Pourquoi avoir dit oui ? Enmoïra se le demandait encore, un moment de folie passagère ? Ou l'ambiance de la soirée un peu trop arrosée en nectar de fée ? C'est dans ces moments qu'il était dur de savoir pourquoi on a dit oui, ces moments où le temps semble partir plus vite que jamais, ces moments où l'attente vous rend nerveux. C'était le cas pour la jeune Enmoïra, druide de formation, protectrice de la nature par volonté. L'amie des animaux et centaures avait dit oui à ces derniers, pour une soirée d'adieu avant qu'ils ne quittent la forêt. Les temps étaient durs, la forêt était malade, l'Homme la détruisait, et les races mythiques perdaient de leur sublime pour devenir des animaux chassés, pourchassés et tués !
C'est dans ce climat oppressant que la moindre détente devenait un luxe, que la moindre proposition de se détendre, un miracle ! Elle ne s'ennuyait pas, loin de là, entre les animaux malades des poisons de l'Homme, les plantes attaquées par les outils de l'Homme... Les elfes qui étaient sur le départ et laissaient derrière eux des forêts vides, des maisons abandonnées et de grands arbres sans personne pour en prendre soin. Enmoïra ne pouvait sauver toute cette nature, c'était trop de travail pour une seule personne. En plus, lutter pour la sauver, revenait à se heurter aux hommes qui pensaient qu'elle leur revenait de droit.
Bref, elle soupira, il lui restait encore une journée avant le rendez-vous, elle savait que ça n'allait pas être facile comme moment. Ses amies la rassuraient en disant que ça sera agréable, qu'elle n'aura aucun mal à le faire. Mais ces amies en questions étaient pour la plupart des centaures femelles ! Et Enmoïra était plus petite qu'elles, en taille, plus jeune en âge, et moins expérimentée aussi ! Bref, elle s'enfila encore un verre de nectar et continua de parler avec ses amies et les fées restantes. Elle passa la journée à marcher vers un grand lac. C'était l'un des plus grands lacs de la région, un des lacs laissés en paix par les humains, car jugés trop dangereux. En effet il est gardé par des tréants et des sylphes... Et un élémentaire d'eau se repose en son fond.
Ce lac était une aubaine pour qui sait communier avec la nature, un endroit où personne n'interfère, où personne ne vous juge et ne vous regarde. Enmoïra y trouva donc son bonheur, une source d'eau fraiche, potable, et surtout assez profonde pour s'y baigner. Car oui, le plus dur quand on fait sa taille, c'est aussi de se baigner. Se laver demande un peu de contorsions, mais se baigner par contre, demande un très profond bassin ! Elle avança donc vers la berge du lac, retirant ses habits de feuilles. Elle sait que pour demain il lui faudra une tenue plus adaptée à la situation. Elle a encore des doutes, sentait son coeur se serrer fort, mais aussi son corps s'enflammer en pensant à ce qu'elle va faire.
Elle n'y pouvait rien, c'était ainsi, elle s'enfonça dans l'eau, se pencha pour s'en mettre sur la partie humaine de son corps. Puis avec ses pouvoirs fit venir l'eau à elle sur le reste du corps, histoire de ne pas se prendre un trop gros choc avec la température de l'eau. Avançant encore elle s'enlise un peu, mais rapidement le sol reprend consistance sous ses sabots. Elle était dans l'eau jusqu'au bassin, et enfin peut soupirer d'aise. Que c'était bon de se détendre dans l'eau d'un lac naturel ! Elle se pencha doucement en arrière, marcha encore un peu et s'enfonça jusqu'au coup, le bonheur ! Le soleil tenait bien chaud à travers l'eau, et personne ici n'était là pour lui rappeler ce qu'elle fera demain.
Elle resta dans l'eau jusqu'à la chute du soleil, se lavant entièrement en manipulant l'eau pour les parties difficiles, et en frottant avec ses mains ce qui était plus facile d'accès. Un corps comme le sien à ses petits soucis évidement, pas facile de se laver le postérieur quand pour l'atteindre il faut se plier le dos en deux et tendre les bras. Pas facile de se nettoyer les sabots quand même en se penchant on ne peut atteindre ceux de l'arrière. Enfin c'est quelque chose qui est connu de tous les centaures, et dans son cas, des "biches-taur". Bien que pour le coup, elle semblait être l'unique représentante de sa propre espèce.
