Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Zack Arias

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La nuit était passé et Zack avait peu dormi. En temps normal, il est rare pour lui d'avoir du mal à trouver le sommeil car lorsque criminel est sur le point de s'endormir, il entend les cris gémissant et suppliant des femmes qui sont enfermé en lui. Dans sa psyché déformé, cela agis comme une douce berceuse qui l'apaise et le détend, un peu comme ce principe d'asmr qui stimule les tympans et le cerveau. Mais là, le repos ne fut pas réparateur, Zack était bien trop excité en s'imaginant Mona et ce qu'il comptait lui faire.

Le kidnappeur ouvrit les yeux et s'étira, à ses côtés dans le lit se trouvait une femme aux yeux fermé et qui lui avait servi à se défouler en attendant de mettre la main sur l'écrivaine. Chaque fois qu'il faisait ça, l'homme restait sur faim, un peu comme si son repas s'était résumé uniquement à l'apéritif.

"Lève-toi, je sais que tu fais semblant de dormir". Dit-il en sortant lui-même du lit et en allant dans la salle de bain pour se passer de l'eau sur le visage.

"Hein ? Non je... je suis désolé... ce n'est pas que je ne voulais pas m'occuper de vous au réveil..." dit la femme inquiète.

"Ta gueule". Ordonna Zack de manière sèche mais calme. "On reverra ton dressage plus tard. Va t'habiller et te préparer, on va faire une petite balade aujourd'hui".

Ne perdant pas la moindre seconde, la femme sorti du lit, ramassa ses sous-vêtements et ne prit même pas le temps de les mettre avant de quitter la chambre. A cet heure-ci le Mirukugāru était fermé, seul quelques membres du personnel étaient présent et ces derniers étaient coutumier de voir des femmes se déplacer nu ou pratiquement nu dans l'établissement. Zack quand à lui pris un long moment pour se regarder dans le miroir, son visage blafard et ses yeux sanguins lui donnait l'air d'un spectre tout droit sorti d'un film d'horreur. De légères cernes violacés se dessinaient sous ses paumières accentuant sa mauvaise mine, il prenait le temps de suivre du regard les gouttes qui s'écoulaient le long de ses joues, puis du menton, jusqu'à tomber dans le lavabo. Cela faisait parti de son rituel du matin pour se réveiller, cela l'aidait à organiser ses idées.

Une fois que le criminel eut fini de s'essuyer le visage, il prit sa mallette à maquillage. Il était temps de rendre visite à Mona.

---

Même si Zack était plus à l'aise dans l'obscurité du monde la nuit, force était de reconnaitre que le temps était agréable aujourd'hui. Juste assez de soleil pour réchauffer la peau et juste assez de nuage blanc pour habiller cet immense ciel bleu. L'homme était au volant d'un petit utilitaire discret et suivait une voiture de taxi dans lequel se trouvait Mona. Il avait attendu plusieurs heures que l'écrivaine sorte de chez elle avant de se mettre à la suivre. Pour lui tenir compagnie, le criminel était accompagné sur le siège passager de sa compagne d'un soir. Une femme de 25 ans, une brune au cheveux long qui lui faisait un peu penser à Mona et qui répondait au nom de Hanaé. Elle n'avait clairement pas son physique mais cela restait une très belle créature bien en forme. Le criminel quand à lui avait effectué un relooking comme il en avait le secret. Il s'était teint la peau pour faire disparaitre sa pâleur naturel et lui donner un ton légèrement hâlé, mis des lentilles noires pour cacher ses yeux rouges et avait même enfiler une perruque brune pour dissimuler ses cheveux argenté. Il n'avait cependant pas poussé le vice jusqu'à mettre un masque de silicone pour changer la forme de son visage, et il y avait une raison cela.

Après un moment à suivre le taxi, ils arrivèrent dans un quartier commerçant assez populaire. C'était la situation idéal pour Zack qui mit fin à la poursuite et alla se garer non loin dans une ruelle discrete à l'écart des grands axes de circulation piétonne. Une fois fait, le "couple" se mêla à la foule et il ne fut pas longtemps au criminel pour retrouver Mona malgré le monde présent dans les rues. Avec le beau temps, les gens s'étaient décidé à se sortir pour profiter de la journée, c'était toujours plus difficile d'agir quand autant de personne pouvait être témoin des crimes qu'il commettait, encore plus maintenant que l'homme commençait à devenir une petite célébrité sur internet. Mais il n'aurait bientôt plus à s'en soucier car le kidnappeur allait s'offrir quelques vacances en compagnie de l'écrivaine. Cette dernière arpentait la rue marchande d'un air enjoué et insouciante, entrant ci et là dans des boutiques qui semblaient attirer son attention. Zack profita de l'une des aller et venu de sa proie pour remonter un peu plus haut la rue, elle était entré dans une boutique de lingerie et il fallut beaucoup de volonté au criminel pour pas rentrer lui aussi pour l'espionner. Il fit le choix raisonnable d'attendre que la jeune femme ressorte pour reprendre sa route.

C'est à ce moment là que l'homme mit son bras gauche sur les épaules de Hanaé et se dirigea nonchalamment en direction de Mona. Zack pour sa part était habillé de façon très commune, t-shirt blanc, chemise grise sombre à manche courte, pantalon assorti à la chemise... en revanche sa triste compagne était vêtu de façon absurdement vulgaire. Un crop top blanc très moulant qui descendait juste au dessous des seins, laissant apparaitre la forme des tétons et dont la mention "slut" était écris en gros et en rouge au centre de la poitrine. Un mini-short en jean bleu si court qu'il rendait visible la naissance des fesses et qui était surmonté d'un string rouge laissé apparent. Quand aux chaussures, elles jurèrent presque avec le reste tant elles étaient banales, de simple tennis de ville.
Ce n'était certes pas courant de voir habillé une femme ainsi, mais ce n'était pas si rare dans cette ville, notamment chez les jeunes qui aimaient parfois jouer la provoc'. Cependant, même des gens se retournait naturellement à la vue de cette magnifique personne, une impression malaisante se dégageait de ce couple. Lorsqu'ils passèrent juste à côté de Mona, l'homme ne lui accorda pas un regard, continuant d'afficher un léger sourire sadique, ce qui ne fut pas le cas de sa compagne. Cette dernière croisa le regard de l'écrivaine avec des yeux qui semblaient hurler "au secours" à la jeune femme. C'était le but recherché par Zack, il voulait que sa proie le voit, qu'elle doute sur le fait d'avoir aperçu son agresseur ou non, et potentiellement que sa victime se projette sur ce qu'elle aurait pu devenir en apercevant Hanaé. C'est la raison pour laquelle le criminel n'avait pas modifié son visage. Avec ca, il réveillerai la peur de Mona d'un cran de plus.

Il aurait adoré se retourner pour voir la réaction de l'écrivaine mais l'homme resta dans son personnage et poursuivi sa route sans le faire, ce qui ne fut pas le cas de sa compagne qui jeta un dernier regard paniqué en arrière avant de s'accrocher d'avantage autour des hanches de Zack.

"Qu'est-ce qu'on fait maintenant ?" demanda t'elle inquiète.

"Toi tu retourne au club. Je n'ai plus besoin de toi.".

"Et je vais rentrer à pied ?"

"Oui, ou en bus ou en métro, je m'en fout. Et j'ai intérêt à te voir ce soir sinon t'ira faire un tour dans la chambre noire.

"Non non non ! Tout mais pas ça je vous en supplie !" répondit la femme complètement paniqué.

Le criminel abandonna sa triste coéquipière sans lui accorder d'avantage d'attention afin de retourner au véhicule et se préparer. Il se dépêcha d'ôter la perruque et de nettoyer son maquillage assis sur le siège conducteur. Il enfila son harnais, ses bottes ainsi qu'un long manteau pour cacher son équipement et ressorti de la camionnette. Reprenant la traque de l'écrivaine, il la suivi de très loin cette fois ci pour ne pas être immédiatement reconnu par cette dernière, l'observant depuis l'extérieur d'une boutique quand il le pouvait. L'opportunité se présenta lorsque le traqueur aperçu la jeune femme qui avait des vêtements en main à travers une vitrine se diriger vers des cabines d'essayage, c'est alors que Zack pénétra dans le magasin. C'était une petite enseigne, 50m² d'espace de vente au maximum, et qui semblait tenu par une unique gérante dynamique et qui n'hésitait pas à donner des conseils à sa clientèle avec un immense et sincère sourire. Mais ce dernier disparu bien rapidement lorsqu'elle aperçu l'individu albinos au pas de sa porte. Son regard en disait long sur ses intentions, le mal qui émanait de lui était si palpable que les quelques clientes présente quittèrent immédiatement les lieux, prisent d'une peur irraisonné.

"Je... Je peux vous aider... ?" Demanda la femme.

L'homme ne répondit pas, observant les alentours avec attention, il donnait plus l'air d'une machine que d'un homme. Lorsqu'il ne resta plus personne dans le magasin, il se dirigea vers l'un des murs proche de la vitrine et appuya sur un bouton dans un renfoncement qui servait initialement à accueillir des parapluies. Un son bruyant de machinerie résonna dans la pièce et le rideau de fer de la boutique se mit à descendre lentement dans un léger grincement métallique. Ce dernier plongea la pièce dans une légère pénombre, n'empêchant pas de voir car plusieurs faisceau de lumière passait encore à travers de nombreux mais petits orifices présent dans le rideau. La vendeuse qui était tétanisé par la présence du kidnappeur fut pris de panique.

"C'est de l'argent que vous voulez ? La caisse est là bas". dit-elle dans une voix tremblotante.

L'homme se dirigea vers cette dernière avec le même calme dont il avait fait preuve depuis le début.

"Je vous en prie, ne me faites pas de mal..." supplia t'elle presque larmoyante.

"Si vous souhaitez rentrez chez vous vivante ce soir, vous allez faire exactement ce que je dis et dans le calme". L'homme avait exprimé l'ordre avec un vice difficilement contenu tout en regardant droit dans les yeux de la pauvre femme qui lui faisait face.

Trois minutes plus tard, le traqueur était à genoux derrière le comptoir sur la femme entrain d'arracher son chemisier, cette dernière était déjà ligoter, bâillonner et yeux bandé. Quand il entendit le son d'un cri étouffé derrière lui, Zack su qu'il avait parfaitement réussi sa mise en scène. Les bruits du rideau, les gémissements de la femme et le son du tissus qu'on déchire avait attirer Mona Duval qui venait de surprendre un agresseur s'en prendre à la vendeuse. L'homme se figea dans un premier temps, puis tourna très lentement sa tête vers sa gauche, révélant progressivement son visage ainsi qu'un grand sourire sadique à l'écrivaine. Il venait de lui confirmer que son pire cauchemar était de retour.

"Mooonaaaaa...." dit-il en fredonnant.

2
"9 !"

Annonça le kidnappeur avec un sourire sadique.

"Cela fait plus d'un mois que tu es ici et j'ai eu l'opportunité de capturer 9 femmes. Une avocate trop curieuse, une mère endetté et sa fille, une streameuse populaire, une jeune mariée, y'avait même une caissière dans un fastfood dans le lot. Toutes plus belles, plus jeunes ou expérimenté que toi. Tu peux être remplacé à tout moment et j'avoue être déçu par le service proposé."

Même s'il était vrai que la femme qui était présentement entrain de pratiquer une fellation à Zack était qu'une parmi tant d'autre, cela restait une très belle femme. Blonde, vêtu uniquement de bas et d'un sous-vêtement à paillette si petit qu'il ne cachait pour ainsi dire rien, un tatouage en forme de code barre était visible sur sa fesse gauche. Cette dernière suçait le membre en érection qui lui faisait face de façon presque hystérique, poussé par la peur elle donnait tout son possible pour satisfaire son client.

"J'ai vu tes stats et c'est pas glorieux, j'ai l'impression qu'on m'a donné un produit au rabais."

La femme pris un temps de pause pour répondre.

"Je vous jure monsieur que vous ne serait pas déçu du service". Sa voix était paniqué, son corps tremblait comme une feuille et des larmes perlaient au coin de ses yeux. Elle affichait un sourire crispé.

"Tu ne sembles pourtant pas aimer ce que tu fais."

"Si si je vous assure, j'adore les bites et j'adore les sucer. J'aime sentir ma bouche remplis du jus crémeux de mes clients." A peine sa phrase fini, elle remis le pénis dans sa bouche.

Profitant d'un voyage d'affaire et afin de remercier Zack d'une fructueuse et longue collaboration, le propriétaire du Mirukugāru avait permis au criminel de loger dans son établissement pendant quelques mois. Évidemment, ce dernier pouvait profiter des services de cet endroit gratuitement, après tout, un tiers des filles qui travaillaient ici étaient des victimes du Grey Stalker.
Situé dans la tristement célèbre ville de Seikusu, le Mirukugāru était un bordel qui n'était accessible que par ceux qui connaissait son emplacement. D'une nature strictement illégal, le lieu pratique l'esclavage sexuel comme rarement vu au Japon. Les femmes qui se trouvaient ici disposaient toutes d'un fichier numérique consultable en scannant le code barre tatoué sur leur fesse. On pouvait y consulter des données comme l'âge, les mensurations, le nombre de fois où elles ont fait des stripteases sur scène, joué dans des films pornos, ainsi que des chiffres très précis comme le nombre de rapport sexuel, de sodomie, de fellation et bien d'autre encore. Si une femme plait, le client peut consulter les tarifs à tout moment et commander des services privées.

"Ah voilà, c'est mieux là déjà, j'ai cru pendant un instant avoir affaire à une frigide et non à une nympho."

Le criminel n'eut pour seule réponse de la blonde qu'un soupir de plaisir. Pour quelqu'un qui simulait la jouissance, elle était particulièrement doué, même quelqu'un d'habitué aurait pu croire que cette dernière prenait vraiment son pied.

Il y avait une sinistre raison derrière toute cette terreur. Au Mirukugāru, si une fille ne remplis pas les quotas demandé elle est considéré comme "non-lucrative", ce qui lui vaut d'être détroussé de l'intégralité de ses organes pour être revendu sur le marché noir. Et Zack se régalait de voir le désespoir dans le regard de ces filles, c'est comme ça qu'il les préférait d'ailleurs. Le kidnappeur l'avait choisi spécifiquement car elle était sur le point d'atteindre ce cap de non-retour.

Zack fini par atteindre la jouissance et éjacula abondamment dans la gorge de la femme. Même après avoir fini, il continua de s'agripper fermement à la crinière blonde entre ses jambes pour étouffer sa partenaire. Cette dernière s'accrocha de toutes ses forces au siège au point de s'en rougir les mains, on pouvait entendre d'affreux hoquets résonner dans la pièce comme si quelqu'un était sur le point de vomir, le criminel ne relâcha sa prise que lorsque le visage qu'il tenait devint violet.

"Aaaaah... et voilà, tu fais honneur à la réputation de cet établissement, je suis rassuré." Il marqua un temps de pause. "Je te mettrais une bonne note".

"Haaa... Haaa... Haaa... *hic !*... Merci d'avoir... fais appel à mes services". Dit-elle en ayant tout le mal du monde à reprendre sa respiration.

Il pouvait voir dans le regard de la femme naitre une folie qui allait profondément s'enraciner dans son être. L'esprit de cette dernière était sur le point de se briser, n'étant plus capable d'en supporter d'avantage, il arrive souvent que pour se protéger le cerveau fasse un reboot, laissant un pantin dépourvu d'âme et d'émotion en guise d'individu. Mais dans moins de 5% des cas, il pouvait arriver qu'une nouvelle personnalité se construise, celle d'une nympho complètement obnubilé par le sexe, oubliant jusqu'à son nom et pouvant supplier juste pour se faire tringler gratuitement. Ce genre de femme étaient très recherché car "très lucrative".

"Je ferai à nouveau appel à toi dans une semaine, j'espère que tes chiffres auront doublé d'içi là".

La sonnerie de son téléphone retentit dans la pièce, Zack décida de laisser la pauvre femme qui semblait mortifié par la dernière phrase qu'il avait prononcé. Un rapide coup d'œil à l'interlocuteur qui s'affichait sur son écran le fit grimacer, l'homme décrocha tout de même.

"Qu'est-ce que tu me veux Nezumi ?".

"Si vous avez un bureau pas loin, je vous invite à regarder le mail que je vous ai envoyé. Je pense que c'est important que vous voyez ça.".

Intrigué, le criminel de dirigea dans le bureau de la direction et s'installa sur le riche fauteuil en cuir qui émit un léger couinement lorsqu'il s'assit. Même si Zack n'appréciait pas l'otaku, ils avaient suffisamment travaillé de concert pour savoir que Nezumi ne prendrait pas le risque de le déranger pour rien. Après quelques minutes à sortir l'ordinateur de l'état de veille et à consulter le mail qu'il venait de recevoir, les yeux du Grey Stalker s'ouvrit en grand devant ce qui se présentait à lui.

