Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Anna Sajin

Pages: [1] 2 3
1
One Shot / Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)
« le: vendredi 13 septembre 2024, 13:21:08 »
J’étais encore dans un état de béatitude post orgasme quand Namiel décida de m’enlever mon dernier rempart de tissu. Je l’aidais en me redressant légèrement, puis senti son corps se plaquer contre le mien dans une délicieuse chaleur partagée.

- Tu es magnifique Mélody, lorsque tu es comblée.

Et à ces mots il m’embrassa tendrement, presque amoureusement. Ça en était déstabilisant et j’eu comme un reflexe de fuite un instant mais je luttai contre, me perdant dans son baiser à la place.

Namiel avait ce don de faire tomber chacune de mes barrières érigées avec soin d’une facilité déconcertante. Comme un papillon qui se dirige vers une flamme, irrémédiablement attirée, je ne pouvais que succomber à ses charmes sans rien pouvoir y faire.
Plaqué contre moi je sentis son érection, plus dure que jamais, et après l’orgasme qu’il venait de m’offrir, j’avais envie de lui faire plaisir à mon tour.

Je rompais le baiser et lui déposa de petits bisous dans le cou, puis lui chuchota à l’oreille avant de la mordiller.

- Redresse toi s’il te plait…  Le regard purement sexuel que je lui adressai à ce moment-là ne permettait aucune contradiction, et une fois fait, j’en profitai pour me relever, m’assoyant à ses cotés pour lui baisser son pantalon, ainsi que son sous vêtement, laissant sa verge sortir et se dresser tel un étendard.

M’installant à genoux entre ses jambes, je commençai alors par le caresser, presque doucement, tout en l’observant, aimant voir le plaisir s’afficher sur ses traits.

Puis, j’approcha mon visage et donna un coup de langue sur son gland, comme si je souhaitais en déterminer la saveur, avant d’en mettre un autre, et un troisième tout autour, embrassant cette zone si sensible. Puis, je le pris en bouche, commençant a glisser doucement, puis remontant, prenant bien mon temps, savourant chaque instant, chaque réaction que je suscitait en lui.

Lorsque je le sentis bien au fond de ma gorge je resserra ma prise, et attaqua quelques va et viens fermes et lascif, jetant par moments un œil sur lui, le trouvant encore plus beau dans cet état de torpeur sexuelle. 

Je m’agrippa alors à sa cuisse et commença à accélérer la cadence, aspirant plus fort, provoquant des petits bruits de succion évocateurs. Mes va et vient se faisant plus vifs, plus vigoureux, et je sentis sa queue se tendre davantage, ainsi qu’un peu de liquide séminal s’écouler. Ne relâchant pas mes efforts je me mis à donner tout ce que j’avais, le suçant et le léchant comme si ma vie en dépendait, quant à un moment je le sentis se contracter, signe que sa délivrance approchait.

 

2
Lorsque j’ouvrit légèrement les cuisses je fus rassurée d’enfin sentir une véritable effluve de désir venant de l’humain. Et cela me donnait chaud, tant que sans mon pelage il m’aurait vu rougir.

Sa main caressant ma poitrine glissa alors lentement vers mon bas ventre, presque maladroite, s’égarant sur ma cuisse avant de s’insinuer vers mon entrejambe, m’arrachant un petit gémissement de désir. 
Était-ce la douceur de mon sexe ou le son de ma voix, mais l’homme sembla s’enflammer davantage, pour mon plus grand plaisir. Plus ils étaient difficiles à convaincre, plus belle était la jouissance.

Semblant aimer ce qu’’il voyait, l’humain continua de me caresser, m’arrachant d’autres soupires de plaisir et je me mis alors à ronronner doucement, tout en remuant tout lentement le bassin, les yeux clos d’aise.

Son excitation s’insinua dans l’air, plus forte, plus vive, et je mis à désirer ardemment qu’il me prenne comme une chatte en chaleur. Mes phéromones commencèrent alors à être libérés, et si les humains n’y étaient pas aussi sensibles que mes congénères, cela avait toujours tendance à les émoustiller malgré tout.

Était-ce cela, ou la curiosité ? Masamune choisit ce moment-là pour m’embrasser. Délicatement. Le premier baiser avec un Furry était toujours un peu déstabilisant, mais jamais désagréable. Lui laissant le temps de s’acclimater, je luis rendis ses doux baisers, avant de lui lécher les lèvres, d’un coup de langue délicat, attendant qu’elles s’entrouvrent, m’accordant leur laisser passer.

Pendant ce temps, une de mes mains glissa entre nous et se posa sur son érection déjà bien gonflé et je feulai doucement de plaisir et d’anticipation. D’une main experte je fit sauter le bouton de son pantalon, et caressa son gland du pouce, faisant de petits ronds. Puis mon doigt passa dans son sous vêtement, cherchant a faire sortir sa queue pour pouvoir la prendre en main.

3
One Shot / Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)
« le: mercredi 04 septembre 2024, 18:53:55 »
Lorsque Namiel entrepris de me déshabiller j’en frissonna, me sentant un peu vulnérable. Il balaya mon corps de son regard doucereux, d’une façon terriblement sensuelle. Bon dieu que cet homme était sexy. Mais ensuite, il me déstabilisa en prenant délicatement mes poignets pour les lier au-dessus de ma tête, le regard semblant demander la permission. Incapable de résister je me laissai faire, sentant mon plaisir refluer davantage. Mais comment avait-il deviné que…

-Tu es mienne…ce soir.

Il faisait référence à notre première soirée, ce qui me fit sourire, puis il couvrit mon cou de ses baisers, tout en allant caresser ma poitrine. Mon corps réagit instantanément, le désirant ardemment et je me cambrais lorsqu’il sillonna mon corps de ses lèvres, traçant une ligne brulante sur ma peau pour venir ensuite retirer ma culotte, révélant mon sexe humide de désir.
Allait il m’embrasser la ? je n’étais pas à l’aise avec cette idée, ayant besoin de sentir, toucher mon partenaire. Mais d’un regard il fit taire toute velléité de rébellion de ma part, et mon corps concéda de lui-même, mes cuisses s’ouvrant pour lui faire place.
Il commença par souffler dessus, les mains sur mes cuisses, et ce prequel me fit frissonner d’impatience.

Quand Namiel commença à m’embrasser délicatement, je sentis mon corps s’embraser, et ne put m’empêcher de gémir longuement.

-Hhmmmmm…

Sa langue était habile, et peu a peu me fit perdre la notion du temps, oubliant tout, ne me préoccupant uniquement des sensations délicieuses qui parcouraient mon être.
Et quand sa main s’avança pour me caresser en même temps je me cambra davantage, poussant de petits gémissements aigus de plaisir. Mes fesses commencèrent à remuer d’excitation, ce qui du lui donner une idée parce qu’il cessa ses caresses pour se diriger lentement vers l’arrière, en direction de mon petit trou.

