Luxury [PV]

La dague sacrificielle de Zoänne entailla sa paume, et elle serra ses doigts sur la blessure, amenant une crispation sur le visage de Nyala, qui détourna même légèrement la tête. Puis Zoänne, en souriant légèrement, tourna sa main, et le sang tomba sur le sceau, formant l’ultime ingrédient nécessaire.

« Voilà…
 -  Tu… Tu ne t’es pas faite mal ?
 -  La douleur n’est rien… Et la magie rouge est très puissante en ce qui concerne les invocations. »

Nyala hocha lentement la tête, et présenta ensuite à Zoänne l’ingrédient dont elle avait besoin : une petite fiole, datant d’il y a quelques semaines, avant la cérémonie…  La cérémonie au cours de laquelle la Horde avait accueilli une nouvelle vraie Amazone : Persée. Et Persée avait enfanté la belle Nyala, en lui ôtant sa virginité. Le sang virginal de Nyala avait été conservé, et se tenait dans cette fiole. Et, ce soir, elle allait être utilisée. Zoänne la récupéra, et commença à prononcer une série de mots, dans une langue que peu de gens connaissaient : la langue des démons. Yeux clos, la Chamane caressait d’une main le glyphe, et ce dernier se mit, peu à peu, à vibrer de magie, les lignes tracées à la craie se mettant à luire et à vibrer. La magie se mit à résonner dans la tente de la Horde, là où Zoänne accomplissait le rituel.

Un rituel différent de celui qu’elle avait l’habitude de faire. Zoänne était une Invocatrice, mais par tradition, la superbe blonde, à la beauté sculpturale, invoquait exclusivement son père. Ce soir, toutefois, elle allait tenter une autre invocation, suite à ses formations avec Mythilène, la plus puissante des Chamanes de la Horde, et qui assistait à ce rituel. Elle ne disait rien, laissant Zoänne intervenir, et la superbe femme se débrouillait très bien.

Ayant accompli la première partie du rituel, elle sortit ensuite la fiole de sang virginal, et s’avança au centre du sceau, où elle la répandit dans une sorte de cercle. Immédiatement, une épaisse fumée violette s’en échappa, et elle retourna près de Nyala, puis termina sa mélopée, en invoquant une démone du Cercle de la Luxure.

La magie se mit à vibrer encore plus, une sorte de vent venant à se lever, soufflant plusieurs des bougies présentes dans la pièce. Zoänne parla un peu plus fort, et Nyala se recula prudemment, en posant une main protectrice sur son ventre, dans lequel sommeillait la future fille de la puissante Persée.

« Ça marche… La voilà ! »

Au milieu de la fumée, une silhouette émergea progressivement… Et Zoänne se mit à parler, en s’approchant de l’entrée du sceau, qui, pour l’heure, était comme une prison pour la démone figurant à l’intérieur. Seule Zoänne pouvait la libérer, mais, pour ça, il fallait conclure un pacte avec elle, avec la créature à l’intérieur, et dont on commençait à apercevoir les magnifiques formes et courbes de son corps :

« Démone de Luxure… Succube ! Moi, Zoänne, t’ait convoqué en ce monde pour me servir ! J’offre mon corps et ceux des femmes présentes ici, sous réserve que nous puissions utiliser de ta cyprine pour remplir nos stocks d’ingrédients alchimiques ! »

La cyprine de succube était un élément important pour les Amazones, car il permettait à ces dernières de produire les potions permettant aux Amazones de devenir hermaphrodites.

« Voilà quelle sera ta condition pour rester ici : nous fournir autant de ta cyprine que tu le souhaites ! Acceptes-tu mes conditions ? Si tu les refuses, je te renverrais d’où tu viens ! »

Et Nyala put voir la femme à l’intérieur, et s’en pinça les lèvres.

Une merveilleuse succube.

