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Le parc et son sous-bois / Re : Aya se fait prendre en main par une vachette, ou serais-ce l'inverse ( PV Cream)

« le: dimanche 20 septembre 2009, 19:10:28 »

Cream ne supportait pas que l'on éprouve de la compassion pour elle, que ce soit dans la vie de tous les jours, ou même dans ce cas-là. Elle s'arrangeait toujours pour éviter la honte, la pitié, la compassion. Sa carapace ne se brisait jamais, et malheureusement, ce soir, elle se retrouvait attaché à un arbre à moitié nue devant une femme. Même pas un homme. Il y avait de quoi écrire un dictionnaire entier sur la définition de la pitié.

Deux doigts écrasèrent son clitoris avec violence, faisant serrer à Cream les dents. C'était douloureux, et humiliant à la fois. Sa fierté descendait en flèche, alors qu'Aya lui apprenait son orientation. Elle secoua la tête d'un air décidé, des larmes de fierté aux yeux.

« Rien à foutre. Tu ne m'auras pas. »

Elle ne l'aurait pas. Du moins, pas entière. Question sexe, Cream pensait bien avoir tout perdu : virginité comme manque d'expérience. Le fait qu'elle soit une femme la perdait dans un tout nouveau chemin, mais il devait bien être proche du premier.
Alors, elle ne l'aurait pas.

Quand Aya plia son dos avec l'horrible douceur forcée dont elle faisait preuve depuis le début, Cream se sentit beaucoup plus inquiète. Ne pas voir ce que faisait la rousse lui causait de la crainte.

« Qu'est-ce que tu fous encore... AH ! »

La sensation bien connue de la lanque gourmande qui traversait les lèvres intimes... Cream se débattit avec plus de violence : elle n'avait quand même pas osé faire ÇA ? Cette espèce de garce la touchait, la...

« AIE ! »

Et en plus, elle... elle lui enfonçait le... le manche de...
Oh, c'est pas vrai. Elle venait de tomber sur une folle, sans aucun doute.

Le manche écarta les parois de ses fesses sans grande attention, et la douleur fut beaucoup plus forte que pendant une pénétration forcée. Elle n'était pas du tout habituée à se faire prendre par derrière : c'était un tabou qu'elle se refusait et qu'elle refusait souvent. Cream fut forcée de crier avec force, se débattant avec force malgré les liens.

« DÉGAGE, DÉGAGE, DÉGAGE ! »

C'était beaucoup trop douloureux, beaucoup trop humiliant... et le plaisir qui venait en augmentant n'arrangeait... rien du tout.

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Place publique / Re : Barbarisme [PV]

« le: dimanche 20 septembre 2009, 18:56:10 »

C'était prévisible, mais quand même douloureux. Ce sagouin venait de la gifler avec violence. Et une violence contenue, en plus, ça se sentait. Cream se massa sa joue écarlate avec douceur, avant de sentir un goût désagréable sur sa langue. Du sang. La claque avait été assez puissante pour déclencher un saignement. La terranide profita de cette option pour cracher un filet de sang sur le visage de Don, avant de serrer les dents à cause de la douleur de la poigne sur ses cheveux. Des larmes lui vinrent aux yeux, alors qu'elle en ouvrait un pour regarder le visage du monstre qui avait osé la toucher. L'effet voulu avait quand même été déclenché : il paraissait assez furieux de s'occuper d'une tête de mule comme elle.

Mais maintenant, il semblait que Cream ne pourrait pas aller aussi loin. Lui, par contre, ne se gênerait sûrement pas. Les frottements malsains sur l'entre-jambe de la lycéenne le prouvaient. Ça n'allait pas tarder...

Cream comptait, dans une autre tentative de tenacité, lui lâcher un "t'attends quoi" méprisant, mais le temps ne le lui permit pas.

