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Messages - Hayao Tachibana

Pages: [1] 2 3 ... 6
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L'aéroport / Re : Le début de la vie à Seikusu [Pv]
« le: samedi 01 février 2025, 08:40:57 »
La jeune femme répondit. Oui, tout allait bien. Non que j’en doute, mais vu que le temps passait, il était nécessaire de la ramener à la réalité. Quel tuteur n’aurait pas agi de la sorte ? il s’agissait juste de la rappeler à la réalité, et de la faire un peu revenir ici après son petit aperçu de ce que pouvait être une autre vie, tout simplement. Restait à voir comment les choses se passeraient. Je lui fis un sourire avant de finalement me contenter d’un « ok », tout simple. Elle profitait du bain, elle sortirait vite, disait-elle ; c’était à elle de voir. Moi je la laissais pour mettre un emblant de couvert sur la table basse.

Pendant qu’elle faisait sa proprette, le repas arrivait et je le réceptionnais, et quand enfin, elle arriva dans le salon, tout était installé. Un peu de thé bien chaud, des kimbaps, du kimchi, tout ce que j’aimais. Et tout ce qu’elle apprendrait à aimer sans doute. Mais le moins que je puisse constater, c’était que dans cette tenue, dans cette situation, elle était carrément jolie avec ma chemise. Moi qui pensais qu’elle aurait eu l’air d’une petite fille là-dedans, même pas. Presque dommage.

« Je suis désolé pour la tenue, j’ai jugé cela moins inconvenant que de fouiller tes valises. »

Mais elle noterait quand même que le fait qu’elle eut tout à disposition en sortant du bain restait une gentille attention, n’est-ce pas ? j’avais juste posé cela, de base, pour qu’elle puisse rejoindre ses bagages et prendre de quoi se changer. Elle en décidait autrement. Libre à elle.
 En tout cas, disposé dans de vrais plats, le repas avait l’air assez appétissant, non ? Moi en tout cas, il me donnait faim. Mon ventre gronda gentiment à l’idée de commencer à manger. Oui, j’avais faim. Ou étais très gourmand.
J’adorais la nourriture épicée.

La table n’étant pas à l’européenne, elle s’installa au sol, face à moi.

« Je n’ai fait que prendre des choses que j’aime pour que tu découvres un peu la nourriture asiatique. Elle ne se résume pas aux sushis. Là, sur la table, tu as de la nourriture coréenne principalement. Des kimbaps, ; du kimchi, et d’autres bonnes choses du même genre. »

Je la laissais un peu observer et renifler même si elle voulait, pour moi, tout avait l’air très appétissant. Pour un occidental, peut-être ne serait-ce pas le cas.

« Usuellement, on a un plat au milieu et on se sert directement dedans. Est-ce que tu penses accepter cette manière de faire ? Et est-ce que tu veux que je te mette une fourchette et un couteau ? »

La seule portion servie directement dans nos assiettes, c’était la portion de riz.

« Est-ce que tu es plus détendue et plus délassée qu’à ton arrivée ? »

2
En pénétrant dans la cabine, je savais qu’elle aurait probablement un peu de gêne, mais bon, je l’avais déjà faite se dessaper intégralement devant moi, sans même parler des rêves, et me tailler une bonne petite pipe des familles. Jouer les gênées, c’était sans doute un peu dépassé, non ? je lui fis un petit sourire en coin, jouant à la tripoter, et ainsi de suite, jouant avec elle en essayant d’avoir son avis quant à son physique avec ce porte jarretelle à la taille. Bien évidemment, il fallait sans doute qu’elle s’y fasse. Son avis ne changerait pas en une seconde, mais j’aimais le contraste entre sa peau pâle, et le noir du tissu qui lui ornait les hanches. Bien sûr, il lui faudrait de vrais bas, qui viendraient se fixer au porte jarretelle pour qu’elle puisse se faire un avis réel, mais ça, sous sa petite jupe crayon et avec son chemisier… je trouvais le tableau particulièrement excitant ; elle aurait un petiot côté secrétaire, non ?

« Je dirais sexy, personnellement. Non ? »

Répondant cela, je venais doucement soupeser un sein, avec nonchalance, comme si c’était normal. Ne trouvait-elle pas cela normal, elle ? Je titillais doucement le mamelon, pinçant le téton – pas trop fort – pour l’ériger un peu. Et dans ces préliminaires, je ne pensais pas que l’on oserait nous déranger. La réalité avait le don pour que les choses perverses aient lieues, comme pour donner l’opportunité de jouer. Et dans les habitudes de Seikusu, j’avais l’impression que nous ne serions pas dérangés si je voulais aller plus. Pourtant si, la vendeuse revint et se permit même de nous parler. Je souris.
Quant à sa question… hum.

« Bonne question… je te laisse te faire ton petit film et me le raconter en sortant de la boutique, ma belle ? »

Je ricanais gentiment, et on sans un léger suçon dans le cou, je sortais de la cabine, pour attendre la vendeuse, qui revenait vite avec un autre du même modèle, mais une taille en dessous. J’ouvrais alors le rideau de la cabine, sans trop respecter la pudeur de ma comparse pour lui donner le modèle et attendre, main tendue, qu’elle me donne celui qui n’allait pas. Je rendais celui-ci à la vendeuse et laissais alors Rubis tranquille ; le temps qu’elle se change du moins. Enfin, je repassais la tête dans la cabine de la belle albinos.

« Alors, qu’est-ce que ça donne ? »

3
Voilà, on y était ; elle qui disait que porter du porte-jarretelle, c’était pour faire putain. Elle allait avoir le droit à la vision et de se faire un avis. Je ne pouvais pas m’empêcher d’en rire sous cape. Et pas que ce sous cape dans la mesure où mon regard était rieur et mon sourire, clairement railleur. Parce qu’elle allait vite devenir pivoine à ce rythme, et qu’avec une vendeuse dans les pattes elle allait devoir se débrouiller pourque la vue me convienne, n’est-ce pas ? Elle qui faisait si timide. Alors oui, forcément que j’en plaisantais. Mais c’était relativement innocent. N’est-ce pas ? pendant qu’une vendeuse prenait en charge ma comparse, je me contentais de suivre l’aide vendeuse qui me proposa un verre d’eau et un siège, près des cabines, comme pour me dire de la laisser choisir et de ne donner mon avis que porté sur le mannequin, si l’on pouvait dire.
Je la laissais gérer, et je me laissais un peu dragouiller par la vendeuse qui ne flirtait sans doute que par politesse : un bel homme s’attendait à être dragué après tout. Donc forcément. Mais c’était sans grand intérêt, le principal intérêt furent les petites fesses de la jolie albinos qui passèrent sous mes yeux pour se rendre vers la cabine du fond.

