Le Pacte [PV]

Une phénoménale odeur de Luxure s’échappait de cet endroit. Le château était bâti au fond d’une grotte, surplombant un gouffre donnant sur une rivière volcanique en contrebas. Un paysage rouge, fait de cendres et de rocaille, définitivement typique de l’Enfer. C’est devant ce château aux allures sinistres qu’un portail violet se forma, puis une silhouette en émergea rapidement, posant ses talons aiguilles sur le sol, une délicieuse odeur parfumée s’échappant de son corps, une sucette coincée entre ses lèvres. De sa main finement gantée, la femme remit ses lunettes carrées en place, et observa les lieux autour d’elle.

Comme pour dissuader les ennemis de venir, le paysage était recouvert de pics sur lesquels on avait empalé des cadavres de démons sanguinolents, déchiquetés, démembrés, éviscérés, massacrés. Des harpies et de sinistres corbeaux étaient occupés à dévorer certains cadavres. Un rictus de dégoût traversa brièvement les lèvres de la femme quand l’odeur de putréfaction vint agresser ses narines.

« Hmmm... Charmant ! » soupira-t-elle.

En même temps, elle comprenait la logique. Un tel charnier repoussait certains démons, et en attirait d’autres, notamment les goules et autres créatures nécrophages. Elle s’avança au milieu des rangées de corps, faisant fuir certaines harpies, se dirigeant vers le château. Aucune patrouille, aucun démon ne vint l’approcher, le fortin ne comprenait qu’un seul démon... Une baronne. Et, tandis que Bayonetta s’approchait, elle percevait la Luxure suinter des murs de cet endroit, un vice terrible et puissant, qui réveilla en elle quelques stimulations profondes et agréables.

Ces terres étaient le domaine de la Baronne Edessa, une puissante démone-guerrière, qui, de ce que Bayonetta en savait, était la fille d’un seigneur des Champs de la Colère et d’une succube des Cercles de la Luxure, ce qui expliquait sûrement pourquoi elle était à la fois une guerrière brutale et une amante redoutable.

Elle était donc parfaite pour permettre à la sorcière de renforcer ses liens en Enfer. Madama Butterfly lui avait parlé d’Edessa, et la Maîtresse de l’Atrocité  l’avait recommandé auprès d’Edessa. En réponse, Bayonetta avait eu le droit de venir quand bon lui semble... Et c’était donc ce qu’elle faisait.

Le corps de garde était ouvert, et elle entra, ne cherchant nullement à se masquer, et laissa la Luxure la guider. Edessa avait énormément de prisonnières et d’esclaves, qu’elle récupérait parmi les millions d’âmes damnées errant dans les Limbes. Et ce qu’elle leur faisait était particulièrement alléchant. Bayonetta ne se sentait guère gênée de voir ça. Elles étaient attachées à des murs, retenues prisonnières dans des cages ou dans des piloris, témoignant de l’insatiable appétit sexuel de la puissante démone.

*Elle fera assurément une excellente invocation...*

Restait encore à la convaincre de réaliser un pacte avec elle. Bayonetta pouvait toujours invoquer un démon sans accord préalable, mais c’était particulièrement risqué., surtout qu’elle avait tendance à le faire en plein combat, dans des circonstances où elle n’avait pas l’occasion de discuter les termes d’un accord potentiel. La femme quitta la cour principale, et grimpa un escalier, rejoignant un couloir, où elle put, peu à peu, entendre des gémissements, des pleurs, et des grognements. Et, tandis qu’elle se rapprochait, elle entendit également des coups de reins, des bruits de claquement de chair.

Une porte ouverte conduisit Bayonetta sur une scène qui ne manqua pas de lui arracher un sourire, faisant rouler sa sucette dans sa bouche. Visiblement, Edessa était profondément occupée, et, à défaut de pouvoir lui parler, lui offrait au moins...

...Un superbe spectacle !

