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« le: samedi 30 décembre 2017, 20:05:45 »
Coucou ! Encore un double-compte. ^^
Identité : Alessandra Visconti
Âge : 27 ans
Sexe : Futanari
Race : E.S.P.er
Sexualité : Fluide, accepte tout ce qui lui plaît physiquement.
Physique :
Je suis une bombe. Nan, sérieux. J’aime mon style, et les japonais l’aiment aussi. Déjà, j’ai les cheveux roses. Ouais, ça met le paquet dès le début. Tu m’étonnes qu’ils m’apprécient, j’ai la même tignasse que leurs perso’ de manga. Par contre, je me coiffe différemment. J’veux pas non plus ressembler à une écolière, qu’est-ce que tu crois ? C’est pour ça que j’ai choisi d’adopter un style plus rebelle et intimidant ; crâne rasé sur la gauche, longues mèches lisses que je laisse un peu en bataille sur le flanc droit et derrière. J’aime quand l’air me caresse que d’un seul côté, me demandez pas pourquoi. Et ça permet aussi de dévoiler mon oreille sur laquelle est accroché un fier écarteur. Ah ! Si t’es pas au courant, j’me maquille un peu… un peu, pas mal ouais. De rouge à lèvres par ici (mais pas de brillant, c’est immonde), de l’eye liner par là et aussi un peu de poudre pour me blanchir le teint. J’aime avoir ce petit aspect cadavérique, c’est stylé.
Si tu regardes plus bas, tu verras que je suis quand même assez bien gaulée. Par contre, j’avoue, c’est pas mes seins qui attirent le plus l’attention mais plutôt mes hanches ou mes fesses, en règle générale. Faut dire que j’aime mettre ces dernières en valeur avec un bon jean moulant. Heureusement que j’suis bien membrée qu’une fois stimulée, sinon je serais en train de crever dans mes jeans. En parlant de ça, tu me verras jamais porter de jupes. C’est trop “princesse” pour moi, je préfère plutôt adopté ce style grunge que d’autres appellent “garçon manqué”. Ouais bah, vous savez quoi ? Ces gens-là repartent en général avec quelque chose de cassé.
Sinon, je suis plutôt grande et élancée. Aux dernières nouvelles, je fais un mètre soixante dix-neuf, ce qui impressionne pas mal ces nains japonais, surtout pour une femme. Mon poids ? Beh, j’le connais pas. J’aime pas me peser, ça me rappelle à quel point mon derrière est gros, même si je l’aime bien. Et pourtant, je suis pas lourde ! Enfin, j’crois. Je fais pas particulièrement attention à mon alimentation mais je fais du sport, donc j’entretiens mon corps.
Caractère :
Bordel, j’en ai déjà marre de parler seule. Vous voulez pas me poser des questions, un peu ? Nan ? Tu préfères que je te fasse manger la tête ? Bien. Je préfère ça.
« Est-ce que tu peux être… moins méchante ? »
Genre, j’suis méchante ? Mais non. Si je te fous mon poing dans la gueule, c’est parce que je t’aime et que je veux pas que tu commettes d’erreurs. Enfin, du calme. Je t’aime mais pas trop non plus. Les gens que j’aime vraiment, c’est juste une tape dans le dos, j’aurais bien trop peur de les casser. Et ceux que j’aime pas ? Crois-moi, ils auraient préféré perdre une dent, comme toi.
« Tu as des centres d’intérêt ? »
Ouais, carrément ! Le mieux, c’est quand même l’argent. Tu peux réaliser tous tes rêves avec. En dehors de ça, j’adore la musique et plus particulièrement le metal. Ca défoule et c’est toujours sympa de s’écraser contre quelqu’un au beau milieu d’un Wall Of Death. Et pis c’est tout aussi drôle d’entendre les fillettes chouiner “ouin ouin, maman, c’est trop violent y’a que du bruit et des cris”. Sinon, j’aime bouger et j’extériorise ça en pratiquant plusieurs sports. Actuellement je fais de la boxe, de la natation et du kendo. Le dernier n’est pas aussi intensif, mais c’est rigolo de taper avec un truc en bois plutôt qu’avec ses poings, pour changer.
« Et des choses que tu détestes ? »
Les pleureuses. Oh bordel, mon pire cauchemar. T’es douillet ? Mon pauvre chou. Me bassine juste pas avec tes caprices de princesse, parce que c’est certainement pas moi qui vais les exaucer. En dehors de ça, je déteste l’indiscipline. J’ai été élevée comme ça, faut dire. Si j’ordonne, tu obéis. Si c’est pas le cas, attends-toi à avoir mal, très mal. Et si c’est toujours pas le cas, j’ai un merveilleux pouvoir qui me permet de te faire oublier que je t’ai frappé. Comme ça, j’arrive comme une fleur vers toi et te manipule pour que tu me sois redevable et que tu finisses par m’obéir. Bon, c’est clairement moins marrant que de te faire céder par les poings, mais parfois on en arrive aux extrêmes.
