Neena entreprit de jouer avec moi. Littéralement. Une lueur coquine dans les yeux, elle se mit à genoux. Je sentais une profonde excitation me gonfler à bloc. Persuadé que les choses allaient devenir très intéressantes, je fus décontenancé quand elle s'empara simplement de mon membre. Elle me branlait. Elle était douée, tant pour l'acte en lui-même que pour la patience et la frustration qu'elle faisait naître en moi. Elle voulait que je me languisse. Puis, comme pour se faire pardonner, elle commença à lécher de haut en bas mon membre tendu. Elle était aussi douée avec sa langue. Mais elle s'amusait à me faire attendre et à m'exciter lentement encore une fois. J'allais lancer une remarque pour le lui faire comprendre, mais elle goba mon sexe au même moment. Elle faisait savamment bouger ses lèvres, les refermant doucement sur mon manche. Puis elle entama des va-et-vient, d'abord lentement, plus rapides ensuite. Au moment où je retenais un gémissement un peu plus fort que les autres, elle se retira et et se redressa.
-Passons aux choses sérieuses, sourit-elle.
Mon visage s'illumina également. Elle avait arrêté au bon moment. Un peu plus, et j'aurais craqué. Mais soit. J'étais bouillant, et si elle l'était autant que moi, la piscine allait se vider très rapidement sous l'effet la chaleur.
Je m'approchai d'elle, l'embrassant avec une surprenante passion et la plaquai contre moi. Ensuite, en l'attrapant par en-dessous, les mains bien disposées sur ses fesses, je la levai lentement, sans desceller nos deux bouches. Elle était légère, aussi la soulever ne me posa aucun souci. Une fois qu'elle fut légèrement en hauteur par rapport à moi, je la fis descendre avec minutie, écartant son entre-jambes pour y introduire mon sexe. D'abord le gland qui, une fois bien calé, fut suivi de la totalité de mon chibre. Tout en entamant un processus de montée-descente visant à l'empaler sur ma virilité chauffée à blanc, je la pressai contre moi. Pour maintenir un appui suffisant, et pour contrôler avec plus de précision les mouvements.
À plusieurs reprises, suite à une descente un peu trop brutale, je manquai de glisser sur le sol carrelé de la piscine. Je me remis à m'intéresser à sa poitrine, mordillant de nouveau avec envie ses tétons. Les morsures étaient un plus intenses que plus tôt. Après avoir failli la lâcher à cause d'une glissade impromptue, je décidai d'adopter une position plus efficace. Mine de rien, cette partie-là avait duré presque dix minutes.
Je la mis à quatre pattes, en levrette, et repris mon activité de pénétration. Ah, les appuis étaient meilleurs, il m'était beaucoup plus facile "d'aller au fond des chose". J'essayais de trouver l'équilibre juste entre la douceur et la bestialité, me basant sur ses réactions, avant qu'une idée ne me vienne en tête. Je jetai un regard intéressé à la piscine. Le faire dans l'eau, ça devait être intéressant.
Je continuai néanmoins à la pénétrer dans cette position. Ouais, c'était beaucoup mieux comme ça. Mes mains pouvaient caresser le reste de son corps, tantôt sa vulve, son clitoris et tantôt son corps, sa poitrine ou même ses cheveux. Mes boutades se firent plus insistantes, plus gourmandes. Je guettais toujours une éventuelle désapprobation dans ses gestes ou dans ses gémissements. J'avais d'autres idées en tête. Me mordant le doigt, je laissai un filet de sang s'écouler au sol. Le manipulant, je lui ordonnai de recouvrir mon sexe et de l'enrober totalement. Est-ce qu'elle avait senti la peau de ma queue changer de texture ? Bah, aucune importance.
Une fois le liquide déversé et réparti correctement, je commençai à le faire bouger. Contrôler son sang, c'était ça, entre autres. À chaque mouvement pénétrant, je faisais en sorte que mon liquide rouge effleure à peine les parois vaginales de ma partenaire, et ce à l'aide de microscopiques griffes. Par à-coups, je matérialisai un petit doigt de sang qui venait s'ajouter à mes va-et-vient incessants. Ses excroissances se chargèrent de doigter plus efficacement que n'importe quoi d'autre au monde. J'en dénombrai quatre après une demi-douzaine de minutes. Bien évidemment, mon sang continuait d'à peine caresser ce qui passait autour de mon sexe.
Quand j'en eus assez d'avoir le manche recouvert de sang - qui m'empêchait malgré tout de ressentir l'intérieur paradisiaque de Neena - je le laissai se répandre un peu partout dans son vagin. Il s'agglutinait aux parois. Pour l'instant, seul mon pénis faisait bouger les petites taches sanguines. Puis, tout en intensifiant ma pénétration de manière radicale - plus sèche et plus vigoureuse, tout en empoignant plus fermement sa poitrine - je me mis à faire vibrer, à différentes intensités, chaque boule de sang dans sa chatte. Plusieurs vibromasseurs, certes plus petits, mais plus "directs" et plus proches de l'action.
- Alors... gnnnhh... professeur ? J'me débrouille ... aaaaah... comment, pour l'instan-gnnnh... ?