Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Hayao Tachibana

Pages: [1] 2 3 4
1
Au moins, la nudité n’était plus un problème pour elle. La pudeur eut été bien mal avisée, il fallait bien le reconnaitre. Ses lourds pis étaient d’une jolie rondeur, presque surnaturelle. Je ne pouvais pas m’empêcher de trouver ça agréable. De trouver que le moment était d’une bonne chose. Je lui fis un sourire avant de finalement la voir percuter ce que je pensais, sur le sujet. Je lui fis un sourire, un peu moqueur.

« Oui, exactement. Après tout, je ne suis pas qu’un voyeur et un bâtisseur de rêves, rappelles-toi que je les manipule... si on combine tout ça, rien ne m’est imposible, n’est-ce pas ? Alors pourquoi est-ce qu’il en aurait été autrement ? J’ai bien le droit d’en profiter un peu dans mon domaine, non ? »

Je lui souris et je lui tapotais la joue avec douceur. Non mais vraiment, me croyait-elle si impuissant dans les rêves ? Mais bon, en même temps… forcément… je lui fis un sourire avant de finalement lui faire un sourire en coin, amusé par cette situation, un peu. Elle avait l’air de trouver ça un peu surprenant.
Encore un peu rosie par la gêne – ou par l’excitation qui savait ? – elle sembla comprendre exactement où je souhaitais la faire venir, à savoir, à une bonne petite fellation des familles. Je trouvais l’idée amusante que de la voir loin de se plaindre de cette situation. Elle semblait y aller de bon cœur, non ? Alors forcément…. J’hésitais et je réfléchissais un court instant quand elle demanda si je préférais debout ou assis.

« Ta question n’a pas vocation à retarder ta fellation, non ? »

Je me moquais d’elle, bien sûr. D’ailleurs, je lui fis un sourire et sans vraiment me déranger je m’installais au sol, sur un petit coussin, à la japonaise. Elle n’avait plus qu’à se mettre au travail, non ? Et la position pour ça serait joliment excitante., à n’en pas douter… je lui fis un sourire avant de finalement lui faire signe de se mettre au travail.

« Je suis sûr que Viktor t’a appris à te donner à fond pour faire plaisir à un homme. N’est-ce pas ? »

C’était cruel de dire ça, non ?
M’en foutais.

2
Sa réaction, reconnaissant qu’en effet, la question des jarretelles ne se posait du coup pas vraiment, surtout dans cette situation. Mais en même temps, c’était amusant, bien sûr. Je lui fis un sourire et je me contentais d’opiner la tête. Elle avait raison ; elle savait ce qu’elle disait, désormais, et elle comprenait que c’était plus juste. Qu’elle était, en cet instant la digne héritière du plus vieux métier du monde. Elle le faisait pour payer un service. Une nuit sans cauchemar. Une nuit sans le voir, lui… mais en même temps, je comprenais ce qu’elle désirait de cette situation. Je lui souris, et je commençais alors à la peloter. Elle ne comprenait pas ce que je disais des choses qu’elle ne comprenait pas. Elle ne savait probablement pas que certains soirs de cette semaine, j’avais été son ancien amant, histoire de m’amuser aussi un peu, au lieu d’être un simple spectateur.
Ma nature faisait de moi un voyeur dans l’âme. Bien sûr. Mais le voyeurisme ne faisait pas tout, j’en étais sur…

« Non, bien sûr, tu ne peux pas comprendre. C’est normal. »

Je ricanais gentiment avant de finalement lui faire un petit air amusé avant de finalement lui pioncer doucement la pointe de ses seins qui durcissait sous mes doigts. Je ne lui demandais pas davantage si elle pouvait imager. Pas plus que je ne lui donnais des explications. Non qu’elle en ait demandé, ceci dit. Mais disons qu’elle n’était probablement pas en mesure de se projeter assez pour comprendre. Et je pensais sans la moindre once de mépris. Nous étions de nature bien trop différente.
Oh allez, j’allais lui donner un petit indice.

« Crois-tu que je conserve toujours mon apparence dans les rêves ? »

Comprenait-elle avec cette idée, avec cette information ? J’espérais, sinon, elle était bien bête. Ah et oui, là, c’était clairement du mépris !

« Bien, ton corps me plait bien, maintenant et si tu me montrais que tu ne sais pas faire parler, avec cette jolie bouche, pour commencer ? Ce serait sans doute un bon début, tu ne crois pas ? »

Voilà, on cessait la dentelle.

