"Je part du principe que tout a un prix... En particulier la vie."
Là... Dans cette vieille cave abandonnée, t'attendais tranquillement le réveil de ton contrat, ou plutôt, de la première partie de celui-ci. Et ouaip, deux têtes pour le prix de 500 000 000 000 ¥ .Tu pousses un grand soupir, tu tires une grosse latte sur ta clope... Et tu lèves ton gros cul du bidon d'essence sur lequel t'étais assise. Tu prends au passage deux gros clous bien badass et tu commence à les faire s'entrechoquer l'un à l'autre à deux centimètres de la gueule d'un des deux types que tu dois liquider, ce dernier étant bien attaché à une chaise suédoise merdique avec du chatterton gris des familles.
Allez, allez... Debout mange merde... J'ai besoin que tu sois bien réveillé ! Ouai... Tu n'es pas la plus cool des représentantes de ton métier... Mais ça, on s'en branle un peu, et toi aussi ! T'as pas était conçue pour être cool, tu te dis même des fois, que ta mère aurait mieux fait d't'avaler... Mais bon... Le foutre, ça ne devait pas être sa tasse de thé... L'avortement non plus apparemment... Du coup, t'es là... Ouaip !
Gnnn... Quoi "gnnnn"... Allez, debout connard, j'ai un contrat à conclure moi ! Put... Je suis où là... Tu soupires un grand coup et... Et vlam ! Tu enfonces violemment les deux clous dans les genoux du flic (oui, c'est un flic), histoire qu'il soit un poil plus réactif... Et réveillé aussi...
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAh!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!aaaaaaaaaaaah mais ferme... TA... GUEULE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Et revlam ! Tu lui balances une tarte saveur phalanges en pleine tronche, avant de lentement reculer d'un ou deux pas. Le pauvre mec n'a encore rien dit qu'il s'en prend déjà plein la gueule.
Bon... Alors, d'après mon contrat, tu t'appelle Daisuke Kazajinshi et...T... Putain... Quel contrat ?Hein ?... Tu fronce alors les sourcils avant de légèrement tourner ta tête vers la droite, voyant alors une magnifique clé anglaise rouge pétante, tu sais, le genre de clé énorme là... Bref, on s'en branle... Tu te saisis de la dite clé et tu te remises à parler d'une voix calme et posée.
Bon... je vais instaurer des règles avec toi... D'accord ? Doucement, tu prends une bonne inspiration... Tu fermes les yeux... Et tu y vas...
*CRAC !* AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!!!!!!!!!!!!!!!!! Oui... Tu viens d'envoyer un grand coup d'clé anglaise dans le tibia de ce pauvre mec, offrant à ce dernier une bonne séance de rééducation ainsi qu'une super cure à base de yaourts.
Bon... Règle numéros 1... Ta gueule... Ici, c'est moi qui pose les questions, toi... Toi, tu réponds à ces questions... Genre... Tu réponds... À mes questions, hm ? Comprendo ? Va... T'faire foutre ! Put... Hmmpfff... bordel...Hein ? J'ai pas tout compris là... Tu répètes st'euplait...Ta gueule ! Et hop ! Un p'tit crachat en plein sur tes belle bottines à talons... S'pas cool ça...
How... Kay... Tu haussas vaguement les sourcils puis tu fermas une nouvelle fois les yeux... Et dans un calme magistrale... Tu lui éclatas l'autre tibia !
*JBLANG !* GNNNNIUUUUU... HUUUMMMMPFFFFFFF !!!!!!!!!!!!!!!!! Lâchât, il en serrant les dents
À... Tiens... Tu cries moins tout à-coup ? Je me trompe ? L'homme soufflait, trépignait de douleur, il transpirait comme s'il avait couru un marathon et visiblement... Il avait mal... Enfin... C'était ton but non ? Calmement, tu repris la parole en te frottant le front d'un air un peu désespéré.
Bon... Tu... Tu me casses les couilles ! Hein ! Tu m'emmerdes... Tu... Moi c'est clair, je peux tabasser du flic pendant des heures si je veux, mais je sais pas si ta gueule de citron aimerais ça elle... Tiens... En parlant de couilles... BLAM ! Tu lui mis un bon coup d'clé dans les valseuses ! !
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Ah... Ah... AAAAAAAH PUUUUUUTTT... AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN ! Oups... je crois que j't'en ai éclaté une...Bordel... Sa fait.. MAAAAAAAAAAAl !!!!!Tu as mal ?Hmpfff...Ok, je vais soulager tes petite couilles de bridé... Tu pris ton mégot encore chaud... Et tu vint violemment lui enfoncer dans l'oeil gauche !
