Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Dis-moi ce que tu manges et je te dirai...qui tu es. [PV Liam]

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Liam Eckart

Créature

Re : Dis-moi ce que tu manges et je te dirai...qui tu es. [PV Liam]

Réponse 45 vendredi 28 septembre 2012, 22:03:04

Elle était là, offerte à lui, et lui qu'est-ce qui l'empêchait de  la prendre telle qu'elle, elle n'aurait, il n'en était sûr, opposé ni résistance, ni volonté de refuser. Il était persuadé qu'elle le laisserait faire avec plaisir ! Il le savait, mais quand elle le stoppa dans son élan. Elle qui semblait se laisser aller, voilà qu'elle reprenait le dessus, voilà qu'elle se mettait entre lui et ce qu'il voulait ! Jamais personne n'aurait osé, mais elle si, et parce que c'état elle, il se laissa faire, il se laissa guider. Pour retirer tout ce qu'il lui avait offert niveau accessoires. Elle les retitira, en tirant dessus sinon ce n'était pas drôle, toutes les pinces qu'elle avait sur le corps, laissant juste des marques rouges, marques très agréables à voir d'ailleurs ! Il imaginait la douleur qu'elles avaient du cause et en frissonna de plaisir.

Elle voulait de la douceur et il lu en aurait bien offert, mais il doutait d'être de capable d'un tel prodige. Elle descendit de la table pour venir se blottir contre lui. Il sentait le corps chaud de la jeune femme contre le frid de sa peau, il sentait ses lèvres. Elle voulait aller ailleurs, il allait l'y emmener, ils irient nus, comme  cela, dans les couloirs, enlacés...ou pas !  En fait il avait une idée une idée qui devrait lui plaire, enfin, il pensait.

Il la garda contre lui, et alors qu'il l'embrassait une main vint la saisir dans le dos, et l'autre vint la soulever sous les gnoux il allait la porter jusqu'à l'endroit où il lui ferait l'amour jusqu'à ce qu'ils en soient rassasiés tous les deux, jusqu'à ce qu'ils s'écroulent éreinter sur les draps de soie de son lit. Car c'est dans sa chambre qu'il la porta, dans la chambre du maitre, chose étrange, elle n'était pas spécialement loin de la salle o ils se trouvaient, il fallait juste monter quelques escaliers. De tout le trajet, il ne la regarda pas, il y avait une simple et bonne raison à cela, si il la regardait, s'il la dévorait des yeux, il ne se retiendrait pas et tout se passerait dans les escaliers. Peu galant et elle voulait un pett coin bien douillet, sa chabre était plus approriée. Toutefois, un signe montrait toujours son envie, la hampe qui venait doucement caresser la jeune femme.

Il fit déposa la jeune femme sur le seuil pour ouvrir les portes, il ne voulait pas les défoncer du pied, gardant contre lui tutefois lana, une main sur ses reins étant ancrée, comme si il était hors de question de la lâcher complètement, comme si elle allait disparaître si cela arrivait. Il l'ainvita à approcher du lit, l'incitant à occuper l'espace entre lui et son petit nid douillet et d'une douce pressioj, il la fit basculer avant de passer sur elle pour l'embrasser passionnément, ses mains venant à nouveai conquérir ses blessurez, titiller ses boutons mammaires meurtris.

Il étit au dessus d'elle, 'avait rien commncé, mais n'attendais qqu'un seul infime signe de sa part pour passer aux choses sérieuses.

« On en était où ? »

Lana Dubravka

Créature

Re : Dis-moi ce que tu manges et je te dirai...qui tu es. [PV Liam]

Réponse 46 vendredi 16 novembre 2012, 15:41:49

Se sentant soudainement soulevée, emportée. Elle ne put que refermer ses bras autour de son cou. Elle nicha sa tête sur sa poitrine, embrassant sa peau avec douceur, mordillant parfois. Elle ne regarda pas autour d’elle, ne comprenant plus ce qu’elle voyait, les couloirs, les escaliers, tout n’était que brouillard. Seul lui comptait, sa présence, le touché de sa peau, sa virilité frottant contre ses rondeurs.

Arrivée à la porte, elle senti la pression autoritaire sur ses reins, comme s’il refusait de la voir s’éloigner. Elle en eut  un sourire. Contrairement à beaucoup de femme, Lana aime les hommes qui savent faire preuve d’autorité, qui sont possessif et ne rechigne pas à montrer qui est le Maître. Liam correspond à tout cela. Il représente son idéal, sa moitié, son double. Il était celui avec qui tout serait possible.

Ils s'avancèrent d'un même pas, leurs mains jointes, son cœur battant d'appréhension et d'impatience. Lana baissa la tête, afin que ses cheveux viennent masquer ses yeux et pour avoir tout loisir d'observer le décor sidérant de la pièce. Quand elle les releva, ce fut pour boire le regard du vampire dont la voix vibrante la pénétrait, la faisant frissonner d'espérance. Elle l'observait intensément, le couvait d'un regard adorateur, brillant, conquis… Avant de se laisser aller contre les draps de soies dont la soudaine douceur et leur fraicheur rappela à Lana que ses plaies étaient encore échauffées et le contraste la fit gémir.

Elle se laissa aller aux caresses, basculant sa tête contre Liam, cherchant son contact, la chaleur glaciale de sa peau, tout en frôlant, de ses seins tendus par le désir, son torse glabre. Ses mains s’accrochaient à leurs corps, griffant les chairs. Elle avait faim de caresses, plus fortes, plus cruelles, elle avait envie de morsures…de sang, un appétit douloureux, ardent qui lui donnait envie de hurler comme une louve. Elle râlait sous les caresses, de plaisir et d’impatience mêlés, quêtait les baisers, se saisissait de sa bouche, happant ses lèvres fiévreusement. Elle sentit la présence du vampire entre ses cuisses, elle était complètement sous son emprise, sous sa puissance. La verge tendu vint frotter son intimité et dans un geste emporté par le désir, sa main glissa vers ce membre et avec douceur et fermeté, elle s’en saisi.

- On en était là…


Elle massait savamment cette hampe, la laissant titiller son intimité, ses lèvres, son clitoris, avant de la guider vers elle. Elle la fit pénétrer en elle, d'une lente poussée mesurée. Elle ferma les yeux, essayant de trouver et de rejoindre les vibrations du corps du jeune homme et de s'harmoniser avec elles. Son membre se plongea dans un ventre accueillant dont les chairs s'ouvraient pour lui céder le passage. Chaque centimètre qui s’insinuait en elle, la faisait trembler de plaisir. Sans ralentir elle enfonçait ce sexe dans son intimité, le regardant disparaître en elle avec détermination. De sa main libre elle s’accrocha à la nuque de Liam ayant l’impression que son corps ne résisterai pas  à cette intromission. Elle l’accompagna le tirant vers elle pour qu’il s'enfonce au plus loin, jusqu’à le sentir au fond de sa matrice, butter contre les parois.

