Une danse [ Pv ]

Il pouvait tout ressentir... Arés avait depuis longtemps, aquit la faculté d'empathie, ressentants les sentiments enfouits, en sa présence, inutile de cacher ce que l'on ressent, le Dieu de la guerre avait pouvoir de lire en tout... Et ce qu'il pouvait capter en ce moment ne faisait que faire encore monter la chaleur de la piéce... Hera apprécié, et cela ne faisait que redoubler le plaisir de la divinité. Sans attendre plus longtemps, il accéléra ses mouvements, sa langue se fit plus taquine, ses gestes plus precis, aspirant parfois son bouton, le mordillant, ses doigts rejoignant bien vite sa bouche, dans le but de passer un niveau supplémentaire pour la Reine... Il la regardait, elle etait magnifique quant elle soupirait son nom, il ne pouvait plus s'en passer, tandis qu'un doigt approché de la vulve brulante de la déesse... Il joua quelque instant, a tourner autour, sans y entrer...Mais lui aussi devenait impatient, et le doigt finit par s'engoufrer, dans la cave au merveille d'Hera... Il sentit cette chaleur, et l'humidité de plaisir... Le doigt entra facilement, et commencérent alors les doux va et viens, de son index sulfureux...

Sa langue elle, continuait de jouer inlassablement. Il voulait la voir soupirer, le desirer comme jamais elle n'avait desirer aucun homme... Arés devenait maintenant egoïste... Oui, Hera devrait se souvenir de lui, plus que de quiconque... Un desir bien étrange pour un Dieu qui collectionné les aventures, les humaines et les pretresses... Mais avec la Reine... Tout etait differant ce soir. Il gouté a son intimité avec gourmandise, sa langue entrant parfois a la place de son doigt, avant de revenir sur son bouton de plaisir...

Un second rejoint alors le premier, et d'un geste plus sec, plus brutale, les jumeaux entrérent en elle, et commencérent a nouveau un va et vien, bien plus soutenue que le premier... Il la regardait encore et toujours, sa main libre partant prendre un de ses seins, le massant vigoureusement... Il la voulait... Il etait decidé a se laisser aller a ses pulsion avec celle qu'il avait toujours considéré comme inaccessible... AUjourd'hui il avait cette chance la, il ne comptait pas la gaspiller... Sa Mére... Le coté incestueux l'excitait méme, et le risque d'étre prit par un Mortel dans cette salle egalement...

Tout pour rendre ce moment si... Intense. Il finit par lacher son bouton, remontant vers elle, pour echanger un baiser sulfureux, se collant contre son corps, ses doigt eux, continuant d'aller et venir dans la vulve de la Reine... Il accéléra, il les entra de plus en plus loin, rendant les mouvements bien plus profond et intenses... Il sentait son membre réagir a ses soupirs de plaisir, tandis que sa langue, au gout de cyprine, vient caresser celle de sa mére... Elle etait sublime ce soir..

Il était clair de refouler, avec Arès, était impossible et impensable. Il vous perçait à jour comme quiconque, et pouvait deviner chacune de vos pensées, surtout celles que vous vouliez garder discrète, au fond de vous. Et là, en particulier, elle se pouvait pas se calmer. Chaque partie de son corps était brûlante de désir, chaque parcelle de sa peau pouvait brûler. C'était un plaisir unique ... D'une main, elle agrippa le siège où elle était assise, et griffa avec violence le cuir, l'éventrant, tandis que sa bouche relâchait des soupirs et des gémissements doux. Ses muscles, tendus au possible, relâcher toute l'envie et le désir qu'elle contenait en cet instant même. Elle réagit avec un léger cri quand elle sentit les doigts du dieu s'insinuer en elle, et , au moment même où, accélérant, il se préparer à lui donner le coup de grâce, elle attrapa ses lèvres, l'embrassant comme jamais, le maintenant contre elle.

C'était plaisant, et délicieux. Elle était ainsi légérement secouée par les vas et vient, et se maintenait contre son fils, ne lâchant pas ses lèvres. Elle en avait tellement envie ... Sa main droite vient se coller à la nuque d'Arès, tandis que la gauche, tendre et maligne, caressait son torse, le libérant de sa chemise en faisant sauter les boutons de sa chemise blanche, et s'engouffrait sur sa peau brûlante, glissant doucement pour ouvrir son pantalon, avec toujours autant de délicatesse, sans quitter ses lèvres attirantes.

Sa main, taquine, commença à descendre afin de fournir des caresses à cet endroit si précis du corps de son cher fils, tandis qu'elle se sentait, doucement, jouir sous les effets dévastateur des doigts d'Arès, lâchant un instant les lèvres du dieu pour lui griffer la nuque dans un soupir de plaisir intense, qui fit sursauter son coeur.