Soirée tardive ... [ Anima ]

Erwane eut un léger sourire, puis se cala davantage contre Anima. Hum, à jouer ainsi avec elle, il lui donnait une impression qui lui plaisait, et un manque qui montait violemment en elle. Elle rougit en entendant sa remarque, et en resta charmée et conquise. Que ces mots, accompagnés de tels gestes, étaient agréables et splendides ! Elle resta toute contre lui, encore, tandis qu'un nouveau sourire plus grand venir naître sur sa figure. C'était délicat, et même délicieux. Erwane ne put s'empêcher d'avoir un petit soupir, tandis qu'un tressautement apparaissait le long de sa peau. Elle aimait tellement rester ainsi, contre lui ...

Elle le laissa approcher son cou et ne put réagir que par des sourires ou des mouvements un peu brusques dut à l'excitation et la sensation qui la retenait dans cette pièce.

- Comme tu dis ... répondit-elle sans que le sourire ne quitte son visage.

C'était un moment idyllique : milles et uns baisers, milles et une caresses, juste un autre monde à portée de main, que l'on peut effleurer avec une douceur exquise ... Une douceur exquise, oui ...  C'était l'expression parfaite.

Toujours la tête contre son cou, Anima savourais ses paroles, aussi courtes fussent-elles. Il appréciait tant écouter le son de sa voix… Si envoûtante, si mélodieuse. Remettant son visage en face d’elle, il en profita pour passer sa langue sur les lèvres d’Erwane sans pour autant l’embrasser une nouvelle fois. Il voulait à nouveau voir sa réaction. Et, tout en souriant, il l’obligea à reculer lentement, très lentement. Il resta contre elle, sans lui laisser les moyens de bouger – et apparemment, elle n’en avait pas non plus envie.

Les jambes de l’humaines touchèrent le rebord du lit. Anima l’obligea délicatement à l’allonger sur le lit. Lui-même, à genoux sur elle, il la regarda intensément de son unique œil. Il vint chercher à nouveau ses lèvres, se liant ainsi une nouvelle fois avec elle. L’envie montait en lui, mais il ne voulait rien brusquer. Il avait peur que, si il allait trop vite, elle s’en irait, le laissant seul, à nouveau… Il se fit le plus doux possible, laissant aller uniquement ses ronronnements qui variaient d’une action à l’autre.


[Sorry, un peu court cette fois :/]

( Pas de soucis  )

La jeune fille n'avait aucune envie de déguerpir. Même s'il se transformait en véritable monstre, elle se sentait capable de rester. Comme si elle était enfermée - parce qu'elle le voulait - dans cette pièce, avec cette personne. Qu'il n'y avait ni porte. Juste une fenêtre qui offrait la lumière d'une lune ronde et laiteuse, admirable. Elle l'entoura de ses bras, souriante, lui rendant un à un ses baisers, avec une tendresse tellement exquise que rien ne pouvait la gâcher. Elle ne détachait pas son regard de celui du Terranide. Un regard effrayant, mystérieux, attirant. Unique.

Elle vint relever son visage pour lui offrir un baiser plus violent que les autres, sans pour autant lui arracher la mâchoire, tandis que ses mains fines se calaient sur les omoplates d'Anima, sous son tee-shirt, l'invitant à retirer cet artifice vestimentaire, calmement, sans tout arracher comme une sauvage, tandis qu'elle remuait doucement, donnant des signes de vies et exprimant avec raffinement ses envies. Qu'il reste. Qu'il ne parte pas. Elle attira son visage contre le sien, encore une fois

[Chemise, cravate et jean si tu veux savoir ^^ Et c’est quoi la tenue de ton personnage ?]

Anima sentit les mains maintenant chaude d’Erwane se poser sur ses omoplates. Il fut à nouveau prit de frissons, sachant qu’elle les avait posé sous sa chemise. Il comprenait qu’elle voulait le lui retirer et, en se mouvant légèrement, il le retira, se retrouvant torse nu devant elle. Le Terranide n’était pas timide pour deux sous. Son vêtement vola un peu plus loin, s’étalant sur le plancher. Pour lui, la première étape était passée.