Il y avait si longtemps que l’on ne m’avait pas prise par ici. Et la dernière fois lui avait laissé un souvenir douloureux, mais malgré tout, lorsque le jeune homme posa son regard doux sur moi, je sentis mon corps se détendre de lui-même. Je n’en revenais pas de l’effet qu’il pouvait avoir sur moi, comme une connexion profonde, un lien animal. Je sentais que je pouvais lui faire confiance, alors que nous nous connaissions si peu…

Mais à ma grande surprise, malgré mon consentement silencieux, il s’arrêta la, pour revenir se concentrer sur l’avant, intensément, presque passionnément. Je me remis a gémir de plus belle, ceux-ci devenant même carrément obscène lorsque il aventura ses doigts en moi. Je cria alors son nom, perdue dans le plaisir.

-Haaan ouiiii Namiel !!

Je ruisselais littéralement, me délectant de chacune de ses caresses, chaque coup de langue, je n’étais plus que plaisir et je commençais à sentir les prémices de l’orgasme pointer en moi.

- Allez Mélody, jouis pour moi ma belle.

Grisée par ses mots, mon excitation décupla encore, tout comme mes cris devenus presque continus désormais. Je sens la tension monter alors, comme une mélodie qui s’intensifie et je sens mon cœur accélérer, chaque pulsation semblant resonner dans tout mon être. Puis, dans un crescendo de plaisir et de sensations, tout semble s’embraser. Comme une libération, un éclat d’extase traversant mon corps, qui se retrouve secoué par le plaisir, tremblant de spasmes de joie. L’orgasme est puissant et me secoue de part en part.

Quand je commence à reprendre mes esprits j’ouvre les yeux et regarde le jeune homme, les joues roses, et rigole doucement, encore grisée par la sensation.

4
En sortant je m’attendais a un reproche ou une brimade mais rien. A la place il me questionna sur la malédiction.

- Bon, on peu parler un peu de cette histoire. Tu t’y connais en malédiction ? Tu connais des lanceurs de sort ?

Je me mets à soupirer. Il va bien falloir que j’en parle de toute façon, si jamais ça peut aider d’une quelconque façon.

-Disons que j’ai déjà été la victime d'une malédiction oui, mais cela n'a pas fait de moi une experte dans ce sujet, bien au contraire, je n'ai fait que subir sans pouvoir y mettre un terme. Mais chaque sort a son lanceur, suffit juste je fais des guillemets avec mes doigts. de le trouver...

Heureusement il ne me questionna pas davantage sur le sujet, ce qui me convenait car je ne souhaitais pas m’étaler là-dessus pour l’instant.

- En effet, ainsi soit on va voir les derniers maudit, soit on cherche des infos sur cette malédiction. Enfin… sa c’est si on savait ou avoir des infos.

- Nous devrions chercher en fonction des informations que nous avons déjà, cela nous permettra peut-être d'en savoir plus sur la malédiction... J'espère que les descendants sauront nous en dire davantage

Il acquiesça

- C'est le plus sur. S'ils avaient vécu ensemble durant des années, on devrai en apprendre plus ou moins, sauf s’ils n’étaient aucune mènent curieux de leur situation.

Semblant réfléchir un instant il s’éloigna pour acheter une bouteille d’eau, avant de poursuivre nonchalamment.

- Bon sinon, on sait pas combien de temps sa va nous prendre pour cette histoire. Tu me parle un peu de toi ?
Surprise du changement de tournure de la conversation je lui répondis par une autre question, ayant naturellement du mal à me livrer.

- Bien. Que désire tu savoir à propose de moi ?
Il me fixa, calmement.

- Humm… t’es riche ? C’est de famille ? Un travail ?

Evidemment, sa première question fut à propos de mon argent… Est-ce qu’il me jugeait et me prenait pour une de ces gosses de riches clichées et insupportables ? Non, je m’emballais certainement, comme chaque fois que revenait le sujet de mon passé. Reprends toi Anna… me dis-je, rougissante.

- c'est une longue histoire, mais sache que chaque centime m'appartient on pourrais presque dire que j'ai payé pour tu sais... dis-je , un peu froidement. Je l’ai mérité …
J’avais parlé en le regardant droit dans les yeux, sincère. Il du malgré tout percevoir mon trouble car il se justifia.

- je te juge pas. Je cherche simplement un sujet de discussion. Mais je trouve sa mieux que « ta couleur préférée »
Sa réplique me fait sourire malgré moi et je me détends un peu.

-Oh... Pardonne moi... Et c'est le vert dis-je d'un clin d'œil, l'air plus détendu, ce à quoi il plaisanta, avant d’enchainer.

-Et toi, que fais-tu dans la vie ? Tu as la dégaine d'un aventurier, surtout avec ta moto.

- Disons que j ai pas mal de casquette, je suis mercenaire, garde du corps, détective privé. Chasseur de prime. On va dire que j’aide les gens à retrouvé des objets… ou personne disparu.

J’hausse les sourcils de surprise, c’était vraiment une aubaine ! Un « chasseur de trésor », au moins je me retrouvais avec quelqu’un dont les compétences et l’expérience s’avèreraient certainement très pratiques. Je souris, satisfaite.

- Tu aides à retrouver des personnes ou des objets? Je concède que ça risque fort de nous être utile ça, Ruy !

- Oui… même si en générale je sais qui je dois retrouver et j’ai un peu plus d’infos qu’une histoire datant de… Y avait pas de date… disons de plus de cent ans. Faut vraiment trouver des infos sur ces deux là. S’ils proviennent d’ici.

- C'est un sacré défi en effet... dis-je le regard perdu dans le vide Nous allons être parti un petit moment, pas de famille ou autre à prévenir ? je demande, curieuse de savoir s’il a une famille, une petite amie et des enfants.

- Non suis orphelin de guerre. Et toi ?

Je ne m’attendais pas à ça mais sa réponse me plongea dans les tréfonds de mes souvenirs et les vestiges de mon passé. Je baisse les yeux et dit d’une voix assez basse.

- Je suis seule également.

Enfin, je ne l’étais plus vraiment désormais, pensais-je, un rire un peu amer coincé dans la gorge.
Je sentis bien que j’avais mis un froid mais rien, aucune vanne pour détendre l’atmosphère ou quoi ne sortit de ma bouche. Ce fut Ruy qui brisa le silence.

- on y va ? On pourra continuer sur la route à papoter
Ce à quoi je hochais la tête. Et ce fut reparti pour l’engin infernal…


5
Alors que nous trinquions, je sentis que bien qu’il semblât se détendre un petit peu, l’homme était toujours extrêmement nerveux. Il prit tout de même la parole.

- Lorelyn, excuse-moi, mais de quel espèce es-tu ? Je pense que tu es une féline, mais je n'arrive pas à savoir laquelle.

-En effet répondis je, je suis une simple petite chatte.
 J’appuyais mes propos en remuant mes oreilles et ma queue de gauche à droite, ce qui sembla l’intriguer. Il fixa mes oreilles avant d’ajouter, tendant la main vers celles çi.

- je peux ?

-  Bien sur. Acquiesçais-je avenante, penchant la tête en signe d’acceptation, lui facilitant l’accès à mes oreilles.

Les humains étaient toujours fascinés par celles çi. Était-ce leur douceur particulière ou leur façon de se mouvoir en parabole ? je l’ignorais, mais c’était généralement la première chose qu’ils voulaient faire.
Me remerciant il approcha sa main, et commença par me caresser doucement et délicatement Puis il se mis à me gratouiller l’arrière de l’oreille, souriant largement, ce qui me fit rire, ne pouvant réprimer un bref ronron, appréciant véritablement que l’on me chatouille à cet endroit.