Andarielle était une jeune succube, du moins l'était-elle au regard de la temporalité des enfers, et ce celle propre aux démons. Âgée tout de même de près de deux siècles, la succube possédait comme ses consoeurs d'un corps sculptural, d'une belle peau rouge et de cornes qui ne laissaient que peu de doutes sur sa nature. Elle se trouvait actuellement dans son plan d'origine, même si il lui arrivait fort souvent de s'aventurer dans le plan matériel, afin de séduire des mortels et de se repaître de leurs jouissances, et même parfois de leurs âmes. Elle possédait des quartiers propres dans la forteresse du clan Magoa, dont elle faisait partie, parmi les innombrables succubes sur lesquelles pouvaient compter le clan, et s'y trouvait actuellement, elle se masturbait sur son lit. Oh elle aurait sans aucun problèmes pu trouver un ou une partenaire, mais elle aimait aussi parfois se procurer un petit plaisir intime elle même.

Hmmmmmm....Ahhhh...

La démone portait une longue culotte en latex, qui remontait jusqu'à son nombril, et qui moulait à la perfection son cul qui était tout autant parfait, et elle avait l'une de ses mains glissées profondément dedans. Elle se masturbait, en enfonçant deux de ses doigts dans son intimité, fantasmant et adorant la sensation du latex, le crissement qu'il faisait avec les mouvements de sa main. La jeune démone se tortillait sur son lit, sa queue caudale remuait dans les airs frénétiquement, et de son autre main elle prenait plaisir à tirer légèrement sur les percings en anneaux qu'elle avait aux seins.
Andarielle était proche de jouir quand elle sentit soudainement une sorte de gros poids au niveau de son ventre, et elle se redressa subitement à l'instant où elle sentit cela. Elle n'eût même pas le temps de crier quoi que ce soit qu'elle se sentit alors comme prise par une multitude de mains froides, sur tout son corps, qui la serraient si fort qu'elle se sentait déchirée, prise bien trop violemment. Et dans un flash de lumière, la succube disparû. Elle se retrouva, l'instant d'après, au beau milieu d'une fumée violette, sur un sol en terre...et elle vit au sol des glyphes brillants.
Instantanément, la démone tenta de se téléporter au loin, mais elle sentit alors ce poids au ventre se manifester à nouveau, comme si elle était attachée à une ancre qui la maintenait prisonnière, c'est tout juste si elle parvint à se relever, en utilisant sa queue pour s'épouseter légèrement. Elle avait été invoquée, et visiblement pas par une amatrice, puisque c'était une voix féminine qui acceuillit sa venue. Elle ne sentait aucune faille dans le glyphe d'invocation, qu'elle ne pouvait donc pas quitter, pas tant qu'elle aurait passé un pacte avec l'invocatrice, qui elle seule pourrait la libérer. Lorsque la fumée se dissipa, elle pu voir que trois femmes se dressaient face à elle, et Andarielle posa alors une main sur sa hanche, l'air un peu contrariée.

Encore une mortelle qui découvre ses pouvoirs, et qui ne trouve rien de mieux que de déranger une pauvre succube durant ses occupations hum ? Ta magie est puissante toutefois femme, je dois le reconnaître.

L'attirance immédiate que Nyala ressentit à son égard ne lui passa pas inaperçu, et même de fait, la nature du pacte qu'elle souhaitait passer laissait peu de place au doute. Pour ceux et celle désirant créer des potions alchimiques ayant pour base la magie rose, la cyprine de succube était un composant entrant dans la composition d'une grande partie de ces potions...et même de façon générale, les succubes étaient de loin la catégorie de démones à plus subir les invocations brutales de ce genre.

Soit, jeune humaine, j'accepte tes conditions, toi et tes amies pourrez récupérer mon doux nectar...si vous venez le récupérer à source.

La démone avait alors commencé à passer ses mains sur son délicieux corps, presque nu, afin d'aiguiser l'appétit de ces femmes.

