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Ville-Etat de Nexus / Re : La Chasse Sauvage [Maud de Rehen]

« le: jeudi 28 février 2019, 19:39:01 »

Maud était encore un peu honteuse de comment elle avait été rembarrée. Oh, elle se vengerait. Elle n’avait pas du tout apprécié le commentaire, et voilà… Vesa l’avait rapidement regardée, et elle avait prit bien entendue un air angélique pour mentionner que s’il y avait le moindre soucis, le moindre commentaire sarcastique, ou le moindre truc du genre, il ne faudrait pas chercher de son côté, et ça serait sans aucun doute quelqu’un d’autre ! Non, ce n’était pas du tout son genre ! Mais bref, quoiqu’il en soit, il y avait bien plus sérieux dans l’histoire, il y avait… Il y avait… Mais oui, c’est clair, vous avez bien deviné… C’est le fameux Megascope, qui commença à faire ses trucs magiques, qui, Maud devait bien l’avouer, même si elle restait Team Pigeon Voyageur, elle devait avouer que c’était quand même vachement impressionnant.

« Qui êtes-vous ?
-Paladine Vesa, Monseigneur. Moi et la Paladine Maud avons été envoyées en mission par Monseigneur Barbas, et venons faire notre rapport. »

Maud s’inclina. Encore une fois, elle resta entièrement muette dans le discours, laissant à Vesa le soin de prendre les décisions. Elle eut une pointe de déception quand elle appris que seul Monseigneur Barbas allait venir. Elle aurait voir Monseigneur Guy de Brosse, cela aurait été sympa… Mais bon, elle devinait qu’il y avait plus urgent que voir son professeur et son mentor. La situation était pas spécialement bonne, et Vesa l’expliquait très bien. Enfaite, Maud en parla qu’une ou deux fois, pour préciser un détail ou mentionner quelques choses que Vesa aurait oublié. Elle ne parla aucunement de son père, et remercia profondément -mais intérieurement, elle n’était pas stupide-, Vesa de ne pas l’avoir fait non plus. Quoiqu’il en soit, ces révélations semblèrent choquer Monseigneur Barbas, qui n’en n’avait aucune idée...

« La Salamandre ?!
 -  Oui, Monseigneur.
 -  Tout cela est plus préoccupant que je ne le pensais. Vos investigations confirment nos doutes. Je vous présente mes excuses pour vous avoir exposé à de tels périples, je ne m’attendais pas à ce que la Salamandre soit présente.
 -  Quels sont nos ordres de mission, Sire ?
- Nous allons envoyer des renforts, mais, en attendant, vous devriez rester sur place, et assister les Nexusiens. Le Baron Rouge...
-Nous n’allons pas voir maintenir la connexion !
 -  ...Pas fiable... Salamandre... Je... »

Maud s’apprêta à frapper de sa lance la machine, histoire qu’elle n’explose pas sur Vesa, mais heureusement, la machine arriva à se contrôler, et à seulement s’éteindre. Maud ne savait pas du tout si frapper dans le tas aurait été efficace, mais vous connaissez la paladine aux cheveux mauve : elle n’était pas du genre à rester sans rien faire. Surtout quand un danger menaçait une personne qui lui était cher comme Vesa. Mais voilà, heureusement, il ne s’était rien passé. En tout cas… Rah maudite machine ! Elle avait complètement pêté la salope, et au pire moment ! Franchement, la Chasse Sauvage, elle abuse. Maud ne put quoiqu’il en soit, s’empêcher de nous offrir un petit commentaire sarcastique…

« Au moins, les pigeons ils finissent le message. »

De suite, Maud reçu un double regard noir. D’un côté de la magicienne jaune, et de l’autre, de la sergente Anne Demoor… Enfaite, seule la magicienne bleue offrit un sourire à Maud, comme si elle trouvait la petite bouderie de Maud rigolote, et au contraire, lança le regard noir à sa collègue. On sentait que là, elle n’était pas d’accord avec le côté « manquons-nous des pas doués et des gens qui comprennent moins la magie. » Quoiqu’il en soit, cette défense et cette aide, disons que Maud ne le remarqua pas, et elle se contenta d’offrir un sourire moqueur en direction de la magicienne jaune, et déclara alors, franchement… On sentait qu’elle était très amusée par ce qu’elle avait dit, et qu’elle décidait de jouer totalement à la moqueuse ! Ce qui n’était pas très sérieuse, l’une de faire ça, l’autre de continuer le jeu… Ainsi, elle déclara donc :

« Ok, ok, j’ai rien dis. »

Les deux femmes, Maud et la magicienne jaune, décidèrent alors de bouder et de s’ignorer maintenant, visiblement, restant à camper sur leur position où l’une estime que les pigeons c’est mieux, et l’autre que la magie c’est mieux. Franchement, on avait l’impression de voir deux gamines qui s’engueulent pour quelques choses qui n’a franchement aucune importance, mais passons sur ce point. Si elles voulaient avoir l’air de gamine, et bien, c’était leur problème, n’est-ce pas ? Bref, quoiqu’il en soit, heureusement, Maud ne fut pas non plus complètement entrain de bouder. Elle avait un peu de sérieux, ce qui pouvait nous rassurer, elle n’était pas tombée à deux ans d’âge mentale. Encore heureux, je tiens à préciser. Ainsi, ignorant la magicienne jaune qui ne pouvait s’empêcher de ronchonner et maudire la paladine aux cheveux mauve, elle déclara à Vesa, d’un air sérieux ?

« Que doit-on faire Vesa ? On retrouve l’autre moustachu et Trégor ? »

De son côté, Anne Demoor regardait attentivement cela, et se demandait qu’elle était la relation entre les deux femmes. C’était drôle, elle avait l’impression que d’un côté, on avait un duo « Blue Oni, Red oni », la première dans le sérieux, le calme, la réflexion, et la gestion de l’autorité, la seconde dans la passion, l’action, la vantardise et l’irrespect. Mais aussi, que le duo avait un côté « chef et seconde », comme si la passionnée du groupe était quand même assez sage pour avoir reconnue une « chef », sans qu’elle accepte de le reconnaître ouvertement. Avait-elle aussi un lien plus fusionnelle ? Bien que maigrichonne, Anne Demoor était sûre, le duo était très intéressant à voir, et à étudier. Elle avait vu de nombreuses femmes de courages et de combat, mais là, elle avait affaire à deux femmes très intéressantes… Sans doute à « surveiller », dans le sens qu’il ne fallait pas hésiter à voir ce qu’elles allaient faire.

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Ville-Etat de Nexus / Re : La Chasse Sauvage [Maud de Rehen]

« le: jeudi 21 février 2019, 21:03:02 »

Après avoir quitté le commandant de Tréguier (oui je vais longuement faire cette référence, car bon, le Trégor, c’est une super belle région), les deux paladines fut rejoins par une des femmes les plus célèbres du coin, sans aucun doute, Laure Sinclair. Même Maud la connaissait, c’était pour dire, alors qu’elle avait tendance à ne pas s’intéresser aux autres (sans doute car elle se considérait comme la meilleure ou je ne sais quoi… Non, là, je déconne, je bash inutilement, Maud était juste pas du genre à se renseigner sur autrui.) En tout cas, une véritable légende vivante, aussi bien pour ces faits que son comportement exemplaire. Après tout, ne l’appelait-on pas Gaspard Savoureux ? Non, je déconne, ne l’appelait-on pas la Gardienne de Mavik ? Pour une raciste comme Maud, son talent pour défendre Mavick des Orcs avaient été franchement une bénédiction. Mais comme depuis tout à l’heure, Maud restait plutôt muette.

Le camp n’était donc pas qu’un camp militaire. On y trouvait aussi une aile dédiée à la magie. Sans doute qu’Henri n’y était jamais passé, pensa la fameuse Maud, pour se moquer un peu de son compagnon et ami. Enfin, en y pensant, elle était sans doute tout aussi peu douée dans tout ce qu’il s’agissait de magie que lui… Enfin, elle était un petit meilleur ? Elle ne savait pas trop. La magie ne l’avait jamais intéressé, sauf si cette dernière s’approchait du Soleil, son Dieu protecteur. C’était tout. Quoiqu’il en soit, les deux femmes entrèrent alors dans la tente dédiée à tout ce qui était magique, une sorte de Foire’Fouille un peu spécialisé. Ouais, je viens de probablement faire la pire comparaison au monde et je m’en bas les steaks yo ! Lol ! Ranafout ! Mais reprenons un peu notre sérieux...

Maud et Vesa retrouvèrent de nouvelles têtes. Enfin, découvrirent. Deux magiciennes, enfin, deux femmes qui semblaient être des magiciennes, et une femme qui semblait être leur garde du corps. Maud manqua de commencer à chercher bagarre avec cette dernière, quand la sergente Anna Demoor fit un commentaire sur le fait qu’elles étaient, « pas si impressionnantes que ça. ». Ouais, tu t’es vu ? Bon, d’accord, Maud avait vraiment l’air insignifiante par rapport à cette femme, mais plus d’un point de vue physique. C’est vrai que Maud était plutôt petite, et n’était pas une montagne de muscle : Mais c’était cohérent, étant donné qu’elle jouait bien plus sur sa vitesse, et… On va pas le cacher, le fait qu’elle était invulnérable, enfin, qu’elle se croyait invulnérable.  Heureusement, Vesa contrôlait la situation, et Maud décida de se mordre l’intérieur de la joue avant de dire quoique ce soit qui pourrait poser soucis.

Quoiqu’il en soit, Vesa contrôlait toujours la situation, et semblait savoir comment marchait cette machine, là, le Megascope. Ouah, elle avait réussi à retenir le nom de l’appareil ! Franchement, elle était contente. C’était ce genre de petite victoire qu’il faut toujours célébrer n’est-ce pas ? Bref, quoiqu’il en soit, elle était donc concentrée sur cet étrange appareil, et se demandait comment cela marchait… Visiblement, Vesa savait… Bon sang, elle avait vraiment l’air d’une cruche, à ne rien savoir… Bon sang, tout cela, c’était pas du tout dans son domaine merde… C’était des technologies qu’elle avait jamais vu, ou… Enfaite, elle les avait peut-être vu, mais elle avait du l’ignorer. Bon sang, on aurait pu lui dire que cela aurait été utile un jour pour elle d’apprendre cela… Elle s’adossa contre l’une des poutres qui tenait la grande tente, et déclara :

« C’est pratique la magie, enfin, quand ça marche…
-Vous voyez autre chose peut-être paladine… ? »

Ce ne fut pas la mage bleu qui parla, mais la blonde. Celle aux vêtements vert. Cela surprit fortement Maud, qui avait l’impression d’être un peu un élément du décor depuis le début, comme dit précédemment. Elle ne s’était pas attendue à ce que sa remarque, qui était plus pour elle-même que pour quelqu’un d’autres, commence à y répondre… Surtout aussi vite, et d’un ton aussi cru, et visiblement mécontant. Oui, bon, d’accord, elle avait sous entendue à des mages que la magie ça fonctionnait pas toujours… Ok, elle comprenait qu’elle pouvait peut-être quelques peu mal le prendre… C’est vrai… mais euh… Bah… Elle avait dit ça, mais elle le pensait pas vraiment ! Faut pas prendre cela mal namého, elle est pas méchante, elle vous l’assure… Bon, quoiqu’il en soit, elle devait répondre, et c’est donc ce qu’elle fit, étant donné qu’elle commença à déclarer :

« Oh, euh, on utilise surtout des pigeons voyageurs sur mes terres et…
-Oh ! Désolée, je ne pensais pas que vous veniez de la campagne, vous, paladine ! Heureusement que votre collègue connaît un peu les appareils magiques, sinon, Haven n’aurait pas été prévenu avant longtemps ! ».

Maud changea quasiment de couleur en entendant cela… C’est vrai qu’elle avait l’air moins noble depuis qu’elle était partie en mission. Elle avait même clairement manquée de temps pour prendre soin de son corps… Mais la prendre pour une campagnard ? Fallait pas pousser mémé dans les orties avec l’eau du bain non plus ! Namého !!! Bref, elle était pas contente, et un peu honteuse…Franchement, c’était pas super sympa surtout comment elle l’avait dit ! Après, c’est vrai que le pigeon perdait de la popularité, et beaucoup de nobles abandonnaient ces immenses structures de Colombiers, pour plutôt prendre de nouveaux moyens de communications. Si ça se trouve, même son père avait prit autre chose… Peut-être, mais il y avait des façons différentes de faire cela, de le dire, non ? Franchement, ouais, il y a des façons différentes ! Namého !

Bref, quoiqu’il en soit, elle se reconcentra. C’était pas le moment de provoquer une bonne grosse dispute en pêtant les plombs. Maud depuis qu’elle avait rencontrée Vesa avait bien progressé, et savait donc mieux se tenir, et moins mettre en avant sa vantardise. Faut dire, elle estimait qu’il y avait une responsabilité à avoir, et que… Si son père se révélait être plus ou moins lié à ces histoires, sans doute qu’elle ferait mieux d’avoir profil bas avant que cela soit de vrais emmerdes, de vrais soucis. Elle devait quand même se concentrer un minimum non ? Quoiqu’il en soit, Maud était donc concentrée, et regardait Vesa. On allait voir ce que cette machine avait dans le ventre, on allait bien voir si cela allait fonctionner… Sinon, il restait toujours son Pigeon. Ouais, c’est un truc de campagnard, mais ça marche, tocarde. Ouais, elle allait pas se retenir de ne pas penser des choses désagréable, ce sont pas des télépathes !

