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Messages - Zack Arias

Pages: [1] 2 3 4
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One Shot / Re : La capture est ouverte. - pv
« le: samedi 23 mars 2024, 01:11:16 »
Malgré une marche rapide, il fallut plusieurs longues minutes au kidnappeur pour arpenter les couloirs qui mènent jusqu'au poste de sécurité, temps qui fut mis à profit pour vérifier régulièrement son téléphone. Sa cible ne semblait pas vouloir répondre à son message, est-ce qu'elle faisait autre chose ? Un symbole en bas de la conversation indiquait que le sms avait bien été envoyé, cependant, cette même icône semblait dire que ce dernier n'avait pas encore été lu. Peu importe pour le moment, dans les prochaines minutes Zack n'aurait probablement pas l'opportunité de répondre.

La tour grouillait de gardes au niveau du rez-de-chaussée, il serait logique de penser qu'il y en ai beaucoup à l'étage du politicien et pratiquement pas dans les autres. Pour confirmer cela, il était nécessaire de prendre le contrôle de toutes les caméras du bâtiment. Quelque chose d'impossible à faire pour le criminel, n'étant pas très versé dans les domaines informatiques, ce qui n'était pas un problème pour Nezumi en revanche.

Le poste de sécurité était situé dans l'aile est de l'hôtel qui, sans être isolé, était surtout un lieu fréquenté par le personnel de l'établissement. L'homme commençait à jurer avec son environnement, mais ce ne serait pas très grave tant qu'il ne s'y attardait pas. La porte qu'il cherchait se trouvait droit devant, mais quelques personnes en plus de lui empruntaient le couloir. C'est pourquoi afin de ne pas éveiller les soupçons, Zack pénétra le plus naturellement du monde dans la pièce en s'assurant de fermer derrière lui.

Personne.

Mais ce n'était pas un hasard, tout le service avait reçu un faux mail de la part de monsieur Tone grâce aux coordonnées obtenu par Hana. Le courrier électronique avait était transféré depuis la boite aux lettres numériques de la direction qui avait été hacké grâce à une simple tentative de fishing de la part de Nezumi. Le message consistait en une convocation urgente et qui accusait les vigiles d'utiliser le système de surveillance pour épier le politicien lors de ces parties de jambes en l'air. Ce qui était évidemment faux car il n'y avait pas de caméra dans les chambres, mais du temps qu'ils s'expliquent avec les responsables de l'hôtel, Zack aurait le temps d'accomplir l'étape 4 de son plan.

Le kidnappeur s'approcha d'un ordinateur qui était en vieille, le bleu de l'écran se reflétait sur le visage de l'homme qui ne perdit pas une seconde pour faire apparaitre l'écran de connexion. A ce stade, il ne connaissait pas le mot de passe et n'en aurait normalement pas besoin, l'homme se contenta de sortir une clé USB de la poche de son pantalon et de la brancher sur l'unité centrale. En parallèle, il pressa quelques boutons sur son téléphone qui se trouvait dans autre main.

"Clé branché" annonça-t'il.

"Je prend le relais, donne moi un instant". La voix de l'otaku résonna à travers l'écouteur.

"Traine pas".

Pour cette opération, les commanditaires de Zack avait financé du matériels militaires digne de film d'espion. Cela faisait parti du deal pour que Nezumi accepte et puisse participer à ce coup. En temps normal, son champs d'action était très limité mais avec ces nouveaux outils entre ses mains, le pirate informatique allait pouvoir rentrer dans les hautes sphères du recèl d'information. Le kidnappeur s'imaginait déjà les tourments qu'allaient rencontrer toutes ces idoles et streameuses japonaises.

"C'est bon ! Je suis dans le système, tu peux partir" Déclara t'il avant d'ajouter. "Dans quelques minutes, la connexion sera établi avec ton téléphone et tu pourras avoir accès à toutes les caméras depuis l'application que je t'ai faite installer".

"Écoute moi bien à présent. Quand je te le dirais, tu enverras la "bombe" à la fille de Tone et tu préviendras notre complice de se tenir prête. Dès que c'est fini. Tu envoies le signal".

"C'est compris".

La "bombe", était une vidéo doublé d'un cheval de Troie, programmé pour ne pas pouvoir être stoppé tant que son visionnage était en cours. De plus, le logiciel malveillant permettrait à Nezumi de pénétrer dans le téléphone de Célestine pour en prendre le contrôle. Le but était simplement de remplacer tous les numéros du répertoire de contact par celui de Zack. La vidéo en elle même n'était pas indispensable concrètement pour la capture de sa proie, mais elle revêtait un aspect primordial pour la mise en scène du kidnappeur.

L'homme sortie immédiatement du poste de sécurité avant que quelqu'un ne l'aperçoive, rassuré de voir que l'une des étapes les plus délicates s'était passé sans encombre. Tout en s'éloignant, son attention fut désormais focalisé sur son téléphone, il ouvrit une application et ne put réprimer un sourire en constatant que son collaborateur avait bien travaillé. Ne perdant pas de temps, Zack consulta une à une les caméras du dernier étage et un fait marquant sauta à ses yeux : Il y avait bien des gardes à cette étage, mais seule une chambre en avait un de posté en permanence devant. C'était forcément celle de Celestine.

Passant sur la partie messagerie de son téléphone, l'homme envoya un second sms à la jeune fille.

"Tu crois que le garde me laissera rentrer ?" Demanda le Grey Stalker. Toujours dans le but de faire monter la tension progressivement.

C'est bon, tout était en place. Le criminel n'attendait plus qu'une réponse de sa proie pour larguer la bombe. Que la vidéo soit envoyé ou non cela ne changerait pas le fait que les jours de liberté de cette fille était compté, mais il espérait au fond de lui qu'elle réponde avant de lui transmettre. En effet, le plaisir que prendrait plus tard l'homme n'en serait que plus grand.

Suite à cela, Zack se dirigea vers l'ascenseur prêt à capturer sa proie.

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One Shot / Re : La capture est ouverte. - pv
« le: vendredi 08 mars 2024, 00:15:25 »
Alors que Zack s'apprêtait à lire la réponse qu'il avait reçu sur son téléphone portable crypté, son attention fut attiré par l'arrivé d'un groupe de 6 femmes dans le hall de l'hôtel. Aussi resplendissantes que souriantes, elles attirèrent tous les regards avec leur démarche élégante et leur regard envouteur. Un réceptionniste se tenait à leur côté pour les guider et leur ouvrir les portes. Pourtant, malgré une certaine classe qui correspondait au standing de l'établissement, c'est avant tout leurs tenues ostentatoires qui ne laissaient aucun doute sur leur véritable nature : Décolleté plongeant, robes fendu jusqu'à la hanche, tissus légèrement transparent, lingerie apparente… Il était impossible de ne pas comprendre qu'il s'agissait d'escort de luxe. Dans le lot se trouvait cependant un femme qui faisait un peu tâche aux côtés de ses déesses de la luxure, sa tenue était plus vulgaire et moins coloré, son visage montrait qu'elle ne se sentait pas à l'aise. Une personne doté d'un bon sens de la déduction pourrait penser qu'il s'agissait d'une débutante dans la profession.

Lorsque le kidnappeur était allé à la rencontre de l'assistante de monsieur Tone, il ne s'était pas contenté de prendre sa carte magnétique et le numéro de Célestine, il en avait profité également pour récupérer tout un tas d'information concernant l'homme politique, notamment son planning ainsi que ces habitudes. Après avoir reçu un mail de ce dernier, un simple appel de Zack a suffit pour commander des filles tout droit sortie des bordels avec lesquelles il collabore. D'ailleurs, la plupart d'entre elles sont des victimes du Grey Stalker qui ont été revendu à des proxénètes. C'était donc la deuxième étape du plan : Ces dames avaient pour rôle d'empêcher monsieur Tone de répondre au téléphone, et de s'assurer que personnes ne rentre durant les prochaines heures de débauche qui allait suivre. Le criminel n'était pas inquiet, c'était des putes bien dressés et le politicien serait si bien du haut de son septième ciel, qu'il n'accorderait plus aucune importance aux problèmes terrestres.

C'est ainsi que comptais faire Zack, isoler chaque cibles les unes des autres. Rassuré de voir le début de son plan se dérouler correctement, il consulta finalement son téléphone.

– Une excellente nuit, je dirais. Que me vaut un message de votre part ? – Questionna Célestine dans son message.

-- Je me suis dit que vous pouviez vous sentir seule la haut. -- Répondit-il.

Selon Zack, Céleste disposait encore d'une vingtaine de minutes devant elle si l'envie lui prenait de vouloir prendre contact avec son père. Après ça, il devrait (normalement) être injoignable pour minimum une heure (la nuit entière en théorie, mais un imprévu peut ce produire). C'est alors que l'opportunité que le criminel attendait se manifesta, l'un des membre de la sécurité pénétra dans les toilettes des hommes. C'était trop tôt pour se débarrasser d'un garde, son absence serait rapidement remarqué et Zack ne pouvait pas non plus voler une identité, car les possibilités qu'ils se connaissent entre eux était trop grande. Heureusement, il n'avait pas besoin de grand chose pour arriver à ses fins pour le moment. En effet, grâce à une excellente science du timing le Grey Stalker pénétra dans les toilettes au mêmes moment que le vigile en ressortait. Profitant de l'extraordinaire dextérité de ses doigts et d'un culot effronté, il profita de croiser le vigile dans l'encadrement de la porte pour lui subtiliser sa carte d'accès, le mouvement était digne d'un pickpocket de renom.

A présent seul dans les toilettes, le kidnappeur disposait de tous les éléments pour pouvoir se déplacer librement dans cette tour. Il pouvait même dès à présent prendre l'ascenseur, débloquer l'accès au dernier étage grâce à la carte du garde et capturer Célestine. Mais avant ça il restait deux choses à faires.

Profitant d'un léger temps de pause, Zack envoya un second message à Célestine. Il ne prit même pas la peine de voir si la jeune femme lui avait répondu ou non.

-- Je vais venir vous voir. -- annonça le Grey Stalker.

C'était le tout premier message qui avait pour but de faire naitre la peur chez sa victime. Ce dernier ne devrait normalement avoir pratiquement aucun impact sur la jeune femme, mais l'homme espérait quand même faire naitre un peu de confusion. La peur allait pouvoir monter progressivement à partir de là.

Reprenant le cours des opérations, le criminel fouilla ses poches à la recherche d'un boitier en plastique de la taille d'une grosse boite d'allumette. A l'intérieur, se trouvait un lot de fausse carte magnétique avec les visages d'un certain nombre d'employé. Lorsqu'il trouva celle avec la photo du garde qu'il avait volé, Zack l'a fit tombé près de la porte. Il s'agissait de Yasu Koji, un des nombreux vigiles dont la photo avait été prise la semaine avant le kidnapping et qui a servit à faire cette contrefaçon. Avec ce bout de plastique ont ne pouvait rien ouvrir, mais ils avaient été fait pour ne pas donner l'impression qu'il y ai eu un vol.
C'était la raison pour laquelle Zack avait attendu dans le hall, pour reconnaitre le visage de l'un des membres du personnel qu'il avait mémorisé et pour pouvoir faire un échange de carte. L'étape numéro trois avait été atteinte.

Ne souhaitant pas s'attarder d'avantage sur les lieux au cas où il croiserait à nouveau ce Yasu, Zack se dirigea prestement vers le poste de sécurité. L'homme, jeta un œil à la conversation téléphonique avec Célestine pour voir s'il avait loupé un message, c'était important que le criminel garde le fil de la discussion pour préparer son effet de style. La prochaine étape risquait d'être plus délicate en revanche...

3
One Shot / Re : La capture est ouverte. - pv
« le: lundi 19 février 2024, 23:41:13 »
Zack n'aimait pas recevoir du courrier.

Comme à son habitude, le kidnappeur avait pris possession du logement de l'une de ses victimes le temps de se cacher. Cette dernière était encore larmoyante après les sévices qu'elle avait subi la veille. Suspendu au plafond de la chambre façon shibari, elle donnait l'impression d'être prise dans la toile d'une araignée. Personne ne savait ce qui s'était passé dans cette appartement et les proches de la victime mettraient au moins 72 heures avant de commencer à s'inquiéter. Pourtant même ainsi, une enveloppe noire qui n'était pas là à l'arrivé de l'homme reposait sur le sol devant la porte d'entrée.

Il s'avait exactement de ce que c'était.

Cette lettre contenait une "commande" provenant d'un haut commanditaire, une personne suffisamment puissante pour se payer les services de l'un des plus effroyable kidnappeur du monde, doté du pouvoir d'ignorer la lois et de permettre au criminel de sortir impunément de n'importe quel prison. Mais ce qui avait le don d'agacer profondément l'homme, c'était d'avoir l'impression de ne pas pouvoir échapper à ces gens là. Quelque soit l'endroit où il se cachait, ces types finissaient toujours par le retrouver.
Paradoxalement, l'irritation du Grey Stalker laissait vite la place à l'intérêt puis l'excitation. En effet, ce genre de mission impliquait souvent un challenge digne de son niveau, défi qu'il prenait toujours plaisir à relever.

