Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Hayao Tachibana

Pages: [1] 2 3 ... 6
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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: jeudi 19 décembre 2024, 23:02:05 »
Voilà qui était parfait, comme spectacle. Magnifique, même. Elle ne pouvait pas voir comme je l’admirais, tout comme, mon sexe au fond du gosier, je ne pouvais pas voir ses grands yeux écarquillés, et je trouvais cela particulièrement dommage. Je me résolvais à tordre alors son rêve, pour ‘m’offrir une vision de ses yeux, de ses jolis yeux clairs, écarquillés, qui révélaient toute sa luxure, et tout son écarquillement. Avait-elle été souvent prise ainsi, jusqu’à la garde, l’étouffant du chibre, bouchant son nez des bourses lourdes et pleines ? Je pariais qu’elle découvrait des sensations, à ses yeux… et ses gémissements étaient aussi divin que la tension que je sentais dans on corps. Les coulures de cire tachaient sa peau et laisseraient probablement place à des marques rouges si ce rêve avait été la réalité. Quand elle s’éveillerait, sa peau serait toujours d’albâtre parfait…. C’était presque dommage, pensais-je un instant.

Son corps bougeait. Son corps répondait à mes attentions. Elle répondait à la première goutte de cierge et cela m’excitait encore plus rajoutant de la violence dans un acte déjà violent en soi. C’était de l’entrain et une sorte de cercle vicieux, un cercle vicieux dont elle n’était pas actrice mais seulement subissant. Mais elle semblait l’avoir plus ou moins accepté, sinon elle se serait débattue. Ses mains auraient quitté ses lombaires, non pour s’accrocher aux draps, rendant sa position précaire, mais pour se débattre/. Pourtant, elle ne se débattait pas. Elle gémissait dans des bruits qui ressemblaient à des mélanges de couinement de borborygmes étouffés par mon sexe qui lui labourait la gorge à lui faire manquer son souffle.
Dans la vision que j’en avais malgré elle, son regard s’embuait de larmes au gré de mes coups de reins.
Un coup de boutoir de trop, la flamme vacilla, la bougie trembla, s’inclina dangereusement, répandant une trainée de cire brulante le long de son pubis. Elle remuait d’elle-même. Et je voyais sa manière d’essayer de détourner la brulure la cuire trop vite tombée d’une bougie bien trop chaude sans doute pour ne pas lui en cuire…. Je lui giflais un pis, sans retenue, sans tendresse, attrapant l’autre avec fermeté pour le malaxer.

« Ne bouge pas, ne cherche pas à fuir la douleur… »

Je me retirais de sa gorge pour la laisser respirer. Et je m’écartais d’un pas, pour me repaitre du spectacle… son corps ainsi marqué de cire sur le ventre, sur la poitrine, ses joues poisseuses de salive, sa bouche ouverte à la recherche du souffle dont je lui avais manqué. Le reste de son visage n’était pas encore assez souillé à mon gout. Je ne m’en satisferai que quand sa salive aurait coulé depuis ses lèvres sur son nez, ses yeux et dans ses cheveux. Voilà qui serait une bien belle scène de souillure, n’est-ce pas.

« Respire, Servante du seigneur. Respire et avale autant d’air que tu peux… je ne voudrais pas que tu mordes sous la douleur. »

Oui, j’avais craint qu’elle ne me raye le casque, pouvait-on dire…
Je décrochais le miroir et l’orientais de sorte à ce qu’elle puisse s’admirer.

« Comment tu trouves-tu ? »

Lentement, le cierge fondait, continuant de maculer son pubis de cire de plus en plus chaude, se rapprochant inexorablement d’un bouton de plaisir de la sensibilité exacerbé en ferait une cible d’une violence inouïe. Inéluctablement. Et je préférais que cela arrive avant qu’elle ne m’ait à nouveau en bouche. La douleur serait probablement difficile à soutenir, pour moi…

« Tu es magnifique, ma pécheresse en repentir… alors souffre et offres-toi…. Mais garde tes mains loin de ton corps, d’accord ? »

Supplierait-elle de bouger le cierge ? De revenir entre ses lèvres ?

2
Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: jeudi 19 décembre 2024, 08:42:44 »
J’aimais ce que je voyais. Parce que je voyais dans quel état elle était. Parce que je voyais aussi qu’elle avait envie de plus. Parce que je la voyais se retenir. Je lui détectais un énorme potentiel de soumission. Bien sûr. cela me donnait de voir jusqu’où j’aurai pu la pousser ici comme là-bas. C’était superbe comme spectacle. Et je n’abordais même pas sa conformation physique. Elle était belle, désirable. Elle avait une silhouette qui appelait la luxure, des seins lourds, généreux, et gonflés, aux tétons sensibles, particulièrement attractifs – elle savait els mettre en avant en plus – surmontant un ventre plat et un pubis glabre, au-dessus d’un sexe fendu tout aussi glabre. Et je ne parlais pas même de son derrière. Deux jolies fesses qui étaient un appel à la claque.

Je sentais la nonne vibrer sous me doigts, je la sentais capable de se lover contre mes mains pour plus de sensations, elle était à la recherche de ce plaisir qu’elle ne devrait pas ressentir trop vite, trop tôt, trop fort. Et sa moiteur coulante était la preuve même de son absence de contrôle réel sur le sujet. Elle retenait sa voix, elle retenait ses gestes, et ses pensées, comme si elle craignait la conséquence d’un gémissement trop prononcé. Elle ne pouvait dissimuler son émoi mais elle tachait de le retenir un tant soit peu, même si, parfois, son corps se crispait un peu pour se retenir. C’était bien.

« Je suis ravi de voir que tu sais te contrôler un minimum… »

Je tirais sur le mamelon, durci et  semblant attendre de tels traitements, puis je lui expliquais ce que j’attendais d’elle. Une position étrange, j’en convenais, sans doute. Ne comprenait-elle pas où je comptais en venir. Mais maintenant, au moins, elle pouvait respirer un peu, et se détendre, alors que je la regardais se mouvoir vers son lit, les loches balançant au rythme de ses hanches. Je comprenais que je lui demandais un peu de contorsion, mais elle avait l’air d’avoir une allure travaillée, avec des muscles se dessinant sous les doigts prouvant un exercice plus poussé que de se faire chahuter, mais pas de quoi la déformer pour autant.
Malgré les errements de ses envies, elle savait se tenir et prendre la peine d’agir comme il fallait.