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Les contrées du Chaos / Re : Un cadeau apprécié PV Maud de Rehen

« le: jeudi 21 février 2019, 21:02:04 »

Bon sang… Fallait qu’elle soit vidée de son lait. Ok, elle avait fait la maligne au début, mais… NON BORDEL ! Elle voulait qu’on vienne lui faire plaisir ! Et surtout… Ses deux gros seins, maintenant, la dérangeait car ceux-ci étaient lourd de lait. Surtout quand Andros vint tater la nouvelle marchandise, du lait tentait désespéramment de sortir de ses gros seins beaucoup trop plein… Il… Il fallait faire quelques choses ! Elle ne pouvait plus tenir, non mais franchement ! Là, c’était trop, elle en couinerait presque ! Elle perdait presque l’honneur qu’elle tentait de garder désespérément. Elle espérait vraiment qu’elle n’allait pas devoir supplier le fameux Andros de venir la traire… Bon dieu… La traire… Comme une vache ? Elle n’arrivait pas à croire qu’elle en venait à demander ça…

-Visiblement ton corps n'est pas d'accord avec toi. Mais ne t'en fais pas ma chérie, si tu y tiens je te mettrait une dose supplémentaire. Raksanah. Soulage un peut ta condisciple pendant que je m'occupe de son ravalement arrière.

-Avec plaisir. Et bien ma belle, c'est appétissant tout ça. Si tu veux mon avis tu es bien plus jolie comme ça, les planches à pains sont pas vraiment mon truc.

« Oh attends, je… Aaaah ! »

Euh ouais mais non, je quoi attendez ! Voilà ce qu’elle avait pensé d’un seul coup, très rapidement. En effet, Raksanah et Andros semblait presque avoir lu dans les pensées de notre chère ancienne paladine, et donc, pendant qu’Andros allait préparer la prochaine seringue, et bien… La collègue esclave de Maud décida de de ne pas aller par quatre chemin. Faut la comprendre de l’autre côté… Pourquoi serait-elle subtile ? Non seulement ce n’était pas dans les coutumes de son peuple, mais en plus, elles étaient entre collègue ! Et donc, elle commença à boire le sein de la femme nue et attachée, qui ne pouvait rien faire à part gémir comme une chienne -ou plutôt une vache- en chaleur… Et bientôt, ses fesses furent piquée à son tour, la faisant encore plus gémir, mais plus de surprise là !

-Alors Maud, t'as nouvelle poitrine te plait ? Ne t'en fais pas, bientôt tu seras aussi attirante de devant que de derrière.

Elle n’était pas capable de parler. Son corps entier était en feu. Mais pas genre elle s’est immolée, hein, je vous rassure ! C’est juste qu’entre le fait que son lait venait nourrir la femme… Son fessier était entrain de prendre ses nouvelles formes, l’irradiant littéralement de plaisir. Mais vraiment, c’était un immense plaisir qui la laissait totalement sous un bonheur beaucoup trop grand. Ouais, on peut bien le dire, beaucoup trop grand, car elle ne voulait pas de ce plaisir je vous rappelle ! Elle refusait de sombrer aussi aisément dans le plaisir comme ça. Mais voilà, ce n’était pas la peine de tenter de résister contre ton corps ! Ce dernier est bien plus puissant que tu ne le sauras jamais ! Elle ne pouvait rien faire à part gémir et prendre son pied… Et elle fut presque frustrée quand cela fut fini ! Et ouais, carrément !

-Alors ma chère, que penses tu de ton corps à présent ? Il te plait ? Je peux toujours essayer de le remettre comme avant si tu préfère.

-En tout cas son lait est divin, ce serait un gâchis de perdre tout ça.

« Oh, fermez vos gueules, et venez boire ! »

QUOI ? KEUWAAA ? Alors, faut dire, c’était sortit naturellement. Je vais donc d’abord dire l’une des raisons… Elle avait compris que maintenant, elle allait connaître une vie sexuelle épanouie, pour verser dans l’euphémisme disons. Donc… Autant qu’elle soit maîtresse de cette vie sexuelle. Que cela soit elle qui choississe, et qu’elle ne soit pas dépendante du bon vouloir de son maître. Elle avait compris qu’elle ne pouvait guère échapper à sa condition… Donc autant devenir maîtresse bien qu’esclave. Elle était sûre qu’elle pouvait le faire. N’était-elle pas la digne envoyée du Soleil ! Elle était face à deux créatures inférieurs, elle pouvait réussir à les dominer, bien qu’elle soit pour le moment forcée d’être leur esclave. Mais néanmoins… Tout cela, c’était de la théorie… Car dans la pratique, les choses sont quelques peu différentes, et cela, vous allez le voir :

« Je… Je veux dire, c’était… Enfin... »

Mais, et voilà la deuxième raison, c’était quand même sortit sans qu’elle le remarque. Et ouais ! Elle l’avait pensé, mais elle aurait voulu se retenir de le dire quand même ! Bon, pas grave, on peut se rattraper… Avec un peu de chance, elle allait se faire frapper pour manque de respect, et donc, elle retournerait dans son tout premier objectif, se faire haïr et détester. Donc, voilà… Mais néanmoins… Si au fond, elle espérait quelques peu ça… Elle avait d’autres choses qui lui trottaient derrière la tête. Le plaisir de ce qui venait de se passer, on va bien l’avouer, et bien… Cela lui faisait tourner quelques peu la tête, et donc, en toute logique… Lui faisait penser à autre chose. A autre chose consistant au fait que… Voilà, elle aimait bien ses nouveaux seins… Son nouveau cul… Oui, cela lui plaisait vraiment… A tel point que…

« jaibienaiméetfranchementplusgrosencorecamegeneraipas. »

QUOI ? -bis- Bon, déjà, c’était difficile de comprendre, étant donné qu’elle avait parlé super vite. Pourquoi cela ? Pourquoi avait-elle parlé si vite ? Et bien, tout simplement car elle espérait que… On ne remarque pas ce qu’elle avait dit, si elle avait parlé suffisamment vite. Comme ça, si les deux remarquaient, et bien, elle pourrait avoir encore plus de plaisir… Mais s’ils ne remarquaient pas, son honneur serait sauf. Donc, elle y gagnait, différemment, mais elle y gagnait dans les deux cas. Juste qu’elle devrait assumer dans les 2 cas : si elle n’avait pas ce qu’elle voulait, et bien, tant pis, elle aurait moins de plaisir… Et dans le deuxième cas… Oh bon sang, elle le regrettait déjà : elle allait devoir tenir avec la honte d’avoir cédé aussi vite. Elle devait être ridicule… Vraiment. Maintenant, on allait bien voir ce qu’allait dire le prince. Mais en tout cas, sans doute qu’il allait bien s’amuser…

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Ville-Etat de Nexus / Re : La Chasse Sauvage [Maud de Rehen]

« le: jeudi 14 février 2019, 22:08:03 »

Pas de repos pour les guerrières ! Elles n’eurent le temps de rester dans la tente très longtemps. Finalement, Maud fut levée, et accompagna Vesa qui ne sembla pas avoir de réaction particulière à ce qu’avait dit la paladine aux cheveux mauves. Il faut dire, il y avait quand même bien plus important pour le moment, on le devinait sans façon. Bref, donc, le repos ce n’est pas maintenant, et les deux femmes allèrent donc dans une tente bien plus importantes que toutes les autres tentes, une tente pour les gouverner tous, mais heureusement, elle n’était pas là pour dans les ténèbres les lier ! Car bon, on parle quand même de paladins, pas de méchants du Seigneur des Anneaux ! N’est-ce pas ? Ouais, vous avez bien deviné.

Une fois dans la tente, toute la fine fleur du camp était présente. On retrouva Guy de Mâlebranche, toujours là avec son épaisse moustache et barbe, mais il n’était pas ici celui en charge. Il n’était qu’un des hommes parmi tant d’autres, milieu d’ailleurs exclusivement masculin. Le commandant était un homme que Maud ne connaissait pas, un certain Trégor Mahan. Son âge semblait montrer qu’il avait une certaine expérience, et que c’était sans doute pas quelqu’un à prendre à la légère, en mode, « oh, ce n’est rien, c’est que lui ». Non, on sentait l’âge et l’expérience dans son corps et son esprit. Sans aucun doute qu’il avait autant de talent et d’expérience militaire que tout les autres soldats réunis ici. Et réunis dans les deux sens du terme. Bref, quoiqu’il en soit, ce fut lui qui prit la parole alors.

Après avoir apprécié la présence des deux paladines, le fameux commandant laissa les deux femmes expliquer un peu la situation. Ce que fit immédiatement Maud et Vesa. Devant des personnes aussi importante, la fameuse Maud n’en menait pas large. Eh beh ? Elle était où la Maud qui d’habitude faisait sa chaude, et qui faisait sa super forte ? Et ouais, quand il s’agit de le faire devant des créatures non-humaines ou du peuple, ça va, mais quand c’est des commandants, il y a plus personnes ! Ahlala… Bref, après cette discussion amorcée sur cela, ce futde nouveau Trégor Mahan qui reprit la parole, et solide comme un roc, commença à expliquer la situation, bien planté dans le sol, tel la cathédrale de Tréguier. (c’est rigolo, car Trégor, enfaite, c’est aussi le nom de la région de Tréguier… LOL)

Après avoir résumé un peu la situation géopolitique, le fameux chef de l’armée expliqua que le Professeur s’était associé avec un… Un… Un mage c’est ça ? Maud avait pas très bien compris, mais visiblement, c’était un mage renégat, du nom de Azar Javed. Ok… Elle allait jamais réussir à retenir les noms de tout le monde. Bon, visiblement, ce mage était un renégat, et c’était lui qui avait envie des corps pour les étudier, et faire je ne sais quoi avec. Maud ne savait pas, mais doutait fort peu que ce qui allait être fait avec ces corps soient de bonnes choses. Au contraire, sans doute qu’il fallait s’attendre au pire avec l’usage de ces corps… Bref, la situation était devenue sans doute trop… Complexe pour tout le monde : il fallait faire quelques choses. Et ce fut Vesa alors qui déclara :

« Notre mission consistait à ouvrir la voie, et à informer le chapitre de l’étendue de la menace ici. Au vu des éléments en notre possession, nous allons contacter notre ordre pour que des renforts viennent. Vous disposez d’un mégascope ? »

« Novigrad est également en état de tension. Velen est son principal importateur de ressources premières, et, avec les monstres qui pullulent, la ville approche d’une situation de disette. Bref, la situation est sous tension, alors, si vous pouvez appeler des renforts, ce ne sera clairement pas de trop. »

Ouais, la situation était sous tension, et tout pourrait facilement exploser en révolte, qui arrangerait personnes. Maud savait que la tension, la peur, la famine… Tout cela pouvait aisément amener des situations de guerre civile. Dire qu’elle n’était en effet venue que pour ouvrir la voie, et obtenir des informations ! Et elles étaient maintenant toutes deux mêlé à une histoire qui semblait bien plus grande qu’elle deux… Mais dont les deux semblaient intrasèquement lié. Bref, vous voyez un peu le style. Bref, quoiqu’il en soit, Maud aurait bien aimé que cela ne fasse pas trop de remous, et qu’elles puissent gérer cela toutes seules, mais là, il fallait avouer qu’elles étaient dépassés. Elles auraient besoin de renfort, sans aucun doute.

Ainsi, comme toujours lors des moments importants, Maud restait plutôt muette. Cependant, les différents soldats présents, un certain nombre repéra la « fille des Rehen », se demandant si c’était le Rehen lui-même qui avait envoyé sa fille. Beaucoup ne savaient pas que la fille des Rehen était une paladine, faut dire, le fameux Guillaume III de Rehen parlait très peu de sa fille. Bref, quoiqu’il en soit, Maud restait muette, et laissait Vesa le soin de conduire les négociations. Sans doute qu’elle pourrait parler si on l’appelait à parler, et évidemment, à se vanter légèrement, elle restait notre chère Maud de Rehen. Mais là, elle étant quand même… Un peu intimidée par le fameux Trégor, sans aucun doute… La jeune femme restait alors bien derrière Vesa, tenant sa fidèle lance, qui était un peu comme un doudou dans cette situation.

Maintenant, tout restait à faire : Il fallait profiter du Megascope. Le commandant Trégor Mahan avait confirmé la présence de cet outil en son sein, mais voilà, il fallait encore qu’elle marche ! Tant pis, sinon, Maud enverrait un pigeon voyageur, elle avait toujours utilisé cela, et cela marchait très bien… Evidemment, si le Megascope ne fonctionnait pas, étant donné que bah… Un mégascope, c’était quand même bien mieux ! Mais si la Chasse Sauvage rendait cet outil inutilisable, alors, cela ne servait à rien de compter là dessus. Bref, quoiqu’il en soit, la fameuse Maud de Rehen suivit donc Vesa… Sans aucun doute, celle-ci se dirigeait pour aller tenter le Megascope ! Oh, qui sait, peut-être que son professeur, Monseigneur Guy de Brosse, serait à l’appareil, qui sait !