Alors que Zack ouvrait l'enveloppe avec un geste maitrisé, la lettre qu'elle contenait commençait déjà à se détériorer sous l'effet de l'air ambiant. C'était l'une des nombreuses façon de ne laisser aucune trace, quoique un peu vieux jeu à une ère où tout est numérisé. La mission cette fois-ci consistait à enlever Célestine Tone, fille du célèbre homme politique américain. Ce dernier avait emménagé récemment au Japon pour une durée indéterminé, mais nul doute que le commanditaire du kidnappeur voulait une action des plus rapides. Il eut tout juste le temps de lire l'adresse de la cible avant que le papier ne soit complétement réduit en poussière.

Le lendemain, Zack s'attelait déjà aux préparations de sa mission qui consistait à préparer le matériel et a établir un plan. Après quelques coups de fil, il reçu dans la soirée les plans de la tour où résidait la famille Tone qu'il étudia avec attention. La résidante de l'appartement qui servait de planque, était attaché de façon à servir de table pour le kidnappeur, contrainte de garder l'équilibre si elle ne voulait pas que sa situation n'empire encore plus. Sur son dos, se trouvait des documents légèrement éparpillés, deux stylos , un téléphone portable et une tasse à café chaude sur l'une des fesses meurtri de la pauvre femme. Après une longue réflexion, un sourire carnassier se dessina enfin sur le visage de l'albinos qui venait de trouver son angle d'attaque. Cette tour était une forteresse solide avec autant de piège que de faille à exploiter. Malgré le fait qu'elle soit à la pointe de la technologie, cette dernière était avant tout de conception civil, elle n'était donc pas prévu pour empêcher des forces armées ou bien des super criminels entrainés d'y pénétrer. Mais ce qui fit bouillir les neurones de satisfaction du Grey Stalker, c'était que le point le plus fort de ce lieu aller devenir son plus gros point faible. Le plan était le suivant : Isoler l'étage où se trouvait la chambre de Célestine du reste de l'immeuble. En faisant ainsi, tout ceux qui s'y trouve serait piégé et il sera aisé pour Zack de traquer Célestine et de se débarrasser des gardes. Pour ce faire, il allait devoir demander de l'aide à l'un de ses contact : Däto Nezumi. Un gros lard doublé d'un otaku avec qui le célèbre criminel avait eu l'occasion de "travailler" par le passé.

Deux semaines plus tard, tout était prêt et le grand soir était arrivé. Le kidnappeur allait pouvoir s'en donner à cœur joie, il avait même prévu une petite mise en scène pour pouvoir pleinement profiter de cette nuit. Evidemment, cela risqué d'augmenter les risques d'échouer, mais c'était un homme de passion avant tout et il était indispensable pour lui de prendre du plaisir à faire son travail. Pour cette raison, il débuta par la première étape du plan : prendre contact avec Célestine.

Le geek avec lequel Zack collabore gagne sa vie en dérobant des données personnelles puis en les revendant. Ce dernier n'était pas parvenu à obtenir les coordonnées de la jeune fille, en revanche, il avait obtenu toutes les coordonnées de l'assistante de monsieur Tone : Hana Kaori. Dès lors, il ne fut pas difficile pour le kidnappeur d'obtenir le numéro de téléphone après avoir "rendu visite" à cette femme.

Sortant son téléphone crypté, l'homme tapa rapidement un message simple qu'il envoya tout aussi vite.

-- Bonsoir --

N'attendant pas de réponse de la part de sa proie, le kidnappeur passa à la deuxième étape et se dirigea vers la grande tour qui scintillait dans la nuit. Richement habillé et usant de son maquillage spécial pour dissimuler sa peau Albinos, il pénétra dans l'hôtel avec un aplomb audacieux, agissant comme s'il avait toujours séjourné ici. Afin de pouvoir entrer et de passer les quelques portes dont l'accès était restreint aux résidents, Zack utilisa la carte magnétique d'Hana en faisant attention de masquer avec son pouce le nom qui se trouvait dessus. Le plus facile était fait, il lui fallait maintenant attendre patiemment qu'une opportunité se présente.

Le criminel alla s'assoir confortablement sur l'un des sièges se trouvant dans le hall de réception, jetant un œil naturellement distrait autour de lui. Le bâtiment, bien que classieux, était truffé de caméra. De plus, comme l'établissement accueillait un important dignitaire américain, des agents de sécurité patrouillait partout. En attendant, il consulta à nouveau son téléphone et réalisa que la jeune fille ne lui avait pas répondu. C'était parfaitement probable et l'homme ne s'en inquiéta pas. Ce dernier profita de l'occasion pour envoyer un second message.

-- Belle nuit n'est-ce pas ? --.

La position de Zack dans la pièce n'était pas anodine, il pouvait surveiller impunément la réception, l'ascenseur principal, le couloir menant aux toilettes, ainsi que les allées et venues du personnels de sécurités.

Soudain, son téléphone vibra succinctement.

4
Les alentours de la ville / Re : Déchéance [Pv Zack]
« le: jeudi 11 janvier 2024, 22:17:13 »
Au cours de sa carrière et avec plus de 1000 enlèvements à son actif, Zack a eu l'opportunité de rencontrer un large éventail de proies différentes, des femmes dans 95% des cas. Caucasienne, orientale, extradimensionnel, blonde, brune, animale, jeune, vieille, immortelle, sainte nitouche ou pute vérolé. Mais parmi tous ces genres, un de ceux qui l'amusait le plus était les petites idéalistes qui pensait pouvoir le capturer.

Que cela soit parfaitement clair, il n'est pas question d'âge ici. Il existe dans ce monde des fillettes d'à peine 8 ans, dotés de facultés pouvant réduire en poussière Zack en moins d'une seconde. D'êtres disposant de pouvoir divin et pour qui le Grey Stalker ne représenterait pas plus de menace qu'une fourmis.
Cependant, il arrive parfois qu'une petite policière ambitieuse ou une héroïne récemment diplômé, se mette en tête de vouloir mettre fin aux agissement du kidnappeur professionnel. Et c'est là l'élément que ce dernier avait du mal à comprendre mais qui le rendait hilare. C'est un criminel mondialement connu, dont l'accès aux informations ne sont pas classé secret défense. Quiconque ayant accès aux flux de données de la police pouvait consulter son dossier, il est même possible d'obtenir quelques bribes directement sur internet après 30 minutes si on sait quoi chercher. La seule chose qu'il est difficile de trouver concerne son pouvoir : La prison incarné. Car en effet, c'est un phénomène que très peu de personne n'étant pas des proies on pu assister et qui reste un mystère pour les rares scientifique qui ont eu l'opportunité de s'y pencher.
Alors quand une jeune écervelé se dit :"Tiens ? Et si je tentais de capturer un criminel mondialement connu à moi toute seule alors que même les forces spéciales d'un pays galère à le faire ?" Zack ne pouvait pas s'empêchait de se dire :"Elle a vraiment envie que je lui ravage le cul cette petite pute".

C'est donc sur ce même principe que l'homme se dit "Pourquoi pas après tout ?" lorsqu'il réalisa qu'une justicière fraichement sortie de l'école en avait après lui. Son planning étant vide et la vie pleine d'opportunité, il serait dommage de se priver d'un plat surtout lorsque celui ci se jette dans son assiette. D'autant plus qu'il a déjà eu l'occasion de faire de belle découverte de cette façon.

Lorsque les deux s'affrontèrent pour la première fois, il ne fallut pas longtemps pour que Zack échappe à Aurore. Force était de reconnaître qu'elle avait du talent. Etant vif et agile, la jeune femme n'aurait probablement pas rencontré de difficulté face à des criminels de seconde zone, la possibilité qu'elle soit une étudiante sorti major de promo étant fort probable. Mais son style était trop académique, trop anticipable, l'homme avait déjà vu ces méthodes des dizaines de fois. C'est donc assez facilement que le Grey Stalker lui échappa sans même avoir recours à ses fils.

Zack pista la jeune femme jusqu'à son domicile et attendit patiemment qu'il fasse nuit. L'un des faits courant chez les justiciers amateurs (qu'ils soient policiers ou héros), c'est qu'à force de poursuivre des méchants, ils ne s'imaginent pas que le chasseur puisse devenir la proie. L'homme s'approcha d'une fenêtre, s'aidant d'un câble d'escalade pour se hisser et c'est alors qu'il l'aperçu entrain de se changer, enfilant une lingerie simple mais élégante. Le sang du kidnappeur entra en ébullition, c'était là sous ses yeux, l'objet de ses convoitises, une femme magnifique portant les sous-vêtements qu'il affectionnait tant. Chaque seconde que l'homme passait à l'admirer faisait grimper en flèche ses pulsions de viol au point que ça en deviennent insoutenable.

Ce balançant rapidement jusqu'à la pièce voisine, le criminel passa par la fenêtre qui n'était pas fermé pour pénétrer dans la cuisine (sans chercher à la refermer derrière lui). La première chose qu'il fit, fut de détruire l'ampoule de la pièce pour la plonger dans l'obscurité. Cela allait attirer l'attention d'Aurore mais c'est que voulais Zack. Profitant de son talent pour se fondre dans les ombres, ce dernier saisit l'opportunité ainsi crée pour contourner la jeune femme et se rendre dans le salon. Après quelques secondes, il éteignit la lumière à nouveau mais à l'aide de l'interrupteur cette fois-ci. A partir de là, le jeu de la peur pouvait commencer. L'homme voulait plonger l'héroïne dans la confusion dans un premier temps, puis lui faire comprendre progressivement qu'il y avait quelqu'un chez elle, et enfin, que ce quelqu'un était Zack. Ce dernier voulait se nourrir de la peur d'Aurore, car une agression sexuelle a toujours meilleurs goût lorsque la victime est en proie à la terreur. Pour ce faire, le Grey stalker renversa occasionnellement des objets sur le sol, se mit à courir non loin de la jeune femme tout en restant caché dans son angle mort pour qu'elle entendent le bruit de ses pas se rapprocher mais sans pouvoir établir où se situait son agresseur. La justicière proféra des menaces empli de crainte mais l'homme ne répondit rien.

Ce petit jeu dura quelques minutes qui parurent être une éternité pour les deux personnes présente dans la pièce. L'une était progressivement envahi par la peur, l'autre ne rêvait que d'une chose : empaler sa proie sur sa colonne de chair. C'est alors que le moment que Zack guettait arriva. Cédant à la panique, la jeune femme se précipita maladroitement dans la pièce uniquement éclairé par les lumières de la ville pour se précipiter vers l'interrupteur du salon. Mais avant qu'elle ne pu allumer la lumière, le kidnappeur attrapa fermement son poignet pour la stopper. Il activa alors ses lunettes de vision nocturne qui firent apparaître deux lueurs d'un rouge terrifiant dans l'obscurité.

Coucou beauté.

5
C'est dans un bruyant craquement que la table en bois céda devant la violence de l'acte perpétré par le criminel. Déséquilibré et tombant sur le sol, ce dernier se réceptionna sur les mains et se laissa rouler sur le dos, au côté de Victoria. La situation semblait faire rire d'un éclat malsain Zack qui semblait le prendre avec humour.

Hahaha ! Il semblerait que j'y sois aller trop fort. C'était vraiment de la camelote cette table. Fait l'effort d'en prendre une avec des pieds solide la prochaine fois que tu te fais tringler. Suggéra-t'il.

Sa "partenaire" ne semblais pas partager son point de vue, devant le peu de réaction de cette dernière, il se releva et attrapa le pied droit de Victoria.

"Toujours là ? Si tu crois que c'est fini tu te trompe. Je continuerai à te baiser même si tu venais à t'évanouir." Déclara l'homme.

Trainant la jeune femme jusqu'à la porte fenêtre la plus proche, une fois atteinte, il releva Victoria sans effort et plaqua sa poitrine contre le verre froid.

J'espère que le verre est de meilleur qualité que ta table. Cela serait dommage d'abimer cette jolie peau que tu as là.

Suite à ses paroles, et sans prévenir, l'homme pénétra dans la sorcière. Le coup était moins puissant que le précédent, mais il restait particulièrement vicieux et atroce pour une personne non-consentante. Les coups de hanches se succédèrent à un rythme particulièrement soutenu, provocant un inquiétant mais très léger couinement de la part de l'armature de la porte fenêtre. Zack ne savait pas si c'était la peur que la vitre se brise, ou si c'était la peur d'être exposé en publique, mais la jeune femme semblait tenter de se reculer de la fenêtre. Cela exerçait en effet moins de pression sur le cadre, mais la faisait s'enfoncer d'avantage sur le chibre de l'homme pour son plus grand plaisir. La silhouette de cette dernière était éclairé par les lueurs de la ville, lui donnant un air de danseuse de cabaret des plus agréables (et peut être dégradant pour elle qui sait ?). Le kidnappeur fessa le mignon petit popotin de sa victime avec autorité, rajoutant un nouveau son à la symphonie de souffrance déjà présente.

Allez gémis ma belle ! Il y a toujours l'espoir que quelqu'un t'entende et viennent à ton secours... Ou alors qu'un chaland vienne se branler en nous regardant.