3
Une heure à tuer. Ça passait avec une lenteur et une lenteur… affreux, affreux, affreux ! Mais ce n’était pas si grave. Je lui fis un signe de tête positif et je lui signifiais un « à tout à l’heure ». Je me sentais un peu con, en fait, de me réjouir d’aller faire ce diner et cette sortie avec elle. Du coup, je partais faire un autre truc, et j’oubliais presque l’heure du rendez-vous. Et c’était presque en courant que j’arrivais, avec un chouia de retard devant le salon de coiffure où elle m’attendait. Canon en plus. Elle avait fait un petit effort de préparation apparemment, dans le style casual qui allait bien.
Bon, par contre elle n’était pas seule. Je ne dirais pas qu’elle allait se faire chahuter, mais bon, dans le doute….

« Hey ! »

Je souris, et je me glissais dan le groupe pour venir, sans la moindre gêne, saisir la taille de la jeune femme d’un bras, et lui poser un baiser sur la joue. Une manière de la saluer de manière très familière pour essayer de décourager un peu l’entourage.

« Désolé, je t’ai fait attendre. »

Je regardais les mecs autour, qui semblaient un peu déçus, voir un peu vexés, que quelqu’un s’interpose.

« Hey mec, on était avec elle, tu veux pas te barrer… »
« Ouais, dégage… »

Je sentais bien que j’avais attiré un peu d’animosité.

« Désolé les gars, on rencard… »

Et avec douceur, et d’une légère pression sur les reins, je venais entrainer Claire hors du groupe qui l’avait entourée…. Je ne doutais pas que si elle avait été prise d’assaut par la malédiction, elle aurait probablement sauté sur l’occasion pour se faire sauter dans cette occasion.

« Vraiment désolé, j’espère que tu n’auras pad ‘ennuis avec eux quand ce sera le mauvais moment. »

Ils n’avaient pas l’air méchant ceci dit parce qu’après s’être vexés et nous avoir un chouia injurié ils étaient en train de passer à autre chose, puisque je ne les entendais plus. Je ne prenais même pas la peine de regarder pour voir s’ils nous foutaient la paix ou pas. Fussent-ils revenus à la charge, je ne les aurais pas vus.

« T’as faim ? »

4
Son attitude pudique était un peu drôle, non ? Je lui fis un sourire un peu railleur, surtout quand elle précisa son avis sur le fait de porter es bas. Ave sa tenue, c’eut été un incontournable, en soi… je lui fis un air amusé, et je haussais les épaules.

« Et du coup, ça te semble si inapproprié que ça ? »

Si les bas faisaient catin, comment devrait-elle se considérer, en venant ici après son engagement, hein ? Non parce que là, pour le coup… je ne voyais pas vraiment ce qu’elle pouvait objecter à ce genre de choses. Je devinais bien qu’elle était un peu mal à l’aise, avant de finalement lui demander si elle avait pensé aux lavements. Selon moi, c’était important que ce soit fait avant. Histoire de ne pas tremper le biscuit dans une tasse dégueulasse. C’était un peu de respect envers moi-même, quoi….
Ça, c’était fait. Pour le reste, c’était une autre paire de manches. Je me demandais si elle avait des idées plus précises des choses à faire avec ça… hum… je regardais un peu de travers la jeune femme avant de finalement me rapprocher d’elle, pour commencer à profiter un peu de sa nudité. Une bien belle nudité donc t je pelotais, empaumais, sans vergogne, la rondeur mammaire généreuse…

« C’est quand même mieux quand on peut peloter. Tu n’es pas d’accord ? »

 Espérons qu’elle se dévergonde un chouia, sinon, ce serait assez chiant, sans doute. Donc bon… je me contentais de peloter un peu, avant d’arrêter et de tourner autour d’elle pour regarder à quoi elle ressemblait plus en détail. Non mais vraiment, joli morceau, il fallait bien le reconnaitre.

« Alors, ça fait quoi de faire ça hors d’un rêve ? »