"C'EST QUOI CETTE MERDE NEZUMI ?!!"

Sur l'écran était affiché un site internet, de conception très amateur, mais qui compilait un grand nombre d'articles qui concernaient tous le kidnappeur. Quelqu'un s'était visiblement donnée pour but de regrouper toutes les informations à son sujet, formant des théories et tentant de regrouper des photos et des vidéos impliquant les crimes qu'il avait commis.

"J'ai consulté les archives du site, cela fait plus de 3 ans qu'il existe mais il n'avait jamais connu le moindre succès, moins de 10 visiteurs par ans. Mais récemment, sa popularité à grimpé. On compte presque 100 000 visites par jour."

"Tu peux le fermer ?"

"Oui mais ça servirait à rien. Avec une tel fréquentation, tout le contenu à déjà eu le temps de se répandre. La bonne nouvelle, c'est que pour le moment le site a une réputation de vivier à complotiste. Certaines personnes sur le forum pensent que vous êtes un agent du gouvernement qui œuvre pour terroriser la population et légitimiser qu'on renforce les mesures sécuritaires. D'autres penses que vous êtes aussi imaginaire que le Big Foot."

Le cerveau de Zack était en pleine ébullition. En soit, le criminel avait déjà été arrêté plusieurs fois (libéré tout autant), il était notoirement connu dans les milieux criminels et connu également par la plupart des structures de maintient de la paix. Mais toutes les affaires le concernant n'atteignent généralement pas le grand public. Le problème était surtout que certain de ses collaborateurs apprécieraient de ne pas être associé aux crimes que commet Zack. A cause de sa notoriété grandissante, l'homme pourrait perdre un nombre considérable d'alliés.

"Vous voyez, si vous cliquez sur le lien "monde" vous pouvez voir une carte avec des articles de vos agissements dans tous les pays ses 10 dernières années. La plupart sont sans fondement, mais si vous cliquez sur Japon, puis sur Kyoto vous pourrez voir un dossier sur la vielle femme que vous avez pendu à un balcon."

"Ca me dit quelques chose ça..."

"C'est lorsque vous vous en êtes pris à l'écrivaine, Mona Duval. Vous vous en rappelez pas ? C'était il y a plusieurs mois maintenant"

"Tu crois que je me rappelle de toutes les pu... ah attend si ça me revient maintenant".

"Visiblement, la presse n'a pas du tout parlé de cette agression, rien dans les médias traditionnels. Cependant, un voisin de l'immeuble d'en face à pris une photo de vous avec son téléphone, la photo est flou à cause de la pluie et de l'obscurité, mais on vous reconnait. Heureusement que vous portiez votre masque." il marque un temps de pause. "Et puis c'est pas tout, on peut trouver les vidéos des deux fois où vous avez semé la panique dans le métro. Après tout ce que vous faites, je ne suis pas surpris que les gens commencent à parler de vous".

Sur cette dernière phrase, Zack raccrocha au nez de Nezumi. C'était ça ou il irait le débusquer dans son appartement puant pour lui trancher la gorge avec son câble cranté. Il y avait une vérité derrière tout ça, le criminel avait fait récemment preuve de beaucoup d'imprudence, laissant ses pulsions prendre le dessus à de nombreuses reprises. C'était grisant de se lâcher ainsi, le sentiment de puissance et d'impunité que cela procurait donné envie au Grey Stalker d'en vouloir toujours plus. La réalité était néanmoins là, il allait devoir faire profil bas quelque temps.

S'affalant dans son fauteuil et posant les pieds sur le bureau, Zack laissa vadrouiller ses pensés. Il repensait au bon moment qu'il avait passé à chasser cette écrivaine. Pour lui, c'était qu'une femme bien gaulé comme une autre, il avait eu l'occasion de violer plus d'une trentaine de femme depuis ces évènements. Il avait tourné la page sur cet évènement plus vite qu'une balle de révolver. Cependant, après mûre réflexion le criminel se ravisa, cette Mona n'était pas n'importe qui, c'était la femme qui lui avait fait découvrir l'incroyable saveur que la peur pouvait générer. Plus il y réfléchissait, et plus l'envie de gouter à nouveau à cette femme l'envahissait.
Le kidnappeur pris alors la décision suivante : il ferait un dernier coup. Le but serait de s'amuser en capturant Mona Duval et de la ramener ici. L'homme pourrait ainsi passer des "vacances" en compagnie de l'écrivaine à l'abri des médias du temps que tout cela se calme.

Il était temps de reprendre cette chasse qui avait été mis en pause.

Il ne fallu pas longtemps à Zack pour retrouver ses notes, il voyait des noms comme Dany, son manager qu'elle se tape ou Tamiko... qu'elle devait se taper également. La première chose à faire était de mettre à jour les informations dont il disposait. La première fut rapide à vérifier, le lendemain il se rendait à l'appartement de l'écrivaine qui semblait clairement toujours inhabité, elle devait donc vivre ailleurs. La deuxième lui pris trois jours, il se posta devant la maison d'édition où Mona travaillait et surveilla tous les allées et venu, étant habitué à cet exercice ce ne fut pas un problème pour lui. Sa patience fut récompensé au-delà de son espérance lorsqu'il vit la jeune femme rentrer dans le bâtiment. Cette dernière travaillait toujours là.

"Parfait ! Je suis visiblement en veine" dit-il avec un sourire.

A partir de là ce fut simple, il n'eut aucun mal à la suivre, l'écrivaine se faisait vraisemblablement héberger chez une amie à elle, mais cette dernière ne faisait pas partie des notes de Zack. Cela ne prendra pas beaucoup de temps pour le criminel pour l'obtenir mais il voulait faire autre chose avant, l'homme voulait relancer la machine de la peur.
Pour ce faire, il décida de commencer en douceur, et attendit quelques jours de plus. Il vit la jeune femme aller et venir de l'appartement à plusieurs reprise mais il ne se manifesta jamais. L'opportunité se présenta lorsqu'elle sortie sans manteau, sac ou personne pour l'accompagner, tout laissait penser qu'elle sortait rapidement récupérer quelques choses. C'est le moment où il dût agir rapidement, le kidnappeur se précipita sur chacune des lampes qui se trouvaient au plafond du couloir. Il les dévissa juste assez pour générer un faux contact. Le lieu se retrouva alors dans la pénombre, certaines lumières gresillaient ou clignotaient, créant une atmosphère angoissante. Zack se délecta d'avance du petit tour qu'il allait jouer à Mona, cela lui rappelait presque l'enfance. Lorsque l'écrivaine revint avec du courrier dans les mains, elle réalisa que le couloir était devenu sombre et inquiétant. La jeune femme semblait hésitante car elle ne s'engagea pas immédiatement dans le couloir. C'est là que le jeu pu reprendre pour le criminel. Alors que sa victime parcourait le couloir, il lui emboita le pas mais sans se reveler, faisant claquer ses bottes de façon parfaitement identique à ce qu'il avait pu faire lorsqu'ils s'étaient retrouvé tous les deux dans les toilettes du métro. Le but était de raviver la peur enfoui dans Mona uniquement par le son, pas plus. C'est pour cette raison que l'homme qui suivait sa proie depuis la pénombre s'en alla dès que la jeune femme fit mine d'accélérer son rythme de marche, il ne voulait pas être repéré. Mais pas d'inquiétude. Zack reviendrait.

3
Le coin du chalant / Re : Tu viens jouer avec moi ?
« le: mardi 07 janvier 2025, 22:35:48 »
Lève la main :)

4
Les alentours de la ville / Re : Déchéance [Pv Zack]
« le: mardi 25 juin 2024, 01:22:13 »
Les êtres dotés de super pouvoir étaient toujours une source d'inquiétude pour Zack. Même s'il appréciait le challenge que certain d'entre eux pouvaient représenter, c'était hélas beaucoup trop une question de hasard. A moins que l'individu soit notoirement connu, il est presque impossible de deviner que faculté méta-humaine il va manifester. Ont peut très bien tomber sur quelqu'un qui dispose que légère capacité à produire de la lumière à une puissance cosmique pouvant déchainer des tempêtes gravitationnelles destructrice. C'était donc bien souvent dangereux de s'en prendre à eux.
Heureusement dans la plupart des cas, les étudiants sortant d'école super-héroïque sont rarement des individus doté de pouvoir défiant l'imagination. Dans un premier cas, ils seraient confiné parce que considéré comme trop dangereux, et dans un second cas, ils seraient pris sous l'aile de puissante organisation (parfois gouvernementale) pour être envoyé sur des missions qui vont bien au-delà du simple kidnappeur, aussi renommé qu'il soit.

Cela avait grandement joué dans la prise de décision de Zack concernant cette gamine et il ne s'était visiblement pas trompé. Cette dernière avait repris ses esprits et tentait désormais de lui faire front, mais là aussi, son amateurisme était flagrant. Même en mettant de côté la difficulté de se battre dans la pénombre, tous les coups de l'héroïne étaient trop académique, donnant l'impression de sortir tout droit des livres théoriques sur le combat.
Quelque chose intrigua cependant le Grey Stalker, la jeune femme semblait plus… lente… que lors de ses précédents affrontements. Evidemment il y avait la peur, l'obscurité, la fatigue… Mais elle perdait trop vite du jus. Lassé par un jouet qui ne semblait plus en mesure de se défendre, l'homme riposta face à l'assaut de son adversaire avec un puissant revers de la main dans le plus pur mépris pour cette dernière.

Et là se produit un phénomène que Zack ne pensait plus voir de si tôt, la blessure que s'était faite la jeune fille en tombant se referma.

"C'est ça son pouvoir ?!" Pensa l'homme avant de poursuivre sa réflexion "Non seulement cette petite trainé porte des sous-vêtements dignes de ce nom, mais en plus, elle régénère ? C'est un véritable cadeau".

Il avait rencontré une femme immortel par le passé, et le Grey Stalker devait admettre qu'il avait rarement pris autant son pied dans sa vie. Pouvoir se lâcher aussi fort qu'il voulait sans pour autant menacer la vie de sa proie était un plaisir à ses yeux pratiquement sans égal.
L'homme ne perdit pas d'avantage de temps, utilisant tout son talent naturel pour piéger progressivement sa proie dans une toile de corde, quelques mouvement supplémentaire finirent de parachever son œuvre de suspension shibari. La jeune femme était maintenant suspendu, sa tête à environs un mètre du sol, ses mains attachés dans le dos, dans une position la forçant à toucher ses omoplates. Enfin, ses jambes étaient écartés, l'une relié à sa cuisse, l'autre légèrement tendu, donnant la désagréable impression qu'elle pouvait toucher le sol alors que cela n'était strictement pas possible.

En désespoir de cause, l'héroïne décida d'appeler à l'aide, mais sa tentative fut rapidement étouffer avec un bon vieux bâillon boule. Tout était maintenant en place.

"Biieenn... on va pouvoir s'amuser maintenant toi et moi." Déclara le kidnappeur.

Sans prévenir, Zack mis un violant coup de genoux dans le visage de sa victime, lui fracturant le nez dans un sordide craquement qui résonna dans la pièce. Ne pouvant pas respirer correctement avec la bouche bloqué et le nez ampli de sang, cette dernière suffoqua, ce qui semblait générer une crise de panique chez cette dernière. L'homme regarda attentivement la scène, observant avec attention le sang de sa victime se répandre sur le sol. Mais rapidement, l'hémorragie s'arrêta et le nez reprit une jolie forme, ne laissant aucun hématome sur le visage, cela donnait l'impression qu'il n'y avait jamais eu de blessure à cet endroit là. La jeune fille fut finalement enfin libéré de son tourment et pu reprendre sa respiration de façon haletante malgré le bâillon boule.

Zack passa l'heure qui suivi à tester les capacités régénérative de l'héroïne, frappant, giflant et mordant avec violence cette dernière mais sans jamais être trop extrême. Il avait vite compris que ce pouvoir avait des limites. Une personne possédant une puissante aptitude de régénération depuis très longtemps, serait habitué à une forme de douleur élevé, ce qui ne semblait pas être le cas de sa victime. C'était cependant très satisfaisant pour le Gray Stalker qui ne s'attendait même pas à recroiser ce genre d'individu un jour.

"C'est pas mal, tu encaisses bien" l'homme agrippa les cheveux de sa proie pour la forcer à lever la tête. "Je serai curieux de voir ce qui se passe si je te coupe une jambe ou un bras". il ne l'aurai jamais fait, mais il se délecta de la panique qui apparu sur le visage de la jeune fille.

Après un traitement aussi long, la jeune femme bavait abondamment à travers les commissures de ses lèvres, plusieurs filets de salives tombaient ici et là provoqué par sa respiration soutenu. Glissant son doigt dans la lanière et tirant d'un coup sec, Zack retira le bâillon boule qui alla pendre comme s'il s'agissait d'un collier.

"Normalement tu devrais avoir la gorge irrité après avoir eu ça en bouche pendant une heure mais je suppose qu'avec ton pouvoir tu n'as rien du sentir, tu es naturellement faite pour faire des gorges profondes haha". Ironisa t'il sans accorder d'intérêt à la réponse que l'héroïne lui fit à ce moment là.

Fouillant dans sa poche, le criminel sortie son téléphone et débuta la fonction vidéo. Il se mit à s'exprimer comme s'il était face à un public et filma sa victime sous tous les angles, faisant parfois des zooms sur les fesses, la poitrine ou le visage de cette dernière. Le but était avant tout de la mettre mal à l'aise en lui faisant croire que cela sera diffusé (ce qui n'est clairement pas impossible) mais il comptait surtout garder la vidéo pour sa collection personnelle.

"Voici Aurore Hastings, jeune super héroïne qui sera la star de ce soir. Regardez comment elle s'est fait belle juste pour nous avec cette magnifique lingerie". Il marqua un temps de pause pour filmer le postérieur de la jeune femme et lui infliger un fessé cinglante. L'homme se repositionna devant sa proie pour cadrer la vidéo sur le visage de cette dernière, il reprit alors la parole. "Alors petite trainée, tu aimes ça porter des strings ? Dit-le, je veux te l'entendre dire."

Zack ne savait pas si c'était information était vrai ou non, mais la jeune femme ne semblait pas vouloir répondre à sa question de manière favorable. Dès qu'Aurore tentait de manifester son mécontentement, ou de dire quelque chose qui n'avait pas de lien avec la question posé, elle fut immédiatement puni pour son insolence avec un coup de poing fulgurant dans le visage, la faisant se balancer légèrement au dessus du sol. Les frappes se succédèrent dans un duel de volonté pour savoir qui se lasserait avant l'autre mais après plusieurs longues minutes insoutenables, la pauvre victime donna une réponse positive à l'homme en toussant du sang.

"Non, je veux pas que tu me dises que j'ai raison, car je sais que j'ai raison et que tu n'es rien qu'une pute en sursis, je veux t'entendre dire la phrase au complet". Ce n'est qu'après avoir obtenu ce qu'il voulait que Zack reprit la parole, toujours en filmant avec son téléphone. "C'est ce qu'il me semblait. Mais on a envie de te connaître d'avantage, les questions que l'on se pose maintenant c'est :"est-ce que tu aimes sucer et est-ce que tu aimes avaler du sperme ?".

La question sembla à nouveau provoquer un sentiment de rébellion chez la jeune femme. A nouveau, le criminel ignorait si c'était vrai ou non, mais il s'en fichait éperdument, tout ce qu'il voulait s'était assouvir son plaisir sadique de domination. Les coups se mirent à pleuvoir à nouveau mais l'homme était monté d'un cran dans la violence qu'il exprima auprès de sa victime, si bien que cette dernière abdiqua bien plus rapidement que la première fois.

"Voilà, ça c'est ce qu'on veux entendre, et ça tombe bien. En effet, un peu plus tôt, je te disais que tu devais probablement être né pour faire des gorges profondes, il est temps de découvrir ton potentiel".