- S’il te plait…délivre moi de ce feu qui me ronge…

Elle s'immobilisa tout de même un instant, sentant les vibrations de son corps se diffuser au sien, jouissant pleinement de cette possession. Les doigts cramponnés dans la chair de ses fesses, elle commença à onduler lentement, attendant que ce soit lui qui continue la danse. Lana était extatique et ne cachait pas son envie à son amant. Ses baisers se faisaient de plus en plus sauvage à mesure que son impatience commençait  à la dominer…

Liam Eckart

Créature

Re : Dis-moi ce que tu manges et je te dirai...qui tu es. [PV Liam]

Réponse 47 vendredi 16 novembre 2012, 21:53:00

Outre les délicieuses caresses que la jeune femme lui offrait, ne serait-ce que par l’effleurement de son corps. Liam souffrait rien que de bouger en s’éloignant d’elle, il dévorait son corps de baisers, ne la quittant jamais des yeux, venant mordiller sa peau par moment, alternant avec de fiévreux baisers passionnés. Et alors qu’il lui avait demandé où ils en étaient, il put constater qu’elle avait de la suite dans les idées.

En effet, elle ne fut pas longue à prendre l’objet tant convoité apparemment entre ses doigts dont elle sut tirer un plaisir inouï, tel qu’il ne l’avait pas ressenti depuis des lustres, des années en fait ! Le vampire laissait glisser ses canines sur la peau blessée de la jeune femme, souriant d’aise sous ses délicates attentions qui laissait transparaitre tant de la connaissance de l’acte que de l’envie qu’elle avait d’en être victime.

De la main habile qu’elle révélait, il sentit que bien vite elle le faisait entrer en elle, qu’elle le faisait communier de corps avec elle. Elle le fit entrer en elle, et il comprit une chose claire, avant même d’être frappé par le moindre orgasme, avant même d’avoir fait ne serait-ce qu’un va et viens, il ne pourrait plus se passer d’elle ! Il sentait que la jeune femme le complétait parfaitement ! Il n’avait pas besin de se modifier d’une quelconque manière pour être à la bonne taille, il entrait pleinement en elle, il y avait sa place, ni plus, ni moins. Ils se complètaient dans le sens le plus primaire, le plus primal.

Mais même s’il désirait qu’il commence à aller et venir elle, qu’il commence à lui donner réellement de plaisir, il voulait voir son impatience. Forme de sadisme et de masochisme à la fois sans doute. Même s’il voulait en avoir plus lui aussi, il vibrait et tremblait sous la retenue, enfoui en elle il l’embrassait, la mordant, il était aussi ardent que le feu les dévorant tus deux, ses baisers se faisaient violent alors que les tremblements s’accentuaient.

Enfin, il ne put plus se retenir et alors qu’il enfonçait ses crocs dans la chair délicate de la jeune femme, il commença un mouvement. Un mouvement sec, un comme un claquement. Le retrait fut long, comme s’il répugnait à se désolidariser d’elle, mais le retour, puissant et rapide, pour revenir se nicher au plus vite au fond d’elle. Il y eut un léger claquement, ses bourses venant claquer contre le bout de ses lèvres intimes.

Un deuxième, plus mesuré, mieux dosé, pour un aller et un retour aussi doux et forts en même temps l’un que l’autre, puis un autre, la cadence s’accéléra un peu, se brutalisant aussi légèrement alors qu’il relâchait les chairs de son épaule, venant, la bouche couverte et remplie d’ichor, embrassant la sienne, déversant le sang entre ses lèvres quand sa langue s’y fraya un chemin, ainsi qu’autour de celles-ci d’ailleurs…
Ses mains quand à elles, qui avaient précédemment saisi ses hanches au moment du début des vas en viens en elle qui se poursuivaient, lui offrant ondes de plaisir, sur ondes de plaisir, espérant par la même occasion que cela en allait de même pour elle, elles avaient remonter pour caresser son corps, maltraiter les boutons mammaires, lui caresser le visage, le cou, l’extérieur des cuisses, elles ne cessaient de vadrouiller alors que ses lèvres quittaient les siennes pour se rendre jusqu’à sa poitrine qu’il saisit entre ses dents avec sauvagerie, même s’il se refreinait toutefois. Lui arracher une partie du sein n’était pas à l’ordre du jour.

Lana Dubravka

Créature

Re : Dis-moi ce que tu manges et je te dirai...qui tu es. [PV Liam]

Réponse 48 jeudi 03 janvier 2013, 20:34:18

Il jouait avec elle, avec son désir, ses attentes…Il ne faisait que provoquer son envie en la faisant languir, exaspérant ses nerfs. Impuissante, elle s’enflammait de plus belle, incitant Liam à combler le feu qui brûlait entre eux. Dans son impatience, elle en vint à bouger, onduler son bassin pour tenter de combler cette faim qui lui semblait pourtant insatiable. Dans cette étrange frustration, il lui apparaissait que Liam aussi souffrait, comme s’il retardait l’inéluctable, comme s’il ne pouvait faire autrement que d’accompagner Lana dans la douleur. Tout comme dans le plaisir.

Et puis, après cette interminable attente, vint la récompense. Lana sentit la hampe glisser sur ses cuisses nues dans une lenteur troublante. Elle ne put s’empêcher de gémir et de le griffer à sang comme elle l’aurait fait sur un tableau noir. Quand il fut trop loin d’elle, elle le senti revenir, plus fort, plus violement. Lana exhala un soupir entre le plaisir et la douleur et se cambra sous la pénétration, se rejetant en arrière dans l’étau des draps de soie qui la retenait. Elle était totalement envahie par ce pieu, par un feu glacé, dur et invasif qui prenait possession de ses entrailles, la châtiant au rythme qu’impulsaient les hanches du vampire. Elle se livrait de tous ses sens exacerbés à cette invasion douloureusement plaisante, exigeante, implacable. Le feu et la glace mordaient son intimité ruisselante et elle sentait sa raison l’abandonner. Elle voulait encore, elle voulait plus. Son corps se tordait, se démenait. Elle haletait sous la douleur, sous le désir de l’emprise et la montée d’un inconcevable plaisir.
 
Au même instant, la bouche du vampire effleurait la peau de son cou, s’attardant sur l’artère palpitante, léchant sa chair. Et il ouvrit la bouche, libérant ses canines et… mordit la peau tendre qui s’offrait. Elle ne cria pas. Une décharge électrique explosa dans sa tête. Elle sentit son sang bouillonner, s’écouler, lui échapper. C’était douceur et c’était folie. Le baiser qui suivit lui donna le tournis. Elle pouvait sentir l’ichor chaud venir se répandre dans sa gorge et couler le long de sa joue tachant la soie délicate.

