Mélinda avait une telle confiance en elle que s'en était presque perturbant. A demie-nue, l'anus encore dilaté de la puissante pénétration qu'il lui avait imposée, la vampirette tenait encore tête à son "professeur." Si la situation n'avait pas été aussi délicate, Jack aurait sans nul doute sorti à nouveau sa queue colossale afin de dompter la belle arrogante. Lorsqu'elle lui demanda, ou plutôt ordonna de cesser de fumer, l'agent Taylor l'ignora purement et simplement. Pis encore, il expira dans sa direction, escomptant bien irriter un peu la lycéenne en retour. Néanmoins, après quelques longues secondes de silence, il se plia à sa volonté de mauvaise grâce, éteignant sa cigarette du bout de ses doigts, astuce inutile mais amusante qu'il avait appris chez les Marines. "Je t'écoute." La jeune femme s’était assise en face de lui, croisant ses jolies jambes d’albâtre. Les mots qui franchirent ensuite ses lèvres le laissèrent absolument perplexe. Des esclaves ? Allons bon, il devait sûrement s’agir d’une métaphore. Aussi sûre d’elle et surnaturelle qu’elle pouvait sembler, Jack doutait qu’une créature aussi juvénile qu’elle puisse réellement asservir des êtres humains. D’ailleurs, plus le temps passait, moins elle lui semblait redoutable. Elle avait des canines pointues, des ongles crochus et un membre masculin d’une taille honorable, soit. De là à en déduire qu’elle représentait une menace pour lui, il y avait un fossé. « De toute façon, je ne crois pas qu’il soit possible de m’asservir », lâcha-il, presque sans le vouloir. Jack Taylor retirait en effet un orgueil certain d’avoir été fait prisonnier en Afghanistan pendant de longs mois, torturé avec plus ou moins de subtilité, mais de n’avoir jamais cédé. Dire qu’il n’avait pas hurlé de douleur ou abjuré plusieurs fois aurait été un mensonge ; néanmoins il était parvenu à garder son identité et le but de sa mission secret, avant que ses petits camarades des Delta force ne le récupère en piteux état. En conséquence, toute allusion à l’abaissement, même éventuel de son âme lui faisait l’effet d’une gifle. « Annonce ton prix », ajouta-il d’un ton irrité.
Néanmoins, l’agacement succéda bien vite à la surprise et la surprise à l’hilarité. De toutes les propositions sexuelles qu’on lui avait faite jusqu’à lors, celle-ci était des plus cocasse : laisser une lycéenne avec un vit assez épais pour faire rougir de honte ses camarades du sexe masculin lui pilonner le derrière. « Ah ah, tu déconnes ? » Néanmoins la dérision qu’affichait l’agent Taylor était là encore de pure façade. A dire vrai, lorsque la jeune fille avait énoncé sa condition, un afflux sanguin massif était venu gonfler sa queue, alors qu’un frisson de désir lui avait parcouru l’épine dorsale. L’agent Taylor était un sodomite complet, et ne rechignait pas devant une sodomie passive. Bien des années plus tôt, sa sœur aînée l’avait initié à de tel plaisir en lui glissant un doigt ou deux dans l’anus lors des fellations qu’elle lui prodiguait, ce qui engendrait naturellement des éjaculations stupéfiantes. Par la suite, elle l’avait même pénétré avec des godes et autres accessoires. Il avait ensuite fallu un certain temps pour que, arrivé à l’âge adulte, Jack accepte sa bisexualité. Il s’était d’abord contenté de sodomiser certains de ses camarades de fac, puis la promiscuité des marines et leur isolement complets pendant de longs mois l’avait incité à expérimenter de nouvelles choses. Une belle nui d’été, au milieu du pacifique, sur le Hope, croiseur américain, Jack avait gouté à la présence d’un chibre chaud dans son fondement. La douleur s’était longtemps disputé au plaisir avant qu’il n’inonde le point de son foutre, son amant se vidant dans ses entrailles.
Il restait que si la queue de l’adolescente n’était pas aussi impressionnante que la sienne, l’agent Taylor n’avait négocié un tel morceau de chair entre ses fesses. L’opération risquait d’être douloureuse… Mais aussi, probablement, d’une jouissance sans pareille. Jack sentait qu’il approchait du point de non retour : sa grosse queue enflait à nouveau et déformait le tissu de son pantalon, alors que son anus se dilatait légèrement sous l’effet de l’excitation. « Qui te dis que j’apprécierais de me prendre ton engin dans le derrière ? », lança-il, pris au piège de son propre désir. S’écartant de la table sur laquelle il était assis jusqu’à lors, il contourna Mélinda et s’approcha de la pauvre petite Shii, laissée pour compte depuis cinq bonnes minutes, palpant son phallus à travers son pantalon, l’air pensif. « D’accord », lança-il à Mélinda, par-dessus son épaule. « Mais je veux qu’elle me suce. Et je veux prendre son cul, aussi. » Le point de non-retour était dépassé. Sans transition, le « professeur » extirpa sa queue massive et à demie bandée de son boxer. A raison de son éjaculation quelques minutes plus tôt, quelques gouttes de spermes perlaient de son méat et son gland, grosse fraise boursouflée, semblait encore plus boursouflé qu’avant. Se décalottant entièrement, Jack s’approcha de Shii, assise contre le mur, et la força à se redresser légèrement en la saisissant par le bras. D’un main autoritaire, il lui releva ensuite le menton vers le haut pour qu’elle le regarde. Un bruit mat et mouillé résonna dans la salle de classe lorsqu’il envoya sa belle queue frapper contre la joue fraîche de son élève, y laissant au passage une légère traînée de foutre tiède. « Tiens, suce-moi, petite salope, suce cette grosse queue aussi bien que si c’était celle de ta maîtresse et je te mettrais une bonne note au prochain contrôle », lâcha-il, haletant déjà. S’il ne semblait plus faire attention à Mélinda, Jack l’attendait de pied ferme. En attendant, il promenait son sexe brûlant sur le joli visage de son élève, lui caressant distraitement les cheveux de sa main libre.