[FINI] Une bleu cher les humains [ Mélinda Warren ]

[HS – Ça n’a aucune importance, rien ne presse ^_^]


Durant ce long échange buccal, Alice « Cyan » ne fut pas en reste, et caressa un peu le corps de sa Maîtresse, qui ne s’y opposa guère. Elle laissa les doigts griffus de la jeune Terranide filer sur son corps, pressant ses seins, ainsi que ses fesses. Mithraïl était légèrement plus vieille que ce qu’on pouvait croire. Simple humaine, elle n’était pas éternelle, mais avait, sans hésitation, utilisé une partie de son argent pour voyager jusqu’à Novac, un archipel protekhan qui se caractérisait par un haut niveau technologique, afin de se faire greffer des nanomachines, ce qui lui avait permis de voir son corps rajeunir. Elle n’avait pas gagné en âge, mais, physiquement, elle faisait plus jeune. Ses rides avaient disparu. Pour Mithraïl, le fait de se sentir belle était extrêmement important. On pouvait tout à fait y voir une sorte de vanité, proscrite par l’Ordre Immaculé, mais Mithraïl n’était pas vraiment une fervente religieuse. Elle vendait des êtres vivants, généralement dans un commerce sexuel international. Il lui semblait important d’être belle, afin de rassurer les esclaves qu’elle éduquait.

En l’état, tout semblait plutôt bien amorcé avec sa Terranide bleue. Aussi belle qu’excitée, la jeune créature avait des lèvres magnifiques, et un corps plantureux. La manière dont sa poitrine se soulevait indiquait, sans aucun réel doute possible, l’excitation qu’Alice ressentait en ce moment La belle Terranide, se rapprochant sensuellement du corps de Mithraïl, formula  une demande, sur un sourire qui exprimait autant son plaisir que sa soumission à ce qu’elle subissait :

« C'était..incroyable.. J'en veux plus... Tu peux maîtresse ? »

Mithraïl esquissa à son tour un sourire, et laissa Alice se blottir contre elle. La langue d’Alice lécha la joue de l’esclavagiste, provoquant sur son corps un frisson. Ses mains gantées agrippèrent les hanches bleues de la Terranide, les frottant, pour retourner se poser sur ses fesses. Une main sur chacune d’entre elles, tandis qu’elle allait frotter son nez contre le menton d’Alice, glissant contre ses cheveux, avant de lui parler, dans le creux de l’oreille :

« Je te ferais plaisir jusqu’à plus soif, Alice... Mais, en contrepartie, tu dois savoir qu’une esclave ne tutoie pas sa maîtresse. Il faut la vouvoyer, c’est la coutume. Ça peut te sembler artificiel, j’en conviens, mais c’est un usage qui est utilisé sur tout Terra. »

Le vouvoiement était la marque du respect, une simple locution, mais qui signifiait tant de choses. On le sentait même dans la langue, dans son usage : c’était plus lourd, plus marqué, que le simple « tu », plus respectueux, et donc plus en vigueur d’exprimer la nature de la relation entre un esclave et son maître. Si le maître devait tutoyer, l’esclave devait vouvoyer. Inversement, on imaginait en effet assez mal un maître vouvoyer son esclave. Ce serait lui montrer une marque de respect, comme s’il s’adressait à un égal, alors que, techniquement parlant, l’esclave était un objet du maître.

La langue d’Alice fila sur le cou de Mithraïl, qui soupira, tout en continuant à peloter les fesses de l’esclave. Elle les pressait, les malaxait, avec une sorte de vigueur évidente.

« Hum... Tu es douée, ma belle Alice... Te faire l’amour est un vrai régal, et j’espère qu’il en est de même pour toi. »

Elle déplaça sa tête pour heurter celle d’Alice, l’amenant ainsi à la relever, pour un nouveau baiser, plus bref que les précédents, tandis que ses mains continuaient encore à s’attarder sur les fesses. Elle écartait chacune des fesses bleues de sa partenaire, avant de les ramener, les pétrissant.

« Est-ce que tu aimes ça ? s’enquit-elle. Quand je m’amuse avec ton joli petit cul ? »

Mithraïl n’avait pas du tout oublié les seins d’Alice, dont elle comptait s’occuper sous peu, mais, avant de vraiment s’attarder dessus, elle voulait savoir si la belle esclave appréciait les attentions sur ses fesses. Ce serait un élément d’appréciation assez important pour Mélinda, qui se prédestinait de plus en plus à être la Maîtresse permanente d’Alice.

Quelle joie, la maîtresse acceptait son étreinte sans rechigner, la laissant même la caresser, elle s'essayer à dégager la poitrine de cette dernière avec...un manque évident de manière, l'arrachant à coup de griffe sans attendre sa réponse tandis que l'esclavagiste lui pétrissait les hanches puis...les fesses ? La novice marqua un temps d'arrêt prudent, puis comprenant que c'était vaguement plaisant repris ses caresses allant pour suçoter le sein droit de sa compagne tandis qu'elle lui susurre des mots à l'oreille. Elle mis un certain temps à comprendre ce que cela signifiait, trop occupée à "téter" la femme modifiée avant de se redresser.