« Je sais que je peux compter sur toi, ma belle, je sais… »

Je lui caressais les cheveux avec tendresse, pour l’encourager avant de lui gifler les fesses pour lui « donner de l’élan »

Je la regardais s’installer. Et cela prit un temps fou. Un temps très long. Et en même temps, étant dans un rêve, cela passa comme une seconde. Je m’étais approché d’elle alors qu’elle continuait à monter contre le mur son bassin, jusqu’à m’offrir une vue magnifique e, comme celle que je m’étais attendu à voir. Non, bien sûr. c’était au-delà de ça. son sexe poisseux qui s’était bien écarté à cause de la position, laissais voir ses chairs rosées, et je venais doucement écarter davantage ses petites lèvres, offrant une vue encore plus profonde sur son minou baveux. Son clitoris, bien visible, était bien gonflé lui aussi, sans doute impatient. Eussé-je été cruel que j’aurai mis une petite pichenette à celui-ci. je sentais son équilibre précaire et je ne le bousculais pas. Mais avec douceur, je prenais ses mains pour les guider ver s ses  lombaires pour qu’elle puisse se souvenir, en  enfonçant ses coudes dans le matelas. Ainsi, elle avait un appui un peu plus régulier, et donc un peu plus stables…

Je me penchais vers son visage, posant un genou à terre, et je lui baisais le front, admirant la rivière de j’ai de ses cheveux qui s’étalait en corolle sous elle.

« Tu es magnifique, sœur Blum. Et obscène à souhait… maintenant, laisse-moi te faire découvrir pourquoi cette position était exigée… ferme les yeux un instant… »

Je lui suris, et je venais doucement « pousser » ses paupières pour l’inviter à vraiment fermer les yeux. Alors, je me relevais pour prendre un des cierges qui s’alluma ; c’était le cierge que j’avais déjà sélectionné. Pas trop long, pas trop court, et d’une épaisseur pas trop grosse. L but n’était pas de lui  déchirer les chairs. Même si, comme nous étions dans un rêve, cela n’arriverait pas si elle ne le voulait pas.
Le temps que je me tourne vers elle, le cierge s’était allumé.

« Tu peux regarder. »

En ouvrant les yeux, elle verrait juste les premières gouttes de cire chaude  tomber sur ses tétines sensibles. Puis, je  glissais la base du cierge – et seulement la base, au cœur de son intimité bouillonnante.

« Je te conseille de la tenir comme ça, sinon, tu risques de te bruler… »

C’était facile à dire : la cire coulant le long du cierge allait lui offrir de jolies sensations et n’allait pas l’aider à se concentrer là-dessus, pas plus que le reste.

« Qu’en penses-tu ? »

Et là ce fut vicieux. Quand elle ouvrit la bouche pour me répondre, mon sexe trouva le chemin de sa gorge, avec brutalité, avec violence même, pour lui baiser la gueule comme d’autre lui avaient baisé le con, et ce, jusqu’à ce que son manque d’air ne me force à me retirer pour la laisser respirer.

3
Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: mardi 17 décembre 2024, 08:43:59 »
Je savais qu’elle était en bonne position pour que je puisse en profiter un peu. Mais au fond, c’était parce qu’elle le voulait bien. A aucun moment elle n’avait refusé, à aucun moment elle n’avait semblé sur le point de me jeter. Honteuse, oui, gênée, évidemment, mais au final, elle s’amusait bien, quoiqu’elle montre, parias-je. Ou au moins éprouvait-elle de belles sensations. Et je pariais que si je pouvais admirer son sexe, il serait, au moins, luisant. J’en étais sur.
Toujours était-il que devant ses échecs à répétition, j’étais passé outre. J’avais pris la décision de faire autrement. Passer à l’expiation en mettant ses échecs non sur du manque volonté, mais sur du manque de compétence. La différence était énorme. Et je lui avais donné deux consignes assez simples pour aller dans ce sens. :  il fallait qu’elle dégage les rubans pour ne pas me gâcher la vue, d’une part, et qu’elle aille chercher les cierges qui lui servaient de jouet. Je m’attendais à presque la voir filer dans un coin et prendre des cierges dans la réserve. Mais non, le décor se troubla et nous nous retrouvâmes dans sa cellule. C’était pour le moins sommaire. Un lit, une table, une chaise, un miroir. Pas grand-chose, mais c’était dans la norme des nonnes que de vivre dans le dénuement, non ? Mais le tout restait chaleureux.

Elle me tournait le do et j’avais une vue imprenable sur la rondeur de son fessier délicat. Il était laiteux, comme le reste de sa peau, de ce que j’avais vu, rebondi, certes, mais sans excès, et il était un appel à y déposer une claque sonore. J’avais la main qui me démangeait, et pas qu’un peu. Mais je gardais cela pour plus tard, il y avait autre chose à gérer tout de suite : les cierges. Et l’idée que j’avais en tête. Parce que oui, je ne comptais pas juste utiliser les cierges, j’avais une idée un peu plus poussée sur le sujet. Sans doute assez originale. Mais dans ma tête, le résultat était beau. Particulièrement graphique. Particulièrement obscène aussi, certes, mais surtout très graphique. Et ça aurait fait le bonheur d’un photographe ou même d’un dessinateur pour adulte…

Sur la table, je voyais plusieurs cierges alignés. Les longueurs les épaisseurs et l’usure, variaient, mais tous étaient là, sur une ligne bien nette, prêts à l’emploi.  Ils avaient de petits ornements que je supposais faits à la moulure et non faits à la main, mais le souci du détail dans ses rêves montrait comme elle les connaissait.
J’entendis à pine ses mot, mais je comprenais l’intention derrière. Elle me les désignait en somme, même si c’était évident.

« Merci. »

Et comme pour obéir jusqu’au bout, les rubans se mirent à voleter pour disparaitre peu à peu, jusqu’à ce qu’elle reste entièrement nue, révélant des zones que certains n’auraient même pas regardé aux vues de ses appâts. Son sein lourd presque trop généreux, qu’une seule n’aurait su contenir, son fessier sans excès – qui aimait les gros culs, je ne comprenais pas – ses cuisses fuselées dans la ligne des hanches. Non, vraiment une conformation physique particulièrement avantageuse. Et elle restait droite, digne dans sa nudité, sans se cacher, belle, mise en valeur par une lumière sans source distincte. Non, vraiment, sublime. Je restais dans son dos un moment, et je regardais son corps dans le miroir, devinant plus que ne voyant, l’excitation de son sexe. Je m’approchais alors d’elle, glissant une main sur son sein, pour le pétrir fermement, mais sans chercher la douleur, pour le moment. Mon autre main se glissa sur son ventre, descendit à son pubis, jusqu’à caresser les petites lèvres gonflées.

« Tu coule de bonheur de servir Dieu comme tu le dois, je me trompe ? »

Je ramenais les doigts qui l’avaient -trop – brièvement masturbée pour montrer le fait qu’elle était belle et bien trempée.