Le pilonnage de la douce intimité de la lycéenne ne semblait pas connaitre de fin, souillant un peu plus ce corps qui ne semblait pas rompu à une activité sexuelle intense. Cette pénétration répété produit un son particulièrement vulgaire et qui ravissait les oreilles de l'homme. Ce dernier haletait bruyamment, soufflant son halène fétide près de l'oreille de la jeune fille, bavant abondamment sur une épaule douce et soyeuse. Nous avions là un sordide spectacle : la belle et la bête s'accouplant au clair de lune.

"*Haaa*... Finalement, je réalise que ... *Humpf !*... tu n'es pas plus dangereuse qu'une lycéenne lambda." Dit-il. "Tant que je suis a tes côtés, il y'a peu de chance que tu puisses prononcer la moindre formule"

Sur ces mots, Zack se retira enfin de la sorcière, son membre viril encore luisant et palpitant, semblait proche de l'explosion. Victoria se laissa retomber sur les genoux, visage contre la vitre, éprouvé par le sévices qu'elle venait de subir. Sans gestes brusques, l'homme désangla le bâillon, offrant ainsi l'occasion à sa victime de toussoter et de s'humidifier la gorge. Avoir le souffle entravé par cette boule noire ainsi que l'incapacité de déglutir (forçant ainsi la personne à baver abondamment) pouvait provoquer des irritations et des gènes sur le long terme. Zack l'a toisa de haut, son chibre vigoureusement relevé était avide de pouvoir profaner sa victime.

Depuis qu'on s'était croisé en Irlande, je nourrissais un désir simple mais que je fantasmais de pouvoir partager avec toi. Il marqua alors un temps de pause avant de reprendre. "Intelligente comme tu es, je suppose que tu as déjà compris que j'ai à ma disposition un autre bâillon pour te faire fermer ta belle gueule."

Tirant sur l'une des bobines à son bras, un très léger cliquetis se fit entendre. Semblable à la chaine d'une tronçonneuse, un câble cranté fut tiré par l'homme et placer sous la forme d'une boucle très ample autour du coup de la sorcière. Il forma ainsi une sorte de collier de ronce qui n'était pas assez tendu pour pouvoir blesser cette dernière. L'autre extrémité du fil était enroulé autour du majeur droit du kidnappeur.

Pour notre bien être à tous les deux, il y a intérêt à ce que je ne sente pas tes dents c'est clair ?

Probablement effrayé par la situation mais parfaitement lucide sur ce qui allait se produit, elle tenta maladroitement de manifester son rejet, de négocier, de supplier. Mais Zack resta complètement hermétique aux propos de la sorcière qui semblait pris d'une panique incontrôlable et qui semblait être sur le point de pleurer abondamment. Soudainement, l'homme attrapa le nez de sa victime en le prenant en étau entre son index et pouce gauche, il força ainsi la jeune femme à lever sensiblement la tête. Et avec sa main droite, il enfonça d'un coup sa colonne de chair dans la petite bouche de Victoria, interrompant ainsi la lycéenne au beau milieu d'une supplique larmoyante.

"payback time, bitch" Dit l'homme avec un sourire affreusement satisfait. "Rassure toi, ça sera pas long".

Zack avait déjà parcouru le plus long du chemin avant de s'immiscer dans la bouche de la jeune femme, mais il fit cependant l'effort de se contrôler un peu. Il voulait profiter un peu de l'instant présent, de cette douce vengeance qui avait une saveur particulièrement satisfaisante. Savourant chaque gémissements de la jeune fille, chaque pleurs, chaque mouvements de tête pour tenter d'extirper ce pénis intrusif de sa bouche. Mais surtout, le désespoir et l'hystérie grandissante sur le visage de Victoria en réalisant de manière progressive et inéluctable, que sa bouche va se retrouver souiller avec une substance qu'elle refuse catégoriquement d'avoir en elle.

Pourtant cela arrive, les mouvements de va et vient dans la bouche de la sorcière augmente d'avantage la vigueur et les palpitations du chibre. Elle n'est peut être pas experte, mais elle peut clairement sentir que son cauchemar arrive. C'est alors dans un grand râle de soulagement, agrippant la chevelure soyeuse de la lycéenne avec sa main gauche pour bien la maintenir, que Zack inonda de son sperme abject la délicate bouche de sa victime, éjaculant abondamment au point de faire très sensiblement gonfler les joues de la jeune femme. Pinçant à nouveau le petit nez qui lui faisait face avec sa main droite cette fois-ci, l'homme maintînt cette position un moment, bien après avoir fini de se vider les couilles. Il l'a força ainsi à avaler l'intégralité de son foutre si cette dernière souhaitait pouvoir respirer. Il ne fallut pas longtemps pour que Victoria s'exécute, principalement par instinct de survie. Plusieurs gorgé furent nécessaire consommer la quantité présente dans sa bouche, chacune d'entre elle faisant roulé un peu plus de larmes que la précédente sur les joues de la victime. Puis vînt enfin l'instant de libération lorsque Zack relâcha son emprise et se retira de la jeune femme, essuyant son pénis sale contre la joue de cette dernière.

"Aaaaaaaaaaaaahhhhh ouuuuaaaaiiii... Ce pied putain !!!"

Il s'assit prêt de la jeune femme, s'octroyant une pause bien mérité en se laissant bercer par les pleurs de la lycéenne.

"Bon... la nuit est encore longue" Dit-il "J'ai vu que tu avais prévu de te faire couler un bain, je pense que je vais m'y inviter avec toi".

Zack retira le câble cranté autour du cou de la jeune femme, ainsi que les liens qui lui entravaient les mains. Cette dernière n'était décidément plus une menace pour lui. Il lui ôta également le tanga en lambeau avant de la tirer par les cheveux vers la salle de bain.

"Tu semblais vouloir parler tout à l'heure, vouloir négocier. Pas de problème, je suis prêt à t'écouter. Mais tu as intérêt à être particulièrement convaincante." Il marqua un temps de pause "Parce que là je m'apprêter à défoncer ce petit cul qui me fait de l'œil depuis tout à l'heure."

D'un mouvement de bras, Zack jeta la jeune femme dans la baignoire remplis d'eau chaude, éclaboussant une grande partie de la salle bain. Ce dernier commença à lentement se déshabiller afin de laisser une chance à Victoria de ne pas  se faire sauvagement sodomiser.

6
Le meilleurs moyen de décrire ce qui était entrain de se produire, était de comparer la scène au repas primaire d'un prédateur qui dévorait sa proie. La vicieuse panthère se lécha les babines avant de se repaitre du corps de la jolie gazelle.

Le festin avait déjà bien commencé, Zack était entrain de jouer avec sa nourriture avec beaucoup de sadisme et un soupçon d'immaturité. Son enthousiasme pouvait physiquement se sentir, la jeune femme qui lui faisait face était ravissante et bien apprêté, un vrai régal pour les yeux. Cette dernière, toujours contre la table dans une position désagréable car ses mains étaient attaché dans le dos, semblait s'être résolu au sort qui allait lui arriver.
Après avoir titillé son corps, l'homme arracha d'un coup le soutien-gorge noir de sa victime, le sous-vêtement était si fin et léger, qu'il ne lui avait fallu aucun effort pour l'arracher.

"Tu pourrais avoir un certain succès comme pute de luxe." Dit le kidnappeur en admirant le corps de Victoria. C'est alors qu'une idée germa soudainement dans son esprit :"Ben tiens en voilà une bonne idée".

Plongeant la main dans l'une de ses poches pour en ressortir un téléphone, l'homme pianota dessus l'espace d'un instant et se positionna afin de placer l'objectif sur la sorcière. La jeune femme qui semblait s'être calmé depuis un petit moment, se remit à gémir et à gesticuler de désapprobation. Que cela soit une vaine tentative pour se dégager et ainsi s'échapper, ou bien juste par peur des conséquences, cela n'avait aucune importance. Un flash de lumière éclaira brièvement le salon tel un éclair dans la pénombre, éblouissant l'espace d'un instant Zack. Puis, le corps pratiquement nu de Victoria apparu sur l'écran, on pouvait y distinguer son visage, déformé par l'effroi et les larmes. Cette photo le fit bander encore plus vigoureusement, au point que la sorcière pouvait le sentir pulser entre ses jambes, même à travers la combinaisons.

"Huuum pas mal... Je pourrai envoyer ça à une connaissance, et dans l'heure qui suivrait tu serais entrain d'offrir ton cul dans les rades les plus crades de la ville. Tu t'es déjà fait tringler par un clodo ?" Il marqua un temps mort, espérant la voir se débattre encore plus fort et avec des yeux encore plus paniqué après avoir entendu ses propos. Il se ravisa finalement :"Mais ça serai un peu comme donner de la confiture au cochon".

Zack posa son téléphone sur le côté de la table et repris son repas. Sa bouche alla sucer le téton gauche avec vigueur, tirant fort dessus comme pour en extraire du lait. Il lui arrivait par moment de jouer avec en le faisant glisser entre ses deux canines, mordillant dessus sans jamais croquer dedans. Pendant ce temps, la main droite du kidnappeur explorait sauvagement l'antre des désirs de Victoria, ne ressortant que pour pincer le bouton des plaisirs de cette dernière. La langue du prédateur était curieuse, glissant sur tout le corps de sa proie, des pieds jusqu'aux aisselles, désireuse de tout connaitre du corps qui se présentait à lui. Ses actes n'avaient pas pour but de stimuler sa victime. En général, Zack provoque un tel rejet de la part de la gente féminine, qu'elles sont tout simplement incapable de mouiller même en étant consentante. Il arrivait malgré tout en de très rare occasion, que certaines soit profondément masochiste et prennent du plaisir à se faire agresser. Cependant, cela n'a pas la moindre importance aux yeux du kidnappeur, pour qui seul son propre plaisir importait.

Après s'être bien imprégné de la saveur de Victoria, l'homme repositionna cette dernière pour la plaquer à nouveau sur la table, mais cette fois ci, de sorte à ce que sa poitrine soit écrasé contre le meuble en bois noble. Le postérieur ainsi exposé, la vue sur ses magnifiques fesses souligné par ce tanga noir était tout simplement magnifique à ses yeux.

"Aaaaah. C'est pour des moments comme ça que je me lève le matin."

Un son de braguette se fit entendre, puis le membre palpitant de l'homme se pressa à nouveau contre l'entrejambe de la sorcière, dégoulinant presque de plaisir malsain. Ce dernier était d'une taille tout à fait acceptable sans pour autant être massif. Des veines pourpre et boursoufflé recouvrait le membre viril, qui par contraste avec sa peau albinos, le rendait peu esthétique (repoussant diraient certaines). Ses mains allèrent caresser sensiblement le postérieur de Victoria, le griffant très légèrement de satisfaction par moment. Par moment, le pouce droit de Zack appuyait sur le tissus du tanga là où se trouvais le petit anus de sa victime. Il était persuadé qu'elle devait être particulièrement étroite à cet endroit, le cri de douleur que pousserai la jeune femme serait sûrement effroyable et délicieux s'il venait à rentrer là dedans.

Le kidnappeur saisi le sous-vêtement et l'écarta en faisant pression avec les pouces pour le déchirer en son centre. Il pourrait ainsi la baiser sans lui enlever, tout en continuant de profiter de la vue. Maintenant que le dernier rempart entre lui et elle était tombé, un gland palpitant se présenta à l'entrée de ce vagin magnifiquement rose qui s'offrait à lui.
C'est alors, dans un puissant coup de hanche, que Zack pénétra sa victime avec son chibre vigoureux tel une lance brulante. Il resta un temps sans bouger, profitant de cet endroit chaud, humide et étroit dans lequel il se trouvait, savourant par la même occasion les petits couinements de Victoria. Si cette dernière était entrain de mouiller, tant mieux pour elle, si ce n'était pas le cas, tant mieux pour lui. La douleur provoqué par un rapport non-consenti, était aussi délectable que les gémissements d'une chienne soumise.

Progressivement, l'homme commença à se mouvoir, reculant très lentement ses hanches dans un premier temps jusqu'à pratiquement se retirer, puis s'avançant à la même vitesse pour se régaler de chaque petites sensations produite par le corps de la jeune femme. A chaque coup de rein porté, le mouvement se faisait sensiblement plus rapide, plus puissant. Le claquement vulgaire produit par le corps de Zack contre celui de Victoria commençait à résonner dans la pièce, la table quand à elle, tremblait au rythme de la respiration étouffé de la victime.

"Je pense que je vais reprendre un souvenir" annonça l'homme en prenant son téléphone avec sa main droite qui était resté sur un coin de table.

Sortant ce dernier de son état de veille, Zack agrippa fermement les cheveux blond de Victoria afin de maintenir la joue gauche de cette dernière contre la table, mais la tête suffisamment tourné pour qu'on puisse voir une partie de son visage sur la vidéo.

"Hum... Voilà parfait ! Réjoui-toi, tu es entrain de jouer dans ton tout premier porno." Dit-il.

Après plusieurs longues minutes de tournage, mêlant gros plan sur la pénétration soutenu et plan large pour admirer la scène dans son ensemble, l'homme remit son téléphone en veille et le rangea dans sa poche.

"Bon allez, je passe la seconde". Annonça t'il.