Zoänne perçut rapidement l’origine de cette femme, car elle connaissait un peu la démonologie. C’était une Magoa, l’un des plus puissants clans de la Luxure, tenus par une Succube Primordiale d’une puissance phénoménale. C’était bien la preuve que Zoänne était puissante, car elle avait invoqué une Magoa. Une Succube très belle, et terriblement sensuelle, se dressa, au milieu des volutes de fumée, ce qui tendait à donner à l’atmosphère une ambiance encore plus sensuelle. Puis Zoänne déglutit en voyant clairement le visage enjoué de la Succube, sa pose langoureuse. Nyala déglutit également, en serrant les poings. Elle avait été vierge depuis longtemps, avant que Persée ne la prenne, dans tous les sens possibles du terme, faisant d’elle une femme qui était désormais une véritable perverse, comme si sa grossesse avait pour effet de renforcer son excitation naturelle.

Andarielle se dressa donc, et, après quelques hésitations, dans sa délicieuse culotte noire en latex, avec ses collants rouges et ses bottes, accepta l’offre des Amazones. Zoänne se mit à sourire, et hocha la tête. Dans une invocation, il était très important de ne pas laisser le démon trop libre, et de bien lui montrer son autorité initiale… Mais, avec les Succubes, c’était toujours très particulier. Andarielle se mettait donc à masser ses seins, puis glissa ses mains sur ses hanches… Et les sceaux magiques la retenant disparurent alors, Zoänna s’approchant d’elle.

En se mordillant les lèvres, Zoänne s’approcha. La femme portait une longue cape à capuchon recouvrant son corps.

« Parfait… Honorons donc notre pacte, Succube. Divulgue-moi ton nom… »

Le nom de la Succube fusa, et la Chamane sourit, puis tira sur la ceinture de sa robe, et cette dernière s’ouvrit alors, tombant sur le corps de Zoänne… Un corps totalement nu, d’une beauté incroyable, avec une longue chevelure blonde nouée dans son dos. Belle et parfaite, avec un corps de guerrière musclée et agréable, et une poitrine généreuse, Zoänne esquissa un léger sourire, en posant un pied dans le sceau. La craie ne s’effaça pas, fonctionnant de manière magique, et la Chamane posa l’une de ses mains sur l’une des joues de la Succube, et alla tendrement l’embrasser, serrant son corps contre le sien, glissant une main dans ses cheveux, et elle goûta à ses merveilleuses lèvres.

« Hmmmm… »

Étant l’Invocatrice, c’était à elle de diriger les choses. Elle embrassa donc la femme, et ses mains vinrent se poser sur ses fesses, malaxant son beau petit cul, tout en l’embrassant. À tout point de vue, cette femme avait un corps parfait, et l’embrasser était donc un vrai régal. Zoänne soupirait de plaisir, et termina ensuite le baiser, en posant son front contre celui de la femme. Elle sentait, en étant si proche, la forte excitation de la femme.

« Je t’ai invoqué alors que tu étais en train de te faire plaisir, Andarielle… Je m’en excuse… Mais tu n’es pas la première Magoa que nous invoquons. Nous avons toute confiance en vous, en vos talents… Et ta beauté parle clairement en ta faveur. »

Zoänne l’embrassa à nouveau, tandis que les deux Amazones étaient lentement en train d’être excitées… Du moins, surtout Nyala, qui se mordillait les lèvres, en se retenant de se caresser intimement.