« ! »

Cream avait la chance de posséder des hanches assez larges : la douleur de se faire pénétrer avec autant de violence ne fit donc que l'effleurer. Ça n'ai pas pour autant qu'elle aima ça, et la terranide tenta plus d'une fois de se libérer du membre énorme qui se mouvait maintenant en elle. Mais la poigne de Don sur ses hanches était trop forte... sa constitution n'était pas suffisante pour échapper au traitement longtemps attendu.
Elle s'attendait quand même à autre chose, mais la chaleur ne tarda pas à venir.

« Huuu... »

La vachette se cambra doucement sous les chocs profonds pour améliorer son confort et se sentir un peu à l'aise, si possible. Sa respiration s'accéléra malgré elle et les puissants coups de reins lui firent tourner la tête. Elle songa un instant aux anciennes vierges dont Don avait dû déchiqueter les entrailles "pour son travail", et le plaisir qui commençait à venir fut suivi d'un pincement au cœur de pitié, suivi d'une nausée monstrueuse, rien que d'y penser.
Nausée qui finit par tomber sur le carrelage de la pièce, dans un bruit peu ragoûtant.

« Argh... »

Le contenu de son estomac se mélangea aux larmes de compassion qui tombaient sur son visage, avant qu'elle ne se redresse en tremblant.
C'était l'une des premières fois qu'elle songeait au mal être d'une autre avant le sien... ça avait quelque chose de presque irréel. Les larmes ne tombaient pas à cause de la douleur peu présente, ni du futur qui heurtait de plus en plus l'esprit de Cream : elles tombaient à cause de la vision de toutes ces jeunes femmes comme elle, enchaînés et prises à grands coups de cris et de larmes.

Elle regarda longuement Don, haletante, qui n'avait pas semblé être dégouté par la nausée de la terranide, bien au contraire. Les mains posées sur la base du membre par réflexe, elle finit d'haleter une seconde.

« Combien ? Combien t'en as achevé comme ça, espèce de monstre ? »

Elle était bien la mieux placée pour savoir à quel point l'on pouvait avoir mal en découvrant la passion de l'acte... la définition de "monstre" correspondait bien à cet homme et à son poids énorme qu'il enfonçait en elle.

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Le parc et son sous-bois / Re : Aya se fait prendre en main par une vachette, ou serais-ce l'inverse ( PV Cream)

« le: vendredi 18 septembre 2009, 23:40:44 »

Mais pour qui se prenait-elle, celle-là ? Si c'était une blague, elle était de très mauvais goût. Mais après une rapide recherche, Cream constata qu'aucune caméra ou autre ne traînait dans les environs... et il y avait trop de feuilles pour les cacher.

Cette fille ne se prenait pas VRAIMENT pour supérieure quand même ?
C'était de la folie.

« Ngghn... »

Puisque pousser quelques cris de plaisir sembler l'exciter, eh bien, la solution était simple : ne plus en pousser, tout simplement. C'était quand même assez dur... surtout quand cette rousse s'amusait à...

« ! »

Cream se sentit divaguer quand une main narquoise passa sous son string pour s'amuser avec son clitoris. Le degoût et la rage envahirent son visage, et elle entreprit de mordre la lanque de Aya pour lui faire cesser son horrible baiser. Non pas qu'elle embrassait mal... mais la situation était tout sauf excitante.

Enfin, ç, c'était la conscience de la terranide qui lui disait ça. En réalité, Aya pouvait bien sentir la chaleur qui se dégageait des parties intimes de la vachette. Son visage était également rouge, mais les raisons étaient différentes.

« Va crever. Tu ne seras pas satisfaite tant que JE ne l'aurais pas décidé. »

Aya dépendait de Cream pour son bon plaisir : c'était quelque chose que la vachette venait brusquement de comprendre. Elle s'efforçait de ne regarder Aya que dans les yeux, parce que sinon, le cercle vicieux du plaisir risquait de s'enclencher.

Elle ne put cependant retenir un soupir, quand le liquide chaud coula entre ses cuisses.

« ...En plus je suis hétero... sale lesbienne. »

L'insulte était sorti toute seule. Et Cream ne la regrettait pas. Enfin, pas trop.