Te vouvoyer ?...Si tu...vous..Ve..voulez

Elle grogne, dépitée d'avoir du mal à agencer ses pensées, préférant se taire et retourner laper le coup de Mithraïl sensuellement petit coup de langue par petit coup de langue, plus proche des baisers d'ailleurs elle sourit en allant suçoter l'autre sein de la femme, cambrant lascivement son postérieur pour l'offrir aux nouvelles sensation qui lui sont offertes, sentant son petit cul bleuté s'écarter pour se resserrer ensuite.

« Hum... Tu es douée, ma belle Alice... Te faire l’amour est un vrai régal, et j’espère qu’il en est de même pour toi. »

Ha ça, c'était un régal en effet. Mais elle marqua un temps d'arrêt néanmoins. Semblant réfléchir ou plutôt chercher ses mots avec soin, continuant de caresser les seins de sa maîtresse, son autre main va solliciter l'endroit de désir situé entre les cuisses de cette dernière.

Je..suis très heureuse de ce que vous me faites ressentir, mais...pourquoi vous limiter à mes fesses ?..je serai ravie de vous offrir ma poitrine.

Allant pour retourner s'occuper de la poitrine de sa propriétaire elle se fait interrompre par un baiser surprise sulfureux quoique moins long..Bah ! peu importe elle continue à se faire caresser et ça lui suffit amplement ! Elle cherche à nouveau les lèvres de sa maitresse pour les lécher sagement...une demande ?

« Est-ce que tu aimes ça ? s’enquit-elle. Quand je m’amuse avec ton joli petit cul ? »

Elle penche la tête sur le coté, clignant lentement des yeux tandis qu'elle ondule lentement, un peu timidement ?

C'est..nouveau maîtresse. Mais pas vraiment désagréable, je suppose que vous allez essayer d'aller plus...avant dans ce sens ?

C'est alors que la Teranide bleuit doucement, donnant tout son sens au terme "Cyan" en effet le bleu nuit laisse place à une douce teinte claire plus proche de la couleur du ciel tandis qu'elle va pour renverser Mithraïl et relever sa croupe, toute offerte aux mains de la maîtresse. Retournant léchouiller un des seins tant convoités. Ses mains étant toute deux aller caresser les cuisses de sa proie...ou de son prédateur ?

« C'est..nouveau maîtresse. Mais pas vraiment désagréable, je suppose que vous allez essayer d'aller plus...avant dans ce sens ? »

La jeune Terranide supposait bien. Mithraïl voulait explorer son corps, analyser ses limites, dans un point de vue purement marchand, mais il n’y avait pas que ça. Elle était certes une marchande, mais aussi une femme, une femme heureuse de pouvoir coucher avec une autre femme. Son postérieur était très agréable, et se sentir pelotée ne gênait pas du tout Alice, ce qui, indéniablement, était un bon point pour elle. Bien au contraire, elle semblait apprécier ça, et s’était amusée à jouer avec les seins de sa Maîtresse, tout en lui rappelant qu’il y avait d’autres parties de son corps que Mithraïl pouvait explorer. Sur ce point, elle n’avait guère à s’en faire. Tout vient à point qui sait attendre, comme l’affirme le proverbe, et la poitrine d’Alice ne ferait pas exception à cette règle. Mithraïl comptait bien s’en occuper, et elle le ferait dans les règles de l’art. La Terranide en redemanderait.

Elle se cambrait, afin de faciliter les mouvements de Mithraïl, qui eut le sentiment de voir sa peau bleuir un peu plus. Soit elle était en train d’halluciner, soit la jeune femme avait quelques capacités spéciales. L’un dans l’autre, ce n’était pas problématique, mais il valait mieux qu’elle le sache, afin que la fiche qu’elle ferait d’Alice soit la plus complète possible. Elle ne se faisait pas d’inquiétude concernant Mélinda, qui était une cliente de plus en plus régulière, mais il fallait rester professionnel jusqu’au bout.

« Installe-toi sur le lit, ma belle, finit par ordonner Mithraïl en se décollant de sa partenaire. Ce sera mieux pour parfaire ton initiation. »

Tandis qu’Alice s’exécutait, Mithraïl, elle, se déshabilla un peu. Elle ôta ses vêtements, et finit ainsi toute nue, offrant à Alice une sorte de court strip-tease. La beauté de Mithraïl était loin d’égaler celle de Mélinda, mais elle estimait être dans un bon état de conservation. De plus, la perspective de coucher avec cette beauté exotique et docile n’était pas sans provoquer en Mithraïl un virulent émoi. Cette scène l’excitait, elle ne pouvait pas le nier, et elle en ressentait des frissons, qui tendaient ses muscles, et traversaient tout son corps. Brièvement, elle observa le corps nu d’Alice étalé sur le lit, se pinçant les lèvres, et entreprit de se rapprocher. Elle posa l’une de ses mains sur les jambes d’Alice, et posa ses genoux sur le rebord du lit, grimpant dessus, partant progressivement à l’assaut, remontant le long de son corps.