Lentement, il quitta à nouveau ses lèvres, descendant dans le cou. Puis d’une seule main, il releva son haut, sans dévoiler sa poitrine. Il en profita pour approcher son visage de son ventre afin d’humer l’odeur si délicieuse qui s’en dégageait et le parsemer de milliers de baisers aussi doux que de la soie. S’appuyant sur une seule main, l’autre vint passer ses doigts fins sur la peau, afin de la faire encore une fois frissonner.

Il ne pensait plus à rien, si ce n’est qu’au bonheur qu’il voulait absolument lui faire ressentir. Il était si doux, si respectueux de l’humaine qu’il s’en étonnait lui-même. Cela ne lui avait jamais été arrivé… Pourtant, c’était si agréable, qu’il s’étonna de ne jamais l’avoir fait ainsi. Erwane s’offrait à lui, comme elle ne l’avait sûrement jamais fait. Anima voulait lui rendre la pareil. Et même plus.

( Ma tenue ? http://www.chiboard.com/index.php?t=45103 ]

Le premier vêtement venait de s'envoler, et il ne restait de cette chemise qu'un bruit furtif quand elle tomba sur le sol. Avec un sourire, d'abord, l'humaine laissa ses mains réchauffées se poser sur le torse du Terranide, admirant, scrutant la physionomie de l'être. Puis elle sentit la main d'Anima remonter son haut, et frissonna. Quand il se pencha sur son ventre, elle eut un léger soupir et son cœur accéléra la cadence. Elle sentait très bien qu'il ne serait pas dangereux, et se moquait de ce qu'il pourrait arriver : même si la demeure s'écroulait, elle resterait ici, et ne bougerait pas. Elle resterait tout contre lui, sur ce lit tendre, dans cette ambiance moelleuse.

Ses doigts se perdirent dans la chevelure d'Anima, et un nouveau sourire arpenta son visage. Certes, c'était doux, et lent peut-être, mais c'était sans doute le meilleur moment que vivait la jeune humaine. Elle se sentit remuer, sensible à toutes ces attentions. Cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas fait ça, et jamais elle n'avait eue droit à des gestes si précieux et exquis. Une de ses mains descendit pour caresser le haut du dos et la nuque du Terranide - la seule zone de son corps qu'elle arrivait à atteindre maintenant qu'il avait la tête posée sur son ventre - en essayant de calmer son cœur emballé.

[Oups, autant pour moi, j’ai oublié que tu avais posté l’image au début du sujet]


Anima percevait les mains de l’humaine dans ses cheveux. Il adorait cette sensation. Sentir ses cheveux s’entrelacer entre les doigts d’Erwane était quelque chose de si simple pourtant. Mais l’effet était différent sur le Terranide : c’était comme si il avait attendu ça depuis longtemps. Jamais des caresses ne lui avaient procurait autant de bien-être. Ses ronronnements ne firent qu’affirmer ses pensées silencieuses.

Lentement, il remonta à nouveau vers le tendre visage d’Erwane. Il l’embrassa encore une fois, plus brutal que précédemment. Cela ne lui fit pas mal bien entendu, c’était juste l’excitation qui poussait son côté animal à prendre les devants. Il avait besoin de cette tendresse qu’il ne ferait rien pour la brusquer et rien non plus pour l’obliger à partir. Tandis que ses lèvres restaient collées aux siennes, l’une des mains d’Anima en profita pour faire glisser une bretelle de sa robe le long de son bras. Son geste était lent,  d’un côté afin de savoir si il pouvait le faire, mais de l’autre pour la faire envier, l’obliger à la faire attendre qu’il aille plus loin…

Il adorait jouer avec elle de cette façon. Elle savait, heureusement, que c’était une marque d’affection, il avait besoin de savoir qu’elle voulait de lui…

( Pas de problèmes, j'ai moi - même mauvaise mémoire  )