AAAAAAAAAAAAAAAAAAHAAAAAaaahahaahAAAAAAAAA!Voilà... T'as plus mal au couilles maintenant... Sadique ? Naaaaaaan !
La clé anglaise avait fait son temps, il était maintenant l'heure de faire preuve d'un poil plus de... Professionnalisme. Tu pris alors deux pinces électriques qui tu vins accrocher aux clous qui étaient enfoncés dans les genoux du flic, les ditent pinces étaient, quant à elles, reliées à un assemblage de câbles menant à une prise.
Bon, maintenant, tu vas me faire... L'immense plaisir de me dire où habite... Cette personne.
Lentement, tu sortis une photo de ta poche, montrant un homme d'une soixantaine d'années... Le commissaire Koari Tanobu. Le type que t'étais entrain d'faire mijoter, reconnu bien évidement son patron et, d'un air qui mêlait la douleur à la colère, il te cracha au visage.
Ah... Ah... Tu... Tu sais s'que tu es entrain d'faire là... Put... Putain, tu sais que tu es... Hmmpfff... En train... DE T'ATTAQUER AUX FORCES DE POLICE ! NUUUUUUUUUUUUUUUUUT !!!!! Mauvaise réponse, retentais votre chance ! Et hop ! Ta main droite actionna l'interrupteur, transformante ainsi notre policier en véritable pikachu vivant ! Oh, bien évidement, cela ne dura que cinq petites secondes, mais... Au vu de comment le poulet serrait les dents... ça faisait pas du bien !
Allez sac à merde... Crache-moi l'morceau... Il crèche où ton enfoiré d'patron ? Le pauvre n'arrivait même plus à parler, toutefois, il semblait encore investi d'une certaine petite fierté et par
conséquent... Il ne te répondue que par une simple petite phrase.
Dans... Dans le Quarti... Quartier de Mogyô-ku...
Hmm... Ok... Et ? Pas de réponse... Un petit soupir s’échappât une nouvelle fois de ta bouche... Ouai, ce flic était vraiment une putain d'tête de con ! Mais... Les têtes de con, toi, ça te connait. C'est donc avec un certain plaisir, que tu remis ton grille-pain en route.
GGGGGggguuuueugnnnnnn... Hmpfffff !!! GNIIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAAh !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Le type tremblait de partout, ses cheveux se dressaient légèrement sur sa tête et... Et il venait tout juste de se pisser dessus... Ouai, s'badass la torture !
Je... Comment dire... T'avais plus de temps à perdre... Fallait qu'il parle !
Maintenant, tu vas tout me dire, j'ai plus envie de perdre mon temps en élucubrations et autres palabres merdiques, compris connard ! T'as beau être un flic, tu ne m'impressionnes pas, D'ailleurs, rien ne m'impressionne, ni toi, ni les autres flics, ni l'armée, ni même vos putains d'mafias de merdes à la con ! J'ai un credo sac à merde, UN SEUL PUTAIN, DE CREDO ! La vie, c'est comme tout, c'est monnayable, la tienne... Elle est déjà sous contrat, alors soi, tu craches et tu crèves avec dignité... Sois tu crèves comme une grosse merde... Compris ?...COMPRIS !L'homme hocha de la tête, tendit que les larmes commençaient à lui monter aux yeux. Ta main, quant à elle, tenait toujours l'interrupteur.
1...Nan...2...Nan... Arrêtez...3...Oh... O... Ok ! Ok ! Je... Je vais parler... M... Mais arrêtez s'il vous plait... *snif*... Arrêtez ça...Parle, enculé... Il prit une grande inspiration, puis enfin... Sa langue se délia...
Il... Il... Il habite dans le Quartier de Mogyô-ku... Section 3... 7e bloc de bâtiments... I... Immeuble 56, appartement 24...Un point de vue extérieur ?Ah... Bord...4...Je...Je sais pas... Je sais plus...5...JE SAIS PLUS !T'es sur...Ton regard était cinglant et cruel... À tel point que... L'homme avoua au final la dernière information...
Ou... Oui, il y à un point de vue possible... sur le côté nord de l'immeuble, la grande baie vitrée qui donne sur la chambre de sa petite fille...*Glup*...Une heure à me donner peut-être ? Hm ?T... T'es une putain d'tarée... T'es une salope.... Ch'sais pas qui t'es... Mais...Ta gueule et répond... J'te rappelle que le compteur en est à 6, alors faute d'avoir gâché mon temps, ne gâche pas le tient...
L'homme ravala sa salive une nouvelle fois en versant une larme...
Il... Il raconte toujours une histoire à sa petite fille avant qu'elle ne s'endorme... Aux alentours de 21h...Ok... Ça me suffit...Lentement, tu tournas le dos à ta victime, ramassant alors ta veste de smoking noire qui traînait sur une autre vieille chaise. Un petit coup d'oeil à ta montre... 19h44... Tu te grillas une bonne clope, puis tu te décidas enfin à sortir de ce trou à rat.