5
Les alentours de la ville / Rêve pervers pas piqué des vers [Pv]
« le: samedi 24 août 2024, 14:45:35 »
Le rêve de mon étudiante était assez « précis », si l’on pouvait dire. En tout cas, tout le cadre montrait clairement une orientation claire sur le sujet. Il s’agissait, aurait-on dit, du campus de l’université. Typique d’une université américaine, avec un complexe sportif assez développé, puisque c’était cœur de l’instant. A en croire les bannières, c’était un genre d’olympiades sportives. En soi, rien d’anormal quand on connaissait mon étudiante en japonais. Il s’agissait d’une jeune femme pour le moins classique, avec comme principale obsession le sport. Donc jusqu’ici, le contexte était cohérent, dirions-nous.
D’ailleurs je voyais bien la jeune femme, un peu plus loin, sous une sorte de petit dais où il y avait son nom. Comme pour signifier un espace réservé à l’athlète. Mais sans aucune zone d’intimité, par contre…
Vous trouviez ça bizarre ? Attendez, vous n’aviez pas la suite. Parce que le plus étrange était à venir…
Sur un grand panneau, plus loin, il y avait la liste des épreuves. Et les noms étaient pour le moins bizarre, ou à tout le moins, étaient évocateurs d’un rêve fort peu sage, bien évidemment.
La première de celle-ci, qui devait bientôt commencer était, apparemment, une course d’obstacles à franchir. Pas des haies, non, bien sûr, mais quand je regardais le parcours, je ne peux m’empêcher d’être un peu pantois. En guise d‘obstacles, il y avait des sextoy à enfourcher.

Une voix, amplifiée par un mégaphone, invitait les coachs à aller s’occuper de leurs athlètes.  Je me décidais à aller me mêler aux coachs, et quand je vis une personne que je connaissais une jeune femme bien pourvue au corps musclé et aux appâts tout en rondeurs, je me disque j’allais devenir son coach, c’était un rêve, alors que le coach habituel ne soit pas là mais remplacé par un de ses professeurs beau gosses, c’était une bonne chose, non ? du coup, j’entrais sous sa tente et je lançais.

« Alors, tu t’e échauffée, t’es prête ? »

Je souriais, ravi du truc, et je me disais que je me réservais le droit de modifier certaines épreuves, pour la fin.

« Tu te sens d’attaque, championne ? »

6
Le ton était donné, et j’estimais avoir même été particulièrement généreux. Plus qu’il n’aurait été nécessaire. En tout cas, quand je parlai de ma « déception » je voyais chez elle un soulagement. Comme si elle se ravissait d’avoir choisi ça. Je n’irai pas contre ce que j’avais promis, tout simplement, et les termes étaient clairs. Dans cette réalité. En somme, si ce n’était pas un rêve, et que c’était la réalité, rien de tel n’arriverait. Mais en même temps, si c’était la réalité, je pourrai toujours le faire en rêve. Bien évidemment. Je lui fis u sourire et je lui donnais mes premiers ordres. C’était étonnant, d’une certaine manière, de la voir commencer par laisser la jupe fourreau glisser le long de ses cuisses. La plupart des gens se débarrassaient d’abord du haut…
Mais pas elle. Au moins ne faisait-elle pas assaut de pudeur et se déshabillait-elle avec peu de gêne.

« Je suis assez content de voir que tu ne fais pas assaut de fausse pudibonderie… »

C’était déjà plus honnête d’agir de la sorte que comme si je ne l’avais jamais vue nue. De toute façon, étant donné ce que je savais de son passé, elle aurait été bien mauvaise de prétendre à une forme de pudeur, quelque chose me disait qu’elle avait vu suffisamment de choses pour que même être nue en public ne soit qu’une gêne mineure.
Elle portait dessous des choses bien simples. Jolies, mais bien simples. un ensemble noir, avec un peu de dentelle. Rien de bien osé ou autre. Enfin, hormis la question du collant. C’était d’un mesquin, de porter ça. Elle aurait pu faire l’effort de bas. Je ne parlais pas forcément de porte jarretelle, bien sûr, mais juste de bas. Ce qui n’aurait pas été désagréable à voir. Et sous une tenue si proche du tailleur, c’eut été de meilleur gout.

« Je vois. Bien sage dis donc…on va retirer tout ça, dépêches-toi… »

Je la regardais et je ne faisais aucun autre commentaire. Je détaillais sa silhouette. Le sein relativement lourd, les hanches pleines, la taille fine qui laissait entendre qu’elle s’affamait peut-être un peu ou dosait mal ses exercices physiques…

« Tu sais, sous une telle tenue, il est généralement de bon aloi de porter de bas, et pas ces collants trop sages…. Quelle faute de gout… »

Je lui fis néanmoins un sourire entendu avant de finalement lui demander.