« Alors, voyons voir ses cierges. »

Je les regardais en continuant à lui peloter le sein, et retournant la caresser doucement, sans chercher à la faire jour ou autre. Si l’excitation montait trop, je donnerais une pette claque sur son sexe. Juste pour la calmer.

« Hum…. Celui-ci me semble pas mal. »

Je cessais pour saisir une des bougies, de taille moyenne, elle n’était pas très épaisse – il fallait être un gros con ou un puceau pour vouloir jouer à faire rentrer une flute de pain dans une tasse à café – mais les nombreuses coulures de cire montraient qu’elle avait été beaucoup utilisée. Parfait. Ce serait idéal par rapport à mes idées… j’en prenais deux autres, pour un autre usage, et je laissais tomber l’idée d’utiliser les autres. Une fois celles-ci posées à plat sur la table, je regardais l’espace présent, et j’avais une petite idée. le lit serait parfait. Il changerait pour coller à mes idées, mais ça irait bien.

« Il va falloir te mettre en position pour expier. Je sais qu’elle ne sera pas facile, mais je te fais confiance pour montrer que tu peux être satisfaisante au moins sur un point. »

J’entrais dans des explications plus précises :

« Tu vas  te mettre sur le dos tête, dans le vide, sur le lit, et remonter ton bassin le long du mur aussi haut eu tu puisses, en gardant les cuisses bien écartées. Je veux voir ton con lustré de mouille bin exposé d’accord ? »

Cela lui demanderait un peu de mal, mais il y avait plusieurs objectifs avec cette pose. Je n’y tenais plus et je donnais une petite claque sur son cul parfait.

« Exécution. Tu peux t’aider de tes mains, et si tu as trop de mal, je t’aiderai à te mettre en position. »

4
Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: lundi 16 décembre 2024, 08:36:24 »
La nonne semblait prête à faire ce qu’elle devait. Faire son devoir sacré, même. Après, était-elle à la hauteur ? Jusque-là, la réponse était en demi-teinte. Elle n’agissait pas par dévotion, mais sans doute davantage par peur du gendarme. Pas peur de la punition divine. Sinon, elle ne se serait pas fourvoyée de la sorte vis-à-vis des écritures de cette bible des obscénités, n’est-ce pas ? Enfin, c’était un rêve, et elle choisissait aussi son contenu, en partie, et très inconsciemment. Bien sûr.
Enfin bref. Là, elle avait avoué et maintenant, il fallait qu’elle accepte l’expiation. Et je reconnaissais que j’avais une petite idée, là, comme ça, qui germait.

Ma position ne permettait pas e voir sa petite fente que je pariais glabre, quand le tissu fut écarté. C’était bien dommage. Mais non, je la laissai se remettre en place, de toute façon j’observerai ça après, n’est-ce pas ? Je restais silencieux un moment avant de finalement lui faire cette démonstration de rudesse, la laissant suffoquer et m’écouter.
Au moins ne vomit-elle pas quand enfonce elle eut de l’air. C’était le risque de cette pratique : le réflexe nauséeux. Je me demandais jusqu’où je pourrais la pousser…. Elle semblait ne même pas chercher à m’en vouloir pour la position délicate où elle avait été, à manquer d’air. Elle ne s’était pas débattue. Je ne dirais pas que c’était par passivité, mais quand même…

« Ce n’est pas à moi que tu caches ça, c’est aux yeux du seigneur. Ce qui est bien plus grave… »

En tout cas, elle avait présenté ses excuses et maintenant, elle devait faire preuve de sa volonté d’expiation. Et ça allait avec un acte qui était tout sauf un comportement intuitif. S’étouffer sciemment n’était pas une chose évidente, surtout quand on considérait son manque d’expérience. Non, vraiment, rien n’était simple avec ça, et je ne pouvais que constater qu’elle essayait sans arriver à quoique ce soit. Et je savais très bien que tout se passe bien. Elle prenait en bouche, elle enfonçait, et elle bloquait toujours avant, comme si le cap de sa gorge était difficile à passer. Je comprenais et je me montrais patient. très patient. même quand elle demandait plus de temps, je ne me formalisais pas, pourtant, quand le nombre d’échec fut trop grand je lui fis un signe de tête négatif.

« Non, tu n’y arriveras pas comme ça. mais je prends ta persévérance et ton engagement comme un signe de bonne volonté. mais nous nous sommes mal compris. Il ne s’agit pas de ton expiation. Seulement de montrer ta volonté de subir l’expiation… »

Je m’écartais un peu d’elle et je lui faisais signe de la main de se lever.

« Debout. Il est temps de te montrer que tu expie par là où tu pèches. Je voudrais que tu ailles me chercher tes cierges favoris. »

Oui, j’avais une idée. Ou plutôt, l’avais une image en tête, d’une obscénité crasse, et qui, j’espérais, lui resterai en tête longtemps…

« Et comme toute une bonne expiation, il va falloir que tu sois entièrement nue pour cela, alors retire tes rubans. »

Je pouvais difficilement appeler cela une tenue. N’est-ce pas ?

5
Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: dimanche 15 décembre 2024, 21:32:23 »
Sa bouche était délicieuse et la quitter avait été un vrai déchirement, d’une certaine manière. Je lui fis un air encourageant, comme pour lui dire que je ne souhaitais pas la blâmer d’un manque d’effort ou de qualité ; que tout allait bien.
Ses excuses, par contre, elles n’allaient pas forcément.
Je regardais la jeune femme avant de finalement lui faire un sourire en coin, amusé. Elle ressentait la taille de ce qu’elle prenait en bouche, quand c’était posé le long de l’arête de son nez ? je pariais qu’elle pouvait se sentir fière de faire ressentir ça à un homme. Beaucoup refusaient de le reconnaitre. Elle, par contre, je pariais qu’elle n’y voyait aucun inconvénient au fond d’elle-même, une fois que sa fausse gêne se serait dissipée. D’autant qu’elle clamait qu’elle n’avait pas honte de respecter les écrits sacrés.
Elle le répétait comme un mantra.

« Bien. Mais c’est faux…. Il faudrait que tu dises que tu n’as pas honte de sucer une queue. Dis-le, sœur Blum. »

Le tutoiement brisait une distance que j’avais gardé jusqu’ici. / je lui fis un sourire avant de finalement le répéter doucement.