Eyh... EYH ! Me... ME LAISSE PAS LÀ !!!!!! Ton regard passa vaguement par-dessus ton épaule... Puis...
Tu m'enverras la facture de courant... Après cette Punch-line magistrale, ton pied vint à délicatement actionner l'interrupteur... Le mec hurla comme un beau diable, mais toi, tu t'en foutais pas mal, tu avais fait la première partie de ton contrat... Il te fallait passer à la suite. Une fois sortie du bâtiment, tu te dirigeas vers ta magnifique Jaguar XF mauve nocturne, une bagnole que tu avais fait blinder avec pneus increvables et tout l'toutime. Tu ouvris ton coffre afin de voir si, tu avais tout ce don, tu avais ce don, tu allais avoir besoin. Là, parmi les canettes de bière et les balles de calibres différentes, il y avait une
carabine HK M-416 carabine HK M-416 ainsi qu'une grande mallette noire, contenant un
E.D.M Windrunner de calibre 50... Ouaip, tout était là... Tu lanças rapidement un regard aux alentours, avant de refermer ton coffre puis de monter à bord de ta bagnole afin de partir à toute berzingue vers le Quartier de Mogyô-ku... Un Quartier paisible, avec de grands buildings composés de plusieurs grands appartements assez luxueux... Ce soir, la poudre aller une nouvelle fois parler... Aller Bitch, come on... and take your best shot !
Tu filais à travers les rues de la Toussaint quand tout à-coup, la pluie vint à faire irruption... La pluie et l'orage... T'aimais la pluie... Ouai, t'aimais la pluie, quelle que soit sa composition tu l'adorais... Surtout les pluies de balles, les déluges d'essence et les raz-de-marée de feu et de sang... T'as pas d'éthique, aucune loyauté, aucune limite, tu étais, es et seras toujours une putain d'machine à tuer, le fric c'est ta carotte, les flingues tes amants... Ta vie ? C'est une putain de longue route vers l'enfer. Une fois arrivée sur les lieux, tu zieutas un peu l'immeuble, tu fis rapidement le tour de ce dernier avant d'enfin trouver le bon angle d'attaque. Tu regardas une nouvelle fois ta montre... 20h15... Il te restait à peu près une quarantaine de minutes... Aller, go ! Rapidement, tu retournas chercher la mallette dans le coffre de ta bagnole avant de grimper sur le toit d'un immeuble qui donnait juste efface du côté nord de l'immeuble de ta cible. Il y avait plusieurs grandes fenêtres, mais tu en savais assez... Largement assez. Tu pris le temps d'assembler ton Sniper puis, une fois cela fait, tu te mis en positions... Attendant le moment propice. 20h43... Une chambre s'allume... Jusqu'à là, rien de spécial, des chambres qui s'allument, tu en as vu pas mal depuis ton arrivée. Une petite fille entre dans la chambre... Puis... C'est lui ! Ta cible venait d'entrer, un livre à la main... L'autre tache avait raison. La dite petite fille prie place dans son lit, avec un innocent sourire aux lèvres... Le commissaire, quand, à lui, vint à s'asseoir sur une chaise, aux côtés de la fillette... La cible était immobile... Tu t'apprêtais à tirer... Ton index sur la gâchette... Ton souffle coupé... Tes sens affûtés au maximum et ta concentration montée à 200 %. Tu t'apprêtais à descendre ce type sous les yeux innocents d'une gamine... Rien à battre, tu en as rien à foutre, ce n'est pas dans tes attributions de chialer et puis... Ce n'est pas dans tes habitudes non plus.
Eins ... zwei ... drei ... Boom ! Ça y est... La balle avait atteint la cible... Explosant la vitre en mille morceaux... Éclatant le crâne du pauvre homme en aspergeant la belle tapisserie hello kitties de sang et de morceaux d'cervelle... Tu réamorças ton arme, éjectant la cartouche vide sur le sol... Avec toujours la même expression, tu te mis à rapidement démonter ton arme, rangeant consciencieusement chaque partie dans ta mallette et une fois cela fait, tu repartis vers ta voiture, en veillant à reprendre la cartouche vide au passage. Tu balanças ta mallette dans l'coffre, puis tu repris la route... Comme ci de rien n'était... Tu habitais dans une maison au nord de la ville, dans le quartier "hype" de celle-ci... Dernier endroit où quelqu'un viendrait chercher une tueuse à gages. En route, tu vis plusieurs voitures de police se dirigeaient vers le lieu de ton méfait, ainsi que des ambulances... Qu te fit légèrement sourire... Une fois ta bagnole foutue au garage, tu allas prendre une bonne douche, mettant à nue ton corps de femme, un corps magnifique, là encore, qui aurait put croire que ce corps appartenait à une tueuse à gages. Longuement, tu restas sous la douche, l'eau venant ruisseler sur ton dos... Une fois sortie de la douche et essuyée, tu allas te poser dans ton canapé en allumant ton écran plat... Aux infos, il parlait de ton oeuvre... Surement allais-tu recevoir un message du... Bas tient, justement, ton portable se mit à vibrer sur ta table de salon en verre. Tu avais reçu un message de la part de ton commanditaire.
