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« le: mardi 17 décembre 2024, 08:43:59 »
Je savais qu’elle était en bonne position pour que je puisse en profiter un peu. Mais au fond, c’était parce qu’elle le voulait bien. A aucun moment elle n’avait refusé, à aucun moment elle n’avait semblé sur le point de me jeter. Honteuse, oui, gênée, évidemment, mais au final, elle s’amusait bien, quoiqu’elle montre, parias-je. Ou au moins éprouvait-elle de belles sensations. Et je pariais que si je pouvais admirer son sexe, il serait, au moins, luisant. J’en étais sur.
Toujours était-il que devant ses échecs à répétition, j’étais passé outre. J’avais pris la décision de faire autrement. Passer à l’expiation en mettant ses échecs non sur du manque volonté, mais sur du manque de compétence. La différence était énorme. Et je lui avais donné deux consignes assez simples pour aller dans ce sens. : il fallait qu’elle dégage les rubans pour ne pas me gâcher la vue, d’une part, et qu’elle aille chercher les cierges qui lui servaient de jouet. Je m’attendais à presque la voir filer dans un coin et prendre des cierges dans la réserve. Mais non, le décor se troubla et nous nous retrouvâmes dans sa cellule. C’était pour le moins sommaire. Un lit, une table, une chaise, un miroir. Pas grand-chose, mais c’était dans la norme des nonnes que de vivre dans le dénuement, non ? Mais le tout restait chaleureux.
Elle me tournait le do et j’avais une vue imprenable sur la rondeur de son fessier délicat. Il était laiteux, comme le reste de sa peau, de ce que j’avais vu, rebondi, certes, mais sans excès, et il était un appel à y déposer une claque sonore. J’avais la main qui me démangeait, et pas qu’un peu. Mais je gardais cela pour plus tard, il y avait autre chose à gérer tout de suite : les cierges. Et l’idée que j’avais en tête. Parce que oui, je ne comptais pas juste utiliser les cierges, j’avais une idée un peu plus poussée sur le sujet. Sans doute assez originale. Mais dans ma tête, le résultat était beau. Particulièrement graphique. Particulièrement obscène aussi, certes, mais surtout très graphique. Et ça aurait fait le bonheur d’un photographe ou même d’un dessinateur pour adulte…
Sur la table, je voyais plusieurs cierges alignés. Les longueurs les épaisseurs et l’usure, variaient, mais tous étaient là, sur une ligne bien nette, prêts à l’emploi. Ils avaient de petits ornements que je supposais faits à la moulure et non faits à la main, mais le souci du détail dans ses rêves montrait comme elle les connaissait.
J’entendis à pine ses mot, mais je comprenais l’intention derrière. Elle me les désignait en somme, même si c’était évident.
« Merci. »
Et comme pour obéir jusqu’au bout, les rubans se mirent à voleter pour disparaitre peu à peu, jusqu’à ce qu’elle reste entièrement nue, révélant des zones que certains n’auraient même pas regardé aux vues de ses appâts. Son sein lourd presque trop généreux, qu’une seule n’aurait su contenir, son fessier sans excès – qui aimait les gros culs, je ne comprenais pas – ses cuisses fuselées dans la ligne des hanches. Non, vraiment une conformation physique particulièrement avantageuse. Et elle restait droite, digne dans sa nudité, sans se cacher, belle, mise en valeur par une lumière sans source distincte. Non, vraiment, sublime. Je restais dans son dos un moment, et je regardais son corps dans le miroir, devinant plus que ne voyant, l’excitation de son sexe. Je m’approchais alors d’elle, glissant une main sur son sein, pour le pétrir fermement, mais sans chercher la douleur, pour le moment. Mon autre main se glissa sur son ventre, descendit à son pubis, jusqu’à caresser les petites lèvres gonflées.
« Tu coule de bonheur de servir Dieu comme tu le dois, je me trompe ? »
Je ramenais les doigts qui l’avaient -trop – brièvement masturbée pour montrer le fait qu’elle était belle et bien trempée.
« Alors, voyons voir ses cierges. »
Je les regardais en continuant à lui peloter le sein, et retournant la caresser doucement, sans chercher à la faire jour ou autre. Si l’excitation montait trop, je donnerais une pette claque sur son sexe. Juste pour la calmer.
« Hum…. Celui-ci me semble pas mal. »
Je cessais pour saisir une des bougies, de taille moyenne, elle n’était pas très épaisse – il fallait être un gros con ou un puceau pour vouloir jouer à faire rentrer une flute de pain dans une tasse à café – mais les nombreuses coulures de cire montraient qu’elle avait été beaucoup utilisée. Parfait. Ce serait idéal par rapport à mes idées… j’en prenais deux autres, pour un autre usage, et je laissais tomber l’idée d’utiliser les autres. Une fois celles-ci posées à plat sur la table, je regardais l’espace présent, et j’avais une petite idée. le lit serait parfait. Il changerait pour coller à mes idées, mais ça irait bien.
« Il va falloir te mettre en position pour expier. Je sais qu’elle ne sera pas facile, mais je te fais confiance pour montrer que tu peux être satisfaisante au moins sur un point. »
J’entrais dans des explications plus précises :
« Tu vas te mettre sur le dos tête, dans le vide, sur le lit, et remonter ton bassin le long du mur aussi haut eu tu puisses, en gardant les cuisses bien écartées. Je veux voir ton con lustré de mouille bin exposé d’accord ? »
Cela lui demanderait un peu de mal, mais il y avait plusieurs objectifs avec cette pose. Je n’y tenais plus et je donnais une petite claque sur son cul parfait.
« Exécution. Tu peux t’aider de tes mains, et si tu as trop de mal, je t’aiderai à te mettre en position. »