Masamune sembla prendre un peu d’assurance ensuite parce qu’il s’approcha de ma queue, profitant de son poil doucereux quand celle ci s’enroula malgré moi autour de son bras. En effet je ne la contrôlais pas à cent pour cent, celle-ci traduisant souvent davantage mes émotions animales, me trahissant même parfois, ce qui était un peu le cas ici. Je lançais alors un regard de braise à l’homme qui en fut visiblement embarrassé. Était je allée trop loin ? j’humais l’air, capable de sentir les phéromones et autres indicateurs émotionnels humains, tous pourvus d’odeur différentes et bien précise. Masamune semblait géné mais pas prêt à partir pour autant, et bien qu’elle fût encore relativement timide, ce fut bien l’effluve du désir que je sentais.

Connaissant déjà la réponse, je me penchai à son oreille et je décidais malgré tout de poser une question.

- C'est la première fois n'est-ce pas ? avec une créature telle que moi...

Sa première réaction fut de nier vivement mais il se reprit très vite, s’inclinant l’air désolé.

- Je ne voulais pas vous insulter. Oui, vous seriez ma première femme furry. Mais c'est surtout... Je n'ai eu que trois femmes, trois humaines dans ma vie. Mon amie d'enfance, ma fiancée et ma femme. Je n'ai pas vraiment... pratiquer les approches disons.
Je souris doucement alors, tentant de l’apaiser au mieux.

- Il n'y a aucun mal à ça, et sur bien des points les furry sont similaires aux humains, si ce n'est que nous aimons bien que ça soit un peu plus... Sauvage et animal dirons-nous 
Sur ces mots je rigole, d'un adorable rire de gorge sensuel avant de reprendre
- Mais je ne connais aucun humain qui soit venu s'en plaindre ...
Je termine ma phrase d’un regard coquin et envoie ma queue sciemment lui caresser la cuisse, ce qui semble faire son effet parce que je sens l'homme se détendre légèrement avant de me tendre la main que je ne me fais pas prier pour attraper.

- Alors... pourriez-vous me guidez, que l'on fasse... plus ample "connaissance" avec vos préférences ?

- Mais avec grand plaisir trésor… Dis je en l’entrainant avec moi, nous frayant un chemin jusqu'à ma chambre parmi les divers clients et "professionnels" du club.

Dans mon antre, tout respirait la douceur, mais aussi la chaleur et la luxure. Un magnifique spa de marbre blanc et argenté trônait dans un coin, entouré de grandes et belles plantes, donnant une atmosphère exotique au lieu.
Les mur, la literie luxueuse, les meubles, tout était d’un blanc crème, comme la couleur de mon pelage, mais parfois accentué de touches d’argent et de bleu, rappelant la teinte de mes yeux.
L’éclairage doux, fait de quelques lumières à teintes chaudes et de bougies apportaient à l’ambiance chaleureuse et apaisante, et ajoutez à cela des voilages, des coussins et tapis moelleux, tout respirait le luxe et l’intimité.

Le laissant s’installer je reste attentive à son ressenti et perçoit qu’il se sent un peu perdu. Prenant l’initiative j’entreprends de le découvrir et lui enlève sa veste, la rangeant soigneusement sur un cintre, consciente de la chaleur et l’humidité de l’endroit.

- Mets-toi à l'aise, il fait chaud dans cette pièce…
Puis, commençant à m’éventer, je minaude un peu.

- y verrais tu un inconvénient si je me découvrais un peu? je meurs de chaud... en disant cela  je m'approche de l’homme et désigne le nœud de mon kimono, l'incitant à tirer dessus

- D’accord. Fit il, avant de sourire, tirant posément sur le nœud qui s’ouvrit dans un glissement de satin.

Lentement je me mis à tourner sur moi même pendant que Masamune tirait sur le nœud, un peu comme un paquet cadeau qu'on découvre, révélant un corps de femme, néanmoins recouvert d'un fin pelage blanc à l'air soyeux. Le kimono au sol je m'avança de nouveau vers lui, de ma grâce féline et douce, puis je m'assis sur ses genoux, a sa disposition.  Ma queue s'agitant doucement de droite à gauche.

Il sembla en premier lieu intrigué par ma poitrine, qu’il caressa presque timidement, puis je vis son attention se tourner vers mon entrejambe, ce qui ne manqua pas de me donner chaud à mon tour.
J’écartais alors un peu les jambes, curieuse de voir s’il allait se laisser aller à la curiosité ou si je devrais me montrer plus explicite…



6
Lorelyn, Lorelyn !

Je me retournais, c’était Tasha qui m’interpelais.

- Il y a un humain qui est arrivé, un nouveau, et il est plutôt pas mal…

Je souris. Si beaucoup de mes consœurs et confrères n’avaient aucun problème avec les humains, les trouvant trop fades à leur gout, ils préféraient généralement avoir à faire a d’autres furrys ou créatures surnaturelles.

Alors que moi, je les adorais au contraire. Était-ce leur quasi absence de poils les rendant bien plus sensibles que nous autres ? ou leur caractère parfois un peu plus brut, ou a l’inverse d’une grande tendresse, cela promettait très souvent des parties de jambe en l’air originales et inoubliable.

Il était donc devenu de notoriété publique que si un humain passait par la, on me le réservait, et il n’y en eut pas un que je ne parvins pas à charmer.

Je retournais donc à ma chambre et me rafraichit un peu, brossant ma longue chevelure blanche et lissant mon pelage doux de ma main léchée au préalable.

Apres une retouche au maquillage je décidai de porter un magnifique kimono blanc et prune, avec quelques touches de grenat, sachant que les humains aimaient généralement les dénouer. Un peu de parfum senteur vanille et je fus prête.

 Sortie de ma chambre je me dirige à nouveau vers Tasha pour qu’elle m’indique l’homme et… Ouaw, non seulement il est d’une grande beauté, que dis-je, sexy en diable, mais en plus il fait peut-être deux fois ma taille ? j’exagère à peine mais il doit avoir une sacré… Je déglutis, ma queue commençant à onduler de gauche à droite, signe que je suis attirée.
Je m’avance alors doucement vers l’homme, avec la grâce et la démarche d’un fauve, les oreilles attentives pointées dans sa direction.

L’entendant commander une boisson je m’adresse à la barmaid,

- Changeling ? deux s’il te plait je demande en souriant avant de tourner un regard charmeur vers l’homme. Il est triste de boire seul, permettez que je vous accompagne ?

Lorsqu'il accepta je fis mine de m'incliner et ajouta d'une voix chaude et douce.

- Parfait, je suis Lorelyn, pour vous servir .

L'homme se présenta, un magnifique sourire aux lèvres.

- Enchanté Masamune, en espérant que cette soirée soit un peu plus que ça… je fis un clin d’œil.

A ces mots je récupérais mon verre et fit le signe de trinquer. En effet, soit l’homme s’était perdu, soit il savait exactement ce qu’il était venu chercher, dans les deux cas le blabla importait peu.