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Place publique / Re : Barbarisme [PV]

« le: vendredi 18 septembre 2009, 23:26:00 »

Elle n'arrivait pas à croire qu'il prenait tout pour lui. Qu'il la laissait faire tout le travail, la laisser dans son envie soudaine, en ne s'occupant que de lui. Jamais de sa vie la vachette n'avait connu d'aussi mauvais amant.
Enfin... pas "mauvais", dans le sens physique. Avec un sexe comme celui-là, il avait de quoi satisfaite la pire des frigides. Non, c'était au niveau psychologique. Il ne devait sans doute jamais avoir eu de véritables relations. Dans un sens, c'était assez impressionnant, et même peinant pour quelqu'un qui ne serait pas passé entre ses cuisses...

Elle n'était pas une poupée de porcelaine avec laquelle l'on s'amuse avant d'en briser la matière. Elle était une poupée de bois, solide et résistante, pouvant durer des années. Mais à ce moment-là, elle n'était qu'un pantin, et sa fierté était rongé par cette idée malsaine. Oui, l'esprit malsain flottait dans cette pièce, dans cette maison qu'elle avait pensé accueillante un temps. Et elle pouvait le palper, le toucher, et même le sucer tout entier.
Cependant, aussi malsain soit-il, le membre de Don n'était pas encore venu. C'était curieux, mais ce n'était sûrement pas dû au hasard. Si il arrivait à se retenir, c'était que l'expérience le lui avait appris.

Il se servit un bon moment de ses cornes, avant de les lâcher et de ne dégager que peu de semence dans la gorge de la terranide, qui en fut franchement surprise.
Il y avait un hic.

Cream eut un sourire et se rapprocha du sexe de Don, pour le tapoter doucement et y enfoncer de nouveau ses ongles, avec un peu plus de fermeté.

« T'es en panne, le Géant ? »

Petite pique, dernier appel pour la résistance de Cream, qui, bien loin de baisser, se durcissait. Elle venait peut-être de toucher un point sensible et c'était tant mieux.

La vachette n'envisageait pas que Don lui porte un mauvais coup, ou même qu'il ne se contente de se dégager sur son visage. Elle était trop occupée à regarder Don d'un air vicieux, trop occupé à essayer de conserver un peu de semblant de dignité.

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Place publique / Re : Barbarisme [PV]

« le: dimanche 13 septembre 2009, 22:20:16 »

Il l'énervait, à toujours tenir des discours aussi moralisateurs. Il se prenait sûrement pour son père, un géniteur au service de son bien-être... sans doute tenait-il les mêmes propos à toutes celles qui étaient embobinés. Et de plus, en lui tenant de tels propos, il ravivait comme une flamme le souvenir de la place du marché, de toutes ces chaînes et de ce qui y était enchaîné.

Sous un choc soudain, deux grosses perles coulèrent sur le visage d'habitude moqueur et rieur de Cream. Elle les essuya rapidement pour éviter que Don ne les voit, et le regarda avec un profond dégoût.

« Tu ne connais même pas les vraies valeurs de la vie... c'est pitoyable. La liberté est bien plus précieuses que tout ce que tu viens de citer... Ah ! »

Elle tressaillit en sentant la main s'abattre sur sa fesse droite. Ses cuisses tremblèrent quelques instants, le reste de son corps suivit. Elle se sentit ensuite soulevé, posé sur une surface plus douce, mais elle n'en avait vraiment que faire : rien ne risquait d'être doux dans les prochaines minutes.

La talle de son membre ne l'impressionna pas : elle esquissa même un léger sourire, posant ses yeux verts, semblables à des joyaux, dans ceux de Don.

« J'ai déjà vu mieux, tu sais. »

Simple petite remarque, simple petite pique. En étant forcé d'avancer, Cream regarde de nouveau ce membre offert, prêt, devant sa bouche. Une idée lui vint à l'esprit, mais elle fut contré par les propos de Don. Pas question de le mordre donc.
Par contre...