« Tu as fait des lavements, avant de venir, au cas où ? Parce que sinon, il va falloir. Je détesterai jouer avec une personne sale… »

7
« D'accord, je comprends. »

Donc le message était bien là, elle savait ce qu’elle valait dans ce genre de tenue, donc elle s’habillait ainsi. Je comprenais. Ça m’allait. Je lui fis un sourire avant de finalement ne rien ajouter, faisant un signe de tête positif, comme si sa réponse me suffisait. Enfin bref… en tout cas, elle avait aimé le rêve, et semblait avoir une manière, en ayant ce doigt qui jouait ave ses lèvres. C’était bizarre. Mais bon, je supposais que j’avais, moi-même, quelques tics. Je ne savais pas si j’aimais le sien, ceci dit. et cela portait à réflexion, très justement… enfin, je supposais que je ne pouvais pas non plus lui reprocher quoique ce soit du genre. Je comprenais qu’elle ne pouvait pas trop savoir comment réagir avec ça.

Elle avait vraiment apprécié ce rêve. Elle avait l’air particulièrement heureuse de ce que je faisais passer pour une bagatelle, et qui n’en était clairement pas une. Enfin, ça, c’était fait, et comme on disait, après l’effort, le réconfort.
Et pour ce réconfort, il fallait cadrer les choses. Et pas qu’un peu., alors je guettais le mouvement de ses lèvres, un peu cachés par son doigt. Comme si elle jouait les timides.
Eviter de jouer à plusieurs, éviter les trucs trop dégueu, les animaux, pas de torture sexuelle, pas d’autre personne que moi pour la toucher… et pas lui faire faire de mal à qui que ce soit.
Elle s’excusa même de ses choix sur les cinq points.

« Non, tu as raison, cela ne va jamais sans dire. »

Elle était de plus en plus rouge.

« Mais c’est dommage, j’aurai bien vu tes jolis seins blêmes remuer au gré des poids pendants au bout de chaînettes pincées à tes mamelons… enfin, je t’ai fait une offre et je m’y tiendrai. Je te promets que rien de ce que tu as dit ne te sera fait. Est-ce que nous avons un accord pour ce jour et cette réalité ? »

Je souris et je lui disais alors, venant caresser sa joue du revers de mes doigts, chassant sa main qui me gênait.

« Debout et montre moi un peu comment tue sans cette jupe et ce chemisier…. Histoire que je voie comment tu t’es préparée à venir ici, ma belle. »

8
Elle sembla surprise par mes propos sur sa tenue. Avait-elle espéré un compliment sur sa tenue ? Quelque hose me disait qu’elle était sans doute venue sans cette tenue non sans raison.  Espérait-elle créer une forme de distance avec son allure de secrétaire ? Possible. ou alors essayait-elle de me charmer avec une tenue que d’aucun aurait estimé notoirement sexy pour essayer d’éviter un « pire » potentiel ? C’était une possibilité aussi. Je lui fis un sourire et je la regardais avec un petit air amusé.

« Je n’ai pas dit ça. J’essaye de comprendre le message derrière… »

Parce qu’il devait en avoir un. On ne s’habillait pas ainsi « comme ça ». c’était l’évidence même, n’est-ce pas ?
Installé à côté d’elle, j’attendais un peu le retour sur le rêve qu’elle avait fait. Je reconnaissais que créer un rêve de A à Z était un peu délicate. Plus on en imposait, plus le fond devenait flou, plus les détails pouvaient sauter aux yeux comme autant d’erreurs… alors certes, peut être que je ne pouvais pas faire un rêve qui soit complètement la réalité, mais je pouvais faire es rêves qui étaient assez réalistes pour paraitre réels.
Les détails, c’était toute la difficulté.
Mais pour elle, le bilan était très positif semblait-il. Puisque non seulement c’était magique, mais en plus elle m’en remerciait. J’agitais la main comme pour dire que ce n’était rien pour moi. ce n’était pas rien, non. ?

« Allons, ce n’est rien pour moi, inutile de me remercier. Nous avions un pacte. Tu paieras ce rêve et après, tu auras le reste de la semaine pour réfléchir à notre accord. C’est ce que nous avons convenu, n’est-ce pas ? »

Oui, nous étions presque dans un cadre contractuel. Même si le contrat était oral.

« Le paiement est cette journée où tu t’offriras. Mais je suis généreux, je vais te donner la possibilité de nommer cinq choses, cinq activités, cinq actes, que tu ne veux pas avoir à faire aujourd’hui. Passé cela, j’estimerai n’avoir aucune restriction quant à mon paiement qui s’étalera sur toute ta journée. »

9
Sincèrement, je doutais qu’elle vienne. Je ne savais pas trop si elle allait tenir parole ou alors si elle allait, comme je le pensais plus volontiers, essayer de faire machine arrière. Oh, certes, je pouvais envahir ses rêves de nouveau, bien sûr, mais cela ne garantissait en rien qu’elle ne tenterait pas de faire un truc stupide. Par exemple ne pas dormir, bien sûr. C’était d’une bêtise crasse d’une bêtise consommée, mais certains avaient essayé. Et elle pouvait aussi se dire qu’elle était tranquille puisque je ne savais pas où elle vivait donc si j’envahissais ses rêves, je ne pourrais par contre pas envahir son appartement.