Même les démons de la colère pouvaient de temps à autres se laisser séduire par les délicieuses succubes qui peuplaient également les enfers, et même si c'était très rare, des fois, un enfant naissait de ce genre d'union. Edessa était l'un de ces rejetons bâtards, mais qui avait hérité de la force des deux côtés pourtant diamétralement opposés de ses parents. De sa mère, elle avait hérité d'une endurance sexuelle hors du commun et d'une affinité avec la magie rose, et de son père, elle avait hérité de la résistance et de la force.
Elle n'était âgée que de quelques siècles, bien peu selon les standards démoniaques, mais elle était déjà parvenue à avoir son propre domaine. Guère impressionnant en tant que tel, car la Baronne ne possédait qu'une cour limitée, aucune armée, et un seul château, mais c'était pour le moment bien suffisant pour ses propres besoins. Surtout, elle ne se trouvait pas tout en bas de l'échelle hiérarchique des enfers, même si elle se devait de répondre aux hauts princes et ducs des enfers, quand leur autorité était valable sur son domaine.

Aujourd'hui était toutefois un jour un peu spécial, car elle attendait de la visite, et d'une invitée peu commune.
Madama Butterfly, une démone puissante et faisant figure d'autorité dans ces environs des enfers, lui avait sciemment suggérée d'accepter de recevoir une sorcière qui souhaitait la voir, pour des raisons que la Baronne ne connaissait toutefois pas encore...même si il n'y avait pas de multiples raisons pour lesquelles une sorcière, même sous la protection de Sha, ose s'aventurer dans les territoires des démons. Bien que peu encline à recevoir une humaine sur ses terres, Edessa s'était pliée aux exigences de cette démone bien plus puissante qu'elle.

Et en attendant que son invitée arrive, la Baronne n'avait pas l'intention de rester inactive.

AAAAAAh !!! P...PITIEEEEEE !!!!!!

Usant de tout son poids et de toute sa force, la musculeuse démone était en train de sauvagement sodomiser, à même le sol froid de ses geôles, une des esclaves qu'elle avait récemment récupérée. Obtenir des esclaves était une chose facile aux enfers, pour peu qu'on ne soit pas un simple troufion des armées infernales. Edessa, de par son titre de Baronne des Enfers, avait tout pouvoir pour disposer des âmes qui avaient le malheur d'échouer dans son domaine, elle les capturait alors aisément. Elle en avait déjà des dizaines, toutes de belles femmes, qui servaient à satisfaire ses besoins énormes de sexe.

Hummmmmm...Oui hurle salope...HUM !!!

La Baronne était en train de profiter d'une de ses nouvelles acquisitions, une elfe ainsi que sa soeur, qui elle était dans une cage et regardait le spectacle de sa soeur se faire violer par la terrible démone. Celà faisait au bas mot quelques heures qu'Edessa lui bourrait le cul, et elle l'avait tellement remplie de sperme que sa semence en coulait de ses lèvres. La démone sentait toutefois une présence se rapprocher, et comme guidée par les énergies de luxure qui émanaient de cette scène, la sorcière trouva son chemin jusqu'à cette cellule. Edessa toutefois termina avant toute chose ce qu'elle avait à faire, et bourra une dernière fois le cul de son esclave avec de grands coups, faisant claquer la chair de ses fesses, tandis qu'elle lui maintenait les cheveux d'une poigne de fer. Elle joui rapidement dans son esclave, ce qui la fit tourner de l'oeil, et elle tomba dans l'inconscience. Sa soeur, recroquevillée dans sa cage, allait attendre.
Edessa se retira délicatement du cul de son esclave, un mandrin massif en sortit, suivi peu après par un beau torrent de foutre qui pu enfin sortir de l'anus malmené de l'elfe. Une fois la maîtresse des lieux éloignée de son esclave, une cage descendit du plafond pour récupérer l'elfe, et les deux cages s'enfoncèrent dans les profondeurs du château, par des trappes venant de s'ouvrir au sol, descendues par un système de chaines et de poulies qui fonctionnait par magie. Edessa se tourna alors vers son invitée, nue, son sexe encore dressé et couvert de foutre, nullement gênée, car elle était en son domaine.

