Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Ride the white horse [Pv. CORA]

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Cora Travers

E.S.P.er

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 45 Aujourd'hui à 13:17:24

Ryo n'y allait pas de main morte… Et la mutante adorait ça, trempant le parquet autant avec le foutre qui coulait de sa fleur ravagée qu'avec la cyprine qu'elle produisait en abondance. Lâchant périlleusement les cuisses du flic pour se conformer à son ordre, elle manqua de s'étouffer plusieurs fois tandis qu'il redoublait d'ardeur et de violence. Encore une fois, ça ne lui déplut pas, malgré les larmes qui coulaient de ses yeux, la salive qu'elle ne pouvait pas avaler et qui inondait son menton, malgré la dilatation obscène de sa gorge délicate.

Le manque d'arrivée d'air à ses poumons se faisait ressentir parfois, mais elle trouvait toujours le moyen d'inspirer par à-coups alors qu'il ressortait, profitant du bref laps de temps qu'elle avait avant qu'il ne revienne investir la place. Elle ne devait pas avoir fière allure, par contre, ressemblant probablement à la pire des catins après un passage avec un forcené comme Ryo. Et elle s'en fichait complètement. Tant que son amant la trouvait désirable, elle n'avait rien à y redire.

Cora acquiesçait bien évidemment de tout cœur avec les affirmations du grand flic. Sans pouvoir répondre, cependant, elle l'exprimait par des gémissements étouffés, étranglés, des borborygmes bien salaces. La douleur de sentir sa gorge ainsi écartelée par le chibre démesuré du colosse se mêlait au plaisir de se faire utiliser de la sorte par celui qu'elle se surprenait à aimer, se mélangeait avec ses désirs indécents de sexe hard, sale et torride.

Quand Ryo cala sa tête contre l'appui de fenêtre, qu'il se donna à fond dans son but de lui détruire la gorge à grands coups de son épaisse trique veineuse, la blonde manqua d'avoir un haut-le-cœur avant de se reprendre, de contrôler les réflexes de sa trachée malmenée. Du coin de l’œil, malgré les larmes qui rendaient sa vision floue par instants, elle se rendit compte que le pervers d'en face venait de repeindre sa vitre abondement sans cesser de filmer le spectacle scabreux que le couple lui offrait. Il continuait de branler son sexe mollissant, espérant retrouver sa vigueur pour profiter de la suite.

Quelque part, même si elle détestait ce gros pervers dégueulasse, la jeune femme ressentit un frisson de plaisir à l’idée qu'il ne pouvait pas s’empêcher de profiter de la scène licencieuse devant ses yeux. En bas, dans la cour, un promeneur leva les yeux. Il détourna vite le regard de la vision du gros pervers qui malmenait son sexe poisseux et tomba sir l'image de Cora en train de se faire sévèrement ramoner la gorge. La8, il ne détourna pas les yeux, étrangement fasciné par le déploiement du flic blond qui martelait avec vigueur la petite gueule de la mutante.

Empêchant son chien d'aller courir devant, le promeneur prit place sur un banc, dans un renfoncement, et frotta une main contre la bosse dans son pantalon de survêtement. Il ne tarda pas à sortir également son chibre, après avoir vérifié que personne d'autre n'était dehors. Et alors qu'il commençait à s'astiquer furieusement, Cora sentit que Ryo commençait à lui remplir l’estomac de son foutre chaud.

Elle ne pouvait pas déglutir, mais ça coulait de toute manière directement dans sa trachée dilatée. Ses grands yeux bleus larmoyants fixaient le flic avec ce qui se rapprochait d'un sentiment d'adoration, redoublant les bruits mouillés et étouffés de son plaisir lancinant. Elle reprit de grande gorgée d'air, s’étouffant à moitié, quand il se retira pour continuer d'éjaculer en lui aspergeant le visage. Les yeux fermés, elle lui offrait ses traits avec volupté, la bouche ouverte et la langue sortie pour avaler ce qu'elle pouvait.

Il y en avait partout, autant sur la mutante qu’à côté. Le ménage devra être fait complètement. Haletante, elle ne voulait toutefois pas s'arrêter là. Avec un gémissement, elle se redressa pour se mettre à quatre patte, de profil par rapport à la fenêtre, et secoua sa croupe en levant un visage défait, souillé, mais suppliant vers Ryo.

« Fuck, Ryo… Éclates-moi le cul maintenant, s'il tr plaît… Supplia-t-elle d'une voix cassé, les sons provoquant une douleur sourde en faisant vibrer les tissus enflammés de sa gorge. Faisons profiter nos spectateurs de ce qu'ils ne voient que dans leurs fantasmes les plus dépravés… »

La nympho-Cora était lancée, après tout. Elle n'allait pas s'arrêter en si bon chemin. Et avec toute la mouille et le sperme qui couvrait ses cuisses, qui avait coulé contre son fessier quand elle était agenouillée, l'insertion devrait se faire sans mal. Elle avait déjà hâte de sentir le flic lui pilonner le cul, de le sentir réarranger ses entrailles pour qu'elles s'adaptent à son mandrin délicieux.