Erwane eut un sourire en sentant Anima l'embrasser à nouveau, attrapant avec la même vivacité et la même force la bouche de son amant, la savourant avec délice, et l'enlaça doucement pour le serrer contre elle, tandis qu'elle sentait sa bretelle glisser. Elle osa un oeil, et remarqua la main d'Anima qui entrainait la chute de ce qui retenait le haut de sa robe. Avec un sourire, elle remua son bras et son épaule afin d'aider à ce que cette bretelle tombe et quitte son bras, et osa même faire pareil avec l'autre bretelle, la faisant glisser de même. Elle sentait son sang bouillir et son épiderme frissonner, et habilement fit glisser ses mains le long de la taille du Terranide, pour faire cesser leur chute au niveau des hanches, là où le pantalon naissait, pour caresser cet endroit doucement, tandis qu'elle continuait de se mouvoir tout contre lui.

Elle non plus ne se voulait pas violente, mais tendre. Même si ses baisers, attisés par l'excitation, devenaient un peu plus vivaces, ce qu'elle essayait de réfréner, ne voulant pas passer pour une gourmande peu patiente.

(^^ pourrais-tu préciser ce que ton personnage à comme sous-vêtements dans ta prochaine réponse ? merci =) )

Au vu des gestes d’Erwane, ce que faisait le Terranide n’avait pas l’air de la déranger. Elle en profita même pour retirer elle-même la seconde bretelle. Voila qu’Anima avait juste besoin de la faire descendre afin de découvrir le corps quasiment nu de l’humaine. Pourtant, il préféra retarder se moment de quelques secondes, à nouveau pour jouer avec elle. Il sentit aussi ses deux mains, maintenant réchauffés, descendre le long de son corps afin d’arriver à la naissance de son pantalon. Sachant très bien ce qu’elle avait derrière la tête, il ne l’empêcha en rien et ses ronronnements ne furent qu’accentués d’avantage.

L’embrassant encore et encore, l’une de ses mains vint se poser dans le cou de l’humaine afin d’y passer ses doigts. Ces derniers remontèrent lentement sur la joue puis au niveau de la pomme d’Adam. Aussi, sa queue qui n’avait rien fait depuis avant, se glissa lentement le long de sa robe afin de s’accrocher au niveau des bretelles maintenant retirées. Puis il la fit descendre, lentement, délicatement, découvrant ainsi, partie par partie, le corps d’Erwane. Il stoppa son baiser et l’admira, la lueur de son œil semblait s’accroître de seconde en seconde…

Ce qu'il pouvait admirer n'était pas forcément glorieux de la part de la petite ingénue. Elle n'avait pas pour habitude de porter des choses affriolantes, et arborait un simple ensemble de sous-vêtements blancs, avec une tendre dentelle si fine qu'elle paraissait d'une fragilité extrême. C'était juste un morceau de rêverie qu'elle avait ainsi accrochée sur son corps. Un tissu doux, un motif calme, juste de la tendresse sur un plateau d'argent. Quelque chose qui correspondait simplement bien avec le reste de sa tenue. Sentir le tissu glisser le long de sa peau lui procura un frisson délicieux, qui hérissa son épiderme. Curieusement, elle n'avait pas si froid que ça ...

Ses deux mains folles descendirent davantange pour venir doucement ouvrir l'avant du jean, appuyant légérement dessus sans pour autant y déployer toute son énergie. Avec le même calme que celui qu'il avait employé pour faire glisser les bretelles de sa robe. La même tranquillité. Elle sentait que quelque chose se tramait en son bas-ventre, le tordant doucement, avec délice, et se redressa vivement pour serrer contre elle Anima.

Se laissant entraîner contre elle, le Terranide savoura la sensation unique que lui procurait le contact de son corps et de celui d’Erwane. Des frissons lui parcoururent le corps et la demoiselle avait sûrement du les ressentir. Il laissa sa queue gambader sur les côtes et la taille de l’humaine, ne laissant aucune parcelle de peau sans caresses. Sa main libre continuait de lui caresser la nuque, descendant parfois vers sa poitrine, sans pour autant aller plus loin. Il sentait aussi les deux mains de d’Erwane au niveau de l’ouverture de son pantalon. Il se doutait que le tissu n’allait pas lui être utile cette nuit…

