Je sentais au son de sa voix et à sa façon serrer ce mains, qu'il avait changé, comme-ci le simple fait de lui avoir dit que j'avais été violée, avait adoucis le côté bestial de cet être, cela me fit sourire intérieurement, tous les hommes n'étaient donc pas mauvais ?
Sa remarque sur mon amoureux me rappela un de mes souvenirs, j'en avais avant, deux et du sexe opposé, mais maintenant je doute qu'ils se rappellent encore de moi, sans doute sont-ils auprès d'une femme qui les a acceptés, j'eus un sursaut en sentant son sexe entrer dans mon vagin. Je mettait trompée dans ma traduction, quand il disait devant ou derrière il parlait en fait de mon vagin et de mon anus, je ne pouvait rentenir un petit cris de peur, mais le mal était fait, d'un autre côté j'étais contente, car son membre aurais fait beaucoup plus de ravage et puis si mon vagin s'en trouvait martyrisé, cela permettrait sans doute de ne plus être violée.
Aussi avec certaine larmes coulant sur ma joue j'attendis qu'il fasse ce qu'il avait à faire, mais une question me turlupinais et je me devais de le dire. Ausssi quand il me demanda si j'allais bien, je lui répondis.
- Moi oui, mais vous semblez avoir de la pitié, est-ce parce que je vous ai dit que j'ai été violée que vous vous montrer plus gentil envers moi ou cherchez-vous encore à me faire du mal en jouant une comédie ?