« Souilles-moi, Ryo, montres-leur que je suis ta chose, aaah, je t'en supplie ! Fais-moi jouir en me dilatant la rondelle ! »

Poussant le vice jusqu'au bout, la blonde déverrouilla la fenêtre pour que les sons portent au-dehors.
cc99ff - Paroles de Cora.

Ryo

Humain(e)

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 46 Aujourd'hui à 16:40:49

Ce n'était pas normal. Leur relation était hautement toxique, corrompue, dépravée, égoïste et totalement inhumaine. Mais c'était la leur. Ryo n'avait que peu de choses lui étant propres. Son job régissait sa vie, et sa vie dépendait de son job. Son loft, ça restait quatre murs et un toit. Son pognon: il s'achetait de quoi bouffer, se payait des putes de luxe, et changeait chaque année les pneus de sa caisse. Il n'avait plus de famille, ses amis ou en tout cas ses relations, pouvaient lui planter un couteau dans le dos à n'importe quel moment et il ne passait jamais de soirée sympa avec ses potes: il n'en avait pas. Ryo était un homme seul, prisonnier d'une cage qu'il avait lui même érigé, corrompu qu'il était par la facilité et l'opportunisme. A une époque, il avait été un bon flic mais c'était il y a longtemps. Aujourd'hui, il vivait et parfois, quand il buvait trop de bourbon, il se demandait s'il n'était pas temps que cela cesse.

L'arrivée bordélique de Cora dans sa vie avait permis la résurgence de sentiments anciens, depuis longtemps oubliés, et d'émotions qu'il croyait à tout jamais bannies de son être. Il ne s'était pas ramolli, loin de là, mais il avait changé. Assez pour que parfois, cela se remarque.
Chez lui, le concernant et il en était conscient sans pouvoir rien y faire, cela exacerbait ses désirs et sa volonté de la déboiter sans limites. Il s'était attaché à son corps, à sa façon d'être, à sa connerie attachante quand elle ne se prenait pas au sérieux. Il passait son bras autour de sa taille ou de ses épaules quand ils se baladaient, ce qui était aussi nouveau pour lui. A sa manière, par son attitude possessive, il montrait son attachement et avait cessé de lutter contre lui-même. Il avait cette salope dans la peau et dès qu'il pouvait la troncher, cela finissait en carnage sexuel.

C'était le cas aujourd'hui. Il lui avait fait subir des sévices fabuleux. Elle dégorgeait de foutre, son corps en expulsait par paquets compacts. Son visage de chienne, aussi adorable que bon à souiller, dégoulinait de sperme. Une épaisse couche s'étalait sur sa peau, persistante, plus simple à racler qu'à nettoyer.  Cora avait du foutre dans les cils, des mèches de ses cheveux courts étaient collées et aplaties tandis que d'autres pointaient chaotiquement. Elle avait les yeux rougis, larmoyants, vitreux d'avoir trop forcés . Elle sentait fort et ses lèvres lustrées brillaient de dépôts masculins.

"Trop bonne à niquer."

Elle suivait une logique imparable: sa chatte explosée, sa gueule ravagée, ... ne manquait plus que son fion à détruire. Elle s'installa dans ce sens et Ryo fut aussitôt sur elle, un peu trop brusquement même. Il fallut qu'elle s'accroche pour ne pas s'effondrer sous lui. La pénétration anale fut brutale. Ryo enfonça dans ce cul divin son mandrin comme un fer chauffé à blanc dans du beurre mou. Son bassin s'écrasa contre le fessier de l'américaine et il sentit son gland heurter un truc un peu dur, dans le fond. Rien à foutre! Il recommença et la fanfare s'activa. Il l'étouffa de sa grosse main sans parvenir à contenir tout ce qu'elle avait besoin de gueuler. Les deux débiles dehors s'étaient rapprochés, captivés, hypnotisés. Impensable d'imaginer ça dans ce putain de pays de coincés!

"ARGH! HAN! HAN! HHAAA!"

La furie furieuse de Ryo actait une sodo traumatisante. Sa grosse queue pulvérisait la rondelle de Cora qui n'avait plus rien d'élastique. Il pompait dans une masse molle et modulait le bide de Cora en fonction de l'orientation de ses coups de reins. Quand il ne la cognait pas, il se fichait en elle et remuait pour mélanger la soupe. Il se redressait, soulevait Cora qui pendait devant lui comme une serviette mal essorée.
Il lui avait craché sur le dos, avait tiré sur ses bras pour la contraindre à des positions soumises dures à encaisser. Il lui pétait sa boite à merde, l'enculait comme la dernière des putes et s'apprêtait à se vider encore une fois en elle. Cora était son vide burnes. Il l'éclatait comme jamais.


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