«
Et bien, voilà un jeune homme vigoureux ! » s’exclama Maria quand Link s’attaqua à ses seins, encore recouverts par sa robe.
Elle se décala doucement de lui, finissant assise à sa droite, tandis qu’Alice s’était également redressée. Elle rejoignit à son tour le sofa, à la gauche de Link, et glissa sa main sur son visage, arrachant celui-ci aux seins de Maria, puis l’embrassa tendrement, et sensuellement, puis voracement. Alice pouvait volontiers se montrer sauvage et passionnée, mordillant la lèvre inférieure de Link. Elle se pressa encore contre lui, accaparant toute la place, ce qui ne déplaisait pas à Maria. La femme était plus âgée qu’Alice, elle avait eu l’occasion d’avoir plusieurs enfants, et sa tendre main de velours caressa les longs cheveux dorés de la jeune femme. Alice rompit son baiser avec Link, et, tout en restant assise contre Link, tourna la tête vers Maria. Sous les yeux de l’elfe, les deux femmes s’embrassèrent longuement. Un baiser plein de passion, sous le regard de l’elfe.
Maria le rompit ensuite, un sourire amusé et enjoué sur les lèvres.
«
Dire que, quand je t’ai connu pour la première fois, tu m’arrivais au bassin, ma chère Alice… Et, maintenant, tu te promènes avec des garçons délicieux… Celui-là, je risque de te le piquer ! »
Alice gloussa doucement, avant de secouer la tête.
«
Link est mon guerrier, Maria ! »
Maria haussa les épaules, et promena ses mains sur les épaules de Link, avant de caresser son torse. Ses doigts fins et élégants glissèrent sur ses biceps, sentant la douceur de sa peau, l’absence de poils. Un torse parfait, tout simplement, qui l’amena à se pincer les lèvres. Alice, de son côté, s’était déplacée, et avait laissé Maria à sa place. Elle se tenait donc sur le côté, s’appuyant contre le dossier du sofa, tout en se chargeant de faire les présentations :
«
Maria est une cliente régulière du harem, Link, car elle vient souvent dans la capitale. Les Cabbia sont une puissante famille ashnardienne, qui dirigent une province impériale… -
…Mais je m’ennuie dans ma campagne, mes amants locaux n’ont pas le charme des individus ici… Comme toi, Link. Ta peau est vraiment très tendre, tu sais… »
La femme se pencha ensuite en avant, et embrassa le jeune elfe sur les lèvres. Link put ainsi constater que Maria s’en sortait très bien. Son baiser était très appuyé, marquant son expérience, et elle fourra volontiers sa langue dans la bouche du jeune homme, se serrant contre lui. Alice ne resta pas inactive, car elle se déplaça à son tour, et tira sur la fermeture située au dos de la robe, la faisant ensuite glisser.
Sous cette dernière, Maria Cabbia portait
une magnifique guêpière noire en dentelle. Elle se redressa encore, s’appuyant sur les épaules de Link, et s’appuya doucement contre lui, frottant ses cuisses contre son sexe.
Alice, qui les observait, sentit soudain une main caresser ses cuisses. Elle frémit sur place, tandis qu’une masse se glissait dans son dos :
«
Une belle femme comme vous ne doit pas rester seule, Princesse… -
Haaa… »
Avant que la jeune femme ne puisse réagir, la main remonta jusqu’à son visage, et la retourna. Elle se retrouva couchée sur le sofa, sentant une verge érectile et légèrement trempée caresser ses hanches.
Un jeune homme aux cheveux argentés, qu’elle ne connaissait pas, se tenait devant elle, et alla l’embrasser, plaquant ses lèvres sur sa bouche, la faisant doucement gémir…