Sentir en elle ce membre dur et épais était toujours pour Shii une sacrée épreuve. Oh, certes, c’était délicieux, mais c’était aussi très douloureux. Elle avait réussi à ne pas pleurer, mais était toute rouge sous le plaisir qu’elle ressentait. Elle savait que, selon le code moral établi par sa Maîtresse, elle avait mal agi ce matin en partant si rapidement. Ce n’était pas entièrement de sa faute, elle était mortellement stressée. Elle avait révisé pendant de nombreuses heures, et, dans ce haut niveau de stress, elle n’avait pas voulu se défouler sur ses camarades. Maîtresse le comprenait, et c’était bien pour ça qu’elle se contentait de lui faire ardemment l’amour, d’enfoncer son sexe au plus profond de son corps3. Yeux clos, Shii se laissait aller, son corps rebondissant de plus en plus contre le mur.
Mélinda, de son côté, sentait, au milieu de tout le sang de Shii, de ce sang délicieux et vivifiant, un spectateur entrer. Elle sentit son sang s’échauffer, et eut un léger sourire. Il aurait été tentant de s’arrêter maintenant, mais avoir du public n’était pas pour la déranger. Elle se demanda si ce spectateur était un homme ou une femme, et opta pour un mâle, dans la mesure où une fille serait probablement déjà partie en courant. Mélinda se décolla un petit peu du corps de la jeune femme, et enfonça à nouveau sa queue en elle, tapant contre sa peau, tout en approchant sa bouche du cou de Shii. Elle lécha sa peau chaude, douce, et merveilleuse, sentant la lycéenne se blottir contre elle, repliant les jambes pour les serrer autour des hanches de la vampire. Mélinda tremblait de plaisir.
« On nous observe, ma beauté... murmura-t-elle faiblement dans le creux de son oreille.
- Haaaaa... HAAAAAANNNNN, Maî… MAÎTREEEEEEESSSSSEEEE !!!! »
Un nouvel orgasme traversa le corps de Shii, qui se ratatina sur le corps de Mélinda, poussant un long gémissement qui se tut faiblement en sentant sa mouille jaillir de son corps. Elle soupira lentement , haletant de plaisir, et posa sa tête contre la nuque de sa Maîtresse, l’embrassant, mordillant sa peau. Ce que Mélinda lui avait dit lui revint alors à l’esprit, et elle releva la tête. Sans ses lunettes, et dans la pénombre, elle ne vit toutefois rien, et sentit la Maîtresse agir, tirant sur ses jambes pour les décroiser.
« Retourne-toi, petite traînée, dit Mélinda à voix haute, je vais m’occuper de ton cul. »
Shii rougit devant cette insulte et obtempéra rapidement.
« O-Oui, Maîtresse... »
Est-ce qu’on les observait ? Shii n’avait rien entendu, et il était tout à fait possible que ce soit un mensonge de sa Maîtresse, afin de la perturber. Elle essaya de repérer d’éventuels sons... Quand une claque résonna sur son cul, la faisant hurler. Elle poussa un petit cri de surprise, et une autre gifle s’abattit sur son postérieur, un peu plus ferme, la faisant encore crier, cette fois-ci de douleur. Une troisième gifle jaillit, et claqua dans l’air, remuant ses petites fesses bombées. Shii hurla encore, sentant sa Maîtresse contre elle, son sexe glissant sur ses fesses.
« Tu aimes quand je te latte le cul, hein, petite salope ? »
Shii rougit encore, et une quatrième gifle s’abattit. Maîtresse frappait fort, et elle répondit en fermant les yeux, serrant les lèvres :
« Haaa... Maîtresse, hum...
- Dis-le ! s’exclama-t-elle en la giflant encore, faisant sursauter Shii.
- O-Oui, Maîtresse, ouiiii ! »