Suite à cela, un violent coup de son membre viril dans la fragile intimité de sa victime, fit reculer bruyamment la table en bois de quelques millimètres.

7
Malgré tout ses efforts pour ce remémorer de ce moment là avec précision, s'était très difficile pour le kidnappeur de bien appréhender ce qui avait pu se produire. Il rejoua la scène dans sa tête plusieurs fois comme un enquêteur de police le ferait pour saisir le tout petit détail qui permettra de faire la lumière sur tout ça.

Tout allez pour le mieux lors de cette affrontement. Les gorilles étaient pour la plupart K.O, Zack avait subit très peu de dégâts, il était fatigué mais pas épuisé, la jeune femme ne semblait pas porter d'arme sur elle, ou avoir une carrure de combattante. Puis, alors que le prédateur était sur le point d'attraper sa proie, un flash de lumière assourdissant se manifesta, brouillant les sens de l'homme. L'instant d'après, il était par terre, entrain de se faire douloureusement tabasser par les quelques casseurs de jambes encore en état de se battre. Ces derniers purent exprimer tout leur talent, chaque coup dans le ventre coupa affreusement la respiration de l'agresseur, ses membres était frappé de la même façon qu'un cuisinier qui tape sur un steak pour attendrir la viande. Son sang éclaboussait un peu plus le sol de seconde en seconde, la tête lui tournait et une profonde nausée faisait son apparition.

Cependant, même après un tel traitement, le cerveau de Zack continuait à fonctionner à plein régime. La première idée qui lui vînt à ce moment là, c'était que la fille était détentrice d'un pouvoir comme lui. Peut-être la capacité de produire des explosions par la parole. Si c'était exactement, le cas, l'homme ne serait plus en état de sentir la douleur que lui infligeait les sbires. Manque de puissance ? Manque de maitrise de son pouvoir ? Possible. Mais vu l'intensité de la lumière et la perte de contrôle de son corps, ses yeux et ses temps auraient dû exploser.
Son regard se porta sur l'entrejambe de la jeune femme. Il pu apercevoir de façon fugace, une fine broderie sous la jupe de cette dernière, probablement un objet de désir que l'homme recherchait avidement chez une dame.

"Huum... Bon goût la petite. C'est décidé, tu seras ma proie". Pensa-t'il alors qu'un sbire muni d'une masse de chantier s'apprêtait à lui abattre son arme sur le genoux de l'homme.

Mais pas aujourd'hui !

Dans un sursaut d'énergie, Zack puissa dans ses forces pour tenter d'ignorer la douleur et projeta tout son corps vers l'arrière comme s'il voulait faire roulade en sens inverse. Profitant de l'élan ainsi que de l'effet de surprise, sa jambe se tendis au maximum afin de pouvoir faucher la mâchoire de la brute de façon foudroyante. Le choc fut suffisamment puissant pour faire voler une dent dans le couloir de l'immeuble. Désormais en position accroupi sur le sol. Le kidnappeur ignora les cris de son corps et se précipita vers la fenêtre la plus proche. Nouant un nœud avec avec son câble d'escalade comme seul ses doigts agiles savaient le faire, l'homme se projeta de toute ses forces afin de passer à travers la vitre, la brisant sur le coup. Ses bras agissait par automatismes grâce à des années d'expérience à manipuler des fils et a fuir la police. Zack lança la boucle nouvellement formé pour que la corde aille s'accrocher autour d'une gouttière, lui permettant ainsi de se balancer jusqu'à une ruelle proche où il serait temporairement en sécurité.

Tant pis pour la valise, le Japon allait être son lieu d'exil en attendant qu'il trouve une solution contre cette fille.

///// Fin du flashback \\\\\
///// Seikusu, cabinet d'occultisme "Kuroi hoshi" \\\\\

On pouvait entendre la pluie abondante à l'extérieur du cabinet, le chaos régnait dans toute la pièce. Des meubles avait été renversé, du verre avait été brisé et plusieurs livres et parchemin était éparpillé sur le sol. Une femme agé été recroquevillé dans un coin, terrifié par l'ombre qui lui faisait face.

"Merci pour les infos, même si tu n'as fait que me confirmer des choses que je savais déjà". Dit Zack sur un ton méprisant avant d'ajouter :"Estime toi heureuse d'être trop vieille pour me satisfaire".

Il y a un élément qui avait échappé à l'homme durant tous ces mois à se remémorer ce souvenir, et c'est ce dernier qui lui avait permis de comprendre qu'il avait eu affaire à de la sorcellerie :

L'odeur de souffre.

Cela peut sembler cliché, mais l'expression "il n'y a pas de fumée sans feu' est souvent à propos. Lorsque Zack c'était fait tabasser par les brutes il y a des mois de cela, ce n'était pas un élément qui lui avait sauté aux yeux. Mais lorsque le kidnappeur le réalisa, tout devînt plus clair. C'est cette information qui devînt le fil d'Ariane qui allait le mener vers sa proie.

Alors que l'homme s'apprêtait à quitter la pièce, la veille femme apeuré pris la parole.

"Tes yeux... J'ai vu dans tes yeux, tant de tristesses, de souffrances, de vices... mais ce ne sont pas les tiennes. J'entend des voix suppliante... émanant de ton corps... qui me mettent en garde contre toi. Est-tu... Le... Le fléau des sorcières ?" Demanda t'elle d'une voix emplis de crainte.

"Non, je suis le fléau des femmes"répondit en tournant à peine la tête vers l'occultiste.

La journée était passé, il faisait désormais nuit et la pluie c'était un peu calmé. L'enquête mené jusque là, en amont de cette journée avait portée ses fruits. Etant lycéenne, l'homme pu obtenir l'adresse de Victoria en s'infiltrant dans l'établissement scolaire. Puis, pour déterminer dans quel appartement elle habitait, ce fut très simple. L'immeuble était haut de gamme avec des logements réservé à une classe fortuné, vivant seule il y avait de forte probabilité qu'elle ne se fasse pas à manger elle même (ça serait dégradant pour une personne de haute naissance comme elle). Elle devait donc recourir à un traiteur pour lui livrer ses repas tous les jours. Et effectivement, cela ne loupa pas, en suivant un livreur il aperçu la jeune femme dans l'encadrement d'une porte.

Premier point à prendre en compte : Pour lancer un sort, il est fort probable qu'elle doivent voir sa cible, OU, tout du moins, établir précisément la personne qui va subir les effets du dit sort. Afin de se donner un avantage, Zack prépara son piège en se dirigeant vers le compteur électrique. Sachant désormais dans quel appartement la sorcière résidait, il sabota le boitier afin de couper le courant dans le domicile. Eclairé seulement par les lumières de la ville, il serait bien plus difficile pour Victoria de viser le prédateur avec sa magie. Le spectacle allait pouvoir commencer.

L'homme se dirigea vers l'appartement, la jeune femme devait être entrain de se demander ce qui se passait. Ce derniers sorti de sa besace une petite capsule d'acide, qu'il déversa sur la serrure afin de la faire fondre. Un léger crépitement suivi d'un petit sifflement sonore accompagna une odeur désagréable à l'endroit où le liquide avait été versé, mais cela lui permis de pénétrer dans l'appartement en tout discrétion. Zack enfila son masque et activa ses lunettes qui émirent deux lueurs rouges.

Le domicile était plongé dans le noir, seul le contour de certain meuble et mur était apparent. Il ne fallu pas longtemps au kidnappeur pour trouver sa proie. Une lueur émanait près de la jeune femme, éclairant très sensiblement les environs de cette dernière. De là où se trouvait Zack, c'était impossible de déterminer la nature de cette lumière, si c'était un téléphone, une lampe torche, ou autre chose. Cela n'avait aucune espèce d'importance.

Avec une science du timing qui ne peut être acquise qu'avec l'expérience, et un déplacement léger digne d'un puma, l'homme se déplaça calmement jusqu'à sa victime. Puis, saisissant l'occasion, se présenta devant de manière aussi soudaine qu'inattendu.

"Salut toi. Comment on se retrouve"dit-il sur un ton grinçant.

Victoria n'eut pas le temps d'exprimer sa surprise qu'un violent revers de la main alla la frapper au visage, faisant disparaitre la lumière qui se trouvait à proximité dans la foulée. Par mesure de précaution, il fit un pas de côté pour retourner dans l'obscurité, sans pour autant s'éloigner d'elle. Zack profita de l'occasion pour prendre le temps d'analyser la situation. Il ne voulait pas commettre les mêmes erreurs que par le passé. La sorcière tournait dans tous les sens pour essayer de voir son ennemi, lançant des menaces envers lui. Cette dernière devait avoir vu des choses bien effrayante dans sa vie car malgré le début de peur qui pouvait se lire sur son visage, elle parvenait à garder plus ou moins son calme face à cette situation.

Deuxième point à prendre en compte : Elle doit prononcer la formule qui lui permet de lancer ses sorts. Zack n'y connaissait drastiquement rien en incantation, les mécaniques éthériques lui était totalement opaque. En revanche, l'homme avait compris que chaque fois qu'il ne saisissait pas les propos de Victoria, c'était que cette dernière préparé un sale coup. C'est pour ça que lorsque ce phénomène se produisit, une violente frappe au visage alla cueillir la sorcière, la faisant taire et tomber au sol par la même occasion. Cependant, le prédateur ne profita pas de cette occasion pour se jeter sur sa proie. Il attendit sagement dans l'ombre, la laissant se relever.

"Cela faisait longtemps que j'attendais ce moment." Dit-il avant d'ajouter :"J'ai beaucoup pensé à toi."

Il ne fit pas attention à l'éventuelle réponse qu'elle put lui donner. Zack était bien trop concentré sur la voix de Victoria afin de la contrer dès qu'elle tentait de manifester un sort. Lorsque cela arriva, ce fut cette fois le plexus solaire qui fut frappé, coupant net la respiration de la sorcière. Mais encore une fois, l'homme laissa la jeune femme se relever.

Et bien alors ? Tu ne me fais plus l'étalage de tes pouvoirs ? Où se trouve ta précieuse magie ?

A chaque fois que la sorcière était mise à terre, il devenait plus dur pour elle de se relever. Ce numéro se répéta plusieurs fois, jusqu'à ce que le souffle de cette dernière devienne prononcé et haletant, signe d'un profond épuisement.

"Permet moi d'être honnête avec toi et de te faire part de mes envies. Ce soir, je vais te baiser comme si tu étais la dernière des trainés.".

Les deux lueurs rouges des lunettes de Zack apparurent devant la jeune femme. Révélant volontairement sa position à cette dernière pour lui infliger la peur en son être. Il ne sut jamais si c'était la terreur, la colère ou la logique qui la poussa à agir, mais Victoria tenta dans un acte désespéré de s'enfuir maladroitement dans l'obscurité. Tentative vaine face à un adversaire aux capacités physiques supérieur et capable de se mouvoir dans le noir grâce à son matériel. Zack agrippa les cheveux de la sorcière et la tira violemment en arrière. Puis, en la prenant par les hanches, le prédateur souleva son corps frêle pour la plaquer contre la table du salon, le ventre tourner vers le plafond. Se plaçant entre les jambes de cette dernière, il profita de sa position avantageuse pour attraper les joues de Victoria avec sa main gauche. Son pouce et son index, agissant comme un étau, presser suffisant fort pour la forcer à ouvrir douloureusement la bouche. Elle tentait de se débattre, de donner des coups ou de pousser des gémissements de douleur mais rien ne semblait être capable de stopper le kidnappeur. Sa main droite fouilla dans sa besace un court instant, puis, en utilisant la lueur émises par ses lunettes il montra calmement la forme ronde d'un bâillon boule. Zack voulait qu'elle comprenne bien ce qui allait lui arriver.

Hé regarde le cadeau que je t'ai apporté ?

Victoria gigota la tête comme elle pu, mais ce fut avec un geste lent et inéluctable, que le prédateur enfonça le bâillon dans la bouche de la jeune femme, poussant autoritairement avec le pouce pour bien s'assurer qu'elle ne le recrache pas tout de suite, lui laissant le temps de le fixer définitivement avec la lanière à l'arrière du crâne de la lycéenne. Cette dernière tenta à plusieurs reprise d'enlever le bâillon, mais comme l'homme n'avait plus besoin de lui tenir la bouche, c'était bien plus simple pour lui de la maitriser.

Voyons voir la marchandise. Annonça-il avec entrain, on pourrait presque croire qu'il était entrain de fredonner.

Profitant d'un moment où Victoria mis ses mains au niveau de des lanières en cuir, Zack ouvrir en grand le peignoir de la jeune femme pour révéler des mignonnes petites formes. L'éclairage de ville permettait à peine de voir la lingerie qu'elle portait, mais c'était amplement suffisant pour comprendre que c'était au goût de Zack. Une forte érection se manifesta à travers la combinaison de ce dernier, et il n'hésita pas à se frotter avec contre l'entrejambe de la sorcière.

Le kidnappeur retira son masque et le mis dans sa besace. Ensuite, il attrapa les poignets de Victoria avec ses mains, les plaquant fermement contre la table comme le ferait des étaux. Il allait l'attacher comme il se doit mais avant il voulu plonger son regard dans celui de la jeune, approchant son visage au plus près, comme s'il voulait l'embrasser.