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Les contrées du Chaos / Re : Un cadeau apprécié PV Maud de Rehen

« le: jeudi 14 février 2019, 22:04:00 »

Alors, là, Maud était sur le cul. Et pour plein de raisons, on va les faire dans l’ordre. Déjà, encore une fois sa tentative de se faire haïr fut un complet échec. Au contraire, elle se trouva dans une scène horriblement… Normal. Elle et sa collègue esclave qui… Qui se moquaient d’Andros, pourtant le prince ! Et voilà qu’une non-humaine lui caressait les cheveux, et disait qu’elle l’aimait bien… MAIS NON ! Non, elle ne voulait pas se faire aimer ! Pourtant, elle reconnaissait que dans un sens, et bien… C’était quand même au fond presque plus agréable l’idée que… Qu’on l’apprécie plutôt qu’on la déteste ! Mais bordel, non ! Elle se rendait presque compte que finalement, elle était effectivement aussi docile qu’Andros l’avait dit. Ah bah oui, t’as pas voulu écouter, et pourtant, c’est la vérité ma cocotte ! Faut l’accepter parfois !

Deuxième point : Le fait qu’on niait pas le fait qu’elle était l’envoyée du Soleil. Lors de ces combats contre des créatures inférieurs -c’est à dire à peu près tout-, on s’était moqué d’elle, et du fait qu’elle se déclarait comme envoyée du Soleil. Et ouais, la plupart du temps, franchement, on ne la croyait pas quand elle le disait… Bon, cela finissait souvent donc à coup de lance dans le cul. Et vous savez le pire ? Et bien, la plupart du temps, c’étaient des humains qui lui disaient cela ! Ce qui fait que là… L’une des premières personnes à la reconnaître comme l’envoyée du Soleil… Et bien, c’était ce satyre ? Mais bon sang, plus rien n’avait de sens, c’était pas possible de chez pas possible ! Elle n’arrivait pas à le croire là ! Cela… Cela n’avait aucun sens !

Enfin, last but not least, comme disent nos amis anglo-saxons… Et bien, elle était maintenant en promenade… Et voilà qu’encore une fois, elle fut surprise plus d’une fois à presque s’arrêter -avant qu’un coup sur la laisse lui rappelle qu’elle devait marcher-, pour pouvoir regarder un peu autour d’elle… Et admirer ! Car ouais, il y avait là une différence entre chez elle et chez Andros… Chez elle, très peu d’oeuvre d’art : son père n’avait jamais été un grand amateur d’art. Mais là… Ouah, elle avait vraiment l’impression de voir des chefs d’oeuvres un peu partout ! Et de style très différents ! De la production de satyre, mais aussi humaine, elfique, comme si Andros était vraiment un grand mécène, n’hésitant pas à fermer les yeux sur les artistes, pour le beau ! Pour… Pour un peuple barbare ? C’est… C’est impossible !

-Ne bouge pas. Je ne voudrais pas te faire mal.

« Grrrmble... »

Mais trève de blabla ! Notre Maud était maintenant bien solidement attachée, et elle avait donc légèrement grogner en se faisant attacher par Raksana… Qui semblait avoir plutôt trouver mignon et rigolo qu’elle réagisse ainsi. Bref, nue et attachée, elle s’offrait encore une fois complètement aux personnes ici présentes… Et c’est ainsi qu’on lui injecta donc un produit, la moitié d’une seringue pour un sein, l’autre moitié pour l’autre sein. Logique. Quelques secondes, et ses espoirs se refermèrent. Certes, le trou provoqué par l’aiguille disparu quasi instantanément… Mais… Malheureusement son pouvoir, comme dit précédemment, ne la protégeait pas du tout. Enfaite, c’était même le contraire. Le produit s’imprégna d’autant plus en elle, que rien n’eut le droit de sortir de Maud… Rien, tout fut assimilé, et ainsi...

- Alors qu'en dis tu ? L'effet est assez rapide maintenant maisune fois traite le procédé sera plus lent. Tu devras tout de même être traité une fois par semaine. Pas trop chaud ?

« Aaah… C’est… Par le soleil… Chaud... »

Maud avait toujours été assez… Plate. Bon, d’accord, c’est pas une planche à pain non plus. Mais voilà… Et là, ces seins décidèrent que « ouais, allez, c’est partit ! » Sans atteindre la taille de ceux de Cassandre non plus, restons raisonnable, ils devinrent bien plus gros quand même ! La taille de bonnet avait bien augmentée, ils étaient plus ronds, bien plus beau, et les tétons étaient tout beau ! Franchement, cela la changeait complètement, et son centre d’équilibre était bien plus penchée vers l’avant qu’avant. Ses cheveux mauves tombaient même quelques peu sur ses seins… Et visiblement, cela lui faisait de l’effet ! Comme elle disait, c’était chaud, aussi bien au sens figuré, qu’au sens propre ! Elle avait chaud. Mais comme toujours, son orgueil mal placé était toujours présent, bel et bien présent, et donc… Elle déclara alors, tentant de conserver son allure fière, alors que son centre d’équilibre avait bien changée !

« Tss… Tu crois que je cèderai… ? Tu m’as mise une dose de tapette… »

Euh, t’es sûre meuf ? Non, car là, à faire ta fière, tu joues un jeu TRES dangereux. Enfaite, si elle avait dit ça, c’est qu’elle pensait deux choses. Soit c’était impossible de lui donner plus de cette dose, cela serait trop dangereux… Soit il n’avait pas plus de cette potion, donc, elle ne risquait rien. Ouais, je devine ce que vous pensez… Elle joue véritablement un petit jeu extrêmement dangereux, je dis ça, car bon… Rien n’assurait que l’une ou l’autre de ces théories soit juste. Si ça se trouve, elle allait se faire repiquer les seins, et là, elle ferait VRAIMENT moins la fière, après avoir pourtant comme dit précédemment, gagner une petite victoire symbolique… D’ailleurs, elle faisait sa fière, mais… Bah, voilà, vous devinez bien que cela était totalement détruit, encore une fois, par ce que son corps, lui, faisait, décidément très désobéissant… Et vous pouvez le voir, étant donné que...

« Mmh… Nnnh... »

Ses seins, ça y est, avaient atteint leur taille « maximum » suite à cette première injection. Il avait l’air de beau melon, déjà… Et on voyait un peu de… Quoi donc ? Quoi donc ? Et bien, vous devinez sans soucis… C’était des goutelettes de lait qui apparaissait déjà sur ses tétons, tentant de désespèremment se frayer un chemin vers la liberté ! Et ouais, elle commençait déjà à devoir avoir besoin d’être traite, comme la vache qu’elle était devenue ! Elle tentait de faire genre qu’elle n’avait rien… Bon sang de bonsoir. Mais elle faisait sa fière, elle faisait genre qu’elle n’en n’avait pas assez eu. Une chose était sûre… Elle avait peut-être dis des choses qu’elle allait vite regretter, cela… C’est moi qui vous le dit ! Mais vous savez ce qu’on dit… Wait’n see !

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Ville-Etat de Nexus / Re : La Chasse Sauvage [Maud de Rehen]

« le: mercredi 06 février 2019, 14:18:17 »

Dès qu’il put, Henri s’éclipsa. Il profita du fait que d’un côté, Maud revenait, et de l’autre, et bien, Vesa était partis discuter avec quelqu’un d’autre, c’est à dire, Guy de Mâlebranche. Visiblement, la discussion l’avait rendus très mal à l’aise, cela ne faisait aucun doute. C’était surprenant de voir un Ranger, archer à cheval, d’ailleurs, en proie à tellement de tic, tel son reflexe de cacher sa main, le fait qu’il avait la voix tremblotante… Bref, c’était fortement surprenant. Surtout pour quelqu’un dans sa vie, c’est littéralement devoir être parfaitement calme, étant donné que bah euh… Il tire des flèches ! Et à cheval bon dieu ! C’est pas super facile, je vous le rappelle… C’est genre même hyper dur, si vous voulez savoir. Mais passons sur ce point. Bref, de toute façon, reconcentrons-nous sur Maud et… Eol vu qu’il était de retour !

Maud était ainsi de retour, et avec Eol, mais aussi les deux chevaux, qui selon Eol, avaient été extrêmement calme. Tant mieux ! Maud et Eol parlèrent ensemble durant tout le trajet, Eol posant questions sur questions. Le jeune homme, depuis sa cachette, avait pu voir la charge héroïque des soldats sur le village, et donc, avait énormément de questions sur ses dits soldats. Tant mieux pensa Maud ! Cela montrait qu’il ne serait pas trop choqué par le fait qu’il allait se retrouver avec eux, et donc, allait abandonner pour le moment, les deux femmes. Une fois arrivé sur les lieux précédents, Maud n’eut pas le temps de vraiment souffler. Les soldats se préparaient déjà à retourner dans leur campement, et Vesa avait tout organisé à propos d’Eol, avec le chef des soldats. Tant mieux ! Qu’est-ce que Vesa était efficace.

Durant tout le voyage, Eol posa de nombreuses questions à Maud. Mais pas d’inquiétude, étant donné que la fameuse Maud se faisait un plaisir de discuter avec lui, en lui expliquant tout. On avait du mal à croire qu’il y a encore une ou deux heures, il ne voulait plus parler à Maud. Comme souvent avec Maud, on avait l’impression que tout cela n’avait jamais existé, que c’était le fruit de l’imagination des gens présents… L’avancée ne fut ainsi pour Maud pas très long, au contraire, elle eut l’impression qu’ils étaient à peine partis, quand ils arrivèrent sur le lieu de campement. Celui-ci, situé dans une plaine -cela étonna Maud-, était déjà en position défensive, les hommes tenant à améliorer la poliorcétique du lieu…

« Mesdames vous êtes des invités d’honneurs ! Vous pouvez rester autant de temps qu’il vous faudra, avant de repartir pour votre quête ! Vous avez le droit à cette tente, et nul ne dois vous déranger ! »

Le camp était d’un sérieux et d’une organisation appréciable. On sentait que cela ne rigolait pas du tout du côté des soldats de Nexus, qui étaient capable de montrer une rigueur fort appréciable dans l’art non seulement de la Poliorcétique que de l’organisation interne et externe ! Le camp était aussi propre, et bien rangé, montrant aux yeux de Maud un certain manque de fantasy, mais quand même… Maud invita Vesa à entrer dans la tente, pendant qu’elle s’occuperait de tout, c’est à dire des chevaux et d’Eol. Vous vous souvenez il y a longtemps, quand Maud avait dit qu’elle serait la plus adorable des « maid » pour Vesa, quand celle-ci avait été blessé par le Dragon ? Et bien, elle montrait qu’en effet, pour toutes ses taches subalternes, et bien, Maud comptait bien s’en occuper ! Et elle n’acceptait pas les discussions, étant donné qu’elle fonça alors le faire, sans laisser à Vesa le temps d’en parler.

Eol partit alors avec le cuisinier du camp, qui promit de bien s’occuper de lui. De toute façon, quand il croisa le regard de Maud, il devina que si le jeune homme allait pouvoir travailler à la dur pour eux, et bien, hors de question de le traiter comme un vulgaire esclave, car sinon, ça serait une lance qu’il recevrait directement dans le cul. Maud ainsi, était sûre que tout allait bien se passer… Et elle fit un bisou sur le front d’Eol, lui ebouriffa les cheveux, et lui promis qu’elles iraient le revoir avant de partir… Hors de question de laisser cette fripouille partir. Eol sembla sur le point de lui dire quelques choses, mais se ravisa, et fit seulement un signe de main. Le jeune garçon avait voulu parler à propos de ce qu’il avait entendu … Mais il préféra laisser cela en secret… Pour le moment…

« Pfiou, je suis fourbue ! »

Maud venait d’entrer dans la tente, où Vesa se trouvait… Et fit quelques pas… Avant de s’effondrer sur l’un des lits. Entre les confessions du matin, puis, les discussions, puis la chevauchée, les découvertes macabres, le combat, de nouveau de la chevauchée… Bon sang, cela faisait beaucoup, et cela ne faisait aucun doute que les deux femmes devaient être fatigués ! Surtout qu’elles avaient dormis dans un contexte peu reposant, et qu’en plus, elles avaient… Pas mal… Fait autre chose que dormir ! Et ouais, les vilaines ! Bref, en tout cas, on pouvait pas dire qu’elles avaient menés une journée inutile ! Elles avaient réussis à trouver un endroit pour Eol, et surtout… Et bien, elles avaient avancés dans leur mission, ce qui était quand même le plus important, et Maud récapitula cela justement…

« Mais il n’y a pas de doute, on avance. La Chasse Sauvage se rapproche de nous, ou plutôt l’inverse, et l’enquête va vraiment pouvoir commencer. »

Et encore, elle n’avait pas tout dit ! Les découvertes des deux femmes ne s’étaient pas seulement contenté de cela… Elles avaient aussi appris sur le professeur et ses volontés… Les corps. Les corps des victimes de la Chasse Sauvage. Pourquoi cela… Maud se posait beaucoup de question. Elle savait que dans le duo avec Vesa, elle était souvent les muscles, tandis que Vesa était plutôt le cerveau… mais quand même, cela posait énormément de question… Pourquoi donc des corps ? Qu’est-ce que cela apportait… Rah bon sang ! Elle était certes l’élue du Soleil et tout ça, mais elle n’arrivait pas à comprendre des choses aussi simple ! C’était frustrant ! Il y avait sans doute une raison, mais pourquoi ? Heureusement pour son cerveau, son attention fut pris par… Quelques choses d’autres !

