« Ouuummffff ! », Léa a juste pu prononcer cette onomatopée à la suite de ses désagréables mots de bienvenue, qu'Akira me grille la politesse, et se jete carrément sur Léa pour lui rouler un matin d'anthologie.
Je vois les bras de Léa se débattre, brasser de l'air, mais pas repousser l'agresseuse. Je vois même les bras de Léa ralentir leur action, lorsque la main d'Akira s'en va sous sa jupe. Connaissant Akira en ces moments, je me doute qu'elle a déjà franchi la culotte, et que son doigt s'attaque au sexe de Léa, qui ne semble pas contrariée.
Je ne vais pas les regarder batifoler ! Je m'agenouille sous la jupe d'Akira. Elle est trempée ! De ce que je lui ai fait, certes, mais pas seulement. Elle coule déjà, ma salope chérie. Je dois m'occuper de sa chatte, et je lui fourre de suite deux doigts enduits de sa mouille, qui rentrent tous seuls, pour les faire aller et venir déjà avec vigueur.
Mais Léa n'a rien perdu de sa jalousie ! Je sens une main agripper mes cheveux, et forcer ma tête à venir sous sa jupe. Ce ne peut être que Léa, d'autant plus que m'apparaît un merveilleux spectacle : le doigt d'Akira a déjà écarté la culotte, et s'affaire au petit bouton de Léa.
Je ne demande qu'à aider, moi, du moment qu'on n'oublie pas mon plaisir ! M'agenouillant bien, je commence à lécher la chatte de Léa, retrouvant son doux parfum, la faisant s'ouvrir et s'humidifier, tandis que le doigt d'Akira poursuit son œuvre.