Elle embrassa les jambes d’Alice, glissant sa langue le long de son corps, embrassant brièvement son sexe, son nez glissant entre ses lèvres intimes, avant qu’elle ne remonte, son nez frottant contre l’estomac d’Alice, sa langue partant à l’assaut de son nombril. Dans la manière dont Mithraïl agissait, on pouvait sentir toute son expérience du sexe. Elle maîtrisait pleinement ce domaine, sans la moindre difficulté. On pouvait sentir qu’elle maîtrisait le sujet, à force de coucher avec ses esclaves. Lentement, elle remonta jusqu’aux seins de la femme, et en prit un dans sa bouche, le léchant à hauteur du téton, ses dents glissant dessus. Sa bouche avalait une partie de son sein, Mithraïl s’aidant de sa main pour compresser cette belle masse de chair. Son autre main, quant à elle, fila jouer avec l’autre sein, et, lentement, l’esclavagiste s’allongea sur le corps de sa proie.

Mithraïl changea de sein, mais s’attarda assez longuement sur ces derniers, dans l’objectif d’entendre Alice haleter, et de la sentir se tortiller contre son corps. C’était une chose qu’elle adorait sentir chez ses partenaires.

Ainsi l'humaine...non, sa maîtresse du moment, puisqu'elle entendait la vendre apparemment, s'attarder sur ses fesses. Bah ! Qu'elle se fasse plaisir puisque'au final ça lui plaisait aussi, soulignant son contentement, sa peau à présent d'un bleu cyan , si loin de son bleu nuit frissonne sous ses caresse tandis qu'elle sourit à pleine dent, non pas en prédatrice, mais en jeune femme comblée, le regard pétillant tandis qu'elle va lécher la gorger du bout de la langue, se repaissant de cette odeur si grisante que la maîtresse dégage, cette odeur qui l'a fait fondre, oublier sa méfiance, cette méfiance qui aurait causer problèmes et douleur...Oui ce parfum est merveilleux, et ses caresses divines. Elle cru remarquer un léger doute dans le regard de Mithraïl, sans doute de voir sa peau pâlir, elle s'en amusa et poursuivie son exploration sensuelle, avant de reculer, Alice allant pour la suivre mais elle la tint à distance...

- Installe-toi sur le lit, ma belle, Ce sera mieux pour parfaire ton initiation.

La jeune novice inclina la tête, se retournant pour onduler des fesses, pensant bêtement que c'était la seule partie qui intéressait sa propriétaire avant de s'asseoir sagement sur le lit, se surprenant à sentir un matelas si confortable et moelleux tandis qu'elle observe sa Dame se déshabiller lentement et suavement, faisant monter un désir certain dans la jeune créature..Peut être s’essaierait elle à porter des vêtements juste pour pouvoir les ôter...qui sait ? Elle ne pu retenir un lent gémissement en voyant les derniers remparts tomber pour offrir à sa vue le corps sculpté par la technologie de l'esclavagiste. Et ce corps promettais de lui offrir tant de plaisir qu'elle déglutit en souriant

- Vous êtes...belle.

Une question, une affirmation ? Elle n'était pas sure et s'en fichait, voila déjà que l'objet de ses fantasmes s’avançait vers le lit pour la surplomber, se penchant pour caresser ses cuisses du bout des doigts, remontant suavement avant de sentir un contact nouveau...un baiser ? si bas ? La Teranide penche la tête, regardant avec surprise l'humaine qui embrassait son intimité avec tant d'adresse...et tant de délice tandis que les caresses...non, la caresse, unique et interminable se poursuit, le nez de sa maîtresse remontant lentement, caressant son secret le mieux gardé avec une adresse divine remontant sur son nombril..puis son ventre, tandis qu'un nouveau baiser...non une caresse humide...oui, elle lui léchait le nombril, ne parvenant pas à retenir un couinement d'aise tandis que la sensation évoluait encore, remontait sur ses..seins ? La maîtresse s'amusait à téter sa poitrine ? Elle cligna des yeux mais se retint bien de dire quoi que ce soit, se contentant de subir un instant ces nouvelles sensation avec délice, gémissant suavement sous ses assauts. Songeant que son deuxième sein était bien au froid...Au moment même ou Mithraïl changea d'angle pour s'occuper de ce dernier, elle sursauta, lisait elle ses pensées ? ...Non, illogique : elle était douée c'est tout. Elle décida d'essayer de rendre la pareille à sa propriétaire, plaquant avec prudence ses griffes sur les fesses offertes de sa maîtresse, les massant sournoisement, incertaine même. Elle essaiera de "piquer" cette partie de l'anatomie qui semblait tant lui plaire avant de se figer, sentant l'esclavagiste se plaquer contre elle, redoublant d'effort pour la rendre folle, elle en oublie son idée et écarte les bras, s'offrant à cette dernière tandis qu'elle couine doucement de plaisir, essayant d'appuyer la tête de l'humaine contre son sein tant sollicité.

Prête à s'abandonner au plaisir ?

[HRP – Comme tu as mis un point d’interrogation, je te signale la bonne orthographe : « tint ».]

Mithraïl savourait cette femme, sa nouvelle esclave. Cette belle Terranide changeait manifestement de peau sous l’effet du plaisir, sa peau bleuissant, pour devenir une belle couleur cyan. Voilà qui justifiait le surnom de cette femme. La belle et grande Terranide était délicieusement allongée au milieu du lit, et, en sentant ses mains s’attarder sur ses fesses, Mithraïl se permit de sourire. La sodomie... Elle savait déjà qu’Alice aimerait ça, ce qui lui donna des idées... Elle doutait que la Terranide soit vierge, mais il y avait peut-être des chances que personne n’ait encore exploré son fondement. Auquel cas, ceci représenterait une intéressante plus-value pour Mélinda. Alors que Mithraïl y réfléchissait, elle vit cette dernière tendre ses bras de part et d’autre de son corps.