- Puis je vous demander si vous êtes venu pour quelque chose de particulier dans notre établissement ? demandais je en minaudant.

Je sentis immédiatement la timidité de l’homme, ce que je trouva craquant vu sa carrure.
Je m’avançais alors doucement, la queue toujours basculant de droite a gauche dans un mouvement lent, presque hypnotisant.

- Bien… Alors trinquons ensemble, à une agréable compagnie…Et à une bonne soirée !

7
Talk : Si tu veux me parler, le casque à un système pour. Tu dis "talk" avant de parler, tant que tu parle il continue de partager, si tu attends, il coupe la communication.

Sa voix avait bourdonné directement dans mes oreilles. J’ignorais totalement que l’on pouvait faire ça.

-Euh…Compris !

Je ne voyais pas quoi dire de plus en cet instant, tentant plutôt de m’accrocher fermement, mal à l’aise dans cette position délicate, clairement tendue, les fréquents arrêts et changements de sens de la ville n’aidant surement pas.

Comme s’il me lisait il reprit.

Talk : Une fois sortis de la ville, on sera moins secouer. Tu veux qu'on roule tous de suite jusqu'au plus tard ou on s'arrête pour manger ?

Talk: D'accord...dis-je, la voix peu rassurée. On peut rouler un peu et on s'arrête plus tard ? Que cette foutue route soit faite au plus vite...

Talk : Très bien. Profite du paysage alors, parce que l'on en a pour un petit moment !
A ces mots je souffle, un peu dépitée, et tente de m’accrocher davantage.

Heureusement, dés lors que la ville s’avéra derrière nous, les sensations furent moins remuantes, et je parvins alors à trouver un équilibre, essayant d’épouser ses mouvements, comprenant d’avantage le plaisir de faire corps avec la moto. Je posais alors la tête dans son dos et me mis à regarder le paysage qui défilait sous mes yeux. De zones industrielles à collines verdoyantes, tout cela m’apaisa un peu. Je me perdis alors un peu dans mes pensées, revivant les évènements qui m’avaient menée la, dans cette situation. Et dire que ce matin, je n’avais encore que la tête à paresser et faire les magasins…
Assez rapidement finalement, Ruy enclencha le mode bla-bla, me tirant de mes rêveries.

Talk : J'ai besoin de me dégourdir les jambes, on va s'arrêter, pour boire, manger un peu.

Nous nous arrêtons alors sur une aire d’auto route. Ruy descend prestement de son engin, les mouvements graciles tels ceux d’un fauve, quand je manque à peine de me casser la figure.
J’essaie alors d’enlever mon casque, ne trouvant pas le… Bouton ? loquet ? Le jeune homme semble percevoir ma détresse car il vient me sortir de mon embarras, non sans émettre un petit rire moqueur avant.

Le casque ôté et rangé, je commence à me dégourdir les jambes, faisant de petits étirements, quand il repris la parole.

-Petite pause, on mange sur place, on prendra tout le nécessaire sur place ou quand on a besoin.

J’hoche la tête, encore un peu ébaubie et me dirige vers la boutique, dans l’idée de boire un chocolat chaud, accompagnée de Ruy qui de toute façon ne pouvait pas s’éloigner bien loin.

A l'intérieur je me dirige vers la machine à boissons instantanée, non sans garder un œil sur la distance avec mon compagnon. Puis je le rejoins pendant qu'il termine ses emplettes, ayant personnellement déjà tout ce qu'il me faut dans la main.

Le chocolat bu je m'approche doucement de Ruy et lui dis tout bas.

- Désolée mais... Je dois aller au toilettes...

Semblant mettre une petite seconde à comprendre ou je voulais en venir, il finit par me faire grossièrement signe de la main en direction des petits coins.

Je m'exécutait et grommelais à son air mal embouché, m'avançant dans les toilettes des filles, empruntant la seule porte ouverte. Me déshabillant, je m'aperçu en voulant m'asseoir que je ne pouvais pas, le lien était à son maximum. Tirant légèrement dessus je parvins a faire passer le message, et réussis à m'assoir. En sortant, je constatais que le robinet pour me laver les mains étant encore un peu plus loin, cela forcerait Ruy à se poster quasiment à l'entrée  des toilettes des filles pour me laisser faire. Je me promis mentalement de faire vite et avança machinalement, entendant une voix de fille râler à l'extérieur.

Je ne pu m'empêcher de pouffer de rire en m'imaginant la scène...

8
One Shot / Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)
« le: jeudi 29 août 2024, 11:17:56 »
- Euh un soucis Melody ?

je secoue la tète

- Non tout va bien affirmais-je en souriant, un peu gênée, avant d’enchainer, histoire  de changer de sujet. Et toi, dis-moi tout, quelles sont tes passions ?

Il me désigna un appareil, ce qui semblait être une batterie électronique et plaisanta sur le fait que ses voisins aimaient moins les vraies. La tête qu’il fit a ce moment était adorable. Je me giflais alors mentalement. Adorable ? non, ça ne faisait pas partie du vocabulaire approprié pour parler d’un plan cul. Sexy oui, torride bien, mais c’est tout. Encore que chacun de ces qualificatifs lui allaient décidément à merveille.

- Sinon... Bah les jeux vidéo. Un peu lire... hum... Le roller aussi. Et les sports de balles.

A ces derniers mots je le vis ricaner, un peu comme s’il pensait à une connerie qu’il n’osait sortir et étant d’une extrême curiosité je ne pus m’empêcher de le titiller là-dessus.

- Et ?  Dis-moi...  Lui demandais je le regard complice, un sourire aux lèvres.

- Je peux te laisser jouer au sport de boules avec moi.

Était-ce l’absurdité de sa blague ou son regard pétillant, passé le choc de la surprise j’éclatais d’un rire franc et sonore, qu’il ne tarda pas à rejoindre. Ce fou rire partagé me fit beaucoup de bien et je parvins enfin à me détendre après cela.
Il me proposa à boire, ce que j’acceptai. Que pouvait-il se passer de toute façon, qu’il en profite pour abuser de moi ? je ris intérieurement et lui souris franchement.

- Je prendrais volontiers un verre de vin blanc s'il te plait.

En se levant Namiel s’approcha de moi et… M'embrassa doucement. Je sentais mon corps se laisser faire plus docilement cette fois et je répondis à son baiser, un peu trop bref à mon gout. T’est dans la merde … Murmura une petite voix dans ma tête que je fis taire immédiatement.

Il se déplaça alors et revint avec une  bouteille de vin qu’il me présenta galamment avant de me servir, tout comme un plat de pates qui, je devais le reconnaitre, sentais plutôt bon.

- Ne t'inquiète pas, la nuit est encore longue... pour danser.

Et à ses mots,  il posa la main sur ma cuisse, geste qui ne manqua pas de m’échauffer immédiatement, comme une vague de chaleur se rependant de la paume de sa main vers mon corps, en s’insinuant dans chaque parcelle de mon être.

-J’espère bien Namiel...Dis-je l'air torride, déjà prête pour un second round. Il faut dire qu’après des années d’abstinence, j’étais affamée et ma libido tant bridée crevait désormais le plafond.