Presque de façon jovial, l'homme ouvrit son pantalon pour révéler son pénis en érection, une colonne de chair à la pâleur abominable et aux veines violacés, tressautant d'excitation comme s'il était animé d'une volonté de faire du mal. Zack s'approcha de la jeune femme et agrippa ses cheveux si fort qu'il aurait pu les arracher, l'héroïne qui semblait horrifié par la situation supplia le criminel d'arrêter mais il ne l'écouta pas. Ce dernier fit très lentement s'approcher le visage de la jeune femme près de sa verge palpitante. Plus elle se rapprochait et plus Aurore devenait larmoyante et suppliante, secouant sa tête dans tous les sens pour se dégager et s'éloigner mais sans succès.
Les lèvres de sa proie entra finalement en contact avec le membre viril de son agresseur, elle semblait fermer sa bouche de toutes ses forces afin d'empêcher l'organe intrusif de pénétrer dans gorges, émettant de puissant gémissement de refus et de terreur. Cependant, le kidnappeur se délectait du profond désespoir de sa victime, rendant son pénis plus dur encore. Forçant sur la tête de sa proie à l'aide des cheveux de la jeune femme pour lui créer une position la plus douloureuse possible, le criminel continuait à pousser avec son pénis tout en filmant avec son autre main. Après plusieurs interminables minutes, les lèvres d'Aurore cédèrent et l'immonde pénis pénétra doucement dans la bouche de cette dernière. Zack aurait pu rentrer d'un coup dans la gorge de l'héroïne une fois le passage ouvert, mais il souhaitait que chaque secondes soit ressenti de la façon la plus désagréablement longue possible. C'est pourquoi, il poursuivit lentement sa progression, plus il s'enfonçait et plus sa victime pleurait abondamment, jusqu'à atteindre le fond de sa gorge provoquant ainsi des haut-le-cœur.

"Pourquoi tu pleurs ? Je croyais que tu aimais ça sucer ?" Indiqua le Grey Stalker. "A moins que tu pleures parce que tu en peux plus d'attendre que mon sperme inonde ta gorge. Rassure toi, ça arrive".

Toujours en maintenant sa prise douloureuse sur les cheveux de la jeune femme, ce dernier commençant des mouvements de va et viens du bassin. D'abords lent, puis de plus en plus rapide et fort, jusqu'à devenir un véritable marteau pilon, ravageant la délicate gorge d'Aurore. Mais comme prévu, le pouvoir régénérant de cette dernière pris le relais, les couinements de douleurs laissèrent rapidement place à des gémissements inconfortable et des hoquets lié à la difficulté de respirer. Quel bonheur s'était pour Zack de pouvoir baiser une femme sans se soucier de son intégrité. C'était sûr maintenant, il voulait la garder dans sa collection.

Après vingt minutes à visite la gorge de sa victime, le criminel haletait bruyamment, grognant de bonheur, il n'attendait plus qu'une chose, se vider entièrement dans la petite bouche humide qu'il avait sous la main. Parfaitement conscient et terrifié de ce qui était sur le point de se produire, Aurore trouva les dernières forces enfoui en elle pour se débattre à nouveau de façon hystérique. La chance lui permit de dégager l'horrible chibre qui envahissait sa gorge, après avoir pu avaler une très courte bouffé d'air, elle n'eut le temps d'exprimer qu'une ultime supplication avant que le pénis de l'homme ne pénètre à nouveau dans sa bouche pour l'interrompre. Le membre viril palpitait comme s'il était pris de spasme, ce n'était plus qu'une question de seconde avant qu'un déluge d'une semence ignoble aille remplir l'estomac d'Aurore.

5
Esclave de ses pulsions, Zack déboula dans le salon en trombe et se jeta sur la proie qu'il avait capturé dans ses câbles sans autres formes de procès. Le cri qui découla de cette action fit reprendre ses esprits au criminel.

"Ce n'est pas sa voix, ce n'est pas Mona". réalisa t'il.

Face à lui, le dos plaqué au sol et les pieds empêtrés dans les câbles de captures, se trouvait une femme d'une quarantaines d'années. Ses traits du visage étaient tiré comme s'il y'avait des pinces à linge derrières sa tête, sa bouche pincé et ses lèvres gonflés rappelait le bec d'un canard. Si on ajoute un maquillage beaucoup trop marqué pour une personne au beau milieu de la nuit et un chignon étriqué lui servant de coiffure de fortune, le terme qu'emploierait Zack pour décrire cette femme serait "sale truie périmé". Elle portait une robe de chambre dont la ceinture était parfaitement serré autour de sa hanche et qui semblait être confectionnée dans un tissus bien trop cher pour ce qu'il est.

La pauvre résidente de l'immeuble eu même pas le temps de demander ce qu'il se passe que le kidnappeur ouvrit le peignoir de sa victime révélant ainsi une nuisette en soie bleu nuit. Cette dernière fut arraché dans la seconde pour faire apparaitre une poitrine absurdement refaite, le tout enveloppé dans une lingerie de charme luxueuse mais qui n'était toujours pas du genre que Zack affectionne. Un premier cri féminin raisonna dans tout l'appartement ainsi que le couloir, mais il fut vite interrompu par un coup de poing au visage aussi sec que violent, deux lueurs rouges terrifiantes s'approchèrent du visage de la victime.

"Tu ressembles à un vieux produit d'occasion qu'on aurait retapé pour pouvoir le vendre et se faire un peu d'argent". Déclara le Grey Stalker avec un dégoût manifeste dans la voix. "Tu n'es rien de plus qu'une pute au rabais. Tu pourrais avoir au moins la décence de porter des sous-vêtements digne de ce nom.". Les cris reprirent et de nouveaux coups se joignirent à la voix stridente qui devenait de plus en plus hystérique au fur et à mesure qu'elle se faisait frapper. "OÙ EST LA FEMME QUI VIT ICI ?! OÙ EST MONA DUVAL ?!" Hurla l'homme. Si à l'instant on pouvait voir les yeux de ce dernier, ils seraient injecté de sang.

Entre deux hurlements, Zack remarqua un léger tintement métallique qui le figea net, c'était un bruit qu'il aurait pu reconnaitre entre mille et qui fut le détail qui réinstaura le calme dans la pièce. Seul restait de faible gémissement larmoyant provenant d'une femme qui se demandais encore comment elle avait pu en arriver là. Observant rapidement la pièce autour de lui malgré l'obscurité, le criminel aperçu des traces de sang sur le sol à l'aide de ses lunettes qui formèrent une fine trainé menant vers une fenêtre ouverte du salon. Son cerveau fit immédiatement le rapprochement logique de ce qui s'était passé et son corps se mit en action en conséquence. Soulevant la résidente de l'immeuble sur son épaule comme un sac de charbon, il l'a fit passer au travers de la fenêtre en la déposant douloureusement sur le sol métallique de l'escalier de secours. L'homme jeta un œil par dessus la rembarde et aperçu Mona qui était entrain de dévaler les marches à toute allure, elle avait une bonne avance mais pour quelqu'un qui pouvait emprunter la voie des airs pour descendre comme lui, cela ne représentait aucune difficulté de la rattraper. Il fallut 45 secondes à Zack pour saucissonner sa récente victime, de prime abords cela donnait l'impression d'un insecte pris dans une toile d'araignée, mais pour un œil averti il s'agissait là d'une merveille de ligotage. En plus d'une double corde qui traversait la bouche pour bâillonner la femme et l'empêcher de se mordre la langue, le tout formait une sorte de harnais de corde qui maintenait le corps entier sans pour autant couper la circulation du sang. Le kidnappeur vérifia une dernière fois la position de de Mona, il ne lui restait plus que 2 ou 3 étages à descendre pour s'échapper du bâtiment, mais après une minute de préparation tout était prêt. Si l'homme ne portait pas son masque, on pourrait apercevoir tout le sadisme qui émane de son sourire carnassier.

A partir de ce moment là, tout s'enchaina très vite. Zack bascula la résidente de l'immeuble dans le vide, se positionnant sur la rembarde pour que cette dernière tombe de la façon la plus verticale possible. Le frottement de la corde contre ses gants lui chauffait douloureusement ses mains, mais il n'en avait rien à faire, car tout son attention était focalisé sur une seule chose. Deux secondes à peine s'étaient écoulé que l'homme stoppa progressivement la chute de sa victime pour qu'elle s'arrête pile à l'étage de où se situait Mona. La quarantenaire qui s'était évanoui au cours de la chute, était à présent suspendu par les pieds, arborant un visage déformé par la terreur. Oui, Zack avait fait tout ça dans un unique but de mise en scène. Tout son cerveau malade avait travaillé pour imaginer une scène qui aurait pour conséquence de provoquer une peur soudaine chez sa proie, car c'est désormais de ça qu'il se nourrit.

Ne perdant pas d'avantage de temps, le kidnappeur fixa le câble d'escalade pour que la longueur reste la même, puis il utilisa cette même corde qui maintenait la résidante de l'immeuble dans le vide pour descendre en quelques secondes en rappel jusqu'à l'étage où se trouvait Mona. L'homme se tenait à présent devant sa proie qui était assise sur le sol en métal, elle avait probablement dû tomber à la renverse face à la surprise de voir sa voisine apparaitre dans cette état devant ses yeux.

"Mooooonaaaaaa". Fredonna t'il. Voir l'écrivaine dans un tel état de panique avait un peu apaisé sa colère.

La jeune femme prit la fuite en tentant de remonter l'escalier de secours, Zack lui emboita le pas mais ne chercha pas à lui courir après, il se contenta simplement de marcher à un rythme légèrement soutenu. Au début, sa proie n'eut aucun mal à le distancer, cela devait être une personne sportive car elle ne semblait pas avoir de difficulté à enchainer les étages de façon effréné. Mais la pluie rendait les marches glissantes, les entailles à ses pieds devaient transformer l'exercice en véritable supplice, et la fatigue se manifesta rapidement. Mona trébucha une première fois, permettant au criminel de rattraper un peu son retard mais il n'accéléra pas pour autant. L'écrivaine se releva péniblement mais repris rapidement son ascension, cependant cette première chute aggrava son état de panique, et il fallut peu de temps avant qu'elle ne tombe une seconde fois. C'était devenu un véritable cercle vicieux, plus Zack s'approchait d'elle et plus la peur lui faisait perdre ses moyens, l'empêchant de réussir quelque chose d'aussi simple que de monter plus de trois marches sans tomber. S'en était à un tel point, qu'il était parvenu à la rattraper simplement en marchant.

"Mooooonaaaaaa". Fredonna t'il à nouveau.

Ca y'est, la revoilà enfin, tentant de monter péniblement les marches à quatre pattes, rampant presque d'épuisement et de peur. La forme sombre de l'homme s'approchait inéluctablement de sa victime, les deux lueurs rouges produites par ses lunettes donnait un aspect surnaturel au criminel, si les lumières de la ville n'était pas là, on aurait pu croire qu'il s'agissait d'un spectre. Alors qu'elle tentait toujours de s'éloigner de son agresseur, Mona se mit à insulter ce dernier, l'ordonnant de la laisser tranquille, mais il ne s'arrêta pas. Les propos injurieux perdirent progressivement de leur assurance à mesure qu'il s'approchait pour devenir des demandes effrayés, jusqu'à devenir des supplications larmoyantes lorsqu'il ne resta plus qu'un petit mètre entre eux.

Alors qu'elle était sur le point de gravir un nouvel étage, Zack saisi le pied de la jeune femme avec sa main droite et la tira vers lui, la faisant dégringolé de deux ou trois marches. Puis, il lui agrippa les longs cheveux de cette dernière avec sa main gauche pour la tirer d'avantage vers lui. Elle tenta vainement de se débattre tout en continuant à le supplier d'arrêter mais l'homme n'eut aucun mal à la maitriser en s'allongeant simplement sur elle de tout son poids. Pour une raison qu'il ignorait, elle empestait le patchouli, mais ce n'était pas ça qui aller le stopper. Les vêtements des deux étaient complètement imbibé d'eau de pluie, mettant magnifiquement en valeur les formes de Mona et il était encore plus facile pour elle de sentir l'érection de ce dernier à travers sa combinaison. C'était l'un des moments que le kidnappeur aimait le plus lors d'une traque, celui de retreindre sa proie. Il attrapa la menotte qui pendait à la main droite de Mona pour tirer dessus et la forcer à la mettre dans le dos. Toujours plaqué contre l'escalier, les seins écrasé contre les marches en métal, elle décida d'utiliser sa main gauche pour agripper de toute ses forces un barreau de la rembarde. Malgré toutes ses mots suppliants et ses larmes, une part d'elle ne semblait pas vouloir abandonner, ce qui le fit rire.

"Hahaha, Tu te fatigue pour rien.". Murmura t'il.

Au lieu de tirer sur son bras, ce qui aurait été aussi pénible que fastidieux, Zack fit le choix de saisir le poignet de sa pauvre victime pour le serrer comme un étau et lui faire aussi mal que possible. Après plusieurs secondes d'un duel de volonté qui semblait interminable, la jeune femme lâcha finalement le barreau, l'homme ramena doucement le bras de Mona dans son dos malgré que cette dernière tenta désespérément de lutter pour empêcher cela. Il faisait exprès d'y aller lentement pour qu'elle puisse pleinement réaliser son impuissance, que la jeune femme visualise que sa défaite était proche et tout ce que cela pouvait impliquer. C'est alors que d'un seul coup, lorsque la main gauche de l'écrivaine fut suffisamment proche qu'il referma la menotte, serrant aussi fermement que celle à la main droite, provoquant un cliquetis caractéristique.

Au moment où Mona fut menotté pour de bon, cela provoqua chez elle une vive crise de nerf qui la fit crier et pleurer abondamment. Zack ne savait pas si cette dernière était maintenant convaincu qu'elle allait mourir, mais si c'est le cas, cela lui allait très bien. Une telle détresse provoquait chez lui une excitation telle, que son érection ne pouvait pratiquement pas être plus forte. En réalité, il aurait presque pu jouir sans autres éléments pour le stimuler, mais cela serait dommage pour lui de s'arrêter là, il lui fallait plus. Le criminel leva la robe noire de sa proie pour révéler un magnifique fessier vêtu d'une culotte de coton grise complètement trempé, cette dernière était très légèrement remonté dans les fesses à cause de toutes les tentatives de Mona pour se débattre, donnant sensiblement l'impression qu'elle portait un tanga.

"je veux bien pardonner cette écart vestimentaire quand je vois un cul pareil". Annonça t'il avant de reprendre. "Bon voyons le reste de la marchandise".

Sans difficulté Zack retourna sa captive sur le dos et déchira violemment la robe d'un coup sec en écartant depuis le col. Il tira ensuite le soutiens gorge vers le bas pour enfin révéler une généreuse poitrine qui ne demandais qu'à être dévoré, les gouttes de pluies qui tombaient sur cette poitrine somptueuse, formait un ruisseau dégoulinant le long de son corps, une pure œuvre d'art. Même s'il ne la violerait pas ce soir, s'en était trop pour le criminel qui défit son pantalon afin de libérer son membre viril. Ce dernier d'une taille convenable, n'était certainement pas le plus imposant qui soit, mais sa pâleur, sa légère courbure et ses veines boursoufflé d'une teinte violacé le rendait repoussant. Zack se saisit vigoureusement des seins de l'écrivaine et s'en servit pour masturber son pénis entre eux, c'était un vrai délice. Chaque coup de reins dans la poitrine de sa victime était accompagné d'un petit couinement de dégout de cette dernière. C'était un plaisir unilatérale et égoïste, le but n'était en aucun cas d'essayer de procurer une quelconque sensation à Mona, mais purement de savourer le fruit de son travail. Il ne fallut pas longtemps pour que le kidnappeur jouisse abondamment sur la poitrine de Mona, projetant quelques filets de sperme supplémentaire sur son cou et sa joue, provenant de sa verge encore palpitante.

"Aaaah". Soupira t'il satisfait tout en reboutonnant son pantalon. "Ce fut court mais satisfaisant. Pas trop mal, tu feras une excellente pute".

Devant le regard terrifié de Mona, Zack s'approcha du visage de sa proie pour éclaircir ses propos.

"Oui parce que mon but c'est de te revendre à des proxénètes. Une écrivaine célèbre comme toi peut rapporter pas mal d'argent à moi mais aussi à ceux qui vont te mettre sur le trottoir".

Il ne savait pas s'il allait vraiment faire ça, c'était une très forte possibilité, mais le but était surtout de continuer à l'effrayer.

"Quand tu auras danser dans tous les clubs de striptease, sucer toutes les bites dans les rues et avoir jouer dans tous les pornos, je peux t'assurer que la célèbre Mona Duval ne sera plus connu pour ses talents d'écrivaine". Il s'approche alors son visage de celui de la jeune femme. "Tu peux dire adieu à tous tes proches, ta vie viens de prendre fin".

Mona s'apprêtait à répondre quelque chose mais elle se figea net lorsqu'elle aperçu le bâillon boule de Zack dans sa main droite. Il l'approcha doucement du visage de cette dernière pour qu'elle puisse bien l'observer. On pouvait distinguer l'usure sur le silicone de la balle, de légères entailles prouvant non seulement qu'il y avait eu d'autre victime avant, mais qu'elles avaient probablement dû mordre très fortement dedans. Aussi loin que remonte les souvenirs du kidnappeur, il ne se rappelle pas avoir vu déjà quelqu'un blêmir autant à la vision de cette boule noire. A l'aide de sa main gauche, il agrippa la mâchoire de l'écrivaine, la forçant à douloureusement ouvrir la bouche. Le bâillon était en contact avec ses lèvres marquant un temps de pause, une dernière poussé et elle serait dedans, tous les rêves et espoir de la jeune femme prendrait alors fin.

