La sensation que Pipa ressentit lors de cette anulingus fut impossible à décrire, pour elle, tant la jouissance, l'extase était grande. Elle avait reçu bien des choses, dans cet anus... des bites de toutes tailles, sortant de toutes sortes de créatures, et des godes imobiles ou vibrants... elle n'avait jamais aimée la sodomie. Déjà, elle souffrait pas-mal lorsque les maîtres les plus violents s'en prenaient à elle par son étroite intimité, cela devenait encore pire par son anus qui était encore plus petit. D'ailleurs, le plus souvent, les hommes qui agissaient ainsi étaient les plus violents, ceux qui voulaient vraiment l'humilier et être certains de lui faire du mal. Mais là, la langue humide de Theorem, qui passait en elle avec une telle douceur, faisant en sorte de bien humidifiée toute sa parois et de ne lui faire éprouver que du plaisir... on lui avait si souvent fait du mal que le fait de revevoir du plaisir la rendait vraiment heureuse, euphorique. Elle avait presque envie de pleurer de joie... elle le ferait surement, une fois que l'homme-hyène l'aurait acheté.
Et la suite ne semblait, une fois de plus, faite que pour lui faire du bien... elle avait trouvée le maître parfait, qui ne pensait qu'à son bonheur à elle, en échange que d'une promesse de fidélité, promesse qu'il n'aurait même pas eu besoin d'obtenir, normalement, car Pipa était dressée pour être fidèle envers n'importe quel client et n'importe quel maître qui avait payé pour elle... mais visiblement, cela lui avait fait plaisir, et elle avait obéit avec joie. Theorem était le genre de personne qu'on était joyeux de servir, qui nous mettait en confiance et avec qui on se sentait en sécurité. Guidée par son maître, elle alla s'asseoir sur le fauteuil... le plaisir qu'il lui avait offert l'avait couverte de transpiration, ce qui n'était, visiblement, pas pour déplaire à cet homme. Elle prit cependant soin, instinctivement, d'essuyer les goutelettes qui recouvraient son front, et la salive qui lui avaient couvertes la comissure des lèvres pendant qu'il lui léchait son petit orifice.
La jeune esclave-harpie fut surprise en le voyant sortir un jouet vibrant... les maîtres qui lui enfonçaient ce genre de chose étaient souvent violents, ce qui n'était pourtant pas le cas de Theorem. Mais il lui expliqua par la suite que c'était elle, qui allait se le mettre. Il lui donna même la télécomande... cela voulait dire que c'était elle qui avait le droit de le régler comme elle le voulait... l'amour qu'elle lui portait monta encore d'un cran. Cela voulait dire qu'encore une fois, il n'y aurait pas de douleur, pas d'humiliation... elle allait pouvoir agir comme elle le voulait, pendant que son maître lui ferait du bien. Alors c'est avec joie qu'elle s'exécuta : d'abord, elle plia les genoux, entourant le bord du fauteuil de ses serres, écartant les cuisses et mettant son intimité en-avant... sauf que celle-ci était couverte par sa robe, cachant tout à Theorem, même sa culotte. Et elle fit exprès de glisser délicatement sa main en-dessous, afin de bien tout cacher... le maître voulait de la censure, et bien elle lui en donnait, même avant le moment où il le lui avait demandé, espérant que ce qu'elle faisait lui plairait...
Tendis qu'il la caressait, massait délicatement sa peau blanche et fragile, elle, elle écarta sa culotte et enfonça le jouet, d'abord la pointe, puis de plus en plus profondemment... elle ferma d'abord les yeux en grimaçant de douleur, car il fallait quand-même qu'elle se le rentre... mais une fois qu'il fut en place, elle ne le sentit plus, jusqu'à ce qu'elle le mette en marche. N'importe quel maître l'aurait violemment réglé au maximum dès le début... elle, elle ne le mit qu'à moitié, ce qu'elle trouva particulièrement agréable, et jouisif. Tendis qu'elle restait dans cette position, les serres accrochées au bord du fauteuil et celles de ses mains aux accoudoirs. Sa respiration devint rapidement sifflante tendis qu'elle prenait du plaisir, mouillant à la fois le jouet, sa collute et son corps entier avec sa transpiration, et qu'elle obéit en décrivant ce qu'elle ressentait :
-Je... je ne peux pas décrire ce que vous me faite, tellement c'est bon... jamais personne ne m'a fait autant de bien que vous... vous me faites frissonner de plaisir, vous faites monter en moi une intense chaleur... je ressens une douleur dans l'estomac quand vous me faite ce genre de choses, mais comparé aux autres, ce n'est pas du mal, ni du dégoût... je... je crois que... je vous aime...
En effet, elle le croyait, car elle n'avait jamais ressentit, avant aujourd'hui, une telle sensation... mais elle espérait ne pas se tromper. Cependant, elle se demandait comment allait réagir Theorem après qu'elle le lui ait dit. Avant qu'elle ne puisse entendre sa réponse, elle sentit quelque-chose monter en elle... elle trouvait qu'il veuille qu'elle fasse cela assez particulier, mais bon... tout ce qu'il lui avait demandé était particulier, alors :
-Attention, je... je vais jouir, et... je sens que ça viens...
Elle poussa alors un grand cri de jouissance tendis que son urine passait autour de son jouet, mouillet ses habits et dégoulinait sur le fauteuil...