Je la laissais tranquille un moment, histoire qu’elle porte le joli morceau de tissu, et je ne venais qu’au bout de quelques minutes, passant la tête dans la cabine sans la moindre gêne. Elle était nue, seins laiteux exposés dans le miroir. Le porte jarretelle était d’une simplicité qui collait avec la demoiselle. Certes, j’aurai bien eu envie d’une guêpière, mais sans doute eusse-t-il été délicat de lui faire accepter ça.

« Ça te va bien ma belle… »

Je taquinais gentiment la jeune femme avant de venir poser mes mains à sa taille nue pour juste le faire glisser pour qu’il soit un peu plus droit ; ça rendait bien, mais elle risquait d’avoir besoin d’une taille en dessous, non ? cela me semblait bien lâche. D’un autre côté, en porterait-elle davantage si je lui en offrais.

« Que penses-tu de ton apparence, là, comme ça ? Est-ce que, comme tu le pensais, ça fait trop fille facile ? »

Avec un amusement fou, je venais prendre le stylo qui dépassait de son fondement, le plus accessible des deux, pour le faire coulisser d’avant en arrière en elle, pendant qu’elle s’admirait ; j’empaumais même un sein, juste le temps de la voir réagir avant de cesser les deux jeux.

« S’il n’y avait pas deux vendeuses qui nous attendaient de l’autre côté du rideau, tu serais passée à la casserole salement contre le miroir, une fois rhabillée… »

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L'aéroport / Re : Le début de la vie à Seikusu [Pv]
« le: mardi 14 janvier 2025, 20:53:11 »
Elle pensait avoir gagné, Hum. Possible en effet qu’elle ait gagné. Mais en même temps, c’était aussi un peu le but ; il fallait qu’elle se sente en position de force pour céder du terrain de la manière dont elle s’y attendait le moins. Tout simplement ; et je reconnaissais que j’allais guetter ses rêves. J’allais guetter les fois où elle rêverait pour comprendre le fond de sa psyché, et voir ce que je pourrais faire de ce que j’y apprendrai.
Qu’elle reste dans sa certitude de tout maitriser en attendant ; ça ne lui faisait ni bien ni mal. Elle apprécierait, à n’en pas douter, que je m’occupe de tout pour elle. Mais elle allait bien vite se rendre compte que si elle espérait tout me refiler, elle déchanterait très probablement.
L’idée du bain sembla la combler. Et rien que pour ça, j’appréciais la facilité avec laquelle je mettais fin sur ce que je pensais être une note positive au débat. Je la laissais aller vers la salle de bvain sans trop me soucier de cela, et kjje la laissais probablement se doucher avant d’entrer dans l’eau pour se délasser. Pourtant, sa voix me parvint pour me demander, ou plutôt pour me donner une liste de chose à faire.
Préparer une serviette.
Lui mettre des vêtements devant la porte.
Commander à manger.
Me prenait-elle pour un portier de crotte ou pour un valet de pisse ? Il fallait croire. Malheureusement pour elle, je n’étais pas sa bonne. Et rien que pour ça, je ne voulais pas faire les choses comme elle voulait. Et comme elle ne précisait rien, je supposais alors que je pouvais faire une petite crasse. Je pensais à lui prendre une petite serviette pour les mains, pour les vêtements je prenais ma chemise de rechange, et pour le repas, ayant très envie de manger coréen, je commandais du kimchi et des kimbaps épicés sur internet. Ça la changerait de sa bouffe occidentale, c’était le moins que l’on puisse dire.
Aux aguets, un peu, je sentis qu’elle partait, qu’elle commençait à s’endormir dans son bain.
Curieux, je m’asseyais, et je me préparais pour un petit plongeon dans son rêve. Juste pour voir.
Le rêve au premier abord semblait banal, de l’adoration et de l’adulation. Je percevais ma propre image, comme une forme d’image sur laquelle elle projetait beaucoup de choses, beaucoup de questions. L’intriguais-je tant que cela parce que je ne tombais pas à ses pieds ? les autres semblaient devenir les marches d’un long escalier, mais pas moi, moi je restais en dehors, toujours à son biveau. Elle était sur la bonne piste me concernant…. Je décidais alors d’influencer le rêve, très légèrement. Ma présence rejoignit les autres, peu à peu, jusqu’à ce que je devienne une marche, moi-même. Ou plutôt, une marche suite à un gouffre, devant lequel elle restait bloquée, encore, et encore. Le rêve était minimaliste, son sommeil peu profond. Ce ne fut que quand je lui tendis la main et qu’elle la prit que le chemin se simplifia, pour se rendre compte qu’il n’y avait plus ni marche ni rien, juste un étage, luxe, volupté, bonheur y régnaient. Et j’étais celui qui lui permettait de l’atteindre…

En faire plus aurait été déplacé ; peut-être mais je ne pus m’en empêcher ; d’étage, elle se retrouva au centre d’un plateau dont je tenais les bords.
Et dans la réalité, je toquais à la porte, doucement. De quoi la tirer de ses rêveries.

« Tout va bien, Lacie ? »

Je changeais la serviette à main contre vraie et grande serviette, deux même, pour qu’elle en ait une pour ses cheveux au besoin.

« Le repas sera là dans une dizaine de minutes. »

5
L'aéroport / Re : Le début de la vie à Seikusu [Pv]
« le: mardi 07 janvier 2025, 08:03:37 »
Soyons clairs : elle pensait avoir ce qu’elle voulait ; mais elle risquait fort de déchanter. Bien sûr. Mais c’était normal. Je ne doutais pas un seul instant qu’elle tomberait dans le panneau de tout cela. Je regardais la jeune femme, guettant sans en avoir l’air ses réactions, sans trop avoir de doute sur son acceptation. J’avais obtenu des choses importantes en jouant avec ses concessions : elle devrait accepter que j’aie le dernier mot quand il s’agissait de la protéger et concernant la sécurité. Oh, cela n’empêcherait pas de sortir ou de faire des dingueries, et à vrai dire, je savais qu’elle ne pouvait pas se montrer parfaitement sage. Une fille sage, parias-je la concernant, c’était une fille qui ne s’était jamais fait prendre la main dans le sac, n’est-ce pas ?
Le coup d’être honnête et de ne pas se mentir, c’était juste lui offrir l’opportunité de se montrer indigne de confiance. Trahir cela, ça permettrait de renverser la vapeur au moment choisi, d’une part. d’autre part, cela lui permettrait de partir du principe que je ne lui mentirai pas.
Pouvait-elle accepter ce postulat de base ? je le pensais.
 
Mais je la laissais réfléchir.
 
« Très bien, alors ce sera Lacie. C’est plus agréable que du « mademoiselle Young » en permanence. Vu que nous allons, un temps, cohabiter. »
 
Mais elle n’avait pas encore donné d’accord. Et si elle n’avait pas donné d’accord, elle ne pouvait pas attendre que je fasse ce qu’elle avait demandé.
 