« Ouah, on a même des vrais lits ! Portatif, certes, mais de vrais lits ! »

Elle venait de remarquer ! Bon, elle tenta de le cacher, mais elle regrettait un peu le fait qu’il y avait ici deux petits lits portatifs, et non un seul lit pour elles deux. Elle tentait de le cacher, car bon, c’est quand même pas terrible de faire genre qu’elle a déjà envie de préparer le fait que ce soir… Enfin… Elle seraient tranquille comme l’a dit Mâlebranche donc… Bref, elle devait rester sérieuse. Surtout que depuis le début, elle passait quand même souvent pour la « gamine », ou plutôt la « pas sérieuse » dans le duo ! Heureusement qu’elle était une excellente combattante, ça faisait qu’on la prenait un peu au sérieux quand même… Surtout qu’il y avait des choses sérieuses à discuter… Entre tout ce qui se passait, la Quête était loin d’être terminée, et elles avaient encore énormément à faire, cela ne faisait aucun doute…

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Les contrées du Chaos / Re : Un cadeau apprécié PV Maud de Rehen

« le: jeudi 24 janvier 2019, 21:24:16 »

-Hm ? Comment quoi ? Comment ce fait-il que tu sois entrain de prendre ton pied ? Que tu sois entrain de gémir comme une petite catin ? Que tu sois sois sur le point d'être terrassée par la petite mort ? C'est bien ta question ? 

Elle ne répondit pas. Elle ne répondit pas, car Andros avait touché exactement le bon point. Mais quand je dis exactement le bon point… C’était pile le bon point. Comme quoi, Andros était bon pour trouver les points ! Là, il en avait trouvé un, mais je vous rappelle qu’avant, et bien… Il avait trouvé le point G ! Eheh ! Petite blague ! Je suis tellement drôle. Rigolez. RIGOLEZ JE VOUS DIS ! Euh, d’accord, je me calme. Bref, quoiqu’il en soit, ouais, elle était sur le point d’être terrassée, sans pouvoir emmettre la moindre objection, gémissant comme une petite chienne en chaleur… Bref, une situation bien dégradante pour la fameuse paladine, qui ne pouvait rien faire, à part se laisser prendre comme la petite chienne qu’elle était… Bon sang de bonsoir… Et encore une fois, Andros était là pour remuer le couteau dans la plaie.

-C'est bien simple Maud. Tu es une soumise de cœur et de corps. Tu peux tenter de le cacher ou même de le dénier mais ton corps lui, connait la vérité. Ne t'en veux pas Maud, c'est une tendance naturelle chez beaucoup de femmes. Je l'ai constaté maintes et maintes fois, même vos guerrières ou vos femmes les plus déterminées, beaucoup finissent par se soumettre face à un mâle fort.

Oui. Andros avait totalement raison. Comme sa mère, enfaite… Maud était complètement une soumise. Elle faisait genre qu’elle était forte, et solide… Mais en vrai, elle était une grosse soumise qui ne rêvait que d’être utilisée et prise par un homme fort. Elle avait déjà rêvée d’être réduite à l’état de simple « cocksleeve », et s’était réveillée en sueur et excitée comme une puce… Bon sang, elle était une soumise, mais elle ne voulait pas l’être… Ou le voulait-elle vraiment pas ? Elle ne savait pas vraiment. Bref, quoiqu’il en soit, la jeune femme savait qu’elle devait absolument se faire haïr par ce satyre, sinon, effectivement, elle finirait par céder et se soumettre. Heureusement, pas de soucis, elle allait finir par y arriver. Elle savait qu’elle était capable… Enfin… Il fallait qu’elle cède pas avant !

-Ou alors c'est peut être juste que je suis naturellement doué et toi particulièrement soumise.Alors ma chère ne lutte pas contre t'es désirs. Et jouis !

« Haaaaaa ! »

Et voilà ! Elle arriva à jouir, donc, dans une jouissance bien plus fort que la précédente, une vraie jouissance de chienne… Ouais, c’était impressionnant ce qu’elle avait vite cédé sur ce point. Oh, mais pas d’inquiétude, elle allait avoir le droit à sa vengeance… Mais pour le moment, elle continuait de se faire utiliser, comme si de rien n’était, elle se faisait embrasser, et elle ne pouvait guère tenter de résister véritablement… Elle se faisait utiliser, elle le savait, et si vous vous demandez si elle aime ça… NOPE ! Elle n’aimait pas du tout ça… Pour le moment. Surtout qu’on allait bien le dire, elle avait passé un très bon moment, malgré tout ce qu’elle pourrait essayer de dire ou faire croire. La vérité était là, et elle ne pouvait guère tenter de faire croire que tout cela n’était que mensonge…

-C'était très bien Maud. Tu es magnifique quand tu jouis.

De nouveau, ses joues prirent une teinte rosée quand il déclara cela… Magnifique quand elle jouissait ? On voyait bien que c’était une maudite créature non-humaine ! Franchement, qui allait dire ça à une femme ! Franchement ! Si on l’écoutait, ça serait elle qui devrait éduquer ce fameux prince de Raghose… Enfin non ! Elle ne devait pas penser à cela ! Premièrement, car elle risquait de s’enfoncer encore un peu plus dans le principe de la soumission… Mais deuxièmement, et le plus important de loin… Avec ce genre de commentaire, de pensée… Elle risquait de faire le « pire » pour elle… Commencer à l’apprécier ! Non non non ! C’était une maudite créature non-humaine, qu’elle devait mépriser. Quoiqu’il en soit, elle n’avait même pas remarquer dans un premier temps, qu’il y avait une spectatrice à tout cela. De suite, de nouveau, elle cacha rapidement son corps… Et écouta alors les déclarations de son maître.

-Merci Raksana. Bien, assez joué pour le moment. Maud, nous allons te... magnifier quelque peut. Avant cela voici Raksana ma chef des gardes, après moi c'est la personne la plus haut placée dans cette maison et tu dois lui obéir en toutes circonstances, sauf si je te donne un ordre contraire. Compris ?

« Bien. »

Quoi ? Elle acceptait aussi aisément de se retrouver derrière une Orc ? C’est impensable ! Mais voilà, c’était un fait. Maud rongeait son frein, et devait accepter pour le moment cette situation, tout simplement car elle n’avait pas le choix. Oh, elle pourrait tenter de se rebeller, d’insulter l’orc… Mais celle-ci était visiblement une esclave, comme elle. La preuve ? Elle portait un collier similaire, visiblement pour montrer leur soumission. Se retrouver avec un collier… Cela l’énervait légèrement, elle commençait même à le manier légèrement, mais impossible de le retirer. Elle devinait que c’était sans doute donc un truc important aux yeux du prince… Bref, elle déclara, alors, se tournant vers sa « collègue » esclave.

« Faites gaffe, Raksana, il empeste le bouc quand il jouit. C’est terrible, collègue. »

Allez, vas-y. Frappe moi. Ou ordonne à Raksana de me frapper, et confirme que c’est une espèce inférieur. Voilà ce que pensait Maud. Elle avait perdu la première bataille, en se faisant totalement dominée, et elle n’avait rien pu faire. Là, elle avouait, elle avait pas fait la maligne. Mais… Mais il y avait une chose qu’elle pouvait faire, se rendre haïssable… ça… ça elle savait bien le faire visiblement, vu que son père… Non, elle ne devait pas y penser. Elle ne savait pas du tout en tout cas, ce qu’allait en penser Raksana ? Solidarité féminine, entre esclave, ou bien soutien à son maître ? Les deux premiers cas ne l’arrangeraient pas trop dans son objectif… Bref, sans laisser le temps, tentant d’être encore plus impertinente, elle déclara :

« Bien. Je suis prête. Tu veux magnifier ce qui est déjà élu du Soleil ? Bonne chance ! Tu as vu, mon corps est divin, et rien ne pourra l’améliorer ! »

Que tu crois ! Elle avait une bouffée d’orgueil, étant donné qu’elle savait maintenant que son hymen même était capable de se reformer, s’il commençait à tenter de la « magnifier », comme il disait, cela serait impossible. Le Soleil savait déjà qu’elle était parfait ! Que nenni demoiselle, ton corps peut encore être modifié à la guise de ton maître. Il peut te donner des énormes seins plein de lait, un fessier rebondis, une chevelure d’un blond éclatant, une peau de bimbo, tout cela était parfaitement possible ! Tout ce qu’il ne pouvait faire, c’était te blesser. Et encore, par exemple… Avec un peu d’obsidienne, tu pourrais te trouver avec une jolie marque sur les fesses, disant ta propriété, et une jolie marque sur tes seins pour montrer la qualité de ton lait… Alors fait gaffe, ma jolie ! Fait bien gaffe !

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Les contrées du Chaos / Re : Un cadeau apprécié PV Maud de Rehen

« le: jeudi 24 janvier 2019, 10:32:09 »

Quel honte. Pour être franc, elle n’arrivait même pas à croire qu’elle avait pu tomber si bas. Vous imaginez ? Pour quelqu’un comme Maud ? Jouir à cause d’un satyre ? C’était inacceptable, une honte… Et là, on voyait que son racisme était un soucis à régler chez elle : elle avait vraiment honte. Elle avait été éduquée dans la haine de tout ce qui était pas humain, et donc, à ses yeux, ce qu’elle avait fait, c’était pire que tout. Mais pas d’inquiétude ! Après un moment au sein de la cours de notre cher Andros, sans aucun doute que sa résistance et son racisme, il n’en resterait que de la compote… Oui désolé, ça fait plusieurs réponses que je me retiens, mais j’devais la faire au moins une fois… Au moins, une fois. Je la ferais plus, promis, me punissez pas, je suis pure et innocente d’abord.

« Et bien, mademoiselle la civilisée, on dirait que le caprin vous a fait jouir comme jamais… Si vous hurlez de plaisir face à un animal sauvage, où est-ce que ça vous place ? »

Et il enfonçait le couteau dans sa plaie, le connard. En effet, la question était vraiment juste là pour la troller. Elle décida alors de ne rien répondre, préférant rester dans un mutisme… Qui dans un sens, bah ce mutisme, il voulait tout dire. Il montrait bien qu’elle était honteuse. D’ailleurs, quand les mots ne disent rien, il y a toujours… Le corps ! Et ouais, car notre Maud était rouge comme une tomate. Mais genre rouge de chez rouge. Et visiblement, ce côté « boudeuse », cette rougeur, son corps, ses réactions… Tout cela semblait plaire beaucoup au nouveau maître de Maud, qui était visiblement dans une joie non cachée, étant donné qu’il déclara, après avoir récupérée son esclave :

« Tu es adorable »

« Comme si j’l’étai… Grrmvbl. »

Cela avait été rapide. Quoi donc ? Et bien, là, Maud ressemblait plus à une femme réticente, qui faisait exprès d’insulter son amour pour montrer son caractère belliqueux, qu’à une vraie haine qu’elle tentait de faire. Une tsundere quoi. Alors, pourquoi cela ? Oh, euh. Oui, avant, si elle n’a pas pu finir sa phrase, c’est tout simplement par le long baiser réalisé par Andros, mais vous avez parfaitement saisi l’idée. Donc, je vais revenir sur ce que je disais. Enfaite, Maud trouvait qu’Andros avait un certain honneur, ce qui était tout à son hon… Qui était franchement bien. Cela montrait que le satyre avait quelques qualités. Alors, cependant, il restait un être à mater, dans sa vision des choses, étant donné que cela restait un satyre : donc un être non-humain. Mais voilà, c’était certes un être non-humain, mais il avait un peu de mérite. Un tout petit peu. Quoiqu’il en soit...

« J’espère que tu es prêtes pour un deuxième tour. »

« Attends, je... »

Et encore une phrase qu’elle ne pourra pas finir ! C’est fou quand même, Maud avait rarement le temps de finir ses phrases ! Là, en effet dans une nouvelle position, ou encore une fois, elle n’avait que peu de place pour être vraiment dominante, elle se retrouvait à se faire pénétrer par l’imposant satyre, qui contrairement à Maud, semblait bien plus résistant et bien plus efficace… C’est sûr qu’en comparaison…Maud semblait vraiment pas terrible dans les jeux du sexe. Oh, mais pas d’inquiétude… Elle allait pouvoir être bien dressée, bien qu’elle était fortement réticente, et qu’il allait sans doute falloir être patient, si on voulait avoir des bons résultats avec elle. Mais entre son don et son corps bientôt amélioré… Et bien, on pouvait dire que le jeu en valait la chandelle comme on dit dans le coin ! D’ailleurs en parlant de son don... :

« Incroyable, ton hymen s’est déjà recomposé… Ta capacité de guérison est impressionnante, je dois l’avouer... »

« Si tu t’attends… mmh… à un merci… Tu t’enfonces mmmmh… Tu t’enfonces la bite dans l’oeil ! »

Et ouais, faut illustrer un peu mieux l’expression, et l’adapter à la situation donné… C’est à dire le SEXE. Surtout que franchement, cela recommençait dans une vitesse grand V. Mais attention, même si la phrase avait été assez… haché, disons, et bien… Elle avait réussi à la boucler ! Youhou ! Champagne ! C’était la plus forte, la plus tenace, la plus… Hum. Reprenons un peu notre séreux, vous le voulez bien ? Bref, ainsi, ouais… Andros avait pu de nouveau enfoncer non pas son œil, mais le vagin de la fameuse Maud… Et briser une nouvelle fois son hymen ! Comme quoi, sa regénération était vraiment exceptionnelle, il y avait que ça à dire… Mais vous savez ce qu’il y a d’autres, en exceptionnelle ? Les capacités au lit du prince !

