Aemiliane se sentait si contente d’offrir un tel moment à ce pauvre garçon. On aurait dit qu’il en était privé. Qu’il n’avait pas le droit, qu’on l’avait maintenu en chasteté et bourrer le crâne de tel façon à le formater. C’était tout simplement odieux et ignoble d’infliger ça à un garçon aussi gentil que lui ! Il méritait mieux, il méritait beaucoup mieux. Bien qu’Aemiliane ne pouvait pas lui offrir plus que du sexe, elle tâcha quand même de bien le lui donner. Ainsi, alors qu’elle offrit sa petite poitrine toute ronde et ferme, elle se mordilla nerveusement les lèvres quand elle sentit son preux chevalier se mettre à les suçoter. « Hooo Theorem … » Couina-t-elle, fourrant ses mains dans sa chevelure pour le caresser, et presser doucement son visage contre elle.
Theorem était comme un affamé, une personne dont on aurait privé de nourriture pendant tout un mois, et à qui on offrait un festin. Il se régalait des petites mamelons tout ferme et tout rose d’Aemiliane, qui rougissait comme jamais auparavant. Elle sentait ses tétons pointer, commençant même à lui faire mal. Mais un mal agréable, bienvenue, qu’elle cherchait à juste titre. Theorem lécha, suça, et se mit même à mordiller sa délicate peau, arrachant un couinement à l’ingénieure qui adorait la façon dont il procédait. Plusieurs minutes s’écoulèrent ainsi, jusqu’à ce que le jeune garçon décale son visage et ne cesse de se régaler. « Waaw, je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi appliqué quand il s’agit de gouter à mes p’tits seins ! » Dit-elle dans un premier temps, en lui souriant.
Toutefois son sourire s’estompa et laissa place à une grimace mignonne. Elle soupira en entendant les dires de son amant, et décida, encore une fois, de lui expliquer ce qui allait réellement se passer. « Mais noooon Theorem ! Non, non et non ! Tu n’as pas compris … C’est toi qui va me sodomiser ! Moi je ne peux pas, j’ai pas de … Pas de truc quoi ! Je suis une fille ! Donc là je vais te le dire mon beau ; c’est toi qui va m’enculer bien fort dans le lit ! Et je ne te laisse pas le choix !!! » Lui dit-elle de sa petite voix aiguë. Elle mit à exécution ses dires en poussant Theorem, de manière à l’allonger, comme auparavant. Ensuite, elle se déplaça en toute furtivité, se mettant à califourchon au niveau de sa ceinture. Elle lui sourit chaudement, puis se mit à dandiner ses petites fesses contre sa trique érigée vers le ciel.
Aemiliane frotta sa raie contre cette verge, lentement, la faisant glisser entre ses deux rives généreuses. Puis, elle plaqua ses mains contre son torse tout plat, levant légèrement son popotin pour l’orienter comme il se devait. Une fois que la verge assoiffée de son amant était dans le bon axe, elle se mit à doucement descendre … Commençant alors à enfoncer le sexe de Theorem dans son fondement. « Haaaww … » Gémit-elle, sentant son chibre écarteler doucement ses entrailles. Là encore, une douleur délicieuse, accueillie à bras ouverts ! Elle se mordilla la lèvre et ferma les yeux, puis se mit à lentement se dandiner de haut en bas, se faisant ainsi sodomisée par son valeureux prince. « Hawww ouiii … » Soupira-t-elle doucement, préférant y aller d’abord lentement afin de sentir le moindre centimètre de cette verge lui rentrer dans l’arrière-train.
Et pour aussi laisser le temps à son amant de savourer chaque seconde de cette sodomie …