« Ah ! J’oubliais, je pense qu’il est préférable de continuer à être rémunéré par votre père en ce qui concerne la sécurité et ainsi de suite. Parce que je ne peux pas agir si vous pouvez me virer au premier désaccord sur la sécurité. Mais si vous voulez un manager, alors c’est à vous de le rémunérer. Je ne réclame pas de l’argent, je gagne bien ma vie, mais c’est le principe d’être contre l’exploitation. Je passerai par une avocate de ma connaissance pour rédiger une proposition de contrat adéquate et je rédigerai moi-même pour le reste, un accord que nous signerons ensemble, une manière de s’engager solennellement pour une bonne entente sans mauvaise foi. Est-ce que cela vous ira ? Nous signerons cela demain. Nous avons sans doute assez réfléchi tous deux et vous devez être lasse. »
 
Je souris, et je finissais ma tasse encore assez brulante.
 
« Vous devriez prendre un bon bain pour vous défaire de la fatigue du voyage, sans doute. Ensuite, je répondrai à toutes les questions que vous aurez sur la ville, l’université, et ainsi e suite. Qu’en dîtes-vous ? »


6
L'aéroport / Re : Le début de la vie à Seikusu [Pv]
« le: lundi 06 janvier 2025, 22:06:59 »
Evidemment que les attentes de son père, elle n’en voulait pas. Evidemment qu’elle voulait jouer le coup d’exister par elle-même… qui ne le voudrait pas. Mais en même temps, quoi de plus normal ? je lui fis un sourire entendu, pas le sourire joyeux, non, le sourire poli. C’était ce qu’il y avait les mieux à faire. Bien sûr. Au moins promettait-elle de bien se comporter. Enfin, non, qu’elle essayerait, c’était ce que signifiait le bémol de fin. Bien sûr. Je ne pus m’empêcher d’avoir un air un peu moqueur sur le coup. Ben voyons, mon colon, bien sûr qu’elle ne compatit pas être sage. Enfin, juste assez pour m’exaspérer et ne pas faire les vagues les plus attendues. Je lui fis un air plus sévère cette fois, comprenant que nous entrions dans le vif du sujet. Pas de règles car elle ne se comporterait Poas bien étant confinée… ben tiens. En somme, elle voulait juste vivre sa meilleure vie et profiter autant qu’elle le voudrait.

J’allais parler, mais elle semblait décidée à parler sans que je l’interrompe. Elle jouait les charmeuses mais avec une main de fer sous le velours, clairement. J’aurai aimé rétorquer, mais je n’en avais pas vraiment l’opportunité. Elle tenait à aller au bout. Elle semblait alterner entre le tutoiement et je sentais dans ses manières, là, une forte ressemblance avec son père. Ce côté inflexible… je respectais cela, mais ça ne fonctionnerait pas. Jamais.

« Résumons. Vous vous n’être soumise à aucune restriction d’aucune sorte et que je sois sous votre autorité au lieu d’être sous celle de votre père. Est-ce que vous pensez sincèrement que c’est une bonne idée de chercher à doubler votre père ? »

Je souris, gentiment.

« Vous savez que je ne peux pas accéder à votre demande ; tenez, par exemple, si je ne peux pas vous forcer la main comment puis-je assurer votre sécurité, par exemple ? Être comment puis-je vous empêcher de faire un impair si je ne peux pas vous reprendre parce que vous me payez… ça ne peut pas marcher bien sûr. Mais je suis sûr que nous pouvons trouver un compromis intéressant pour nous deux. »

Je me raclais la gorge.

« Je veux avoir le dernier mot quand il s’agit de sécurité.  Malgré vous. Sinon, autant ne pas avoir la moindre sécurité. Ensuite, je ne suis pas votre assistant, je suis votre tuteur. En échange de mon travail comme assistant, vous me rendrez des comptes sur vos avancées ou vos blocages. Je ne viendrais pas à chaque fois que vous en aurez envie et que vous m’appellerez, par contre hormis quand je suis complètement indisponible je promets de toujours vous répondre. Et tant que vous n'avez pas de nouveau logement, je dors dans la chambre d'amis. »

Ça me semblait être un bon début.

« Et je propose que ce ne soient que des conditions de part et d’autre de début ; une fois acclimatée aux lieux, nous en rediscuterons et nous adapterons. Voyons ça comme une mise à l’essai de notre entente. Qu’en dites-vous ? »

Je réfléchissais un instant avant de rajouter.

« Et jamais de mensonge. Si nous devons nous fréquenter assidument, nous devrions essayer d’avoir confiance. Et pour ça, je ne peux pas proposer mieux que de ne pas se mentir, d’être honnêtes et francs. Est-ce que vous, est-ce que tu penses que ça irait ? je n’interdirai rien que je ne puisse expliquer, et comme ça tu verras que je ne suis pas un simple geôlier. Si tu n’es pas d’accord, nous en discuterons et je verrai comment adapter pour te garder en sécurité. Tu en dis quoi ? »

Je trouvais l’option pratique.
Et je savais qu’elle me mentirait probablement d’entrée de jeu.

« J’y penses, tu peux m’appeler Hayao si tu le souhaites, par commodité. »

Une autre idée germait ;

« Pour la partie professionnelle, je suppose que je peux agir comme un manager d’idole, qu’en penses-tu ? »

Connaissait-elle le système d’idole et de l’exploitation par les compagnie de management ? j’en doutais. C’était un beau piège à rédiger ça.

7
L'aéroport / Re : Le début de la vie à Seikusu [Pv]
« le: dimanche 05 janvier 2025, 14:39:49 »
La jeune fille – elle avait un air poupin qui m’empêchait de pleinement la considérer comme une femme, elle aurait encore largement pu passer pour une lycéenne. Le souci, c’était que d’une certaine manière, cela ne faisait que lui rajouter une bonne dose de charme. Je me contentais d’opiner du chef, soupirant doucement comme de soulagement qu’elle accepte de rester ici quelques jours.

« Une semaine, maximum ! je vous fais cette promesse. Je vous trouverai mieux d’ici la fin de cette semaine ! »

Je le fis avec un grand sourire aux lèvres, comme soulagé qu’elle me laisse ce délai éventuel. Une manière de jouer au clebs qui remuait la queue, peut-être, comme si j’avais déjà été apprivoisé et que j’aurai déjà pu lui manger dans la main ; ce n’était pas vrai, mais si elle pouvait le croire, ça me simplifierait sans doute pas mal les choses.
Voilà qui était réglé, et comme pour ne pas épuiser davantage sa patience quand elle acceptait que nous discutions, je me dépêchais de faire chauffer de l’eau.
Nous nous installâmes avec l’eau chaude et les vapeurs odorantes de thé dans le salon, un salon à l’occidental, elle aurait râlé probablement pour un système plus oriental, alors à la japonaise… oui, non, ça aurait été pousser le bouchon un peu trop loin sans doute.