Se relevant, Mithraïl réfléchit un peu. Elle savait qu’Alice voulait qu’on s’occupe de ses seins, la manière dont ils étaient tendus ne laissait pas le moindre doute. Cependant, Mithraïl avait une autre envie en tête. Elle posa un doigt sur les lèvres de la femme.

« Attends un peu, ma belle... je vais te préparer... »

Mithraïl se releva alors, et attrapa chacun des poignets de la femme, pour les attacher à des sangles reliées aux barreaux du lit. Les deux bras d’Alice se retrouvèrent ainsi immobilisées, écartées l’un de l’autre. Elle s’assit ensuite sur le rebord du lit, à côté d’Alice, et lui caressait d’une main sa hanche opposée, glissant sur son corps nu, avant de se pencher pour embrasser tendrement l’un de ses seins, le suçotant longuement, provoquant de délectables bruits de succion en remontant le long de sa poitrine. Bien que Mithraïl revendait des esclaves, elle ressentait toujours un délicieux frisson de domination, quand elle domptait ainsi des esclaves, quand elle était au-dessus d’elles, à les dominer par sa stature. Elle remplaça ensuite sa bouche par l’une de ses mains, pressant tendrement ce sein, le pinçant à hauteur du téton.

Elle se délectait des soupirs et des gémissements que sa partenaire poussait, continuant à agir, sans rien dire, un sourire ravi sur les lèvres. Mithraïl se rapprocha un peu plus, puis envisagea de se mettre à califourchon sur le corps d’Alice. Elle s’assit ainsi sur sa belle Terranide, à hauteur de son estomac, et pressa chacun de ses seins.

« Laisse-toi aller, ma belle...Savoure les joies de la soumission, le plaisir ardent qu’il y a à laisser quelqu’un d’autre vous commander... Laisse-toi guider, Alice, laisse-toi faire, ma beauté... »

Le faire était toujours aussi excitant. Mithraïl courba son dos vers l’avant, sentant des frissons la traverser. Malgré son âge avancé, le sexe lui rappelait ses vingt ans, quand elle apprenait à dresser les esclaves, quand elle apprenait l’art de la servitude et de l’esclavage. Sa maison avait toujours été tournée vers l’élevage d’esclaves en vue de les vendre. Elle savait y faire, elle savait comment les pratiquer, comment leur faire aimer la soumission. On aurait pu croire qu’elle aurait fini par s’y lasser, par trouver ça répétitif, mais, en ayant choisi de développer son activité dans l’esclavage sexuel, Mithraïl avait réussi à donner à son activité une forte passion. Coucher avec des esclaves qui voyaient en vous un mentor, une sorte de phare dans l’océan de leur ignorance, c’était particulièrement gratifiant, particulièrement jouissif, et toujours aussi excitant.

Mithraïl pressa donc généreusement ses seins, tout en posant ses questions et ses remarques :

« Tu es une très belle esclave, Alice, très douée... Je pense que tu mérites d’être offerte à ce qui se fait de mieux dans ce domaine... Mélinda Warren, petite Terranide... Retiens bien ce nom, car c’est à elle que je vais t’offrir. L’une de mes partenaires privilégiées, qui a des centaines d’esclaves. Tu feras partie d’une grande famille... »

Elle savait comment ce harem fonctionnait. Warren ne faisait pas dans la vente d’esclaves, mais les conservait à vie. Son chiffre d’affaires était très positif, et elle avait fini par se développer dans les offres sexuelles de luxe.

« Et il faut savoir que Mélinda Warren apprécie beaucoup tout ce qui a lieu aux fesses... Alors, dis-moi, Alice, et n’oublie pas qu’il ne faut pas mentir... Est-ce que quelqu’un a déjà exploré ton fondement ? »

La question était posée sans détour, mais, au stade où les deux femmes en étaient, Mithraïl estimait qu’elle pouvait se permettre de poser simplement les questions qui lui venaient à la tête.

Elle restait allongée, savourant les attentions de sa maitresse, pétrissant timidement le fessier de sa propriétaire sans insister, craignant une blessure ? Elle souriait, allant chercher un baiser avant d'écoper d'un doigt sur ses lèvres, clignant des yeux en louchant sur l'index, perplexifiée au possible avant de comprendre qu'elle devait attendre, restant allongée en reprenant son souffle avant de manquer de s'ettouffer, sentant ses poignets entravés, elle grimaça avant de faire la moue, tirant sans forcer sur les liens. Sa terreur remontait, à nouveau entravée, presque sans défense, devait elle mordre ? Non, elle s'était engagée à obéir, mais son regard en perdit de son plaisir, devenant léchèrement craintif.

Maitresse, est ce..Est ce réellement obligatoire de me...bloquer ainsi ?