Ainsi tu est celle qui a demandé à me voir, sorcière...

La démone se dressait de tout son haut, elle dépassait allègrement les deux mètres, et était une vraie masse de muscles tendus. Derrière elle, accrochée au mur, se trouvait sa hache de bataille.
Autant dire qu'Edessa avait l'air de tout, sauf d'une succube soumise.

Bayonetta ne put que sourire malicieusement, les yeux brillant de désir, en voyant Edessa en pleine… Activité. Elle aurait pu se sentir gênée de la perturber ainsi, mais Edessa ne se gêna nullement pour s’arrêter. Au contraire, elle continuait à la pénétrer, et peut-être même plus rudement encore. La sœur de l’elfe jeta un bref coup d’œil vers Bayonetta, les yeux baignés de larmes, implorant visiblement son aide silencieusement. Pour toute réponse, la sorcière s’adossa contre le mur, une jambe repliée et posée dessus, bras croisés à hauteur de ses seins, faisant rouler entre ses lèvres sa sucette rose… Et se régala ensuite. Le sexe était un élément qui avait toujours inspiré et enthousiasmé Bayonetta. Après tout, elle était une sorcière, et les sorcières avaient toujours été connues pour leurs mœurs légères. Sur ce point, ce n’était pas Bayonetta qui allait changer les règles, et elle laissa donc la Baronne Edessa continuer à sodomiser la femme, brutalement et rapidement. C’était particulièrement plaisant à voir. Elle vit la puissante démone hermaphrodite s’écraser dans le dos de sa proie, la plaquant au sol, tirant  ses cheveux en arrière pour maintenir son visage en hauteur. Ses grognements étaient exquis, et, en quelques instants, Bayonetta sut d’emblée que cette démone serait parfaite.

Les minutes passèrent donc, et un léger soupir de plaisir s’échappa des lèvres de la sorcière, qui sentit sa chaleur croître, notamment à hauteur de ses cuisses. Pourtant, Bayonetta avait passé un bon moment avec Madama Butterfly, qui, comme à chaque fois qu’elles se revoyaient, s’empressait de prendre la sorcière entre ses tentacules et ses multiples clones. Mais là, Bayonetta ressentit dans son corps cette tension annonciatrice du désir sexuel.

*Quelle énergie…*

Encore et encore, Edessa la prenait, jusqu’à ce que Bayonetta ne la sente jouir. Un orgasme qui fut largement à la hauteur de ses espérances. Edessa jouit généreusement, et, quand elle se releva, Bayonetta écarquilla les yeux devant la taille de cette verge. Un épais filet de sperme jaillit de la queue de la démone, puis du cul défoncé de l’elfe. Là encore, respectueuse, la sorcière la laissa enfermer l’elfe dans une cage, puis les deux prisonnières disparurent dans les profondeurs du château. Bayonetta vit alors Edessa se retourner vers elle, dressant fièrement sa verge, exhibant également ses magnifiques formes musclées et généreuses.

« Oui, exact. »

Bayonetta sourit à nouveau, et se rapprocha brièvement d’elle, faisant claque ses talons sur le sol, avançant en se déhanchant excessivement. Tout était fait pour qu’elle mette naturellement ses formes en valeur. Retirant sa sucette d’une main, elle approcha l’autre de la grosse verge tendue devant elle, et la caressa brièvement.