Là, elle commença par s’excuser. Je fronçais les sourcils, un peu, je ne m’attendais pas du tout à ça, mais je me radoucis aussi sec.

« Il n’y a pas de problème, je comprends, avec plus de dix heures de vol, il y a quoi… mais rien qu’un bon thé  ne puisse réglé ! »

Elle se trouvait une excuse, je validais de bon cœur si ça permettait de rester courtois et simplifier la relation entre nous. Cela s’avèrerait galère, je le savais parfaitement.
Le thé servi, je posais mon petit bloc note sur la table, histoire de prendre des notes sur ce que nous allions dire. Juste pour le principe de l’engagement. Si elle s’engageait sur certaines règles, sévir serait plus facile, bien sûr.

« Votre père a des attentes vous concernant. D’abord, il veut que vous soyez en sécurité. Ensuite, il est question de votre bonne intégration à la société japonaise. Enfin, il exige de vous des notes exemplaires. Et il ne veut aucune frasque. Les japonais sont plus sensibles que dans votre pays d’origine et les choses finissent plus facilement au commissariat. »

Les attentes étaient limitées, et en même temps, atrocement vague.

« Du coup, je pensais que nous pourrions discuter ensemble de comment respecter cela, en fixant des règles que vous savez pouvoir respecter, des châtiments en cas de transgression avérée, et en retour, je suppose que nous pouvons aussi parler de vos conditions. Qu’est-ce que vous en pensez ? »

8
L'aéroport / Re : Le début de la vie à Seikusu [Pv]
« le: samedi 04 janvier 2025, 18:43:39 »
Laisser la première manche à la jeune fille était un choix délibérer. C’était napoléon à Austerlitz, forçant les autrichiens à s’engager dans des marais pour se battre, et inversant ainsi la supériorité du terrain au nez et à la barbe de l’adversaire. Je lui fis un air un peu penaud pour le coup, attendant d’elle qu’elle clarifie ce qu’elle voulait de mieux ici.
Je voyais dans le fond de ses yeux qu’elle s’amusait beaucoup de tout cela, quoiqu’elle tente de le masquer. On voyait que c’était une mannequin, ou au moins une influenceuse, pas une actrice. Mais en même temps, elle n’avait aucune raison de masquer un triomphe. Elle avait besoin de montrer qu’elle avait toute latitude d’agir et que je n’étais là que pour faciliter sa vie selon ce qu’elle dirait et voudrait. Enfin, c’était ce qu’elle voulait ; je lui fis un air entendu quand elle montra clairement qu’elle abusait.
Je notais ses exigences sur un carnet comme une liste de courses. Comme si ses demandes étaient sérieuses. Soyons clairs, elle était ridicule à vouloir tenir la dragée haute, mais je ne le disais pas, je me contentais de lui

« Je vois, très bien… c’est noté… est-ce que vous accepteriez de rester ici quelques jours, le temps que je vous trouve mieux ? Vous serez plus indépendante ici que dans un hôtel, et au moins, ici, la sécurité a été prévue pour que vous ne soyez inquiétée de rien… »

Je l’imaginais mal se plier à mon idée. Elle préfèrerait sans doute l’hôtel. Mais bon il aurait été étrange que je présente les choses différemment.

« D’ici à ce que tout soit réglé, est-ce que vous accepteriez que nous nous asseyions un peu pour discuter de manière plus agréable ? Il y a plusieurs points à voir ensemble. Pour votre sécurité et pour essayer de répondre au mieux à vos intentions comme à celle de votre père en faisant des compromis ? Il m’a habilité à agir de la sorte.  Je suis celui qui interviendra sur place à chaque fois que vous aurez besoin de lui. »

Ce qui faisait de moi son tuteur, au japon ; en même temps, la moindre sortie de route, je devrais aller m’excuser, et vu l’animal, aussi jolie qu’elle soit, je craignais de me retrouver souvent à devoir m’incliner devant d’autres. Mais bon, si c’était le prix à payer… allez, je le payais de bon cœur. C’était pour un « ami » et c’était aussi parce qu’elle était bien mignonne. Elle aurait été jolie en blonde peureuse, peut être… enfin bref, trêve de divagation.

« Autour d’une tasse de thé, je suis sûr que vous apprécierez. Voyez cela comme une manière de mettre des limites par avance. Qu’en dites-vous ? pour que je n’ai pas d’ennuis avec votre père, comme avec vous. D’accord ? »

9
L'aéroport / Re : Le début de la vie à Seikusu [Pv]
« le: samedi 04 janvier 2025, 09:34:21 »
Peu de conversation sur le trajet, hormis des points informatifs, mais je trouvais difficilement agréable un trajet comme celui-ci pour parler. Normalement, l’appartement devrait lui plaire, et en conséquence, nous pourrions nous y installer pour discuter un peu. Bon, nous savions tous les deux qu’elle refuserait probablement cet appartement par principe. Partant de cela, j’avais prévu un deuxième appartement, et je voulais juste lui laisser le temps de refuser, d’appeler son père, et ainsi de suite.
Alors certes, j’étais sans doute un peu rabat joie pour le moment, mais, en tant qu’enseignant je préférais partir du principe de commencer en serrant puis, en desserrant petit à petit.  C’était plus simple.
Nous montâmes chez elle en passant par le gardien, qui pu pt prendre note de son visage pour la laisser entrer aisément la prochaine fois – comme s’il y allait avoir une prochaine fois. Et nous montâmes dans l’ascenseur jusqu’au huitième étage où je lui présentais son appartement. Joli 75m², au japon, un appartement de cette taille valait une vraie fortune. Le quartier était joli et pas trop loin du campus. Comme demandé. Il y avait même une deuxième chambre convertie en grand dressing déjà prêt à recevoir les folies de ses prochains choix de boutique.

Et là, le drame. Enfin, drame prévu mais je me décomposais tout de même. J’aurai dû faire du théâtre. Elle soupira de déception, commença à expliquer que ça ne lui allait pas et dégaina directement son téléphone pour appeler son père. J’écoutais la conversation sans rien dire blanc comme un linge. Bon, d’accord, j’étais blanc de toute façon. Mon propre téléphone sonna.

« Allo ? Oui ? »

La voix qu’elle put entendre était sans ambiguïté. C’était celle de son père.

« Oui monsieur. »

J’opinais du chef.

« Bien monsieur. Plus grand. Plus lumineux. Meilleure vue. Oui monsieur. Comme vous voudrez. »

Il savait et même si cette idée était de moi, il avait accepté de jouer le jeu pour que sa fille ne le dérange pas davantage. Il raccrocha et je regardais la jeune femme moitié courroucé, moitié dépité.

« Je suppose que je peux essayer de trouver mieux. Laissez moi juste le temps de chercher… et dites-moi, comment vous le voulez, cet appartement ? Qu’est-ce qui vous déplait ? »

Je m’appuyais un peu contre un mur.