Et tandis que les va et vient de son amant se faisaient toujours plus intenses, toujours plus rapides, toujours plus impérieux, elle eut l’impression de s’envoler. Lana n’était plus qu’un vertige douloureux, assoiffé, exigeant, brûlant et sa chair répondait aux assauts de Liam en longs spasmes de plaisirs. Le maelström annonçait le paroxysme de son plaisir. Elle perçut le sexe durcir encore en elle, l’envahir totalement, sans pour autant forcer  ses parois de chair. Son bassin claquait sur son bas ventre à un rythme de plus en plus effréné. La volupté l’emportait, dans un délire ensanglanté, dans un brasier tranchant comme la glace.

- Liam...

Elle ne pouvait rien souffler d'autre. La tête basculée en arrière, relâchée dans l’attraction du moment, elle chantait sa jouissance. Elle sentit le sexe de Liam vibrer en elle des pulsations du plaisir Et son chant de jouissance se transforma en hululement. C’était une lave qui l’emplissait et la glace qui la cisaillait. C’était un mercure chaud. Elle se tordit, soubresauts spasmodiques, sur le pal qui ne la quittait pas, qui continuait de pulser en elle, retenue par les serres impitoyables qu’étaient ses jambes enroulées sur sa taille qui enserraient ses hanches.

Le membre ne la quittant pas, donnant des saccades que sa chair exaspérée et alanguie transformait en ondulations. Une ombre dense l’enveloppait, lui faisant perdre tout repère et des flashes multicolores dansaient dans sa tête comme un kaléidoscope.

Quand ses sens lui revinrent un peu, elle rapprocha ses lèvres du lobe d’oreille de son amant qu’elle pinça entre celles-ci, tirant légèrement dessus, comme pour attirer son attention à cet endroit. Ce fut pour un simple murmure prononcé de sa voix encore ténue par son orgasme.

- Je t’aime…

Une nouvelle fois, parce que rien n’était plus vrai. De l’amour à donner et de l’amour à faire. Elle lâcha son lobe pour que leurs regards se croisent, pour sonder sa réaction espérant qu’il n’y verrait pas là une piqûre de rappel mal dosée.

Liam Eckart

Créature

Re : Dis-moi ce que tu manges et je te dirai...qui tu es. [PV Liam]

Réponse 49 vendredi 01 mars 2013, 16:33:55

Vas et viens, vas et viens, viens et va. De quoi se perdre. Mais ce perdre dans quoi ? Dans ses yeux ? Tout a fait possible. En elle ? Non, il semblait être fait pour elle ou qu’elle était faite pour lui, il sentait les parois de antre d’amour se glisser contre sa virilité sans jamais qu’il n’ait à forcer, pas à un seul instant. Il pouvait être doux, violant, délicat ou brutal, jamais il n’avait besoin de forcer, ou même jamais besoin de combler un vide entre elle et lui. Jamais. Ils étaient assortis, que ce soit en gout culinaire, en beauté personnelle,  en amour.

Vas et viens, vas et viens, viens et va. Au milieu de cette douce violence qu’il exerçait, elle, uniquement elle, rien qu’elle, et tout elle ! La douceur de sa peau, la courbe de seins, la dureté des boutons qui ornaient ses doux globes de chair, la féminité de son harmonie physique, la force de ses cuisses, la forme de ses hanches. Que de perfection en elle. Et comme si cela suffisait à vanter les charmes de cette jeune femme !  Mais non, son physique parfait n’était même pas la meilleure partie de celle qu’il avait aussi vite aimé. La seule qu’il ait jamais aimée…

Vas et viens, vas et viens, viens et va. En elle et avec elle, quoiqu’il n’y ait plus vraiment dans cette étreinte et dans cet acte de elle ou lui, juste eux. Ils étaient là, enchevêtrés l’un à l’autre, s’aimant avec passion et avec force en même temps. Il ne savait pas pour elle, mais en cet instant, il éprouvait un plaisir inédit, inconnu, un plaisir qui promettait de durer tous les instants. Il ne le connaissait pas, ne l’avait jamais éprouvé, et n’avait jamais cherché à le connaître et pourtant…. Et pourtant il y avait droit, il y avait non seulement droit, mais en plus, il en profitait, et ce profit n’était pas à sens unique, il le rendait, il le lui offrait, il s’offrait à elle au même titre qu’elle s’offrait à lui !

Dans d’autres circonstance, il utilisait les sentiments des autres pour les piéger les éduquer, les dresser  et les vendre comme esclave. Mais pas avec elle, non, jamais avec elle, jamais il ne voulait que cela n’arrive à Lana. Plutôt être avalé par le néant, disparaître à jamais, plutôt que de lavoir comme les autres qu’il connaissait, enchainée avec un collier de métal serré autour de la gorge, sa belle gorge, sa délicieuse gorge.

Il n’arrivait pas à boire son sang sans être malade et pourtant, il avait l’impression qu’il pourrait mourir d’être sans elle ! Appliqué à l’effort, il finit, alors qu’il al mordait doucement, se plauqant contre elle, se plaquant au fond de son être, laissant éclater en lui le paroxysme de son plaisir, la jouissance  de tout son être alors qu’il tremblait, saisissant ses hanches qu’il amenait à lui avec fermeté et douceur, laissant couler en elle tout son amour, au sens propre au travers de sa semence qui était soudainement transcendé par son sens figuré. IUl ne murmura que son prénom avant de doucement se laisser reposer contre elle dans une douce étreinte, ne se retirant pas d’elle pour autant, restant ainsi, contre elle, sur elle, en elle, avec elle.

Aux quelques mots qu’elle lui murmura dans l’oreille, il ne répondit pas, préférant fermer les yeux pour en  profiter pleinement de ces mots qu’il avait si peu entendu. Il sourit et musela ses lèvres d’un délicieux baiser gorgé d’ichor. Il lui lécha avec délicatesse les lèvres et  se retira d’elle, laissant glisser hors d’elle les restes d’amour partagé, mélangés, cocktail d’elle et lui. Il se laissa glisser sur le côté, toujours sans mot dire, mais çà quoi bon les mots ? Cela ne restait que des mots. Il préférait les actes d’amour qu’il pouvait fournir. Doucement, il enlaça sa dulcinée et déposa un baiser dans son cou, si vulnérable et désirable, en frissonnant. Puis, il lui murmura, dans le creux de l’oreille.

