Phase 1: Violence et meurtre [PV Naisho]

Un autre employé qui meurt… Bordel, il ne pouvait pas attendre avant de faire une crise cardiaque ce salopard de concierge? Comme je suis propriétaire de l'immeuble et que je loue l'endroit d'en haut,  et mes locataires sont venus me demander si je comptais remplacer le vieux concierge dans les jours à venir… J'ai donc lancé une petite annonce dans les journaux, quelques candidats se sont présentés, mais j'ai décidé d'en engager un plus jeune. Ce Naisho Yujima était certes un peu étrange, mais il me faisait penser un peu à moi lorsque j'étais jeune. Qui sait, peut-être pourrait il même devenir mon disciple? Eh bien, cette histoire raconte comment il l'est devenu et ce, bien malgré nous deux.

C'était un Jeudi, et le lendemain, c'était congé, alors j'allai à la rencontre de mon nouvel employé.

Bonsoir, Naisho. Voilà votre paie, je dois partir plus tôt, j'ai un rendez-vous chez le médecin, alors je ne reviendrai pas ce soir… Je vous souhaite donc un beau week-end de trois jours… Et on se revoit Lundi!... Au fait, n'oubliez pas d'épousseter mon vieux bureau, je vous en remercie à l'avance.

Évidemment, le rendez-vous n'était qu'une excuse, une simple couverture, car j'allais chez un témoin qu'un client m'avait demandé d'éliminer, car il en savait trop. Déverrouillant automatiquement, à l'aide d'une commande à distance, les portes de mon Audi R8, je pris place côté conducteur. La voiture décolla dans un léger grondement. La vitesse augmentait graduellement et, à chaque changement de vitesse, le son se faisait plus grave… Jusqu'à ce que j'atteigne les 100 kilomètres/heure. J'allais assez rapidement, compte tenu du fait que j'étais dans la ville de Seikusu et non dans un chemin hors ville, mais il n'y avait jamais de policiers dans le Quartier de la Toussaint, trop dangereux pour eux.

Merde, mon téléphone!

J'avais oublié mon téléphone dans mon cabinet, je pris alors une rue perpendiculaire à celle que j'étais puis retournai en vitesse chercher le cellulaire, qui devait être resté sur mon bureau…

Je me garai juste en face de mon établissement, puis, en descendant de la voiture, j'entendis des drôles de bruits, émanant de la ruelle, juste à coté de mon cabinet.

C'est là que je le vis

Et oui! Le jeune Naisho c'était trouvé un boulot pour se changer les idées encore plus, concierge...pas si mal quoi, au moins il travaille et ne pense plus à ces mauvais trucs. Son patron s'appelait Hiro. Il dégageait un charisme respectable, il n'avait pas l'air de se laisser marcher pour les pieds, mais semblait quand même un homme bon et normal. Naisho ne se doutais pas encore à quelle point il était dans l'erreur...


Son patron était donc partit pour le reste de la journée et Naisho allait être occupé pas mal durant ce moment. Il avait décidé de commencer par le bureau de Hiro, quand il entendit du bruit par la fenêtre. Il regarda par la fenêtre et vit deux hommes qu'ils connaissaient. Environ son âge, il les avait rencontré dans un centre commercial, ils avaient fait leurs gars trop cool pour laisser un fan de littérature dans la même place qu'eux. Sauf qu'ils étaient 3, manque le moins bavard d'entre eux. Ils s'approchaient de l'immeuble, Naisho décida donc d'en sortir et aller les voirs.À peine eux-t-il franchit la porte qu'il fut empoigné par le chef de la gang et se fit bousculer a quelques reprises.


Encore toi?! Tu es toujours dans nos jambes hein?! Tu me dis ce que tu fais ici hein?! Tes mieux de me dire ou ce connard est aussi!

HEy les gars, calmez-vous, je suis jutse un concierge! De quelle connard vous parlez?

De qui ont parle ? Non mais tes définitivement con toi!

Ouai, vraiment con, tes parents t'ont pas élevé ou quoi? Ils devaient...

Naisho poussa le chef et attrapa l'autre par le col, décidement, deuxième rencontre et deuxième fois qu'il fait sa.