C'est alors qu'une sirène de police retenti au loin. Zack ne savait pas si c'était pour lui ou non, cela n'avait aucune importance, car c'était l'opportunité rêvé pour lui de poursuivre sa mise en scène. L'homme se releva d'un coup en se tournant en direction du bruit, profitant de l'opportunité pour volontairement faire tomber la clé des menottes à côté de Mona et faire comme s'il n'avait pas remarqué. Le criminel prit rapidement la fuite dans les ombres sans demander son reste car il voulait encore jouer avec elle, persuadé d'être capable de la pousser plus loin dans la peur et le désespoir. Zack reviendra la chasser dans quelques jours et à ce moment là, il abuserait d'elle comme il se doit.


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One Shot / Re : La capture est ouverte. - pv
« le: samedi 23 mars 2024, 01:11:16 »
Malgré une marche rapide, il fallut plusieurs longues minutes au kidnappeur pour arpenter les couloirs qui mènent jusqu'au poste de sécurité, temps qui fut mis à profit pour vérifier régulièrement son téléphone. Sa cible ne semblait pas vouloir répondre à son message, est-ce qu'elle faisait autre chose ? Un symbole en bas de la conversation indiquait que le sms avait bien été envoyé, cependant, cette même icône semblait dire que ce dernier n'avait pas encore été lu. Peu importe pour le moment, dans les prochaines minutes Zack n'aurait probablement pas l'opportunité de répondre.

La tour grouillait de gardes au niveau du rez-de-chaussée, il serait logique de penser qu'il y en ai beaucoup à l'étage du politicien et pratiquement pas dans les autres. Pour confirmer cela, il était nécessaire de prendre le contrôle de toutes les caméras du bâtiment. Quelque chose d'impossible à faire pour le criminel, n'étant pas très versé dans les domaines informatiques, ce qui n'était pas un problème pour Nezumi en revanche.

Le poste de sécurité était situé dans l'aile est de l'hôtel qui, sans être isolé, était surtout un lieu fréquenté par le personnel de l'établissement. L'homme commençait à jurer avec son environnement, mais ce ne serait pas très grave tant qu'il ne s'y attardait pas. La porte qu'il cherchait se trouvait droit devant, mais quelques personnes en plus de lui empruntaient le couloir. C'est pourquoi afin de ne pas éveiller les soupçons, Zack pénétra le plus naturellement du monde dans la pièce en s'assurant de fermer derrière lui.

Personne.

Mais ce n'était pas un hasard, tout le service avait reçu un faux mail de la part de monsieur Tone grâce aux coordonnées obtenu par Hana. Le courrier électronique avait était transféré depuis la boite aux lettres numériques de la direction qui avait été hacké grâce à une simple tentative de fishing de la part de Nezumi. Le message consistait en une convocation urgente et qui accusait les vigiles d'utiliser le système de surveillance pour épier le politicien lors de ces parties de jambes en l'air. Ce qui était évidemment faux car il n'y avait pas de caméra dans les chambres, mais du temps qu'ils s'expliquent avec les responsables de l'hôtel, Zack aurait le temps d'accomplir l'étape 4 de son plan.

Le kidnappeur s'approcha d'un ordinateur qui était en vieille, le bleu de l'écran se reflétait sur le visage de l'homme qui ne perdit pas une seconde pour faire apparaitre l'écran de connexion. A ce stade, il ne connaissait pas le mot de passe et n'en aurait normalement pas besoin, l'homme se contenta de sortir une clé USB de la poche de son pantalon et de la brancher sur l'unité centrale. En parallèle, il pressa quelques boutons sur son téléphone qui se trouvait dans autre main.

"Clé branché" annonça-t'il.

"Je prend le relais, donne moi un instant". La voix de l'otaku résonna à travers l'écouteur.

"Traine pas".

Pour cette opération, les commanditaires de Zack avait financé du matériels militaires digne de film d'espion. Cela faisait parti du deal pour que Nezumi accepte et puisse participer à ce coup. En temps normal, son champs d'action était très limité mais avec ces nouveaux outils entre ses mains, le pirate informatique allait pouvoir rentrer dans les hautes sphères du recèl d'information. Le kidnappeur s'imaginait déjà les tourments qu'allaient rencontrer toutes ces idoles et streameuses japonaises.

"C'est bon ! Je suis dans le système, tu peux partir" Déclara t'il avant d'ajouter. "Dans quelques minutes, la connexion sera établi avec ton téléphone et tu pourras avoir accès à toutes les caméras depuis l'application que je t'ai faite installer".

"Écoute moi bien à présent. Quand je te le dirais, tu enverras la "bombe" à la fille de Tone et tu préviendras notre complice de se tenir prête. Dès que c'est fini. Tu envoies le signal".

"C'est compris".

La "bombe", était une vidéo doublé d'un cheval de Troie, programmé pour ne pas pouvoir être stoppé tant que son visionnage était en cours. De plus, le logiciel malveillant permettrait à Nezumi de pénétrer dans le téléphone de Célestine pour en prendre le contrôle. Le but était simplement de remplacer tous les numéros du répertoire de contact par celui de Zack. La vidéo en elle même n'était pas indispensable concrètement pour la capture de sa proie, mais elle revêtait un aspect primordial pour la mise en scène du kidnappeur.

L'homme sortie immédiatement du poste de sécurité avant que quelqu'un ne l'aperçoive, rassuré de voir que l'une des étapes les plus délicates s'était passé sans encombre. Tout en s'éloignant, son attention fut désormais focalisé sur son téléphone, il ouvrit une application et ne put réprimer un sourire en constatant que son collaborateur avait bien travaillé. Ne perdant pas de temps, Zack consulta une à une les caméras du dernier étage et un fait marquant sauta à ses yeux : Il y avait bien des gardes à cette étage, mais seule une chambre en avait un de posté en permanence devant. C'était forcément celle de Celestine.

Passant sur la partie messagerie de son téléphone, l'homme envoya un second sms à la jeune fille.

"Tu crois que le garde me laissera rentrer ?" Demanda le Grey Stalker. Toujours dans le but de faire monter la tension progressivement.

C'est bon, tout était en place. Le criminel n'attendait plus qu'une réponse de sa proie pour larguer la bombe. Que la vidéo soit envoyé ou non cela ne changerait pas le fait que les jours de liberté de cette fille était compté, mais il espérait au fond de lui qu'elle réponde avant de lui transmettre. En effet, le plaisir que prendrait plus tard l'homme n'en serait que plus grand.

Suite à cela, Zack se dirigea vers l'ascenseur prêt à capturer sa proie.

7
One Shot / Re : La capture est ouverte. - pv
« le: vendredi 08 mars 2024, 00:15:25 »
Alors que Zack s'apprêtait à lire la réponse qu'il avait reçu sur son téléphone portable crypté, son attention fut attiré par l'arrivé d'un groupe de 6 femmes dans le hall de l'hôtel. Aussi resplendissantes que souriantes, elles attirèrent tous les regards avec leur démarche élégante et leur regard envouteur. Un réceptionniste se tenait à leur côté pour les guider et leur ouvrir les portes. Pourtant, malgré une certaine classe qui correspondait au standing de l'établissement, c'est avant tout leurs tenues ostentatoires qui ne laissaient aucun doute sur leur véritable nature : Décolleté plongeant, robes fendu jusqu'à la hanche, tissus légèrement transparent, lingerie apparente… Il était impossible de ne pas comprendre qu'il s'agissait d'escort de luxe. Dans le lot se trouvait cependant un femme qui faisait un peu tâche aux côtés de ses déesses de la luxure, sa tenue était plus vulgaire et moins coloré, son visage montrait qu'elle ne se sentait pas à l'aise. Une personne doté d'un bon sens de la déduction pourrait penser qu'il s'agissait d'une débutante dans la profession.

Lorsque le kidnappeur était allé à la rencontre de l'assistante de monsieur Tone, il ne s'était pas contenté de prendre sa carte magnétique et le numéro de Célestine, il en avait profité également pour récupérer tout un tas d'information concernant l'homme politique, notamment son planning ainsi que ces habitudes. Après avoir reçu un mail de ce dernier, un simple appel de Zack a suffit pour commander des filles tout droit sortie des bordels avec lesquelles il collabore. D'ailleurs, la plupart d'entre elles sont des victimes du Grey Stalker qui ont été revendu à des proxénètes. C'était donc la deuxième étape du plan : Ces dames avaient pour rôle d'empêcher monsieur Tone de répondre au téléphone, et de s'assurer que personnes ne rentre durant les prochaines heures de débauche qui allait suivre. Le criminel n'était pas inquiet, c'était des putes bien dressés et le politicien serait si bien du haut de son septième ciel, qu'il n'accorderait plus aucune importance aux problèmes terrestres.

C'est ainsi que comptais faire Zack, isoler chaque cibles les unes des autres. Rassuré de voir le début de son plan se dérouler correctement, il consulta finalement son téléphone.

– Une excellente nuit, je dirais. Que me vaut un message de votre part ? – Questionna Célestine dans son message.

-- Je me suis dit que vous pouviez vous sentir seule la haut. -- Répondit-il.

Selon Zack, Céleste disposait encore d'une vingtaine de minutes devant elle si l'envie lui prenait de vouloir prendre contact avec son père. Après ça, il devrait (normalement) être injoignable pour minimum une heure (la nuit entière en théorie, mais un imprévu peut ce produire). C'est alors que l'opportunité que le criminel attendait se manifesta, l'un des membre de la sécurité pénétra dans les toilettes des hommes. C'était trop tôt pour se débarrasser d'un garde, son absence serait rapidement remarqué et Zack ne pouvait pas non plus voler une identité, car les possibilités qu'ils se connaissent entre eux était trop grande. Heureusement, il n'avait pas besoin de grand chose pour arriver à ses fins pour le moment. En effet, grâce à une excellente science du timing le Grey Stalker pénétra dans les toilettes au mêmes moment que le vigile en ressortait. Profitant de l'extraordinaire dextérité de ses doigts et d'un culot effronté, il profita de croiser le vigile dans l'encadrement de la porte pour lui subtiliser sa carte d'accès, le mouvement était digne d'un pickpocket de renom.

A présent seul dans les toilettes, le kidnappeur disposait de tous les éléments pour pouvoir se déplacer librement dans cette tour. Il pouvait même dès à présent prendre l'ascenseur, débloquer l'accès au dernier étage grâce à la carte du garde et capturer Célestine. Mais avant ça il restait deux choses à faires.

Profitant d'un léger temps de pause, Zack envoya un second message à Célestine. Il ne prit même pas la peine de voir si la jeune femme lui avait répondu ou non.

-- Je vais venir vous voir. -- annonça le Grey Stalker.

C'était le tout premier message qui avait pour but de faire naitre la peur chez sa victime. Ce dernier ne devrait normalement avoir pratiquement aucun impact sur la jeune femme, mais l'homme espérait quand même faire naitre un peu de confusion. La peur allait pouvoir monter progressivement à partir de là.

Reprenant le cours des opérations, le criminel fouilla ses poches à la recherche d'un boitier en plastique de la taille d'une grosse boite d'allumette. A l'intérieur, se trouvait un lot de fausse carte magnétique avec les visages d'un certain nombre d'employé. Lorsqu'il trouva celle avec la photo du garde qu'il avait volé, Zack l'a fit tombé près de la porte. Il s'agissait de Yasu Koji, un des nombreux vigiles dont la photo avait été prise la semaine avant le kidnapping et qui a servit à faire cette contrefaçon. Avec ce bout de plastique ont ne pouvait rien ouvrir, mais ils avaient été fait pour ne pas donner l'impression qu'il y ai eu un vol.
C'était la raison pour laquelle Zack avait attendu dans le hall, pour reconnaitre le visage de l'un des membres du personnel qu'il avait mémorisé et pour pouvoir faire un échange de carte. L'étape numéro trois avait été atteinte.

Ne souhaitant pas s'attarder d'avantage sur les lieux au cas où il croiserait à nouveau ce Yasu, Zack se dirigea prestement vers le poste de sécurité. L'homme, jeta un œil à la conversation téléphonique avec Célestine pour voir s'il avait loupé un message, c'était important que le criminel garde le fil de la discussion pour préparer son effet de style. La prochaine étape risquait d'être plus délicate en revanche...

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One Shot / Re : La capture est ouverte. - pv
« le: lundi 19 février 2024, 23:41:13 »
Zack n'aimait pas recevoir du courrier.

Comme à son habitude, le kidnappeur avait pris possession du logement de l'une de ses victimes le temps de se cacher. Cette dernière était encore larmoyante après les sévices qu'elle avait subi la veille. Suspendu au plafond de la chambre façon shibari, elle donnait l'impression d'être prise dans la toile d'une araignée. Personne ne savait ce qui s'était passé dans cette appartement et les proches de la victime mettraient au moins 72 heures avant de commencer à s'inquiéter. Pourtant même ainsi, une enveloppe noire qui n'était pas là à l'arrivé de l'homme reposait sur le sol devant la porte d'entrée.

Il s'avait exactement de ce que c'était.

Cette lettre contenait une "commande" provenant d'un haut commanditaire, une personne suffisamment puissante pour se payer les services de l'un des plus effroyable kidnappeur du monde, doté du pouvoir d'ignorer la lois et de permettre au criminel de sortir impunément de n'importe quel prison. Mais ce qui avait le don d'agacer profondément l'homme, c'était d'avoir l'impression de ne pas pouvoir échapper à ces gens là. Quelque soit l'endroit où il se cachait, ces types finissaient toujours par le retrouver.
Paradoxalement, l'irritation du Grey Stalker laissait vite la place à l'intérêt puis l'excitation. En effet, ce genre de mission impliquait souvent un challenge digne de son niveau, défi qu'il prenait toujours plaisir à relever.

Alors que Zack ouvrait l'enveloppe avec un geste maitrisé, la lettre qu'elle contenait commençait déjà à se détériorer sous l'effet de l'air ambiant. C'était l'une des nombreuses façon de ne laisser aucune trace, quoique un peu vieux jeu à une ère où tout est numérisé. La mission cette fois-ci consistait à enlever Célestine Tone, fille du célèbre homme politique américain. Ce dernier avait emménagé récemment au Japon pour une durée indéterminé, mais nul doute que le commanditaire du kidnappeur voulait une action des plus rapides. Il eut tout juste le temps de lire l'adresse de la cible avant que le papier ne soit complétement réduit en poussière.

Le lendemain, Zack s'attelait déjà aux préparations de sa mission qui consistait à préparer le matériel et a établir un plan. Après quelques coups de fil, il reçu dans la soirée les plans de la tour où résidait la famille Tone qu'il étudia avec attention. La résidante de l'appartement qui servait de planque, était attaché de façon à servir de table pour le kidnappeur, contrainte de garder l'équilibre si elle ne voulait pas que sa situation n'empire encore plus. Sur son dos, se trouvait des documents légèrement éparpillés, deux stylos , un téléphone portable et une tasse à café chaude sur l'une des fesses meurtri de la pauvre femme. Après une longue réflexion, un sourire carnassier se dessina enfin sur le visage de l'albinos qui venait de trouver son angle d'attaque. Cette tour était une forteresse solide avec autant de piège que de faille à exploiter. Malgré le fait qu'elle soit à la pointe de la technologie, cette dernière était avant tout de conception civil, elle n'était donc pas prévu pour empêcher des forces armées ou bien des super criminels entrainés d'y pénétrer. Mais ce qui fit bouillir les neurones de satisfaction du Grey Stalker, c'était que le point le plus fort de ce lieu aller devenir son plus gros point faible. Le plan était le suivant : Isoler l'étage où se trouvait la chambre de Célestine du reste de l'immeuble. En faisant ainsi, tout ceux qui s'y trouve serait piégé et il sera aisé pour Zack de traquer Célestine et de se débarrasser des gardes. Pour ce faire, il allait devoir demander de l'aide à l'un de ses contact : Däto Nezumi. Un gros lard doublé d'un otaku avec qui le célèbre criminel avait eu l'occasion de "travailler" par le passé.

Deux semaines plus tard, tout était prêt et le grand soir était arrivé. Le kidnappeur allait pouvoir s'en donner à cœur joie, il avait même prévu une petite mise en scène pour pouvoir pleinement profiter de cette nuit. Evidemment, cela risqué d'augmenter les risques d'échouer, mais c'était un homme de passion avant tout et il était indispensable pour lui de prendre du plaisir à faire son travail. Pour cette raison, il débuta par la première étape du plan : prendre contact avec Célestine.