« Je suis Bayonetta, et je viens te faire une proposition, ma chérie. Vois-tu, je souffre d’amnésie, et le meilleur moyen pour régler ce problème, c’est de pratiquer la magie, et de multiplier mes invocations. »

La sorcière se déplaça encore un peu, et reprit à nouveau :

« Et c’est pour ça que je suis là. Madama Butterfly m’a chaudement parlé de toi, Edessa. Je suis sûre que nous devrions parvenir à trouver un terrain d’entente. »

Et, vu la manière dont sa main caressait son phallus, on pouvait comprendre ce à quoi Bayonetta faisait allusion… Avec ses pouvoirs de magie rose, Edessa devait sûrement sentir son excitation, que la sorcière ne cherchait nullement à masquer.

La Baronne se trouvait désormais seule avec cette sorcière, et cette dernière avait bien de la chance de venir au nom de Madama Butterfly, profitant ainsi de sa protection. Dans le cas contraire, Edessa aurait déjà tenté de soumettre cette petite allumeuse, dont elle pouvait sentir l'excitation même sans avoir recours à sa magie rose. L'humaine l'avait regardée finir de bourrer le cul de son esclave, et maintenant s'approchait avec un déhanché autant sublime que provocateur. Les sorcières étaient ainsi, et pour être honnête, la démone n'avait pas une bonne opinion d'elles de façon générale, elles qui souvent liaient à leur volonté des démons pour en faire leurs laquais.
L'humaine s'approcha donc de la démone, qui la toisait par sa taille et sa carrure, et elle posa alors sa main sur sa verge tendue. Les doigts de Bayonetta, car tel était son nom, se couvrirent alors rapidement de foutre à mesure qu'elle branlait délicatement ce membre massif et tendu. Edessa toutefois, voyait clair dans le petit jeu de cette sorcière.

Tu souhaites faire de moi une de tes invocations, commandable à souhait ?

Edessa se mit alors à rire, mais ne stoppa pas pour autant l'humaine dans son élan qui consistait à la masturber. Ce n'était après tout pas comme si de simples caresses sur son membre allaient lui faire oublier l'audace de cette demande.

Tu es bien orgueilleuse sorcière, quand bien même tu viens à la demande d'une démone dont je respecte l'autorité. Je vois bien ce que tu souhaites me proposer, ton corps en échange de ma liberté ? Sais-tu seulement combien d'esclaves je possède dans mon domaine ? Combien je peux encore obtenir ? Je ne suis pas prête d'accepter ces termes juste pour ton petit cul sorcière, tout aussi baisable soit-il.

Edessa s'avança alors, forçant peu à peu Bayonetta à reculer pour se trouver adossée à un des murs du donjon. Prenant un malin plaisir à toiser cette humaine, qui était plus petite et frêle qu'elle, Edessa s'était approchée d'elle au point de coller son sexe contre le corps de la femme.

Madama Butterfly m'a expressément interdit de te tuer, sorcière, mais il n'a jamais été question de ne pas te violer selon mon bon plaisir, et de te laisser à l'extérieur du château. Si tu souhaites traiter avec moi, je te laisses une dernière chance de susciter mon intérêt.

Quand Bayonetta était revenue à la vie, elle avait dû renouveler ses alliances avec les démons. Madama Butterfly avait été la première à qui elle s’était adressée, et, peu à peu, elle avait su renouveler ses alliances. En fait, avec les démons, Bayonetta avait un très bon contact, et avait également bénéficié de l’aide de Sha, ravie de revoir l’une de ses sorcières. Il fallait continuellement négocier avec les démons, ce qui demandait un certain doigté. En la masturbant, Bayonetta avait, en soi, déjà commencé les pourparlers. Et elle savait que, chez les démons, peu importe qui ils étaient, leur nature, leurs ambitions, et leurs désirs, un élément les unifiait tous : la fierté. Ils étaient orgueilleux, présomptueux, et très fiers, se considérant comme supérieurs aux humains. Ils toléraient les sorcières parce que, en les invoquant, elles leur permettaient de rejoindre d’autres terrains de chasse, mais n’aimaient pas, pour autant, que les sorcières daignent les toiser. En théorie, Bayonetta aurait dû courber le genou, s’incliner devant cette puissante démone, mais, au lieu de ça, elle la traitait comme une égale... Ce qui était donc logiquement interprété par Edessa comme une forme d’orgueil.

