Kasuo était tout excité, fébrile comme jamais auparavant. Avait-il seulement déjà pu, dans le passé, sentir quelque chose comme ça ? Se retrouver dans un tel état ? Car le fait est qu’il était incapable de se rappeler quand il s’était retrouvé dans une telle situation, si... Si confus ! Confus, mais, en même temps, heureux aussi. Il ne savait vraiment pas comment décrire en d’autres termes la situation qu’il ressentait actuellement, un état qui l’amena très rapidement à jouir... Mais, tandis que sa queue se relâchait, ses deux mains se crispèrent sur les cheveux de la femme, en appui. Yeux clos, joues rouges, il gémit longuement en se vidant, tout en refusant qu’Atusmi-chan retire ses lèvres, et en voulant disposer d’un bon appui pour pouvoir jouir en elle bien comme il fallait.
« Haaaaaaaaaaaaaaaannn... !! »
Le jeune homme se relâcha donc, vidant ses tripes longuement dans sa bouche, se soulageant ainsi de cette forte tension, cette terrible douleur qu’il avait ressenti en lui. Son membre dégrossit tout aussi rapidement, et il rouvrit ensuite lentement les yeux, après plusieurs secondes d’une joie exquise et immuable, tellement intense qu’il avait encore du mal à croire à ce qui venait de se passer. Mais pourtant... C’était bien ça, oui... Il avait joui dans sa bouche, joui dans le corps d’Atsumi-chan ! Et loin, de se retirer, ou de signifier sa désapprobation, elle... Elle continua à lécher et à caresser le sexe de Kasuo. Yeux écarquillés, ce dernier soupira encore, se pinçant fortement les lèvres, l’observant sans rien dire. Le calme revenait dans son esprit, mais son corps restait toujours en ébullition perpétuelle. Elle le léchaiut donc, jusqu’à se redresser, si belle, magnifique, merveilleuse... Puis Atsumi se colla contre lui, serrant son corps contre le sien.
Kasuo cligna des yeux, et posa ses mains sur les hanches de la femme, avant de hocher la tête quand elle lui demanda s’il avait apprécié ce qu’elle lui avait fait. Il la regarda donc, les joues encore un peu empourprées, et répondit :
« Oui... Oui, bien sûr, Atsumi-chan, c’est... C’était formidable ! »
Le jeune homme déglutit encore, tout confus, tout ému... Et la suite n’alla pas pour l’aider à se calmer. En effet, Atsumi-chan lui indiqua que, désormais, à chaque fois qu’il aurait envie de se masturber, il faudrait obligatoirement qu’il passe par elle. Autrement dit, une interdiction absolue de se masturber, ce qui le fit honteusement rougir... Mais c’était normal, après tout.
« Main-Maintenant que nous sortons ensemble, Atsumi-chan, je ne peux pas faire ça, en effet... C’est d’accord, je reviendrais toujours vers toi quand je... Euh... Enfin, quand... Voilà ! »
Il était encore un peu trop gêné pour dire qu’il irait la voir quand il aurait une érection. Pour lui, ça ne lui semblait pas trop compliqué à suivre, ce qui était bien là la preuve que Kasuo était encore assez naïf. Car, maintenant que son corps avait goûté au fruit défendu, il allait devenir, par la suite, bien plus gourmand. C’était, tout simplement, dans l’ordre des choses, et il ne pouvait rien faire pour lutter contre cet état de fait. Atsumi l’avait touché, l’avait marqué, et il n’y avait plus de marche arrière. Et, en l’état, Kasuo était tout simplement tellement émerveillé, tellement emballé, qu’il aurait dit « Oui » à n’importe quoi. Un amour fiévreux et fou qui effaçait tout esprit critique de son jeune corps ! Comment pourrait-il imaginer qu’Atsumi-chan lui veuille du mal ? Elle ne cessait de lui parler avec des mots doux, de l’appeler « mon chéri », et lui se sentait tout ému, incapable de la repousser...
...Et son trouble ne fit que s’accroître quand il vit la jeune femme dégrafer son soutien-gorge. Ses yeux s’écarquillèrent devant sa magnifique poitrine, et il crispa ses mains, avant de sentir son trouble s’aggraver encore lorsqu’Atsumi-chan retira sa jupe, dévoilant une belle et fine culotte à dentelle. Il déglutit encore, et la vit se tourner sur place, avant de lui dire de venir, de la toucher, de la caresser... Le corps de Kasuo, tendu, réagit comme une sorte d’automate au début. Ses yeux avaient louché sur les belles fesses d’Atsumi, voyant cette belle courbe, ce corps parfait, ces formes... Ces formes anguleuses, magnifiques !
« A... Atsumi-chan... »
Il déglutit encore, et se rapprocha. Atsumi lui refit face, et sa main droite remonta, pour caresser le sein gauche de la femme. Il les observait, sans rien dire pendant plusieurs secondes, et posa son autre main sur le ventre de la femme, remontant ensuite pour s’attaquer à son autre sein. Ses mains étaient moites, et il les déplaçait sur la poitrine d’Atsumi, les caressant tendrement.
« Ils... Ils sont si.. Si doux, Atsumi-chan... Et... Fermes en même temps... »
Il n’avait encore jamais palpé une poitrine de sa vie, et celle-ci était... Atsumi avait des seins merveilleux ! Autant dire que le jeune homme était totalement subjugué, et ses doigts titillèrent les tétons. Là, c’était plus dur, plus pointu, mais pas coupant, juste... Doux ! Très doux, en fait... Il se pinça encore les lèvres, et continua tendrement ses caresses et ses malaxations.
« Tu... Tu es si b-belle, Atsumi-chan... Si belle... » répéta-t-il en déglutissant lentement.
Kasuo rougit encore, tout en se pinçant les lèvres, et entreprit soudain de retirer ses mains, en constatant qu’il appuyait assez fort, et pinçait involontairement les tétons.
« Pa-Pardon, je... Je ne veux pas te faire m-mal... !! »