Le geek avec lequel Zack collabore gagne sa vie en dérobant des données personnelles puis en les revendant. Ce dernier n'était pas parvenu à obtenir les coordonnées de la jeune fille, en revanche, il avait obtenu toutes les coordonnées de l'assistante de monsieur Tone : Hana Kaori. Dès lors, il ne fut pas difficile pour le kidnappeur d'obtenir le numéro de téléphone après avoir "rendu visite" à cette femme.

Sortant son téléphone crypté, l'homme tapa rapidement un message simple qu'il envoya tout aussi vite.

-- Bonsoir --

N'attendant pas de réponse de la part de sa proie, le kidnappeur passa à la deuxième étape et se dirigea vers la grande tour qui scintillait dans la nuit. Richement habillé et usant de son maquillage spécial pour dissimuler sa peau Albinos, il pénétra dans l'hôtel avec un aplomb audacieux, agissant comme s'il avait toujours séjourné ici. Afin de pouvoir entrer et de passer les quelques portes dont l'accès était restreint aux résidents, Zack utilisa la carte magnétique d'Hana en faisant attention de masquer avec son pouce le nom qui se trouvait dessus. Le plus facile était fait, il lui fallait maintenant attendre patiemment qu'une opportunité se présente.

Le criminel alla s'assoir confortablement sur l'un des sièges se trouvant dans le hall de réception, jetant un œil naturellement distrait autour de lui. Le bâtiment, bien que classieux, était truffé de caméra. De plus, comme l'établissement accueillait un important dignitaire américain, des agents de sécurité patrouillait partout. En attendant, il consulta à nouveau son téléphone et réalisa que la jeune fille ne lui avait pas répondu. C'était parfaitement probable et l'homme ne s'en inquiéta pas. Ce dernier profita de l'occasion pour envoyer un second message.

-- Belle nuit n'est-ce pas ? --.

La position de Zack dans la pièce n'était pas anodine, il pouvait surveiller impunément la réception, l'ascenseur principal, le couloir menant aux toilettes, ainsi que les allées et venues du personnels de sécurités.

Soudain, son téléphone vibra succinctement.

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Les alentours de la ville / Re : Déchéance [Pv Zack]
« le: jeudi 11 janvier 2024, 22:17:13 »
Au cours de sa carrière et avec plus de 1000 enlèvements à son actif, Zack a eu l'opportunité de rencontrer un large éventail de proies différentes, des femmes dans 95% des cas. Caucasienne, orientale, extradimensionnel, blonde, brune, animale, jeune, vieille, immortelle, sainte nitouche ou pute vérolé. Mais parmi tous ces genres, un de ceux qui l'amusait le plus était les petites idéalistes qui pensait pouvoir le capturer.

Que cela soit parfaitement clair, il n'est pas question d'âge ici. Il existe dans ce monde des fillettes d'à peine 8 ans, dotés de facultés pouvant réduire en poussière Zack en moins d'une seconde. D'êtres disposant de pouvoir divin et pour qui le Grey Stalker ne représenterait pas plus de menace qu'une fourmis.
Cependant, il arrive parfois qu'une petite policière ambitieuse ou une héroïne récemment diplômé, se mette en tête de vouloir mettre fin aux agissement du kidnappeur professionnel. Et c'est là l'élément que ce dernier avait du mal à comprendre mais qui le rendait hilare. C'est un criminel mondialement connu, dont l'accès aux informations ne sont pas classé secret défense. Quiconque ayant accès aux flux de données de la police pouvait consulter son dossier, il est même possible d'obtenir quelques bribes directement sur internet après 30 minutes si on sait quoi chercher. La seule chose qu'il est difficile de trouver concerne son pouvoir : La prison incarné. Car en effet, c'est un phénomène que très peu de personne n'étant pas des proies on pu assister et qui reste un mystère pour les rares scientifique qui ont eu l'opportunité de s'y pencher.
Alors quand une jeune écervelé se dit :"Tiens ? Et si je tentais de capturer un criminel mondialement connu à moi toute seule alors que même les forces spéciales d'un pays galère à le faire ?" Zack ne pouvait pas s'empêchait de se dire :"Elle a vraiment envie que je lui ravage le cul cette petite pute".

C'est donc sur ce même principe que l'homme se dit "Pourquoi pas après tout ?" lorsqu'il réalisa qu'une justicière fraichement sortie de l'école en avait après lui. Son planning étant vide et la vie pleine d'opportunité, il serait dommage de se priver d'un plat surtout lorsque celui ci se jette dans son assiette. D'autant plus qu'il a déjà eu l'occasion de faire de belle découverte de cette façon.

Lorsque les deux s'affrontèrent pour la première fois, il ne fallut pas longtemps pour que Zack échappe à Aurore. Force était de reconnaître qu'elle avait du talent. Etant vif et agile, la jeune femme n'aurait probablement pas rencontré de difficulté face à des criminels de seconde zone, la possibilité qu'elle soit une étudiante sorti major de promo étant fort probable. Mais son style était trop académique, trop anticipable, l'homme avait déjà vu ces méthodes des dizaines de fois. C'est donc assez facilement que le Grey Stalker lui échappa sans même avoir recours à ses fils.

Zack pista la jeune femme jusqu'à son domicile et attendit patiemment qu'il fasse nuit. L'un des faits courant chez les justiciers amateurs (qu'ils soient policiers ou héros), c'est qu'à force de poursuivre des méchants, ils ne s'imaginent pas que le chasseur puisse devenir la proie. L'homme s'approcha d'une fenêtre, s'aidant d'un câble d'escalade pour se hisser et c'est alors qu'il l'aperçu entrain de se changer, enfilant une lingerie simple mais élégante. Le sang du kidnappeur entra en ébullition, c'était là sous ses yeux, l'objet de ses convoitises, une femme magnifique portant les sous-vêtements qu'il affectionnait tant. Chaque seconde que l'homme passait à l'admirer faisait grimper en flèche ses pulsions de viol au point que ça en deviennent insoutenable.

Ce balançant rapidement jusqu'à la pièce voisine, le criminel passa par la fenêtre qui n'était pas fermé pour pénétrer dans la cuisine (sans chercher à la refermer derrière lui). La première chose qu'il fit, fut de détruire l'ampoule de la pièce pour la plonger dans l'obscurité. Cela allait attirer l'attention d'Aurore mais c'est que voulais Zack. Profitant de son talent pour se fondre dans les ombres, ce dernier saisit l'opportunité ainsi crée pour contourner la jeune femme et se rendre dans le salon. Après quelques secondes, il éteignit la lumière à nouveau mais à l'aide de l'interrupteur cette fois-ci. A partir de là, le jeu de la peur pouvait commencer. L'homme voulait plonger l'héroïne dans la confusion dans un premier temps, puis lui faire comprendre progressivement qu'il y avait quelqu'un chez elle, et enfin, que ce quelqu'un était Zack. Ce dernier voulait se nourrir de la peur d'Aurore, car une agression sexuelle a toujours meilleurs goût lorsque la victime est en proie à la terreur. Pour ce faire, le Grey stalker renversa occasionnellement des objets sur le sol, se mit à courir non loin de la jeune femme tout en restant caché dans son angle mort pour qu'elle entendent le bruit de ses pas se rapprocher mais sans pouvoir établir où se situait son agresseur. La justicière proféra des menaces empli de crainte mais l'homme ne répondit rien.

Ce petit jeu dura quelques minutes qui parurent être une éternité pour les deux personnes présente dans la pièce. L'une était progressivement envahi par la peur, l'autre ne rêvait que d'une chose : empaler sa proie sur sa colonne de chair. C'est alors que le moment que Zack guettait arriva. Cédant à la panique, la jeune femme se précipita maladroitement dans la pièce uniquement éclairé par les lumières de la ville pour se précipiter vers l'interrupteur du salon. Mais avant qu'elle ne pu allumer la lumière, le kidnappeur attrapa fermement son poignet pour la stopper. Il activa alors ses lunettes de vision nocturne qui firent apparaître deux lueurs d'un rouge terrifiant dans l'obscurité.

Coucou beauté.

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C'est dans un bruyant craquement que la table en bois céda devant la violence de l'acte perpétré par le criminel. Déséquilibré et tombant sur le sol, ce dernier se réceptionna sur les mains et se laissa rouler sur le dos, au côté de Victoria. La situation semblait faire rire d'un éclat malsain Zack qui semblait le prendre avec humour.

Hahaha ! Il semblerait que j'y sois aller trop fort. C'était vraiment de la camelote cette table. Fait l'effort d'en prendre une avec des pieds solide la prochaine fois que tu te fais tringler. Suggéra-t'il.

Sa "partenaire" ne semblais pas partager son point de vue, devant le peu de réaction de cette dernière, il se releva et attrapa le pied droit de Victoria.

"Toujours là ? Si tu crois que c'est fini tu te trompe. Je continuerai à te baiser même si tu venais à t'évanouir." Déclara l'homme.

Trainant la jeune femme jusqu'à la porte fenêtre la plus proche, une fois atteinte, il releva Victoria sans effort et plaqua sa poitrine contre le verre froid.

J'espère que le verre est de meilleur qualité que ta table. Cela serait dommage d'abimer cette jolie peau que tu as là.

Suite à ses paroles, et sans prévenir, l'homme pénétra dans la sorcière. Le coup était moins puissant que le précédent, mais il restait particulièrement vicieux et atroce pour une personne non-consentante. Les coups de hanches se succédèrent à un rythme particulièrement soutenu, provocant un inquiétant mais très léger couinement de la part de l'armature de la porte fenêtre. Zack ne savait pas si c'était la peur que la vitre se brise, ou si c'était la peur d'être exposé en publique, mais la jeune femme semblait tenter de se reculer de la fenêtre. Cela exerçait en effet moins de pression sur le cadre, mais la faisait s'enfoncer d'avantage sur le chibre de l'homme pour son plus grand plaisir. La silhouette de cette dernière était éclairé par les lueurs de la ville, lui donnant un air de danseuse de cabaret des plus agréables (et peut être dégradant pour elle qui sait ?). Le kidnappeur fessa le mignon petit popotin de sa victime avec autorité, rajoutant un nouveau son à la symphonie de souffrance déjà présente.

Allez gémis ma belle ! Il y a toujours l'espoir que quelqu'un t'entende et viennent à ton secours... Ou alors qu'un chaland vienne se branler en nous regardant.

Le pilonnage de la douce intimité de la lycéenne ne semblait pas connaitre de fin, souillant un peu plus ce corps qui ne semblait pas rompu à une activité sexuelle intense. Cette pénétration répété produit un son particulièrement vulgaire et qui ravissait les oreilles de l'homme. Ce dernier haletait bruyamment, soufflant son halène fétide près de l'oreille de la jeune fille, bavant abondamment sur une épaule douce et soyeuse. Nous avions là un sordide spectacle : la belle et la bête s'accouplant au clair de lune.

"*Haaa*... Finalement, je réalise que ... *Humpf !*... tu n'es pas plus dangereuse qu'une lycéenne lambda." Dit-il. "Tant que je suis a tes côtés, il y'a peu de chance que tu puisses prononcer la moindre formule"

Sur ces mots, Zack se retira enfin de la sorcière, son membre viril encore luisant et palpitant, semblait proche de l'explosion. Victoria se laissa retomber sur les genoux, visage contre la vitre, éprouvé par le sévices qu'elle venait de subir. Sans gestes brusques, l'homme désangla le bâillon, offrant ainsi l'occasion à sa victime de toussoter et de s'humidifier la gorge. Avoir le souffle entravé par cette boule noire ainsi que l'incapacité de déglutir (forçant ainsi la personne à baver abondamment) pouvait provoquer des irritations et des gènes sur le long terme. Zack l'a toisa de haut, son chibre vigoureusement relevé était avide de pouvoir profaner sa victime.

Depuis qu'on s'était croisé en Irlande, je nourrissais un désir simple mais que je fantasmais de pouvoir partager avec toi. Il marqua alors un temps de pause avant de reprendre. "Intelligente comme tu es, je suppose que tu as déjà compris que j'ai à ma disposition un autre bâillon pour te faire fermer ta belle gueule."

Tirant sur l'une des bobines à son bras, un très léger cliquetis se fit entendre. Semblable à la chaine d'une tronçonneuse, un câble cranté fut tiré par l'homme et placer sous la forme d'une boucle très ample autour du coup de la sorcière. Il forma ainsi une sorte de collier de ronce qui n'était pas assez tendu pour pouvoir blesser cette dernière. L'autre extrémité du fil était enroulé autour du majeur droit du kidnappeur.

Pour notre bien être à tous les deux, il y a intérêt à ce que je ne sente pas tes dents c'est clair ?

Probablement effrayé par la situation mais parfaitement lucide sur ce qui allait se produit, elle tenta maladroitement de manifester son rejet, de négocier, de supplier. Mais Zack resta complètement hermétique aux propos de la sorcière qui semblait pris d'une panique incontrôlable et qui semblait être sur le point de pleurer abondamment. Soudainement, l'homme attrapa le nez de sa victime en le prenant en étau entre son index et pouce gauche, il força ainsi la jeune femme à lever sensiblement la tête. Et avec sa main droite, il enfonça d'un coup sa colonne de chair dans la petite bouche de Victoria, interrompant ainsi la lycéenne au beau milieu d'une supplique larmoyante.

"payback time, bitch" Dit l'homme avec un sourire affreusement satisfait. "Rassure toi, ça sera pas long".

Zack avait déjà parcouru le plus long du chemin avant de s'immiscer dans la bouche de la jeune femme, mais il fit cependant l'effort de se contrôler un peu. Il voulait profiter un peu de l'instant présent, de cette douce vengeance qui avait une saveur particulièrement satisfaisante. Savourant chaque gémissements de la jeune fille, chaque pleurs, chaque mouvements de tête pour tenter d'extirper ce pénis intrusif de sa bouche. Mais surtout, le désespoir et l'hystérie grandissante sur le visage de Victoria en réalisant de manière progressive et inéluctable, que sa bouche va se retrouver souiller avec une substance qu'elle refuse catégoriquement d'avoir en elle.

Pourtant cela arrive, les mouvements de va et vient dans la bouche de la sorcière augmente d'avantage la vigueur et les palpitations du chibre. Elle n'est peut être pas experte, mais elle peut clairement sentir que son cauchemar arrive. C'est alors dans un grand râle de soulagement, agrippant la chevelure soyeuse de la lycéenne avec sa main gauche pour bien la maintenir, que Zack inonda de son sperme abject la délicate bouche de sa victime, éjaculant abondamment au point de faire très sensiblement gonfler les joues de la jeune femme. Pinçant à nouveau le petit nez qui lui faisait face avec sa main droite cette fois-ci, l'homme maintînt cette position un moment, bien après avoir fini de se vider les couilles. Il l'a força ainsi à avaler l'intégralité de son foutre si cette dernière souhaitait pouvoir respirer. Il ne fallut pas longtemps pour que Victoria s'exécute, principalement par instinct de survie. Plusieurs gorgé furent nécessaire consommer la quantité présente dans sa bouche, chacune d'entre elle faisant roulé un peu plus de larmes que la précédente sur les joues de la victime. Puis vînt enfin l'instant de libération lorsque Zack relâcha son emprise et se retira de la jeune femme, essuyant son pénis sale contre la joue de cette dernière.

"Aaaaaaaaaaaaahhhhh ouuuuaaaaiiii... Ce pied putain !!!"

Il s'assit prêt de la jeune femme, s'octroyant une pause bien mérité en se laissant bercer par les pleurs de la lycéenne.

"Bon... la nuit est encore longue" Dit-il "J'ai vu que tu avais prévu de te faire couler un bain, je pense que je vais m'y inviter avec toi".

Zack retira le câble cranté autour du cou de la jeune femme, ainsi que les liens qui lui entravaient les mains. Cette dernière n'était décidément plus une menace pour lui. Il lui ôta également le tanga en lambeau avant de la tirer par les cheveux vers la salle de bain.

"Tu semblais vouloir parler tout à l'heure, vouloir négocier. Pas de problème, je suis prêt à t'écouter. Mais tu as intérêt à être particulièrement convaincante." Il marqua un temps de pause "Parce que là je m'apprêter à défoncer ce petit cul qui me fait de l'œil depuis tout à l'heure."

D'un mouvement de bras, Zack jeta la jeune femme dans la baignoire remplis d'eau chaude, éclaboussant une grande partie de la salle bain. Ce dernier commença à lentement se déshabiller afin de laisser une chance à Victoria de ne pas  se faire sauvagement sodomiser.

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Le meilleurs moyen de décrire ce qui était entrain de se produire, était de comparer la scène au repas primaire d'un prédateur qui dévorait sa proie. La vicieuse panthère se lécha les babines avant de se repaitre du corps de la jolie gazelle.