« Plutôt chat ou chien ? »
Toi, tu commences à manquer d’inspi’. C’est évident : vive les chiens, les gros chiens. Les chats sont l’incarnation de toute la mignonitude que je déteste sur cette planète. Quoi ? Tu penses que j’suis coincée dans une phase d’ado rebelle en quête d’identité ? Ca fait plus de huit ans que je suis comme ça, mon con. Je m’aime donc je suis. C’est pas ça ? Rien à faire, j’ai pas la patience de t’expliquer.
« Et si j’étais moins fragile, tu coucherais avec moi ? »
C’est pas une question de fragilité, tu vois. Faut juste que le courant passe. Commence par ne pas te plaindre de tout et de rien, agis de façon digne et on y va. Enfin, sois quand même un peu beau. C’est pas en faisant un mètre trente et deux cent kilos que tu vas m’attirer. Bref, on se comprend. Ah ! Et si tu veux vraiment savoir ce qui m’excite le plus : provoque-moi. Mais attention, faut que je sois dans la bonne humeur pour ça. Si je suis enjôleuse, tout ira bien. Si je lui suis pas, c’est pas ton arrière-train que je vais démonter, mais ta tronche, et pas avec ce que t’aimerais.
Moi, instable et impulsive ? Pas du tout.
Histoire :
Récit d’une nourrice
Maître Iago n’était jamais là quand il le fallait. Son fils (ou sa fille, je ne savais pas) avait beau pleurer, c’est moi qui devais m’en occuper. Il avait toujours quelque chose à faire, bien que je ne sache pas quoi. Ma paie, grasse, me permettait de vivre dans un certain confort. Voilà pourquoi je n’ai jamais craqué et ai continué à prendre soin de l’enfant. Celui-ci possédait d’ailleurs deux organes génitaux, un féminin et un masculin. Je ne savais jamais où donner de la tête ; fallait-il l’habiller en bleu ou en rose ? Je ne le sus réellement que lorsque l’enfant commença à grandir et à présenter majoritairement les traits d’une petite fille. Aucun prénom ne lui fut attribué avant qu’on sache à quel genre l’enfant voulait “appartenir”. Et à ce moment là, j’eus un deuxième enfant à la charge. Même si celui-ci était clairement un garçon, il se révéla bien vite insupportable. La rivalité entre le frère et la soeur eût tout juste le temps de naître que j’avais un troisième enfant sur les bras. Maître Iago, arrêtez ! Qui était la mère, d’ailleurs ? Je ne le savais pas, encore une fois. J’ai juste entendu dire que le maître était du genre à avoir de nombreuses femmes, et même qu’il abandonnait certaines d’entre elles à leur sort une fois l’enfant né. Dans ce cas, pourquoi en ramenait-il ici ? C’est une énième chose que je ne savais pas.
Récit de la première femme de Iago
C’est un homme mystérieux, et c’est ce qui m’a séduit chez lui. Je ne savais rien de lui, nous nous sommes simplement amusés un peu après avoir pris un verre, puis nous continuâmes à nous fréquenter jusqu’à ce que je tombe enceinte. Pendant ces neuf mois, il passait à peine. Je le soupçonnais d’aller voir ailleurs. J’ai finalement accouché d’un enfant hermaphrodite, et Iago est aussitôt revenu vers moi. Il a pris l’enfant dans ses bras, puis j’ai cru apercevoir ses yeux luire d’un éclat occulte, comme s’il sondait l’âme du bambin. Il afficha un grand sourire et me promit une grosse somme d’argent contre la garde permanente de l’enfant, de mon enfant. J’ai… j’ai accepté. Je ne sais pas pourquoi, mais j’avais envie de m’en débarrasser (narrateur : Iago a hypnotisé la femme pour qu’elle accepte).
Récit d’une autre femme
Il m’a mise enceinte. Monsieur est parti aussitôt qu’il a appris la nouvelle pour revenir comme une fleur, le jour de la naissance du gamin. Il l’a regardé de façon bizarre et semblait déçu. Je sais pas, peut-être qu’il voulait une fille. Après ça, il nous a simplement abandonnés sans même fournir la moindre aide. Si j’avais su qu’il était comme ça, j’aurais jamais cédé à ses avances…
Récit de Iago
Je suis un envoyé de Dieu. Et en tant que tel, je dois prospérer. J’ai le pouvoir ultime, celui-ci ne doit pas s’éteindre. J’ai créé un empire, une pègre aussi influente que menaçante, et je ne compte certainement pas mourir. Seulement, je suis entouré d’humains incapables qui ne servent que de main d’oeuvre. J’ai heureusement trouvé un moyen de palier à cela : mes propres enfants. Certains d’entre eux héritent de certaines capacités que j’ai utilisé par le passé. Ils sont le prolongement de mon existence, de mon oeuvre ! Il n’y a qu’une seule tâche sur le tableau : la plupart d’entre eux sont de simples humains sans pouvoirs. Ceux-là ne m’intéressent pas, je les abandonne à leur sort et me focalise sur ma mission. Je dois cependant faire vite, mon temps est compté, mon pouvoir me ronge. Il ne doit pas se perdre, surtout pas. Même si j’ai aujourd’hui deux enfants à potentiel, je n’ai toujours pas celui qu’il me faut. Je changerai d’apparence autant de fois qu’il le faudra et engrosserai tout autant de femmes pour atteindre mon objectif.