« Han, par le Soleil… Han mon dieu… Mmmmh »

Le deuxième tour fut bien pire que le premier… Pourquoi cela ? Et bien, tout simplement car maintenant, la brutalité et la douleur laissaient tout deux presque entièrement leur place au plaisir. Alors, rappelez-vous, elle avait déjà eu du mal quand il était violent, et peu souciant du plaisir de sa partenaire… Là, maintenant, voilà que non seulement il la pénétrait avec tout son talent qu’on avait bien compris maintenant… Mais qu’en plus, il n’hésitait pas à l’embrasser, et jouer avec d’autres zones érogènes de son corps, que cela soit ses seins ou son clitoris… Bref, elle était dans une totale soumission et un extase plus qu’important, qu’elle craignait énormément, étant donné que cela risquait de la faire encore… Encore… Oh, mais quand on parle du loup, n’est-ce pas qu’on en voit le bout de la queue ?

« Par le soleil, c’est bon… Connard, comment… Mmmh… han... »

Oh non non ! Elle n’allait pas avoir un deuxième orgasme… ? Pas déjà, pas aussi vite ? Pas croyable, sans aucun doute, Andros devait se dire qu’il avait une pucelle entre les pattes. Et comme dit précédemment, c’était faux… Mais pas totalement faux en même temps, étant donné qu’elle était loin d’être une experte, et là, semblait au contraire plutôt une totale débutante. Mais que voulez vous… C’était aussi lié au fait que voilà… Andros était trop fort. Mais vraiment, il était extrêmement doué, et elle n’avait rien à faire à part profiter de cela… Sauf que je vous rappelle, si son corps disait l’exacte inverse… Et bien, elle, elle ne voulait pas en profiter ! Elle voulait pas, c’était contre son point de vue… Sauf qu’impossible de résister aux si talentueux prince, qui savait manier sa bite comme il manie la politique… Putain c’est beau ce que je dis.

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Les contrées du Chaos / Re : Un cadeau apprécié PV Maud de Rehen

« le: mercredi 23 janvier 2019, 21:27:23 »

Bon sang de bonsoir… Enfaite, je vais vous faire une révélation… Maud n’était pas vierge ! Et ouais, elle était vraiment plus du tout vierge ! Enfaite, pas plus du tout. Elle avait eu un amour de jeunesse, quand elle était un peu plus jeune, mais c’était tout. Et le tout avait été assez maladroit, étant donné que cela n’avait pas été que la première fois de Maud, mais aussi la première fois d’Henri, donc, le fameux qui avait eu le droit à la première fleur de Maud… Mais voilà, Maud avait plusieurs fleurs dans son bouquet, visiblement… Et ouais, car voilà qu’Andros en cueuillait une nouvelle ! C’était quand même très fort ! Alors, patientez juste un peu, vous aurez la réponse un tout petit peu plus tard… Donc, vous attendez, vous le voulez bien ? Merci beaucoup les amis ! Restez à l’écoute...

-Désolé, si j'avais su que tu étais vierge j'aurais été plus doux pour ta premiére fois.

Comme si elle le croyait de toute façon… C’était une bête sauvage. La copulation, pour lui, ne relevait sans doute que et uniquement que de la procréation. Comment pouvait-il savoir quoique ce soit de tout ce qui était l’amour ? C’était sans doute quelques choses d’incompréhensible. D’ailleurs, elle avait totalement tord, étant donné qu’il était vrai que les satyres avaient toujours été dans la mythologie grecque des créatures de pur luxure, et n’avait quasi aucune descendance, surtout dans les textes « classiques ». (nous en retrouvons dans la littérature un peu plus tardive.) Mais on s’en fout, car Andros était chef d’une certaine race de satyre, qui ne reflétait pas forcément celle de la mythologie ! D’ailleurs, il montra son érudition et sa capacité de reflexion, en déclarant :

-Dit moi, est-ce que ce ne serait pas ton pouvoir de régénération qui reconstruit ton hymen ? Ça doit te rendre très populaire auprès des hommes. 

Oh merde. Elle n’avait jamais conçus que son pouvoir pouvait faire ça. Sauf que oui ! Pour son corps, c’était… C’était une blessure ! Donc, en toute logique, il réparait. Vous imaginez ça dans un bordel ? Il était sûr que si Andros se retrouvait à devoir se débarasser de Maud car celle-ci ne convenait plus donc à ses envies… Et bien, il n’y avait pas de doutes, il pourrait l’offrir à prix d’or dans un bordel. Son don était merveilleux pour beaucoup d’hommes qui avaient envie de voler la virginité d’une femme. Voilà une femme qui elle, a sa virginité pour encore de nombreuses et nombreuses fois… Bref, c’était génial ! Surtout qu’elle pouvait gagner de l’expérience sans perdre sa virginité, c’était parfait… Quoiqu’il en soit :

-Et bien esclave, on dirait que finalement tu apprécies mes attentions. Ne t'en fais Pas, désormais tu ressentira ce plaisir chaque jour.

« Tu… Tu te crois assez civilisé pour ré… Mmh… ! »

Habituez vous à ces tentatives de réponses coupé par un gémissement de plaisir, car vous allez le revoir. Enfaite, elle avait voulu dire que l’amour, le plaisir, seul un être civilisé pouvait réussir à le donner… Sauf que voilà, cela échouait misérablement, car elle ne pouvait cacher le fait qu’elle était entrain de prendre son pied. Vous imaginez quand genre vous faire genre que vous ne ressentez pas le plaisir, et que vous n’arrivez même pas à finir votre phrase tellement vous prenez votre pied ? Bah voilà ce qui était entrain de se passer… Et il n’y avait pas de doute, cela marchait extrêmement bien pour Andros, qui n’était sans doute pas dupe. Maud pouvait faire genre, elle trompait personne, et sans doute que les spectateurs de cette scène, même eux comprendraient sans aucun soucis, cela était sûr !

-Tu es une très belle femme Maud. Il est dommage qu'il te manque des formes ici. Et ici… Mais ne t'en fais pas nous corrigerons cela des que possible

Elle reçu une petite tape sur les fesses, puis ce fut ces seins qui y passèrent. À quoi jouait-il ? Elle était la paladine du soleil ! Comment cela il lui manquait des formes ?! Et genre, comment ça « nous corrigerons ça » ?! Elle était comme elle était, elle allait pas changer pour ses beaux yeux ! Surtout qu’elle ne voyait pas comment on pourrait faire grossir sa poitrine ou bien ses fesses, cela n’était pas possible… Mais si c’est possible avec la carte kiwi ! Bref, elle ne se rendait pas compte qu’elle réagissait… Beaucoup trop à cela ! Donc évidemment, cela faisait encore plus du mal à la barrière de haine qu’elle tentait de faire naître entre les deux… Et ouais, si elle commence à se soucier de la vision d’Andros sur elle, c’était foutu, elle accordait donc satisfaction et importance à sa satisfaction.

-Alors Maud, dit moi comment te sens tu ? Toujours mal ?

« Han… Je… mmh... »

Andros était un super amant. Il serait un homme, elle aurait arrêter de tergiverser, elle l’aurait reconnu, même si cela la blesserait de ne pas être capable de tenir le rythme d’un amant comme lui… Mais voilà, c’était un satyre. Et elle ne pouvait pas complimenté le satyre. Surtout que souvenez-vous, elle tentait désespèrement de se faire haïr, battre, frapper, qu’il comprenne qu’elle n’était pas une femme docile, qu’elle était une salope et qu’il n’aurait jamais une femme soumise et gentille avec elle, aussi dure la batterait-il ! Bref, voilà ce qu’elle aimerait faire… Sauf qu’elle n’y arrivait pas ! Et ouais ! Dur de le faire, en même temps, quand on faisait une première vraie baise aussi cool ! Mais elle tentait, et vous allez pouvoir l’entendre, étant donné qu’elle déclara, tentant de faire sa fière, alors que ses chevaux mauves allaient un peu dans tout les sens…

« Tu… Eheh… Tu crois que ça fait mal… ? J’ai connu des moustiques qui allait plus profonds que... »

Oh ! Alors, premièrement vous vous en souvenez quand j’ai dis que vous deviez vous vous en souvenir de « je fais genre je suis rebelle, mais je pousse un soupire de satisfaction qui détruit tout ? » Et bien, vous avez le second exemple, mais je vais le développer un peu plus tard, si vous le voulez bien. Mais là, nous allons un peu parlé… De son magnifique sarcasme ! Sérieux, elle l’aurait fini, ça aurait été magnifique. Sauf que non, dommage, on va mettre donc un 7/10. Bref, le coup du moustique qui allait plus profond que la bite d’Andros, c’était osé à faire. Sauf que tout tombait à l’eau, encore une fois, car elle était coupé par le fait qu’il continuait de la pauvre avec un grand plaisir, l’utilisant et lui donnant énormément de plaisir… D’ailleurs, les amis, en parlant de ça… Devinez quoi...

« Mmmgnngh… Aaaaah… haaaan ! »

Et bien, arriva ce qui devait arrivé. Quoi donc ? Et bien, voilà qu’une créature inférieure, une créature qu’elle haïssait, venait de l’amener au septième ciel ! Et ouais… Vous ne rêvez pas, elle venait vraiment de jouir. Alors, certains d’entre vous pourrait dire « ouah, c’est vraiment rapide ! » Et vous auriez raison. Mais il faut se rappeler que pour Maud, ce n’était que sa seconde fois… Et dans les faits, presque sa première fois, étant donné comment la première fois n’avait pas été mémorable… Quoiqu’il en soit, Andros pouvait être fier. Maud faisait sa fière, sauf que voilà, c’était sa bite qui l’avait fait jouir, et pas l’inverse ! Elle venait de jouir, là, pour son maître et son futur époux ! Cela ne faisait aucun doute !

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Les contrées du Chaos / Re : Un cadeau apprécié PV Maud de Rehen

« le: mercredi 23 janvier 2019, 15:47:57 »

Si elle avait du mal à cacher cette petite peur, qui restait bien en elle… Et bien, elle restait quand même fière et assurée. Elle était l’élue du Soleil, et elle avait ce don qui rappelait son importance… Elle comptait bien se raccrocher à cela, pour ne jamais oublier qui elle était, et ainsi, ne pas sombrer. Bref, après sa diathrybe, elle s’attendait à deux réactions : se faire frapper et violer, ou bien qu’il s’agenouille devant elle. Et le pire… C’est que ce fut ni l’un ni l’autre. Et cela était bien le plus inquiétant. Il offrait un sourire, un sourire qui l’inquiétait fortement… Et le fait qu’il s’était approchée d’elle, la dominant complètement physique, et se permit même d’attraper son menton, à l’aide de ses doigts… Et bien, elle n’aimait guère cela. Mais de toute façon, c’est pas comme si elle avait le choix…

-Je vois. Tu es une forte tête Maud de Rehen. Et fière par dessus le marché. Et je dois admettre que tout gênant que ce soit quand a ta nouvelle position ce n'est pas complètement pour me déplaire.

Bon dieu qu’il était grand ! Maud n’était pas bien grande, et autrefois, dans les combats, elle avait toujours profitée de sa petite taille pour mieux attaquer. Sauf que là, évidemment, la situation était tout autre, et voilà que sa petite taille était au contraire plutôt un handicap. Elle paraissait vraiment jeune et sans défense, surtout nue, face au fameux Andros… Quoiqu’il en soit, visiblement, il appréciait ce qu’elle avait dit… Et cela fit que Maud l’apprécia un peu plus… Et ouais, quelqu’un qui était capable de réagir ainsi, et bien, cela attirait l’attention de la fameuse Maud. Peut-être que les deux n’étaient pas si différents, si on retirait le racisme de la fameuse Maud… Quoiqu’il en soit, Maud tentait de soutenir le regard, bien que légèrement tremblotante.

-Et j'aime les défis. 

Un défi ? Elle était un défi pour lui ? Il allait le regretter. Elle n’était pas du genre à se laisser avoir et vaincre. Au contraire. Mais… Mais pourtant elle ne put rien faire avec ce qui arriva en suite. En effet, elle fut prise et embrassée par son futur époux. Là, elle aurait bien tenté de briser l’embrassade, mais elle n’avait pas le choix. Elle était plaquée contre le torse musclé de son compagnon, et ne pouvait pas briser le baiser d’elle-même. En combat, la force de Maud avait toujours été sur trois point : sa vitesse, son agilité, et son don. Là, trois points qui étaient de l’ordre de la faiblesse pour la paladine, qui était entièrement à la mercie d’Andros. D’ailleurs, ce dernier arrêta le baiser, et déclara :

-J'ai décidé de ton destin Maud. Tu deviendras ma femme. Tu me seras dévouée et obéissante, tu porteras mes enfants et tu me sera totalement soumise. 

« Tu… Tu te fais des illusions, et tu le regretteras… Je… Aah ! »

Elle ne voulait pas devenir sa femme, et voulait très clairement faire comprendre à ce fameux bouc qui semblait lui croire qu’il allait réussir à la faire devenir une femme dévouée, obéissante, et soumise. En plus porter des enfants d’une créature non-humaine… Jamais ! Tout cela c’était complètement impossible aux yeux de la paladine, complètement incompatible avec sa vie. Sauf que oui, ma chère, tu oublies que tout cela, c’est ton ancienne vie. Sauf que ton ancienne vie, elle est finie. Maintenant, tu dois comprendre que tu dois faire ta nouvelle vie, tu dois t’y faire, tu n’as pas spécialement le choix… Bref, elle ne put de toute façon finir sa phrase : Le satyre arriva à la faire changer de position, dans une position bien plus adaptée pour ce qui allait suivre, et ainsi déclara :

-Mais je vois bien que tu n'es pas encore prête pour un tel honneur. Je vais devoir te dresser pour être une bonne épouse obéissante, ainsi qu'apporter quelques modifications à ton corps pour qu'il soit plus a mon goût.