Le festin avait déjà bien commencé, Zack était entrain de jouer avec sa nourriture avec beaucoup de sadisme et un soupçon d'immaturité. Son enthousiasme pouvait physiquement se sentir, la jeune femme qui lui faisait face était ravissante et bien apprêté, un vrai régal pour les yeux. Cette dernière, toujours contre la table dans une position désagréable car ses mains étaient attaché dans le dos, semblait s'être résolu au sort qui allait lui arriver.
Après avoir titillé son corps, l'homme arracha d'un coup le soutien-gorge noir de sa victime, le sous-vêtement était si fin et léger, qu'il ne lui avait fallu aucun effort pour l'arracher.

"Tu pourrais avoir un certain succès comme pute de luxe." Dit le kidnappeur en admirant le corps de Victoria. C'est alors qu'une idée germa soudainement dans son esprit :"Ben tiens en voilà une bonne idée".

Plongeant la main dans l'une de ses poches pour en ressortir un téléphone, l'homme pianota dessus l'espace d'un instant et se positionna afin de placer l'objectif sur la sorcière. La jeune femme qui semblait s'être calmé depuis un petit moment, se remit à gémir et à gesticuler de désapprobation. Que cela soit une vaine tentative pour se dégager et ainsi s'échapper, ou bien juste par peur des conséquences, cela n'avait aucune importance. Un flash de lumière éclaira brièvement le salon tel un éclair dans la pénombre, éblouissant l'espace d'un instant Zack. Puis, le corps pratiquement nu de Victoria apparu sur l'écran, on pouvait y distinguer son visage, déformé par l'effroi et les larmes. Cette photo le fit bander encore plus vigoureusement, au point que la sorcière pouvait le sentir pulser entre ses jambes, même à travers la combinaisons.

"Huuum pas mal... Je pourrai envoyer ça à une connaissance, et dans l'heure qui suivrait tu serais entrain d'offrir ton cul dans les rades les plus crades de la ville. Tu t'es déjà fait tringler par un clodo ?" Il marqua un temps mort, espérant la voir se débattre encore plus fort et avec des yeux encore plus paniqué après avoir entendu ses propos. Il se ravisa finalement :"Mais ça serai un peu comme donner de la confiture au cochon".

Zack posa son téléphone sur le côté de la table et repris son repas. Sa bouche alla sucer le téton gauche avec vigueur, tirant fort dessus comme pour en extraire du lait. Il lui arrivait par moment de jouer avec en le faisant glisser entre ses deux canines, mordillant dessus sans jamais croquer dedans. Pendant ce temps, la main droite du kidnappeur explorait sauvagement l'antre des désirs de Victoria, ne ressortant que pour pincer le bouton des plaisirs de cette dernière. La langue du prédateur était curieuse, glissant sur tout le corps de sa proie, des pieds jusqu'aux aisselles, désireuse de tout connaitre du corps qui se présentait à lui. Ses actes n'avaient pas pour but de stimuler sa victime. En général, Zack provoque un tel rejet de la part de la gente féminine, qu'elles sont tout simplement incapable de mouiller même en étant consentante. Il arrivait malgré tout en de très rare occasion, que certaines soit profondément masochiste et prennent du plaisir à se faire agresser. Cependant, cela n'a pas la moindre importance aux yeux du kidnappeur, pour qui seul son propre plaisir importait.

Après s'être bien imprégné de la saveur de Victoria, l'homme repositionna cette dernière pour la plaquer à nouveau sur la table, mais cette fois ci, de sorte à ce que sa poitrine soit écrasé contre le meuble en bois noble. Le postérieur ainsi exposé, la vue sur ses magnifiques fesses souligné par ce tanga noir était tout simplement magnifique à ses yeux.

"Aaaaah. C'est pour des moments comme ça que je me lève le matin."

Un son de braguette se fit entendre, puis le membre palpitant de l'homme se pressa à nouveau contre l'entrejambe de la sorcière, dégoulinant presque de plaisir malsain. Ce dernier était d'une taille tout à fait acceptable sans pour autant être massif. Des veines pourpre et boursoufflé recouvrait le membre viril, qui par contraste avec sa peau albinos, le rendait peu esthétique (repoussant diraient certaines). Ses mains allèrent caresser sensiblement le postérieur de Victoria, le griffant très légèrement de satisfaction par moment. Par moment, le pouce droit de Zack appuyait sur le tissus du tanga là où se trouvais le petit anus de sa victime. Il était persuadé qu'elle devait être particulièrement étroite à cet endroit, le cri de douleur que pousserai la jeune femme serait sûrement effroyable et délicieux s'il venait à rentrer là dedans.

Le kidnappeur saisi le sous-vêtement et l'écarta en faisant pression avec les pouces pour le déchirer en son centre. Il pourrait ainsi la baiser sans lui enlever, tout en continuant de profiter de la vue. Maintenant que le dernier rempart entre lui et elle était tombé, un gland palpitant se présenta à l'entrée de ce vagin magnifiquement rose qui s'offrait à lui.
C'est alors, dans un puissant coup de hanche, que Zack pénétra sa victime avec son chibre vigoureux tel une lance brulante. Il resta un temps sans bouger, profitant de cet endroit chaud, humide et étroit dans lequel il se trouvait, savourant par la même occasion les petits couinements de Victoria. Si cette dernière était entrain de mouiller, tant mieux pour elle, si ce n'était pas le cas, tant mieux pour lui. La douleur provoqué par un rapport non-consenti, était aussi délectable que les gémissements d'une chienne soumise.

Progressivement, l'homme commença à se mouvoir, reculant très lentement ses hanches dans un premier temps jusqu'à pratiquement se retirer, puis s'avançant à la même vitesse pour se régaler de chaque petites sensations produite par le corps de la jeune femme. A chaque coup de rein porté, le mouvement se faisait sensiblement plus rapide, plus puissant. Le claquement vulgaire produit par le corps de Zack contre celui de Victoria commençait à résonner dans la pièce, la table quand à elle, tremblait au rythme de la respiration étouffé de la victime.

"Je pense que je vais reprendre un souvenir" annonça l'homme en prenant son téléphone avec sa main droite qui était resté sur un coin de table.

Sortant ce dernier de son état de veille, Zack agrippa fermement les cheveux blond de Victoria afin de maintenir la joue gauche de cette dernière contre la table, mais la tête suffisamment tourné pour qu'on puisse voir une partie de son visage sur la vidéo.

"Hum... Voilà parfait ! Réjoui-toi, tu es entrain de jouer dans ton tout premier porno." Dit-il.

Après plusieurs longues minutes de tournage, mêlant gros plan sur la pénétration soutenu et plan large pour admirer la scène dans son ensemble, l'homme remit son téléphone en veille et le rangea dans sa poche.

"Bon allez, je passe la seconde". Annonça t'il.

Suite à cela, un violent coup de son membre viril dans la fragile intimité de sa victime, fit reculer bruyamment la table en bois de quelques millimètres.

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Malgré tout ses efforts pour ce remémorer de ce moment là avec précision, s'était très difficile pour le kidnappeur de bien appréhender ce qui avait pu se produire. Il rejoua la scène dans sa tête plusieurs fois comme un enquêteur de police le ferait pour saisir le tout petit détail qui permettra de faire la lumière sur tout ça.

Tout allez pour le mieux lors de cette affrontement. Les gorilles étaient pour la plupart K.O, Zack avait subit très peu de dégâts, il était fatigué mais pas épuisé, la jeune femme ne semblait pas porter d'arme sur elle, ou avoir une carrure de combattante. Puis, alors que le prédateur était sur le point d'attraper sa proie, un flash de lumière assourdissant se manifesta, brouillant les sens de l'homme. L'instant d'après, il était par terre, entrain de se faire douloureusement tabasser par les quelques casseurs de jambes encore en état de se battre. Ces derniers purent exprimer tout leur talent, chaque coup dans le ventre coupa affreusement la respiration de l'agresseur, ses membres était frappé de la même façon qu'un cuisinier qui tape sur un steak pour attendrir la viande. Son sang éclaboussait un peu plus le sol de seconde en seconde, la tête lui tournait et une profonde nausée faisait son apparition.

Cependant, même après un tel traitement, le cerveau de Zack continuait à fonctionner à plein régime. La première idée qui lui vînt à ce moment là, c'était que la fille était détentrice d'un pouvoir comme lui. Peut-être la capacité de produire des explosions par la parole. Si c'était exactement, le cas, l'homme ne serait plus en état de sentir la douleur que lui infligeait les sbires. Manque de puissance ? Manque de maitrise de son pouvoir ? Possible. Mais vu l'intensité de la lumière et la perte de contrôle de son corps, ses yeux et ses temps auraient dû exploser.
Son regard se porta sur l'entrejambe de la jeune femme. Il pu apercevoir de façon fugace, une fine broderie sous la jupe de cette dernière, probablement un objet de désir que l'homme recherchait avidement chez une dame.

"Huum... Bon goût la petite. C'est décidé, tu seras ma proie". Pensa-t'il alors qu'un sbire muni d'une masse de chantier s'apprêtait à lui abattre son arme sur le genoux de l'homme.

Mais pas aujourd'hui !

Dans un sursaut d'énergie, Zack puissa dans ses forces pour tenter d'ignorer la douleur et projeta tout son corps vers l'arrière comme s'il voulait faire roulade en sens inverse. Profitant de l'élan ainsi que de l'effet de surprise, sa jambe se tendis au maximum afin de pouvoir faucher la mâchoire de la brute de façon foudroyante. Le choc fut suffisamment puissant pour faire voler une dent dans le couloir de l'immeuble. Désormais en position accroupi sur le sol. Le kidnappeur ignora les cris de son corps et se précipita vers la fenêtre la plus proche. Nouant un nœud avec avec son câble d'escalade comme seul ses doigts agiles savaient le faire, l'homme se projeta de toute ses forces afin de passer à travers la vitre, la brisant sur le coup. Ses bras agissait par automatismes grâce à des années d'expérience à manipuler des fils et a fuir la police. Zack lança la boucle nouvellement formé pour que la corde aille s'accrocher autour d'une gouttière, lui permettant ainsi de se balancer jusqu'à une ruelle proche où il serait temporairement en sécurité.

Tant pis pour la valise, le Japon allait être son lieu d'exil en attendant qu'il trouve une solution contre cette fille.

///// Fin du flashback \\\\\
///// Seikusu, cabinet d'occultisme "Kuroi hoshi" \\\\\

On pouvait entendre la pluie abondante à l'extérieur du cabinet, le chaos régnait dans toute la pièce. Des meubles avait été renversé, du verre avait été brisé et plusieurs livres et parchemin était éparpillé sur le sol. Une femme agé été recroquevillé dans un coin, terrifié par l'ombre qui lui faisait face.

"Merci pour les infos, même si tu n'as fait que me confirmer des choses que je savais déjà". Dit Zack sur un ton méprisant avant d'ajouter :"Estime toi heureuse d'être trop vieille pour me satisfaire".

Il y a un élément qui avait échappé à l'homme durant tous ces mois à se remémorer ce souvenir, et c'est ce dernier qui lui avait permis de comprendre qu'il avait eu affaire à de la sorcellerie :

L'odeur de souffre.

Cela peut sembler cliché, mais l'expression "il n'y a pas de fumée sans feu' est souvent à propos. Lorsque Zack c'était fait tabasser par les brutes il y a des mois de cela, ce n'était pas un élément qui lui avait sauté aux yeux. Mais lorsque le kidnappeur le réalisa, tout devînt plus clair. C'est cette information qui devînt le fil d'Ariane qui allait le mener vers sa proie.

Alors que l'homme s'apprêtait à quitter la pièce, la veille femme apeuré pris la parole.

"Tes yeux... J'ai vu dans tes yeux, tant de tristesses, de souffrances, de vices... mais ce ne sont pas les tiennes. J'entend des voix suppliante... émanant de ton corps... qui me mettent en garde contre toi. Est-tu... Le... Le fléau des sorcières ?" Demanda t'elle d'une voix emplis de crainte.

"Non, je suis le fléau des femmes"répondit en tournant à peine la tête vers l'occultiste.

La journée était passé, il faisait désormais nuit et la pluie c'était un peu calmé. L'enquête mené jusque là, en amont de cette journée avait portée ses fruits. Etant lycéenne, l'homme pu obtenir l'adresse de Victoria en s'infiltrant dans l'établissement scolaire. Puis, pour déterminer dans quel appartement elle habitait, ce fut très simple. L'immeuble était haut de gamme avec des logements réservé à une classe fortuné, vivant seule il y avait de forte probabilité qu'elle ne se fasse pas à manger elle même (ça serait dégradant pour une personne de haute naissance comme elle). Elle devait donc recourir à un traiteur pour lui livrer ses repas tous les jours. Et effectivement, cela ne loupa pas, en suivant un livreur il aperçu la jeune femme dans l'encadrement d'une porte.

Premier point à prendre en compte : Pour lancer un sort, il est fort probable qu'elle doivent voir sa cible, OU, tout du moins, établir précisément la personne qui va subir les effets du dit sort. Afin de se donner un avantage, Zack prépara son piège en se dirigeant vers le compteur électrique. Sachant désormais dans quel appartement la sorcière résidait, il sabota le boitier afin de couper le courant dans le domicile. Eclairé seulement par les lumières de la ville, il serait bien plus difficile pour Victoria de viser le prédateur avec sa magie. Le spectacle allait pouvoir commencer.

L'homme se dirigea vers l'appartement, la jeune femme devait être entrain de se demander ce qui se passait. Ce derniers sorti de sa besace une petite capsule d'acide, qu'il déversa sur la serrure afin de la faire fondre. Un léger crépitement suivi d'un petit sifflement sonore accompagna une odeur désagréable à l'endroit où le liquide avait été versé, mais cela lui permis de pénétrer dans l'appartement en tout discrétion. Zack enfila son masque et activa ses lunettes qui émirent deux lueurs rouges.

Le domicile était plongé dans le noir, seul le contour de certain meuble et mur était apparent. Il ne fallu pas longtemps au kidnappeur pour trouver sa proie. Une lueur émanait près de la jeune femme, éclairant très sensiblement les environs de cette dernière. De là où se trouvait Zack, c'était impossible de déterminer la nature de cette lumière, si c'était un téléphone, une lampe torche, ou autre chose. Cela n'avait aucune espèce d'importance.

Avec une science du timing qui ne peut être acquise qu'avec l'expérience, et un déplacement léger digne d'un puma, l'homme se déplaça calmement jusqu'à sa victime. Puis, saisissant l'occasion, se présenta devant de manière aussi soudaine qu'inattendu.

"Salut toi. Comment on se retrouve"dit-il sur un ton grinçant.

Victoria n'eut pas le temps d'exprimer sa surprise qu'un violent revers de la main alla la frapper au visage, faisant disparaitre la lumière qui se trouvait à proximité dans la foulée. Par mesure de précaution, il fit un pas de côté pour retourner dans l'obscurité, sans pour autant s'éloigner d'elle. Zack profita de l'occasion pour prendre le temps d'analyser la situation. Il ne voulait pas commettre les mêmes erreurs que par le passé. La sorcière tournait dans tous les sens pour essayer de voir son ennemi, lançant des menaces envers lui. Cette dernière devait avoir vu des choses bien effrayante dans sa vie car malgré le début de peur qui pouvait se lire sur son visage, elle parvenait à garder plus ou moins son calme face à cette situation.

Deuxième point à prendre en compte : Elle doit prononcer la formule qui lui permet de lancer ses sorts. Zack n'y connaissait drastiquement rien en incantation, les mécaniques éthériques lui était totalement opaque. En revanche, l'homme avait compris que chaque fois qu'il ne saisissait pas les propos de Victoria, c'était que cette dernière préparé un sale coup. C'est pour ça que lorsque ce phénomène se produisit, une violente frappe au visage alla cueillir la sorcière, la faisant taire et tomber au sol par la même occasion. Cependant, le prédateur ne profita pas de cette occasion pour se jeter sur sa proie. Il attendit sagement dans l'ombre, la laissant se relever.

"Cela faisait longtemps que j'attendais ce moment." Dit-il avant d'ajouter :"J'ai beaucoup pensé à toi."

Il ne fit pas attention à l'éventuelle réponse qu'elle put lui donner. Zack était bien trop concentré sur la voix de Victoria afin de la contrer dès qu'elle tentait de manifester un sort. Lorsque cela arriva, ce fut cette fois le plexus solaire qui fut frappé, coupant net la respiration de la sorcière. Mais encore une fois, l'homme laissa la jeune femme se relever.

Et bien alors ? Tu ne me fais plus l'étalage de tes pouvoirs ? Où se trouve ta précieuse magie ?