Elle posa doucement le sexe du colosse entre la naissance de ses seins, pour commencer à le masser doucement, entre ces deux grosses masses qui plaisait tant à tout les hommes qu'elle avait croisé... Sa langue se posa sur la peau tendue et chaude, pour l'enrober de salive. Elle le prit bien vite en bouche sans que l'on le lui demande, ne fermant pas les yeux, ne quittant pas non plus ceux de Don du regard. Sa bouche s'était transformée en caverne chaude et humide, uniquement pour le bon plaisir de cette saleté qui en profitait juste au dessus d'elle...

Finalement, après quelques minutes, la vachette se décida à tenter quelque chose de moins plaisant... sa main glissa vers la base du sexe de Don, et se ongles s'enfoncèrent dans sa peau, pas entièrement, mais juste assez pour que ce soit désagréable au goût de l'homme...
Elle ne comptait pas se laisser faire aussi facilement. Titiller sa patience, voilà ce qu'elle comptait faire. Si il la frappait, elle pourrait toujours lui rappeler que son lait pourrait tourner.

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Place publique / Re : Barbarisme [PV]

« le: dimanche 13 septembre 2009, 20:00:47 »

Cream aurait préféré se jeter du haut du toit de son lycée en culotte que de l'admettre, mais le traitement de Don lui paraissait moins culotté qu'il n'avait paru aux autres filles dont il s'était occupé. Elle avait été habitué à tellement de situations dans ce plan-là, dans sa vie sexuelle, que celle-là ne lui paraissait pas différente des autres... son esprit ne digérait pas le fait qu'elle se retrouverait attaché à une machine à traire avant la fin de la journée. En gros, elle sous-estimait largement Don, et pensait, elle aussi, à son plaisir avant tout. Ils avaient ça en commun, sans être pareils. La vachette n'irait jamais aussi loin dans les extrêmes. Elle était chasseuse de proies, vigoureuses et vivifiantes, mais un chasseur trouvait toujours plus fort que soi.

Le contact qu'il lui procurait lui faisait donc du bien. Quoiqu'elle puisse en dire, sa résistance n'était pas efficace.
Elle aimait trop le sexe pour ça.

« Si... je suis une esclave... alors toi, tu es un monstre. »

Un véritable monstre, encore plus inhumain que celles qu'il qualifiait de bête.

Elle avait arrêté de se couvrir la bouche, et haletait, les yeux fermés et crispés. La terranide n'avait pas l'intention de lui faire plaisir en commençant à gémir comme un animal. Ça ne ferait que renforcer ses dires. Qui voudrait de ça ?

« Nnhg... »

Elle serra les dents en sentant la langue parcourir son corps, de son ventre à sa nuque, pressant un de ses seins. Il se disait sûrement que ce lait, SON lait, lui appartiendrait bientôt... quel égoïsme. Même s'il ne comptait rien en faire, c'était tout de même à elle. Sa propriété. Le lait avec lequel elle nourrirait un enfant, un de ces jours... ou peut-être plutôt qu'elle ne le pensait, visiblement.
Finissant d'haleter sous les actions de Don sur son sein, elle finit par lâcher la première chose qui lui venait à l'esprit.

« Ferme-la, et baise-moi. »

Cette simple phrase marquait l'armistice : ses défenses seraient vaines, de toutes façons. Mais avec ses paroles, la vachette pouvait peut-être espérer en finir vite. Mais il y en avait un qui ne semblait pas être d'accord là-dessus. Surtout que la phrase ressemblait à un ordre, de la part de Cream.

Elle continuait quand même de lui saisir les cheveux, pour l'écarter de sa poitrine, en serrant les dents. Futile résistance. Mais pas la dernière, si jamais il ne l'écoutait pas.

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Place publique / Re : Barbarisme [PV]

« le: samedi 12 septembre 2009, 16:09:53 »

Cream n'était peut-être pas la terranide la plus brillante du monde, mais elle était assez maligne pour comprendre que cet homme était l'un des plus cruels qu'elle ait jamais rencontré. Un véritable modèle de bestialité. Pour lui, c'était sûrement un synonyme de masculinité. Mais, au fond, quelque soit la race, l'homme avait gardé son côté bête. Il le prouvait chaque fois qu'il faisait l'amour, avec des coups de reins violents, et des grognements... Le culte de l'amour était resté le même depuis des millénaires.