« GrrrblAAAh ! »

Elle grogna, mais fut coupé dans son grognement. En effet, retournons un peu en arrière. Quand le fameux Andros fit changer de position à l’ex-héritière des Rehen, c’est bien évidemment pour la mettre dans une position qui allait être plus adaptée à sa situation. Elle se retrouva à terre, à genoux, et avec les deux bras saisies à l’arrière, sentant le phallus du satyre contre elle. Elle n’avait plus aucun appui, et était donc à la mercie de son interlocuteur. Dans une telle position, que faire ? Et bien, bien évidemment, allez à la découverte de ce corps ! Ainsi, elle fut pénétrée ! Andros put ainsi voir qu’il avait le privilège de prendre la fleur de la paladine, un léger filet de sang coulant de son intimité, accompagnant son petit cri… Cri qui était remplacé par ses déclarations, qui furent celle qu’elle était…

« Sale… Sale… Caprin... »

Ouah Girl. C’est raciste ça non ? Je veux dire, tu vas pas traiter un humain de Chimpenzé juste car il y a quelques ressemblances entre les deux ! Bah tu fais pareil avec un satyre si tu ne veux pas être raciste… Ah oui merde c’est vrai… Maud était raciste. Mais enfaite, elle disait ça plus dans un autre sens… Pour se faire détester. Elle refusait l’idée de devenir une petite épouse soumise. Donc, elle préférait qu’il s’énerve et la maltraite, pour que la haine se mette entre les deux. Et ouais, son honneur stupide la faisait qu’elle préférait se faire maltraitée que craindre qu’elle se retrouve dans une position de soumise ! Sacrée Maud… Il allait falloir voir si le fameux Andros arrivait à discerner le petit jeu de Maud… Qui on soit clair, n’était pas si difficile à cerner, quand on comprenait un peu la paladine… Et sa situation.

« Aaah… Si gros… Ca… Ca fait mal, bon sang... »

Ah oui, euh, un détail. La première fois, c’était toujours un peu douloureux. Mais vous savez un détail qui est chouette avec Maud ? C’est que son hymen, et bien, c’est comme le reste de son corps. Il se refait ! Et ouais, elle est comme la Vierge Marie, éternellement vierge. Cela plait beaucoup aux monsieurs, qui ont ainsi l’impression, même après qu’elle aurait été utilisé dans un Gang Bang, et bien, qu’elle est encore une débutante ! Bref, il y avait ça, mais il y avait aussi tout simplement le fait que… Bah ouais, Andros était drôlement bien membré… Mais derrière ce qu’elle disait, il y avait aussi ce qu’elle sentait. Et en plus de la douleur, il y avait du plaisir. Mais oui ! Du vrai plaisir ! Et si elle ne le disait pas, elle le sentait, car bon sang, il n’y avait pas de doute, Andros était un drôlement bonne amant…

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Ville-Etat de Nexus / Re : La Chasse Sauvage [Maud de Rehen]

« le: mardi 22 janvier 2019, 22:43:30 »

Bon sang de bonsoir ! Pourquoi Maud avait décidée de partir maintenant ! Et ouais, que voulez-vous… Pour Maud, il était très important de bien s’occuper d’Eol, et le rassurer. Tout s’était bien passé, et le jeune homme allait être rassurer, s’il voyait bien qu’une personne vienne le retrouver… Cela montrait bien qu’il n’avait pas été oublié… Et que surtout, il n’y avait pas eu de soucis. Car Eol était vraiment très stressé, vu ce qu’il s’était passé : C’était la Chasse Sauvage qui avait intervenu dans la région… Bref, quoiqu’il en soit, donc Maud s’occupait tranquillement d’Eol, loin de là… Et bien, notre fameuse chasseur, lui était bien emmerdé, car il était tout seul… Donc, il fallait qu’il se concentre sur son interlocutrice, et qu’il continue de… De cacher tranquillement sa main… Visiblement, il y avait quelques choses…

« Vous venez de la région de Maud, c’est bien ça ? »

« Hein heu... »

Il fut surpris, et de suite, il sursauta ! Mais genre le bon gros sursaut, celui qui vous empêche de parler pendant un moment, le temps qu’on retrouve ses esprits. Enfaite, vous comprenez bien la situation… Le fameux Henri était concentré sur quelques choses… Et cela l’avait empêché de se concentrer véritablement sur les déclarations de Maud. Surtout qu’il n’eut absolument pas le temps de reprendre ses esprits à temps… Car Vesa enchaîna directement. Visiblement, elle n’avait pas spécialement envie de le faire réfléchir, et avait envie d’avoir des réponses spontanés. C’était malin. Après tout, la reflexion pouvait aisément poser soucis dans des réponses vraiment intéressantes. C’est comme ça qu’on trouve les mensonges... Quoiqu’il en soit, donc, Vesa demanda tranquillement et en toute innocence.

« Que pouvez-vous me dire sur le duc Guillaume III de Rehen ? Et sur sa femme ? »

« Heu oui, je... »

Il connaissait bien le duché des Rehen. C’était une terre riche et très importante, et donc, le duc Guillaume III de Rehen avait un contrôle important. Surtout qu’il était loin de la capital, ce qui permettait une grande liberté par rapport à l’état. Oh bien sur, il fallait faire très attention à rendre des comptes… Car l’État de Nexus n’était pas du genre à laisser passer des soucis de gestion. Bref, les Rehen avaient un contrôle sur leurs terres, et bien souvent, les habitants du duché avait de grandes connaissances sur la personne qu’il était. Ou vraiment ? En effet, il cachait de nombreuses choses… Donc, quoiqu’il en soit, ayant suffisamment repris ses esprits, il fut discuter et surtout… Répondre aux questions, ce qui était le plus important dans la situation donnée… Et donc, il déclara avec sincérité...

« Je viens en effet de la région des Rehen. J’étais un simple enfant d’écurie, quand Guillaume de Rehen a vu mes talents à l’arc ! »

En effet, Guillaume III n’avait pas hésité à sortir des gens de la fange, quand il avait l’impression que ses personnes étaient… Intéressantes. Cela était important pour lui, car ça permettait d’avoir un véritable noyau dur de personnes qui avaient entièrement confiance en lui. Et qui donc obéissaient aveuglement à ses ordres… Et qui laissaient passer certaines choses, même quand ils savaient que cela n’était pas acceptable… Voir qui entraient dans ses choses. Quoiqu’il en soit, on comprenait vite que Henri avait donc une admiration sans borne pour le fameux Guillaume III de Rehen, et qu’il lui devait tout. Le jeune homme était aussi un proche de Maud, en plus, donc, cela n’aidait pas à la situation… Quoiqu’il en soit, il continua alors son discours, toujours aussi appréciatif pour son ancien maître…

« Je lui dois tout, et je suis pas peu fier, je vais le dire clairement. C’est un homme sage et avisé, ça ne fait aucun doute... »

Voilà. Hors quand on connaissait un peu le duc, on devinait bien que ces déclarations de registre laudatif, à la limite de l’hagiographie étaient lié à son histoire personnel… Mais le soucis, c’est que… Comment avoir des renseignements viables et intéressants, quand la personne en face te sort des banalités inintéressantes, et surtout, qui ne t’aident en rien… ? Bonne question. Peut-être en prenant l’inverse des déclarations… En tout cas, la position pour Vesa était inconfortable : d’un côté, elle avait Maud qui avait clairement peur de son père, et qui donc n’osait pas tout dire… Et de l’autre, on avait Henri, qui admirait sans aucune hésitation l’homme… Oh bon sang de bonsoir… Elle allait pas avancer avec tout ça, ou alors, avec une lenteur d’un escargot rumatisant… Heureusement :

« Sa femme… Elle est pas morte il y a quelques années ? Si, je me souviens d’un truc ! »

Ah ! Enfin quelques choses ! Enfin, il y allait avoir quelques choses… En effet, vous avez bien compris, dans un premier temps… Les déclarations étaient celle qu’avaient tout le monde. D’ailleurs, enfaite, dans le grand public, on savait même pas trop enfaite. Qu’était-il arrivé exactement à la femme de Guillaume de Rehen ? Maladie ? Morte d’une cause naturelle, en tout cas, tout le monde s’accordait sur ce point. Mais comment ? Le fameux Guillaume III de Rehen avait si bien porté le deuil en apparence que personne n’avait cherché à en savoir plus… Et cela tombait mal, car là, Vesa voulait en savoir plus… Heureusement, le petit renseignement qu’allait donner Henri, et bien, cela pouvait être le renseignement qu’il fallait pour mieux comprendre la situation :

« Il y a eu un moment bizarre, ou Maud avait été terrifié par quelques choses, c’était lié à sa mère, mais c’était après sa mère… Je me demande si elle a pas cru voir le fantôme de sa mère ou un truc du genre… »

Voilà. Maud avait bien vu un « fantôme », mais pas exactement ce qu’on pourrait penser. Disons qu’elle avait vu sa mère. Bien en vie. Mais dans quel état ! Sa mère était maintenant rien de plus qu’un onahole vivant, qui servait régulièrement à son père… Bref, la paladine savait la vérité, et Vesa devait arriver à l’apprendre de Maud, si elle voulait comprendre toute l’histoire. Bref, Henri avait ainsi la piste… Pendant ce temps là, on pouvait entendre des bruits de sabot… C’était Maud qui revenait, avec les chevaux, et qui racontait -elle, pas les chevaux hein- l’histoire du combat au jeune Eol, qui avait des étoiles plein les yeux, surtout en voyant tout ses militaires… Oh… Oh… ? Cela allait peut-être plus facile qu’on le croyait de le laisser chez les militaires, car visiblement, ce dernier était vraiment heureux d’en voir autant… Enfin un peu de chance, si vous voulez mon avis !

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Les contrées du Chaos / Re : Un cadeau apprécié PV Maud de Rehen

« le: mardi 22 janvier 2019, 22:41:25 »

Elle allait vite se remettre, mais là… Ouais, elle allait vite se remettre, mais fallait quand même passer le choc, et ce n’était pas si facile. Et on comprenait aisément pourquoi. Enfaite, elle ne comprenait même pas pourquoi son père avait décidé de l’abandonner… Puis elle se souvint de sa mère. Et si c’était ça ? Et si c’était son plan finale pour se venger de sa femme, et que finalement, c’était la fille de cette dernière qui finissait ainsi ? Franchement, elle n’osait même pas imaginer cela comme possible mais… Mais il fallait bien admettre que la situation était troublante. Mais bref, elle était vraiment trop sous le choc pour réfléchir suffisamment bien. Non, elle n’y arrivait pas… Heureusement il y avait quelqu’un qui allait bien réussir à la remettre sur les rails ! Quel ironie que ce quelqu’un… Et bien, c’était… C’était… !

- Navré de ce qui t'arrive. Je n'ose imaginer ce que c'est que d'être ainsi trahie par sa propre famille. 

Alors, il faut pas dire… Mais elle fut doublement contente d’entendre Andros dire ça. Premièrement, et le plus important, cela la remettait sur pied. Pourquoi cela ? Car elle n’avait pas du tout envie d’être plainte par une créature non-humaine, par… Par… ça ! Elle s’en fichait d’Andros, elle s’en fichait de son avis, et donc, évidemment, elle n’avait pas envie du tout que Andros commence à la plaindre ! Oh que non, il était inférieur à elle… Mais au fond, tout au fond… Et bien, si elle devait devenir une esclave d’un homme, tout au fond d’elle, elle préférait un homme comme Andros qui était capable d’être navrée pour son esclave, plutôt qu’être esclave de quelqu’un comme son père, qui avait de sa mère… Une… Elle ne devait pas y penser, et écouta donc les déclarations :

-Maintenant écouté moi, que tu Le veuille ou non tu es mon esclave et je compte bien utiliser ce fait. Sois obéissante et dévouée et j'accepterai éventuellement de l'épouser en bonne et due forme. Tu deviendras  alors une de mes femmes officielles.

« ... »

Là, le meilleur argument pour elle… Serait de ce battre, là, maintenant. Se battre jusqu’à la mort, car elle préférerait la mort que le déshonneur et la souillure. Mais pour la première fois… Son don était contre elle. Pourquoi cela ? Et bien, car si elle se battait, elle perdrait, mais elle ne mourrait pas. Andros n’aurait qu’à attendre une bonne petite nuit, et même diffigurée, ouverte comme un cochon etc. Et bien, elle serait de nouveau sur pied et sans aucune différence avec si elle n’avait jamais été blessée. Donc, voilà ! Ainsi, après avoir adoptée une posture de combat… Elle repris une position plus normal, moins aggressive, bref, plus ouverte au « dialogue », même si au fond, il n’allait pas y avoir du dialogue entre les deux… Quoique, on parlait de Maud, et même dans ce genre d’état, elle savait quand même rester… La Maud qu’on connaissait tous, cela ne faisait pas de doute.

