Namya se régalait de la situation, elle se rendait bien compte que ces gestes étaient des plus appréciés par sa partenaire, et la jeune fille timide s’était un peu envolée, en apparence en tout cas, pour dire, elle rougissait toujours un peu, malgré ces gestes sûrs, peut-être souhaitait-elle simplement se faire pardonner ? En tout cas, elle s’appliquait à apporter du plaisir à l’humaine nudiste…
De son côté, soupirs et gémissements étaient devenus réguliers, tant Noemya prenait du plaisir à sentir ses tétons si bien flattés… ils étaient pointés à leur maximum, à n’en plus douter, puis sans crier gare, la langue experte quitta ces pointes qui appréciaient tant ces caresses reçues, et des dents vinrent mordiller le lobe de l’oreille dan a noiraude, elle en frissonnait… et déjà sa poitrine tendue était à nouveau le centre des attentions de Kuko, pour le plus grand plaisir de la nymphe…
Et la jeune humaine semblait apprécier le traitement qui était appliqué à son intimité, Noemya pouvait ressentir du liquide qui n’avait rien d’eau contre sa cuisse, et dans ses rougissements, elle continuait de sourire légèrement, quand elle n’était pas trop occupée à gémir de plaisir…
Ses mains n’avaient pas arrêté de jouer avec les seins magnifiques de Kuko, tant dans leur globalité que seules les pointes, et elle cria de plaisir lorsqu’elle sentit une main sur son intimité, et surtout, lorsque un doigt la pénétra profondément… elle n’en souffrit aucunement, tant elle mouillait elle aussi, et ce frottement avait été un délice de supplice, offrant tellement de sensations si agréables.
La cuisse frottait toujours, de manière plus saccadée, un peu plus brutale, tant la noiraude avait du mal à se concentrer et à rester précise, faute à tout le plaisir qu’elle recevait encore et encore… mais franchement, la position devenait assez peu agréable, et la nymphe, toujours rouge – et pas que de gêne, de loin pas ! – se décolla de la violette, la repoussant pour ce faire, et elle grimpa sur le bord rapidement, et ôta son maillot rendu inutile de par sa transparence qui ne cachait ni ses mamelons dressés, ni sa fente entrouverte… elle était haletante et s’allongea à même le carrelage, et, lançant un petit regard à Kuko, se demandait si elle allait lui sauter dessus…