« Je… je n’ai jamais ressenti ça…. Si ce que je ressens et que je ne connaissais pas est de l’amour, alors je t’aime aussi… mais s’il te plait, répète-le… »

Doucement il la hissa sur lui en  l’embrassant avec douceur, pour ^tre sur de ne pas rompre le contact avec elle, la cajolant, la calinant dans la prison de ses bras, dans l’entrave de son étreinte….

Lana Dubravka

Créature

Re : Dis-moi ce que tu manges et je te dirai...qui tu es. [PV Liam]

Réponse 50 vendredi 08 mars 2013, 22:45:27

Il ne lui disait rien mais semblait apprécier tout de même. Dès lors qu’il quitta la  moiteur de son fourreau, elle eut un dernier soupir d’un plaisir encore diffus  en elle. Quand il lui parla enfin, Lana resta à son tour muette. Et toute la soirée défila devant ses yeux. Elle comprenait mieux certaines choses. Comment pouvait-il ignorer l’amour ? Les vampires étaient-ils tous si durs à conquérir ? Une chose était sûre, Lana était ravie d’elle celle qui avait fait flancher son cœur.

- Et bien oui...Messire Liam Eckart, je vous aime.

Et elle avait envie de le lui prouver une nouvelle fois. Lui faire l’amour jusqu’à ce que son corps rompe, jusqu’à ce que son esprit ne soit plus capable de fonctionner. En même temps, il ne fallait pas trop tirer sur la corde, la fin de semaine s’annonce périlleuse et le manque de sommeil est un facteur important chez la cannibale. Bien sûr, elle ignore ce qu’il en est pour lui. S’il a vraiment besoin de repos, s’il dort...pas dans un cercueil visiblement.  Elle avait grand besoin de reposer ses chairs. Elle viendra accompagner son baiser, plein de fougue et une pointe de désir qui se consume entre ses lèvres.

- J’ai des tonnes de questions...mais je pense que nous aurons le temps de faire connaissance après.

Après la bataille elle entend. Dans un frisson, elle se cale un peu plus contre lui. Oui elle a peur et ça lui vient soudainement. Elle a peur de ne pas avoir cette occasion de faire connaissance. Elle finira par s’endormir, tout contre lui. Ses rêves seront un savant mélange entre érotisme et peur. Dans son inconscient, la bataille à venir la tétanisait. Sans son inconscient, l’amour lui redonnait courage.


***


- Pardonnez-moi...mais il est l’heure...vous aviez demandé sept heures...et...

Il est sept heures. Sept heures sonantes, trébuchantes, tapantes. La voix de la servante résonna dans la tête de Lana. Un gémissement d’insatisfaction pu franchir ses lèvres. La peste ! Qu'elle meurt dans d'atroce souffrance ! Elle ne parvenait pas à s'extirper du sommeil. Elle avait conscience de la lumière du jour, conscience de son corps qui lui adressait des messages chaotiques mais elle se sentait incapable d'ouvrir les yeux. Et n'en avait pas envie. Elle n'avait qu'un désir, replonger dans les brumes sombres, se laisser engloutir par ce sommeil épais, ne pas s'éveiller. Dans cette vague inconscience, elle fit un mouvement pour se rapprocher de Liam, se serrant un peu plus contre lui. Ce n’était pas le sommeil qu’elle cherchait, mais bien sa présence. Tout contre elle, elle sentait la « chaleur » de son corps, le poids de son bras qui l’enserrait. Sa proximité rassurante.

Les souvenirs de la nuit affluèrent. Elle souleva le drap qui collait à sa peau. Du sang séché couvrait son corps et sa peau était marquée de quelques zébrures rouges mais qui étaient pourtant déjà pratiquement refermées. Comme si on l'avait soigné avec un onguent miraculeux. La douleur n’était plus là pourtant et elle ne pouvait détacher ses yeux du spectacle sidérant de ses chairs si profondément marquées. Doucement, elle se dégagea de l’étreinte de Liam se relevant sur ses avant-bras, le surplombant un peu. Elle entendit la porte se refermer signe que la servante était partie. Chassée ? De son plein gré ? Lana n'en savait rien et préfèrera s'occuper de plus important.

- Ce matin je n’ai vraiment pas envie d’aller travailler...et c’est de ta faute !

Un sourire et un baiser passionné pour tout de même bien démarrer cette journée. Comment avoir envie de quitter l’homme qu’on aime ? Ce n’est pas ses gestes qui prouveront le contraire, ses mains s’aventurant déjà sur le torse glabre de son amant. Pourtant, elle n’a pas le choix, elle doit aller faire s besogne quotidienne. Et puis c’est le dernier jour de Konoe, elle ne devait pas rater ça ! Elle se leva donc, abandonnant Liam à contrecœur. Elle emportera avec elle le drap de soie, se couvrant avec tel un voile pour cacher sa nudité. Non, Lana n’a pas envie de partager la vue de son corps avec les esclaves. Elle a encore des réserves qui s’effaceront sûrement avec le temps. La veille elle était sous le coup de l’excitation et ne s’est pas vraiment rendu compte. Elle ira directement dans la chambre qu’il lui a prêtée afin de prendre une douche qui effacera les derniers vestiges de la folle nuit. En sortant de la douche, elle verra qu’une nouvelle servante l’attendait. Elle lui tendra une robe, une de celles que Liam avait offertes la veille.

- Non...merci...je dois mettre mon uniforme pour aller à la bibliothèque. Vous savez, je le portais hier.

Bon, en temps normal, Lana aurait pris le second et lavé celui qu’elle avait porté la veille. Là, ce n’était pas possible donc elle se contentera de l’ancien.

- Je suis désolée Milady, mais votre uniforme est à la poubelle.


Lana resta interdite, cherchant à comprendre les mots prononcés par la servante.

- Il était déchiré...alors nous l’avons jeté.

- Et je porte quoi moi maintenant ?! J’y vais nue c’est ça ?

- Non, bien sûr que non...c’est pour ça que je  vous propose celle-ci. Nous pouvons en choisir une plus chic si vous voulez mais je pensai que pour ce que vous aviez à faire, c’était suffisant.

Lana regarda la robe, oui, c’était largement suffisant, c’était même beaucoup trop bien. Elle se résigna, elle ne pouvait pas y aller sans rien sur le dos de toute manière, c’était ridicule. Elle pourra invoquer le départ de sa très chère amie. Ses cheveux se retrouvèrent engoncés dans un chignon trop serré. Elle descendit ainsi, prestement menée par la servante qui ne daignait pas vouloir la laisser seule. Elle lui ouvrit  la porte sur un salon où la table était déjà mise et fort bien garnie. Ses yeux cherchèrent le vampire. Est-ce qu’au moins il prenait un petit déjeuné ?

