Alors qu'elle lui demandait ce qu'il désirait de plus, le maître ne répondit pas exactement à sa question. Au contraire, il se mit à l'embrasser dans le cou avec attention. Ses mains décrivaient des arabesques dans le dos de la jeune fille, qui se cambrait du plus qu'elle pouvait. La proximité avec laquelle Saika la maintenant lui permettait d'avoir le bassin collé aux précieux bijoux qu'elle tenait dans la main quelques instants plus tôt.
Son dos, cambré, permettait à ses jambes de s'écarter plus librement, tandis qu'elle serrait les fesses. Ainsi son corps était collé à celui du garçon. Elle savait qu'il ne lui restait plus qu'une chose à faire : se frotter à lui.
Mais elle n'en eut pas le temps. Idou s'empara de son chemisier et commença à le relever rapidement, pour découvrir une poitrine généreuse maintenue dans un petit soutien-gorge prêté par la succube Aya. Ce soutien-gorge lui allait à ravir et affermissait ses seins, les maintenant bien serrés l'un contre l'autre pour offrir un bien plus beau décolté.
Mais le garçon ne s'en préoccupait pas, ce qui l'importait était la chair et non le vêtement, dont il se débarassa aisément en soulevant le tissu. Cette action provoqua un remue-ménage dans la poitrine de la jeune fille qui se mit à balloter en tout sens, enfin libérée d'un joug enserrant.
Pour les calmer, supposa l'adolescente, le maître en saisit un à pleine bouche. Kohana, en esclave attentive aux désirs de son partenaire, poussa un petit soupir de plaisir. Elle prenait son plaisir dans celui du maître. Elle savait qu'il avait voulu la surprendre, lui procurer une sensation jouissive, et elle lui répondait par un soupir chaud et doux où l'on pouvait sentir une soumission parfaitement maîtrisée.
Elle laissa le jeune homme s'amuser autant qu'il le désirait. Pendant ce temps, elle laissait ses doigts courir dans les cheveux courts du garçon, les emmêlant les uns aux autres puis démêlant les noeuds formés. Par la même occasion, elle caressait le cuir chevelu du bout des doigts et prodiguait un massage crânien. Ainsi, elle incitait son partenaire à continuer son petit jeu auquel il semblait prendre beaucoup de plaisir. Les deux seins eurent une part égale de caresse, d'attention, de léchouille et de titillement, ce qui fit sourire la jeune fille qui était étonnée de voir un équilibre si bien dosé.
Puis ce fut à son tour d'entrée en scène. Kohana voulait montrer à son maître de quoi elle était capable. Et ce n'était pas peu dire.
La jeune fille s'extirpa doucement de son siège confortable et quitta le garçon avec un baiser sur le front. Elle s'éloigna de lui de quelques pas puis se retourna. Elle replaça son soutien-gorge là où il aurait du être et abaissa son chemisier. Puis elle détourna juste la tête et fit un clin d'oeil complice ainsi qu'un sourire pervers à celui qui allait profiter du spectacle.
Puis, comme si une musique c'était mise en marche, Kohana commença à onduler son corps. Ses hanches décrivaient des huits et ses genoux se pliaient puis se dépliaient, ce qui entraînaient des mouvements de montée-descente.
La jeune fille était toujours de dos. Elle déposa ses paumes de mains sur ses hanches et accentua le mouvement, qui était encore plus visible avec les mains positionnées ainsi. Puis, alors qu'elle entâmait une lente descente ondoyante, ses mains remontèrent le long de ses flancs et s'emparèrent au passage du joli chemisier d'écolière. Tandis que les mains montaient, le chemisier se soulevait et laissait apparaître une colonne vertébrale peu marquée, ainsi que quelques bourrelets au niveau du ventre.
Lorsque ses bras passèrent au-dessus de sa tête, elle envoya valser au loin le chemisier. Puis ses mains revinrent se balader le long de son corps, lui prodiguant de multiples caresses. Alors la jeune fille fit un pas en arrière, qui la rapprocha un peu plus du garçon resté assis. Ses mains s'emparèrent alors de la jupette et la massèrent si ardemment, que celle-ci se souleva et découvrit une culotte toute blanche de coton. La jupette qui ne cachait plus rien, fut rapidement envoyée au bas des jambes de la jeune fille qui s'en sépara dans un magnifique développé de la jambe gauche.
Enfin elle se retourna et vint enjamber son partenaire. Sa poitrine n'était qu'à quelques centimètres du nez du garçon et son corps qui continuait d'onduler devenait de plus en plus attirant. Ses mains ne s'arrêtèrent pas en si bon chemin. Elle s'attaquèrent au soutien-gorge en le dégraffant puis en l'enlevant doucement, bras après bras. Alors Kohana permit au maître d'enfouir sa tête dans cette poitrine si généreuse qui s'offrait à lui.