[3 ans plus tard]
Il est né ! Mon chef d’oeuvre est né ! J’ai enfin réussi à lui transmettre la capacité que je souhaitais, celle qui allait me permettre d’être conservé, de perdurer. Je peux enfin me focaliser sur l’éducation de mes enfants. L’aînée est encore suffisamment jeune pour que je puisse la rallier à ma cause, et je n’y manquerai pas.
Récit d’Alessandra
Mon père ? Je me rappelle juste que, pendant à peu près douze ans, il passait à peine me voir et me laissait à la charge d’une nounou. C’était la même chose pour mes petits frères et ma petite soeur, jusqu’à ce qu’il revienne avec un grand sourire et son petit dernier dans les bras. Je ne savais pas encore ce qu’il mijotait à l’époque, mais je m’en foutais pas. Je savais juste que j’allais enfin avoir une vraie famille, plutôt qu’une mère de substitut. Et étrangement, même si mon père a été absent pendant si longtemps, je me suis tout de suite bien entendue avec lui, comme s’il captivait entièrement mon attention. Faut dire qu’il est pas mal charismatique, même s’il vieillit. Ironiquement, il a même été un très bon père pendant les années qui suivirent, si bien que mes pairs et moi lui avions juré fidélité dans son étrange rêve de richesse et de pouvoir. Si ça me plaisait ? Bien sûr que oui. À quel moment est-ce que tu vas refuser le confort juste parce qu’untel que tu ne connais pas est dans le besoin ? Bref. On est devenu des durs, si on peut dire ça comme ça. Une fois qu’on passait le cap des quinze ans, on rejoignait la mafia de père pour y être traités comme de véritables souverains. Scipione, le petit dernier, a même eu l’honneur de la rejoindre à douze ans, parce qu’il était important ou je ne sais quoi. Et aujourd’hui, on gère chacun (ou presque) une branche de l’empire de père dans le monde. Perso’, j’ai été chargée de la branche asiatique. Apparemment, j’ai un caractère suffisamment explosif pour traiter avec les yakuzas et autres brigands d’Asie. Novello a été envoyé en Russie, Evalina aux États-Unis et Giacomo en Amérique du Sud. Quant à Scipione, il est resté en Europe avec père. Et aujourd’hui, nous étendons notre réseau à travers le monde, permettant à père d’avoir un certain contrôle sur les affaires mondiales tout en restant dans l’ombre. Moi ? Je m’amusais et je vivais dans le luxe, tout en réalisant les souhaits de mon géniteur. Qu’est-ce que je pouvais demander de plus ?
Autre :
Alessandra possède un pouvoir baptisé “The Eraser” qui est capable d’effacer les souvenirs d’une personne, tant que ceux-ci sont reliés à la détentrice de ce pouvoir. De plus, cela ne marche qu’avec les souvenirs vieux de deux semaines maximum. Au delà, il est totalement impossible de les effacer ou même de les altérer.
La famille :
Iago Visconti (48 ans), le père, possède “The Creator”. Il confère une puissance considérable en l’autorisant à manipuler la réalité aussi loin que son imagination le lui permette, contre son espérance de vie qui chute à chaque utilisation et cela de façon proportionnelle à la matière altérée. Par exemple, si la durée de vie demandée pour faire apparaître une balle est minime voire inexistante, générer d’énormes quantités de munitions militaires lui prendra potentiellement plusieurs mois voire années. Qui plus est, la descendance du détenteur de ce pouvoir semble hériter, dans quelques cas, d’une seule et unique capacité utilisée par le passé.
Novello Visconti (25 ans), deuxième enfant de Iago, maîtrise “The Ruler”. Ce pouvoir lui permet de donner des ordres à une ou plusieurs personnes et de se faire respecter dans la seconde qui suit. La limite se trouve dans le fait qu’il est impossible pour Novello de faire respecter des ordres assurant la mort du ou des sujets.
Evalina Visconti (22 ans), troisième enfant de Iago. Son pouvoir est “The Stalker”. Il lui permet de devenir totalement invisible et de ne produire aucun son durant une marche ou une course.
Giacomo Visconti (19 ans), quatrième enfant de Iago. Nommé “The Stranger”, son pouvoir lui permet de changer d’apparence, de sexe, de taille (dans la limite de l’humain), etc… à volonté.
Scipione Visconti (15 ans), cinquième et dernier enfant de Iago. Sa capacité, “The Keeper”, lui permet de transférer n’importe quel objet ou personne (consentante) dans une sorte de dimension extra-planaire. Il peut ensuite extraire tout ce qu’il a stocké. Dans cette dimension, le temps n’affecte pas la matière.