« Je ne serais jamais ta femme, sauvage. »

Oh oh ! Alors, il fallait dire, elle se contenait… Bah oui, sauvage, pour une créature non-humaine… C’était quasi sympathique de sa part. Elle aurait pu dire bien plus fort comme terme, cela ne faisait aucun doute ! Mais bref, le plus important, c’était le fait qu’elle refusait de se soumettre aux propositions d’Andros. Elle, se soumettre et devenir une bonne femme ? Sérieusement ? Il fallait pas croire qu’elle était n’importe qui. Elle était l’élu du soleil, elle était une femme puissante et forte ! Elle était largement capable de faire comprendre à Andros qu’elle n’était pas une femme qui allait se laisser marcher sur les pieds. Oh elle ne doutait pas qu’il allait tenter de la briser… Mais elle comptait bien résister jusqu’au bout.

« Je serai ta proie, ta victime, ta sauvageonne ou ce que tu veux, mais je ne serais jamais ta femme. Tu vaux pas mieux que mon pè... »

Ouais, là, c’était vraiment de la fierté mal placée, et encore trop d’amour familiale. Pour ce second, c’était clairement qu’elle osait pas encore martyrisé la mémoire de son père, croyant presque encore -bien qu’il n’y avait aucune chance-, à une erreur. Mais surtout, elle continuait sur sa lancée, surle fait qu’elle savait qu’elle allait être une proie, une victime, mais elle refusait totalement l’idée même d’être la femme de ce monstre. Elle était une fière humaine ! Et elle comptait bien le faire comprendre. Ainsi, elle regardait droit dans les yeux le monstre, et ne baisserait pas les yeux. Faudrait la forcer pour qu’elle accepte de baisser les yeux… Et surtout, elle continuait de déclarer, tentant de garder face :

« Alors, sauvage, que comptes-tu faire ? Me punir pour ne pas t’appeler Maître ? Je ne suis pas de ce genre là. Brise moi, je continuerai à avoir mon honneur. »

Oh oh ! Elle reprenait du poil de la bête ! Andros pouvait cependant voir que c’était du désespoir… C’est qu’elle n’avait littéralement plus que ça, sa vantardise et son côté pompeux, car elle avait perdu, jusqu’à sa précieuse lance et ces vêtements. Donc, elle regardait le satyre, et ne tentait plus de cacher son intimité… Elle serait les bras sur sa poitrine maigrichonne, et tapotait du pied, attendant son premier sevice. On put quand même remarquait qu’elle déglutissait avec difficulté, s’attendant à une nouvelle giffle, ou à être jetée au sol et violer. Peut-être par toutes les personnes du coin. Soit. Mais elle ne céderait pas. Alors qu’allait faire Andros ? Il avait des tas de possibilités, et une Maud qui le regardait avec cette braise, qu’il allait avoir du mal à éteindre, cela, c’était sûr… On allait voir ce qui allait se passer !

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Les contrées du Chaos / Re : Un cadeau apprécié PV Maud de Rehen

« le: lundi 21 janvier 2019, 11:11:43 »

« Le temps valait moins que sa fille »… Sans le savoir, Andros avait pensé littéralement à la phrase la plus importante de la situation. Oui. Littéralement, le temps valait moins que Maud… Guillaume III de Rehen avait UNE peur. La mort. La vieillesse. Se faire emporter par le fait qu’il était trop vieux. Surtout depuis qu’il avait changé sa femme en jouet sexuelle et que sa fille était une incapable. Il avait peur de mourir et que le temps emporte les Rehen. C’est pour cela qu’il cherchait une chose : Devenir immortel. Et cette guerre l’énervait. Hors de question d’accepter de perdre des années à faire un siège stupide où les deux camps ne voudraient pas lancer l’assaut -et oui, vu la situation des deux armées, un assaut voulait dire l’extermination du camp qui l’a lancé-, donc… autant laisser sa fille se faire giffler ! D’ailleurs...

-Ne me parle pas comme cela Maud, je ne suis ni ton serviteur, ni ton ami, je suis ton maitre et tu vas t'adresser envers moi avec le respect et la déférence qui m'est dû. 

« Je… Fils de chien, comm... »

Elle se releva comme un pic, et Andros put remarquer que la rougeur lié à la giffle était déjà entrain de disparaître, rendant une peau d’ivoire à la paladine. D’ailleurs, s’il regardait bien, il pouvait voir que la jeune femme était vraiment… Parfaite. Niveau de sa peau hein ! Pas un point noir, un bouton, une cicatrice, une tache de rousseur ou de naissance… Non… ! Rien ! Alors, évidemment, il n’avait pas regardé ailleurs que son visage et les parties découvertes de son corps… Mais quand même ! Pas d’inquiétude pour améliorer le corps cependant, le corps de Maud ne se réparait pas si on grossissait ses seins ou ses fesses. Je tiens à préciser -sans aucune attention, voyons !-, tout simplement pour rappeler que sinon, elle n’aurait jamais pu grandir ou vieillir. Non, elle était quand même impactée par cela… Et donc, la jeune femme sans trop trop de forme allait pouvoir gonfler, pas d’inquiétude.

-Je suis Andros Magganon, prince héritier de Raghose, ton maitre, comme il est confirmé dans cette lettre par ton père qui t'a envoyée à moi. Il lui tendit la lettre. Il te donne à moi en gage de paix, pour épargner votre domaine de l'annexion.

« Donne moi ça, abruti, je paris que tu ne sais même pas lire, et que c’est à peine une feuille pour me tor... »

Elle fut sincèrement surprise -c’est pour dire le niveau !- qu’il savait lire. Mais sans aucune hésitation, elle était persuadé que c’était un faux. Ohlala… Quand elle allait lui expliquer ce qu’il avait fait, il allait se répendre d’excuses, et prier de l’épargner… Et oh… S’il arrive bien à se mettre à terre, elle pourrait pardonner sa gifle, elle n’emporterait QUE une de ces cornes en souvenir. Bref, quel stupide bouc ! Sérieusement, annexion ? Les Rehen était une famille extrêmement puissante, et sans aucun doute qu’elle les aurait écraser avec de meilleurs troupes ! C’était ses hommes qui avaient faillis ! Bref, elle était toujours autant Maud que toujours, et commença à lire le papier… Déjà il y avait vraiment écris quelques choses, cela la surpris… Mais malheureusement pour elle, la lecture la coupa dans son élan, car en effet...

« Je… Non… Ce… Ce n’est pas vrai c’est un faux... »

Et elle venait de lire. En effet, la lettre était très clair. Guillaume III mentionnait sa déception envers sa fille, et expliquait qu’il fallait qu’elle « paye » pour ses erreurs. Donc, elle allait être offerte à Andros, prince de Raghose… Et même pas comme femme. Même pas comme concubine. Non, elle était offerte comme « chose ». Maintenant, Andros en ferait ce qu’il veut… Aussi bien un jouet sexuel qu’autre chose… D’ailleurs, la suite de la lettre était explicite. Il expliquait littéralement tout sur elle… « Immortelle, elle peut être gonflée avec du sperme », « Porter des enfants d’autres races, même normalement mortel pour un humain », « modifiée à votre guise pour plaire à votre goût », « marquée, tatouée, gravée », « pétrifiée pour décoration dans votre salon », « femme pour vous »… Rappelant que Guillaume III était aisément un détraqué en plus d’un connard fini… Bref, pour Maud... Non, c’est pas possible, tout cela était du faux… Forcément… Son père ne pouvait pas avoir écrit ça… Sur elle !

« C’est… C’est pas un faux… C’est pas un faux... »

Et oui… Ce n’était PAS un faux. C’était du véridique. Comment le savait-elle ? Le sceau à la fin. En effet, elle reconnaissait ce symbole qui était la preuve qu’elle était en face d’un écrit officielle de son père. Et personne n’aurait réussi à l’imiter, ou à le voler au Rehen, vu qu’il portait constamment la bague pour sceller les sceau avec lui. Même en dormant il la gardait, c’était le bien le plus précieux qu’il avait… Auparavant, elle aurait dit juste derrière elle mais maintenant, elle se rendait compte que c’était devant elle… Bien loin devant elle, vu qu’elle n’était plus rien pour lui, juste ce qui plairait à Andros, un cadeau diplomatique pour régler un conflit…

« Je... »

Elle begayait, et avait perdu toute sa superbe. Elle ressemblait à une adolescente paniquée devant une situation où elle ne pouvait rien faire. Elle paniquait complètement, ses yeux étaient affolés… Elle ne pleurait pas, au moins, on sentait qu’elle voulait garder cet honneur, et ne pas montrer de larme devant le Prince, mais elle était complètement en pur panique, et ne savait pas quoi faire. Elle tremblait de tout ces membres, et regardait le Prince, puis la Lettre, puis de nouveau le Prince, puis de nouveau la lettre, comme si elle espérait que la lettre change de message, ou bien que le Prince révèle que tout cela n’était qu’une vaste blague entre lui et Guillaume III de Rehen. Malheureusement pour Maud, non… Et elle le savait bien. Attention Andros ! Elle était comme un animal apeuré, et donc… Elle pouvait faire des bêtises ! Il fallait faire attention à elle, car elle restait une très grande guerrière… Et vu le nombre de mort qu’elle avait fait à elle seul dans tes rangs, tu le sais sans doute…

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Les contrées du Chaos / Re : Un cadeau apprécié PV Maud de Rehen

« le: dimanche 20 janvier 2019, 10:12:28 »

Il y avait des journées, comme ça, ou rien n’allait. Mais sérieusement, rien. Tu te lèves, tu te cognes le petit doigt de pied dans un meuble, puis, tu te casses la gueules dans les escaliers. Tu te rends comptes ensuite qu’il y a plus de lait, tu te gares mal et tu te choppes une prune, ton patron t’engueule car t’as trente secondes de retard, et enfin, tu fais tomber ton café sur ton dossier ultra-important que t’as mis trois semaimes à faire. T’imagines la bonne grosse journée de merde. Et bien, parfois, c’était un peu ce qui t’arrivait. Et dans ce genre de cas, bah… Tu peux rien faire, et t’acceptes juste ta destinée en disant : « Bordel de merde, j’espère que demain ça ira mieux, car sinon je pète les plombs ».

Et bien, pour Guillaume III de Rehen, ce fut un peu l’impression pendant plusieurs semaines… Tout a commencé à cause d’un changement d’allégance. Des Terranides, autrefois sous le contrôle des Rehen, avait décidé de se déclarer sous la protection d’un Royaume nommé… Raghose. Un truc du genre. Bref, Guillaume III n’avait pas trop aimé ce changement de suzerain, mais ce fut Maud, surtout, qui considéra cela comme innacceptable. Et évidemment, son sang chaud ne fut qu’un seul tour, et voilà qu’elle se lançait à l’attaque. Lui, confiant en les capacité de sa fille, décida de laisser passer. Cela ferait plus de terre pour lui… Et ainsi, il gagnerait sur le long terme. Donc il ignora les demandes du Roi de Raghose, et laissa Maud s’en occuper. C’était elle qu’avait foutu le souk, qu’elle s’en occupe.

Mais pourtant ce fut un échec. Maud fut incapable de vaincre l’armée, et voilà que ses pouilleux se retrouvaient chez lui ! Heureusement, Guillaume III était un tout autre morceau que sa fille… Et ainsi, les armées de Raghose se retrouvèrent enlisé dans un siège où ils ne pouvaient pas gagner. Le roi avait même fait l’erreur de se dire que c’était bon, alors qu’on soit clair, l’armée de Raghose était loin d’avoir gagné. Les défenses des Rehen étaient puissantes, et le château ne tomberait pas. Beaucoup craignaient un siège qui puissent durer des années et des années, si les deux camps se retrouvaient à être borné. Car à cause des échecs de Maud, et bien, Guillaume n’avait pas de force de contre-attaques, juste de quoi défendre des années et des années sans soucis.

Mais cette perspective saoulait le duc, qui préférait largement trouver un moyen d’arrêter cette guerre qui frainait son économie. Il avait des soucis avec certains de ces principaux partenaires financiers qui s’inquiétaient à cause de la guerre. Donc, voilà… Et puis, il était déçu de sa fille. Il avait toujours été déçu de sa fille, qui devait être plus proche de sa mère que de lui… Alors, un soir, alors qu’il utilisait sa femme, enfin, son jouet sexuel, il se dit qu’il pouvait peut-être faire d’une pierre deux coup… Mmh… Pas de doute, c’est sûr que le roi de Raghose, si ses espions lui rapportaient bien des renseignements qui correspondaient à la réalité, allait adorer le cadeau, et le conflit allait se résorber de suite grâce à ça… De suite il envoya l’un de ces meilleurs hommes préparer le tout…

***

Maud ne comprit pas ce qui lui arriva. Elle dormait tranquillement, quand soudainement, un choc, du bruit… Puis plus rien. Et quand elle se réveilla, elle ne pouvait plus voir, plus entendre, plus parler… Et plus bouger. Elle était serrée dans un endroit, et avait l’impression qu’elle se déplaçait… Bon sang de bonsoir qu’est-ce qui se passait… Elle ne pouvait rien savoir, étant donné qu’elle était dans une situation qu’elle n’avait jamais connue. L’inconfort, le déplacement, et surtout, des milliers de questions qui se posaient dans sa tête, sans trouver la moindre réponse. Des questions du genre… « Que se passe-t-il ? » « Pourquoi je suis dans un état ? » « Qu’est-ce qui est arrivée ? » « Où suis-je ? » « Pourquoi je ne peux pas bouger ? » « Pourquoi m’a-t-on aveuglée ? » « Pourquoi m’a-t-on baillonnée ? » et enfin… Surtout… « Combien de temps cela va durer ? »

Elle était… Visiblement déplacée. Elle devait être dans une carriole… Ou quelques choses du genre. Et cela dura… Longtemps. Elle ne savait pas combien de temps, mais elle semblait livrer littéralement comme des marchandises à quelqu’un. Bon, cela ne faisait pas de doute, elle n’était pas complètement stupide non plus… Elle avait été kidnappée. Elle avait été kidnappée, et visiblement, elle était emportée quelques part. Oui mais où ? Pourquoi ? C’était pas possible… Dès qu’elle serait rentrer, elle ferait licencier toute la garde, et la ferait remplacer. Déjà qu’elle était très déçu du comportement de ces hommes qui avaient été des incapables pendant la bataille qu’elle avait mené contre un royaume de pacotille dont elle avait oubliée le nom… Enfin, ce n’était pas le moment de ce concentrer sur ça… Il y avait plus urgent, c’est à dire… Sa situation actuelle, qui on va pas le cacher, était pas des plus confortables.