« Ecoutez, je suis juste là pour rassurer votre père, et vous faciliter la vie. Je suis de votre côté. »

10
Elle semblait bien plus s’amuser maintenant que quand elle tapait sa meilleure pipe chez moi. Et les deux stylos ne semblaient pas beaucoup la déranger. Sincèrement ça partait mal pour que je gagne, je le savais, et si ni les chatouilles ni le reste n’aidait à faire tomber, je partais du principe qu’elle allait gagner, et du coup, que nous nous séparerions plus rapidement que je ne l’espérais. Je pourrais, ceci dit toujours hanter ses rêves.  Oui, ça sentait quand même un peu le pâté cette histoire. Tant pis, c’était le jeu. Je n’étais juste pas un monstre, et je n’avais pas envie de la revoir ne train de limite tirer la gueule juste pour me faire dégorger le poireau à loisir.
Et si je voulais être mesquin elle n’aurait qu’à subir des cauchemars.

Elle me le fit remarquer, d’ailleurs, que ce n’était pas en enfonçant que ça allait mieux tomber. Je me contentais de hausser les épaules. Alors ouais, a avait apparemment provoqué des sensations. Et son cri avait sans doute attiré des regards. Mais bon, c’était sans importance.

« C’est possible. Mais entre nous, tu as un excellent contrôle de tes sphincters, non ? »

J’aurai bien dit la force de l’habitude, mais est-ce que ça n’aurait pas été un peu abusif. Dans tous les cas nous arrivâmes devant la boutique prévue. Galamment, je lui tenais la porte, en haut des eux marches. En fait, j’étais sûr que j’allais perdre. Boarf, au pire, j’aurai bien une dernière baise et on se séparerait « bons amis », non ? Je lui fis un petit sourire.

« Après toi. »

Nous entrâmes dans ce qui était purement et simplement un magasin de lingerie. Une jeune femme vint vers nous, elle avait une démarche féline à deux doigts du catwalk telle Lisa sur le podium du défilé victorias secret.

Quoi ? Oui, j’aimais beaucoup Lisa, mais qui ne pourrait pas aimer Lisa ?
Bref.

« Bonjour, que puis-je pour vous ? »

Je poussais légèrement Rubis au niveau des reins, pour l’inviter à prendre le lead sur le sujet.

« Vas-y je te laisse gérer. »

11
L'aéroport / Le début de la vie à Seikusu [Pv]
« le: samedi 04 janvier 2025, 00:24:59 »
Il était dix-sept heures trente quand j’arrivais à l’aéroport de Seikusu. Je le connaissais bien, cet aéroport, pour avoir souvent voyagé par conséquent, je savais où me garer, je savais où attendre la personne que j’étais venu chercher. Parce que oui, aujourd’hui, je ne repartais pas. Certes, j’avais bien envie, mais là, c’était un cas particulier, qui remontait à des années.
Il y avait de cela des années, j’avais rencontré, au détour des couloirs d’université, un homme. Monsieur Young était quelqu’un d’impressionnant ; malgré sa calvitie naissante, et malgré son côté bedonnant qui lui donnait une bonhomie qui était tout sauf la réalité. Nous avions déjeuner ensemble, pour des raisons professionnelles et nous avions, peut être pas sympathisé, mais disons que nous nous étions bien entendu ; des valeurs communes, et sans doute un certain désintérêt pour commun qui ne semblait être qu’une masse grouillante. Et je le savais d’une avidité sans mesure. Ce qui me plaisait. J’avais tâché de garder contact parce que ce genre de lien était utile. Et d’une certaine manière, il l’avait fait pour la même chose ; et aujourd’hui, il trouvait mon utilité.
Si vous saviez de quoi il rêvait, cela vous dégouterait probablement. Toujours était-il que quand il avait voulu envoyer sa fille à l’université, j’avais sans doute été pour quelque chose via ce medium, mais pas que. Et du coup, il avait opté pour l’université de Seikusu au lieu d’Harvard ou du MIT, un choix scolairement très moyen, mais qui devait en arranger plus d’un.
Et là, il m’avait appelé. Il m’avait tracé les grandes lignes de la situation. Sa fille devait briller, mais c’était une jeune fille assez dissipée, qui avait besoin de cadre, et qui avait besoin qu’on veille sur elle au quotidien. Pour ne pas entacher sa réputation, pour être sur qu’elle travaille assidument, et accessoirement, qu’elle rencontre les bonnes personnes. En bref, il avait besoin d’un tuteur sur place, un homme qui saurait manœuvrer la jeune fille pour son bien et le tenir au courant de l’évolution de la situation.
Donc un tuteur.
Donc un surveillant.
Gros travail dans lequel j’étais engagé sans forcément savoir exactement comment elle était.

Je regardais ma montre. Bon, c’était l’heure. Je regardais sur le grand panneau, et je me rendais à la sortie du terminal pour patienter. J’attendais donc de voir la jeune femme arriver. Je tenais devant moi un écriteau avec son nom pour qu’elle me repère. Elle ne pourrait pas me louper.
Au programme : nous rendre chez elle pour lui faire visiter son nouveau lieu de vie. J’avais reçu une série de critères de la part de mon employeur et j’avais ajouté quelques-uns qui étaient purement pratiques pour moi. Par exemple, que l’étage soit assez élevé pour qu’on ne puisse s’y introduire par les fenêtres et la présence d’un gardien. Pour les lieux, j’espérais que ça lui irait ; et si ça ne lui allait pas, j’avais plus ou moins un plan de secours que j’avais soumis à son paternel qui l’avait approuvé. Vu le père, j’avais choisi de partir de ce principe :
Elle refuserait très probablement l’appartement que je lui montrerai, pour affirmer qu’elle commandait. Donc le deuxième appartement qu’elle aurait était déjà prévu une fois qu’elle m’aurait fait faussement paniquer pour trouver une solution. Les gosses de riches avaient besoin de se sentir puissant. Comme pour montrer qu’ils existaient par eux même. Souvent, ils en devenaient de vrais petits tortionnaires.

Ah, c’était elle, elle se dirigeais vers moi avec trois énormes valises sur un chariot. Je m’avançais. J’avais été prévenu de la teinture de cheveux.

« Mademoiselle Young je présume ? »

Je m’inclinais légèrement, en salutation à la japonaise. Mon accent anglais était impeccable, je préférais parler dans cette langue parce que je n’étais même pas sûr qu’elle parle un mot de japonais.

« Je suis Tachibana-sensei. Je suis le tuteur désigné par votre père pour vous accompagner pendant votre aventure japonaise. Si vous permettez… »

Je prenais le chariot pour le pousser.