« C’est ça la vérité, tu n’as aucune honte de sucer une queue ; et je parie même que ça t’excite. Admets-le. Sinon, ce serait facile de me contredire n’est-ce pas ? Il suffirait de montrer ce qui se cache sous le ruban, entre tes jambes… »

Elle chercha à passer outre mes questions, mais je la repoussais d’un geste léger mais ferme, de sorte à ce qu’elle soit forcée de répondre pour pouvoir continuer sa sainte mission. Alors, de mauvaise grâce, elle me répondit. Et je me contentais d’opiner du chef. Aucun reproche, aucun jugement ; je me contentais de savoir ce qu’il en était vraiment.

« Je vois… »

Je venais caresser ses cheveux, doucement, comme à une enfant, peut-être, tout en ne l’empêchant pas de reprendre en bouche. Je l’aidais même en posant mon gland contre l’ourlet de ses lèvres.

« Laisse tes mains sur tes cuisses, elles y sont très bien, d’accord ? Utilise uniquement ta gueule. Ou tes pis si tu veux varier un peu. »

Je ne commentais pas son instruction passée, pas avant qu’elle ait à nouveau mon sexe entré entre ses lèvres à la moitié. Alors, je venais poser ma main derrière sa tête et j’appuyais, la forçant à s’étouffer, à prendre en entier ma verge ; je sentais sa luette être agressée par mon gland et je la regardais suffoquer un peu, les yeux rougir, larmoyer. Je la retenais et je lui susurrais alors.

« Tu as mal agi. Et parie que tu espérais éviter le châtiment si personne ne le savait n’est-ce pas ? Alors tu vas devoir expier. Je te ferai expier. Et je te promets que cette expiation te libèrera. Expie et tu seras récompensée. Je t’apprendrai, et je te remettrai dans le droit chemin. Je te ferai gouter la semence avant de t’en oindre. Mais j’attends de toi une dévotion complète. Est-ce que nous sommes d’accord ? »

Je la relâchais.

« Si tu acceptes ton expiation et ta rééducation, fais seule ce que je viens de te faire faire. »

6
Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: dimanche 15 décembre 2024, 18:19:13 »
Toute la situation était le fruit d’un magnifique paradoxe. Et ce paradoxe était simple : cette bible sexuelle était clairement un fantasme, son respect aussi, et en même temps, il y avait une forme de timidité chez elle, comme si elle ne pensait pas pouvoir – ou devoir ? – y céder… et en même temps, si elle était là, comme ça, elle devait bien vouloir. Et j’imaginais fort bien le débat intérieur, entre l’angelotte qui s’outrait et la succube qui se léchait les babines… et elle, à genoux face à moi, elle se laissait aller un peu, elle semblait prête à faire, disant qu’elle n’avait pas honte.

« Et pourtant…. Vous semblez avoir du mal à suivre les préceptes de votre Seigneur, est-ce que je me trompe ? »

Je lui souris, doux, alors que mes mains jouaient avec sa lourde poitrine, avec ses pis délicieux. J’aimais le regard qu’elle avait pour mon vit, le chibre sous ses yeux semblait occulter toute autre chose, même moi j’avais presque l’impression de ne plus exister. Même si elle gémissait quand je m’occupais de sa poitrine, elle me fit rire, sursautant au bruit, comme si elle se surprenait elle-même de gémir de la sorte ; moi, cela m’encourageait alors je redoublais d’attention, attendant qu’elle se décide à passer outre cette honte, ou cette gêne, pour prendre – enfin- en bouche.
Enfin, la lubrique angélique ouvrit la bouche, pour donner son nom, d’abord, avant de finalement accepter de saisir entre ses lèvres le gland, maintenant de ses doigts fins le sexe pour en faire son affaire ; elle avait les doigts moites et ce n’était pas la meilleure sensation du monde. Autant être honnête là-dessus – et froids aussi, mais elle allait se réchauffer, je n’en doutais pas.

« Blum ? Quel joli prénom. Merci Sœur Blum, de votre dévotion… »

Contrairement à celle de ses doigts, la moiteur de sa bouche était délicieuse. Je la laissais faire comme elle pensait devoir, déformant d’abord sa joue à plusieurs reprises, tenant toujours deux bons tiers hors de sa bouche. Enfin, elle dépassa la moitié pour commencer de lents vas et viens, pendant que je continuais à masser sa poitrine. J’y mettais cependant un peu plus de vigueur, quand elle commençait à aspirer mon sexe et aller et venir dessus.

« Hooo, c’est bon ma sœur…. Vous sucez bien… »

Mais ça, elle le savait. En avait-elle l’habitude ? Ce serait surprenant et en même temps pas du tout…
Je laissais tranquilles ses pis, je la laissais juste
Je venais cependant doucement lâcher un sein pour saisir une de ses mains, avec douceur, et la décaler, lui empoignant les cheveux, mais je ne la forçais pas à prendre en entier. Elle savait apparemment faire, mais je doutais de sa capacité à endurer un chibre jusqu’au fond de la gorge. Chaque chose en son temps. D’ailleurs, j’exerçais une légère traction, pour en douceur, la faire cesser, laissant ses lèvres pulpeuses reliées par un filet de salive à mon sexe que je venais doucement glisser le long de son nez, mes bourses contre son menton, un instant. Comme pour lui offrir toute la mesure de ce qu’elle prenait en bouche.

« Alors, sœur Blum, que pensez-vous de cela ? Etes vous défaites de votre gêne ? »

Je cessais pour lui tapoter la joue avec, nonchalamment, dans ce qui était une biflais assez douce, en lui demandant.

« Etes-vous une pratiquante assidue ? En tout cas il est vrai, la bouche est gracieuse et les pis son délicieux. Et « pis » vous va mieux que « seins » ou « poitrine », n’est-ce pas ? Dans ce cas, gueule vaut peut-être mieux que bouche… »

Le ton était clairement celui de la réflexion. Je l’avais lâchée pour qu’elle fasse à son aise, mais je doutais de la laisser reprendre sereinement sa fellation sans avoir eu de réponse sur le sujet.