Liam Eckart

Créature

Re : Dis-moi ce que tu manges et je te dirai...qui tu es. [PV Liam]

Réponse 51 vendredi 22 mars 2013, 18:48:14

Elle répéta ces mots. Nouvel extase pour lui, savourant chaque syllabe, savourant chaque instant du corps de la jeune femme contre le sien. Que d’aise, que de plaisir. Il n’était pas sexuel, non, il était Autre, mais c’était parfait pour lui. Il sentait son corps chaud contre le sien, glacial, et éprouvait à la fois du plaisir à sentir ce contraste, que du soulagement à voir que cela ne la gênait pas. Il la regarda sombrer dans le sommeil mais ne dormit pas, non, il ne bougea pas de là, mais veilla sur son sommeil paisible, lui caressant doucement les cheveux.

Il la regarda, l’admira toute la nuit jusqu’à ce que le matin commence à poindre, matin qui, si il était signe de départ pour la jeune femme, était surtout signe de sommeil pour le vampire. Il ne dormit que quelques heures, contre sa douce Lana avant qu’une petite voix fluette ne le réveille. Il s’agissait d’une jeune esclave, elle portait en travers de la joue la marque que le fouet avait laissé. Il avait eu un regard noir et avait lancé au vampire quelques mots très polis très posés avant de se retirer en vitesse. Lana allait partir travailler. Il se rendit compte que même s’il n’avait pas faim, il ne comptait pas la laisser partir sans quelques mots doux.

Nu, il enfila une longue robe de chambre qui en plus de porter de l’hermine était brodée de fils d’or. C’était beau, c’était agréable à porter, quoiqu’un peu lourd sur les épaules. Il la ferma, l’attacha et descendit retrouver sa mie. Elle était en train de s’installer pour on petit déjeuner. Ses doigts glacés vinrent se poser sur ses épaules, il venait d’arriver dans son dos, et doucement, lui embrassa le cou.

« Bonjour mon amour. Comment vas-tu ? Tu as bien dormi ? »

Nouveau baiser dans le cou, du même côté avant qu’il n’aille s’asseoir en face d’elle, ses cheveux étaient emmêlés et il avait l’air fatigué, il bailla, mettant bien évidemment une main devant sa bouche. Il avait sommeil. On lui apporta un calice de sang qu’il but à longues gorgées, pour rester éveillé.

« Tu es tellement belle quand tu dors, et même quand tu es réveillée. Mais pourquoi une coiffure si strict ? C’est à croire que je vais prendre un coup de règle sur les doigts… tu pourrais sécher le travail cette après midi et venir me réveiller pour que l’on passe toute l’après midi ensemble, non ? »

Il eut des étincelles dans les yeux avant de se pencher par-dessus la table pour déposer un baiser sur ses lèvres.

« Et avant d’aller régler notre problème, petite surprise pour toi…. »


Lana Dubravka

Créature

Elles s'affairaient autour d'elle, comme de petites abeilles autour d'une fleur. Un bourdonnement étrange qui faisait sourire Lana. La cannibale avait retenue la leçon de la veille : laisser les autres faire pour elle au lieu de leur enfoncer une fourchette dans la main. Les esclaves étaient au petit soin et celle de la chambre restait comme figée à ses cotés attendant peut-être un ordre plus spécifique.

Et puis on lui apporta sur un plateau d'argent tout ce dont une femme pouvait rêver en matière de petit déjeuné à l'Anglaise. Ce qui troubla la jeune femme fut une odeur bien particulière, une odeur qui lui était familière. Ce fut à peine une surprise lorsqu'on lui ouvrit la cloche qui recouvrait le dernier plateau. De la chair. De la chair humaine bien entendue. Tout juste préparée et ce, rien que pour elle...mais c'est une mine de dégoût qui accueille le plat. Lana ne supporte pas la viande fraîche au petit déjeuné. Elle sait qu'ils ont voulu bien faire, peut-être même que c'est une indication de Liam. Aussi, elle se reprend aussitôt et s'affranchit d'un délicieux sourire.

- Jamais le matin...surtout après tout ce qui m'a été offert hier soir. Je suis désolée de vous avoir fait travaillé pour rien. Et que vous ayez du...vous séparer de quelqu'un pour ça.

- Ce n'est pas grave Madame, les...chiens du Maître en profiteront.

Lana s'en doute, pour que la servante ait hésité à dire le mot chien, c'est qu'ils doivent être un peu spéciaux. Les pas du vampire derrière suffirent à faire taire toutes éventuelles questions sur ces chiens. Bientôt elle sentit la fraîcheur des mains de Liam sur ses épaules et c'est avec la tête légèrement penchée pour accueillir ses baisers qu'elle pu lui répondre.

- J'ai passé une nuit merveilleuse...j'espère qu'il en a été de même pour toi ?

Mais lorsqu'il se retrouva en face d'elle, la jeune femme eut de furieux doutes sur le coté réparateur de son sommeil. Elle allait devoir apprendre à varier son rythme de vie pour être plus en phase avec lui et éviter les matins douloureux. Tout en l'observant, son pied se déchaussa presque inconsciemment et immédiatement, il fut posé sur le mollet de Liam. Certains pourraient croire qu'elle est fétichiste...peut-être d'une certaine manière. Une façon de garder un contact charnel, aussi petit qu'il puisse être. Lorsqu'il est en sa présence, Lana a du mal à ne pas avoir envie de se coller à lui, s'asseoir sur ses genoux pour l'embrasser pendant de longues, très longues minutes. Elle se retient. Essaye de se concentrer sur autre chose sans grand succès. Surtout quand il décide de venir dérober ses lèvres un instant. Elle manque de le retenir par la nuque pour qu'il ne s'enfuit pas. Le plaisir en devient une torture de le voir repartir si vite.

- Ma coiffure...est obligatoire. Tout comme l'uniforme. Et vu que je ne le porte pas, je ne dois pas négliger le reste. Et puis je suis certaine qu'avec une règle et tes doigts, j'arriverai à faire en sorte que tu aimes ça...

Et elle ne ment pas.

- Quant à quitter mon travail, je ne sais pas. Je doute que mon patron soit d'accord pour fermer la bibliothèque pour mon bon plaisir. Pour son plaisir par contre, rien n'est moins sûr. J'aimerai tant pourtant.

- Je ne vois pas où est le souci Maîtresse Lana. Vous pouvez parfaitement être à votre travail et ici.