A chaque fois que la sorcière était mise à terre, il devenait plus dur pour elle de se relever. Ce numéro se répéta plusieurs fois, jusqu'à ce que le souffle de cette dernière devienne prononcé et haletant, signe d'un profond épuisement.

"Permet moi d'être honnête avec toi et de te faire part de mes envies. Ce soir, je vais te baiser comme si tu étais la dernière des trainés.".

Les deux lueurs rouges des lunettes de Zack apparurent devant la jeune femme. Révélant volontairement sa position à cette dernière pour lui infliger la peur en son être. Il ne sut jamais si c'était la terreur, la colère ou la logique qui la poussa à agir, mais Victoria tenta dans un acte désespéré de s'enfuir maladroitement dans l'obscurité. Tentative vaine face à un adversaire aux capacités physiques supérieur et capable de se mouvoir dans le noir grâce à son matériel. Zack agrippa les cheveux de la sorcière et la tira violemment en arrière. Puis, en la prenant par les hanches, le prédateur souleva son corps frêle pour la plaquer contre la table du salon, le ventre tourner vers le plafond. Se plaçant entre les jambes de cette dernière, il profita de sa position avantageuse pour attraper les joues de Victoria avec sa main gauche. Son pouce et son index, agissant comme un étau, presser suffisant fort pour la forcer à ouvrir douloureusement la bouche. Elle tentait de se débattre, de donner des coups ou de pousser des gémissements de douleur mais rien ne semblait être capable de stopper le kidnappeur. Sa main droite fouilla dans sa besace un court instant, puis, en utilisant la lueur émises par ses lunettes il montra calmement la forme ronde d'un bâillon boule. Zack voulait qu'elle comprenne bien ce qui allait lui arriver.

Hé regarde le cadeau que je t'ai apporté ?

Victoria gigota la tête comme elle pu, mais ce fut avec un geste lent et inéluctable, que le prédateur enfonça le bâillon dans la bouche de la jeune femme, poussant autoritairement avec le pouce pour bien s'assurer qu'elle ne le recrache pas tout de suite, lui laissant le temps de le fixer définitivement avec la lanière à l'arrière du crâne de la lycéenne. Cette dernière tenta à plusieurs reprise d'enlever le bâillon, mais comme l'homme n'avait plus besoin de lui tenir la bouche, c'était bien plus simple pour lui de la maitriser.

Voyons voir la marchandise. Annonça-il avec entrain, on pourrait presque croire qu'il était entrain de fredonner.

Profitant d'un moment où Victoria mis ses mains au niveau de des lanières en cuir, Zack ouvrir en grand le peignoir de la jeune femme pour révéler des mignonnes petites formes. L'éclairage de ville permettait à peine de voir la lingerie qu'elle portait, mais c'était amplement suffisant pour comprendre que c'était au goût de Zack. Une forte érection se manifesta à travers la combinaison de ce dernier, et il n'hésita pas à se frotter avec contre l'entrejambe de la sorcière.

Le kidnappeur retira son masque et le mis dans sa besace. Ensuite, il attrapa les poignets de Victoria avec ses mains, les plaquant fermement contre la table comme le ferait des étaux. Il allait l'attacher comme il se doit mais avant il voulu plonger son regard dans celui de la jeune, approchant son visage au plus près, comme s'il voulait l'embrasser.

"REGARDE MOI !!!" Hurla t'il avec une voix autoritaire qui résonna dans tout l'appartement :"Est-ce que toi aussi tu vois dans mes yeux, tout le mal que je vais te faire ?"

Ne quittant pas la jeune femme des yeux afin de savourer pleinement toutes les émotions sur le visage de Victoria (étant incapable de parler), l'homme tira un câble de l'une de ses bobines pour se préparer à la suite des évènements.

13
C'est une journée sombre et pluvieuse à Seikusu. Un homme avec un imperméable se fraie calmement un chemin à travers tous les salaryman qui tente de rapidement rentrer chez eux après une dur journée de travail. Malgré sa stature inhabituel pour le japonais moyen et son allure inquiétante, personne ne semble prêter attention à lui. Sa veste  d'un marron sombre, muni d'une capuche ample, dissimule aux yeux de tous un prédateur à la peau albinos.

Malgré une démarche assuré, l'homme est perdu dans ses pensées, le souvenir d'un échec douloureux refait surface. Celui du jour où il s'était fait copieusement casser la gueule par une bande de gorille à cause d'une jeune femme prétentieuse.

Une sorcière pour être plus exact. Et c'est cette dernière qui l'intéresse aujourd'hui.

Malgré le palmarès de Zack et son talent qui n'est clairement plus à prouver, le kidnappeur a connu un grand nombre d'échec dans sa vie. Il a fait plusieurs séjours en prison et sait qu'il y a des ennemis contre lequel il restera impuissant quelques soit les efforts ou les méthodes employés. L'albinos n'a jamais perçu une défaite comme quelques chose de négatif, c'est généralement pour lui un excellent moyen de rebondir et de finalement parvenir à ses fins. Mais il reste un humain avant tout, et c'est cette condition réaliste qui l'a toujours poussé à éviter le monde du surnaturel (alors qu'il est paradoxalement lui même détenteur d'un pouvoir).

Cependant, cette sorcière malgré tous ses pouvoirs et ses babioles n'est pas invincible. C'est juste une gamine né avec une cuillère en argent dans la bouche et doté d'arme qui échappe à la compréhension de Zack. Le savoir c'est le pouvoir, et c'était exactement ce dont il avait besoin pour se venger. Le hasard était une pute capricieuse et parfois surprenante, a croire quel cherche à le fois le malheur et le bonheur des gens. Et c'est ce même hasard qui avait fais croiser la route de ces deux là, içi à Seikusu. L'homme avait eu l'occasion d'apercevoir (sans être aperçu) la jeune fille à travers les vitres d'une voiture de luxe, et depuis ce jour là, elle était devenu sa proie. Cela serait non seulement l'occasion de progresser en capturant une sorcière, mais aussi de lui clouer son petit bec prétentieux en l'inondant de foutre.

Victoria Campbell, c'était le nom de sa cible qu'il avait obtenu en tirant les bonnes ficelles et en cassant les bonnes mâchoires. C'était la première étape vers la déchéance de la jeune femme, car lorsqu'on est riche, puissant, célèbre ou les trois à la fois, il existera toujours quelqu'un susceptible d'avoir des informations sur vous (connait tes amis, et encore mieux tes ennemis). Cette fois ci, Zack se dirigeait chez une occultiste local qui serait susceptible de lui apprendre quelques astuces afin de pouvoir affronter une sorcière. Si elle possède la moindre information, l'homme l'obtiendrai, que la femme le veuille ou non (et si elle est attrayante, alors Zack prendrait du bon temps avec elle, que cette dernière le veuille ou non).

Le chemin à pied était encore long à travers les dédales de la ville, temps que le kidnappeur mit à profit pour essayer de se remémorer ce fameux moment. Peut-être pourrait-il tirer de ses souvenirs quelques éléments qui pourraient s'avérer précieux pour l'avenir.


///// Flashback de quelques mois \\\\\
///// Quelque part dans la banlieue de Belfast, Irlande du Nord \\\\\


Cela faisait à peine quelques jours que Zack avait fini sa mission. Ce dernier était parvenu à capturer la sœur de quelqu'un d'important, avait joyeusement abusé d'elle et l'avait revendu contre une coquète somme d'argent. Il avait entendu parler d'une ville au Japon qui s'avéré être un véritable paradis pour tous les prédateurs sexuels et c'était mis en tête de s'y rendre afin de vérifier si les rumeurs était vrai.

L'immeuble miteux dans lequel logeait le kidnappeur avait remplis son rôle de planque temporaire jusqu'à présent. C'était un trois pièces tout ce qu'il y a de banal et déjà meublé lors de la location. Comme à son habitude, Zack avait choisis un logement déjà habité puis l'avait dépouillé de tous ses habitants.

Une fois le peu d'affaire en sa possession rangé dans une petite valise d'appoint, l'albinos se dirigea vers la sortie de l'appartement dans le but d'attraper son avions en direction du japon. C'est à ce moment où multitudes de petits indices firent leur apparitions pour prévenir l'homme d'une situation louche. Tout d'abord, ce fut les bruits de pas répétés d'un groupe de personnes indéterminés qui semblaient s'être arrêté pile devant chez lui. Puis un chuchotement incompréhensible provenant de la serrure. Enfin, un craquement assourdissant, la porte d'entrée vola en éclat laissant un groupe de casseur de jambe envahir le logement.

"On est v'nus t'chercher fils de pute !" Cria la première des brutes
"Viens te faire démolir le portrait enfoiré de ta mère !" Hurla un second
"BEUAAAARRR" vocifera le groupe

Heureusement pour lui, Zack portait sa combinaison et son harnais sur lui. Sa première réaction face à cette horde d'ennemi fut de jeter sa valise sur le visage du premier, puis, d'enfiler son masque. Ces lunettes de visions s'activèrent faisant apparaitre deux lueurs rouges menaçante mais qui n'ébranla pas le moins du monde la détermination des envahisseurs.

Dans un espaces aussi restreint et avec autant d'ennemis aussi musclés et armés cela aurait pu très facilement tourner en la défaveur de Zack. Mais il y avait deux choses qui allaient faire toute la différence dans cette affrontement : la voie des airs et le raz du sol. Afin de ne jamais être à porter de ses ennemis, le kidnappeur se servi de son environnement  et de ses câbles pour toujours être proche du plafond ou bien très proches du plancher de l'appartement. En alternant, glissade, appui sur le mobilier, des frappes et son arts des cordes, l'homme parvint progressivement à éliminer chacun de ses adversaires. L'un d'entre eux, inanimés, avait le nez méchamment fracturé à cause d'une descente du genoux du kidnappeur depuis le plafond. Un autre, chercher désespérément à respirer après qu'un câble cranté fut noué autour de sa gorge. Enfin d'eux autres casseur de jambes était lié l'un à l'autre par du fils de pêche dans une posture qui les empêchaient mutuellement de se relever.

Alors qu'environs la moitiés des agresseurs avaient été mis hors d'état de nuire, c'est le moment où Zack aperçut une jeune femme dans l'encadrement de porte. Il s'avait pas ce que cette dernière faisait là, mais ses habits bien trop élégant laissé penser que ce n'était pas une résidante de l'immeuble. Probablement celle qui avait payer ces loubards pour lui casser la gueule. Au départ elle ne semblait pas trop inquiète, accoudé contre la rambarde de l'escalier, mais au fur et a mesure de l'affrontement, l'agacement était apparu sur son visage.

Pour le moment, les gorilles s'en était plutôt bien tiré face à Zack. Ils étaient parvenu à le toucher quelques fois au court de l'affrontement, l'affaiblissant quelques peu. Mais l'adrénaline faisait son œuvre, et c'est dans un excès de confiance que le kidnappeur décida de laisser de côté les sbires pour se concentrer sur cette nouvelle proie. Cette dernière semblait marmonner quelques choses mais dans le chaos ambiant, il était impossible pour l'homme de comprendre quoi que ce soit. Zack effectua un violent coup de pied qui fit se plier de douleur un sbire qui lui faisait face. Profitant de l'occasion pour prendre appuis sur le dos de ce dernier, l'homme se rua soudainement vers la femme en tendant sa main droite vers elles.

Le temps c'était comme figé, il pouvait lire la surprise dans les yeux de la femme qui ne s'attendait visiblement pas à ce que Zack fonce aussi vite sur elle. Même avec son masque et ses lunettes lumineuses, cette mystérieuse inconnue pouvait parfaitement comprendre quel sort l'attendait si l'homme parvenait à l'attraper. Les pulsions de Zack était souvent si forte, que beaucoup de femme pouvait sentir le danger juste en se tenant proche de lui.
Cependant, malgré la menace qui lui faisait face, la jeune femme continuait de marmonner des paroles incompréhensibles, faisant preuve d'un stoïcisme surprenant.

Encore un ou deux centimètre et la poigne du prédateur se refermerait sur le cou de sa nouvelle proie.

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Le métro et la gare / Re : Une souris verte...qui courait dans l'herbe. [Zack]
« le: dimanche 07 février 2021, 22:18:31 »
L'incompréhension et la peur avaient envahi la rame du métro et plus personnes n'osée bouger dans la crainte d'attirer l'attention du criminel. Cela donnait l'impression d'être en face d'un prédateur dont la perception se limitait aux mouvements environnants. Ce ressentit était principalement dû au fait que toute la concentration de l'homme était focalisé sur l'écrivaine qui était la seule à essayer de s'éloigner de lui.

Alors que la jeune femme tentait désespérément de progresser avec difficulté dans la masse de gens, comme le ferai une gazelle qui essai de s'extirper d'une eau boueuse, Zack maintenait son rythme de marche calme mais déterminé, sans souffrir nullement de la foule. Cette dernière, craignant trop de se retrouver impliqué dans quelque chose de dangereux, elle préférait s'écarter pour laisser passer le kidnappeur. L'espace d'un instant, le regard de la proie croisa celui du prédateur. Ce fut cours, mais amplement suffisant pour qu'il puisse y voir toute la terreur qu'il était entrain de provoquer. C'était l'une des premières fois où l'homme était aussi excité par la peur ressenti par sa cible, le sentiment ressenti était délectable à souhait, au point qu'il aurait probablement pu jouir juste comme ça. Zack prenait un véritable plaisir à découvrir cette part de lui dont il ignorait jusque là l'existence.

Cependant, la réalité était plus délicate. En s'adonnant au plaisir de la chasse dans un lieu public et avec autant de témoins, cela allait certainement attirer l'attention. En soit, il n'avait pas peur de la police, pas plus qu'il n'avait peur de se faire arrêter. Zack avait déjà affronté frontalement les forces de l'ordre et avait déjà fini plusieurs fois en prison. Parfois c'était une victoire et parfois une défaite. Le problème c'est qu'il était un criminel mondialement recherché. Les autorités spécialisé dans la traque des individus doté de pouvoir, ainsi que quelques commissaires vétéran savaient déjà que ce dernier se trouvait au japon. S'il venait à se faire arrêter, cela mettrait fin à ce jeu succulent (même si comme d'habitude, il ne resterait pas bien longtemps en prison). Pour lui aussi donc, c'était une question de temps. L'homme allait tenter de profiter le plus possible de cette situation et lorsque ça deviendra ingérable, il passera aux choses sérieuse. Est-ce que la proie allait parvenir à s'échapper suffisamment longtemps pour que le prédateur deviennent à son tour celui qu'on chasse ?

Cet état de temps suspendu pris fin au moment où le métro arriva à la station. Lorsque les portes s'ouvrirent, un torrent de personnes paniqué dévala sur les quais, créant encore plus de confusion et de panique auprès des gens qui étaient déjà présente et attendait jusque là. Malgré le chaos et les cris ambiant, l'écrivaine trouva la force de se frayer un chemin et de sortir de ce métro. Zack fut également ralentis par la foule car contrairement a il y a quelques minutes, les gens ne s'avaient pas d'où venait la menace. Cependant il ne faisait montre d'aucune pitié, usant de ses poings, ses coudes et ses pieds pour frapper quiconque se trouvait sur son chemin, laissant derrière lui un chemin maculé de sang, de dents brisés et de civils assommés.

Lorsque Zack parvient à s'extraire du métro à son tour, Mona Duval disparaissait à l'horizon à l'intérieur d'un taxi. Dans cette situation, il aurait tenté de voler une moto afin de pouvoir la suivre facilement. Mais les japonais n'avaient pas trop cette culture de la grosse cylindré, c'était plutôt des adeptes du scooter et des vélos. Prenant un petit instant pour analyser la situation, l'homme retourna dans le métro.

"Je sais où Mona habite, et a la base elle comptait rentrer à son appartement en utilisant le métro..." Pensa-t'il :"Donc théoriquement, si je prend à nouveau le métro, je devrais arriver après elle mais avec assez peu de retard. La police va mettre un peu de temps a arriver, à comprendre ce qui c'est passé et à lancer les recherches. Si je pars immédiatement, je devrais pouvoir passer à travers les mailles du filet".

Zack se précipita vers les quais à tout allure. Même si c'était encore pas mal la cohut, la plupart des gens avait fuis et donc il fut beaucoup plus aisé pour lui de se déplacer. Certain usager victimes de la violence de l'homme se recroquevillèrent sur place en position fœtale lorsqu'ils le virent repasser, on aurait dit des autruches paniqués. Ce fut de justesse qui parvînt a attraper le prochain métro et a se diriger vers l'appartement de Mona sans autre fait notable.