Le ton était suppliant tandis qu'elle recevait sans se débattre, retrouvant asser vite des gémissements joyeux, se cambrant doucement au passage sur sa poitrine, ses tétons exposant clairement que ça lui plait ! et pas qu'un peu !

« Laisse-toi aller, ma belle...Savoure les joies de la soumission, le plaisir ardent qu’il y a à laisser quelqu’un d’autre vous commander... Laisse-toi guider, Alice, laisse-toi faire, ma beauté... »

Enfin sa maitresse s'occupait de sa poitrine elle se laissait faire en fixant l'humaine avec plaisir, couinante de désir ! Supportant sans difficulté le poids plume de l'esclavagiste, à force de jouer à chat avec les soldats...on devient habile et musclé !

« Tu es une très belle esclave, Alice, très douée... Je pense que tu mérites d’être offerte à ce qui se fait de mieux dans ce domaine... Mélinda Warren, petite Terranide... Retiens bien ce nom, car c’est à elle que je vais t’offrir. L’une de mes partenaires privilégiées, qui a des centaines d’esclaves. Tu feras partie d’une grande famille... »

Elle se figea. Son corps réagissant un peu moins aux assauts sexuels, son regard se perdant dans le vague avant de revenir à elle retournant gémir. Elle venait simplement de se dire que...des centaines d'années pour une humaine c'était louche ! Mais elle en discuterai plus tard..ou plus tard...Quand elle aurai envie d'autre chose que d’expérimenter la jouissance que les autres cherchaient à ressentir par son biais !

« Et il faut savoir que Mélinda Warren apprécie beaucoup tout ce qui a lieu aux fesses... Alors, dis-moi, Alice, et n’oublie pas qu’il ne faut pas mentir... Est-ce que quelqu’un a déjà exploré ton fondement ? »

Le fondement ? Hum...amusant mot. Elle se perdit à nouveau dans ses pensées, cherchant à se souvenir avant de retourner fixer sa maitresse.

Non. Personne ne s'est amuser avec mes fesses maîtresse. Jamais. J'ai toujours pu me défendre avant.

Son esprit s'embrumait sous le plaisir, elle dodelinait de la tête en couinant, criant même de plaisir tandis qu'elle tressaillait, se cambrant tandis que sa fente laissait couler sa cyprine. Tirant encore et toujours sur les liens

Oui, ce serait une belle prise pour sa cliente. Warren serait heureuse de l’avoir, cette Terranide, ça ne faisait aucun doute. Sa peau bleue, ses yeux jaunes, étaient de grands avantages, lui conférant une sorte de charme exotique et bestial qui avait tout à fait sa place à Ashnard. C’était vraiment une chance que ce soit Mithrail qui ait réussi à la récupérer. Non seulement elle allait s’enrichir, mais la Terranide serait choyée auprès d’une Ashnardienne qui était connue pour ses traitements efficaces et peu orthodoxes envers ses esclaves. Oui, la Terranide serait comblée.

Elle lui avoua que personne n’avait encore exploré ses fesses, et l’esclavagiste hocha la tête. Elle réserverait ce plaisir à Mélinda. Oui, ce serait le mieux. Sa virginité anale serait comme une sorte de plus-value à faire valoir sur le produit final, un embellissement qui lui apporterait de l’or en plus. Pour l’heure, l’esclavagiste comptait faire jouir cette belle. Elle se tortillait contre elle, éprouvant la résistance des liens qui l’immobilisaient, cherchant à se libérer pour qu’on daigne s’occuper de son délicieux corps. Elle était en train de mouiller, et Mithrail allait s’occuper d’elle, bien comme il faut.

« Très bien, très bien, ma chérie... J’ai besoin de tout ce qu’il me faut, maintenant. Plus de questions, ma puce... Rien que le plaisir, maintenant. »

Mithrail lui sourit, et l’embrassa tendrement sur les lèvres, puis se positionna, et se déshabilla un peu... Suffisamment pour exhiber son sexe. Mithrail se concentra ensuite, en fermant les yeux, et fit jaillir des tréfonds de son corps sa verge. C’était sa petite surprise (mais qui n’était pas si petite que ça) : Mithrail était une Futanari. Elle s’était fait opérer il y a quelques années à Tekhos, dans une clinique spécialisée, et, depuis lors, elle n’hésitait pas à ressortir son chibre. La femme se mordilla les lèvres, et, lentement, alla pénétrer la Terranide.

Sa fente était humide, et Mithrail soupira de plaisir en se perdant en elle. Leurs seins se heurtèrent, et Mithrail l’embrassa à nouveau, posant ensuite ses mains sur ses épaules, et elle lui fit l’amour de cette manière, remuant en elle, d’avant en arrière, de haut en bas. Le sexe... Ah, cette chose magnifique que le sexe ! Elle s’enfonçait généreusement en elle, s’aspergeant de sa mouille, son corps se frottant au sien. Deux femmes à l’unisson, deux femmes qui gémissaient et soupiraient ensemble, sans relâche.

« Alice, hummm... Tu es... Si bonne, haannnn... »

Les mains de Mithrail se redressèrent pour serrer celles d’Alice, et elle continuait à remuer en elle, son sexe, déjà gros, se durcissant et enflant davantage dans son corps. Elle continua à la prendre pendant de longues minutes, et tout en agissant, les liens qui entravaient la Terranide se défaisaient progressivement, Mithrail tirant dessus pour la libérer, et qu’elles puissent ainsi se faire ensemble pleinement l’amour.

