Littéralement, je souffrais. Je souffrais et je hurlais, mais étrangement, pour une humaine, si j'en aurais été une, je lançais des hurlements de douleur et de plaisir, c'était si bon de sentir ce gros sexe me défoncer le cul à grands coups, même si c'était très douloureux. Mais après tout, j'adore la souffrance, sinon, je n'aurais pas demandé à tous ces mecs de me pénétrer le vagin à sec. Je me laissai aller à ces sensations. Moi, j'étais capable de faire de la douleur une nouvelle source de plaisir. Alors, il se retira de mon cul, avec autant de brutalité qu’à son entrée. Il m’enfonça son sexe dans la bouche et m’ordonna de le sucer. Mais il n’avait pas besoin de le demander. De ma main droite, je m’emparai de son phallus et je commençai une douce masturbation alors que ma langue, expérimentée et douce à souhait, caressait son gland. C’était la qualité que seule une femme ayant fait plus d’un millier de fellation pouvait faire. C’était si bon que même Zeus lui-même n’aurait pu résister qu’une minute. Pour l’exciter davantage, je poussai de petits gémissements, comme s’il m’offrait le plus savoureux des mets. Après tout, ne l’était-ce pas? C’était vraiment la chose que je préférais, un sexe bien gros, savoureux et prêt à éjaculer à tout moment. Je mourrais d’envie de lui demander son sperme, mais je me taisais.