Son bain terminé, elle sortit doucement de l'eau, remerciant les tréants de leurs surveillances et l'esprit de l'eau d'être restés lui tenir compagnie. Puis elle marcha, toute nue se laissant sécher par le soleil. Après tout, pourquoi porter des habits quand ce n'est pas dans votre nature ? Elle était naturiste et surtout, elle trouve cela parfaitement ordinaire d'être nu. Elle pointait un peu avec le froid au début, mais cela se calma passé les cents premiers mètres. Elle faisait route vers le village des centaures, le dernier village des centaures. C'était toujours triste de penser qu'ils partaient dans quelques semaines, elle comptait sur leur peuple puissant pour défendre la forêt. Mais elle devra désormais composer sans eux.
Arrivée elle avait mis un soutien-gorge en feuille, plus par rituel qu'autre chose. Elle n'allait pas le garder longtemps de toute façon. L'idée était juste de se rendre plus "désirable" pour les centaures et centauresses. Sa longue chevelure végétale se parsema de fleures blanches à coeur jaune. Ses cornes en bois restaient impressionnantes comme toujours et ces cils verts se démarquaient. Elle avait aussi mis un collier de cuir assez solide avec en son centre une pierre sacrée. Elle devait lui porter chance. Pour le reste elle avait mis un petit paréo attaché à sa queue, qui pendait et couvrait ses parties intimes. Enfin à son bassin humain elle portait une ceinture de tissus et de cuir décorative.
Elle se présenta aux gardes, Tom & Jerry, deux puissants guerriers centaures qui en toute politesse la guidèrent vers le chef de la meute. Agrios était le chef, un centaure à la fourrure zébrée de noir, reconnu comme chef pour ses connaissances en médecine et herbologie. C'était un gars sage, au regard doux et au sourire charmeur. Elle s'inclina devant lui, il fit de même, et elle expliqua alors la raison de sa venue. Le chef d'un hochement de tête confirma être au courant, puis il la présente à Echetlus, celui qui serra son mentor pour cette soirée. Il la guidera et lui fera les derniers préparatifs. Enfin le chef la remercia d'avoir accepté la proposition et lui dit en souriant que maintenant, il est trop tard pour reculer, les gars sont tous prêts !
Accompagnée d'Echetlus elle alla vers un arbre aux parfums enivrants, on lui conseilla alors d'en manger les fleurs pour se donner de l'envie. Elle accepta ayant plus que besoin pour le moment, d'une forme de motivation. Sentit la main de ce centaure sur son bassin inférieur la fit rougit, elle n'en était pas à sa première fois. Mais cela reste un petit peu gênant, elle était facilement intimidée par des mâles si puissants. L'idée même qu'elle pourrait refuser, et être forcée sans avoir la moindre chance de lutter... Elle poussa un petit cri ! Il venait de lui caresser l'entrejambe d'un doigt léger, elle s'excusa, puis prit la tenue qui lui était tendue. C'est avec une certaine fébrilité qu'elle échangeait son haut pour ces deux petits cache-misères qui se colèrent sur les tétons. Puis elle retira le bas, et le centaure y plaça alors à la place une petite bande de tissus rouge très légère, assez transparente aussi.
Habillée, elle se retourna face à Echetlus, retourna voir le chef Agrios et accompagnée des deux, un à chaque bras, elle marcha vers le centre de leur village. Elle sentait son coeur prêt à tout rompre, elle voulait s'enfuir, disparaitre à jamais dans le fond d'un trou, au moins pour les six-cents prochaines années ! Mais au lieu de cela, elle releva le regard sur la horde, ils étaient au moins trente, et tous n'étaient surement pas encore arrivés. Bon c'est sur, elle allait y passer cette fois !
- Bon... Bonsoir à tous, je suis Enmoïra Liavaris, vous me connaissez comme la gardienne de cette forêt... Mais ce soir, je... je suis là pour être la putain de service, votre petite vide-couille, alors merci de me traiter sans pitié, m'abuser autant que vous le voudrez, et surtout... faites vous plaisir, merci.
Elle voulait s'enfuir ! Plus que jamais, dire cela lui donna les joues rouges, mais lui fit aussi bruler le vagin ! Elle mouillait à grands flots, c'était une vraie inondation. Le produit des centaures y était surement pour quelques choses, elle sait que ces fleurs décuplent les envies... Mais maintenant, elle était à eux, elle allait se faire passer dessus par cette meute qui souriait, riait et la reluquait si fort... Qu'elle avait l'impression que ses habits devenaient invisibles sous leurs regards ! Elle fut alors invitée à faire un tour sur elle-même par Echetlus à fins qu'ils puissent bien observer son corps sous toutes ces coutures. Cela effectué, non sans une certaine honte en montrant ses parties intimes, elle s'avança au milieu des centaures.