Il dut s’en apercevoir car il s’avança vers moi m’allongea sur le canapé, avant de m’embrasser de nouveau, sa main se glissant directement sous ma robe, m’arrachant un soupir d’envie. Je le tire alors à moi, désireuse de sentir son corps presser contre le mien, pour constater un petit sourire aux lèvres que son désir pour moi n’était pas en reste. Ses lèvres, affamées, m’enivraient plus que le vin quand avec regret il cessa le baiser… Pour venir ôter ma robe, me faisant rougir un peu, me sentant vulnérable. Je l’aide en me redressant et le vois enlever son haut, faisant apparaitre son torse galbé quand il me lança un regard brulant et commença à ouvrir sa braguette, ne laissant planer aucun doute quant à la suite imminente des évènements, pour mon plus grand plaisir…

9
One Shot / T'approche pas, je mords (PV Namiel)
« le: mercredi 28 août 2024, 13:25:30 »
L’orgasme s’atténuait et je reprenais doucement corps avec la réalité, la, accrochée à Namiel, presque comme si ma vie en dépendait.

- Et bien... on peut dire que tu sais te donner corps... dans l'action. Reprend ton souffle, je te propose un bon verre d'eau fraiche pour s'hydrater.

Je souris timidement, balbutiant un merci, agréablement surprise par sa prévenance.

Puis je me figea, étonnée, lorsqu’il s’avança vers moi, déposant un baiser d’une grande délicatesse sur ma joue et me fustigea quand je vis qu’il se sentait gêné par ma réaction. Je n’étais juste plus vraiment habituée aux démonstrations d’affections mais son geste m’avait ébranlée, je du le reconnaitre. Reprends toi Melody… Il s’agissait la d’un plan cul, rien de plus, et le mieux aurait été que je parte sur l’instant. J’avais eu ce que j’étais venue chercher non ?

Pourtant j’étais incapable de me redresser, ou d’ouvrir la bouche. Qu’est ce qu’il m’avait fait ?

Lisait-il en moi ? ce fut à cet instant qu’il me prit par les hanches et me fit basculer sans efforts pour pouvoir se relever.
Profitant de son détour vers la cuisine, je sortis un mouchoir de mon sac pour m’essuyer, puis je récupérai ma culotte et l’enfila, avant de le voir revenir avec de l’eau et des petits gâteau apéro, ce qui me fit sourire malgré moi.

- J'ai envie d'un peu mieux te connaître Mélody. Tu m'avais demandé ce que je fais. Je suis horloger, je répare et confectionne les monstres surtout. Et toi ? Tu travail dans quoi ?

Un peu surprise par la tournure plus…personnelle que prenait la soirée, je luttai un instant contre ma voix intérieure qui me hurlais de fuir. Prenant une gorgée d’eau pour la faire taire et pour me réhydrater un peu, je finis par répondre, d’un sourire un peu intimidé.

- Un horloger ? Tu dois être extrêmement minutieux alors, et habile de tes doigts. Je rougis instantanément à mes propos, n’ayant percuté le double sens qu’après les avoir prononcés. L’air de rien je poursuivit ; Moi je suis psychologue, spécialisée en art thérapie. Je suis fascinée par les mystères de l’inconscient humain ajoutais je, les yeux brillants d’amour pour mon métier.

Il me questionna alors et je m’enflammais direct sur le sujet, lyrique.

- Il s'agit surtout d'extérioriser ses émotions et ressentis par la créativité. Dis-je passionnée. Et il ne s'agit pas que de dessin, mais de peinture, de sculpture, de créations diverses... Le corps emmagasine généralement des émotions que le cerveau refuse de reconnaitre, l'art thérapie permet de vider ce trop-plein en en faisant quelque chose de palpable, de le sortir de son corps pour en prendre conscience, mais aussi l'apprivoiser et je... Je m'interrompis, et baissa un peu le regard, trop loquace à mon gout. Désolée je m'enflamme un peu quand on part sur ce sujet. Je souris. Et toi, qu'est ce qui t'a mené vers l’horlogerie ?

Sa réponse me fit sourire malgré moi et je me perdis un peu dans son regard.

- C’est très sage de ta part, peu osent se remettre en question, et c’est bien dommage, l’homme est perfectible tout au long de sa vie… Dis-je, le regard un peu perdu dans le vague, ne remarquant pas son rapprochement discret. Tu étais en quelque sorte destiné a ce métier alors, tu as baigné dedans depuis l’enfance. C’est chouette je trouve. Répondis-je, sincère. Tu as une petite sœur ? je t’envie un peu, j’ai toujours rêvé d’en avoir mais… Je grimaçai légèrement à l’évocation de mon enfance. J’étais fille unique.

Il me répondit, mais j’écoutais à peine ses mots, trop occuper à me noyer dans son regard, d’une intense douceur. Puis jetant un bref coup d’œil a ses lèvres je me surprise à vouloir l’embrasser de nouveau. Repoussant cette idée je rebondis sur sa dernière phrase.

- Oh, désolée que ça se soit passé comme ça, pour ta sœur. Dis-je sincèrement. C’est important la famille, enfin j’imagine…

La conversation s’enchaine et il me questionne désormais sur mes hobbys, nouveau sujet passion à mes yeux qui se mettent à pétiller d’intérêt quasi instantanément.

- En effet, je suis aussi créatrice à mi-temps. Je peins, je sculpte, je fabrique… J’aime particulièrement tout ce qui est minutieux comme reproduire des scènes de la vie réelle en miniature. Je pourrais te montrer a l’occas… Je me fige net, rougissant doucement, soudainement mal à l’aise d’envisager qu’il puisse venir chez moi un jour.


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One Shot / Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)
« le: mardi 27 août 2024, 20:43:43 »
- Bonsoir Namiel, Dis je d’une voix moins assurée que je ne l’aurais voulu. Sympa chez toi.

- Tu es bien plus belle qu'au Raven, sans les néons.

Rougissant immédiatement, surprise par ses propos, je me contenta de sourire comme une adolescente intimidée. Mais qu’est ce qui me prenais bon sang…

Puis je le vis s’approcher et il me pris la main pour l’embrasser, avant de m’attirer à lui, plantant son regard d’or dans le mien. 

- Voir tes beaux yeux émeraudes avec de la lumière... Oh ce soir nous allons bien danser Melody.

Je me sentis alors rassurée d’une certaine manière. Nous étions bien sur la même longueur d’ondes. Chose qu’il me confirma en ajoutant :

-Tu as déjà mangé ou ce sera pour après ? Il faut reprendre des forces après un duo déchaîner, pour recommencer.

Tout ça Le regard d’une intensité brulante.

Je n’eu le temps de lui répondre qu’il se pencha sur moi, me rappelant le gout délicieux de ses lèvres. Aussitôt mon corps répondit à son appel et je me cambrai inconsciemment, comme aimanté par sa peau. Son odeur s’insinua dans mes poumons, promesse d’une nouvelle nuit torride, et c’est avec une pointe de regrets que je le sentis rompre le baiser.
En parfait gentlemen, il récupéra ma petite veste de cuir et l’accrocha sur un ceintre, avant de m’indiquer de manière plutôt familière, mais pas désagréable, ou je devais me diriger. Puis, il me chuchota a l’oreille, provoquant ma surprise

- Alors, tu veux manger ? Où tu commence tout de suite par l'entrée qu'est ma queue ?