« La voiture nous attend dehors pour vous conduire chez vous. J’espère que vous vous y plairez. Suivez-moi je vous prie. »

Elle était aussi jolie que les photos que j’avais pu voir. Ou même, plutôt, elles ne lui rendaient pas complètement hommage. Je ne la détaillais pas plus, mais j’aimais beaucoup sa silhouette, et sa teinture allait très bien avec ses yeux.
J’avançais jusqu’à la voiture. Une location parce que je n’en utilisais pas, mais c’était son père qui payait cette belle voiture japonaise. Je lui tenais la porte pour qu’elle s’installe à l’arrière avant que je ne charge le coffre qui suffit à peine. Je m’installais sur le siège conducteur pour partir. J’ajustais le rétroviseur pour la voir et pouvoir lui parler.

« Avez-vous fait bon voyage ? »

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L'aéroport / Le début de la vie à Seikusu
« le: samedi 04 janvier 2025, 00:24:26 »
Il était dix-sept heures trente quand j’arrivais à l’aéroport de Seikusu. Je le connaissais bien, cet aéroport, pour avoir souvent voyagé par conséquent, je savais où me garer, je savais où attendre la personne que j’étais venu chercher. Parce que oui, aujourd’hui, je ne repartais pas. Certes, j’avais bien envie, mais là, c’était un cas particulier, qui remontait à des années.
Il y avait de cela des années, j’avais rencontré, au détour des couloirs d’université, un homme. Monsieur Young était quelqu’un d’impressionnant ; malgré sa calvitie naissante, et malgré son côté bedonnant qui lui donnait une bonhomie qui était tout sauf la réalité. Nous avions déjeuner ensemble, pour des raisons professionnelles et nous avions, peut être pas sympathisé, mais disons que nous nous étions bien entendu ; des valeurs communes, et sans doute un certain désintérêt pour commun qui ne semblait être qu’une masse grouillante. Et je le savais d’une avidité sans mesure. Ce qui me plaisait. J’avais tâché de garder contact parce que ce genre de lien était utile. Et d’une certaine manière, il l’avait fait pour la même chose ; et aujourd’hui, il trouvait mon utilité.
Si vous saviez de quoi il rêvait, cela vous dégouterait probablement. Toujours était-il que quand il avait voulu envoyer sa fille à l’université, j’avais sans doute été pour quelque chose via ce medium, mais pas que. Et du coup, il avait opté pour l’université de Seikusu au lieu d’Harvard ou du MIT, un choix scolairement très moyen, mais qui devait en arranger plus d’un.
Et là, il m’avait appelé. Il m’avait tracé les grandes lignes de la situation. Sa fille devait briller, mais c’était une jeune fille assez dissipée, qui avait besoin de cadre, et qui avait besoin qu’on veille sur elle au quotidien. Pour ne pas entacher sa réputation, pour être sur qu’elle travaille assidument, et accessoirement, qu’elle rencontre les bonnes personnes. En bref, il avait besoin d’un tuteur sur place, un homme qui saurait manœuvrer la jeune fille pour son bien et le tenir au courant de l’évolution de la situation.
Donc un tuteur.
Donc un surveillant.
Gros travail dans lequel j’étais engagé sans forcément savoir exactement comment elle était.

Je regardais ma montre. Bon, c’était l’heure. Je regardais sur le grand panneau, et je me rendais à la sortie du terminal pour patienter. J’attendais donc de voir la jeune femme arriver. Je tenais devant moi un écriteau avec son nom pour qu’elle me repère. Elle ne pourrait pas me louper.
Au programme : nous rendre chez elle pour lui faire visiter son nouveau lieu de vie. J’avais reçu une série de critères de la part de mon employeur et j’avais ajouté quelques-uns qui étaient purement pratiques pour moi. Par exemple, que l’étage soit assez élevé pour qu’on ne puisse s’y introduire par les fenêtres et la présence d’un gardien. Pour les lieux, j’espérais que ça lui irait ; et si ça ne lui allait pas, j’avais plus ou moins un plan de secours que j’avais soumis à son paternel qui l’avait approuvé. Vu le père, j’avais choisi de partir de ce principe :
Elle refuserait très probablement l’appartement que je lui montrerai, pour affirmer qu’elle commandait. Donc le deuxième appartement qu’elle aurait était déjà prévu une fois qu’elle m’aurait fait faussement paniquer pour trouver une solution. Les gosses de riches avaient besoin de se sentir puissant. Comme pour montrer qu’ils existaient par eux même. Souvent, ils en devenaient de vrais petits tortionnaires.

Ah, c’était elle, elle se dirigeais vers moi avec trois énormes valises sur un chariot. Je m’avançais. J’avais été prévenu de la teinture de cheveux.

« Mademoiselle Young je présume ? »

Je m’inclinais légèrement, en salutation à la japonaise. Mon accent anglais était impeccable, je préférais parler dans cette langue parce que je n’étais même pas sûr qu’elle parle un mot de japonais.

« Je suis Tachibana-sensei. Je suis le tuteur désigné par votre père pour vous accompagner pendant votre aventure japonaise. Si vous permettez… »

Je prenais le chariot pour le pousser.

« La voiture nous attend dehors pour vous conduire chez vous. J’espère que vous vous y plairez. Suivez-moi je vous prie. »

Elle était aussi jolie que les photos que j’avais pu voir. Ou même, plutôt, elles ne lui rendaient pas complètement hommage. Je ne la détaillais pas plus, mais j’aimais beaucoup sa silhouette, et sa teinture allait très bien avec ses yeux.
J’avançais jusqu’à la voiture. Une location parce que je n’en utilisais pas, mais c’était son père qui payait cette belle voiture japonaise. Je lui tenais la porte pour qu’elle s’installe à l’arrière avant que je ne charge le coffre qui suffit à peine. Je m’installais sur le siège conducteur pour partir. J’ajustais le rétroviseur pour la voir et pouvoir lui parler.

« Avez-vous fait bon voyage ? »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: jeudi 19 décembre 2024, 23:02:05 »
Voilà qui était parfait, comme spectacle. Magnifique, même. Elle ne pouvait pas voir comme je l’admirais, tout comme, mon sexe au fond du gosier, je ne pouvais pas voir ses grands yeux écarquillés, et je trouvais cela particulièrement dommage. Je me résolvais à tordre alors son rêve, pour ‘m’offrir une vision de ses yeux, de ses jolis yeux clairs, écarquillés, qui révélaient toute sa luxure, et tout son écarquillement. Avait-elle été souvent prise ainsi, jusqu’à la garde, l’étouffant du chibre, bouchant son nez des bourses lourdes et pleines ? Je pariais qu’elle découvrait des sensations, à ses yeux… et ses gémissements étaient aussi divin que la tension que je sentais dans on corps. Les coulures de cire tachaient sa peau et laisseraient probablement place à des marques rouges si ce rêve avait été la réalité. Quand elle s’éveillerait, sa peau serait toujours d’albâtre parfait…. C’était presque dommage, pensais-je un instant.

