Une magnifique créature (Pv Aurora)

- hé bien, pas forçément. Cet objet à une histoire très ancienne, elle montre à chaque personne quelque chose en rapport avec elle, un garçon y a vu ses parents disparuent qui lui disaient de continuer à vivre pur se faire un avenir des plus radieux.

Il eu un moment de silence.

- Moi je vois des ombres familières qui me diesnt de ne pas détester les Hommes malgré leur cruauté, ils me calment lorsque je souhaite la destruction de ce monde.

Elle prit un air étrange.

-Cette fontaine abriterait une entité, comment choisit-elle ses images je ne le sais pas, mais je ne pense pas que cet objet montre le malheur. Il doit simplement nous permettre de vivre tous en n'oubliant pas que le destin veille et...qu'il peut se montrer cruel.

Ces dernier mots avait teintés son visage d'une tritesse bien visible, si elle avait put combattre le destin elle aurait tous fait pour éviter la perte de cette personne qui comptait beaucoup pour elle.

Elle resta là, immobile, ne pouvant bouger, retenant des larmes qui coulèrent malgré elle. Aurora n'avait jamais parlé avec personne et elle sentait comme un lourd fardeau l'écraser sous son poids.

Une tristesse prit vie sur son charmant visage, qui étonna fortement le scientifique, qui pensait qu'elle n'avait aucun sentiment. Quand il apparit qu'elle détestait les hommes, Kisuke ne put s'empêcher de déployer son éventail pour cacher son visage, car si elle voyait qu'il en était un, elle le tuerait surement.

" Le destin peut être cruel, seulement si on le mérite!"

Kisuke s'approcha de Aurora qui l'avait embrassée précédemment pour lui donner un baiser des plus fougueux, et des plus sensuels comme une réponse à ce qu'il pensait être " des avances". Ses bras s'enroulèrent autour du corps de la petite fille, pour la réconforter dans son malheur, et en profiter un peu pour prendre cette personne si fragile, et lui donner beaucoup de tendresse.

" Hais tu tout les hommes maintenant ?"

Son baiser fit voler en éclat sa peine qui disparut lentement laissant place à un sentiment beaucoup fort et réconfortant.

Urahara l'avait enroulé de ses bras, elle les enroula, sans s'en rendre vraiment compte, au tour de son cou pour qu'il puisse continué se baiser.

-Je ne vous haîssait pas car vous êtes différent des autres.

Elle avait cessé de pleurer et se mit à sourire de nouveau, mais un sourire beaucoup plus discret. Le scientifique avait su la réconforter et pour le remercié elle se colla à lui, le serra conre elle.

Elle se sentait bien tous près de lui et ne voulait pas que cela s'arrète.

-HJ- Désolé pour le retard, j'avais plus trop d'inspi-HJ-

La belle petite blonde lui disait qu'il était différent des autres, car lui ne pensait pas spécialement à sauter sur tout ce qui bougeait. Les larmes pures et cristallines furent remplacées par un sourire discret de la part de Aurora. La scientifique se colla contre son collègue, pour plonger dans une totale tendresse. Urahara la colla contre lui, puis il commença à descendre ses baisers vers son cou, pour remonter vers son visage.

" Aurora, je suis un homme simple mais avec des convictions différentes par apport aux autres"

 Le scientifique fit comme un père ferait à sa fille, il ouvrit son kimono noir pour qu'elle pose ses mains sur son torse. Sans attendre une seconde, il mordilla l'oreille de sa partenaire avant de poser sa main sur sa jambe, pour lui décocher un baiser sur sa joue. L'épée tomba hors de son fourreau pour tomber sur le sol dans un rugissement métallique, alors que Urahara se pencha vers elle pour lécher ses lèvres.

Tant de tendresse ne pouvait se refuser, elle en fut surprise car son épée était tombée du fourreau avant de reprendre sa forme de collier au sommet de l'étagère.

Aurora avait l'impression de plonger doucement dans un doux rêve, elle voulait que cela ne s'arrête pas, elle posa doucement ses mains le long du torse de Urahara.

Son attitude alluma un brasier dans le coeur effaçant ses anciennes blessures.

-Merci

Pour elle si la magie avait une limite c'était celle-ci, elle ne pouvait pas soigner les blessures du coeur ou éviter celui-ci de rester dans la haine et l'envie de vengeance, seul les être vivants le pouvait et particulièrement les humains.

Lorsque Urahara fut assez pret, elle l'embrassa, mais cette fois sans rougir ni éprouver de la timidité, Aurora voulait faire durer cette rencontre aussi longtemps que possible.

Le remerciant, il ne comprit pas pourquoi elle devait le remercier car les deux corps s'attiraient et devaient donc combler le manque des deux personnes. Les deux visages s'approchaient, avant qu'il ne sente les lèvres douces de Aurora se poser sur les siennes. Kisuke était surpris de l'attitude de sa partenaire avant qu'il ne remonte sa main à travers sa robe, pour caresser les bas peu choquants de la petite fille. Le scientifique la fit s'allonger sur le canapé avant de continuer à l'embrasser tendrement.

" Mais pourquoi un merci jeune demoiselle ?"

 Resserrant son étreinte sur elle, il remarqua que aucun frisson ne parcourait le corps de la femme au corps d'adolescente. Les deux génies scientifiques déposaient des baisers avec passion sur le corps de leur partenaire respectif. Déserrant les ficelles qui retenait son vêtement, il commença à mordiller son cou en descendant lentement vers son unique cible, la petite poitrine de sa confrère pour lui faire découvrir les voies du sexe.

" Voudrais tu que je continue ?"

Elle le voulait, c'était comme si son corps s'enflammait, elle qui n'avait connue que de faibles feux de cheminés, elle serra l'étreinte ses bras le plus tendrement possible, elle sentait une main lui caresser l'une de ses jambes, naturellement se respiraton se fit plus vive, elle ne pouvait plus retenir se flot de sentiment qui l'emportait.

-Oui

Elle suivit de ses mains la courbe du dos du scientifique.
Aurora fit remonter le visage de Urahara pour l'embrasser et en profité pour toucher davantage le corp de l'homme, le caresser, le baisser pour attiser son désir, bien qu'elle n'avait pas pensé à cette dernière chose.

Elle voulait redécouvrir le bien-être, le sentiment de plénitude que l'on avait lorsque l'on ce laissait aller aux plaisirs de la chair.

Lorsque Aurora était sous l'emprise du plaisir elle se montrait plus sauvage, pas violente, juste une impression
de sauvagerie se dégagait d'elle s'en qu'elle ne s'en rende compte.

 Urahara aussi voulait serrer contre lui ce corps si fin, comme un père le ferait avec sa fille, mais d'une drôle de manière. La respiration calme habituelle de Aurora se transforma rapidement en une respiration qui lui fit comprendre ce qu'était que l'amour car la petite voulait de la tendresse, et elle avait jetée son dévolu sur le scientifique de l'organisation des scorpions noirs.

A finir