Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Ailes et auréole brisées (PV Malk)

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Urgogot

Avatar

Re : Ailes et auréole brisées (PV Malk)

Réponse 15 jeudi 07 avril 2016, 08:54:08

Elle était bien plus belle et attirante ainsi ! Sans cette superbe qui faisait des anges tout ce que le seigneur pourpre méprisait. Sa haine pour cette engeance n'avait pas de limite. Les seules qu'il haïssait avec la même intensité devait être ses semblables. Ceux qui avaient pu le trahir jadis, ou l'asservir aujourd'hui.
Il éclata de rire lorsqu'il la sentie tressaillir définitivement, chacune de ses souffrances était un extase pour lui. Elle hurlait, frappait sa cage comme un primate... et elle ne valait pas beaucoup mieux. De par sa faiblesse et le peu d'estime qu'il en avait.
Elle commençait doucement à implorer la mort plus que de raison, c'était bon signe, le processus de destruction se déroulait à merveille.

Le démon majeur l'abandonna là, estimant plus négatif pour elle la solitude extrême. Afin qu'elle n'ait plus d'ennemi à haïr autre qu'elle même... il insuffla la parole aux cadavres, laissant leur lamentation, leur supplication et leur reproche défier la mort afin de continuer à murmurer.
 Syldelna pu donc les entendre, tous autant qu'ils étaient. L'implorant de les aider, et demandant sans cesse pourquoi elle avait été incapable d'agir... incapable de les sauver, de vaincre ce démon. Les voix s’entremêlèrent tandis que l'artefact autour du crâne de l'ange continua à dévorer ses songes et ses souvenirs. Gommant de sa mémoire l'odeur d'un air frais, la beauté d'un couché de soleil, la satisfaction de voir un enfant sourire en vous remerciant de l'avoir sauver. L'obscurité absolue s’immisça peu à peu dans l'esprit tourmenté de l'ange.
Arsl'ath Malk tourna les talons, écartant ses immenses ailes pour faire signe à la cohorte de démon de se reculer, faisant place à leur maître.
Sa horde se dispersa, comprenant là, la fin des réjouissances. L'ange fut laisser seule avec elle même... et ses cadavres pourrissants qui ne cessèrent de la tourmenté. Le souvenir de leur main sur son corps, s'agrippant à elle comme on s'agrippait à la vie, fut si prenant qu'elle en eut de démangeaison. Comme si ils étaient toujours là à essayer de s'accrocher à elle.
Elle n'eut aucun répit, et ce pendant un temps incalculable. Des heures ? Des jours ? Des semaines ? Cela paru comme une éternité, comme 300 vie d'homme. Et ce n'est pas ses gardiens silencieux qui auraient pu lui répondre...

Son quotidien fut le plus horrible des cauchemars, mais la roue semblait tourner... et surgissant de l'obscurité comme un coup de poing, une voix nouvelle se fit entendre.

- Elle n'est pas à manger ! Écartez vous vermisseaux !

Des cries stridents comme seule réponse à cette ordre... des petites rires fourbent et sadique ! Survient ensuite des grognements plus lourd, le bruit du métal qu'on séparait de son fourreau. Des ruades, l'acier qui s'entrechoqua et des cries de rage et de douleur. Un combat semblait agitait les lieux jusqu'à présent si silencieux.
Et ce fut bref, il y avait beaucoup de monde. Les barreaux de la cage furent arracher, se tordant en couinant affreusement. Une main agrippa Syldelna par les cheveux pour l'en extirper. Elle retomba à plat ventre et une multitude de main vinrent se déposer sur elle. Malaxant maladroitement sa peau, ses fesses, ses jambes... on lui tira les cheveux, rehaussant son visage pour y asperger des fluides... crachat ou pisse ? Difficile pour elle de savoir... sa croupe subit le même sort, on la releva fermement, la claqua, crachant dessus avant de l'embrocher sans autre forme de procès. Une queue bien épaisse s'engouffra douloureusement dans son anus, poussant loin en elle jusqu'à aller tendre ses intestins.
Violé à nouveau... mais par une horde sans nom, sans ordre, mue par leur appétit sexuelle ! Une horde que le seigneur pourpre ne contrôlait pas toujours... et la preuve en était, on se permettait d'utiliser son jouet sans sa permission. Les gardes loyaux qu'il avait posté avait été tué, ne laissant plus de spectateur à ce méfait.