Celle-là je ne m’y attendais pas.

- Ça marche vraiment avec les autres filles ce genre de baratin ?
Je lui demande en rigolant mais sans méchanceté aucune. Je ne suis pas venue ici pour manger... dis-je, le regard sensuel et affirmé.

Il se mit à rire, d’une voix rauque et sexy avant de répondre

- Très bien, on verra si on a faim après ce premier round.

Et sur ces mots il m’attira vers le canapé, me faisant glousser avant de m’installer à califourchon sur ses genoux. Aussitôt il m’embrassa passionnément et je lui rendis son baiser. Nous en avions visiblement autant envie l’un que l’autre au vu de la ferveur que nous y mettions.

Je me mis a gémir a ses caresses et sentit une onde de plaisir me parcourir lorsque je sentis son sexe déjà engorgé pointer contre ma culotte, me faisant mouiller instantanément.
Je passais alors mon bras autour de ses épaules, les croisant pour assurer ma prise, avant de commencer à remuer, chacun de mes à-coups décuplant mon excitation, me faisant gémir de plaisir.

Cessant un instant de l’embrasser je me mis à tracer un sillon de baisers dans son cou, tout en remontant jusqu’à son oreille, la lui mordillant au passage.
Puis, impatiente, je commence a glisser ma main en direction de son sexe, le caressant et le pressant un peu au travers de son jean, avant de le déboutonner, et faire glisser doucement la fermeture éclair, baissant un peu son pantalon dans la foulée.

Sans plus attendre j’alla chercher son sexe et le relâcha, le faisant jaillir telle une bête sauvage que j’attrapa de ma main comme si je ne voulais pas qu’il s’enfuie. A ce moment je jeta un œil a Namiel et…putain ce qu’il était beau avec ses yeux mi-clos et ses lèvres rosées de désir…

Lentement et sans le quitter des yeux, presque insolente je me levai, et fit glisser ma petite culotte blanche le long de mes jambes, l’enlevant totalement. Puis je m’avançai sur lui et m’agenouilla de nouveau, mettant en contact nos intimités mutuelles, lui démontrant alors toute l’étendue de mon excitation.

Je commençai alors à me frotter doucement à lui, effectuant des va et viens appuyés et langoureux, puis, le désir montant rapidement, j’augmenta la cadence avec passion.

- Ce soir Namiel c’est toi qui m’appartiens… je murmure à son oreille, doucereuse.

Puis passant la main entre nos jambes, je me place correctement et saisissant sa queue pour la mettre bien en face, je m’empale dessus lentement, centimètre après centimètre, jusqu’au fond, ce qui me fait expirer bruyamment de plaisir.

Lentement alors, je commence à remonter, puis redescendre, profitant de chaque sensation au maximum avant de me mettre à accélérer. Je m’accroche alors à ses épaules fermement, laissant de légères traces sur sa peau, témoin silencieux de mon plaisir croissant, et augmente la cadence, fermant les yeux de plaisir.

Mon corps, déjà bien échauffé, entre alors en ébullition et je m’affaire, de plus en plus sauvagement. Mes gémissements se transforment en geignement sexy, plus en véritables cris de plaisir. Je donne tout ce que j’ai, perdue dans mes sensations, embrassant le jeune homme par moments d’une fougue exaltée.

La passion monta et mes mouvements devenaient plus urgents, plus désespérés. Mon souffle s’accéléra, se saccadant au rythme de mon désir brulant. Je murmurai alors son nom, comme une prière silencieuse, avant de me perdre en lui, laissant la passion me consumer totalement.

Quand la vague déferla enfin, mon corps se tendit dans un plaisir si intense qu’il en devint presque douloureux. J’étouffa alors un « putain » tout contre son épaule et mes mouvements ralentirent, savourant chaque seconde de cette étreinte qui me laissa toute tremblante.

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One Shot / Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)
« le: mardi 27 août 2024, 13:23:23 »
Ce fut lui qui prit la parole le premier.

- ... Melody. C'était... Sacrément intense. Le pied. J’haussais un sourcil, légèrement amusée. HUm, si tu veux me revoir, voilà mon numéro. On pourra terminer notre échange, je t'en dirais plus sur ce que je fais.

Je le regardai, surprise. Se revoir ? Tout mon corps me hurlait de fuir, de prendre mes jambes a mon cou et de rentrer chez moi sans un regard en arrière.

-Oh...oui. je répondis malgré tout, me fustigeant intérieurement, un peu gênée. C’était... sauvage…

Je m'approchais machinalement et regardait le numéro, sortant mon propre téléphone pour le noter.  ok, euh... C'est bon. J'ose à peine le regarder dans les yeux.

Le voyant se rapprocher je m'apprête a reculer, hésitante, mais mon corps refuse d'obéir, comme hypnotisé. Ses lèvres se posent alors sur les miennes et je me perds un peu dans son baiser, l’appréciant plus que de raison, avant de reprendre mes esprits et me reculer.

-Il est tard .. je.. je vais rentrer… dis je en fuyant son regard, les pommettes roses.

- Bien sûr, rentre bien.

J’hoche la tête en remerciement et tourne le dos, pressée de fuir cet homme, ce lieu et cette situation embarrassante pour retrouver mon chez moi, l’esprit malgré tout curieusement apaisé pour une fois.

Il me fallut plusieurs jours pour me remettre de cette folle nuit. Maelys était passée me voir, une boite de macarons au chocolat en offrande s’excusant pour la veille, et fut surprise de me retrouver aussi sereine. Je ne lui en voulais pas et elle ne tarda pas à deviner pourquoi, malgré mes propos énigmatiques. Il faut dire que je n’avais pas pour habitude de m’épancher sur mon intimité, contrairement à elle mais était ce ma démarche un peu difficile ou ce sourire débile sur mon visage ? Elle m’avait cramé presque instantanément.

Je n’eu d’autre choix que de lui parler de lui, dont le nom doucereux semblait presque m’obséder désormais.

-Comment ça tu refuses de le rappeler ? Elle était visiblement outrée.

-Parce que c’est toujours comme ça que ça commence, et après… Je serre les dents, le regard dans le vide, incapable de finir ma phrase.

- Je sais… Elle me prit dans ses bras, réconfortante. Mais cette soirée t’a fait grand bien, ça se voit, essaie d’y réfléchir, tu pourrais juste le voir pour te faire plaisir ? la plupart des mecs ne demandent rien de plus de toute façon. Dis t’elle, un peu blasée.
Je fronçait les sourcils et grommela un vague « on verra » pour lui faire plaisir.

¨¨¨¨¨¨
Une semaine s’était déjà écoulée et malgré tout mes efforts je ne parvenais à effacer Namiel de ma mémoire. Plusieurs fois ces derniers jours j’avais pris mon téléphone en main et commencé différents messages comme « ça va depuis l’autre fois ? » ou « Quoi de neuf ? » ou encore un simple « Hey ! » Tous effacés quasi instantanément. J’étais horriblement partagée entre ma peur d’une relation suivie et mon envie de le revoir et de vivre a nouveau quelque chose d’aussi intense que cette nuit-là.
Il fallait que je sois claire, et directe. Je souris alors et pris mon téléphone.