Et la terranide n'aurait pas aimé qu'il en soit autrement. Sauf... Ce coup-ci.

" Va te faire voir, avec tes discours moralisateurs. Je n'y crois pas une seule seconde. "

La vérité telle qu'elle ne l'aurait pas impressionné il y a quelques heures, mais maintenant, la femme-vache préférait tout nier en bloc. Elle pourrait reprendre conscience quand elle serait sorti d'ici.
Quand ce putain de collier aurait fini de labourer son cou...

" ...!!! "

En se couvrant la bouche avec sa main, Cream évita le soupir de passer ses lèvres. Elle essayait vainement de refermer ses cuisses, dont la peau se couvrait doucement de lait et de sueur. Le lait continuait de couler de sa poitrine, les glandes excitées par les émotions de l'adolescente : la colère... L'excitation forcée... Et une pointe de crainte, dés à présent.

Instinctivement, la terranide avait glissé son autre main sur un de ses seins, pour le malaxer doucement. Le puissant désir qui grandissait en Cream ne pouvait être calmé qu'ainsi. Elle sentait cette langue visqueuse et humide se glisser entre ses lèvres intimes, tracer un parcours narquois en insistant sur les parties sensibles, s'insinuer dans l'entrée de son vagin. Ce cunnilingus presque parfait -il y manquait la douceur- faisait divaguer la vachette, et l'humidité qui l'envahissait lui donnait envie de hurler.

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Prélude / Re : Présentation Natsuko

« le: samedi 12 septembre 2009, 14:34:10 »

Voilà une Lapine qui n'a pas peur de se brûler les pattes~ ♪
(Fais gaffe, quand même.)

Bienvenido~ ♥

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: vendredi 11 septembre 2009, 17:22:42 »

Début du week-end ! *sautille*
Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de la sortie du premier disque des Beatles \o/

Et même si vous vous en carrez, fallait que je le dise 8D

17:24

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Prélude / Re : Mimi la vache (meuh !)

« le: vendredi 11 septembre 2009, 17:19:44 »

w00t, une collègue de plus o/
Il me faut ta vachette dans la sign, j'peux te la piquer ? >3<

Bon, mais je m'égare. Bienvenue chez nous ^___^

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Vous nous quittez déjà ? / :<

« le: mardi 01 septembre 2009, 10:17:18 »

Comme faut bien travailler un jour, je serais beaucoup (et quand je dis beaucoup, c'est beaucoup) moins présente à partir de demain.

C'est la rentrée les poussins, vive la vie~ °A°

DC également moins présents (forcément) : Hestia, Kyuuri Meiko, Luna.

Je répondrais quand même aux topics pour me changer les idées, mais la qualité en pâtira elle aussi XD

Passez une bonne rentrée~ ♥

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: lundi 31 août 2009, 13:25:47 »

Y a du monde sur la chat ?

13:27

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: lundi 31 août 2009, 09:42:08 »

Sandji, ça c'est parce que t'es trop gentil~

Faut l'envoyer bouler, ça lui forgera le caractère. °A°

09:43

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: lundi 31 août 2009, 09:01:33 »

Ah, les coqs ? T'as aussi les poules et les dindons qui gloussent à 7 heures du mat' pour la bouffe, trés bons à ce jeu là aussi~

09:03

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Blabla / Re : Re : Horloge parlante

« le: lundi 31 août 2009, 08:08:58 »

Aujourd'hui, pas de dodo, faut que je me recale pour mercredi.. *grommelle*

J'viens de faire ça pendant deux mois, ça m'a foutu en l'air mon horloge biologique... mais c'est vrai que y a pas tellement d'autres solutions.

°A°"

08:09 (Réveillée depuis deux heures du mat' à cause d'une fucking anglaise, qui a rien d'autre à foutre que de call les gens sur leurs portables à cette heure-là.)