Et pourtant, elle aussi prenait son temps. Elle faisait languir Anima comme personne n’avait oser le faire. Pourtant, le Terranide appréciait, cette impression d’impatience qui lui procurait de drôle de sensation dans son ventre. Se laissant un peu plus aller, Anima laissa sa langue passer derrière les lèvres de l’Erwane, cherchant la sienne avec tendresse afin de la caresser, de la sentir,… Il ferma à nouveau son œil, profitant au maximum de cette relation qui voulait voir durer indéfiniment…

La langue de la jeune fille commença à taquiner doucement celle d'Anima, tandis que ses mains parcouraient sans fatigue la taille du Terranide, se risquant timidement à survoler certains endroits osés. Mais c'était juste unique ... Ce n'était pas comme avec les autres, ce n'était pas une histoire de faire tout ça à la va vite. Au fur et à mesure du temps, l'amour était devenu un acte presque banalisé et, au grand désespoir de la jeune fille, les gens bâclaient cet acte autrefois sacré. Mais là, en cet instant, ce n'était pas le cas. Il n'était question que de tendresse, rien de pressant, rien de violent. Juste du plaisir à l'état pur, et de l'envie qui grimpait doucement en elle. Une sensation qu'elle n'avait plus connue depuis bien longtemps ...

Tandis qu'une de ses mains remontait et descendait le long de la colonne vertébrale de son amant avec une douceur infinie, son autre main était placée juste au niveau du nombril d'Anima, où ses doigts joueurs s'amusaient à caresser doucement cet endroit où naissait une sensation douce et fulgurante. Elle aussi ferma doucement les yeux, ne se fiant qu'aux caresses, qu'a leur peau qui se rencontrait, et à rien d'autre ... Doucement, elle remua son bassin pour faire glisser le reste de la robe, dévoilant son buste tout entier.

Voila qu’Erwane se dévoilait presque entièrement à lui. Sa longue robe descendait lentement grâce aux mouvements de bassins qu’elle faisait. Il ne restait plus que le sous-vêtement qui cachait sa poitrine. Sa queue en profita pour remonter à ce niveau là. Il passa, lentement, tendrement sous la fermeture qu’il détacha de la même façon. Il remonta le tissu, dévoilant maintenant la totalité du buste de l’humaine. L’embrassant toujours, l’une de ses mains vint frôler sa poitrine, dans une douceur infinie. Jamais il n’avait été ainsi. Ses doigts caressaient tout autour, évitant soigneusement tout les points sensibles.

La queue du Terranide vint rapidement rejoindre la main, procurant mille et une caresses à Erwane. Ses effleurements et ses baisers devinrent de plus en plus intense au fil des secondes, comme si il se laissait aller progressivement, retenant toute pulsions afin de faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Il ne voulait que tendresse ce soir là. Pas de violence, pas de précipitation, juste de la tendresse.

Erwane sentait ses muscles se tendre doucement, tandis qu'elle aussi réfrénait des gestes plus ou moins "violents", dûs à l'envie et une certaine excitation. Mais non, elle préférait profiter d'une douceur rare en cet instant, et ne pas tout gâcher par des gestes qu'elle regretterait par la suite. La petite rêveuse, ainsi, sentit un soupir et un souffle chaud caresser sa gorge tandis que son soustien-gorge quittait sa peau, dévoilant une partie de son anatomie. Qu'à cela ne tienne, elle ne s'en sentait pas gênée en cet instant ! Elle se contenta de faire glisser sa bouche dans le cou d'Anima, et d'y déposer quelques doux et tendres baisers, qui gagnaient en intensités au fur et à mesure. Ses mains, douce, se baladaient le long du dos et de la taille du terranide, avec une tendresse infinie, comme ils le désiraient tout deux.

Puis, avec une once de timidité qui firent rosir légérement ses joues chaudes, elle fit descendre une sa main qui était restée au niveau du nombril, pour venir effleurer sans violence cet endroit du corps d'Anima, encore caché par un morceau de tissu. Il avait raison, pas de violence ni de hâte. Savourer restait le mot d'ordre. Sa bouche mordilla légérement le cou, continuant les baisers tout en respirant, soufflée par le plaisir que lui procuraient les caresses d'Anima.