La simple présence de la succube dans les environs suffit à faire monter d'un cran l'excitation de ces trois femmes, car au delà de la beauté d'Andariele et du fait qu'elle soit grandement dénudée, il émanait en permanence de n'importe quelle succube une aura magique, de pure luxure, qui activait et amplifiait la libido des êtres sensibles à la magie. Andarielle avait finalement accepté les conditions de son invocatrice plutôt vite, car elle reconnu nombre de signes distinctifs des Amazones. Les succubes du clan Magoa étaient assez régulièrement invoquées par ces femmes, qui couchaient avec elle pour récupérer diverses substances alchimiques. Les Amazones n'étant pas des saintes pour une partie d'entre elles, elles n'hésitaient donc pas à invoquer des démons, et leurs actions leur valaient en général un aller simple en enfer...où leurs âmes étaient alors récupérées par le clan.
Se trouvant donc ainsi en territoire connu, la jeune succube avait donc l'intention de se montrer plus docile, surtout que les Amazones étaient de réputation des amantes endurantes, très endurantes. Elle murmura donc son nom, son "vrai" nom aux oreilles de son invocatrice, puis lui donna le nom d'Andarielle, par lequel elle s'adresserait à elle. Donner son véritable nom à un invocateur qui vous tenais en laisse, revenait littéralement à accepter de lui être soumise, car la femme allait désormais posséder un pouvoir quasi intégral pour lui imposer sa volonté par magie. Toutefois, les Chamanes Amazones n'abusaient pas de ce pouvoir qu'elles pouvaient obtenir, pour la simple et bonne raison qu'elles risquaient de le payer au moment de leur mort, lorsque leur âme rejoindrait les enfers. Car il ne fallait pas se faire d'illusions, et Andarielle le savait pertinnement, invoquer des démons condamnait l'âme aux enfers...mais pour certaines personnes, cela ne signifiait pas pour autant une éternité de souffrances.

L'invocatrice vint alors se blottir contre Andarielle, mais pas sans avoir au préalable retiré sa large tunique, qui cachait son corps nu que la succube pu voir. Oh ses soeurs n'avaient pas menti, les Amazones étaient de vraies beautés, et celle là à plus forte raison, car Andarielle pouvait pleinement sentir ses origines en partie démoniaque...ce qui expliquait la facilité avec laquelle elle avait pu l'invoquer en toute sécurité. Andarielle posa alors ses mains sur ce corps, et embrassa goulûement la femme, et se frottant un peu contre elle. En mélangeant leurs salives, Andarielle infusait l'Amazone avec un aphrodisiaque naturellement contenu dans sa salive, qui poussa la femme à poser ses pains sur le cul de la succube. Après une brève interruption de leur baiser, l'invocatrice s'excusa auprès d'elle de l'avoir interrompue en plein plaisir intime. Et même si elle acceptait le fait d'être invoquée, il n'en demeurait pas moins qu'Andarielle se trouvait très frustrée.

Hmmmmm...excuses acceptées petite mortelle...mais à une condition, que tu me libère de ma frustration. J'étais tout juste sur le point de jouir lorsque tu m'a invoquée ma belle, et la sensation désagréable m'a...coupée dans mon élan. Tes lèvres sont exquises ma jolie, très douces, et si chaudes...que dirais tu de les fourrer entre mes cuisses hum ?

Andarielle avait glissé sa queue caudale dans le dos de la femme, et la caressait sensuellement, tandis que son regard lui fût soudainement attiré par les deux femmes restées en retrait.

Et qu'en est-il de tes amies hum ? Vont-elles se contenter de regarder ? Ce serait dommage...vu à quel point vous avez envie de moi mes chéries. Venez, venez, je ne mords pas...trop fort, huhu...

 

Oui, ce n’était pas la première fois que les Amazones organisaient ce qu’elles appelaient un « sabbat ». Une fête ancestrale qui avait pour but de célébrer la vie, et qui, malgré la propagande de l’Ordre Immaculé, était encore célébrée par quelques groupes. Il y avait, bien sûr, les sorcières, mais aussi les Amazones. Et, au sein de la Horde, le sabbat avait pour but, non seulement de se faire plaisir, mais aussi de renouveler les stocks de cyprine. Les Chamanes amazones avaient depuis longtemps utilisé la magie rose et les fluides sexuels. En ce qu’ils abritaient la vie, ces fluides étaient des ingrédients magiques très puissants.