Une voix. Une voix que Lana connaît sans jamais l'avoir vraiment entendue. Elle se retourne sur son origine et une silhouette Terrane lui apparaît. Une jeune femme aux attributs félins. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, elle constate que sa physionomie change. Une étrange sensation la parcourt. Elle ne saurait dire son ressenti en cet instant. Elle se voit, comme dans un miroir. C'est bien plus réel. C'est elle en chair et en os à un détail près : des yeux rouges comme le sang. Sans se démonter, la Lana aux yeux rougeoyant s'installa au bout de la table où elle fut servit de même mets que la vraie. Chaque geste qu'elle faisait était imité à la perfection, comme s'il avait s'agit d'une soeur jumelle.

- Vous comprenez, je peux vous remplacer. Votre humain de patron n'y verra que du feu. Pour ça, il me faut tout de même l'accord de Maître Liam.

Dans le fond, il n'a pas vraiment de raison de refuser si ce n'est la peur de la voir s'enfuir. a-t-il au moins peur d'une telle chose ? Quant à Lana elle restait muette éberluée par cette femme qui lui ressemblait. Voyant son mal-être, la petite Terranide retrouva son apparence normale et quitta la table.

- Je vous demande pardon de vous avoir dérangés. Je ne souhaitais que faire une proposition pour vous arranger. Je pense sincèrement être capable de vous remplacer pendant votre travail, je suis bien éduquée et instruite...


Lana se retourne sur Liam et n'est pas certaine d'avoir comprit quoi que ce soit.

- C'est la surprise ?

Liam Eckart

Créature

Oui, sa nuit avait été merveilleuse, même s’il devait désormais dormir. Il n’avait bien évidemment pas fermé l’œil de la nuit, puisqu’il devait dormir le jour.  Et de toute manière, elle n’avait pas dormi toute la nuit, vu qu’ils s’étaient couchés relativement tard dans la nuit après leurs jeux ! Et quels jeux, il en avait encore des frissons en y repensant ! Des frissons d’excitation, de toute évidence. Il ne fallait pas s’attendre à autre chose venant de lui au souvenir du corps de Lana blessé et meurtri.

Rompre contact avec elle était aussi pénible pour elle que pour lui, mais même s’il avait eu en vie de rester coller contre elle éternellement, cela aurait été sans doute quelque peu compliqué de vivre ainsi… quoique celui eut pu mettre un peu de piment dans cette existence ! Il sentit bien vite le pied de la jeune femme sur son mollet et vint caresser celui-ci de son autre pied, avec douceur. Il dévorait sa compagne des yeux, des yeux avides et envieux. Avide de a compagnie, de son corps, de ses lèvres, de ses mots d’amour. Envieux de ceux qui allaient la regarder toute la journée durant alors que lui devrait dormir dans un sommeil similaire à la mort.

Ses propos le firent sourire, surtout ceux concernant la règle et les doigts, oui, il pouvait en tirer beaucoup d’elle avec si peu de choses…. Mais c’était sans doute parce que c’était elle et nulle autre, il aurait souhaité vérifier cela dans la seconde et dut se retenir d’en faire la moindre proposition….

Il eut un nouveau sourire à la mention de s&écher le travail. Ça aurait été possible mais ça aurait sans doute gâché une partie de la surprise. Non, ça l’ennuyait profondément, mais elle devait aller travailler aussi pénible que cette idée soit pour lui comme pour elle… sinon, la surprise perdrait un peu de son gout, de sa valeur…

L’air contrit, il semblait sur le point de parler quand une esclave prit la parole. Il ne se souvenait pas de son nom et ne cherchait pas à le savoir Il était sur e collier mais les cheveux cachaient l’inscription sur celui-ci. Rendant de toute manière illisible son nom ! ça par contre, c’était une faute. Tout comme parler sans en exprimer la demande et avoir l’aval du maitre.

Certes sa proposition était intéressante, mais elle outrepassait ses droits, pour peu que se taire et obéir soit un droit et on un instinct de survie, elle ne devait pas en avoir un très grand à en juger par le fait qu’elle se soit mis à parler comme ça, sans permission. Il devint livide quand il vit ce qu’elle faisait, changer d’apparence ainsi et prendre celle de son amour, non, certainement pas. Et elle persévérait jusqu’à finalement conclure ses propos. Liam se contenta d’un regard glacial à la créature, un regard qui signifiait explicitement :  « dis quelque chose de plus ou fais quelque chose de plus et tu vas le regretter amèrement, je te le promets ».

Puis il fut déçu, très déçu, non pas par la réaction de Lana, ô combien compréhensible. Oh certes elle cachjait sans doute la joie de cette possibilité. Mais bon, il devait hélas la détromper. Il soupira et nia de la tête le fait qu’il puisse s’agir de la surprise, d’autant qu’à cela il rajouta quelques mots.

« Hélas non. J’aurai bien aimé mais je doute que rester ici te plaise énormément…. Surtout si je suis enfermé dans un sommeil mortel, incapable de te tenir compagnie. Oh, certes, tu pourrais prendre en mains la maisonnée. Mais je doute que tu trouves cela amusant plus de quelques minutes…. »

Il se leva et fit le tour de la table pour finalement enlacer Lana et lui embrasser doucement le lobe de son oreille droite, ses mains venant doucement glisser le long de ses côtes, de ses douces hanches. Ses baisers descendirent dans son cou qu’il embrassa et mordilla. Il avait envie d’elle, envie de la posséder de nouveau, de la connaître à nouveau. Mais il ne pouvait pas. Fiévreux il murmura, dans le creux de son oreille :

« Si je pouvais, ej resterai éveillé toute la journée dans tes bras. Mais il faut que tu ailles à ton travail, sinon, tu n’apprécieras pas vraiment ta surprise. Et si je ne dors pas assez, tu te trouveras toute seule la nuit prochaine pour empêcher le pire. »
 

Lana Dubravka

Créature

Re : Dis-moi ce que tu manges et je te dirai...qui tu es. [PV Liam]

Réponse 54 mardi 01 octobre 2013, 18:43:27

Elle se laissa aller contre lui entourant son cou de ses bras. Ses baisers l'alanguissaient et ce fut bientôt un léger gémissement qui accueillit ses attentions. Ce fut pour elle comme un électrochoc. Elle devait partir de façon immédiate sinon elle n'y arriverai plus. Une lutte acharnée entre son esprit et son coeur. La raison l'emporta sous les clameurs de Liam qui l'incitait à partir. Il avait raison, elle ne pouvait pas rester, pas ce jour tout du moins. Elle se désolidarisa doucement de lui et le fit taire d'un baiser gourmand.

- Profites bien de ton temps de repos car je te veux très en forme pour quand je reviendrai.