Elle était la seule à y passer ce soir, et les centauresses de la meute bien que pour certaine occupée à chauffer les gars, leur rappelai que ce soir c'était spécial... C'était la fête d'adieu et les "remerciements" pour Enmoïra et tout ce qu'elle a fait pour eux jusqu'ici. C'est pourquoi elle avait dit oui, elle pensait à une fête courtoise, gentille, ou les cadeaux seraient des présents physiques, et non pas sexuels... Mais elle sait aussi que dans ce peuple fier, il est normal de rendre honneur aux femmes qu'ils apprécient en couchant avec. Bien sûr, ils ne faisaient habituellement cela qu'entre eux. Quand bien même une humaine pouvait se faire apprécier des centaures, pour son bien, ils évitaient de coucher avec. Mais le cas d'Enmoïra était différent, déjà car elle est proche de leur espèce, juste plus petite. Et puis, car elle a dit oui en sachant ce qu'était la fête d'adieu à une femelle dans leur clan...
Elle se sentait encore idiote, et ce n'est plus les deux postiches dorés qui vont cacher que ses seins sont durs comme le roc. Ni la petite bande rouge qui est collée contre sa fente humide, qui va leur cacher qu'elle est excitée. Elle ne savait pas encore trop bien comment cela se passait, allaient-ils former une queue et venir chacun leur tour ? Ou alors allaient-ils poser leurs pattes avant sur ces lourdes souches de bois et la faire se pencher pour prendre soin de leurs appareils génitaux ? En même temps que l'un d'entre eux la prendra sauvagement ? Elle s'imaginait bien des choses, mais il n'y avait pas deux-cents façons de le faire quand on leurs corpulences...
- Wouhou, regardez comment elle mouille ! Allez Enmomo ! Fais danser tes nichons pour voir ! Invite-nous à te caresser, dis-nous à quel point tu en meurs d'envie !
S'exclama Rico, un jeune centaure de la meute visiblement bien excité ! Pour preuve sa compagne les joues roses étaient penchées sur son affaire tandis qu'il reposait fièrement les pattes avant sur un tronc renversé sa queue tendue. Et sa femelle le suçait sans protester, contente visiblement de le voir aussi excité ! Jalouse même sur les bords avec des remarques comme :
- Avec moi tu ne bandes pas aussi vite ni si fort Rico... Je vais être jalouse toute la semaine !
Et cela fit rire plus d'une personne autour de ce couple ! Les mâles comme les femelles s'amusaient et se préparaient pour ce qui allait suivre, Enmoïra elle, vit le chef se mettre en position sautant contre un tronc et bloquant bien haut ses pattes avant. Il bandait comme un taureau ! Et Enmoïra bien sûr, devant s'en occuper ! Elle s'avance donc, puis doucement tend les mains et caresse son énorme membre viril. Une trique de cheval c'est toujours impressionnant, dur, long, de couleur noire à la base, mais plus claire sur le bas, le gland était d'un noir profond. Un gros gland aplati qu'elle massa d'une main adroite.
- Hmm, merci de cet honneur, chef, mais je dois danser pour vos hommes...
Elle ne tentait pas d'y échapper, en vérité la drogue des plantes faisait son effet, elle était moite, fébrile, et très chaude. Elle aurait bien serré les cuisses comme une humaine, ou frappé son propre vagin avec sa queue, mais elle n'avait qu'une toute petite que de cervidés, pas de cheval... Impossible pour elle donc, de se satisfaire seule ! Et le chef des centaures lui le savait bien, c'est pourquoi il encourageait les hommes à approcher, venir tâter la marchandise. Ils parlaient assez mal de sa petite personne, mais cela faisait ici partie du jeu. Elle ne protesta pas quand des mains caressèrent sa fourrure, la brossant dans le sens du poil.
Elle gémit un peu dès que l'on mit un doigt en elle, un doigt fin et grand, sans doute celui d'un archer. Il était adroit et faisait un petit crochet avec sa dernière phalange pour lui racler les parois. Elle était trempée, sa chatte pulsait d'envie et son anus aussi. Elle avait heureusement préparé cet orifice lors de sa baignade, tout en s'excusant maintes fois à l'élémentaire du lac... Elle n'avait donc aucune crainte à montrer cette partie de son corps, sa seule crainte était l'idée qu'on l'utilise. Mais assez de temps à réfléchir, la bite du chef l'attendait encore et sa langue sur le gland ne suffisait pas. Elle dut ouvrir grand pour gober cet embout épais, puis s'enfoncer un peu sur le chibre qui lui aussi, pulsait d'envie.