Pour autant, Edessa ne la repoussa pas, et la plaqua contre le mur, en marchant. Elle la toisait d’une bonne tête, le visage de Bayo’ finissant à hauteur de son opulente poitrine. Puissante et musclée, grande et épaisse, Edessa était vraiment impressionnante, majestueuse, et indiqua à Bayonetta qu’il était temps pour elle de dire ce qu’elle comptait faire... Ce qui amena la sorcière à sourire, tout en serrant d’une main le chibre de la femme entre ses doigts. Son autre main, qui tenait toujours sa sucette rose, retourna la fourrer dans sa bouche pendant quelques secondes.

« Je viens te mettre au défi, Edessa. »

Bayonetta se téléporta alors, et arriva à côté de la femme. Elle marcha encore un peu, et s’arrêta ensuite, une main sur les hanches, dans une posture qui, à l’image des autres, était transpirante de sensualité.

« Je ne t’invoquerai pas que pour le combat, Edessa, mais comme amante. C’est la relation que je veux que nous forgions, que tu considères qu’être invoquée par moi ne soit pas un fardeau, mais la promesse de multiples ébats... Car, même si je dois t’invoquer pour que tu combattes mes adversaires, tu pourras toujours me faire l’amour, aussi longtemps que tu le voudras. »

Elle se rapprocha encore, et retourna caresser la verge de la femme, avant de se hisser sur la pointe des pieds pour rapprocher son visage du cou de la femme. Elle l’embrassa alors dans le creux de son cou, puis remonta sur sa joue, léchant sa peau.

« Voilà mes conditions... Je veux que tu te défoules sur moi. Baise-moi avec toute la force dont tu es capable, jusqu’à l’épuisement. Si je suis encore consciente, alors tu accepteras d’être mon invocation, et de répondre à mon appel. Tu vois, tu es gagnante sur tous les tableaux, ma chérie. Si tu gagnes, alors tu auras pu me baiser longuement, et, si je gagne, chaque fois que je t’invoquerai, tu auras la certitude de pouvoir coucher avec une femme suffisamment forte pour t’offrir des jours de sexe sans interruption. »

C’était comme ça qu’il fallait parler aux démons, en leur démontrant que, peu importe l’option choisie, ils étaient gagnants sur tous les tableaux.

Et c’était typiquement le cas ici.

Orgeuilleuse, Edessa l'était bien évidemment comme bien des démons, et cette sorcière avait touché la corde sensible en annonçant vouloir la mettre au défi. Que cette humaine, toute sorcière qu'elle soit, ose croire qu'elle pouvait "gagner" contre elle était autant amusant qu'irritant, et dans les deux cas, Edessa se sentit bien l'envie de la remettre à sa place. Se téléportant derrière elle, Bayonetta commença à évoquer les termes de ce petit défi, et Edessa se retourna alors pour lui faire face, juste pour que l'humaine revienne se coller à elle. Ses doigts n'avaient en tout quitté sa gigantesque queue que l'espace de quelques instants, cette sorcière jouait volontairement avec le feu, en aiguichant ainsi la démone. Edessa avait de plus été interrompue alors qu'elle était en train de mater l'une de ses acquisitions les plus récentes, et venait juste de commencer, autant dire qu'Edessa bandait bien dur et bien fort, et était impatiente de retourner fourrer son chibre dans un corps...alors pourquoi pas celui de la sorcière.
Elle la laissa donc énumérer ses conditions, puis Edessa porta alors fermement ses deux mains sur le cul de l'humaine, dans un claquement sonore, et ses doigts se crispèrent sur ce cul parfaitement rebondi et ferme.

Défi accepté, humaine, mais saches-le, je ne m'arrêterais de te baiser sous aucun prétexte. Nous sommes ici chez moi, et je fixe les règles...tu aura beau me supplier, je continuerais de te baiser.