Son corps bougeait. Son corps répondait à mes attentions. Elle répondait à la première goutte de cierge et cela m’excitait encore plus rajoutant de la violence dans un acte déjà violent en soi. C’était de l’entrain et une sorte de cercle vicieux, un cercle vicieux dont elle n’était pas actrice mais seulement subissant. Mais elle semblait l’avoir plus ou moins accepté, sinon elle se serait débattue. Ses mains auraient quitté ses lombaires, non pour s’accrocher aux draps, rendant sa position précaire, mais pour se débattre/. Pourtant, elle ne se débattait pas. Elle gémissait dans des bruits qui ressemblaient à des mélanges de couinement de borborygmes étouffés par mon sexe qui lui labourait la gorge à lui faire manquer son souffle.
Dans la vision que j’en avais malgré elle, son regard s’embuait de larmes au gré de mes coups de reins.
Un coup de boutoir de trop, la flamme vacilla, la bougie trembla, s’inclina dangereusement, répandant une trainée de cire brulante le long de son pubis. Elle remuait d’elle-même. Et je voyais sa manière d’essayer de détourner la brulure la cuire trop vite tombée d’une bougie bien trop chaude sans doute pour ne pas lui en cuire…. Je lui giflais un pis, sans retenue, sans tendresse, attrapant l’autre avec fermeté pour le malaxer.

« Ne bouge pas, ne cherche pas à fuir la douleur… »

Je me retirais de sa gorge pour la laisser respirer. Et je m’écartais d’un pas, pour me repaitre du spectacle… son corps ainsi marqué de cire sur le ventre, sur la poitrine, ses joues poisseuses de salive, sa bouche ouverte à la recherche du souffle dont je lui avais manqué. Le reste de son visage n’était pas encore assez souillé à mon gout. Je ne m’en satisferai que quand sa salive aurait coulé depuis ses lèvres sur son nez, ses yeux et dans ses cheveux. Voilà qui serait une bien belle scène de souillure, n’est-ce pas.

« Respire, Servante du seigneur. Respire et avale autant d’air que tu peux… je ne voudrais pas que tu mordes sous la douleur. »

Oui, j’avais craint qu’elle ne me raye le casque, pouvait-on dire…
Je décrochais le miroir et l’orientais de sorte à ce qu’elle puisse s’admirer.

« Comment tu trouves-tu ? »

Lentement, le cierge fondait, continuant de maculer son pubis de cire de plus en plus chaude, se rapprochant inexorablement d’un bouton de plaisir de la sensibilité exacerbé en ferait une cible d’une violence inouïe. Inéluctablement. Et je préférais que cela arrive avant qu’elle ne m’ait à nouveau en bouche. La douleur serait probablement difficile à soutenir, pour moi…

« Tu es magnifique, ma pécheresse en repentir… alors souffre et offres-toi…. Mais garde tes mains loin de ton corps, d’accord ? »

Supplierait-elle de bouger le cierge ? De revenir entre ses lèvres ?

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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: jeudi 19 décembre 2024, 08:42:44 »
J’aimais ce que je voyais. Parce que je voyais dans quel état elle était. Parce que je voyais aussi qu’elle avait envie de plus. Parce que je la voyais se retenir. Je lui détectais un énorme potentiel de soumission. Bien sûr. cela me donnait de voir jusqu’où j’aurai pu la pousser ici comme là-bas. C’était superbe comme spectacle. Et je n’abordais même pas sa conformation physique. Elle était belle, désirable. Elle avait une silhouette qui appelait la luxure, des seins lourds, généreux, et gonflés, aux tétons sensibles, particulièrement attractifs – elle savait els mettre en avant en plus – surmontant un ventre plat et un pubis glabre, au-dessus d’un sexe fendu tout aussi glabre. Et je ne parlais pas même de son derrière. Deux jolies fesses qui étaient un appel à la claque.

Je sentais la nonne vibrer sous me doigts, je la sentais capable de se lover contre mes mains pour plus de sensations, elle était à la recherche de ce plaisir qu’elle ne devrait pas ressentir trop vite, trop tôt, trop fort. Et sa moiteur coulante était la preuve même de son absence de contrôle réel sur le sujet. Elle retenait sa voix, elle retenait ses gestes, et ses pensées, comme si elle craignait la conséquence d’un gémissement trop prononcé. Elle ne pouvait dissimuler son émoi mais elle tachait de le retenir un tant soit peu, même si, parfois, son corps se crispait un peu pour se retenir. C’était bien.

« Je suis ravi de voir que tu sais te contrôler un minimum… »

Je tirais sur le mamelon, durci et  semblant attendre de tels traitements, puis je lui expliquais ce que j’attendais d’elle. Une position étrange, j’en convenais, sans doute. Ne comprenait-elle pas où je comptais en venir. Mais maintenant, au moins, elle pouvait respirer un peu, et se détendre, alors que je la regardais se mouvoir vers son lit, les loches balançant au rythme de ses hanches. Je comprenais que je lui demandais un peu de contorsion, mais elle avait l’air d’avoir une allure travaillée, avec des muscles se dessinant sous les doigts prouvant un exercice plus poussé que de se faire chahuter, mais pas de quoi la déformer pour autant.
Malgré les errements de ses envies, elle savait se tenir et prendre la peine d’agir comme il fallait.

« Je sais que je peux compter sur toi, ma belle, je sais… »

Je lui caressais les cheveux avec tendresse, pour l’encourager avant de lui gifler les fesses pour lui « donner de l’élan »

Je la regardais s’installer. Et cela prit un temps fou. Un temps très long. Et en même temps, étant dans un rêve, cela passa comme une seconde. Je m’étais approché d’elle alors qu’elle continuait à monter contre le mur son bassin, jusqu’à m’offrir une vue magnifique e, comme celle que je m’étais attendu à voir. Non, bien sûr. c’était au-delà de ça. son sexe poisseux qui s’était bien écarté à cause de la position, laissais voir ses chairs rosées, et je venais doucement écarter davantage ses petites lèvres, offrant une vue encore plus profonde sur son minou baveux. Son clitoris, bien visible, était bien gonflé lui aussi, sans doute impatient. Eussé-je été cruel que j’aurai mis une petite pichenette à celui-ci. je sentais son équilibre précaire et je ne le bousculais pas. Mais avec douceur, je prenais ses mains pour les guider ver s ses  lombaires pour qu’elle puisse se souvenir, en  enfonçant ses coudes dans le matelas. Ainsi, elle avait un appui un peu plus régulier, et donc un peu plus stables…

Je me penchais vers son visage, posant un genou à terre, et je lui baisais le front, admirant la rivière de j’ai de ses cheveux qui s’étalait en corolle sous elle.

« Tu es magnifique, sœur Blum. Et obscène à souhait… maintenant, laisse-moi te faire découvrir pourquoi cette position était exigée… ferme les yeux un instant… »

Je lui suris, et je venais doucement « pousser » ses paupières pour l’inviter à vraiment fermer les yeux. Alors, je me relevais pour prendre un des cierges qui s’alluma ; c’était le cierge que j’avais déjà sélectionné. Pas trop long, pas trop court, et d’une épaisseur pas trop grosse. L but n’était pas de lui  déchirer les chairs. Même si, comme nous étions dans un rêve, cela n’arriverait pas si elle ne le voulait pas.
Le temps que je me tourne vers elle, le cierge s’était allumé.

