Ce moment, pour Akiko, serait à marquer d’une pierre blanche. Depuis qu’elle avait rejoint les rangs de Mélinda Warren, Akiko, maintenant une esclave, avait été heureuse de voir que, quand elle avait confié à sa Maîtresse son plus grand fantasme (coucher avec sa senseï), Mélinda l’avait aidé. À sa manière, Mélinda avait été l’aide indirecte et silencieuse dont Akiko avait eu besoin pour se lancer. Elle affirmait sans peine, et sans ombrage, être amoureuse de Kurokawa-senseï. Elle l’était depuis longtemps, et, là, plaquée contre ce placard, ses seins mis à nu, mouillant contre les doigts de sa seconde Maîtresse, Akiko en était plus que jamais sûre. Oh oui, elle était heureuse, si heureuse ! Ce que la jeune femme ressentait était d’une intensité telle qu’aucun mot ne lui semblait assez fort pour résumer ce qu’elle ressentait. Amoureuse, voilà très bien ce qu’elle était... Amoureuse et perverse. Là, contre ce placard, elle s’offrait sans aucune retenue à sa Maîtresse, ses beaux seins d’amour se tendant sous les efforts de cette dernière, les doigts de la senseï recueillant d’impressionnants dépôts de cyprine.
Le temps défilait, rythmé par les soupirs d’Akiko, qui finit alors par lécher les doigts de sa Maîtresse, tout en sentant sa queue pointer, tapant contre ses cuisses. Quand Akiko sentit cette queue, comme l’affirmation de tous ses fantasmes, elle mordilla les doigts de sa Maîtresse en gémissant, et poussa un long couinement de plaisir.
« Hnnnnnnnnnnnnnnn... !! »
Akiko en ferma les yeux pendant quelques secondes, avant de sucer plus frénétiquement les doigts de sa Maîtresse, buvant, non seulement sa propre mouille, mais aussi les paroles de la femme. Mélinda, de fait, l’avait déjà forcé à boire sa mouille, notamment en la faisant jouir au-dessus d’un bol, remplissant ce dernier. Son initiation à la perversion avait donc bien commencé, mais elle ne demandait qu’à se poursuivre, car, quand la vampire avait appris combien Akiko fantasmait sur la femme en train de la caresser, elle avait levé le pied. Comme quoi, Mélinda et elle se connaissaient plutôt bien, la preuve en étant qu’Akiko était toujours vierge, alors que, par tradition, Mélinda prenait toujours la virginité de ses filles, que ce soit la virginité anale ou vaginale... Mais là, elle avait refusé, ce qui, en un sens, avait été une dose de frustration supplémentaire pour Akiko, car elle faisait toujours l’amour avec une ceinture de chasteté, ouverte seulement à hauteur de son petit cul.
La belle lycéenne avait donc deux raisons d’être très excitée par ce moment, puisque, outre coucher avec sa Maîtresse, cette dernière allait aussi lui ravir sa virginité. Et sentir son sexe... Ha, quelle belle queue ! Akiko en avait le cœur qui battait la chamade. La femme la retourna alors, la plaquant contre le mur, et déchira sa culotte, faisant couiner la petite Akiko, qui s’en mordilla ensuite les lèvres, tout en continuant à mouiller :
« Hîîîî !! »
Elle soupirait en sentant son sexe, un membre veineux, tendu, assoiffé, caresser ses petites fesses, mais, plutôt que de la pénétrer, sa senseï s’écarta, et, sous les yeux ébahis d’Akiko, se déshabilla. En voyant ce corps nu, parfait, ses seins gigantesques, cette silhouette de rêve, à la fois musclée et belle, une femme aux formes généreuses, Akiko sentit sa gorge s’assécher. Elle déglutit sur place, serrant ses petits poings, tout en voyant la culotte de Kurokawa-senseï être déformée par son mandrin, une belle verge qui tirait sur ce sous-vêtement, faisant déglutir la jeune femme.
Akiko, elle, portait désormais de longs collants noirs avec sa minijupe, ce qui ne l’empêchait pas d’avoir affreusement chaud, ses seins restant très tendus et très lourds après le traitement magnifique de la femme. Désignant son sexe, sa Maîtresse lui demanda alors de bien la sucer, ce qui amena les yeux d’Akiko à luire de désir. En souriant, elle hocha la tête, et se mit à genoux, devant cette verge.
« O-Oui, Maîtresse, tout de suite... J’en ai tellement envie... »
Sa main se releva alors, et massa ce sexe à travers la culotte, Akiko s’en mordillant doucement les lèvres.
« Votre queue... Elle est si grosse, si dure... »
Ce n’était pas de l’exagération, Akiko le pensait sincèrement, et, pendant quelques secondes, ne fit rien de plus que masser ce sexe à travers la culotte, avant de finir par se rapprocher. S’humectant les lèvres, elle glissa ses mains sur le rebord de ce sous-vêtement, et tira lentement dessus, le faisant coulisser le long de sa verge. Puis, au bout de quelques secondes, la culotte atteignit l’extrémité du membre, et, quand elle tira dessus, elle vit cette queue pointer, remuant un peu, et rougit furieusement, tout en laissant la culotte glisser le long des cuisses de sa Maîtresse.
Akiko était là, face à cette verge, un membre parfait, devant une hermaphrodite tout aussi parfaite. Elle regardait ce membre avec des yeux légèrement écarquillés, telle la dévote devant son idole, puis se rapprocha un peu. Elle ne le lécha pas, mais commença par le renifler, s’imprégnant de cette odeur, son visage contre sa queue, ses mains posées sur les cuisses de la femme, son menton caressant les testicules de la femme.
« Hmmm... J’adore cette odeur... »
Elle lécha alors ce membre, un peu comme une glace, s’imprégnant davantage de sa dureté, de son épaisseur, puis alla enfin le prendre en bouche, entreprenant de le sucer, l’une de ses mains allant rapidement caresser les testicules de la femme, les soupesant, pendant que ses lèvres filèrent d’avant en arrière le long de son membre.
« Hmmmm... !! »
Han, que c’était bon !