Enmoïra était donc les quatre fers au sol, suçant un centaure appuyé sur un tronc d'arbre, et se faisant tripoter par un archer dénommé Matéus. Et le reste de son corps subissait les caresses d'au moins trois autres centaures, mais elle n'osait se détourner de la verge pour le vérifier. Englobant ce gros membre avec sa bouche, descendant doucement et reculant pour respirer, elle ne se stoppe que pour lécher le chibre viril de la base à la pointe. Tout en ayant toujours une main libre pour masser les deux énormes testicules du roi de la forêt comme certain l'appelle. Alors que pourtant il n'est pas roi, juste chef de clan chez les centaures. Mais bon, à chacun ses plaisirs et elle ne le discute pas.
- Kyaaa !
Fit-elle quand les doigts sortit de son vagin, furent remplacé par une main entière, un poing complet de l'archer ! Il se mit à la labourer plus fortement tout en commentant que ça glissait mieux qu'un lac en hiver. Ou encore que son vagin tentait de lui avaler tout le bras ! bras qui avançait à chaque mouvement du centaure, le chef lui suffisamment combler pour l'instant. Descendit au sol et fit le tour, il allait être le premier, c'était bien normal. Mais étant plus petite qu'eux elle appréhendait fortement cet instant ! Car chez eux il est de rituel, de courir vers la femelle et s'enfoncer d'un seul coup en entier ! Que ce soit le bon trou ou non ! Bon le chef avait de l'expérience et son propre harem, nul doute qu'il sait viser !
Elle appuya donc ses mains sur le tronc, serra un peu les dents tandis que deux des gardes retenaient son bassin pour éviter qu'elle ne gigote trop d'un côté ou de l'autre. On encourageait alors le chef, on cria pour qu'il soit sans pitié pour cette première et dernière fois !
- N'ayez crainte, ce n'est qu'une femelle de plus pour notre clan ! Regardez-moi ça ! Sa chatte dégouline !
Et il commença alors sa rue, petit trop, puis galop ! Et il sauta juste assez à la fin pour rentrer d'un seul homme, dans le con de la druidesse ! Elle poussa alors un véritable hurlement de plaisir. Il avait touché le fond du premier coup, non, il avait carrément pénétré l'utérus ! Elle avança un peu sous son poids, sa poitrine et son buste contre l'arbre. Elle le sentait bien en elle pire, il se mit à donner de gros coups de bassin bien puissants.
- Ahhnnn, putain.... ah, je n’ai jamais connu une verge aussi bonne Agrios vous êtes trop bon pour moi !
Elle bavait de plaisir, ses yeux se révulsant sous la puissance des orgasmes qu'elle enchainait. C'était si large, si long, elle en avait le souffle saccadé, la langue qui pendait et le visage frottant contre la mousse et l'écorce de l'arbre. Elle se fit laminer ainsi durant de longues minutes, puis le chef sans aucune pitié se déversa en elle... Elle sentit tout son être trembler, tous ses muscles se contracter. Elle eut un des plus puissants orgasmes de sa vie, et ce n'était que le premier mâle à lui passer dessus ce soir... Et à en croire les rumeurs, l'un des centaures était encore mieux membré que le chef.
Encore sous le choc du premier mâle, elle respirait rapidement, mais pas le temps de faire une pause, on l'emmena vers "l'attelage" un rocher d'un côté, plat sur le haut. Elle se posa devant, et l'un des mâles, Tom, le garde, monta dessus dace à elle, il s'avance alors. Elle penche et passe le buste sous le corps du centaure, dans cette position il pouvait sans trop de mal se faire sucer, et même lui donner de bons coups de bites dans la gorge ! Elle rougit, tendant les mains sur sa queue, et sentait alors un autre mâle, Jerry, le second garde, lui sauter dessus ! Elle cria de surprise, mais aussi de plaisir, puis elle suça, tout en se faisant pendre.
Elle passa presque cinq bonnes minutes avec les deux gardes, se fit remplir par les deux cotés, puis vit Tom passer dans son dos, il sauta lourdement sur elle, elle plia un peu les genoux des pattes arrière sous le poids, puis ouvrit grand la bouche quand son large gland pénétra son anus et l'ouvrit en deux pour la première fois de sa vie ! Elle sentit encore sa vision se troubler, avança un peu et vit une nouvelle bite frotter sur son visage, elle ignorait à qui elle était... Mais elle se pencha bien et commença alors à la sucer son dos presque à l'horizontale sous le corps du puissant centaure. Et autour ça y allait chacun de son petit commentaire. Ceux déjà passés vantaient son étroitesse, ceux attendant pressaient ceux en cours, et les femelles un peu jalouses lui apportèrent à boire...