« Vous êtes si belle, si angélique…. J’imagine votre visage d’ange, oint par la sainte semence... »

7
Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: dimanche 15 décembre 2024, 14:51:57 »
Elle était clairement gênée par la situation. Elle savait parfaitement ce qu’elle faisait, et elle ne pouvait pas dire qu’elle ne le faisait pas par choix. Soyons clairs : elle pouvait nier tant qu’elle voulait. C’était son rêve, le livre qu’elle avait rêvé. Et si je pouvais pousser le vice, je ne pouvais pas le créer de nulle part. donc elle ressentait et elle voulait ça. Forcément ; et moi je ne faisais qu’entrer dans son jeu. Un jeu dont je percevais les règles à peu près. Je connaissais ce genre de jeu si commun.
Et maintient qu’elle avait parlé, il était temps de passer au degré de jeu supérieur. Au niveau suivant. C’était une partie du rêve où je devais avoir une part active.
Elle remarqua enfin les vitraux, et je ne sus dire si elle en blêmissait ou en rougissait. Elle en soupirait ; des soupirs lourds et voluptueux. Elle en avait envie, n’est-ce pas ? De mettre en application, d’imiter les vitraux….
 Vitraux qui représentaient, aurai-je parié, tous les fantasmes qu’elle avait eus, personne par personne. Cela en faisait une jolie quantité. ? mais toujours était-elle, dans ces représentations, au cœur de l’attention, d’une manière provocante. D’une manière obscène pour la morale commune.
Je ne compris pas exactement ce qu’elle voulait dire, concernant ses seins. Ils disaient. Qui étaient ces « ils », je ne savais pas, et entre nous, dans l’immédiat je m’en fichais, même si je m’en fis une petite idée avec la danse des vitraux, les actes qui prenaient vie.
Il n’y avait aucun acte sage, mais la majeure partie des vitraux ne la montraient pas dans des actes trop rudes, ou trop violent. Méconnaissance de sa part, c’était à peu près sûr. Qu’à cela ne tienne…
Toujours était-il qu’elle avait un verset à expliquer, et ce faisant, elle tant d’esquiver, mais qu’avait-elle esquivé jusque-là ? Elle était désormais seins nus, face à moi, et je pariais que j’aurai pu empoigner sa poitrine à pleine main qu’elle n’aurait pas cherché à se débattre j’aurai pu lui donner l’impression qu’elle arrivait à s’en sortir. Avec une telle excuse, mais pour le reste, eh bien apparemment son propre rêve la poussait en avant : le livre s’échappa, révélant le texte, et la gravure à côté….

« Une image en effet… »

Je me moquais un peu d’elle, mais elle sembla prendre ça plus quez sérieusement parce qu’elle tombait à genoux devant moi, en prière, mais une position de prière dont, les seins exposés, les fesses mises en avant par une posture bien moins innocente qu’on aurait pu le croire, je la regardais, et je fis un signe de tête, ramassant le livre, alors qu’elle restait en position de prière. Je relisais les versets et je ri doucement. Le dernier verset était « amusant ». Plus que les autres. Elle n’avait pas voulu le finir et je comprenais pourquoi. J’avais un peu pitié d’elle, et je décidais d’en faire abstraction pour le moment.
Il y avait plus important ; elle était venue baiser mon entrejambe presque pieusement au travers du pantalon. Je venais doucement glisser mes doigts dans ses cheveux sombres, pour les écarter sur le côté.

« Ma sœur, avez-vous honte de suivre les saintes écritures ? »

Cheveux écartés, je me penchais un peu pour saisir son sein, frottant doucement le mamelon durci entre le pouce et l’index. Puis je lui donnais une petite tape, un peu joueur., pas de quoi faire mal.

« Respectez vos vœux de servir Dieu, ma sœur… »

Il suffisait de cela : j’ouvrais mon pantalon, pour laisser sortir mon sexe. Un sexe déjà durci, qui vint presque lui gifler le nez, tant nous étions proches.

« Ne vous privez pas de montrer votre dévotion la plus entière. Car le salut ne passe que par la dévotion. N’est-ce pas ? »

Je posais ma main sur l’autre sein et je les pelotais doucement, sans rudesse. Je les cajolais, aurait-on pu dire.

« Vous ne m’avez pas dit votre nom, d’ailleurs, quel est-il ? »

8
Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: dimanche 15 décembre 2024, 09:52:15 »
Le rêve avait déjà cette saveur épicée sur les papilles. Je sentais ce côté sulfureux propre à faire plonger l’autrice de celui-ci dans des abysses d’une luxure plus noire que le péché. Mots appropriés vus les lieux, dans cette église qui apparaissait en toute grandeur. Non, vraiment, les lieux étaient superbes. Et d’autant eu lorsque l’on s’attardait sur les vitraux…
Je pariais qu’elle n’avait pas vu à quel point les pensées soi-disant impures pour la religion, avaient débordées, chaque vitrail était d’une obscénité consommée. On ne pouvait réellement distinguer les traits du visage de la jeune femme qui s’offrait d’une manière différente sur chaque tableau. Non, vraiment, je ne pouvais nier l’effort du détail présent malgré cela.

« Oui, je comprends, mais ne serait-il pas malvenu de mettre une ouaille à la porte ? »

Donc l’argument de la fermeture de l’église était bien vite écarté. Pour le reste, elle finit par céder et se tourna vers moi, faisant doucement voleter les rubans un court instant, révélant le reste de sa poitrine, un sein magnifique, bien rond, bien lourd. Le genre où on avait envie de planter une canine juste pour en apprécier la fermeté et lui faire pousser un joli gémissement.
La lumière suivait et sublimait son corps, comme si elle ne voulait pas cesser d’être le centre de toutes les attentions – même si j’étais la seule attention qu’elle avait présentement – elle voulait évidemment cette attention, tout en la craignant et ne la voulant pas. D’autant qu’elle avait clairement du mal à avouer le contenu du livre. Livre qu’elle avait refermé jusqu’à céder sur l’idée de me lire les versets de la bible. Les versets les plus obscènes qu’elle eut jamais à prononcer.
Je m’asseyais, presque sagement sur le banc, et je joignais les mains, en fervent priant attendant de recevoir la parole Sainte. Je la regardais se placer face à moi, et, tremblante comme une feuille, ouvrir le bouquin sacré pour m’en faire une lecture qui, je le savais, ne serait pas piquée des vers. Des versets, oserai-je même dire.

Je ne souris pas quand elle prononça le premier. Je ne lui offrais pas le fait que je me réjouissais de sa gêne, de sa maladresse, de sa potentielle gênée et sans doute d’autre chose qui prenait naissance au cœur de son bas ventre.
Chaque verset était pire que le précédent, et je la voyais même serrer les cuisses, sous ses hanches fuselées, dans un léger tortillement extrêmement prometteur. Oui, vraiment, elle avait des pensées qu’elle jugeait ne pas devoir avoir. Et ce rêve allait l’aider à y céder. Clairement ; je me faisais fort de la faire sombrer. Chaque verset était une maestria d’imagination, et quand je levais les yeux, chaque verset semblait être aussi illustré par un vitrail précis. Mais il en manquait ; et quand elle s’interrompit, alors je sus qu’elle avait trop de mal pour le moment pour en dire davantage. Il fallait juste y aller pas à pas.
Récapitulons ce qu’elle avait dit :
-Se mettre à genoux devant les hommes et les combler de sa bouche et de sa poitrine. Pardon, de ses pis. Le terme, quand on constatait l’avantage naturel qu’elle avait sur le sujet sur nombre d’autres femmes, était particulièrement bien choisi. De bon gros pis délicieux… il faudrait que je vérifie.
- Elle ne pouvait pas se laisser aller comme elle voulait, son plaisir était conditionné.
- Elle devait être châtiée pour avoir utilisé les cierges de façon créative
- Elle devait servir… et la suite je ne l’avais pas car son courage s’était effondré avant.