Tu ne parles plus de mes parents toi! Tes deux têtes moins grandes que moi, tu a de la difficulté a te mouvoir correctement dans ces vêtements trop amples, alors croit-moi, que tu n'as pas envie de mettre un joueur de football Européain, de football us et de hockey en colère!

Les deux hommes semblaient particulièrement surpris de la réaction de Naisho, mais le chef se reprit et s'avança de nouveau vers lui.

Eh oh mec! Tu sais à qui tu t'adresse là? Hein? Tu t'adresses à deux des personnes les plus populaires de la ville! Tu nous attaques et ta vie est finit!Le lycée? Tes morts si tu y retournes et qu'ont à parler de toi en mal! Le centre?Pareil! Alors, si tu veux pouvoir sortir de chez toi et continuer ta vie des plus ennuyantes, tu le lâches maintenant et ont te pose les questions!

Naisho hésite un instant et finit par lâcher le gars...avant de ce recevoir un coup de poing dans le ventre, suivit d'un autre à la tête une fois qu'il fut penché. Les deux hommes le poussère vers la ruelle et le chef sort un couteau de sa poche.


Ok mec, la tu vas être très gentil avec nous et nous donner les informations qu'ont veux savoir. Uno! Où est ce foutu Hiro?

Il est parti, il reviens pas du week-end, vous l'avez manqué de peu!

Tu te fout de ma gueule la hein? Tu te fout de moi? Un avocat qui part comme sa?

Il a un rendez-vous chez le médecin, ces pas de ma faute a moi!

Toi aussi tu vas avoir besoin d'un rendez-vous là-bas bientôt mec!Notre ami a été inculpé à cause de cet idiot et de sa firme d'avocat minable! Tu te rends compte? Ont inculpe pas un de nos gars, même quand il est coupable! Il fait du mal à un de nos gars... ont fais du mal à un de ces gars!

Il donna un coup de genoux dans le ventre de Naisho, suivis d'un au visage. Il pris son couteau en main, , la gorge de Naisho dans l'autre , il prend son élan, quand il entend une voiture s'arrêter près de la scène. Il fait signe à son ami et les deux commencent à fuir, sans se douter que c'était l'homme qu'ils voulaient attaquer qui arrivait. Naisho était penché et se tenait le nez qui souffrait du dernier coup.

Le jeune homme dont parlaient les agresseurs de Naisho s'était fait piéger par mon client. Il avait accepté le job comme étant un simple braquage, mais s'était fait arrêter pour meurtre au premier degré, crime commis par mon client qui n'avait eut qu'une peine de 100 jours, pour vol non armé, tandis que l'autre devait purger une peine d'au moins dix ans, avec possibilité de libération conditionnelle. Pour un meurtre, c'était peu certains me diront, mais l'avocat du jeune homme a ardemment défendu son client en insistant sur le fait que le meurtre n'était pas volontaire. Pourquoi ne pas avoir dit qu'il était innocent du crime qu'on l'accusait? Simplement car il avait reçu des pressions de tous les gros bonnets des industries peu recommandables, disant que s'il parlait, ils allaient éradiquer sa famille… Il était soudainement devenu beaucoup moins bavard que ne laissait entendre sa réputation.

Naisho était en sang, il avait besoin d'un peu d'aide, et ma compassion face à ce jeune homme m'avait poussé à m'approcher dans cette ruelle et lui prêter main forte. Évidemment, j'avais une bonne idée de ce qui s'était passé.

Naisho, que vous est il arrivé bon sang? Je vous amène dans un petit logement, non loin d'ici… Dites moi, qui vous a fait ça?

Avec mon aide, il parvint à se relever, se rendre jusqu'à la voiture puis s'assit dans l'auto. Je le fit patienter un instant avant d'aller chercher mon cellulaire dans le bureau.

En chemin, Naisho m'expliqua ce qui était arrivé, la raison pour laquelle il s'était si soudainement fait attaquer et sans raison apparente. Je soupirai.

Désolé de t'avoir entraîné là-dedans.

Je décrochai alors mon téléphone, pour ensuite composer un numéro: C'est moi, tu sais ce garçon qu'on a mis en prison il y a trois jours? Eh bien, ses amis n'ont pas saisi la donne, passe un message clair à l'intérieur des murs. Excellent.

