Ivy ne se contrôlait plus, ne se retenait plus. Ce n’était plus la professeur de biologie et super-vilaine qui agissait, mais une autre femme... Une sorte de dévote sexuelle en adoration devant le corps de sa Déesse, car c’était bien ainsi qu’elle percevait Weldenela. Une nymphe, une créature des bois, une créature créée pour protéger et diriger la Nature. L’exemple parfait de ce qu’Ivy avait, pendant des années, infructueusement cherché à créer. Weldenela était la perfection-même, et lui faire l’amour procurait à Pamela un bonheur indescriptible, une joie immense et profonde. Elle lui labourait les fesses avec envie, sentant son sexe la dominer, la pulser. Elle sentait tout autour d’elle : les tentacules qui la pénétraient, qui astiquaient ses seins, les soupirs et les gémissements de Wel’, son corps fin et beau, doux et chaud... Et elle ne se lassait jamais. C’était incroyable. Tout ça défiait la logique, et se heurtait à l’esprit scientifique et bien carré de Pamela. Ivy lui défonçait les fesses, et ne changea jamais de trou, restant toujours dans le même, l’enfonçant, le défonçant, le déchirant. Elle donnait des coups de butoir, jouissant par son sexe, que ce soit sa verge ou son intimité. Les tentacules de Weldenela les prenaient toutes les deux, et leurs soupirs et leurs hurlements résonnaient dans la forêt, attisant l’excitation des spectateurs silencieux, qui se tortillaient contre les arbres, jouissant eux aussi plus rapidement. Pamela ne cherchait même plus à compter. Elle avait oublié la notion du temps, et se laissait aller à son plaisir, comme si elle n’était plus qu’un atome de plaisir. Son sexe lui faisait mal, son bassin souffrait, mais elle continuait, encore et encore, maltraitant le fessier de sa divine partenaire.
Le temps se déroula sans relâche, les heures s’écoulant. Le geste devenait répétitif, toujours le même, et les jambes de Wel’ ruisselaient de sperme. Cependant, même Ivy n’était pas infatigable, et, malgré les spores aphrodisiaques de Wel’, et cette adoration fondamentale que Pamela ressentait à l’égard de la nymphe, elle s’épuisait progressivement. Ses mouvements devenaient de plus en plus forcés, de plus en plus lents, et elle haletait.. Pour ainsi dire, Weldenela avait comblé son désir sexuel. Pamela était comblée, et, quand elle se retira du corps de la femme, l’Empoisonneuse tituba à moitié. Les tentacules se retirèrent de son corps, et son dos heurta un arbre, glissant sur les jambes d’une elfe qui gémissait silencieusement. Pamela soupirait lentement. Weldenela se tortillait également sur l’herbe, et le soleil était au zénith.
*
Ceci veut dire que j’ai du lui faire l’amour pendant au moins presque toute une journée...*
Dément... C’était tout simplement dément. La verge masculine d’Ivy pendouillait misérablement entre ses jambes. Elle oyait Weldenela se rapprocher d’elle, lentement, à quatre pattes, avant de se blottir contre son corps. IOvy releva mollement ses bras pour la caresser, et se laissa glisser sur le sol, le corps de la nymphe sur le sien.
«
C'était sensationnel ma belle Ivy... Et ça va encore l'être durant les jours à venir... Là, repose toi... Il te... Il nous faut reprendre des forces, avant de poursuivre nos ébats... -
O-Oui... » gémit-elle faiblement.
Ce fut presque un soupir, avant que ses yeux ne se ferment. Le sommeil vint tout seul.
Nyria était une elfe érudite, qui, aux yeux de son peuple, était encore jeune, puisqu’elle n’avait qu’un siècle. Elle venait des rares cités elfiques encore indépendantes, dans les profondeurs des plus grandes forêts terranes. Elle appartenait au peuple des Haut-Elfes, par opposition aux elfes sylvains. Les Haut-Elfes venaient initialement, selon la légende, d’une île lointaine, et étaient une espèce sur le déclin. Nyria venait de la cité elfique d’Uluthur, une magnifique cité mélangée dans la forêt avec d’immenses arbres. Uluthur était l’une des plus belles villes du monde, à l’image du savoir-faire immense des Hauts-Elfes, des elfes millénaires. Ils étaient extrêmement fermés au reste du monde, ne commerçant qu’avec quelques rares races. Nyria était une étudiante d’Uluthur quand elle s’était rendue dans la forêt magique.
Elle était attachée à cet arbre depuis maintenant plusieurs mois, et avait offert sa virginité à cette forêt. Sans relâche, les tentacules la prenaient, la faisant jouir, alors qu’elle pouvait observer à loisir le corps d’une femme qu’elle considérait comme sa Déesse, Weldenela. Elle avait vu de très près les ébats entre Weldenela et l’autre femme, sa favorite, et elle n’avait jamais été aussi excitée. Elle estimait être au Paradis, et, pendant toute la période où Ivy et la Déesse avaient dormi, elle n’avait fait que jouir.
Nyria n’avait plus son armure. Un tentacule était enfoncé entre ses jambes, un autre dans sa bouche, un autre explorait son fondement, et deux autres jouaient avec ses seins. Nyria avait toujours cru que le sexe était un plaisir bas, réservé aux humains, mais elle découvrait avec Weldenela que ce plaisir était aussi très bon pour les elfes.
Elle se faisait donc prendre lorsqu’elle vit, alors que le soleil se couchait, des tentacules se rapprocher de la femme de Weldenela. La Déesse dormait sur elle, et le membre de la femme était à nouveau en érection, ce qui expliqua l’intervention des tentacules. En gémissant et en soupirant, Nyria, qui sentait un tentacule énorme s’activer entre ses cuisses, vit plusieurs tentacules s’attaquer au corps de la femme sélectionnée par Weldenela. Un tentacule se rapprocha du sexe d’Ivy, et l’avala.
L’intérieur comprenait une sorte de multitude de petites langues qui vinrent se frotter contre le sexe de la femme, excitant ce dernier en glissant dessus. Deux autres se posèrent sur ses seins, léchant ses tétons, les gobant, et la femme se mit à gémir et à se tortiller, avant que d’autres tentacules ne se rapprochent.
En voyant un tentacule filer depuis son arbre pour pénétrer les fesses de la femme, et un autre s’enfoncer dans son vagin, Nyria se sentit proche de l’orgasme... Orgasme qu’elle atteignit dans un soupir quand un tentacule en forme de verge pénétra la bouche d’Ivy.
Cet ultime tentacule réveilla Ivy, qui faisait des rêves érotiques, tellement érotiques qu’ils réveillèrent son érection. Elle fut réveillée par une multitude de tentacules et par un orgasme, jouissant dans un tentacule qui lui comprimait le sexe.
C’était une manière de la réveiller.