Okio ne pouvait que complimenter Zéro, aussi bien par ses coups de burin, l'ardeur dont il fessait preuve ou le fait qu'il le fasse avec un homme et le branle. Gémissant tendrement et poussant régulièrement des cries, espacer par des mots doux comme « oh oui » ou comme « putain que c'est bon ». Et dire qu'il allait vivre ça durant plusieurs jours sûrement, avec le temps il pourrait peut être en faire un boulot à part entière ! Okio y songeait, en même temps qu'il se fessait culbuté en bonne et due forme, serrant les poings, parfois les dents, toujours en lançant des œillades enflammées et aguicheur, pleine de plaisir et de vices.
Assez brusquement, son patron le souleva, l'éloignant de la vite, venant rapidement l'embrasser, pressant ses lèvres contres celle de Okio, allant frotter sa langue contre la sienne, Okio y participant activement et sensuellement, pouvant donner la parfaite illusion à Zéro d'être une femme. Rapidement, le baiser fut brisé et Okio retourné, se cognant légèrement contre la porte, profitant tout de même du moelleux des sièges, tout en se fessant toujours autant bourré le cul par Zéro, qui semblait aller plus fort, sans qu'il ne cesse de le branler, Okio ne pouvant s’empêcher de gémir en continue, respirant avec force et rapidement, son cœur battant à tout rompre, non loin de l'orgasme.
Et à force de le sodomiser et de le branler, Zéro finit par porté son adorable futur employer au porte de l'orgasme, ce dernier lachant un puissant râle d'extase, alors qu'il vida sa cartouche à force de gicler, se maculant de son foutre, tachant son corps fin et délicieux, de longue tache blanche, crémeuse et chaude, dont il s'amusa à récolter de ses doigts, le savourant vicieusement, regard joueur et vicieux, emprunt de plaisir. S'en suivit de Zéro, qui se vida partiellement dans le fondement de Okio, lâchant un grognement teinté de plaisir, avant de se retirer sa trique, finissant de ce vider sur le visage Okio, qui avait ouvert la bouche, bien qu'une partie du foutre s'étala sur son visage, l'obligeant un fermer un œil avant de tout de recevoir. Finalement Zéro se rassit, et la voiture s'élança à sa demande, laissant Okio encore coucher sur le fauteuil, récupérant et savourant le nectar sur son visage.
Quand la voiture repartie, des personnes, présent depuis le début, furent surprirent que personne n'en soit sortie ou entré, spéculant sur le fait que c'était un riche venue juste pour fanfaronner ou qui régler quelque chose. D'autre sursautèrent au klaxon, car ils fessaient semblant de s'adosser à la voiture en fessant des selfies ou en se fessant prendre en photos par d'autre. Okio finit par se relever, après que Zéro lui intima l'ordre de lui nettoyer son auguste membre, et s’acquitta de sa dernière tache, se mettant à nouveau entre les jambes de son patron et prenant son temps pour laver le sexe, passant et repassant lentement sa langue, sa bouche et ses lèvres dessus, savourant le morceau de chair, offrant une dernière gâterie à son boss, tout le long du voyage, qui assez rapide, mais parvenant à relancer la machine, avant de devoir sortir de la voiture, à quelque rue du lycée pour ne pas trop attirer l'attention, reprenant ses affaires, lançant un dernier regard langoureux à son patron, susurrant d'une voix mielleuse, féminine et perverse, en accentuant sur le dernier mot.
-Au plaisir de vous revoir au travail, patron.
Et il repartie, roulant du cul, se sachant observer par son patron, allant vers le lycée. Dieu merci c'était le week-end et le midi, non pas que ça le dérange d'être habiller ainsi devant tout le monde, mais cela lui éviterait un certain nombre de problème. Là il n'y a avait personne ou presque pour l'intercepter, le refouler ou autre. Mais il longea le murer de l'entré, s'éloignant de la route principale menant au porte du lycée, avant de se diriger vers les dortoirs. Il croisa un jardinier, qui s'attardait sur des buissons à moitié écraser par des voyous, passant donc derrière lui sans se faire voir. Le dortoir avait une entré principale, avec l'accueil, mais il y avait d'autre entrées moins officiel, mais connue de tous pour s’infiltre ou sortir en douce. L'une d'elle était un mur avec une poignet habile cacher en défaut de construction, s'ouvrant sur un couloir menant à des chambres, dont la sienne était au fond. Il l'avait découvert grâce à un de ses amants, mais qui refuse de dire d'où il la connaissait.
Une fois dans sa chambre, Okio prit une douche et alla sur son ordinateur, impatient à l'idée de voir son nouveau travail et surtout son lieu de travail.