C'était un petit appartement que j'avais acheté, et que j'utilisais dans les moments qu'il me fallait rester assez longtemps dans le Quartier de la Toussaint. J'y amenai le jeune concierge à l'intérieur, lui indiqua la salle de bains pour qu'il se lave et prenne tout ce qu'il a besoin pour ses soins, puis l'invitai à venir me rejoindre dans le salon.

J'étais debout, accoté au mur, un verre de whisky à la main, puis je soupirai.

Écoutes…Je veux t'offrir mon aide pour les retrouver, ceux qui t'ont fait ça, je suis sûr que tu ne veuille pas les laisser te persécuter ainsi… Je peux te montrer comment te défendre, et même les battre à leur propre jeu… Ça prendra du temps, mais je peux t'enseigner l'art de la vengeance… Il te faudra simplement passer un test…

Je lui laissai le temps de digérer ce que je venais de lui dire, puis je pris la direction de la porte.

Alors, tu veux que je t'aide?

Naisho avait passé un bon moment dans la salle de bain pour essuyer son sang . Il s'était recousu du mieux possible une plaie aux niveaux des lèvres, c'était pas exactement comme avant mais c'était bien. Sa mère l'avait appris à coudre, un peu évidemment, elle était trop occupée pour prêter attention à son fils à ce moment-là. Il hésitait un peu avant de sortir de la salle, la suite l'effrayait un peu. Il avait l'impression que quelque chose allait se produire et que ce n'était pas nécessairement bien. Il finit par sortir et rejoignit Hiro dans le salon. Les paroles de l'avocat était assez intrigante . Les battre à leur propre jeux? Finir la persécution? Mais surtout... le test. Hiro lui donnait du temps pour pensés et Naisho en profitait pour trouver sa réponse. Il était à la fenêtre qui montrait la rue. Un endroit sale, mauvaise réputation, s'il restait plus de cinq minutes devant cette fenêtre il pourrait sûrement voir une scène de crime, peu importe de quelle sorte. Il eu un dégoût en y pensent, ce qui n'arrivait habituellement pas. Il se tourne vers Hiro quand il lui pose sa question , mais ne lui répondit pas immédiatement. Il retourna son regard à la fenêtre et vu son reflet dedans. Pendant un moment, il s'imaginait comme Hiro, verre d'alcool à la main, style classe et déterminer, le regard du champion. Il aima cette vision et s'approcha de l'avocat.

Je voudrais bien savoir c'est quoi le test et ce qui pourrait m'arriver si je l'échoue, mais peux importe les réponses... je suis intéresser.

Il regardait Hiro avec un sourir en coin, une rare fois que l’homme d'affaire  pouvait voir Naisho avec un air si confiant. Il y avait une lueurs dans les yeux du jeune Yujima,  de la détermination comme il n'e avait jamais eux avant.

J'en ai marre d'être traiter comme si j'étais une blague... je veux être plus que sa Hiro. je ne suis pas un déchet, j'éspèr que tu le sais. Tu semble l'avoir remarqué... j'éspèr être à la hauteur.

On aurait dit qu'il hésitait, et je ne lui avais même pas parlé ce en quoi consistait le test que je voulais lui faire passer. Ça augurait mal, mais, au fond, qu'est-ce que je pourrais bien faire de lui si jamais il ne voulait pas? Bien sûr, il y avait bien le pistolet à portée de main, ou encore l'étrangler et faire croire à un asphyxie sexuelle, y'avait plusieurs possibilités.

Soudain, il revint près de moi, me disant qu'il était intéressé, mais qu'il voulait aussi connaître la nature du test que je voulais lui faire passer. Je souris en coin, avant de traverser le petit appartement pour me poster devant une chambre, lui faisant signe d'approcher.

Lorsque je l'ouvris, j'offris à Naisho une vue particulièrement sombre; d'un côté de la pièce, il y avait des armes à feu, des couteaux, des explosifs et quelques mallettes en métal, renfermant des seringues et plusieurs liquides, comme de l'adrénaline ou encore des poisons. De l'autre côté, il y avait des photos d'un homme dans la cinquantaine, souffrant de calvitie. Les photos le représentaient dans beaucoup d'endroits différents; à son travail, chez lui, au resto, il y en avait même une où il faisait l'amour à sa femme.