"REGARDE MOI !!!" Hurla t'il avec une voix autoritaire qui résonna dans tout l'appartement :"Est-ce que toi aussi tu vois dans mes yeux, tout le mal que je vais te faire ?"

Ne quittant pas la jeune femme des yeux afin de savourer pleinement toutes les émotions sur le visage de Victoria (étant incapable de parler), l'homme tira un câble de l'une de ses bobines pour se préparer à la suite des évènements.

8
C'est une journée sombre et pluvieuse à Seikusu. Un homme avec un imperméable se fraie calmement un chemin à travers tous les salaryman qui tente de rapidement rentrer chez eux après une dur journée de travail. Malgré sa stature inhabituel pour le japonais moyen et son allure inquiétante, personne ne semble prêter attention à lui. Sa veste  d'un marron sombre, muni d'une capuche ample, dissimule aux yeux de tous un prédateur à la peau albinos.

Malgré une démarche assuré, l'homme est perdu dans ses pensées, le souvenir d'un échec douloureux refait surface. Celui du jour où il s'était fait copieusement casser la gueule par une bande de gorille à cause d'une jeune femme prétentieuse.

Une sorcière pour être plus exact. Et c'est cette dernière qui l'intéresse aujourd'hui.

Malgré le palmarès de Zack et son talent qui n'est clairement plus à prouver, le kidnappeur a connu un grand nombre d'échec dans sa vie. Il a fait plusieurs séjours en prison et sait qu'il y a des ennemis contre lequel il restera impuissant quelques soit les efforts ou les méthodes employés. L'albinos n'a jamais perçu une défaite comme quelques chose de négatif, c'est généralement pour lui un excellent moyen de rebondir et de finalement parvenir à ses fins. Mais il reste un humain avant tout, et c'est cette condition réaliste qui l'a toujours poussé à éviter le monde du surnaturel (alors qu'il est paradoxalement lui même détenteur d'un pouvoir).

Cependant, cette sorcière malgré tous ses pouvoirs et ses babioles n'est pas invincible. C'est juste une gamine né avec une cuillère en argent dans la bouche et doté d'arme qui échappe à la compréhension de Zack. Le savoir c'est le pouvoir, et c'était exactement ce dont il avait besoin pour se venger. Le hasard était une pute capricieuse et parfois surprenante, a croire quel cherche à le fois le malheur et le bonheur des gens. Et c'est ce même hasard qui avait fais croiser la route de ces deux là, içi à Seikusu. L'homme avait eu l'occasion d'apercevoir (sans être aperçu) la jeune fille à travers les vitres d'une voiture de luxe, et depuis ce jour là, elle était devenu sa proie. Cela serait non seulement l'occasion de progresser en capturant une sorcière, mais aussi de lui clouer son petit bec prétentieux en l'inondant de foutre.

Victoria Campbell, c'était le nom de sa cible qu'il avait obtenu en tirant les bonnes ficelles et en cassant les bonnes mâchoires. C'était la première étape vers la déchéance de la jeune femme, car lorsqu'on est riche, puissant, célèbre ou les trois à la fois, il existera toujours quelqu'un susceptible d'avoir des informations sur vous (connait tes amis, et encore mieux tes ennemis). Cette fois ci, Zack se dirigeait chez une occultiste local qui serait susceptible de lui apprendre quelques astuces afin de pouvoir affronter une sorcière. Si elle possède la moindre information, l'homme l'obtiendrai, que la femme le veuille ou non (et si elle est attrayante, alors Zack prendrait du bon temps avec elle, que cette dernière le veuille ou non).

Le chemin à pied était encore long à travers les dédales de la ville, temps que le kidnappeur mit à profit pour essayer de se remémorer ce fameux moment. Peut-être pourrait-il tirer de ses souvenirs quelques éléments qui pourraient s'avérer précieux pour l'avenir.


///// Flashback de quelques mois \\\\\
///// Quelque part dans la banlieue de Belfast, Irlande du Nord \\\\\


Cela faisait à peine quelques jours que Zack avait fini sa mission. Ce dernier était parvenu à capturer la sœur de quelqu'un d'important, avait joyeusement abusé d'elle et l'avait revendu contre une coquète somme d'argent. Il avait entendu parler d'une ville au Japon qui s'avéré être un véritable paradis pour tous les prédateurs sexuels et c'était mis en tête de s'y rendre afin de vérifier si les rumeurs était vrai.

L'immeuble miteux dans lequel logeait le kidnappeur avait remplis son rôle de planque temporaire jusqu'à présent. C'était un trois pièces tout ce qu'il y a de banal et déjà meublé lors de la location. Comme à son habitude, Zack avait choisis un logement déjà habité puis l'avait dépouillé de tous ses habitants.

Une fois le peu d'affaire en sa possession rangé dans une petite valise d'appoint, l'albinos se dirigea vers la sortie de l'appartement dans le but d'attraper son avions en direction du japon. C'est à ce moment où multitudes de petits indices firent leur apparitions pour prévenir l'homme d'une situation louche. Tout d'abord, ce fut les bruits de pas répétés d'un groupe de personnes indéterminés qui semblaient s'être arrêté pile devant chez lui. Puis un chuchotement incompréhensible provenant de la serrure. Enfin, un craquement assourdissant, la porte d'entrée vola en éclat laissant un groupe de casseur de jambe envahir le logement.

"On est v'nus t'chercher fils de pute !" Cria la première des brutes
"Viens te faire démolir le portrait enfoiré de ta mère !" Hurla un second
"BEUAAAARRR" vocifera le groupe

Heureusement pour lui, Zack portait sa combinaison et son harnais sur lui. Sa première réaction face à cette horde d'ennemi fut de jeter sa valise sur le visage du premier, puis, d'enfiler son masque. Ces lunettes de visions s'activèrent faisant apparaitre deux lueurs rouges menaçante mais qui n'ébranla pas le moins du monde la détermination des envahisseurs.

Dans un espaces aussi restreint et avec autant d'ennemis aussi musclés et armés cela aurait pu très facilement tourner en la défaveur de Zack. Mais il y avait deux choses qui allaient faire toute la différence dans cette affrontement : la voie des airs et le raz du sol. Afin de ne jamais être à porter de ses ennemis, le kidnappeur se servi de son environnement  et de ses câbles pour toujours être proche du plafond ou bien très proches du plancher de l'appartement. En alternant, glissade, appui sur le mobilier, des frappes et son arts des cordes, l'homme parvint progressivement à éliminer chacun de ses adversaires. L'un d'entre eux, inanimés, avait le nez méchamment fracturé à cause d'une descente du genoux du kidnappeur depuis le plafond. Un autre, chercher désespérément à respirer après qu'un câble cranté fut noué autour de sa gorge. Enfin d'eux autres casseur de jambes était lié l'un à l'autre par du fils de pêche dans une posture qui les empêchaient mutuellement de se relever.

Alors qu'environs la moitiés des agresseurs avaient été mis hors d'état de nuire, c'est le moment où Zack aperçut une jeune femme dans l'encadrement de porte. Il s'avait pas ce que cette dernière faisait là, mais ses habits bien trop élégant laissé penser que ce n'était pas une résidante de l'immeuble. Probablement celle qui avait payer ces loubards pour lui casser la gueule. Au départ elle ne semblait pas trop inquiète, accoudé contre la rambarde de l'escalier, mais au fur et a mesure de l'affrontement, l'agacement était apparu sur son visage.

Pour le moment, les gorilles s'en était plutôt bien tiré face à Zack. Ils étaient parvenu à le toucher quelques fois au court de l'affrontement, l'affaiblissant quelques peu. Mais l'adrénaline faisait son œuvre, et c'est dans un excès de confiance que le kidnappeur décida de laisser de côté les sbires pour se concentrer sur cette nouvelle proie. Cette dernière semblait marmonner quelques choses mais dans le chaos ambiant, il était impossible pour l'homme de comprendre quoi que ce soit. Zack effectua un violent coup de pied qui fit se plier de douleur un sbire qui lui faisait face. Profitant de l'occasion pour prendre appuis sur le dos de ce dernier, l'homme se rua soudainement vers la femme en tendant sa main droite vers elles.

Le temps c'était comme figé, il pouvait lire la surprise dans les yeux de la femme qui ne s'attendait visiblement pas à ce que Zack fonce aussi vite sur elle. Même avec son masque et ses lunettes lumineuses, cette mystérieuse inconnue pouvait parfaitement comprendre quel sort l'attendait si l'homme parvenait à l'attraper. Les pulsions de Zack était souvent si forte, que beaucoup de femme pouvait sentir le danger juste en se tenant proche de lui.
Cependant, malgré la menace qui lui faisait face, la jeune femme continuait de marmonner des paroles incompréhensibles, faisant preuve d'un stoïcisme surprenant.

Encore un ou deux centimètre et la poigne du prédateur se refermerait sur le cou de sa nouvelle proie.

9
Le métro et la gare / Re : Une souris verte...qui courait dans l'herbe. [Zack]
« le: dimanche 07 février 2021, 22:18:31 »
L'incompréhension et la peur avaient envahi la rame du métro et plus personnes n'osée bouger dans la crainte d'attirer l'attention du criminel. Cela donnait l'impression d'être en face d'un prédateur dont la perception se limitait aux mouvements environnants. Ce ressentit était principalement dû au fait que toute la concentration de l'homme était focalisé sur l'écrivaine qui était la seule à essayer de s'éloigner de lui.

Alors que la jeune femme tentait désespérément de progresser avec difficulté dans la masse de gens, comme le ferai une gazelle qui essai de s'extirper d'une eau boueuse, Zack maintenait son rythme de marche calme mais déterminé, sans souffrir nullement de la foule. Cette dernière, craignant trop de se retrouver impliqué dans quelque chose de dangereux, elle préférait s'écarter pour laisser passer le kidnappeur. L'espace d'un instant, le regard de la proie croisa celui du prédateur. Ce fut cours, mais amplement suffisant pour qu'il puisse y voir toute la terreur qu'il était entrain de provoquer. C'était l'une des premières fois où l'homme était aussi excité par la peur ressenti par sa cible, le sentiment ressenti était délectable à souhait, au point qu'il aurait probablement pu jouir juste comme ça. Zack prenait un véritable plaisir à découvrir cette part de lui dont il ignorait jusque là l'existence.

Cependant, la réalité était plus délicate. En s'adonnant au plaisir de la chasse dans un lieu public et avec autant de témoins, cela allait certainement attirer l'attention. En soit, il n'avait pas peur de la police, pas plus qu'il n'avait peur de se faire arrêter. Zack avait déjà affronté frontalement les forces de l'ordre et avait déjà fini plusieurs fois en prison. Parfois c'était une victoire et parfois une défaite. Le problème c'est qu'il était un criminel mondialement recherché. Les autorités spécialisé dans la traque des individus doté de pouvoir, ainsi que quelques commissaires vétéran savaient déjà que ce dernier se trouvait au japon. S'il venait à se faire arrêter, cela mettrait fin à ce jeu succulent (même si comme d'habitude, il ne resterait pas bien longtemps en prison). Pour lui aussi donc, c'était une question de temps. L'homme allait tenter de profiter le plus possible de cette situation et lorsque ça deviendra ingérable, il passera aux choses sérieuse. Est-ce que la proie allait parvenir à s'échapper suffisamment longtemps pour que le prédateur deviennent à son tour celui qu'on chasse ?

Cet état de temps suspendu pris fin au moment où le métro arriva à la station. Lorsque les portes s'ouvrirent, un torrent de personnes paniqué dévala sur les quais, créant encore plus de confusion et de panique auprès des gens qui étaient déjà présente et attendait jusque là. Malgré le chaos et les cris ambiant, l'écrivaine trouva la force de se frayer un chemin et de sortir de ce métro. Zack fut également ralentis par la foule car contrairement a il y a quelques minutes, les gens ne s'avaient pas d'où venait la menace. Cependant il ne faisait montre d'aucune pitié, usant de ses poings, ses coudes et ses pieds pour frapper quiconque se trouvait sur son chemin, laissant derrière lui un chemin maculé de sang, de dents brisés et de civils assommés.

Lorsque Zack parvient à s'extraire du métro à son tour, Mona Duval disparaissait à l'horizon à l'intérieur d'un taxi. Dans cette situation, il aurait tenté de voler une moto afin de pouvoir la suivre facilement. Mais les japonais n'avaient pas trop cette culture de la grosse cylindré, c'était plutôt des adeptes du scooter et des vélos. Prenant un petit instant pour analyser la situation, l'homme retourna dans le métro.

"Je sais où Mona habite, et a la base elle comptait rentrer à son appartement en utilisant le métro..." Pensa-t'il :"Donc théoriquement, si je prend à nouveau le métro, je devrais arriver après elle mais avec assez peu de retard. La police va mettre un peu de temps a arriver, à comprendre ce qui c'est passé et à lancer les recherches. Si je pars immédiatement, je devrais pouvoir passer à travers les mailles du filet".