Oui, bon, d’accord, connaissant le contenu je n’avais pas vraiment besoin de récapituler de la sorte. Et je reconnaissais que je m’étais amusé à faire résonner dans l’église les lourds gémissements de plaisir, pour aggraver sa situation, d’une certaine manière. Oui, ça, c’était de mon fait.
Je décidais d’agir de manière un peu sournoise sur le sujet, et je me levais pour m’approcher de la nonne perverse et je venais poser mes mains sur les siennes.

« Merci ma sœur. C’était édifiant. D’autant plus qu’après la lecture vient le temps des explications et des mises en application, n’est-ce pas ? Et si certaines parties sont claires selon moi, d’autres sont un peu plus délicates…. Peut être pourriez-vous éclairer votre ouaille de votre compréhension des textes sacrés… »

Je lâchais les mains de la jeune femme et je levais les yeux vers les vitraux qui auraient pu être des photographies, comme si lire les versets lui avait fourni davantage d’imagination.

« Est-ce comme sur les vitraux ? »

Et parce que cela ne suffisait pas je rajoutais.

« Ma sœur, montrez-moi comment appliquer le premier verset que vous avez lu s’il vous plait…. Il est important de comprendre les Saintes Ecritures… et si j’en crois les échos de vos paroles au sein de cette église, vous êtes une envoyée de dieu pour montrer l’exemple et appliquer à la lettre chaque écriture, n’est-ce pas ? »

Et sans lui demander son avis, je venais écarter les bandes de tissu dissimulant ses mamelons déjà bien dressés.

« Vos pis sont-ils donc si délicieux ? »

9
Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: samedi 14 décembre 2024, 21:01:12 »
Les rêves étaient une chose amusante. Ou du moins, amusantes dans le sens où ils ne prenaient pas une apparence telle qu’on les concevait. Par exemple, est-ce que vous pouviez imaginer que le rêve,’était pas un monde en tant que tel ? il ne fallait pas voir cela comme un monde, et chaque rêve était immobile. C’était comme si vous étiez dans une bulle de réalité virtuelle ; avancer, bouger, ne faisait pas bouger ou avancer la personne, mais faisait bouger le monde autour. C’était une expérience dont personne n’avait pleinement conscience. Et pour cause : ils avaient l’impression de bouger, donc ils ne pouvaient pas savoir. Ainsi, quand je pénétrais dans cette « bulle » de rêve, je me contentais de faire partie du rêve. Encore une autre particularité. Techniquement, j’étais seulement objet du rêve dont la personne était sujette, mais j’étais plus proche d’une particule exotique. Un être qui ne respectait aucune loi.

L’entrée dans ce rêve, dans cette bulle, me propulsa dans ce qui semblait être une église. Mais avant de me faire être corporel dans ce rêve, je me drapais dans lui pour le visiter, pour le comprendre. Une femme en tenue de none pour le moins olé-olé se tenait. Dos à l’entrée. Une tenue… oui, non, soyons honnêtes : même dans un film pornographique c’eut été plus ressemblant ; là, c’était…. Les bandes de tissu ne dissimulaient même pas le strict minimum. Elles mettaient plutôt en exergue le minimum. Le livre qu’elle lisait, sur un pupitre, était un genre de bible et le contenu me fit volontiers rire. Est-ce que c’était le fantasme de jouer les nones, ou l’expression de la frustration d’une vraie nonne… les deux se valaient probablement.
Je sentais que j’allais m’amuser.

Je toquais à la porte de l’église, porte qui ne donnait sur rien, car rien n’existait hors de celle-ci. Elle ne bougeait pas, j’entrouvrais la lourde porte pour me rendre vers elle. Je ne cherchais pas à me dissimuler, ou à me transformer, je venais dans une tenue des plus classiques : la chemise, le jean, le blazer, les mocassins, le genre mec qui sortait du boulot, mais d’un boulot plus relax qu’un employé de bureau japonais moyen.

« Bonjour… »

Je ne mentionnais pas la tenue, le fait que son fessier soit entièrement dénudé révélait une croupe pour le moins alléchante, mais pas seulement ; en fait, il y avait autre chose : à cause de la tenue, le moindre geste de sa part la dénuderait bien davantage. Je m’approchais et me décidais à « jouer le jeu ».

« Ma sœur, je suis ravi de vous voir, j’espère que vous allez bien ? »

Je souris et je remontais la nef jusqu’à rejoindre l’endroit où elle était installée.

« Le père Tanaka devait me faire lecture et commentaire de votre Bible… je suppose qu’il vous a demandé de le faire pour lui ? »

Hors de question qu’elle ne lise pas les versets obscènes à haute voix…

10
Elle-même ne semblait pas spécialement savoir d’où venait cet air. Bah, c’était sans importance. Tout au plus était-ce une manière de rester concentrer à la manière d’un mantra, sans doute, non ? Sincèrement, je n’avais pas envie de la voir gagner. Après, je reconnaissais que j’avais joué et que je pouvais très bien perdre, au fond. Par contre découvrir l’origine avec les rêves….

« Hum… c’est possible en effet. Je ne garantis pas qu’on aurait le fin mot de l’histoire, mais on peut essayer. Les rêves sont un univers étrange. Là-bas, le fantasme a parfois plus de poids que la vérité et devient une vérité. Prenons un exemple : si l’idée qui s’impose est que tu es un rongeur, et bien tu seras un rongeur et ce sera la vérité de ce rêve. Quand bien même tu sais que tu es humaine. Tu vois ce que je veux dire ? »

Je lui fis un sourire en coin, et je la laissais méditer cette idée. Si elle voulait quand même essayer, alors nous pourrions, à l’occasion. Et les jeux reprenaient, dont elle s’en sortait avec brio ; avec trop de brio, presque, me disais-je…
Enfin, l’idée miraculeuse vint avec les chatouilles. Et elle eut son, petit effet, c’était le moins que l’on puisse dire. Car elle en riait à perdre haleine, elle se pressait contre moi, en pleurant de rire, appuyée contre moi, comme si elle n’en tenait plus debout ; merde alors… elle était vraiment chatouilleuse. Et quand je sentis qu’elle manquait vraiment de souffle, je m’arrêtais, sourire aux oreilles.