« Envie d'une nouvelle danse ?" Je rigolais toute seule en imaginant sa tête à la réception du message.
Deux heures plus tard à peu près, sa réponse arriva, et elle me convenait parfaitement. Pas de resto, pas de chichi, tout deux semblions sur la même longueur d’onde.

"Parfait, à samedi alors." Envoyais je , m’étalant sur mon lit, le sourire aux lèvres rougissant un peu à la perspective de sa soirée à venir.

¨¨¨¨¨¨
J’avais mis des plombes a savoir quoi mettre, trop sophistiqué, trop sage, trop…Maelys (mais bordel comment faisait elle pour ne pas se faire embarquer pour racolage avec des tenues pareilles ?)
J’optai finalement pour une petite robe simple, noire lacée de rubans blancs sur les côtés, et une petite veste de cuir. J’hésitais à mettre des escarpins mais je ne voulais pas en faire trop. Mes petites tennis noires et blanches feraient parfaitement l’affaire. Un coup de parfum et je me mis en route, les cheveux lâchés sur mes épaules comme à leur habitude.

J’étais à peine en retard, comme toujours quand je devais me rendre quelque part, lorsque je me retrouvai au pieds d’un grand immeuble, un de ceux pourvu de ces magnifiques appartements tout confort que seuls les gens qui avaient un minimum d’argent pouvaient se payer.

Je sonnai et obtempéra quand l’homme me demanda de le rejoindre au 5 ème étage.

La porte ouverte, je m’y engouffrais et m’arrêta un instant, d’une part impressionnée par la beauté du logement, sobre et spacieux, très lumineux et d’aspect moderne, manquant juste un peu de décorations éventuellement. Une véritable garçonnière en somme. La seconde chose qui me frappa fut l’odeur. Avait-il…Cuisiné ? Je réfrénai soudain un élan de panique a cette idée, préférant ne pas m’imaginer de choses trop vite. On avait été plutôt clairs par message, et je ne voyais pas pourquoi Namiel se sentirais d’un coup le besoin de me courtiser, vu que d’une certaine façon, j’etais déjà à lui.

- Bienvenue chez moi Melody. Content que tu ai trouvé la route jusqu'a mon appartement.

Quand il me regarda de son sourire plein de charme, mon corps me trahit alors lamentablement et une réponse enjouée se dessina sur mes lèvres. Et merde … pensais je alors. Je suis foutue…


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One Shot / Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)
« le: lundi 26 août 2024, 21:22:12 »
Ses hanches continuaient leur va et viens, dans une danse effrénée qui toujours plus me faisaient hurler. Je masquais tant bien que mal le son, mais le plaisir était tel que j’en perdait la tête, ignorant tout désormais de la bienséance.
D’un œil extérieur on eu pu croire que l’acte était d’une férocité sans nom, et c’était le cas, mais il y avait malgré tout ce petit quelque chose en plus. Comme si le jeune homme me revendiquait. Une sauvagerie certes, mais des plus pures, animale, a la manière d’un lion qui posséderais sa lionne.

Le plaisir était à son comble et je nous sentais l’un comme l’autre fébriles, comme prêts à céder à tout moment.
Nos bouches se dévoraient toujours ardemment et nos langues se caressaient dans un ballet enfiévré. Chaque fois que je sentais sa queue taper au fond de moi je sentais des vagues de plaisir refluer, de plus en plus fort quand il me prit fermement par les hanches, avant de jouir d’une force telle que ses spasmes déclenchèrent également mon extase.
Un orgasme d’une puissance telle que je me contractai immédiatement, mordant mon propre bras pour ne pas rameuter toute la ville.

Je n’en avais, d’expérience, jamais ressenti de si puissants, tel un éclair zébrant le ciel nocturne, une explosion de lumière et de chaleur, un torrent de sensations qui submergea tout sur son passage.

Mes muscles se contractèrent et mon corps se courba, et dans cette ultime libération tout devint flou, comme si l’univers entier s’était réduit à ce moment de pure intensité.
Je m’affalais alors légèrement essoufflée tout contre le jeune homme, manquant de m’effondrer sous la puissance de ce que nous venions de vivre. Je reprenais mes esprits doucement et commença a réaliser ce que je venais de faire. J’attendis un instant la culpabilité lancinante qui presque jamais ne me laissait respirer, mais elle ne vint pas.

Malgré tout, je commença à me défaire de la prise de l’homme, cherchant à me rhabiller, un peu perdue, le corps soudain si lourd, alors que mon cœur peinait à retrouver un rythme normal.
Machinalement je me mis a rire, un peu genée.

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One Shot / Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)
« le: lundi 26 août 2024, 20:01:43 »
Namiel planta son regard dans le mien, d’une douceur qui contrastait avec la sauvagerie de ses actes, puis recommença à m’embrasser, passionnément, presque frénétiquement Je continuais de le branler, le serrant fort, tout en m’accrochant à ses cheveux de mon autre main.
Ses caresses m’arrachèrent quelques gémissements presque désespérés et je raffermis ma prise, caressant par moment son gland de mon pouce, faisant jaillir quelques gouttes de liquide séminal.

Une vraie bête sauvage, il semblait me dévorer, et alla même jusqu’à me marquer, Ce qui eu le don de me faire perdre les pédales. Je gémis alors et grogna en retour, passionnée et impatiente.

- Tu es mienne Melody

Mon sang ne fit qu’un tour et je me figeais un instant. Sienne ? Non… Plus jamais je n’appartiendrais à qui que ce soit. Malgré tout, ces quelques mots m’avaient fait quelque chose. Un sentiment brulant se mit à grandir en moi

- Pour la nuit Lui susurrais malgré tout je alors à l’oreille avant de la lui mordiller.

Il sembla à peine entendre et au fond cela m’était bien égal. Nos corps et nos lèvres s’entrechoquaient et se caressaient de désir l’un pour l’autre, formant une mélodie intime, tandis que le monde extérieur s’effaçait peu a peu.

Il glissa alors mon pantalon un peu plus bas, tout comme ma culotte, qui s’avérait détrempée à présent. Je me mordis alors la lèvre d’anticipation et geignit de plaisir quand je sentis son sexe se frotter contre le mien, Je me laissais alors emporter dans cette vague de plaisir.
Mais peu de temps pour profiter, Namiel se plaçant presque immédiatement contre mon intimité, pour s’y engouffrer d’un coup, me faisant crier d’extase.

- Putain oui !

Il glissait littéralement en moi, chacun de ses coups de boutoirs me faisant défaillir, je m’accrochais à son t shirt sous lequel je pouvais sentir saillir ses muscles tendus sous l’effort. Nos corps se mouvaient en parfaite harmonie, chaque mouvement résonant comme un aveu de plaisir partagé. Nos gémissements se mêlaient en une symphonie sensuelle qui emplissait l’espace.
Haletante, le dos frappant contre le mur, plus rien pourtant n’avais d’importance, je relevais la jambe pour qu’il puisse me pénétrer plus profondément et me mit a crier si fort que je fus obligée de lui mordre l’épaule pour atténuer le son afin d’éviter les voyeurs.