C'était encore le matin, mais le temps avait salement viré... Le ciel était recouvert d'un profond gris sombre, aucun rayon de soleil ne perçait à travers la chappe de plomb qui semblait couvrir la ville. Des grondements lointain commençaient à se faire entendre, annonciateur d'orage et de pluie. Ce n'était pas arrivé soudainement comme ça sans prévenir, mais Zack était tellement pris dans sa traque qu'il n'avait pas réalisé le changement de météo. Sa théorie consistait dans le fait que cette dernière allait vouloir rentrer chez elle car c'est un endroit sûr à ces yeux. De plus, comme le criminel ne l'avait pas suivi directement, Mona penserait être parvenu à s'échapper et pourrait rentrer à son domicile.

Cela se confirma lorsqu'il arriva devant la porte de l'appartement concerné. La première fois que Zack posa son oreille contre la porte il n'entendit rien de concret, juste des bruits parasites qui aurait pu vouloir dire tout et son contraire. Mais lorsqu'il renouvela le procédé sur un mur proche (car il connait la disposition de l'appartement de Mona après plusieurs semaines d'espionnage) l'homme distingua de l'activité dans l'appartement. Ce n'était pas suffisamment clair pour savoir ce qu'il s'y passait, mais suffisant pour confirmer qu'elle était à l'intérieur. Avant d'arriver ici, il avait pris la peine de récupérer l'enveloppe à l'attention de l'écrivaine. Maintenant que Zack avait goûté au merveilleux goût de la peur, il en voulait plus. Afin de relancer la machine de l'angoisse, ce dernier glissa l'enveloppe sous la porte de l'appartement et souffla puissamment d'un coup pour pousser le bout de papier un peu plus loin dans le couloir de l'entrée. Cela serait amplement suffisant pour la suite.

Afin de laisser un peu mijoter tout ça, l'homme utilisa le plan de l'immeuble situé sur son téléphone portable pour atteindre le toit. Le plan était simple : provoquer le plus d'angoisse possible. Pour obtenir ce résultat, il fallait en faire des caisses, faire l'entrée la plus théâtrale possible et Zack savait exactement comment s'y prendre. une pluie légère c'était mise à tomber sur la ville de Seikusu, les grondements dans le ciel prirent sensiblement plus d'ampleur, la scène était prête. Le criminel enleva son long manteau et enfila son masque, ne se laissant nullement perturber par les gouttes d'eau qui s'écrasaient sur ses vêtements. Après avoir pris une profonde inspiration, l'homme tira un câble d'escalade de l'une de ses bobines et le fixa rapidement sur une antenne relai. Puis, il se jeta dans le vide sans la moindre hésitation afin de débuter une descente en rappel parfaitement maitrisé. L'harnais remplissait sa fonction et permettait à Zack d'être parfaitement équilibré durant la descente, même si la bobine siffla plusieurs fois sous l'effort. une fois à la hauteur désiré, le spectacle pouvait commencer.

L'homme pris plusieurs appui contre les parois de l'immeuble, lui permettant ainsi de décrire un grand balancement contrôlé. L'espace d'un instant il passa devant la fenêtre de la chambre de Mona Duval. Peut être qu'elle l'avait aperçu, peut être que non, cela n'avait aucune importance. Dans le pire des cas, cela n'aurait été rien de plus qu'une ombre furtive. Car tout cela n'avait été que le prologue du théâtre de la terreur. En effet, quelques secondes après être passé devant la fenêtre, Zack utilisa toute la force de son mouvement de balancier et du poids de son corps pour se projeter les pieds en avant contre la vitre du salon. Cette dernière se brisa net, provoquant un puissant bruit qui résonna dans l'ensemble de l'appartement. L'homme se réceptionna en posant sa main gauche et son genoux droit contre le sol. Après que le silence soit revenu dans la pièce, il se releva calmement, tenant le bâillon noir dans sa main droite. Une fois complètement redressé, deux effrayante lueur rouge firent leur apparition sur les lunettes du masque du prédateur.

"Moooooonaaaaa..." Fredonna t'il.

Elle devait sûrement le voir de là où elle était, caché dans l'une des pièces voisines du salon. Mais il ne chercha pas à savoir où se trouvait sa victime. Dans un premier temps, il se dirigea calmement vers la porte d'entrée, marquant le pas afin que ses bottes produise ce son si caractéristique. C'était le genre de bruit qu'on ne voulait à aucun prix entendre accélérer, car cela serait le signe d'une fin imminente. Son regard fut attiré par un élément métallique proche de la porte d'entrée, c'était la clés de l'appartement.

"Oooh... mais c'est un gentil cadeau que tu me fais là Mona." Dit-il ironiquement.

Zack ramassa le trousseau avec sa main gauche, mais alors qu'il allait se relever, son corps se raidit soudainement. Son attention se porta sur une pile de vêtement proche de lui. Dans le tas, il pouvait distinguer le sous-vêtement que Mona avait porté un peu plus tôt dans la journée.

Comment... Comment as-tu osé ?

Sa voix avait perdu son calme qui avait été jusque là imperturbable. L'écrivaine avait dû probablement se changer en arrivant. A ce moment précis, elle pouvait très bien porter une tenue complètement différente ou être entièrement nu. Le problème, c'était simplement qu'il existait une possibilité qu'elle ne porte plus l'objet de son fétiche. Et c'est ce sentiment de profonde frustration qui fit naitre une violente colère au sein de Zack.

COMMENT AS-TU OSÉ L'ENLEVER !!! Hurla-t'il.

L'homme devînt une bête enragé, détruisant tout ce qui lui tombait sous la main.

JE VAIS TE CREVER SALE PUTE DE MERDE !!!

Ses poings frappèrent les murs de l'appartement, provoquant un bruit sourd dans la pièce.

JE VAIS TE TROUVER, ET TE FAIRE COUINER COMME LA PUTAIN DE TRUIE QUE TU ES !!!

Le prédateur renversa une commode qui se trouvait proche de lui dont le contenu alla se rependre sur le sol.

JE VAIS CHOPPER CE DANNY, ET JE VAIS TELLEMENT LE PULVÉRISER QUE JE ME SERVIRAI DE LA BOUILLI QUI RESTERA DE SON CORPS POUR REPEINDRE LES MURS DE CET ENDROIT !!!

Une table à proximité fut bruyamment retourné par un coup de pied rageur.

ET TAMIKO, JE VAIS LUI ARRACHER TOUTES LES DENTS ET LA JETER EN PATURE A DES CLODOS CAMÉS, COMME CA ELLE NE POURRA PLUS MORDRE CEUX QUI LUI INNONDE SA GUEULE DE CHIENNE !!!

Toutes les lampes furent brisés, plongeant le salon dans une très légère pénombre.

MONAAAAAAAAAAAAAAA !!! Hurla-t'il une dernière fois.

Sa frénésie de destruction avait pris fin, son souffle était haletant, ses membres continuaient de trembler sous l'effet de la colère qui n'était toujours pas retombé. Zack remarqua qu'il n'y avait plus rien dans sa main gauche, il avait probablement jeter les clés lors de son excès de rage. Les voisins avaient dû être également alerté par tout ce bruit.

"T'as intérêt à porter quelques choses d'aussi bien que "ça", sinon..." La voix du prédateur trahissait une tentative de récupérer le contrôle de ses émotions.

Il fallait que Zack se calme pour ne pas que la situation ne dégénère d'avantage. Il avait besoin de faire quelque chose n'importe quoi pour se reprendre. Après plus d'une dizaine d'année à chasser des proies, son corps repris des routines de façon automatique. Le kidnappeur installa rapidement un câble de capture dans le couloir de l'entrée. Cela permettait d'entraver pendant quelques secondes les jambes d'une personne qui tenterait de s'enfuir ou bien de pénétrer dans l'appartement. L'idée d'utiliser du câble cranté à la place lui traversa l'esprit et un immense effort fut fourni pour ne pas le faire. En réalité, Zack ne prenait aucun plaisir à tuer des gens (même s'il l'avait fait à de nombreuses reprises), car une fois morte, une personne ne souffre plus. C'est pour cette raison qu'il préférait amplement plus violer et torturer. Mais l'homme n'hésiterait pas une seconde à jeter Mona Duval par la fenêtre après l'avoir baisé s'il s'avérait qu'elle portait autre chose que ce qu'il affectionne.

Le prédateur reprit ses recherches, sa démarche avait perdu son calme et était devenu soutenu, comme si chaque pas était un coup de pied. Il commença d'abord par la cuisine qui était la pièce la plus proche de lui. Son esprit était encore embrumé par la colère, l'empêchant de prendre les décisions les plus logiques et perturbant ses sens. L'écrivaine pourrait se faufiler non loin de lui et elle aurait de bonne chance de ne pas se faire remarquer. Ne trouvant rien, Zack se dirigea vers la chambre dont il ouvrit la porte d'un puissant coup d'épaule. C'est alors qu'après seulement quelques seconde après avoir pénétrait dans la pièce, l'homme perdit l'équilibre et manqua de tomber la tête la première contre le sol. Retrouvant rapidement son équilibre, il pris conscience que son pied c'était pris dans un tapis mal disposé. La rage du prédateur aurait pu refaire surface si son attention n'avait pas été attiré par un bruit saccadé venant du salon. Zack ne savait pas si son câble avait attrapé quelques choses mais il lui semblait avoir entendu le tintement métallique des menottes fixé au poignet droit de Mona.

L'homme était un athlète confirmé, qui avait poussé son corps dans ses retranchement. Mais il lui était malgré tout impossible d'atteindre sa vitesse de pointe dans un appartement, sa position de départ n'est pas non plus propice à un démarrage explosif. Sa course serait donc lourde, bruyante et mal exploité. Ce qui ne sera plus le cas si l'écrivaine décide de s'enfuir par le long couloir en ligne droite. Une situation pire encore serait qu'elle tente de s'enfuir par l'escalier, l'agilité de Zack et son aisance pour se déplacer dans les airs lui permettrait de la rattraper à coup sûr. Mais il existait aussi la possibilité que le bruit perçu ne provenait tout simplement pas de la jeune femme. Est-ce que quelqu'un était parvenu à rentrer dans l'appartement ?

Quelque soit l'origine de ce bruit, il serra le poing qui tenait le bâillon. Le prédateur se releva et parti à la poursuite de Mona Duval.

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Le métro et la gare / Re : Une souris verte...qui courait dans l'herbe. [Zack]
« le: dimanche 11 octobre 2020, 02:14:53 »
La douleur l'envahit mais il ne l'a ressent pas. Il souffre légèrement mais ne s'en rend pas compte. Pour lui à ce moment là, c'est comme si on l'avait simplement poussé en arrière. L'excitation prenait le pas sur tout le reste, oubliant même la faim. Zack dû faire un immense effort pour ne pas riposter et laisser l'écrivaine s'enfuir. Enfin... le terme le plus exact serait "lui laisser de l'avance". Cela serait si simple de lancer un câble sur sa jambe pour la tirer de nouveau dans l'obscurité, la crasse et la violence.

L'homme se mit en route, inspirant profondément, et expirant lentement, laissant l'excitation redescendre doucement. Il prit la peine de ramasser à nouveau l'imperméable que ce dernier avait déposé dans le couloir. De cette façon, son harnais n'attirerait pas l'attention des forces de police. En revanche, son visage patibulaire et son teint blafard agissait comme un champs de force sur la foule. Les personnes s'éloignaient de lui en le voyant, intimidé par l'aspect terrifiant de Zack, semblable à un spectre aux intentions malsaines.

Voyons voir... En temps normal, tant que je n'apparais pas dans son champs de vision, une proie n'appellerai pas la foule à l'aide. Lorsqu'elle va s'enfuir pour se cacher,  elle ira soit directement au commissariat, soit se cacher chez elle, soit chez un proche, soit se réfugier chez la première personne sympathique venue... Pensa t'il.

Le kidnappeur énumérait dans son esprit malade les possibilités comme s'il récitait une leçon.

"... Sa peur va la pousser à chercher de l'aide, mais le fait d'avoir réussi à s'échapper va lui faire minimiser la situation dans laquelle elle se trouve...".

Sa réflexion fut perturbé par la vue d'un distributeur à sandwich automatique. Autant le japon était un véritable paradis pour les criminels sexuels de tout poil, chose que Zack appréciait beaucoup. En revanche, il avait une profonde aversion pour la gastronomie de ce pays. C'est donc à contrecœur qu'il jeta son dévolu sur un tamago sando qui lui semblait être le moins pire des aliments présent dans la machine. Une fois le sandwich en main, l'homme prit le métro en même temps que Mona lorsqu'il l'a vit s'y engouffrer. Une fois à distance raisonnable d'elle, le kidnappeur pu reprendre son raisonnement pensif.

... Elle va donc d'abord très probablement rentrer à son appartement pour s'y réfugier. Car c'est un lieux où ma proie se sentira en sécurité. Puis, dans un second temps, elle appellera la police ou un proche.

Dans le métro caché parmi la foule, Zack ne pouvait pas jouer du fil. En réalité si, mais le but actuellement n'était pas de s'en prendre à toutes les personnes présentes dans cette rame. Tout du moins, pas pour le moment.

... Lorsqu'elle arrivera dans son bâtiment, il est peu probable que ma proie regarde son courrier pour y trouver ma lettre... J'aimerai bien pourtant qu'elle le fasse... Bah ! Je lui glisserais sous la porte ou à travers une fenêtre ouverte... Faudra aussi que je réfléchisse à que faire de son entourage... Se questionna t'il.

Zack déchira sans effort l'emballage de son sandwich et commença à l'engloutir avidement. Sa façon de manger était vulgaire et bruyante, ses molaires broyaient le pain avec une vigueur animale. Sa faim était plus grande qu'il ne l'avait imaginé de prime abord. Les gens exprimèrent leur malaise face à ce spectacle en dévisageant le kidnappeur, mais ils détournèrent bien vite leur regard dès que ce dernier croisa celui de Zack. C'est vrai qu'il était mal vue de manger devant tout le monde de cette façon, en faisant autant de bruit, mais c'était pas une bande de japonais trouillard qui allait l'inquiéter.

Dès que son ventre commença à s'apaiser, le cerveau de Zack se remis activement en route, et une terrible réalisation eu lieu : Si son comportement avait attiré l'attention des personnes dans le métro, par effet de domino, Mona qui est en état d'alerte, avait probablement été attiré par le malaise de la foule. Et donc par extension, il était presque sûr que l'écrivaine avait aperçu le visage blafard de son agresseur.

Bon... La pause est terminé il semblerait. Dit-il dans un ricanement effrayant.

L'homme laissa tomber au sol le peu qui restait de son sandwich, n'y prêtant plus du tout attention. Son regard semblable à ceux d'un fou c'était fixé sur Mona, verrouillé sur sa cible tel un missile d'un avion de chasse. Un sourire carnassier apparu sur son visage, ne laissant aucun doute sur les intentions du prédateur. Une voix féminine résonna dans l'enceinte du wagon, annonçant l'arrivé imminente de la prochaine station de métro. Zack se leva lentement de son siège, toujours concentré sur sa cible. Le son du claquement régulier des antennes sur les caténaires était un rappel, La sinistre horloge de l'inéluctabilité avait repris son court. D'un pas assuré, qui ne trahissait aucun déséquilibre malgré le très léger balancement du wagon, l'homme se dirigea tel une machine vers l'écrivaine. Son mouvement lent et régulier était inexorable, chaque personne se trouvant sur son chemin était poussé de façon autoritaire mais pas brusque. Rien ne semblait pouvoir empêcher sa progression et cela faisait un moment que la discrétion été devenu inutile.

Un jeune voyou fut visiblement offusqué lorsque Zack l'écarta de son chemin, saisissant ce dernier par la manche pour l'interpeller.

"Hé enfoiré ! Tu te prend pour qui là ?". exprima le garçon avec une voix qui trahissait un égo froissé.

Le kidnappeur se retourna avec son calme habituel, ses yeux rouges d'albinos donnait l'impression de faire face à un oni. Celui qui avait eu le malheur d'attirer l'attention de Zack se décomposa en croisant son regard. Et avant que le voyou ait eu le temps de réagir, il reçu un violent coup de tête qui le fit s'effondrer contre une barre de maintien, le son métallique résonnant dans toute la rame. Tous les passagers se mirent à hurler de surprise dans un premier temps, puis de peur après avoir vu le jeune garçon tomber inanimé sur le sol.

"Monaaaaa..." fredonna le prédateur.

Zack reprit son chemin vers l'écrivaine, un léger hématome était apparu sur son front livide. Il sortit à nouveau de son imper, le bâillon destiné à sa proie. Le tenant clairement en évidence sans pour autant l'exhiber.

"On a pas fini de s'amuser toi et moi". Dit-il en frottant son poignet droit en référence à la menotte que portait encore l'écrivaine au poignet.

La panique envahit la rame de métro alors que l'homme se dirigeait vers Mona Duval.

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