« Eh bien quel fou rire… désormais à chaque fois que je t’entendrai fredonner cette berceuse – on va dire en attendant de savoir si c’est une berceuse – je te chatouillerai comme ça. Tu finiras bien par perdre, soit la manie, soit un stylo. Non ? En tout cas, bravo pour le contrôle malgré les chatouilles… »

Je lui fis un sourire moqueur.

« Enfin, on est arrivés à la première boutique. Allons donc trouver ces fameuses jarretelles qui te semblaient tant problématiques… il y a des chances que je te propose des cochonneries dans la cabine d’essayage, alors attention… »

Je lui donnais une petite claque sur les fesses avec amusement. Sous le choc, le stylo s’enfonça un chouia davantage.

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Je regardais la jeune femme qui rit doucement. Elle se demandait sans doute pourquoi je lui parlais d’une telle chose. Mais en soi, elle avait devant elle quelqu’un qui était capable de s’introduire dans les songes, et elle ne semblait pas plus choquée ou autre que cela, alors la possibilité d’une forme de sorcellerie n’avait rien de bien surprenant, à côté de cela, n’est-ce pas ? elle semblait amusée, pas moqueuse alors qu’elle m’expliquait la raison de son « chant ». une sorte d’air qu’elle gardait en tête depuis son enfance/ c’était vrai qu’il était assez entêtant.

« Et tu aimerais savoir d’où il vient ? »

Je pouvais essayer au fil de ses ^rêves d’en trouver précisément la source. Je savais que ce ne serait pas facile, probablement impossible, mais je pouvais essayer, ça pouvait être un défi intéressant.
Toujours était-il que les missions que je lui donnais semblaient trop faciles pour elle, et elle s’en amusait ; je ne savais pas si j’étais ravi ou bien déçu… la belle albinos semblait prendre son parti de faire ça. Et je ne me privais pas de savourer la vue de la jeune femme montrer soupelment sur le plot qui était assez haut. C’était presque à hauteur du genou quand même. Mais bon, elle était à) l’aise, m’offrant même un baiser sur la joue, l’air de rien.
Le défi était si facilement réussi.

« Je vois ça. Je devrais peut-être te faire faire quelque chose de plus difficile ? Parce que tu as l’air de presque trop t’amuser pour que le jeu en vaille la chandelle pour moi… »

Je réfléchissais un peu. Je reconnaissais que je me prêtais un peu au jeu avec elle, on passait un bon moment, ou du moins, cela m’en donnait l’illusion. Je lui souris, revenais la saisir par la taille avant de laisser ma main errer sur ses fesses et venir donner de petites tap du bout du doigt sur le stylo qui sortait de son anus, bien plus facile à venir titiller ainsi que l’autre.

« C’est trop fin pour que tu peines, pas vrai ? »

Une idée stupide me vint alors. Et sans prévenir, je venais lui chatouiller doucement les côtes pour la titiller, pour lui faire perdre le contrôle sur ce qu’elle retenait et sur sa chanson. Elle se tenait mieux ainsi ? J’en doutais fortement. Parce que si ce n’était pas de la magie, c’était tout du moins un  genre de mantra qui aidait à se concentrer.

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HAYAO
& RUBIS
Je souris en l’entendant parler de ne pas tricher…. Et elle ignorait ce dicton… je ne pouvais pas m’empêcher de me marrer un peu sur le sujet. Ce n’était pas vraiment un dicton réel, bien sûr, c’était une sorte de jeu, dans les escaliers très longs, de ne pas toucher la rampe, et essayer d’être le premier en haut. J’avais un peu faké, certes, mais bon, ce n’tait pas trop grave. Je lui fis un sourire entendu avant de finalement hausser les épaules et la regarder descendre, presque à son niveau. Aucune difficulté. Je n’étais pas si j’étais déçu ou si j’étais ravi qu’elle y arrive sans mal. Peut être un peu des deux, en fait. C’était sans doute ainsi que ça se passait. Je lui fis un sourire et je la regardais un peu en coin, et je croisais les doigts à chaque fois que nous franchissions un pallier.
Le plancher des vaches fut là beaucoup trop vite, et je ne pu m’empêcher de lui trouver un petit côté triomphal.

« C’est vrai, bien joué… »

Elle avait fredonné sur tout le trajet et je me demandais ce qu’elle chantait. Ce n’était pas une sorcière quand même ? J’espérais cela parce que ce serait bien dommage, sinon… parce que je savais qu’elle me jouerait un sale tour avant la fin. Elle pourrait même me faire un mauvais sort dans mon domaine onirique… c’était un risque que je n’avais pas forcément envie de courir.

« C’est quoi cette mélodie que tu fredonnes ?  On croirait presque tu joues à la magicienne pour empêcher les stylos de glisser… »

Je savais que c’était ridicule mais en même temps.
En même temps merde ! J’avais un doute !

« Maintenant on va marcher jusqu’à trouver un magasin de vêtements qui pourrait aller pour trouver de quoi combler tes lacunes vestimentaires. »

Je passais mon bras à sa taille, lui palpant les fesses au passage, pinçant même doucement, par jeu.

« C’est à croire que ce jeu est trop facile pour toi… »

J’aperçus une série de trois gros plots en béton.

« Oh, tiens, et si tu montais sur les plots, sur notre chemin ? »

Ça allait la déstabiliser un peu quand même, non ?
Et puis, c’était quand même plus sympa de sortir et se promener en jouant de manière perverse que de simplement rester enfermés chez moi à baiser, non ?

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Son sourire, son rire, je ne le pris pas mal, d’autant qu’elle avait aussitôt tout explicité. Je ne voyais pas de raison de penser que les choses se passeraient mal. Je lui fis un sourire en coin, de nouveau, alors qu’enfin, nous sortions vraiment de l’appartement. L’air frais faisait du bien. Tout simplement.

« Je me doute. »

J’avais souvent du mal à réellement sourire. Sincèrement, comprendre ma vie, comprendre sans doute pourquoi je souriais pleinement si peu… ça pouvait s’entendre. Je me nourrissais de choses qui auraient souvent fait froid dans le dos. je commençais à marcher, pour aller prendre les escaliers. Je lui posais une question qui pouvait paraitre étrange. Me détestait-elle ? je m’en doutais, ces petits jeux, et cette situation avaient tout d’un rapport forcé, ou même d’une série de rapports forcés. C’était tout ce qui pouvait compliquer les choses. Tout simplement.
En tout cas, elle semblait plus douce, plus affable, maintenant, comme si elle pouvait se montrer plus elle-même dans les jeux. C’était une bonne chose. Ça faisait beaucoup de bien, je le reconnaissais bien volontiers.
Ses mots avaient, à mes yeux, valeur d’excuse. Elle se calait contre moi, plus fermement, plus fort. Son sein appuyé contre mon avant-bras, comme pour me montrer qu’elle ne s’échapperait pas, continuant à me parler.