Avec passion et désir.

La jeune Terranide nota le hochement de tête, continuant à se débattre entre le plaisir et le fait d'être entravée..ça lui déplaisait. Beaucoup. Mais elle se laisserait faire. Après tout c'était agréable et peu douloureux pour le moment. Ne retenant nullement ses cris de plaisirs elle se déhanchait au mieux, sentant avec joie son corps parcourus des mains de l'esclavagiste qui lui promettait d'arrêter ses questions pour lui offrir uniquement du plaisir.

Elle n'attendait que ça elle, sa fleur de plaisir la démangeait mais se laissa aller au baiser, elle aimait beaucoup les baisers mais craignait de commettre un faux pas, ce qui l'obligeait à la prudence. Elle admira ensuite la femme se dénuder. elles n'étaient pas si différentes...Sauf qu'elle était bleu avec des oreilles pointues et des yeux de chats. Elle ne put retenir un glapissement de stupeur en voyant la femme se parer d'un chibre plus que respectable, déglutissant doucement. Comment était ce possible ? Devait elle être refroidie par cela ?... Étai ce important ? Non. Elle la laissa s'allonger sur elle tandis que ses liens se desserraient peu à peu et qu'un autre lien s'enfonçait de plus en plus profondément. Elle était maintenue au lit par les épaules, se laissant dominer avec curiosité et plaisir hurlant de plaisir sans cesser. elle était déjà bien entamée et surement moins endurante que sa compagne et jouit sans préavis peu après la pénétration, ne s'arrêtant pas pour autant de remuer sous ses assauts, laissant l'esclavagiste profiter de ses corps.

Ses liens rompus  elle enlaca aussitot sa compagne maîtresse, effleurant du bout des griffes sa nuque en se mordant la lèvre inférieure. Atteignant rapidement un second orgasme dans un long cri de plaisir, se cambrant  au possible

C...c'est si bon maitresse. J'aime..beaucoup ce..ce que vous faites...Ha..Ha !

La Maîtresse et l’esclave étaient maintenant deux femmes, prises l’une dans l’autre. Pour Mithrail, il n’y avait aucune sensation qui soit réellement plus exquise que le sexe, que cette sensation de complétude et de fusion quand elle rentrait dans le corps de quelqu’un, dans le corps d’une femme... Elle avait déjà couché avec des hommes, et elle avait aimé ça, mais elle devait bien admettre qu’il était infiniment plus grisant de pénétrer une femme, d’avoir le rôle actif. L’esclavagiste avait encore ses vêtements quand elle pénétrait la Terranide. Un simple regard sur leurs tenues permettait ainsi de savoir instantanément qui était la Maîtresse, et qui était l’esclave. En ce moment, Mithrail se sentait toutefois plus dans la peau d’une amante que dans celle d’une Maîtresse.

Elle avait toujours fait l’amour passionnément avec ses sujets. C’était sans aucun doute sa principale qualité auprès de ses sujets, et pourquoi elle était si douée dans ce qu’elle faisait : elle ne les voyait pas que comme des objets, et c’était en leur faisant l’amour qu’on s’en rendait vraiment compte. Son phallus remuait dans le corps de la Terranide, un corps frustré, un corps qui n’avait pas pu faire l’amour depuis longtemps, un corps qu’on avait pas assez honoré comme il se doit. Elle jouissait contre elle, décorant sa verge de sa mouille, de son nectar délicat et merveilleux. C’était une sensation merveilleuse. Mithrail voyait presque le sexe comme une nécessité médicale, un moyen de soulager son corps. L’organisme humain avait besoin de sexe, pour clarifier ses pensées, pour se calmer, pour être en phase, pour atteindre une sorte d’harmonie physique et spirituelle. Les deux femmes haletaient et soupiraient, Mithrail rythmant leurs ébats.

« Hum... Si bonne, haaaannn... Tu es si bonne, ma puce... »

Sous l’effet du plaisir, les mots doux fusaient, ainsi que les caresses et les câlins. Alice serrait Mithrail contre elle, se pressant contre son corps, s’y blottissant, et l’intéressée continuait à la prendre, à remuer d’avant en arrière, défonçant ce trou, heurtant son clitoris, l’écrasant à chaque coup de sa verge impériale. Son sexe masculin était gros, et douloureux. La première fois qu’elle l’avait utilisé, elle en avait souffert. Oh ça, la douleur avait été terrible ! Elle s’était même demandée s’il était possible de ressentir du plaisir avec un machin pareil. Si gros, si lourd... Si assoiffé... Et puis, progressivement, elle avait réussi à le maîtriser, elle avait réussi à s’en accommoder, et à faire avec. Maintenant, elle le maîtrisait, et elle l’usait sans difficulté.

Mithrail la prenait sans relâche, tout en la caressant, et en l’embrassant, oscillant entre ses lèvres et son cou, léchant sa belle peau bleue.

« J’aime coucher avec les femmes colorées, Alice... Déshabille-moi, mon amour, hummm... Déshabille-moi, haaaannn... Et... Et... Palpe... Pale-moi le cul... »

Parler était difficile, sous le plaisir virulent qu’elle ressentait... Mais ça ne l’empêchait pas de le faire.