Pourtant, on sonna bien vite à ma porte. Nous étions le matin, et voilà que… oh, très bien. Je souris. C’était elle.
C’était forcément elle.
J’ouvrais.

Un homme se tenait devant ma porte.

« Bonjour, je suis là pour un souci électrique que vous avez déclaré à notre compagnie. »

Je restais un peu con, sans trop comprendre puis, finalement ça percuté.

« Ah… euh désolé, vous vous êtes planté d’étage… »

Et connement je jouais avec l’interrupteur ce qui fit clignoter la lampe de mon vestibule. L’homme s’excusa platement, et me demanda de confirmer où était l’appartement qu’il devait rejoindre. Je le guidais bien aimablement avant de le regarder s’éloigner. Il m’avait fait une sale fausse joie, c’était le moins que l’on puisse dire. Je fermais la porte et je regardais l’heure. Elle avançait bien trop vite.
On toqua à nouveau.
Cette fois, un peu moins enthousiaste, j’ouvrais. A vue me décrocha un bâillement. C’était bien elle.

« Ah. Tu es venue. Entre. »

Elle était jolie dans cette tenue un peu stricte.
Je m’effaçais et je la détaillais un peu plus quand elle passait à côté de moi. hum. Pas mal. Vraiment pas mal comme ça.

« C’est une tenue bien plus formelle que voilà. »

Encore une fois je l’invitais à s’asseoir, comme l’autre jour, mais cette fois, je m’asseyais non en face mais à côté d’elle.

« Alors, dis-moi, comment était ce rêve. »

10
One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« le: mardi 23 juillet 2024, 21:15:16 »
Que la jeune femme ait une inexpérience dans un domaine était déjà une surprise en soi, bien sûr. Mais quoi de plus banal, dans le fond ? je lui fis un sourire avant de la voir, un peu plus cambrée, gémissante sous mes attentions… je lui fis un air tendre, doux même, avant de finalement lui faire un petit sourire joueur, mais tendre à la fois. Elle me regardait avec des yeux de merlan frit dont je connaissais parfaitement les causes probables, et elles m’allaient bien. Tant qu’elle ne recherchait pas de réciprocité…

« Je crois qu’il ne sert à rien de continuer ta phrase, ma toute belle. »

Du revers de mes doigts, j’écartais ses cheveux et caressais sa joue avec douceur. Je savais qu’il fallait que nous fassions bien les choses. Je lui fis un sourire avant de finalement venir baiser son nez, le mordillant doucement.
Elle s’écarta un peu avant de finalement commencer à me masturber de sa main fine. Elle avait les doigts presque frais, mais elle n’avait pas besoin de beaucoup de travail. J’étais déjà bien raide. Je lui souris, saisissais son menton, et je l’embrassais de nouveau alors que, satisfaite de la raideur, elle venait caresser mon sexe du sien, au travers d’une culotte déjà bien plus qu’humide.

« Tu es déjà toute en chaleur, dis-moi… toute impatiente… »

Je revenais embrasser ses mamelons bien durs, et je les mordillais un chouia plus fort qu’avant avant de finalement lui susurrer, m’écartant un chouia d’elle et la forçant à s’arrêter momentanément. Je voulais juste voir un détail sérieux avec elle. Parce que je n’étais pas immunisé aux MST. Et qu’avec le kilomètre au compteur qu’elle avait pris, je ne pouvais pas complètement être tranquille sans ça…

« Je suis désolé de te demander ça, mais après Manchester, je dois le faire… tu as des capotes ? »

11
Le rêve semblait à son gout, en tout cas, car elle se prélassait, le visage dans la neige. Le panorama était beau, clairement, à flanc de montagne, face à une autre, et plongés dans l’eau chaud. Non, vraiment. Idyllique.
 Je regardais les deux jeunes femmes. La vraie, elle, était clairement en train de se prélasser, appréciant le chaud et le froid à la fois, sans doute. L’autre femme, elle, lui caressait doucement les cheveux, tournée vers elle, avec un regard de profonde affection. Le moins que l’on puisse dire. C’était donc bien sa mère. Elle faisait un peu plate à côté de la fille, ceci dit…

« L’avantage des rêves, c’est qu’on peut y être facilement, c’est vrai. Je suppose que je profiterai de toi pour ça, aussi. »

Je lui fis un sourire avant de glisser mes bras et part et d’autres des deux femmes pour les enlacer un peu tous les deux, sans vraiment faire grand cas de son avis comme de celui du fantasme de sa mère.