Zack se précipita vers les quais à tout allure. Même si c'était encore pas mal la cohut, la plupart des gens avait fuis et donc il fut beaucoup plus aisé pour lui de se déplacer. Certain usager victimes de la violence de l'homme se recroquevillèrent sur place en position fœtale lorsqu'ils le virent repasser, on aurait dit des autruches paniqués. Ce fut de justesse qui parvînt a attraper le prochain métro et a se diriger vers l'appartement de Mona sans autre fait notable.

C'était encore le matin, mais le temps avait salement viré... Le ciel était recouvert d'un profond gris sombre, aucun rayon de soleil ne perçait à travers la chappe de plomb qui semblait couvrir la ville. Des grondements lointain commençaient à se faire entendre, annonciateur d'orage et de pluie. Ce n'était pas arrivé soudainement comme ça sans prévenir, mais Zack était tellement pris dans sa traque qu'il n'avait pas réalisé le changement de météo. Sa théorie consistait dans le fait que cette dernière allait vouloir rentrer chez elle car c'est un endroit sûr à ces yeux. De plus, comme le criminel ne l'avait pas suivi directement, Mona penserait être parvenu à s'échapper et pourrait rentrer à son domicile.

Cela se confirma lorsqu'il arriva devant la porte de l'appartement concerné. La première fois que Zack posa son oreille contre la porte il n'entendit rien de concret, juste des bruits parasites qui aurait pu vouloir dire tout et son contraire. Mais lorsqu'il renouvela le procédé sur un mur proche (car il connait la disposition de l'appartement de Mona après plusieurs semaines d'espionnage) l'homme distingua de l'activité dans l'appartement. Ce n'était pas suffisamment clair pour savoir ce qu'il s'y passait, mais suffisant pour confirmer qu'elle était à l'intérieur. Avant d'arriver ici, il avait pris la peine de récupérer l'enveloppe à l'attention de l'écrivaine. Maintenant que Zack avait goûté au merveilleux goût de la peur, il en voulait plus. Afin de relancer la machine de l'angoisse, ce dernier glissa l'enveloppe sous la porte de l'appartement et souffla puissamment d'un coup pour pousser le bout de papier un peu plus loin dans le couloir de l'entrée. Cela serait amplement suffisant pour la suite.

Afin de laisser un peu mijoter tout ça, l'homme utilisa le plan de l'immeuble situé sur son téléphone portable pour atteindre le toit. Le plan était simple : provoquer le plus d'angoisse possible. Pour obtenir ce résultat, il fallait en faire des caisses, faire l'entrée la plus théâtrale possible et Zack savait exactement comment s'y prendre. une pluie légère c'était mise à tomber sur la ville de Seikusu, les grondements dans le ciel prirent sensiblement plus d'ampleur, la scène était prête. Le criminel enleva son long manteau et enfila son masque, ne se laissant nullement perturber par les gouttes d'eau qui s'écrasaient sur ses vêtements. Après avoir pris une profonde inspiration, l'homme tira un câble d'escalade de l'une de ses bobines et le fixa rapidement sur une antenne relai. Puis, il se jeta dans le vide sans la moindre hésitation afin de débuter une descente en rappel parfaitement maitrisé. L'harnais remplissait sa fonction et permettait à Zack d'être parfaitement équilibré durant la descente, même si la bobine siffla plusieurs fois sous l'effort. une fois à la hauteur désiré, le spectacle pouvait commencer.

L'homme pris plusieurs appui contre les parois de l'immeuble, lui permettant ainsi de décrire un grand balancement contrôlé. L'espace d'un instant il passa devant la fenêtre de la chambre de Mona Duval. Peut être qu'elle l'avait aperçu, peut être que non, cela n'avait aucune importance. Dans le pire des cas, cela n'aurait été rien de plus qu'une ombre furtive. Car tout cela n'avait été que le prologue du théâtre de la terreur. En effet, quelques secondes après être passé devant la fenêtre, Zack utilisa toute la force de son mouvement de balancier et du poids de son corps pour se projeter les pieds en avant contre la vitre du salon. Cette dernière se brisa net, provoquant un puissant bruit qui résonna dans l'ensemble de l'appartement. L'homme se réceptionna en posant sa main gauche et son genoux droit contre le sol. Après que le silence soit revenu dans la pièce, il se releva calmement, tenant le bâillon noir dans sa main droite. Une fois complètement redressé, deux effrayante lueur rouge firent leur apparition sur les lunettes du masque du prédateur.

"Moooooonaaaaa..." Fredonna t'il.

Elle devait sûrement le voir de là où elle était, caché dans l'une des pièces voisines du salon. Mais il ne chercha pas à savoir où se trouvait sa victime. Dans un premier temps, il se dirigea calmement vers la porte d'entrée, marquant le pas afin que ses bottes produise ce son si caractéristique. C'était le genre de bruit qu'on ne voulait à aucun prix entendre accélérer, car cela serait le signe d'une fin imminente. Son regard fut attiré par un élément métallique proche de la porte d'entrée, c'était la clés de l'appartement.

"Oooh... mais c'est un gentil cadeau que tu me fais là Mona." Dit-il ironiquement.

Zack ramassa le trousseau avec sa main gauche, mais alors qu'il allait se relever, son corps se raidit soudainement. Son attention se porta sur une pile de vêtement proche de lui. Dans le tas, il pouvait distinguer le sous-vêtement que Mona avait porté un peu plus tôt dans la journée.

Comment... Comment as-tu osé ?

Sa voix avait perdu son calme qui avait été jusque là imperturbable. L'écrivaine avait dû probablement se changer en arrivant. A ce moment précis, elle pouvait très bien porter une tenue complètement différente ou être entièrement nu. Le problème, c'était simplement qu'il existait une possibilité qu'elle ne porte plus l'objet de son fétiche. Et c'est ce sentiment de profonde frustration qui fit naitre une violente colère au sein de Zack.

COMMENT AS-TU OSÉ L'ENLEVER !!! Hurla-t'il.

L'homme devînt une bête enragé, détruisant tout ce qui lui tombait sous la main.

JE VAIS TE CREVER SALE PUTE DE MERDE !!!

Ses poings frappèrent les murs de l'appartement, provoquant un bruit sourd dans la pièce.

JE VAIS TE TROUVER, ET TE FAIRE COUINER COMME LA PUTAIN DE TRUIE QUE TU ES !!!

Le prédateur renversa une commode qui se trouvait proche de lui dont le contenu alla se rependre sur le sol.

JE VAIS CHOPPER CE DANNY, ET JE VAIS TELLEMENT LE PULVÉRISER QUE JE ME SERVIRAI DE LA BOUILLI QUI RESTERA DE SON CORPS POUR REPEINDRE LES MURS DE CET ENDROIT !!!

Une table à proximité fut bruyamment retourné par un coup de pied rageur.

ET TAMIKO, JE VAIS LUI ARRACHER TOUTES LES DENTS ET LA JETER EN PATURE A DES CLODOS CAMÉS, COMME CA ELLE NE POURRA PLUS MORDRE CEUX QUI LUI INNONDE SA GUEULE DE CHIENNE !!!

Toutes les lampes furent brisés, plongeant le salon dans une très légère pénombre.

MONAAAAAAAAAAAAAAA !!! Hurla-t'il une dernière fois.

Sa frénésie de destruction avait pris fin, son souffle était haletant, ses membres continuaient de trembler sous l'effet de la colère qui n'était toujours pas retombé. Zack remarqua qu'il n'y avait plus rien dans sa main gauche, il avait probablement jeter les clés lors de son excès de rage. Les voisins avaient dû être également alerté par tout ce bruit.

"T'as intérêt à porter quelques choses d'aussi bien que "ça", sinon..." La voix du prédateur trahissait une tentative de récupérer le contrôle de ses émotions.

Il fallait que Zack se calme pour ne pas que la situation ne dégénère d'avantage. Il avait besoin de faire quelque chose n'importe quoi pour se reprendre. Après plus d'une dizaine d'année à chasser des proies, son corps repris des routines de façon automatique. Le kidnappeur installa rapidement un câble de capture dans le couloir de l'entrée. Cela permettait d'entraver pendant quelques secondes les jambes d'une personne qui tenterait de s'enfuir ou bien de pénétrer dans l'appartement. L'idée d'utiliser du câble cranté à la place lui traversa l'esprit et un immense effort fut fourni pour ne pas le faire. En réalité, Zack ne prenait aucun plaisir à tuer des gens (même s'il l'avait fait à de nombreuses reprises), car une fois morte, une personne ne souffre plus. C'est pour cette raison qu'il préférait amplement plus violer et torturer. Mais l'homme n'hésiterait pas une seconde à jeter Mona Duval par la fenêtre après l'avoir baisé s'il s'avérait qu'elle portait autre chose que ce qu'il affectionne.

Le prédateur reprit ses recherches, sa démarche avait perdu son calme et était devenu soutenu, comme si chaque pas était un coup de pied. Il commença d'abord par la cuisine qui était la pièce la plus proche de lui. Son esprit était encore embrumé par la colère, l'empêchant de prendre les décisions les plus logiques et perturbant ses sens. L'écrivaine pourrait se faufiler non loin de lui et elle aurait de bonne chance de ne pas se faire remarquer. Ne trouvant rien, Zack se dirigea vers la chambre dont il ouvrit la porte d'un puissant coup d'épaule. C'est alors qu'après seulement quelques seconde après avoir pénétrait dans la pièce, l'homme perdit l'équilibre et manqua de tomber la tête la première contre le sol. Retrouvant rapidement son équilibre, il pris conscience que son pied c'était pris dans un tapis mal disposé. La rage du prédateur aurait pu refaire surface si son attention n'avait pas été attiré par un bruit saccadé venant du salon. Zack ne savait pas si son câble avait attrapé quelques choses mais il lui semblait avoir entendu le tintement métallique des menottes fixé au poignet droit de Mona.

L'homme était un athlète confirmé, qui avait poussé son corps dans ses retranchement. Mais il lui était malgré tout impossible d'atteindre sa vitesse de pointe dans un appartement, sa position de départ n'est pas non plus propice à un démarrage explosif. Sa course serait donc lourde, bruyante et mal exploité. Ce qui ne sera plus le cas si l'écrivaine décide de s'enfuir par le long couloir en ligne droite. Une situation pire encore serait qu'elle tente de s'enfuir par l'escalier, l'agilité de Zack et son aisance pour se déplacer dans les airs lui permettrait de la rattraper à coup sûr. Mais il existait aussi la possibilité que le bruit perçu ne provenait tout simplement pas de la jeune femme. Est-ce que quelqu'un était parvenu à rentrer dans l'appartement ?

Quelque soit l'origine de ce bruit, il serra le poing qui tenait le bâillon. Le prédateur se releva et parti à la poursuite de Mona Duval.

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Le métro et la gare / Re : Une souris verte...qui courait dans l'herbe. [Zack]
« le: dimanche 11 octobre 2020, 02:14:53 »
La douleur l'envahit mais il ne l'a ressent pas. Il souffre légèrement mais ne s'en rend pas compte. Pour lui à ce moment là, c'est comme si on l'avait simplement poussé en arrière. L'excitation prenait le pas sur tout le reste, oubliant même la faim. Zack dû faire un immense effort pour ne pas riposter et laisser l'écrivaine s'enfuir. Enfin... le terme le plus exact serait "lui laisser de l'avance". Cela serait si simple de lancer un câble sur sa jambe pour la tirer de nouveau dans l'obscurité, la crasse et la violence.

L'homme se mit en route, inspirant profondément, et expirant lentement, laissant l'excitation redescendre doucement. Il prit la peine de ramasser à nouveau l'imperméable que ce dernier avait déposé dans le couloir. De cette façon, son harnais n'attirerait pas l'attention des forces de police. En revanche, son visage patibulaire et son teint blafard agissait comme un champs de force sur la foule. Les personnes s'éloignaient de lui en le voyant, intimidé par l'aspect terrifiant de Zack, semblable à un spectre aux intentions malsaines.

Voyons voir... En temps normal, tant que je n'apparais pas dans son champs de vision, une proie n'appellerai pas la foule à l'aide. Lorsqu'elle va s'enfuir pour se cacher,  elle ira soit directement au commissariat, soit se cacher chez elle, soit chez un proche, soit se réfugier chez la première personne sympathique venue... Pensa t'il.

Le kidnappeur énumérait dans son esprit malade les possibilités comme s'il récitait une leçon.

"... Sa peur va la pousser à chercher de l'aide, mais le fait d'avoir réussi à s'échapper va lui faire minimiser la situation dans laquelle elle se trouve...".

Sa réflexion fut perturbé par la vue d'un distributeur à sandwich automatique. Autant le japon était un véritable paradis pour les criminels sexuels de tout poil, chose que Zack appréciait beaucoup. En revanche, il avait une profonde aversion pour la gastronomie de ce pays. C'est donc à contrecœur qu'il jeta son dévolu sur un tamago sando qui lui semblait être le moins pire des aliments présent dans la machine. Une fois le sandwich en main, l'homme prit le métro en même temps que Mona lorsqu'il l'a vit s'y engouffrer. Une fois à distance raisonnable d'elle, le kidnappeur pu reprendre son raisonnement pensif.

... Elle va donc d'abord très probablement rentrer à son appartement pour s'y réfugier. Car c'est un lieux où ma proie se sentira en sécurité. Puis, dans un second temps, elle appellera la police ou un proche.