La Terranide était dans un état second, se faisant malmener avec un plaisir évident tandis qu'elle lacérait de ses griffes la tenue de sa pauvre Mithraïl, la serrant de ses jambes tandis qu'elle la ramonait puissamment, elle couinait, hurlait de plaisir tandis que le plaisir se faisait toujours plus puissant, plus présent. Elle n'avait jamais vraiment eu de relation "consentie" ainsi elle se laissait guider par l'esclavagiste. Elle avait définitivement eu de la chance de tomber sur elle plutôt qu'un autre, mais ça, elle ne s'en doutait même pas ! Elle se figea une demi seconde en clignant des yeux. Sa puce ? Comment ça sa puce ? Elle était une Teranide ! Pas une puce...Mais étai ce important à ce moment précis ? Non.. Elle préférait s'abandonner aux caresses de l'humaine, celle ci la câlinant avec joie, s'attardant sur sa frêle poitrine tandis que la créature cherchait un nouveau baiser

Elle atteint rapidement un nouvel orgasme, se cambrant pour sentir pleinement l'instrument de sa maîtresse tandis qu'elle lui susurrait des instructions qu'elle écouta avec attention avant d’acquiescer lentement, était elle seulement en état de refuser ? Qui sait ? Elle entreprit de lacérer le reste de tenue de Mithraïl à l'aide de ses griffes avec une précision chirurgicale avant de presser ses mains sur les fesses de l'esclavagiste, sans douceur aucune, cherchant simplement à faire en sorte qu'elle se fasse à nouveau empaler, le regard laissant transparaître un désir profond. Un désir...de tendresse ?

L’appétit de cette Terranide était terrifiant, aussi délicieux que sa sauvage beauté. Elle avait une magnifique peau bleue, et des yeux jaunes bestiaux, l’ensemble formant un charme exotique et sauvage magnifique. Mithrail adorait la prendre comme ça, et, quand Alice posa ses mains sur ses fesses, les malmenant, laissant ses vêtements en lambeaux, l’esclavagiste nexusienne se dit qu’elle allait assurément regretter cette Terranide le jour où elle l’enverrait à Mélinda. Les affaires avaient beau être les affaires, ce n’était pas pour autant que l’esclavagiste était dénuée de sentiments. Elle la prenait encore, sentant la mouille de cette femme, la sentant jouir. Mithrail jouissait aussi, se déversant en elle, la baisant contre ce lit rembourré, l’embrassant, haletant, gémissant, mordillant sa peau, se frottant contre son corps. Les deux femmes étaient prises l’une contre l’autre, leurs corps remuant ensemble, en harmonie.

Le temps disparut rapidement, les minutes devenant des secondes, et, au bout d’un long moment, Mithrail finit par s’étaler contre le corps d’Alice, se lovant contre elle, après un ultime orgasme en elle. Elle balança sa crème dans son corps, et embrassa tendrement sa peau, la mordillant tendrement et légèrement, léchant sa peau.

« Hummmm... Ma petite, haaa !! C’est si agréable de te faire l’amour, Alice... »

Sa main vint caresser l’un des seins de la femme, pinçant légèrement son téton, le malaxant avec tendresse. L’esclavagiste n’était peut-être pas si mauvaise que ça, après tout. Elle caressait le corps chaud et tendre de la femme. Il allait vite fait falloir qu’elle l’emmène à Ashnard, ou elle pourrait finir par vouloir la conserver près d’elle. Ses vêtements étaient en triste état, mais ça ne la dérangeait pas. De fait, Mithrail, dans un ultime sursaut, acheva de se déshabiller, finissant rapidement toute nue, puis se glissa dans le lit avec sa Terranide.

« Dors avec moi, Alice... Je n’aime pas dormir seule, et encore moins ne pas me reposer avec mes amantes. Tu as aimé ça, au moins, ma belle ? Sentir la grosse queue de ta Maîtresse en toi ? C’était... C’était bon, non ? »

Mithrail aimait bien avoir un retour sur ce qu’elle faisait. Est-ce qu’elle lui avait bien fait l’amour ? Est-ce qu’elle l’avait bien prise comme il fallait ? Les questions se bousculaient dans sa tête, et elle embrassa à nouveau la femme sur les lèvres.

Bientôt... Bientôt, elle la conduirait à Ashnard. Mélinda serait contente d’elle.

Oh oui, elle en serait ravie !

Elle se blottit contre l’esclavagiste, s'abandonnant à elle tandis que le plaisir l'avait assommée. Ho, elle était encore consciente, mais en l'état actuel elle ne pensait plus qu'au plaisir que la nexusienne lui faisait ressentir, combien de temps l'avait elle baisée ? Des minutes ? Des heures ? Elle ne saurait dire. Finalement cela se calma, elle couina tandis que Mithraïl pinça un de ses seins devenus si sensibles durant l'acte avant qu'elle ne se redresse pour se dévêtir et...s'allonger à ses cotés ? Elle se blottie contre elle, telle un chaton, sa tête se calant sous le menton de l'esclavagiste tandis qu'elle l'enserrait de ses bras. Elle lui parla, mais elle eu du mal à comprendre, prenant quelques minutes pour réfléchir, blottie contre l'esclavagiste tandis qu'elle reprenait lentement son souffle.