C'est lui ton test. Iki Iratsune a été témoin dans une histoire de drogue, et il est la seule preuve fiable que mon client ait été impliqué dans ce dossier. Tu comprends ce qu'il faut faire. Avant de t'enseigner ce que tu souhaites, la vengeance, tu dois savoir tuer de sang froid, de manière à ne laisser aucune trace. Maintenant, viens, on a de la route à faire. Prends la mallette noire et nous pourrons partir.

Je n'avais pas mentionné ce qui arriverait s'il échouait, mais j'avais arrêté ma décision sur, je l'épargne et le laisse travailler encore pour moi, quelques temps, mais il n'aura jamais sa vengeance. Donc, il n'avait rien à craindre de moi, à moins qu'il aille alerter la police, ce qui serait une chose stupide à faire.

En route vers la cible, je me décidai à briser le silence.

Malgré ce que tu as vu, je t'assure que tu n'as rien à craindre de moi, je ne suis pas un assassin ordinaire, qui tue pour aucune raison.

Puis, laissant la tête du jeune homme se concentrer uniquement sur le test, je lui dis, d'un ton posé et calme.

N'importe quel imbécile peut appuyer sur une gâchette… La mallette que tu tiens a une seringue et une dose d'adrénaline. Plante la au bon endroit, et sans que la victime ne se rende compte de rien, et tu auras réussi le test. Tu comprendras qu'il ne faut laisser aucun indice de notre présence dans cette demeure…

(hg: Ce post sera corriger demain, mais puisque j'avait finit d ele faire e tque j'ai dut passer l'ordi, je l'ai poster maintenant.)


La surprise de Naisho avait été grande sur le coup Il allait devoir tuer un homem qu'il ne connaissait pas? En plus, cet homme était un innocent, qu'elqun qui n'avait rien fais d emal. Si Naisho accomplissait l'acte, ces lui qui était un méchant, pas l'autre.  Il regardait les photos pour être sûre de reconnaitre l'homme , même si celle de la scène de sex il l'évitait un peu. Il regardait aussi les armes par la suite, décidemment , il était chez un pro.  Il se force à se rappeler du nom de la personne et son objectif précis.  Il prit la malette et ils fûrent sur la route.  Les paroles d'Hiro était un peu rassurante, Hiro n'étais pas un fou, ou en tout cas, pas dans el style fou comme le père du jeune Yujima.  Mais il n'y penssa pas longtemps. Il était concentrer sur l'objectif, le test. Il devait penser à tout, ne rien n'oublier, prévoir quoi faire et trouver des plans de secours.   ILs étaient maintenant rendut devant là maison de l'homme. Naisho décendait de la voiture et prit la malette. Sauf qu'il semble avoir eux une réflexion aux dernier moment et parlait assez fort pour que Hiro l'entende, mais pas ceux dans leurs maison.

Sa serait étonant qu'il me laisse entrer chez lui, il ne me connait pas. Je ne peux rentrer par infraction,  sa serait pas subtile et sa pourrait pas parraître pour une mort naturelle. Le seul moyen...ces de le faire sortir.

Naisho regardait un moment Hiro, il n'hésitait pas, il n'allait pas lui parler, non, il s'inspirait de lui. Il devait paraître gentil, prêt à rendre service, mais en fait vouloir avoir qu'elque chose à son avantage. Il prit l'aiguille et la met par-dessus sa main , entre la partie de son corp et la manche de son chandail. Il fit un signe de tête pour dire qu'il était prêt et vas vers la maison  d'Iki.  Il ce parlait à lui-même, à voix haute, prêt de la porte de sa victime. Il parlait comem si c'était sa première vente et qu'il essayait de ce convaincre d,être capable. Il savait que l'autre était jsute derière la porte, il avait entendu du bruit. Il observait la porter, la poigner,  c'était du style  qu 'il faut cliquer sur le haut, empoigner et tirer. La porte finit par ouvrir et l'homme sortit, souriant. Naisho feint la surprise.

Oh, je ne voulais pas vous fair peur!

Ah non, tout vas bien voyons, j'étais seulement concentrer ces tout.

La discution partit sur un produit de beauté que Naisho avait supposément dans la valsie qu'il avait volontairement laisser près  de l'auto. 

Oh, que suis-je bête! J'ai oublié de me presenter, je suis  Mashario Aburame!