La pauvre ignorait que le vin servir était aussi remplit de puissants aphrodisiaques, et lentement mais surement, elle sombrait dans la luxure. Et la première moitié de la horde passée dessus, elle fut laissée à se reposer un peu. On l'invita à manger et festoyer avec eux, et tendis qu'elle discutait avec l'un d'entre eux, elle pouvait sentir une des femelles lui rentrer son bras dans le cul, une autre dans la chatte, pour commenter sur les quantités astronomiques de foutre qu'elle avait reçue. Cela suintait par ses orifices, et les femelles pour la décorer se mirent alors à écrire avec des pigments naturels, qui partirent à l'eau claire, des mots doux sur le corps et le bassin, ainsi que sur le dos. Des choses comme "garage à foutre" avec une flèche vers son anus, "vider vos bourses gratuitement" avec une flèche vers le vagin et sur son dos des mots comme : "salope du village, petite pute en chaleur, catin de la forêt."
Enfin le bon coté est aussi qu'on lui offrir des bijoux, piercings aux tétons en or, ou encore un piercing au clitoris où pendait une lichette que les femelles s'amusaient à chipoter pour la faire couiner de plaisir. La pause dura une bonne heure, et à la sortie elle ressemblait vraiment à une pute de bas quartier... Des écrits sur le corps, des cibles sur les tétons, on la décora avec bijou en or, circulaire et large, comme un bracelet... Sauf qu'il était fait pour maintenir ouverte sa chatte dégoulinante de fluides corporels. Et après cela, la baise reprit à plein régime, les centaures venaient deux par deux sur elle, et parfois les femelles venaient montrer leurs intimités pour que la druidesse s'en occupe également !
Elle se retrouvait ainsi à lécher des minous et des verges, branler, astiquer et lécher des clitoris immenses. Mais jamais elle ne disait non, il était trop tard et elle n'y pensait même plus. Dans sa tête tout ce qui comptait était la prochaine bite à se prendre, ou qui sera la prochaine femelle à lui enfoncer les deux bras ? Un moment elle eut même droit à deux bras dans chaque orifice par une paire de femelles ! Elle jouit alors un tel nombre de fois, qu'elle sembla s'évanouir sur la fin ! On lui faisait boire des aphrodisiaques, des potions de soins, on lui enduisait la fente et l'anus avec des produits lubrifiant autant qu'excitant.
Ses derniers souvenirs de l'évènement furent tard dans la nuit, quand ils invitèrent trois vrais chevaux à terminer la bichette en beauté ! Elle ne reprit alors conscience, que le lendemain matin...
Elle était alors seule avec les autres femelles, tout le monde était au lac et les femelles centaures prenaient soin d'elle. Elles effaçaient les mots de la veille, s'excusaient que tout le monde se soit un peu emporté...
- Ce n'est rien, c'était notre unique fête d'adieux... Je ne peux en vouloir qu'à moi-même d'avoir dit oui au départ... Alors que je me doutais que ça allait finir ainsi.
Elle fut nettoyée en profondeur, soignée aussi des quelques maladroits coups de sabot sur ses côtes. Elle soupira doucement, elle avait encore des courbattures de la soirée d'hier, son bas du dos tout particulièrement, les abdos aussi. Enmoïra au final, ne regrattait pas grand-chose, sauf peut-être la quantité de mâles... Et elle se promit de faire plus attention avant d'accepter quoi que ce soit à l'avenir... Elle retourna toute propre vers les mâles du clan, regarda le chef et ses hommes se pencher en avant, plier les pattes avant et s'incliner devant elle en un salut respectueux. Au moins ça ils savaient le faire bien comme il faut.
- Merci à vous dame Liavaris, d'avoir participer ainsi à notre fête d'adieux, j'espère que notre clan vous reverra, sachez que vous serez à jamais retenue chez nous comme la druidesse la plus agréable à côtoyer de ses bois !
Les hommes hochèrent la tête, puis tout ce petit monde se redressa. Elle sourit un peu, leur dit que ce fut un honneur d'avoir l'honneur de partager un moment comme celui-là avec eux. Puis elle fut couverte de compliments, chaque mâle y allait de son cadeau, collier, bijoux en bois, en cuir, ou encore un nouveau paréo bien opaque et facile à enfiler. On lui offrit aussi de quoi manger pour plusieurs jours en fruits et légumes. Elle sourit, et s'en alla alors tranquillement vers le coeur de la forêt, après une longue journée de plaisir, et une soirée lourde en émotions également. Mais il était temps pour elle, d'allez prendre soin des autres créatures vivant dans la forêt.