Je..dormirai avec toi maîtresse...non, vous. Désolée. J'ai...beaucoup aimer ce que tu m'as offert, ces caresses, ce plaisir... Mais je partirai. Ou m'enfuirai. Je n'ai pas aimer être entravée pendant vos caresses. Votre...corps est différent du mien, et il m'a beaucoup plu Maîtresse. C'était....extraordinaire. Qu'est ce qu'une amante ?

Elle avait parler. non, murmurer doucement, trop lasse pour parler fort elle lécha doucement la peau de la nexusienne avant de se blottir un peu plus contre elle, semblant prête à s'endormir. Oui, s'endormir juste après avoir clairement dit à une esclavagiste que sa proie comptait filer. était elle inconsciente, ou au contraire trop confiante ?

Mithrail entendit très clairement Alice Cyan lui dire qu’elle comptait partir, et elle ne lui répondit rien, se contentant de l’embrasser à nouveau, en lui souhaitant une bonne nuit. La Terranide s’endormit ainsi, et Mithrail continua à l’embrasser, tendrement, caressant son corps, puis se retira peu à peu d’elle, s’assurant qu’elle dormait bien.

*Désolée, ma chérie, mais tu ne partiras pas d’ici...*

Elle avait trop traîné avec cette femme, et il était temps de l’emmener à Ashnard. Mithrail allait l’offrir le plus rapidement possible en échange d’une belle somme d’argent, et Cyan apprendrait l’esclavage. Elle apprendrait à être une esclave. Mithrail ne s’en faisait pas trop là-dessus. Les femmes qu’elle capturait acceptaient rarement d’être des esclaves aussi facilement, et, en un sens, l’objection soudaine d’Alice Cyan la rassurait. Elle n’avait visiblement pas trop compris ce que signifiait le fait d’être une esclave, et, quand elle le comprendrait vraiment, elle serait très loin, sous les ordres de Mélinda Warren.

Mithrail sortit de la chambre, et ordonna qu’on prépare une calèche pour le réveil de la Terranide. Elle alla également chercher des menottes en adamantium. Elle avait pris son pied, et il était temps, pour elle, de passer à la suite. Mithrail chargea Miyamoto de les mettre autour des poignets de Cyan, et elle en profita pour écrire une lettre à Mélinda, afin de l’informer de la situation. Miyamoto, de son côté, se rendit dans la chambre où dormait Alice Cyan. Elle était paisiblement endormie dans le lit, et lui tenait des menottes spéciales. Elles étaient faites en adamantium, un matériau extrêmement résistant, et il alla sur le lit. Avant de les mettre, il commença par prendre une seringue, et injecta dans le corps de la femme un puissant somnifère, suffisamment fort pour endormir un éléphant, et s’exécuta, attachant la femme.

« Pour toi, les choses sérieuses commencent, petite Terranide... » commenta-t-il alors, pour lui-même.

Quand Alice devrait se réveiller, elle serait attachée par le cou à un chariot, en route pour Ashnard... Avec Miyamoto à côté d’elle.

Elle dormit d'un sommeil de plomb, bercée par la luxure qu'elle avait enfin découverte, aidée aussi par le somnifère qu'on lui avait infliger évidement, elle rêvait. De sa famille inconnue, des terranides qui l'avaient capturer et éduquer avec son consentement. Elle se réveilla, ou plutôt émergea fugacement, son lit bougeait...son lit ? Non elle était à présent dans un chariot, le regard vague elle regarda les alentours il y avait...Miyamoto qui la fixait, son arme à la main et d'autres gens enchaînes comme elle.

Comme elle ?

Elle baissa les yeux sur ses liens, le regard étrécis de terreur, l'adrénaline commençant à affluer dans son organisme tandis qu'elle prenait une teinte bleu criarde. Elle avait été trompée, Mithraïl s'était jouer d'elle, elle croyait rester avec et la voila en route vers elle ne sais ou en compagnie d'autres esclaves ! Elle tira sur ses liens sous le regard amusé de Miyamoto.

Mais il fronça les sourcils quand il la vit porter les liens à ses lèvres tandis qu'elle ouvrait ses crocs avant de mordre. D'un coup unique, CLAK, les liens s'ouvraient tandis que la Terranide sautait du chariot. Miyamoto, en combattant aguerri s'était déjà redressé après un quart de seconde de stupeur. Dévorer de l'adamantium ?!Il ordonnait l'arrêt du véhicule, sautant à terre tandis qu'il tirait une sarbacane doté d'une fléchette somnifère. Ce n'était pas la première créature qui essayait de fuir, et elle ne serait pas la dernière. Il visa, se surpris de la distance déjà parcourue par la créature et souffla puissamment. Mais la Terranide ne ralentis même pas sa course, ce qui l'agaça. à cette vitesse, il était inutile de la poursuivre...

Elle avait été touchée, le dard s'étant planté dans sa cuisse mais l'adrénaline l'immunisait temporairement aux effets du somnifère. Et elle courait. Encore et toujours. Loin.Toujours plus loin, et vite. Très vite !