Quelques mois après...«
Haaaa... -
Oui, allez... Couine, salope, hurle ! »
Face à l’ardeur d’
Ayumi, il était peu de femmes capables de tenir la distance, et sûrement pas la belle et gentille Shoko. Dans son éternelle nuisette violette, elle ne pouvait guère que subir les voraces assauts de sa partenaire, jambes écartées, et prise contre le mur. Shoko avait beau être un peu plus vieille qu’Ayumi, ça n’avait nullement empêché la sportive de venir la prendre. Son corps remuait d’avant en arrière, longuement, pénétrant la femme, afin de la faire hurler. Ayumi était une femme musclée, pratiquant beaucoup de sport, et qui avait clairement une mentalité de dominatrice. Une personnalité trempée, qu’elle laissait s’exprimer à chaque fois qu’elle en avait l’occasion, généralement sur les esclaves les plus sensibles du harem, mais aussi sur d’autres, comme Shoko. Voilà le spectacle qui se déroulait à la gauche de Mélinda, dans un grand salon où elle était occupée à se faire récurer les ongles par deux esclaves assises à gauche et à droite de sa personne. Un magnifique spectacle, mais celui à droite était tout aussi agréable à voir.
Linda, une neko, était en train de salir le tapis depuis une demi-heure, ronronnant et hurlant, ou gémissant, mais toujours en ronronnant. Ses joues rouges exprimaient tout le plaisir qu’elle ressentait. Son petit cul était bourré par une autre Ayumi, une jeune femme qui avait l’habitude de réveiller son plein potentiel de perversion face à des chibres sortant de sexes féminins :
Ayumi Nasegawa. Celle qu’on appelait «
La Sirène de Mishima » était dans une séduisante tenue en latex, et la culotte en latex qu’elle portait, disposant d’une fermeture Éclair, avait été ouverte, permettant à son sexe de sortir pour venir bourrer le cul de Linda.
C’était une véritable communion du sexe, et, tandis que Mélinda les observait, elle-même était occupée. Nue sur son fauteuil, son sexe était englouti dans le corps d’une Ange qui était venue rendre visite au harem depuis maintenant quelques semaines, et qui passait clairement l’essentiel de son temps à coucher à droite et à gauche :
Sya. Avec un bikini ultra-court et transparent, Sya se dandinait sur les cuisses de Mélinda, haletant et gémissant longuement. Parfois, les mains de Mélinda s’écartaient des lèvres des nekos pour venir caresser le corps de l’Ange, griffant sa tendre peau, avant de retourner près des nekos.
Sya était l’Ange de Lust, l’Ange de la Luxure, et chacune des communions sexuelles auxquelles Mélinda et ses filles se livraient étaient comme une offrande envers Lust, rapprochant de plus en plus Mélinda d’une idée qui lui traversait l’esprit : rapprocher le temple de Lust de son harem. La religion, qui n’avait jamais particulièrement attiré Mélinda, intriguait désormais cette dernière depuis plusieurs semaines, depuis qu’elle envisageait clairement de développer ses activités, de sortir du contexte simple du harem pour former un Empire commercial... Qui serait la manifestation d’un clan vampirique.
«
Oui... Hum... »
La vampire continuait à sentir Sya remuer contre elle quand la porte du salon s’ouvrit.
Un colis spécial, qui ne devait être remis qu’à Mélinda en personne, venait d’arriver. Il était porté par quatre personnes, et Mélinda le regarda en clignant des yeux, surprise, sans que cela ne dérange vraiment le rythme des deux couples affairés à se faire l’amour... Du moins, jusqu’à ce qu’elles se rendent compte de cette grosse boîte noire métallique qu’on posa sur le sol.
«
Nous avons pour ordre de remettre expressément ce colis à Mélinda Warren... »
Écartant Sya, mais avec la queue dressée, Mélinda se releva, nullement gênée de se trouver ainsi devant de simples livreurs. Ces derniers étaient excités, et, sous leurs combinaisons noires, des érections timides étaient en train de pousser. Mélinda signa un reçu. Le colis était délivré par une société tekhane spécialisée dans la livraison. Elle s’approcha ensuite de la boîte noire, qui était assez grande, et vit l’interrupteur digital permettant de l’ouvrir. Elle seule pouvait ouvrir la boîte, car le verrou électronique ne reconnaissait que sa seule empreinte digitale. Mélinda hésita un peu, puis appuya sur ce dernier.
Dans un déclic, le verrou s’abaissa, et le haut de la boîte s’ouvrit dans un clapet. Mélinda pencha sa tête vers l’intérieur...
...Pour voir une mystérieuse femme qui s’y trouvait.
«
Mais que.... ? »