Finalement, ils furent arriver après un long voyage. Mais ce ne fut pas synonyme de libération. Elle pouvait sentir qu’on la déplaçait, la permettant d’avoir conscience qu’elle était dans… Dans une caisse ! Oui, littéralement, elle était un colis pour je ne sais pas qui. Bref, plus le temps passait, plus la situation la mettait mal à l’aise, moins elle aimait ce qui était entrain de se passer. Bon sang de bonsoir, se disait-elle, va-t-on enfin lui expliquer la situation ? Bref, alors qu’elle croyait être abandonnée, elle fut finalement sortie. Maud était plutôt petite et pas lourde, cela se voyait sans soucis, et elle frisonna à cause de l’air froid qui toucha son corps nue… Ses tétons en pointaient même ! Et ainsi, elle fut détachée, débaïlonnée, et bref, toutes ses contraintes furent retirer, lui permettant de voir et entendre ce qui suivit :

« Bonsoir, esclave… Sais-tu qui je suis, et sais-tu pourquoi tu es là... »

« … Non. »

La réponse fut franche et honnête. Elle n’avait aucune idée de qui elle avait devant ses yeux, et de où elle était… Donc pourquoi était-elle là ? Aucune chance. Elle n’avait jamais vu le Roi des Satyres, et même si elle l’avait vu sur le champ de bataille, elle n’aurait pas capté qu’il pouvait être roi. Pour elle, ce genre de race inférieur n’avait pas conscience de comment marchait la royauté. C’était quelques choses qu’ils ne maitrisaient pas. Bref, alors… L’idée de pourquoi elle était là… Disons que ce n’était pas aidée par COMMENT elle est arrivée ici… Etant arrivée de manière, on ne va pas le cacher, complètement… Non conventionelle. Ouais, c’est le mot. Bref, la jeune femme déclara, avec une voix beaucoup trop tremblante pour montrer qu’elle n’était pas légèrement en panique…

« Esclave, qu’est-ce que ce baratin ? Je veux mes vêtements, et vite ! »

Maud avait… Peur. On va pas le cacher, elle avait peur. D’ailleurs, elle masqua son intimitée d’une main, et sa poitrine pas si grosse avec son autre bras. Elle était devant un satyre, et elle connaissait toutes les horreurs qu’on racontait sur son peuple… Surtout que c’était exacerbé par son racisme si grand, si important, qui faisait que… Bah… Dès qu’elle voyait un être qui était d’un autre peuple, pour elle, c’était l’équivalent d’un être sans importance qui méritait juste la mort ou la servitude. Et là pour la première fois de sa vie… Et bien, c’était l’inverse. Et donc, elle avait peur… Qu’est ce qui lui arrivait ? C’était forcément un quiproquo. Surtout qu’elle n’aurait jamais pu être capturée dans son propre château !

« Je n’ai pas peur de vous, je suis protégée par le soleil, immortelle et ne craint aucune blessure ! »

Et oui, elle était Maud de Rehen, la paladine du soleil… Il était vrai que c’était chiant ça. Comment marquer une esclave qui se soigne constamment ? Et bien, avec de l’obsidienne, tout simplement. Vous êtes vraiment naze en canon de ce forum ou quoi ? Non je déconne. Bref, Maud était comme toujours… Et bien… Maud… Bref, elle n’avait pas à parler avec une race inférieure, mais comme la situation n’était pas bonne, et bien, elle préférait rester sur ses gardes. Mais de ces yeux, elle cherchait une arme, quoique ce soit. Grâce à son don, et avec une lance, ou juste un poignard, elle pourrait arriver à s’enfuir, et ainsi, retourner sur ses terres… Mais elle avait un obstacle, et le soucis, c’est qu’il était de taille… C’était ce satyre… Comment allait-il réagir ? Elle ne savait pas, mais elle restait sur ses gardes, comme un animal apeurée… Ce qui une fois remarquée, montrait bien qu’elle n’était pas si fière qu’elle paraissait… 

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Ville-Etat de Nexus / Re : La Chasse Sauvage [Maud de Rehen]

« le: mercredi 16 janvier 2019, 14:51:33 »

Le combat était sanglant, cela ne faisait aucun doute. Ni les brigands, ni les paladines ne semblaient faire preuve de pitié, et Maud, plus que Vesa même, attaquait bien souvent pour tuer. Faut dire, contrairement à Vesa, son style de combat était bien plus offensif, bien plus lié à sa lance… Hors sa lance était là pour tuer. Bref, le combat ainsi continuait, sans la moindre hésitation, et aucun des deux camps ne semblaient avoir spécialement l’avantage. En effet, il fallait bien imaginer que cela soit Maud ou Vesa, il y avait une différence de niveau absolument incroyable. Les deux paladines étaient bien plus doués que les brigands… Mais ces derniers l’emportaient sur le nombre, et espéraient qu’ils arriveraient à buter « ses salopes », comme ils disaient, en les submergeant par le nombre...

Et cela ne marchait pas. Enfin, si, que cela soit Maud ou Vesa, les deux avaient pris des mauvais coups… Maud avait la cuisse ouverte, et un carreau d’arbalette dans le bras gauche, qui l’empêchait de bien manier sa lance. Cela faisait un mal de chien, mais heureusement son don l’empêchait de tomber vraiment en trop mauvais état. Elle devait tenir, car elle était celle qui se soignait automatiquement… En gros, si elle se prenait des mauvais coups, ce n’étaient pas trop grave… Contrairement à si Vesa prenait des mauvais coups ! Et là, elle n’avait pas envie que Vesa soit blessée gravement… Enfaite, elle n’avait jamais eu envie de voir Vesa blessée… Heureusement, la situation se débloqua :

«  - L’armée ! C’est l’armée !
- Foutez le camp bon dieu ! »

« CHAAAAAAAAAAAAAAAAARGEZ ! »

De suite, les bandits comprirent qu’ils fallaient mieux ne pas rester ici… Contrairement aux paladines qui elles, maintenant, étaient en position de force. Et ouais, tout d’un coup, la situation n’était plus du tout la même. Dans un premier temps, les hommes commençaient à se faire canarder de loin par trois ou quatre archers à cheval, qui tiraient en rafale, sans même faire arrêter les chevaux… on sentait que c’étaient des professionnels, des gens qui avaient l’habitude de manieur leur monture dans ce genre de situation, et surtout de ne jamais faire stopper la monture avant le moindre ordre dans le sens d’un arrêt… Mais maintenant que vous avez vu ça… Arrivait le plus important…

Car ses hommes eux ne faisaient que cribler de flèches les plus réticent à rester dans le rang… Car très vite, ce fut la charge. Une véritable charge brutale et efficace comme on les aime. On sentait que les cavaliers étaient des professionnels, et donc… Que les différents bandits n’avaient absolument aucune chance… D’ailleurs, on ne va pas le cacher, ils se faisaient véritablement massacrer les uns après les autres, sans avoir absolument aucune chance… C’était un véritable massacre, et les rares à survivre commençaient déjà à être capturés… Ainsi, la bataille fut presque terminée alors qu’elle avait à peine commencer… Bordel, niveau efficacité, il n’y a pas de doute, ils ne font pas semblant !

« Mademoiselle, merci de votre intervention ! Sans vous, nous n’aurions pas pu faire une charge aussi victorieuse ! »

Ce fut un commandant à la moustache et barbe imposante qui déclara cela à Vesa ! Messire Guy de Mâlebranche, membre de l’armée depuis bien longtemps, et qui, anecdote véridique, ne s’était jamais rasé depuis sa première victoire ! Je vous rassure, il faisait bien tailler celle-ci, et on racontait qu’il y avait une seule et unique chose qui comptait autant que sa barbe et sa moustache… La victoire en combat ! Oh, et l’honneur en combat ! Oh et la sureté de ces hommes… Oh, et la réussite de ses missions… Bon, ok, il y avait beaucoup de choses qui comptaient autant que sa moustache, mais quand même, il aimait beaucoup sa moustache ! Quoiqu’il en soit, en temps que dirigeant, il discuta un peu avec Vesa de la situation, tandis que Maud, pendant ce temps là, elle… Elle parlait avec quelqu’un d’autres...

« Henri ?! Sérieux, t’es ici ?
-Maud, mais bordel, le hasard fait bien les choses. »

Le monde est petit ! Les deux personnes ici présente, un jeune homme âgé d’un peu avant la trentaine d’année, avec un arc de chasseur, et un cheval, commença à papoter avec Maud de tout et de rien, de leur enfance, d’anecdote personnel… Bref, pendant que la discussion sérieuse avait lieu d’un côté entre Vesa et Guy, et bien, entre Henri, nom du chasseur, et Maud, visiblement, cela discutait avec grand plaisir comme deux amis qui ne s’était pas vu depuis longtemps… Et donc, qui étaient bien content de ce revoir… Et enfaite, cette image était parfaite, car il fallait bien comprendre qu’ils étaient… Littéralement deux amis qui ne s’étaient pas vu depuis longtemps. D’ailleurs, au bout d’un moment, Maud remarqua que visiblement la discussion entre le capitaine et Vesa avait fini, donc…

« Attends, je te présente Vesa ! Vesa, Henri, Henri, Vesa... »

Présentation rapide et efficace de la part de Maud qui présenta les deux. Henri sauta de son cheval, et s’inclina légèrement devant Vesa, avant que Maud reprenne la parole :

« Henri est un ancien garçon d’écurie de chez moi !
-Messire Guillaume a vu en moi un bon ranger, archer à cheval, il m’a donc formé et m’a permis de monter à l’armée. Mes hommages, paladine... »

Il attrapa alors la main de Vesa, il lui offrit un baise-main. Maud fit un sourire au jeune homme, puis à Vesa. On sentait que le fameux Henri avait bien… sept-huit ans de plus que Maud, montrant encore plus que Maud était la jeunette dans le trio, la plus jeune de l’ensemble… Bref, on put remarquer qu’à la base, il voulu prendre la main de Vesa avec sa main gauche… Mais se ravisa finalement, pour la prendre avec sa main droite… Bref, cela était sans doute un détail sans importance. Quoiqu’il en soit, donc, Vesa pouvait comprendre pourquoi Maud semblait connaître ce jeune homme… Maud souriait aux deux, sembla bouder très rapidement quand elle se rendu compte qu’elle était la plus petite du trio… Et soudain, claqua sa paume en déclarant :

« Oh, faut qu’on retrouve Eol ! Je reviens… !!!
-Eh, euh, attends ! »

Il ne put rien faire ! Vesa aurait pu le prévenir mais Maud était maintenant Maman-Grande Soeur, et donc, Henri passait après, bien après quelqu’un d’aussi important qu’Eol ! Et ouais, elle ne voulait pas laisser le jeune homme seul comme ça ! En plus, il fallait chercher donc les chevaux, qui avaient sans doute eux aussi envie de revenir ! L’avantage, c’est qu’Eol et les chevaux étaient ensemble, donc, on ne risquait pas de ce dire : « Mais bordel, j’en ai trouvé un, ou sont les autres ? » ! Nope, là, c’était bon… Mais bon, revenons à notre scène… Cela faisait qu’Henri après avoir été présenté très rapidement à Vesa, et bien… Se retrouvait seul avec elle ! Il commença donc à déclarer, le tout de façon quelques peu… Maladroite disons…

« Donc… Euh… Tu bosses avec Maud c’est ça ? »

Il semblait gêner par le fait de se retrouver tout d’un coup seul avec la paladine. Machinalement, il cachait bien sa main gauche, gantelé, celle qu’il utilisait pour tirer à l’arc. On pouvait même  remarquer que mystérieusement, il n’avait pas la même cache sur sa main droite, comme s’il tentait de cacher quelques choses… Bref, c’était quand même chelou comment il faisait très attention que Vesa ne puisse rien voir de cette main ! Boah… Bon, là, je dois vous dire que c’était sans doute rien, un tic, mais vous devinez bien que cela fonctionne comme un fusil de Tchekov ! Quoiqu’il en soit, il regardait régulièrement si Maud ne revenait pas… Mais la fameuse paladine n’était pas encore revenue, cherchant toujours le fameux Eol… Bref, notre chere Henri était donc assez gêné, et regardait rapidement la fameuse Vesa, ne disant rien de plus, attendant qu’elle parle plus, si elle voulait lancer la discussion. Espérons qu’elle retourne voir le capitaine !