Elle ne précisa pas quand elle reviendrait, ni ce qu'elle comptait faire avec lui. Ca lui paraissait évident. Elle recula d'un pas avec lenteur, laissant le bout de ses doigts glisser encore un peu sur l'hermine cherchant un peu à y trouver les formes du corps de Liam. D'un pas chaloupé, elle traversa la pièce lentement et arrivée à l'embrasure de la porte elle se retourne et lui mime de ses lèvres un "tu me manques déjà" suivit d'un baiser fantomatique. Elle finit par s'échapper et rejoindre la chauffeur de la veille qui lui ouvre la portière. Elle s'infiltre, disparaissant de la vue du vampire.

Après ce qui parut être une longue route à Lana, la voiture se stationna non loin de l'entrée de la bibliothèque. La voiture ne passe pas inaperçue. Les habitués, les lecteurs lève-tôt, constate  que c'est la bibliothécaire qui en sort, ce qui est incongru. Certain se demanderont quand la jeune femme à gagné au loto ?

Elle siffla. Konoe siffla l'arrivée de Lana. La jeune femme ne put s'empêcher de sourire en se souvenant du sifflement qu'avait émit Liam en la voyant dans sa belle robe. Nul doute que la raison était identique. Si Konoe était une peste, elle avait un certain goût pour les belles choses et ne put que remarque le changement.

- Dis moi Lana, depuis quand tu connais la haute couture...

Un peu de sarcasme ne pouvait pas faire de mal. Sauf à l'ego de Lana. Cependant, elle ne répondit rien sur le moment, laissant son radieux sourire venir se planter dans les yeux de la Japonaise. A cet instant, elle comprit que Lana avait l'ascendant sur elle.

- C'est un cadeau de mon ami...mon adorable ami.

Et ce fut le déluge. Un déluge de questions plus ou moins intime sur la relation qu'entretenait Lana et cet adorable ami. L'avantage fut pour Lana qu'elle ne se rendit pas compte du temps qui passait. Ce qui fut plus difficile, ce fut de trouver les mots justes pour expliquer l'activité salariale de Liam sans pour autant rendre la Japonaise soupçonneuse sur la nature des biens engagés. Konoe comprit plusieurs choses. La première c'est que Lana était follement éprise et la seconde, que Liam était très riche. La seconde partie lui semblait beaucoup plus intéressante. Elle décida que cet homme devait lui appartenir et donc qu'elle allait devoir évincer Lana. Pour elle, rien de bien compliqué. La Japonaise s'estimait largement plus séduisante que la Croate.

C'est ainsi que la matinée se passa pour Lana, bien plus submergée par les questions de sa collègue que par son travail. Elle s'interrompit néanmoins dans celui ci pour aller voir son patron. Elle lui demanda si elle pouvait prendre son après midi avec Konoe, histoire de fêter son départ. Elle du faire force d'arguments et de décolletés plongeants pour arriver à ses fins. Lana lui promis aussi une soirée pour un dîner en tête à tête. L'histoire ne dit pas ce qui y sera servit.

La jeune femme informa sa collègue qu'elles avaient quartier libre pour l'après midi. Vers onze heures trente, les deux jeunes femmes firent sortir les derniers présent dans l'établissement. Suite à quoi, elles allèrent à l'arrière du bâtiment pour fermer pour le week-end. Là, elles trouvèrent la limousine qui attendait. Du moins le chauffeur attendait sagement. Konoe siffla une nouvelle fois. La proie était donc prometteuse pour la Japonaise. Lana la laissa regarder pendant qu'elle bouclait la grosse porte de la bibliothèque. Quand elle se retourna, elle fut surprise de ne plus voir la silhouette féminine qui pourtant se trouvait à coté d'elle deux secondes auparavant.

- Elle est dans la voiture...

- Oui ma chère, quitte à te servir d'alibi, autant que ce soit vrai. Je reste avec toi cette après midi, tu n'as pas le choix !

Lana grinça intérieurement des dents. Elle n'avait pas envie  d'emmener cette femme qu'elle ne portait pas vraiment dans son coeur voir celui qui justement prenait toute la place. Elle n'avait pas trop le choix et surtout, elle voulait rentrer au plus vite  pour retrouver son vampire. Elle espérait juste qu'il ne s'offusque pas de la voir venir avec elle. Le trajet lui sembla encore plus long qu'à l'aller. Non seulement à cause de son besoin de voir Liam, mais aussi à cause des babillage de Konoe.

Elles arrivèrent enfin. Konoe eut droit à une traitement de faveur. L'asiatique était en plein rêve pendant que Lana cauchemardait de la voir là. Une esclave alla prévenir Liam de l'arrivé des deux jeunes femmes. En attendant qu'il les rejoigne, elles furent toute deux enjointe à aller dans le grand salon. Lana s'installa confortablement dans un fauteuil moelleux à souhait et Konoe préféra inspecter la pièce de fond en comble.

Elles n'eurent pas à attendre longtemps. Le Maître de maison se présenta à elles. Lana se leva prête à lui sauter dessus si son éduction ne l'en empêchait pas. Elle se dirigea donc d'un pas rapide à sa rencontre. La jeune cannibale n'eut même pas le temps de sourire au vampire qu'elle vit débouler Konoe, passant devant elle pour aller se présenter, tendant sa main pour avoir un délicat baise main. Lana dut faire preuve d'un grand contrôle pour ne pas décapiter la Japonaise sur le champ.

- Je te présente Konoe, ma collègue. Elle souhaitait vivement te voir.

Et Lana n'avait pas dit amie et n'avait pas non plus dit qu'elle était son invitée.

- A moins que ce ne soit ton manoir...ou tes biens...connaître ton personnel...rien de plus normal pour une petite chienne de son espèce. N'est ce pas Konoe ?

Traduction : Mon amour, en ferais tu une esclave pour moi ?

Liam Eckart

Créature

Re : Dis-moi ce que tu manges et je te dirai...qui tu es. [PV Liam]

Réponse 55 mercredi 09 octobre 2013, 20:11:41

Il lui rendit son baiser gourmand avec encore plus gourmandise, voir même une avidité. C’était étrange comme les choses évoluaient :  Lima avait déjà un problème pour se passer d’elle : il n’en éprouvait pas l’envie, ressentant même un besoin impérieux de la savoir toute proche, et ses contacts tactils, ses mots doux mimés ou dits, ne faisaient qu’aggraver les choses en ce sens. A vraie dire, si elle n’avait pa tourné les talons à ce moment là, sans doute aurait-il été capable de lui sauter dessus, l’empêcher de partir, arracher ses vêtements, et assouvir tous les désirs imaginables jusqu’à ce que leur corp cèdent et rompent.