« Je te remercie, ça me fait plaisir. Mais dis-moi, que serait un rêve sans une personne proche ? J’ai pensé que cette femme serait parfaite pour toi. Ta mère, c’est _ça ? Plutôt sexy. Et aussi bien roulée que toi. »

Je lui souris, et je les relâchais pour me redresser et regarder alentour avant d’indiquer une direction à l’albinos. Et à sa chère maman.

« Mesdames, un spectacle pour vous. »

La nuit tomba, rapidement, et en moins de dix minutes le crépuscule montrait sa fin. Et à l’instant où la nuit tomba, une fusée siffla et une gerbe rose naquit dans le ciel, formant une fleur. Alors, je me reculais doucement et je chuchotais à Rubis.

« Profite de cette soirée avec ta maman… »

Maman qui enlaça sa fille, avant de doucement caler la tête de l’albinos contre son épaule. Et moi ? Moi je la laissais savourer. Le rêve tiendrait toute la nuit. C’était une certitude.
Je quittais le rêve en sachant parfaitement que je la verrai bien vite.

Ma petite Rubis. Un accord est un accord. Alors voilà les termes du paiement :
Le matin suivant le rêve tu viendras me retrouver chez moi, nous passerons ensemble une merveilleuse journée tous les deux, où tu seras à ma disposition. Ne sois pas en retard ou ce sera pire.

Au-dessus de ce message était indiqué la date du rêve. Exacte.

12
One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« le: mardi 23 juillet 2024, 08:27:59 »
La jeune femme se laissait faire, se laissait porter. Sa longue chevelure blonde encadrant ses épaules, certaines mèches venant cacher sporadiquement sa poitrine. Elle était belle, c’était normal. Et donc, la vouloir sous sa coupe était quelque chose d’une « atroce » banalité. Je n’étais pas une exception dans mes volontés. Mais à la différence d’avant, elle le faisait volontairement, et, j’en étais sûr, pousserait plus loin d’elle-même. Encouragée par mes soins, bien sûr… je lui fis un sourire avant de finalement la regarder dans le bleu des yeux, attendant de voir une réaction de sa part à mes mots, critiquant ses anciennes habitudes. Je lui souris, et je lui caressais la joue, doucement, comme pour lui montrer que je ne pensais pas de mal d’elle.
Non, en effet, je ne pensais que du bien d’elle. Seulement, la jolie blondinette avait besoin, peut-être, de se voir « poussée » un peu pour aller sur la bonne direction.
Et voilà. Mon sourire triomphal n’eut sans doute qu’un instant pour se montrer sur mon visage avant de disparaitre sous un air un plus doux, plus tendre…

« C’est une belle démonstration de détermination, une première étape très forte, Priscilla. Un très bel effort de détermination. Mais ça ne se fait pas comme ça, si tu parles bien de ça… »

Mes mains sur sa culotte appuyèrent doucement une caresse sur la raie de ses fesses, pour bien lui faire comprendre la situation et mon avis sur le sujet. Je lui fis un sourire avant de finalement répondre à son baiser tendrement, alors qu’elle venait sorti mon sexe de son écrin de tissu, appréciant l’épaisseur et la lourdeur de l’appendice sexuel. Elle n’avait plus d’innocence depuis longtemps.

« Préparons cela sur plusieurs jours, jusqu’à ce que tu sois prête, d’accord ? »

Mon sexe, sous ses doigts fins, frais, presque froids, se raidissait doucement sous ses attentions.

« Voilà ce que je te propose :  pendant les trois prochains s=jours tu habitueras ton anus avec tes doigts, avec des objets., et au soir du troisième jour, je prendrai cette virginité. Qu’est-ce que tu en penses ? »

J’avais porté ma main à son menton et je caressais ses douces lèvres du pouce. J’avais aussi une idée en tête.

« Et je vais faire plus que ça, si tu me fais confiance. Quand j’aurai fait cela, je te ferai vivre mille et une chose, j’écraserai chaque mauvais souvenir de Manchester par un bon souvenir similaire. Je vais m’occuper de toi, Prisci. Je vais te guider et te réparer. »

Cette fois, je fus à l’initiative du baiser. Pas loin, mais tout de même, avant de descendre et de baiser ses petites pointes de chair dressées.