Zoänne était donc ravie d’avoir pu invoquer une personne autre que son père, a fortiori une belle et puissante Magoa. Sa bouche était magnifique, et elle pouvait sentir la magie rose affluer en elle, tout autour du corps de la Succube, dont le délicieux petit cul était terriblement agréable à pétrir. Zoänne, avec son corps musclé er bien bâti, frissonnait et soupirait à ce contact. Loin d’être vierge, l’Amazone s’était, pour autant, rarement sentie autant excitée qu’en ce moment. Et c’était encore pire pour Nyala, visuellement très attirée par Andarielle, une attirance accrue et renforcée par toute la magie rose qui sortait. Mythilène, en réalité, était la plus calme des trois, car son corps émettait des défenses naturelles à la magie rose, mais, même malgré ça… Et bien, il aurait fallu être la plus frigide des femmes pour ne pas apprécier Andarielle. Belle, perverse, sulfureuse et provocante, elle était à l’image des Succubes, et Mythilène observa donc le magnifique baiser entre elle et son élève. Un baiser très sensuel, une magnifique promesse pour des moments très intenses à venir.

Andarielle rompit donc son baiser, et, amusée, annonça alors à Zoänne que, effectivement, elle avait été surprise alors qu’elle se faisait plaisir, et voulait donc qu’on lui fasse plaisir, en léchant ses cuisses. La belle Zoänne sourit en retour, puis reporta ensuite son attention sur les deux autres femmes.

« Oh, je ne crois pas, non… Nous, les Amazones, sommes de bien mauvaises spectatrices, nous préférons toujours agir… »

Elle lui sourit, et l’embrassa encore, puis embrassa ensuite ses épaules, et suçota l’un de ses seins, tandis que Mythilène se rapprocha, en emmenant Nyala avec elle. Les deux femmes pénétrèrent ainsi dans le cercle, et Nyala s’empressa de se rapprocher, et embrassa la femme sur les lèvres, ses mains gantées se posant sur les hanches de la femme. Zoänne, elle, était désormais à genoux, devant la belle succube, et approcha ses lèvres de son sexe, en profitant pour renifler l’odeur de sa cyprine… Une odeur délicieuse et magnifique, très parfumée, puis elle fourra sa langue en elle, déplaçant ses mains pour venir les appuyer sur les fesses de la Succube.

Nyala l’embrassa donc, mordillant les lèvres d’Andarielle. À défaut d’avoir perdu sa virginité rapidement, au sein de la Horde, l’Ouvrière avait appris à faire des baisers, et elle estimait être plutôt douée là-dedans. Elle aussi était presque nue, ne portant que des gants et de longues bottes léopard. Elle embrassa donc les lèvres d’Andarielle, et, pendant ce temps, Mythilène se retrouva, à son tour, dans le dos de la femme. Elle avait retiré son pagne bleuâtre, ainsi que son manteau, et était donc, elle aussi, toute nue, avec sa peau blanchâtre et ses multiples tatouages. Ses mains se posèrent sur les courbes de la femme, et elle lui mordilla le cou, avant de profiter des mains de Zoänne pour glisser l’un de ses doigts dans les fesses de la Succube, son doigt remuant dans son délicat fondement.

« Nous te souhaitons la bienvenue, Andarielle… La dernière fois, c’est moi qui avais invoqué une Succube… Je me rappelle encore de son insatiable appétit… La moitié de la Horde, au moins, avait couché avec elle, et elle en redemandait encore… »

La Chamane parla d’une voix calme, posée et sensuelle, tout en remuant son doigt, son autre main venant caresser le ventre de la femme, grattant sa peau, remontant finalement, glissant entre le ventre de Nyala et celui de la Succube, pour venir masser l’un de ses seins. Elle le pinça à hauteur du téton, et tira dessus, avant de le relâcher, et de continuer à le masser.

« Oui… Toi aussi, tu es… Terriblement appétissante… T’offrir nos corps va être un véritable régal… »

Et pas qu’un peu !