« Je n’ai aucun intérêt à te piéger, ma belle. Parce que si je voulais te faire chanter, il me  suffirait de te faire subir l’enfer dans tes rêves à un point tel que tu viennes ici en rampant, pleurant et suppliant de cesser, alors pourquoi est-ce que je voudrai te piéger ici ? »

C’était vrai, et c’était la raison pour laquelle je ne mettais aucune emphase sur les mots. Parce que c’était d’un pragmatisme cruel. Un pragmatisme violent, même. ; Alors forcément, toujours était-il que nous avancions et que nous entamions sa première difficulté : les escaliers et les sensations que cela risquait de procurer.

« Passons, je suppose que tu verras bien, à la fin de la journée, que je n’aurai rien fait pour te piéger. Si nous voulons nouer une relation durable, je ne peux pas me permettre de te mentir ou de me montrer malhonnête envers toi, sans doute… »

Je posais ma main libre sur la sienne, celle qui tenait mon bras, et je la serrais avec douceur.

« Détend un peu les doigts ou je vais finir par avoir une marque. Et puis, tu sais ce qu’on dit : dans les escaliers, s’agripper c’est tricher. »

Trois étages sans toucher la rampe, sans s’accrocher à moi. une jolie petite épreuve.

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Ses objections, toutes logiques qu’elles soient, n’avaient pas beaucoup de sens, dans l’absolu. Après tout, j’avais toujours été blanc bleu avec elle.

« Je vois… cette méfiance, c’est san doute décevant d’entendre que tu te méfies, mais c’est entendable. Je ne vois pas l’intérêt de te piéger à ton insu ici, alors que pour te faire venir en rampant je pourrai juste te détruire psychiquement en un seul rêve… non que je souhaite en arriver là, ceci dit… »

Je pensais que mon comportement jusque là avait dû lui montrer qu’elle n’avait aucune raison de s’en plaindre, n’est-ce pas  Je lui fis un sourire et je lui tenais alors la porte pour que nous sortions de chez moi. elle le disait non, tout était bon pour elle. Sincèrement, depuis le début de cette journée elle n’avait pas montré une volonté et une envie débordante. Ce que je trouvais un peu désagréable venant d’elle. Je n’avais pas été brusque, ni dur, j’avais commencé à prendre mon dû, tout simplement. Et qu’elle en fasse la tête, je trouvais ça un peu déplacé.

« Tu sais, tu es bien plus jolie quand tu te montres enjouée et souriante. Tu le dois bien ça, non ? »

Je lui fis, en preuve de mon avis, un sourire qui me donnait un air presque juvénile. Je filais vers les escaliers, ne disposant pas d’ascenseur, et quand j’arrivais en bas des marches, je lui proposais mon bras pour continuer à marcher. Une manière agréable de marcher, à n’en pas douter. Je restais silencieux, néanmoins, encore un peu. Et je finissais par lui demander.

« Tu me détestes pour ces petits jeux, n’est-ce pas ? »

La question était stupide, à n’en pas douter.

« Je me demande jusqu’à quel point tu penses que le jeu en vaut la chandelle… »

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L’idée des stylos était farfelue, c’était le moins que l’on puisse dire. Mais bon, c’était amusant. Il al regarda et attendit alors de voir sa réaction sur le sujet. Elle s’était laissée faire. Et avait accepté les deux stylos sans la moindre  difficulté. Elle s’était penchée en avant et s’était laissée faire sans gémissement, sans plainte. En bref, elle avait obéi de la manière la plus entière possible. j’étais content de voir que j’avais sa collaboration. Celle-ci commençait maintenant en réalité. Bien sûr. Mais les garder. C’était en effet une autre paire de manche. Je regardais la jeune femme attendant de voir ce qu’elle aurait à dire du petit jeu que nous avions commencé.
Elle ferma les yeux un moment en entendant ce que je voulais comme petit jeu. Une chose amusante pour moi, délicate pour elle, et qui l’aiderait, peut-être à voir le côté jeu de la situation. Je regardais avec un petit sourire en coin avant de finalement lui faire un petit air amusé quand elle répliqua, sourcils froncés. Ah, apparemment, elle ne voyait pas comment elle allait s’amuser comme ça.
Elle avait perdu la douceur de ses traits, elle s’était durcie, ou contractée, et avait l’air, d’un coup, beaucoup moins avenantes, donnant un côté même malaisant à ses yeux rouge sang.

Mon jeu était perdant pas avance, disait-on ? Oui, peut-être. En fait, elle avait juste compris qu’elle aurait du mal, et elle ne voulait pas se donner du mal. Tout simplement. Je lui fis un sourire avant de finalement lui faire un air plus sérieux hochant doucement la tête. Elle allait même plus loin, elle refusait de jouer le jeu si elle ne connaissait pas tous les tenants et les aboutissants de ce « jeu » … tout simplement.

« Donc, tu mettrais fin à notre accord parce que tu ne sais pas dans quoi tu t’engages ? Je croyais que tu savais que tu serais mon jouet pendant la journée, et à) ce que je sache, on n’explique pas les règles au jouet avant de jouer avec, n’est-ce pas ? »

Je soupirais un peu. Elle se montrait, d’un coup, rebelle et rétive... c’était très dommage. Mais soit.

« Très bien. Si tu gagnes, je te l’ai dit, la journée se termine et tu peux filer. C’est une récompense très intéressante, à la hauteur de la tâche, n’est-ce pas ? »

Je m’approchais d’elle et défaisais quelques boutons du chemiser. Pas de quoi la dénuder, juste de quoi lui faire un généreux décolleté. Rien d’exagéré ceci dit, mais assez pour que je puisse passer la main à loisir pour peloter le lourd sein que le tissu dissimulait.

« Si jamais un stylo tombe ce sera déjà une belle humiliation que de se faire remarquer ainsi, n’est-ce pas ? Alors en plus, je comptais le faire remarquer à haute voix avant de te punir avec, sans doute, la fessée  dans un lieu public, ou alors, peut être en te faisant essayer de jouer dans un lieu public. Non pour le plaisir de t’exhiber, si je voulais t’exhiber je ne m’embêterais pas plus que ça, mais plus pour jouer avec le risque d’être surpris. Ah et j’aurai sans doute le plaisir de te faire  Ou alors porter d’autres e=accessoires un peu plus prenants ou gênants… Qu’est-ce que tu en penses ? On peut y aller, princesse ? »

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