''Mashario'' fit le salut japonais ,mais  ''trébuche'' sur  M.Iratsue.Il ce relève et regard el'autre en faire de même. Ils était tombé dans l'entré de la maison.

Je suis vraiment désoler monsieur, est-ce que tout vas bien?

Oui oui, sa vas, sa peux arriver à tout le monde.

Parfait, je vais chercher la valise avec le produit, je reviens après.

Il sortit de la maison alors que l'homem alla s'asseoir surson fauteil. Naisho prit la valise prêt de l'automobile et fais signe à Hiro d'attendre une minute. Il rentre dans la maison et vois l'homme au sol, main sur le coeur entrain de faire uen crise cardiaque ou un truc du genre. Il attend que l'homme arrête de bouger et ressort. Il prend son soulier et le rentre à l'endroit qu'il est senser emttre pour tirer et ferme la porte avec. Il repart à l'auto et rentre dedans du côté passager. Il  ne regarde pas Hiro sur le coup.

Je lui est planter dans le coeur en faintant une chute... j'ai attendu jusqu'à ce que je sois sûr qu'il soit mort. J'ai ni laisser la valise ni la seringue dans la maison.  Je n'ai toucher à aucun meuble ni objet. Même la porte n'a pas été touché par moi.

Il regardait à l'horizon, l'expression vide et ce passe une main sur le visage. Son expression avait changé: Il souriait. Il regarde Hiro.

Je crois que j'ai été bon, tu en penses quoi?

Je le regardais faire, de loin, dans la voiture, à vérifier comment il se débrouillerait tout seul. Le plus dur, lorsqu'on tue quelqu'un pour la première fois, ce n'est pas le meurtre, c'est l'anticipation avant, et la gestion de l'adrénaline après. C'est comme ça toutes les fois, jusqu'à ce qu'on s'y habitue, jusqu'à ce que le meurtre se fait tout seul, comme si c'était une seconde personne en nous qui appuyait sur la détente, ou encore poussait la chaise pour laisser les pieds du futur cadavre pendouiller dans le vide.

Alors que nous partions, pour retourner à l'appartement, Naisho me raconta tous les détails de son méfait, comme un enfant qui venait de goûter aux sucreries pour la première fois. Pour toute autre personne qui éprouvait des sentiments et que leur disciples leur racontait la manière dont ils s'y étaient pris, ils auraient tous sourit, mais moi je savais que le travail n'était pas terminé.

Je sais, je t'ai vu la sortir, d'ailleurs, une chance qu'il n'y avait pas de voisins aux alentours. Première leçon; ne tue jamais au grand jour. Même ce qui aurait semblé être un accident, s'il y a des preuves que l'accident ait été commis volontairement. La dernière personne près, physiquement, de la victime est le suspect numéro 1. Arrange-toi pour te retrouver à l'intérieur, loin des fenêtres ou encore loin de ta cible lorsque tu tues.

Les yeux toujours rivés sur la route, je sortis mon portable de ma poche de manteau et lui tendit

Impossible à retracer, appelle la police et parle leur de la crise cardiaque. Tu viens de réussir ton test.

Une fois arrivé à l'appartement, je garai la voiture et nous sortîmes de celle-ci, avant de grimper les escaliers et nous retrouver à l'intérieur. De là, je lui fis signe de me suivre, où lui et moi retirions toutes les photos de l'homme mort avant de les brûler, une à une. Je me faisais une obligation de faire ça, comme si le travail reposait sur cet obscur rituel… Une fois terminé, je lui tendis une mallette, contenant un demi million de Yens, soit quatre mille cinq cent euros.

Voilà pour toi, pour le travail que tu as fait. Maintenant, la prochaine étape, c'est de se reposer. Tu resteras ici, le temps que tu aies terminé la mission que tu t'es incombée. Le frigo est plein, il y a le satellite pour la télé, tu y seras bien. Juste te rappeler que tu as une mission. Quant à moi, je retourne chez moi, le quartier de la Toussaint m'a toujours tenu en horreur.

Je quittai alors l'appartement pour finalement quitter ce Quartier mal famé. Si c'était un test? Bien évidemment; S'il fuyait avec le fric, il était mort. S'il tentait de tout dire à la police, il était mort, ou en prison, dépendamment si c'est moi ou les flics qui l'attrape en premier… S'il restait tranquille, là il réussissait.