Ilinia

Humain(e)

Re : Ailes et auréole brisées (PV Malk)

Réponse 16 lundi 26 septembre 2016, 12:27:33

   De sombre voix se murmurait à ses oreilles, promesse désespoir, dévorant lentement ce qu'elle était, chaque mots détruisant une part d'elle même. Le démon habitant cette relique maudite, prenait un plaisir malsain à détruire lentement un souvenir de l'ange, dévorant lentement ce qu'elle était, réduisant à néant des événements heureux, détruisant lentement chaque visage, chaque nom, chaque lieu que l'ange avait connue. Ses défenses mentales étaient réduite à néant, plus rien ne pouvant empêcher cette créature de se repaître des souvenirs de l'ange. Une éternité de noirceur, de douleur et de folie, la noirceur et l'horreur pour seule compagnie. L'odeur de pourriture remplaçait son oxygène, l'étroitesse de sa cage lui donner l'impression d'être enfermer dans son esprit, en proie à la folie, au tourment. Des jours et des jours de souffrances, sans repère, perdant toute notion, murmure un flot de parole instinct, hurlant parfois quand un souvenir trop profondément encrée en elle disparaissait. Le vide l'habitait, un vide grandissant, la noyant sous un flot d'oublie, peinant à pouvoir rester à flot. Elle finit par oublier une part de ses origines, mais restant consciente de son identité.

   Son identité, la seule chose à la quelle elle se raccrochait désespérément, formant une barrière impénétrable face au démon, qui s’affairait à essayer de détruire cette ultime résistance, laissant l'occasion à Syldena de sauver des fragments de souvenirs, se reconstruisant petit à petit, formant un cocon de résistance au sein même de son âme. Mais elle ne pourrait jamais récupérer tout ce qu'elle avait perdue. Les vestiges de sa puissance, le temps et un miracle, lui permirent de garder une par de sa raison, repoussant les ténèbres, s'isolant dans un coin de son âme. Ce ne fut pas l'espoir qui la sauva, mais la rage de sa situation, la fierté pour les siens, la haine pour son ennemi le désespoirs de vouloir mourir. Mais ce n'était qu'une torche dans un abyme de néant ténébreux, illuminant à peine son visage.

   Plonger dans les ténèbres, tout avait disparue, même le contacte des barreaux de sa cage, devenue une part d'elle même, même l'odeur de sang et de mort. Mais durant ce temps, vestiges de ses racines, ses ailes avait commençaient à repousse, malgré l'étroitesse de sa cage. S'étend convaincue d'être dans les ténèbres, les éclats de voix la choquèrent violemment, oubliant complètement où elle se trouvait, se souvenant que de son Némésis, de ses tortures, de ses souffrances, des horreurs qu'elle avait put voir dans sa vie.

   Elle tourna instinctivement la tête vers la source des bruits, attendant les clameurs d'un combat, ravivant quelque instant de guerrier, cherchant son arme à tâtons. Le sol se mit à trembler, des hurlements se firent entendre, puis l'horrible déchirement du métal, lui rappelant sa cage et l'endroit où elle se trouvait. Elle se sentie happer, malmener, pincer, tirer les cheveux, t-elle une poupée entre les mains d'enfants brutaux.

   Elle sentit qu'on l’aspergeaient de liquide, puis une douleur horrible, sentant à nouveau une verge démesurée s'enfoncer en elle, tordant son ventre, alors qu'un démon la tenait par les bras, tirant dessus pour l'enfoncer encore plus. Son crie de douleur résonna dans toute l’arène, amusant les démon. Elle se sentit soulever, alors qu'un autre pénétrant son intimité, la souillant, déchirant son hymen et déchirant ses parois, mais qui tenaient bon, commençant lentement à cicatriser, le sang agissant comme lubrifiant. L'immonde trique déforma son ventre, cogna celle de l'autre démon, avant que les deux ne la viole de concert, la plaquant entre eux. Ses cries de douleurs se succédèrent, gémissant d'agonie, ne pouvant rien faire.

   Les démons se battaient pour avoir l'honneur de la souiller à son tour, encourager par ses cries. Celui de ses fesses fut dégager, laissant la place pour un autre qui pénétra lourdement l'ange, mais ayant un trique d'un gabarit plus modeste que l'autre. Et ainsi de suite, les démons se succédant, sans laisser beaucoup de temps aux précédant, tout en parvenant à garder l'ange intacte.


Répondre
Tags :