Finalement, après son départ, dans un désespoir non fin et exprimés par un soupir, il se décida à partir se coucher, il lui faillit bien mourir. Pour la forme, qu’elle ne se fasse pas de soucis, il était persuadé de tenir plus longtemps, bien plus longtemps qu’elle, et pour le vérifier, un marathon s’imposait… il trouverait bien un moment pour le tenter, ce marathon… et teter une étude plus approfondie de sa personne par-dessus le marché…

Il prévint son personnel, fit préparer cartes, matériel et tout ce qui pourrait être utile pour cette nuit de travail, et finalement il se dcida à partir se coucher. Retirant sa robe de chambre à col d’hermine, il se coucha. Il tait nu dessous, et se glissa entre les draps de soie ou et agréablement parfumés. Il ferma les yeux, et enfin, il mourut.

Le gros avantage à être vampire – et l’un des défauts majeurs tant qu’à faire-  était cette capacité qu’ils avaient à mourir pour la journée. Le matin il fermait les yeux, la rigidité cadavérique le prenait et la mort emmenait son esprit, le lui ramenant chaque soir, ou du moins, le lui ramenant après un certain temps. Pendant ce moment il ne pouvait être atteint par aucune parole, aucun bruit, aucune douleur, aucune lumière, ce qui en faisait une cible particulièrement vulnérable d’ailleurs. Tuer un vampire le jour était particulièrement facile quand il n’était pas bien entouré. Lui, il était très bien entouré.

Liam, lui, était très bien entouré. Il avait une garde personnelle qui gérait la sécurité du manoir, des hommes, et des femmes, soumis corps et âmes à sa volonté, quelle qu’elle soit. Il s’agissait en général d’esclaves qu’il avait lui même dressé pour différentes tâches spécifiques à chacun. Ainsi, il avait tout ce dont il avait besoin. Tout cela pour dire qu’il ne risuait à rien à mourir le matin pour revivre le soir. Mais en fonction de l’âge et de la puissance du vampire, celui-ci dormait plus ou moins lentement.. Liam pouvait revenir à lui en début d’après midi, pour sa part, montrant très clairement que sa jeunesse n’avait pas d’influence sur sa puissance.

Aussi , il n’y a rien de bien étonnant à trouver Liam levé et bien habillé au retour de la belle cannibale qui avait rappelé le cœur qu’i possédait même s’il ne battait plus- mort oblige. Ah, Lana, il avait une surprise pour elle, en effet, il avait fait un petit détour par Terra pour trouver un met savoureux, une jeune femme qui, soi-disant, n’avait jamais connu le loup, il dut le vérifier lui-même, sentir l’hymen pour y croire, et choisit aussi de faire son petit marché, achetant quelques biens à dresser pour les revendre. Le choix n’était pas incroyable, mais il était toujours là. Quant aux prix, il avait payé bien plus cher qu’il n’aurait du. Mais étant sur son petit nuage, il n’avait pas eu l’impression de se faire autant avoir que la réalité ne le montrait.

Il ne revint que peu de temps avant que la voiture n’entre dans la pour du manoir terrestre. Déjà ? Non pas qu’il soit désagréablement surpris, mais c’était étonnant. N’aurait-il pas vu le temps passer ? Etrange, ce n’était pas son genre, en général, au contraire, il avait une horloge interne absolument parfaite… ce n’était rien d’autre que ce petit nuage ui faisait écran à tout ce qui n’était pas Lana. Oui, un peu de bon sentiment n’est pas si désagréable tant qu’il ne s’agissait pas d’une habitude. Le bon sentiment et le dressage d’esclave ne font pas bon ménage...

Il fut surpris d’apprendre que Lana ne rentrait pas seule… il ne pensait qu’il y aurait quelqu’un d’autre que la surprise dans la voiture (à part Lana) et pensait qu’elle rentrerait plus tard que ça. Mais l’impatience devait la tarauder autant que lui, c’était normal. Des amants lors de leur première amourette…. De vrais enfants sur ce point…

Mais ce ne fut pas la belle rouquine qui vint se planter devant lui en premier, non, c’était la Japonaise. Elle lui tendit la main et il regarda cette main avant de jeter un regard loud de sens à Lana. Il n’aimait pas énormément les surprise quand il ne les organisait pas… Mis au-delà de ça ce serit toujours agréable d’avoir de la compagnie, une plaisante compagnie si possible bien sur ! Enfin, jusqu’à ce qu’il connaisse son nom. Ainsi c’était elle, Konoe. Sa Dame l’avait pris de vitesse et c’était bien dommage, trouvait-il. Mis soit, il n’allait pas faire le difficile à dessus. Il sourit à cette fameuse collègue avant de finalement se tourner vers Lana et même se déplacer vers elle pour venir la la saisir par la taille et la serrer contre lui, lui bécotant la gorge avidement. Oui, son idée était amusante. Il eut un petit sourire. Il avait envisagé la même iée avant même de connaître de visu la fameuse Konoe… il lui glissa doucement à l’oreille une axcitante confidence.

« C’est à croire que tu lis mes pensées, je me suis dit que tu méritais d’avoir ta propre suite pour s’occuper de toi et t’obéir. Qui sait, cela pourrait être utile…. J’ai acheté plusieurs échantillons, et je comptais te proposer de choisir parmi ceux-là… mis si tu as déjà faitton choix, alors c’est parfait…. »

Il lui mordilla son oreille avant que Konoe ne les interrompt.

« Dites, si je vous gêne, dites-le ! Et de nous deux, je crois que tu te trompes sur qui est la chienne, car hormis te mettre à quatre patte pour te faire culbuter, je doute que tu sois capable de le séduire autrement… »

Et voilà ce qui se passe quand on oublie Konoe quelques instants de trop, elle persifle… dommage que cela ne tombe pas toujours dans la bonne oreille… Liam lui sourit et la fixa droit dans les yeux.

« Tu n’as pas idée de ce qui t’attends, n’est-ce pas ? »

Il vola les lèvres de Lana pour un voluptueux baiser avant de lui dire, de manière audible.

« Non, mon amour je ne la dresserai pas pour toi…. Je vais t’aider à la dresser. Si tu veux ton esclave tu vas devoir la dresser toi-même… je vais t’y aider, mais en te conseillant et t’assistant… tu feras le travail… je vais t’apprendre… »

Il lui saisit doucement la main et porta son poignet à ses lèvres et embrassa la chair ainsi découverte avec délectation et sans la quitter des yeux.

« Première étape, la mettre à sa nouvelle place, une fois brisée, elle pourra être dressée… pour cela il faut non seulement briser son corps –mais pas de manière définitive – autant que son esprit. Il faut la choquer si fort qu’elle en perdra toute envie, toute volonté qu’elle aurait pu manifester autrement… tu peux t’arranger pour qu’elle soit battue, humiliée, violée, il y a autant de méthode que d’esprits inventifs…  »


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