Dans le métro caché parmi la foule, Zack ne pouvait pas jouer du fil. En réalité si, mais le but actuellement n'était pas de s'en prendre à toutes les personnes présentes dans cette rame. Tout du moins, pas pour le moment.

... Lorsqu'elle arrivera dans son bâtiment, il est peu probable que ma proie regarde son courrier pour y trouver ma lettre... J'aimerai bien pourtant qu'elle le fasse... Bah ! Je lui glisserais sous la porte ou à travers une fenêtre ouverte... Faudra aussi que je réfléchisse à que faire de son entourage... Se questionna t'il.

Zack déchira sans effort l'emballage de son sandwich et commença à l'engloutir avidement. Sa façon de manger était vulgaire et bruyante, ses molaires broyaient le pain avec une vigueur animale. Sa faim était plus grande qu'il ne l'avait imaginé de prime abord. Les gens exprimèrent leur malaise face à ce spectacle en dévisageant le kidnappeur, mais ils détournèrent bien vite leur regard dès que ce dernier croisa celui de Zack. C'est vrai qu'il était mal vue de manger devant tout le monde de cette façon, en faisant autant de bruit, mais c'était pas une bande de japonais trouillard qui allait l'inquiéter.

Dès que son ventre commença à s'apaiser, le cerveau de Zack se remis activement en route, et une terrible réalisation eu lieu : Si son comportement avait attiré l'attention des personnes dans le métro, par effet de domino, Mona qui est en état d'alerte, avait probablement été attiré par le malaise de la foule. Et donc par extension, il était presque sûr que l'écrivaine avait aperçu le visage blafard de son agresseur.

Bon... La pause est terminé il semblerait. Dit-il dans un ricanement effrayant.

L'homme laissa tomber au sol le peu qui restait de son sandwich, n'y prêtant plus du tout attention. Son regard semblable à ceux d'un fou c'était fixé sur Mona, verrouillé sur sa cible tel un missile d'un avion de chasse. Un sourire carnassier apparu sur son visage, ne laissant aucun doute sur les intentions du prédateur. Une voix féminine résonna dans l'enceinte du wagon, annonçant l'arrivé imminente de la prochaine station de métro. Zack se leva lentement de son siège, toujours concentré sur sa cible. Le son du claquement régulier des antennes sur les caténaires était un rappel, La sinistre horloge de l'inéluctabilité avait repris son court. D'un pas assuré, qui ne trahissait aucun déséquilibre malgré le très léger balancement du wagon, l'homme se dirigea tel une machine vers l'écrivaine. Son mouvement lent et régulier était inexorable, chaque personne se trouvant sur son chemin était poussé de façon autoritaire mais pas brusque. Rien ne semblait pouvoir empêcher sa progression et cela faisait un moment que la discrétion été devenu inutile.

Un jeune voyou fut visiblement offusqué lorsque Zack l'écarta de son chemin, saisissant ce dernier par la manche pour l'interpeller.

"Hé enfoiré ! Tu te prend pour qui là ?". exprima le garçon avec une voix qui trahissait un égo froissé.

Le kidnappeur se retourna avec son calme habituel, ses yeux rouges d'albinos donnait l'impression de faire face à un oni. Celui qui avait eu le malheur d'attirer l'attention de Zack se décomposa en croisant son regard. Et avant que le voyou ait eu le temps de réagir, il reçu un violent coup de tête qui le fit s'effondrer contre une barre de maintien, le son métallique résonnant dans toute la rame. Tous les passagers se mirent à hurler de surprise dans un premier temps, puis de peur après avoir vu le jeune garçon tomber inanimé sur le sol.

"Monaaaaa..." fredonna le prédateur.

Zack reprit son chemin vers l'écrivaine, un léger hématome était apparu sur son front livide. Il sortit à nouveau de son imper, le bâillon destiné à sa proie. Le tenant clairement en évidence sans pour autant l'exhiber.

"On a pas fini de s'amuser toi et moi". Dit-il en frottant son poignet droit en référence à la menotte que portait encore l'écrivaine au poignet.

La panique envahit la rame de métro alors que l'homme se dirigeait vers Mona Duval.

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Le métro et la gare / Re : Une souris verte...qui courait dans l'herbe. [Zack]
« le: mercredi 16 septembre 2020, 23:21:29 »
C'est une nuit magnifique ce soir. La lune semble lentement dériver sur une mer d'étoiles scintillante, l'astre opale irradie d'une douce lumière l'ensemble de la ville de Seikusu. Pour Zack, tous les éléments sont réuni pour composer un cadre propice à la détente : Une lumière tamisé, un canapé confortable, un bon verre de vin dans une main, une lecture envoûtante dans l'autre et la douce mélodie des pleurs d'une mère et de sa fille pour lui bercer les oreilles.

"Dante Shinkyoku" Par Dante Alighieri - 1472.

Tel était le nom de l'oeuvre qu'il était entrain de lire. Ses doigts tournaient doucement les pages, leurs agilités trahissant la longue expérience que l'homme avait pu accumuler à force de manipuler des cordes. Il aimait bien ce récit, cela lui rappelait son pouvoir, qui était à la fois une prison et ce qui se rapproche le plus d'un foyer. Le concept de "chez soi" lui était devenu étranger à partir de l'âge de 19 ans, époque où il avait accomplis sont premier kidnapping. L'habitude d'être poursuivi en permanence par la police, lui avait appris à ne jamais rester trop longtemps au même endroit. Le kidnappeur fonctionnait d'avantage comme un parasite, qui envahissait un territoire déjà occupé afin de se l'approprier, avant de passer à un autre lorsque la nécessité l'exigeait.

Zack ne prit pas la peine de réagir lorsque des individus cagoulés pénétrèrent dans l'appartement. Il ne leur accorda pas non plus d'attention lorsque ces derniers emportèrent les deux femmes nues, ligotés et larmoyantes vers une destination inconnu. Le calme revint rapidement dans la pièce.

En ce moment, d'autre lectures avaient gagnés leur place dans ses rares instants de repos. Il s'agissait des œuvres de la célèbre écrivaine de littérature érotique : Mona Duval. Cet dernière possédait une plume qui avait le don de faire resurgir d'agréables souvenirs de l'esprit tourmenté de Zack, d'une époque plus calme où il pouvait s’émoustiller d'un rien. Où l'homme fantasmait sur des plaisirs simples comme les déboires d'une infirmière cochonne ou bien d'un gangbang interracial scatophile. Il ne restait plus rien de son ancien lui maintenant. Tout son être se résumait à une seule chose : Le plaisir de la chasse.

"Aaaah... C'était le bon temps" Soupira-t'il.

Le ravisseur posa l'ouvrage sur la table en bois qui se trouvait à sa gauche, bu une gorgé du breuvage pourpre et laissa son esprit vagabonder un temps. Zack se remémorait différents passages qu'il avait pu lire dans les œuvres de cette écrivaine et fut envahi par tout un tas de petites sensations. Des picotements fourmillèrent dans l'ensemble de son corps alors que son imagination travaillait activement. C'est alors que l'idée lui vînt de "rencontrer" cette fameuse artiste, et de la "remercier" pour lui avoir permis de goûter à la douce saveur de la nostalgie. Le temps était probablement venu de faire un retour aux sources et de réaliser une traque simple, l'homme pourrait ainsi mieux réaliser le chemin parcourut jusqu’ici. Peut-être pourrait-il même s'émouvoir à nouveau comme lors de ses premiers kidnappings ? Jouer avec sa proie, comme le ferait un chat, serait certainement un bon moyen de rendre hommage à cette époque où il était encore un jeune psychopathe en mal de sensations fortes.

Mona Duval était une femme sulfureuse et à la réputation mouvementé. Les gens la percevaient à la fois comme une artiste talentueuse et comme un symbole de dépravation. Son corps était à l'image de ses écrits : provocateurs et luxurieux. Si on ajoute à cela, un caractère clairement décomplexé, on obtient un étonnant cocktail qui faisait la joie des journaux à scandale. Il y avait chez elle une sorte d’ambivalence paradoxale, l'écrivaine semblait haïr sincèrement l'espace humaine, mais ne pouvait quand même pas s'empêcher de vouloir coucher avec. C'était tout du moins comme ça que Zack la percevait.

C'est grâce à cette notoriété, qu'il fut aisé pour le kidnappeur de trouver le lieu de résidence de l'écrivaine. Il usa de ses câbles d'escalades pour se hisser avec aisance sur une position avantageuse, profitant de l'obscurité pour se fondre dans les ombres, et débuta enfin son espionnage. Zack était un solitaire, doté d'une patience infini lorsqu'il s'agissait de traquer une proie. Rester caché des heures durant ne lui posait aucun problème, tant que cela lui permettait d'assouvir son besoin malsain. L'homme prenait des notes sur l'ensemble de l'entourage de Mona Duval, il pourrait être amené à prendre l'apparence de l'un d'entre eux. Alors que son crayon grattait inlassablement le papier de son petit carnet, le ravisseur réalisa pour la première fois de sa vie que, non content de se satisfaire de l'appropriation du domicile de certaines de ses victimes, il le faisait aussi avec leurs identités. L'idée d'être encore plus un parasite qu'il ne l'imaginait de prime abord le fit sourire.

Zack prenait également un grand nombre de photos. De l'entourage de la jeune femme, mais surtout de cette dernière évidemment. Tel un paparazzi, il prit la peine de la photographier dans sa vie de tous les jours ainsi que dans son intimité. Établissant une liste de l'ensemble de sa garde robe, également des fois où elle consommait trop d'alcool ou bien des moments où elle s'envoyait en l'air. Lorsque l'homme ne l'espionnait plus, il profitait de ces moments pour faire le tri dans les photos et les développer. Gardant uniquement celle qui mettait le plus en valeur l'aspect dépravé de Mona Duval. Le kidnappeur avait déjà préparé une enveloppe sur laquelle était écris sobrement à l'aide d'une encre délavé :"De la part d'un admirateur". Cette dernière contenait l'ensemble des photos qu'il avait sélectionné ainsi que d'une lettre qui contenait le message suivant "Merci pour tout". Une fois que le ravisseur eut fini, il retourna se positionner pour espionner à nouveau l'écrivaine.

Ce manège dura plusieurs jours, temps qui avait permis à Zack de mieux connaitre sa prochaine victime. Mona avait non seulement un corps obscène mais également un appétit dévorant pour le sexe. Et cerise sur le gâteau, elle possédait toute la lingerie requise pour le satisfaire. L'homme était ravi d'en avoir fait sa proie. Il ne restait plus qu'à attendre le moment opportuns.

Finalement, le jour tant attendu arriva. Alors qu'il prenait, avec un soin particulier, des photos de l'écrivaine entrain d'avaler goulûment le membre viril de son manager. Cette dernière pris la décision de se faire une sortie, mais l'élément déclencheur, fut les sous-vêtements qu'elle choisi pour s'habiller. Ce fut le signal de départ. Zack descendit de son perchoir, enleva son masque et enfila un imperméable afin de dissimuler son harnais. Même s'il avait désormais un look d'exhibitionniste, il allait devoir se mêler à la foule, et puis le nombre de pervers au mètre carré dans cette ville frisait l'absurde. Alors en avoir un de plus ou de moins...
Une fois que Mona quitta l'immeuble où elle résidait, l'homme profita de l'occasion pour se glisser à l'intérieur afin d'y déposer l’enveloppe qu'il avait préparé ces derniers jours. La jeune femme finirait par tomber dessus lorsqu'elle reviendrait, mais le but n'était pas de la faire chanter. L'objectif était de l'intimider, de lui montrer qu'elle n'était en sécurité nulle part.

Lorsqu'elle pris le taxi pour se rendre dans les quartiers animés de la villes, il fit de même.

"Suivez ce taxi je vous prie." Demanda Zack au conducteur.

Un homme en surpoids, à l'allure porcine et a l'hygiène négligé se retourna.

"Vous vous êtes cru dans un film ou quoi ?!" s'exclama-t'il avec une voix aussi grasse qu'une friteuse.

Avant même que ce dernier s'en rende compte, une boucle de fil de pêche de resserra autour de son cou, le conducteur émit un atroce couinement et sa peau vira rapidement au violet.

"Exactement, on va faire comme dans les films, j'espère pour votre bien que l'on s'est bien compris ?".

La voiture repris sa route.

La soirée avait été longue, Mona avait passé tout son temps dans une boite de nuit jusqu'à l'aube. Zack pour sa part, avait fait le guet devant l'établissement pour ne pas la perdre de vue. Il ne souhaitait pas y pénétrer car le lui d'avant aurait eu trop peur de le faire. Trop de monde, trop de risque. Depuis cette époque, le lui de maintenant avait accomplis des kidnappings bien plus difficile que celui là, mais l'homme tenait vraiment à employer les mêmes méthodes que dans sa jeunesse. Son ventre grondait car il n'avait toujours pas mangé, mais une faim encore plus grande l'avait envahi au cours de toutes ses heures. Il voulait se nourrir de la peur de l'écrivaine, de sa chair, de son âme, de tout ce qui la compose.