Edessa se remit alors à avancer, finissant par plaquer à nouveau Bayonetta contre un mur, en faisant frotter son sexe colossal contre le corps de la sorcière. Oh oui, elle n'allait rien lui épargner, et ne pas lui montrer la moindre once de pitié. Edessa allait se faire un plaisir de mâter cette humaine si sûre d'elle.

Déshabille toi, petite salope, je veux que ton corps soit nu contre le mien, et je ne tolèrerais rien qui puisse se mettre entre mes mains et ta peau.

La totalité des esclaves d'Edessa ne possédaient pas le moindre vêtement, et en son domaine, Edessa évoluait nue, sa queue toujours prête à l'emploi...c'était même, effectivement, une règle de son domaine. Elle se recula alors un peu, pour laisser à l'humaine la liberté de mouvement se le faire.

Ensuite, tu viendra me sucer la queue. Si tu souhaites m'épuiser, saches que tu va devoir te surpasser, sorcière...

Négocier avec une telle démone pouvait paraître au-delà de ses attributions, mais Bayonetta n’avait pas peur. Elle savait que les démons étaient par nature soucieux de faire des pactes, et de pouvoir avoir des attaches dans les autres plans astraux. Et, de fait, Bayonetta avait un bon contact avec les démons. Elle n’avait eu aucune difficulté à renouveler ses alliances, et était naturellement désireuse d’en avoir une autre. C’est ce qui expliquait pourquoi elle se trouvait là, face à cette puissante démone nue qui s’empressa de palper ses fesses. Sa queue se crispa contre sa combinaison, ses mains filèrent sur ses fesses, faisant crisser la tenue de Byaonetta. C’était une tenue magique, évoquant le latex, mais sans être faite de latex.

Pour autant, et malgré le capital hautement sensuel de la tenue, Edessa ordonna qu’elle la retire, tout en se mettant devant elle, et en lui présentant sa belle verge. Bayonetta sourit donc, et leva les bras.

« Si tu veux... »

La combinaison se mit alors à s’illuminer, et forma alors comme une improbable série de fils, ou, plutôt, de cheveux, qui se mirent à tournoyer sur la combinaison, pour qu’elle se vaporise ensuite. Toute nue, la sorcière exhibait un corps parfait, avec une belle poitrine, une intimité parfaitement épilée, des hanches agréables, et un corps qui, en réalité, avait de quoi ravir n’importe qui. Elle sourit à nouveau, sensuellement, et se rapprocha de la femme, venant caresser sa grosse hampe de chair d’une main.

« Ma foi, tu as l’air d’avoir de sacrés arguments, Edessa, et une sacrée soif... »

Fléchissant les genoux, Bayonetta mit son visage à hauteur de cette queue énorme. Sa main continua à la caresser, à la pincer, et elle lécha ensuite sa verge rose, glissant sur cette dernière, du bas vers le haut, déposant ensuite plusieurs baisers dessus, tout en relevant les yeux pour regarder Edessa. Pendant plusieurs minutes, la sorcière s’évertua ainsi à lécher et embrasser ce sexe, descendant jusqu’à ses testicules, qu’elle lécha et embrassa aussi sans la moindre hésitation, se familiarisant ainsi avec ce membre, en appréhendant la taille et la force.

Et, une fois le « nettoyage » fait, elle appuya avec une main sur ce sexe, l’abaissant, jusqu’à ce que sa queue se retrouve devant ses lèvres. Elle respirait dessus, soufflant sur cette verge, puis ouvrit les lèvres... Et commença à la sucer.

« Hmmmm... Hmmmm... »

Edessa allait vite se rendre compte que Bayonetta pouvait se montrer particulièrement talentueuse dans ce domaine, et, tout en commençant à engloutir cette queue dans sa bouche, elle alla, avec une autre main, caresser ses testicules, les soupesant tendrement.