« Tu peux regarder. »

En ouvrant les yeux, elle verrait juste les premières gouttes de cire chaude  tomber sur ses tétines sensibles. Puis, je  glissais la base du cierge – et seulement la base, au cœur de son intimité bouillonnante.

« Je te conseille de la tenir comme ça, sinon, tu risques de te bruler… »

C’était facile à dire : la cire coulant le long du cierge allait lui offrir de jolies sensations et n’allait pas l’aider à se concentrer là-dessus, pas plus que le reste.

« Qu’en penses-tu ? »

Et là ce fut vicieux. Quand elle ouvrit la bouche pour me répondre, mon sexe trouva le chemin de sa gorge, avec brutalité, avec violence même, pour lui baiser la gueule comme d’autre lui avaient baisé le con, et ce, jusqu’à ce que son manque d’air ne me force à me retirer pour la laisser respirer.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: mardi 17 décembre 2024, 08:43:59 »
Je savais qu’elle était en bonne position pour que je puisse en profiter un peu. Mais au fond, c’était parce qu’elle le voulait bien. A aucun moment elle n’avait refusé, à aucun moment elle n’avait semblé sur le point de me jeter. Honteuse, oui, gênée, évidemment, mais au final, elle s’amusait bien, quoiqu’elle montre, parias-je. Ou au moins éprouvait-elle de belles sensations. Et je pariais que si je pouvais admirer son sexe, il serait, au moins, luisant. J’en étais sur.
Toujours était-il que devant ses échecs à répétition, j’étais passé outre. J’avais pris la décision de faire autrement. Passer à l’expiation en mettant ses échecs non sur du manque volonté, mais sur du manque de compétence. La différence était énorme. Et je lui avais donné deux consignes assez simples pour aller dans ce sens. :  il fallait qu’elle dégage les rubans pour ne pas me gâcher la vue, d’une part, et qu’elle aille chercher les cierges qui lui servaient de jouet. Je m’attendais à presque la voir filer dans un coin et prendre des cierges dans la réserve. Mais non, le décor se troubla et nous nous retrouvâmes dans sa cellule. C’était pour le moins sommaire. Un lit, une table, une chaise, un miroir. Pas grand-chose, mais c’était dans la norme des nonnes que de vivre dans le dénuement, non ? Mais le tout restait chaleureux.

Elle me tournait le do et j’avais une vue imprenable sur la rondeur de son fessier délicat. Il était laiteux, comme le reste de sa peau, de ce que j’avais vu, rebondi, certes, mais sans excès, et il était un appel à y déposer une claque sonore. J’avais la main qui me démangeait, et pas qu’un peu. Mais je gardais cela pour plus tard, il y avait autre chose à gérer tout de suite : les cierges. Et l’idée que j’avais en tête. Parce que oui, je ne comptais pas juste utiliser les cierges, j’avais une idée un peu plus poussée sur le sujet. Sans doute assez originale. Mais dans ma tête, le résultat était beau. Particulièrement graphique. Particulièrement obscène aussi, certes, mais surtout très graphique. Et ça aurait fait le bonheur d’un photographe ou même d’un dessinateur pour adulte…

Sur la table, je voyais plusieurs cierges alignés. Les longueurs les épaisseurs et l’usure, variaient, mais tous étaient là, sur une ligne bien nette, prêts à l’emploi.  Ils avaient de petits ornements que je supposais faits à la moulure et non faits à la main, mais le souci du détail dans ses rêves montrait comme elle les connaissait.
J’entendis à pine ses mot, mais je comprenais l’intention derrière. Elle me les désignait en somme, même si c’était évident.

« Merci. »

Et comme pour obéir jusqu’au bout, les rubans se mirent à voleter pour disparaitre peu à peu, jusqu’à ce qu’elle reste entièrement nue, révélant des zones que certains n’auraient même pas regardé aux vues de ses appâts. Son sein lourd presque trop généreux, qu’une seule n’aurait su contenir, son fessier sans excès – qui aimait les gros culs, je ne comprenais pas – ses cuisses fuselées dans la ligne des hanches. Non, vraiment une conformation physique particulièrement avantageuse. Et elle restait droite, digne dans sa nudité, sans se cacher, belle, mise en valeur par une lumière sans source distincte. Non, vraiment, sublime. Je restais dans son dos un moment, et je regardais son corps dans le miroir, devinant plus que ne voyant, l’excitation de son sexe. Je m’approchais alors d’elle, glissant une main sur son sein, pour le pétrir fermement, mais sans chercher la douleur, pour le moment. Mon autre main se glissa sur son ventre, descendit à son pubis, jusqu’à caresser les petites lèvres gonflées.

« Tu coule de bonheur de servir Dieu comme tu le dois, je me trompe ? »

Je ramenais les doigts qui l’avaient -trop – brièvement masturbée pour montrer le fait qu’elle était belle et bien trempée.

« Alors, voyons voir ses cierges. »

Je les regardais en continuant à lui peloter le sein, et retournant la caresser doucement, sans chercher à la faire jour ou autre. Si l’excitation montait trop, je donnerais une pette claque sur son sexe. Juste pour la calmer.

« Hum…. Celui-ci me semble pas mal. »

Je cessais pour saisir une des bougies, de taille moyenne, elle n’était pas très épaisse – il fallait être un gros con ou un puceau pour vouloir jouer à faire rentrer une flute de pain dans une tasse à café – mais les nombreuses coulures de cire montraient qu’elle avait été beaucoup utilisée. Parfait. Ce serait idéal par rapport à mes idées… j’en prenais deux autres, pour un autre usage, et je laissais tomber l’idée d’utiliser les autres. Une fois celles-ci posées à plat sur la table, je regardais l’espace présent, et j’avais une petite idée. le lit serait parfait. Il changerait pour coller à mes idées, mais ça irait bien.

« Il va falloir te mettre en position pour expier. Je sais qu’elle ne sera pas facile, mais je te fais confiance pour montrer que tu peux être satisfaisante au moins sur un point. »

J’entrais dans des explications plus précises :

« Tu vas  te mettre sur le dos tête, dans le vide, sur le lit, et remonter ton bassin le long du mur aussi haut eu tu puisses, en gardant les cuisses bien écartées. Je veux voir ton con lustré de mouille bin exposé d’accord ? »

Cela lui demanderait un peu de mal, mais il y avait plusieurs objectifs avec cette pose. Je n’y tenais plus et je donnais une petite claque sur son cul parfait.

« Exécution. Tu peux t’aider de tes mains, et si tu as trop de mal, je t’aiderai à te mettre en position. »

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