« Si, bien sûr, tu te sens assez forte pour ça. Et si tu le souhaites. Je vais t’offrir la vie que tu mérites… »

13
Voilà, elle avait scellé l’enveloppe, avec son rêve, sa date et la conséquence. Je savais qu’elle ne tricherait probablement pas, sinon, elle le dévoilerait malgré elle, dans un rêve. Je lui fis un sourire et je la regardais prendre l’enveloppe et la ranger dans ses affaires. Voilà, tout était en place pour la suite, songeais-je. Je la laissais donc un peu aller, avant de finalement me redresser, m’étirer, bailler – encore – et je lui indiquais la porte.

« Maintenant tu t’en vas. Et tu espères que je tienne parole. »

Je lui souris, lui caressais la joue, et je lui indiquais la porte. Elle n’avait plus qu’à partir. Je ne voyais pas pourquoi elle resterait ici. Tout simplement. Je la rejoindrai dans ses rêves au temps opportun. Parce que je n’avais pas que ça à faire que de m’occuper d’elle. Tout simplement. Ce n’était pas un rappel à l’insignifiance, non, bien sûr. Mais ce n’était pas nécessairement le cas. Bien sûr.

« Tu paieras le prix à ce moment-là. »

Je me désintéressais d’elle, alors.

« Claque la porte en partant. »

Moi, j’allais aux toilettes.

*
*     *

Le temps était au beau fixe, le soleil brillait, et se réverbérait sur la neige qui couvrait le paysage jusqu’au plus loin. Où étions-nous ? Eh bien j’avais bricolé. J’avais incité l’esprit de la jeune femme vers la suède, vers ses montagnes et ses plaines, à une période où le soleil pouvait faire darder ses rayons. Je ne connaissais pas le froid de la suède alors je trahissais l’image avec un froid léger qui devait être loin des normes de saison, mais ce n’était qu’une légère dissonance que nous ne pouvions pas écarter par mes dons, hélas. Se braquerait-elle dessus.

Plus loin, en bas, des enfants jouaient à faire de la luge sur une petite butte ou fabriquer des bonhommes de neige. Tout cela ne semblait pas si mal. Ça avait un petit côté idyllique, comme cadre, non ? Mais il y avait mieux encore, l’endroit où je me trouvais. Une petite piscine d’eau chaude entourée de neige faisait un repaire parfait… et je reconnaissais que j’appréciais particulièrement. Et avec moi dans l’eau, une personne :  une femme, un peu plus vieille que la « victime » du rêve, elle lui ressemblait beaucoup. Peut-être sa mère, ou une image de mère J’avais pris ce visage dans sa tête, plus ou moins, pour la faire se matérialiser. Souvenir d’enfance ou pure fantasmagorie, je n’en savais rien. Mais c’était une bonne chose.
Je me faisais alors voir, les deux femmes cessèrent d’être seules. Mais cel ne sembla pas gêner la plus vieille des deux, semblant trouver ma présence trop normale. Je m’adressais à Rubis.

« Haaaaaa, on est bien là…. Il faudrait que j’aille vraiment en Suède, pour voir ! et tester ça…. T’en dis quoi ? »

14
HAYAO
& CLAIRE
Elle avait une vie bien difficile, je le savais, tout comme, il était un temps, ma propre vie avait été difficile. Elle ne comprenait pas mes propres maux, tout comme je ne pouvais pas comprendre ses malédictions. Toutefois, je savais que nous nous ressemblions sur un point : nous avions début sans avoir de contrôle. Aujourd’hui, j’en avais, mais ce n’était pas passé loin, à plus d’une reprise. Donc je pouvais comprendre certains aspects. Je lui fis un sourire, doux, alors qu’elle continuait à s’occuper de mes cheveux
Je ne bronchais pas même quand elle jura. Je ne le lui reprochais pas, parfois, ça faisait juste un bien fou. Et surtout celui-là.

« Oh, crois-moi, je comprends plus que tu ne l’imagines... »

Je n’en disais pas plus, je ne voyais de toute façon pas ce qu’il y aurait pu avoir de plus, dans le fond, à dire. Elle ne comprendrait pas, sans doute, ce que je voulais dire par là. Mais je supposais que nous en rediscuterions après, devant un verre.

« Je suis plus comme toi que comme ce truc… mais on en discutera plus tard, je pense. »

Le silence tomba et je le laissais planer, et durer ; le silence n’était pas une mauvaise chose... enfin bref. Je lui fis un sourire et je la laissais travailler, fermant même les yeux sous ses doigts agiles et experts. Je ne dormis pas. Je ne pouvais pas, mais je laissais un moment mon esprit vagabonder. Tant et si bien qu’à m’annonce que c’était fini, j’en sursautais presque. J’en tressaillis.
 
