite tape et caresser la légère humidité qui se présentait à l’entrée de son entrecuisse ; Il lui fit un petit sourire, de nouveau, opinant du chef quand elle se mit à parler. Elle avait compris ce qu'il fallait comprendre et donc c'était inutile de s'étendre là-dessus. Il la détacha complètement et doucement, il se mit à lui caresser la joue, lui caresser les cheveux.
« Voilà, tu vois, la leçon rentre bien quand on applique la bonne sanction. Mais saches que quand je parle de sanction, je ne parle pas forcément de manière négative, ainsi, quand tu obéis bien, quand tu te montres irréprochable, la sanction est une récompense. Tu comprends ? » [/b][/i]
Il s'écarta d'elle et s'assit sur une botte de paille pour finalement, rester ainsi, en silence, à regarder la jeune femme qui était devenue en si peu de temps la très docile « Chienne Lucia ». Il lui fit signe d'approcher avec un petit sourire en coin, il avait encore toute la nuit devant lui pour jouer avec elle et si elle avait des cernes de dix pieds de long, cela ne le concernait pas. Tant qu'elle obéissait bien sagement à ses invectives, cela règlerait le problème. Il lui fit un sourire avant de finalement lui indiquer ses pieds.
« J'ai eu un chien une fois, il avait l'habitude de me lécher les pieds, le feras-tu pour moi, une fois chaussures et chaussettes enlevées ? Après tout, tu es « Chienne Lucia », mon esclave dévouée, non ? » [/b][/i]
Il attendit qu'elle obtempère ou non pour compléter ses propos, pour lui offrir de nouvelles possibilités.
« Ce que je peux te promettre, c'est que si je te prête, on ne connaîtra pas ton identité : tu porteras une cagoule spéciale, avec elle tu pourras respirer, mais ni voir, ni entendre. La seule manière que tu auras de respirer sera par la bouche. Ainsi, tu seras une brave petite poupée malléable à souhait entre les mains de cet « ami » auquel je pourrais te prêter. Si tu veux, pour que tu ne sois pas surprise, je te la ferai porter avant, pour que tu puisses t'y habituer. » [/b][/i]
Il lui fit un clin d’œil.
« Ne suis-je pas un bon maître ? » [/b][/i]