- Namiel, plus fort… soufflais- je, commençant a sentir l’orgasme poindre en moi, le ventre irradiant de vagues de plaisir a chacun de ses coups de rein.

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One Shot / Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)
« le: dimanche 25 août 2024, 23:13:16 »
Son regard à ma proposition fut sans pareil, passant de la douceur à la surprise, pour finir sur un désir sans équivoques. Une nouvelle vague de chaleur s’empara de moi et je gloussai doucement en réaction. Sans attendre, Namiel régla nos consommations et m’emporta vivement hors de la boite de nuit, comme s’il craignait que je change d’avis, évitant de justesse murs et badauds.

Plus de questions, plus de réflexion, je me contente de suivre le mouvement, m’agrippant fermement à cette main, enhardie par l’alcool et par un désir refoulé semblant renaitre de ses cendres.  L’air frais me caresse le visage quand je me sens sauvagement plaquée au mur, créant une onde de désir partant de mon bas ventre lorsque je sens son corps soudain pressé contre le mien.
Mes lèvres aussi avides que les siennes, je passe mes bras autour de son cou et me cambre, remontant le genou pour améliorer l’accès, sentant son excitation au travers de nos vêtements.
Mon corps entier semble reprendre vie après des années de vide, et désormais plus rien n’existe si ce n’est lui. Je le veux tout entier.

Comme s’il m’avait entendu il s’arrête de m’embrasser et se mit à chercher un coin tranquille, ce dont je lui fus reconnaissante, même si j’étais désormais si excitée que le sol aurait pu faire l’affaire. La saleté, les gens ou mon passé ? Plus rien n’avait d’importance en cet instant. Juste la promesse d’un bon moment à venir.

Pour mon plus grand bonheur, la pause fut de courte durée, et je me retrouvais de nouveau plaquée au mur, subissant les assauts du jeune homme qui s’avère encore plus passionné que précédemment.

Sa fougue m’électrise et je gémis dans sa bouche pendant que ma langue commence à danser avec la sienne. Le désir à son comble ma culotte se retrouve rapidement trempée, et tant mieux parce qu’il ne semble pas vouloir prendre son temps. Ca me va, je ne désirais rien d’autre que de le sentir en moi à ce moment-là.

-Maintenant... emmène moi danser...

Sa phrase me fait rire, l’air coquin, et je commence à déboutonner son pantalon rapidement, faisant jaillir son sexe, le prenant en main vigoureusement de haut en bas, ne laissant planer aucun doute quand a mon état d’esprit débridé du moment.



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One Shot / T'approche pas, je mords (PV Namiel)
« le: dimanche 25 août 2024, 20:41:39 »
- Tu es a moi.

Je me retournais, ayant surement mal entendu dans le brouhaha environnant. Je tombe alors sur un homme d’une beauté enivrante, aux cheveux en bataille et aux yeux presque d’or, me fixant du regard.

-Salut, c'est la première fois que je te vois ici. Tu es nouvelle ? Moi c'est Namiel et toi miss ?
J'hésitai un instant avant de répondre, pas très à l'aise, sachant clairement ce qu’il venait chercher ici. Mais la voix de Maelys résonnait toujours dans ma tête. Tu es trop sérieuse, tu dois te lâcher un peu ! Et elle n’avait pas tort.

- euuh.. Melody, je m'appelle Melody, je restais un instant la bouche ouverte, avant d'ajouter. Je ne viens jamais d'habitude... Comme si je devais à tout prix me justifier.

- Enchanté Melody, très jolie nom. Répondit-il avant d’appeler la serveuse qui se pointa instantanément. Il l’appelait même par son prénom, signe qu’il était un habitué des lieux.

- merci... balbutiait je, clairement pas rodée à ce genre d’exercice

-Pour te souhaiter la bienvenue, je te paie ta boisson. Moi ce sera un Heretoslay, s'il te plait Greedy. Et pour toi, Miss Melody ?
N’y connaissant rien et ne voulant pas passer pour une inculte, je me risque et hasarde

-Je prendrais comme toi ?  Puis, avant que la serveuse ne disparaisse de nouveau j’ajoute rapidement, et un grand verre d’eau s’il vous plait !
Mon regard croisa alors celui du jeune homme mais je détournais le regard, comme si c’était trop intense pour moi.

- Tu viens souvent ici ? j’enchainais, histoire de me redonner un peu de consistance, l’interrompant visiblement dans une quelconque rêverie.

- Hein ? Euh oui, une fois par semaine. Ça me permet de me détendre et de tout relâcher.

En effet, ce Namiel venait très régulièrement. Ramenait-il une nouvelle fille à chaque fois ? ça le regardait dans tous les cas. Je ne comptais pas faire ma vie avec.

-Le travail est parfois bien éreintant. Et toi, tu ne viens pas... parce que...? Trop de bruit ? Si tu me dis que tu aimes pas danser, je te croirais pas.

-Et tu travailles dans quoi ? Répondais je machinalement . Moi je ne viens pas a cause des... gens... avouais je dépitée. Je n'aime pas la foule et mon amie, dis je en faisant des guillemets avec les doigts , celle qui m'a trainée ici presque de force s'en est lâchement allée, alors je suis un peu ...perdue. Disant cela Je m'adosse au mur, croisant les bras.
Puis il se retourna vers moi et planta un regard charmeur dans le mien.

- Je t'ai vue danser et tu es hypnotisante.
En entendant son compliment je me redresse un peu, touchée, et plante mon regard dans le sien, un large sourire accompagnée d'une lueur de joie dans mes yeux illuminant soudainement mon visage.

- Je... Merci... Je ne parvins guère a articuler d’autre mot, me perdant un peu dans la douceur de son regard, appréciant la note suave de son rire.

- Si tu te sens seule, je peux danser avec toi.
Je restais figée à cette proposition, clairement hypnotisée à mon tour. Danser ? Voulait-il réellement danser, ou proposait-il de …danser… Je rougis et réfléchit un instant, me disant que cela faisait bien trop longtemps que je n’avais pas accepté de m’adonner a ce genre d’exercice avec qui que ce soit. Était-ce le premier cocktail qui m’avait déjà tourné la tête ? Quoi qu’il en soit j’en avais marre de fuir, toujours fuir….

-Je ne sais pas si je...je m'interrompis à son regard dont la douceur mêlée à une sorte de passion semblait s'imprégner en moi. Oui ?
Je le vis se mordre la lèvre inférieure, m’échauffant légèrement quand la serveuse nous interrompt pour nous amener nos boissons. Revenant à la réalité je réalise ce que je viens de faire et commence à paniquer un peu.

- ahem, buvons et allons y alors Melody. Ses yeux ne mentent pas, il s’agit bien d’un type de danse particulière dont nous parlons. Je prends alors mon verre et ni une ni deux, je le vide presque entièrement d’un coup pour me donner du courage.

- Délicieux ! Dis-je, m’essuyant la bouche, les pommettes roses. Avant de tanguer légèrement un instant. Puis, grisée je lui attrape la main et le tire vers moi, le surprenant d'un doux baiser sur les lèvres, avant de lui murmurer à l'oreille, audacieuse.
-Maintenant... emmène moi danser...

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