« Oh. »

Je me redressais, m’admirais un instant, me tournais un chouia pour voir les côtés et finissais par jeter un regard dans le miroir sur ma nuque pour voir l’arrière.

« Impec, c’est parfait. »

Je lui adressais un grand sourire.

« Félicitation, tu es désormais ma coiffeuse attitrée. Je te promets de ne confier mes cheveux à personne d’autre. »

Je lui fis un air volontairement un peu pédant, en espérant la faire un peu rire, le regard plein de malice.
Bon, maintenant, un petit verre, avait-on dit, n’est-ce pas ?
Petit verre repoussé, semblait-il, puisqu’elle devait fermer boutique avec le nettoyage adéquat. Merde.

« Oui, on peut se retrouver plus tard. Zi tu me dis dans combien de temps tu penses finir, je passe te chercher et on va se faire une petite bouffe. On se trouvera bien un truc pas trop vilain. On aura tout loisir de discuter. T’en dis quoi ? »


15
L’albinos avait toutes les cartes en main, je ne pouvais pas faire plus. Ou plutôt, je ne comptais pas faire plus. Et c’était l’heure du choix. De son choix. Je lui fis un sourire et j’attendais de voir. Qu’allait-elle bien pouvoir présenter comme propos en face. Sans doute des contraintes, des limites…
Mieux encore, mon regard aurait pu luire d’amusement.

« Je vois, tu connaissais vraiment les portées de tes propos. »

Oui, la raillerie était évidente, et logique. Elle avait un peu mis un point d’honneur à affirmer qu’elle savait ce qu’elle disait, et elle faisait déjà une marche arrière conséquente… se moquer était donc plus que logique. Surtout que là, désormais, j’étais derrière elle. Elle était clairement dépassée, bien sûr, mais bon… je lui fis un sourire avant de finalement m’écarter un peu, alors qu’elle prenait son souffle, et semblait prendre son courage à deux mains.
Elle se tourna vers moi pour parler, alors ; elle était drôlement calme d’un coup, dites donc…
Elle demandait un peu de temps ? C’était… un peu inattendu. Bien sûr.

« Oui, c’est insolent. Mais c’est aussi extrêmement légitime que de prendre le temps de bien réfléchir. Et puis, c’est toi qui cauchemardes, pas moi. »

Je ricanais un peu, gentiment. Oui, elle retardait l’inévitable. La suite, par contre, c’était culotté. Une semaine sans cauchemars pour tester. Rien que ça ? Ben voyons mon colon… je sifflais un peu devant son audace. Elle était clairement particulièrement gonflée. Même en disant que je pourrai faire ce que je voulais.

« Est-ce que tu n’as pas l’impression de prendre les choses à l’envers ? Ce n’est pas ainsi que tu pourras avoir ce que tu veux… parce que l’on ne teste pas son dieu, n’est-ce pas ? comment pourras-tu m’adorer si je dois m’abaisser ainsi avant ? C’est illogique. »

Je souris et je lui disais alors, avec un peu de jeu.

« Mais je comprends ta position. « Est-ce que je ne suis pas en train de me faire arnaquer », « comment est-ce que je peux m’assurer d’avoir des rêves et pas des cauchemars ? » c’est normal de se poser ces questions. La foi nait du doute. Mais je vais faire un effort. Cette semaine, tu rêveras. Une nuit. Mieux encore, tu vas me décrire quel rêve tu voudrais. Dans les grandes lignes, n’abuse pas… »

Je fouillais et je prenais deux feuilles. J’en pliais une en deux et pliais l’autre sous forme d’enveloppe. Je lui tendais la première, pliée en deux.

« Ecris de ce côté ce que tu veux dans ton rêve. J’inscrirais la date du rêve ainsi que les consignes si tu rêves bien de cela. Si tout se passe comme écrit ici, tu viendras le lendemain soir à minuit, selon les consignes. Mais sache que cette exigence, cette insolence ne te sera pas pardonnée sans punition. »

Je la regardais et j’attendais qu’elle ait écrit. Une fois qu’elle eut fini, je retournais son papier et écrivais quelques mots rapidement, et une date.

« Pour que cela soit assez efficace pour te convaincre, ne regarde pas ce que j’ai écrit. »

Je venais prendre un peu de colle dans ma trousse et je scellais mes propos. Seuls les siens restaient lisibles. Puis je la rangeais dans l’enveloppe improvisée après avoir figé dans ma mémoire son texte.

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