*C'est du bon boulot Dobermann... j'ai envoyé le reste de la somme sur l'un de tes comptes, au plaisir de refaire affaire avec toi.* Tu effaças ce message... Puis tu allas te coucher... Le meurtre, c'est t'a destiné...
Nom : Flake Van Lindermann
Prénom : Frau
Surnom : Dobermann, La Shleu, La Fritz... Mais je vous déconseille d'employer les deux derniers.
Age : 25 ans
Race : Humaine
Nationalité : allemande/Américaine, on ne peut pas vraiment dire qu'elle a la nationalité japonaise... Disons qu'elle n'est pas rentrée au japon "légalement" (Faux papiers toussa... Ouai toi-même, tu sais.)
Origine : allemande, 100 % Made in Germany ! Née d'un père allemand et d'une mère allemande. Il n'y a pas un pet d'autre chose dans ses veines, ça, je vous le garantis.
Orientation : bisexuelle, elle aime autant les hommes que les femmes.
Expérience : expérimentée.
Aspect physique
Frau est une femme plutôt belle, même si selons les critères masculins, elle est dans la "moyenne'. Un corps athlétique et élancé, don la légère musculature peut se voir, comme au niveau de ses abdos par exemple, résultat de plusieurs années d'un rigoureux entraînement quotidien. Elle atteint le bon mètre 80 et cela, sans ses talons, par conséquent, on peut dire que, oui, Frau est une grande femme. Au niveau de la poitrine, frau n'est pas particulièrement gâtée, sans pour autant en être totalement démunie. Elle possède un bon bonnet C. En ce qui concerne ses hanches et ses fesses ? Et bien, elles sont solides et bien fermes, comme tous son corps en-faite... Sa profession l'oblige à avoir un corps robuste. Niveau vestimentaire maintenant, Frau porte le plus souvent un costume de smoking noir ou blanc, avec en dessous de ce dernier un débardeur de petites tailles. Elle aime aussi porter des treillis militaires et des vêtements de cuirs (blouson, pantalons). Son look en générale est celui d'un garçon manqué, même si, à de rares occasions, elle peut porter une petite jupe de cuir qui accompagnera à merveille son perfecto noir, yeah, en mod biker mothafoucka ! Dernière petite chose, Frau aime sa coupe de cheveux ! Ouai, elle adore avoir le crâne rasé sur les côtés, ça donne un look trop badass !! Ah ! Et voici le
tatouage qu'elle a dans son dos.
Aspect psychologique
Psychologiquement, Frau est plutôt... Euh... Normal ? Nan... NAN ! Enfin, si, mais... Nan... Roooh et puis merde ! Frau est une tueuse dite "professionnelle", par conséquent, elle a êté entraînée pour ça, elle a appris à se vider de toutes émotions, de toute forme de compassion envers sa victime, une fois qu'elle a son contrat dans le viseur, rien ne peut plus l'arrêter, elle devient une machine à tuer, NAN ! Elle est, une machine à tuer ! C'est l'une des meilleurs dans son domaine, ci-ce n'est LA, meilleure. Elle manie toutes les armes, allant du simple Berreta au lance-roquette et elle pratique trois arts martiaux différents : karaté, ju-jitsu ainsi que la boxe française. Elle a des connaissances sur à peu prêt tout et, si elle ne peut pas vous tuer avec une arme à feu, elle vous tuera autrement, croyait moi. C'est une pro et c'est surement ça, la vraie différence avec tous les autres péteux de la pègre. En ce qui concerne sa façon de penser... Et bien... Elle part du principe que tout à un prix en ce monde, y compris la vie humaine, tout, TOUT ! Peut se monnayer, vous ne voulez pas vous salir les mains ? Et bien appelait "Dobermann", elle se fera une joie de liquider vos soucis ! À oui, dernière petite chose, Frau a par moment quelques petits sauts d'humeur et elle a aussi une très légère sociopathie mais... Comme vous êtes quelqu'un de bien, vous n'aurez jamais aucun soucis, hein...
S'mon dixième compte... Mais genre vous savez qui je suis donc... Voilà quoi