Mona sorti finalement de la boite de nuit, clairement éprouvé par cette soirée, mais visiblement pas suffisamment pour l'empêcher de retourner à son domicile. La traque put reprendre enfin son cours. Zack commença à la suivre à distance raisonnable afin de toujours pouvoir réagir face aux réactions de sa proie. Lorsqu'un groupe de filles se mirent à glousser comme des pintades et attira donc l'attention de l'écrivaine, il en profita pour se déplacer dans l'angle mort de cette dernière. Une fois isolé dans la ruelle, il fut tenté à plusieurs reprises de s'emparer d'elle, sa main frôlant le cou de la jeune femme de quelques millimètres, mais il se ravisa au dernier moment, disparaissant de nouveau dans les ombres. A travers la gestuelle de sa futur victime, l'homme pouvait lire la peur grandissante. Il arrivait que les proies de Zack perçoivent cette faim menaçante sans pouvoir en déterminer la nature ou la source. Cette sensation d'une menace invisible et inexplicable était un sentiment particulièrement exaltant pour lui.

La chance du Grey Stalker se manifesta lorsque sa proie sembla pris du besoin furieux de se rendre aux toilettes du métro. Ce genre d'endroit est un coupe gorge naturel et idéal pour lui. Tous s'agençait parfaitement au point qu'il en avait du mal à contenir ses pulsions malsaines. Son corps frissonnait d'excitation et un rictus particulièrement mauvais apparu sur son visage. Ses yeux grands ouverts, étaient ceux d'un fou furieux se délectant d'avance de ce qui allait se produire. L'homme transpirait tellement de mauvaises intentions, que même la jeune camé qu'il croisa fut envahi par une peur irraisonné en passant près de lui.

Zack se tenait à présent dans le long couloir qui menait aux toilettes. Retirant son imperméable, l'homme installa un simple fil de pêche proche du sol, afin de peut-être faire tomber Mona lors de sa fuite. Si cela venait à se produire, quelques secondes serait suffisante pour se relever de façon paniqué. Mais le but était de lui faire comprendre qu'elle n'était en sécurité nulle part, pas même lorsque la jeune femme pensait avoir réussi à s'échapper.

Car oui, le ravisseur avait pris la résolution de laisser Mona s'échapper, et même de n'utiliser pratiquement aucun fil durant ce qui allait se produire dans ces toilettes. Il allait se servir d'elle pour se nourrir de sa peur et de son désespoir en la poursuivant constamment. Cette nouvelle source de plaisir allait être son "cadeau" pour la remercier.

La porte couina sensiblement lorsque Zack l'ouvrit, l'ampoule au plafond grésillait maladivement, donnant une ambiance sordide aux toilettes. Il marqua le pas de ses bottes afin que le bruit de ses dernières résonnent lourdement dans la pièce. L'homme s'avait que Mona l'avait entendu entré, il le faisait exprès.

"Mona... Mona...Mona..." murmura t'il.

La pièce était exigu et sale, un véritable décors de film d'horreur, même si plusieurs cabinets étaient présent, le ravisseur savait exactement où elle se trouvait par déduction.

"Mona... Mona... Mona..." souffla t'il.

Zack faisait des tours dans la pièce, profitant de sa dextérité pour lancer une boucle sur l'ampoule grésillante et nouer un fil cranté dessus.

"Où... est... tu... ?" Demanda t'il.

Ses bottes résonnaient toujours dans la pièce, on aurait dit le tic tac d'une lourde horloge, le compte à rebours vers une tragédie. Ses doigts glissaient contre la parois des cabinets. Un fil avait été attaché à la poignet de la porte d'entrée des toilettes.

"Moooooo..... naaaaaaaa...." Fredonna t'il.

Puis soudain, le silence. Total et absolu. L'univers retenait son souffle, même l'ampoule n'osait plus grésiller tant la tension présente dans les toilettes était pesante.

Après un temps, qui semblait interminable, la porte s'ouvrit avec son couinement habituel et se referma en claquant à cause du rabat automatique.

Le silence revint, un temps.

"TE VOILA !!!" Hurla t'il en ouvrant la porte du cabinet où Mona s'était caché avec toute la brutalité que Zack pouvait manifester.

A l'instant où la porte fut enfoncé, il tira sur le câble cranté et détruisit la seule source de lumière de la pièce. Son visage n'était apparu que durant un bref instant, mais on put nettement distinguer son visage blafard déformé par le vice. De façon assez surprenante, le kidnappeur ne se jeta pas sur sa proie de suite. Au contraire, il recula et alla se cacher dans un recoin, enfilant son masque dans la foulée. Ayant déjà parfaitement mémorisé la dispositions des lieux, l'homme se délectait avidement de la terreur de sa victime. Ce plaisir inédit lui provoqua une soudaine et puissante érection, mais le spectacle n'était pas fini.

Lorsqu'il entendit Mona tenter de s'enfuir, il alluma ses lunettes infrarouges qui s'illuminèrent dans le noir. Affichant deux lueurs inquiétantes qui se reflétèrent dans le miroir des toilettes, donnant l'impression qu'il était devant elle. Profitant de la confusion, Zack attrapa pleinement l'écrivaine avec ses bras. Sa main gauche sur sa bouche pour l’empêcher de crier, et sa main droite pour la maintenir. Il utilisa la force de l'élan et de son poids pour la plaquer contre le lavabo miteux.

"AH ! Hé hé hé ! Mona est à moi". Dit-il dans un ricanement malsain.

Le kidnappeur utilisait sa masse pour restreindre au maximum la mobilité de sa victime, la forçant à s'appuyer contre le mur du lavabo. Sa main droite quitta le buste de la jeune femme pour se glisser sous sa jupe, afin de profiter de son fessier rebondi en le griffant douloureusement. Mais surtout, s'assurer qu'elle portait bien ce qu'il avait vu plus tôt.

"Oh putain... tu vas prendre tellement cher sale truie hi hi hi"

OUI ! Il était bien là, le sous-vêtement qu'il affectionnait tant. Elle devait maintenant sentir le membre horriblement dur de Zack se presser contre ses fesses à travers sa combinaison.
Ignorant les plaintes de sa victime, sa main droite arracha sans pitié le haut que portait Mona afin de pouvoir agripper sa poitrine avec une violence presque meurtrière. L'homme n'avait pas envie qu'elle prenne du plaisir, SURTOUT PAS. Il fallait que cet événement soit particulièrement traumatisant afin qu'il puisse savourer cet instant le plus possible.

Sa main droite quitta ensuite la poitrine de Mona, afin de sortir une paire de menotte de la besace qu'il avait dans le dos. Le tintement métallique caractéristique de cet objet, résonna dans la pièce. Zack n'utilisait jamais de menottes, mais ce coup-ci, il l'avait fait. Cela faisait parti de la mise en scène qui avait pour but de laisser une profonde marque dans l'esprit de l'écrivaine. Le ravisseur fixa d'un coup une menotte sur le poignet droit de Mona, provoquant un désagréable cliquetis sonores. Il serra l'anneau de métal aussi fort que possible afin de meurtrir la chair de la jeune femme.

"ssssshhhhtttt... J'ai un bâillon qui attend juste de pouvoir se loger dans ta petite bouche, laisse moi finir de te menotter."

Ce fut la dernière chose que Zack fit à l'encontre de la jeune femme. A partir de ce moment, il relâcha sensiblement son étreinte pour qu'elle puisse se dégager et tenter de s'enfuir. Le jeu de la peur pouvait commencer, et il allait durer un long moment.

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Prélude / Re : Soumise, mais il faut me mériter ! [Valikoyée]
« le: lundi 09 juillet 2018, 19:40:40 »
Enfin de vrai sous-vêtement !!!! (lève les bras en l'air).

Je serai bien tenté de relever le challenge de te kidnapper. Mais ce pouvoir est... problématique.

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Prélude / Re : Le surnaturel est parmi nous.
« le: mercredi 30 mai 2018, 22:58:48 »
Aucune difficulté potentiel, pas de sous-vêtement affriolant... aucun intérêt à kidnapper (retourne à mater le Burger Quiz)

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Prélude / Re : Kneel Before Your Goddess ! [Valikoyée]
« le: lundi 07 mai 2018, 01:50:07 »
Enfin une femme de goût en ce qui concerne la lingerie ! Rien que pour ça, je serai bien tenté de relever le challenge de te kidnapper.

Mais hélas, mon terrain de chasse c'est la terre. Je me contenterai donc de suivre avec intérêt tes péripéties.

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Centre-ville de Seikusu / Re : A tale of knots and ropes (ft. Zack Arias)
« le: vendredi 20 avril 2018, 19:38:14 »
Zack se trouvait devant la fenêtre de l'appartement de la streameuse. Elle était fermé mais ce n'était pas un problème, l'homme fit un trou dans le verre grâce à une ventouse et une pointe en métal, lui permettant d'atteindre la poignet depuis l'extérieur sans faire de bruit. Aucun son ne fut produit lorsque ses bottes touchèrent le sol du domicile de Fl4wless. C'était trop facile pour lui de pénétrer chez les gens, et encore même là le kidnappeur trouvait qu'il en avait trop fait, mais pour que le spectacle soit une réussite, il était important que la mise en place soit parfaite.
Se rapprochant doucement de la porte, il pouvait entendre parler la jeune fille. Soudainement, elle se mit à crier.

N'APPROCHE PAS ! NON ! AU SECOURS !

Hein ? Qu'est-ce qui se passe ? Je serai découvert ? Comment ? S’interrogea Zack surpris.

Quelque chose était étrange l'intonation de la voix de la streameuse, comme une sorte de manque de volonté. Il se rapprocha rapidement de la porte et l’entrouvris discrètement. Fausse alerte, c'était juste cette idiote qui faisait l'intéressante devant son écran.

Vous y avez cru ? Vous voyez ? Ce type est un troll. Il n'y a rien qui puisse nous déranger, mes amours.

D'accord, c'était Nezumi qui avait commencé à faire son numéro. L'espace d'un instant, Zack avait été inquiété, comment une simple fille aurait pu se rendre compte de sa présence. Le seul moyen aurait été que cet otaku en fasse trop et grille la couverture du kidnappeur, ce qui lui aurait valu une mort lente et effroyablement douloureuse. Il était temps de mettre la scène en place.

Däto Nezumi serrer les poings sur son bureau. Comment cette traîné osé se moquer ainsi de lui. Décidément, toute femme était des putes à ces yeux qui méritait tout ce qui leur arrivait. L'otaku constata qu'un modérateur qui s'était lassé du petit numéro avait fini par le bannir du chat. Rien de grave, il avait prévu le coup. Plusieurs compte avait été créer en avance afin de pallier à cette éventualité et il ne fallu pas plus d'une minute pour se reconnecter sous un autre pseudonyme (le même avec juste un caractère en plus). Nezumi décida de reprendre le compte à rebours et fit un nouveau don.

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Jolie numéro, mais "il" va bientôt révéler ton vrai visage.


Zack avait fini de placer ses pièges. Il en avait placé dans un dans le couloir, un dans la chambre, un dans la salle de bain et un près de la porte d'entrée. C'était des cordages de captures qu'il avait tressé pour se lier sur la partie du corps qui était entré en contact avec le fil déclencheur. Il n'avait pas fallu 5 minutes à l'homme pour les installés et peut être même qu'il n'en aurait pas besoin. C'était juste une précaution pour s'assurer que la streameuse resterait dans la pièce où se trouve la webcam, il pourrait ainsi jouer avec elle et l'a ramener facilement sur la scène. Il était également inutile d'en faire trop, après tout, c'était juste une jeune fille sans expérience dans le combat, il pourrait la maîtriser juste par la force brute.

A un moment donné, Nezumi aperçu durant l'espace d'une seconde, une ombre passé derrière Fl4wless. Il était maintenant sûr et certain que le bourreau avait pénétré dans le domicile de la jeune fille. Il n'était probablement pas le seul viewer à l'avoir aperçu, mais ce n'était pas grave, bien au contraire, cela allait faire monter la confusion ambiante d'un cran. "Y'avait-il vraiment quelqu'un ?" allait sûrement se demander les membres du tchat qui s'empresserait de prévenir leur idole, ce qui allait l'inciter à rester coller devant son écran. Nezumi repris le compte à rebours pour maintenir la pression.

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"Il" est chez toi actuellement. tu devrais peut être lui montrer tes sous-vêtements pour lui faire plaisir.


La streameuse ne prendrait probablement jamais la peine de répondre à la demande de Nezumi. La peur allait sûrement commencer se faire très présente, empêchant probablement la streameuse de se concentrer sur son écran et l'incitant à jeter des coups d'oeil à droite à gauche. Peut-être qu'elle fera encore la fier comme tout à l'heure pour se rassurer. Tout cela n'avait aucune importance à présent. L'otaku envoya un message à Zack pour lui indiquer qu'il était prêt à répondre à son signal. Un dernier don fut envoyé sous un autre pseudo, afin de mettre la touche final à cette scène d'horreur.

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Il est trop tard pour t'enfuir maintenant.


Sur ces mots, Zack éteignit toutes les lumières, plongeant la pièce dans le noir, ne laissant plus que l'écran d'ordinateur comme seule sources de luminosité.

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