One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: mercredi 10 décembre 2025, 19:15:58 »« Oooh, Tank…, soupira-t-elle en se penchant, suivant le mouvement intimé par sa main sur son épaule. Prends-moi dans l'ascenseur, ne put-elle s'empêcher se murmurer en sentant ses mains s'occuper de sa croupe tendue. »
Le bougre a décidé de la faire languir, cependant. Elle exprime sa frustration autant que le plaisir qu’elle prend tandis que ses doigts viennent s'inviter entre ses lèvres intimes, fouillant son cœur brûlant. Elle ne peut lui répondre verbalement, mais le regard qu'elle lui lance en regardant dans le miroir en face est probablement assez expressif. Ses mains se crispent sur la rambarde alors qu'il joue avec elle.
« Oooh, oh oui ! S'écria-t-elle en le sentant effleurer sa rondelle serrée, ne pensant pas qu'il allait un jour tenter de venir s'y introduire. »
Elle ondule sa croupe contre lui, espérant pousser suffisamment pour que son pouce y pénètre par « accident », mais il est trop adroit. Calamity est certaine qu'elle ne pourra penser qu’à ça la prochaine fois qu'elle prendra l'ascenseur. Son regard accroche la mouille qui coulent contre ses cuisses, qui vient s’échouer contre le sol, et elle gémit de plus belle en songeant aux réactions des prochains qui prendront l’ascenseur.
L'un de ses bras se lève pour essayer d'appuyer sur le bouton, mais les attentions du malfrat sont décidément trop distrayante. Ce n'est pas avant plusieurs minutes que ses doigts appuient enfin sur le bouton. Une fois qu'elle a réussi, elle se laisse alors complètement distraire par les sensations qu'il lui offre, se tortillant sans cesse sous l’effet de ses doigts.
Elle ne se rends même pas compte qu'ils sont arrivés, laissant le colosse la guider jusqu’à son appartement, ayant tout juste assez de mémoire physique pour ouvrir la bonne porte. Et elle retrouve enfin la sensation grisante de sa queue qui la pourfend, contre le mur de l'entrée, réagissant aux stimuli avec un grand cri d’extase.
« Putain, ouiii ! Défonces-moi, Tank ! Remplis-moi de foutre !, s’exclame-t-elle en arquant les reins pour mieux le sentir cogner contre l'entrée de son utérus, et contre le point sensible juste à côté. »
Elle se laisse gagner par la fièvre qui était montée autant durant le trajet dehors que dans l’ascenseur, encourageant son amant d’une voix qui s'étranglait parfois sur un gémissement. Elle voulait qu'il la prenne partout dans l'appartement. Contre le mur, dans la cuisine, dans la salle de bain, dans le salon… Dans son lit, aussi. Elle voulait se souvenir de lui à tout moment. De sa queue qui la ramonait, de ses mains qui la maltraitait avec délices…
Finalement, après autant de temps à flirter avec la limite d'un nouvel orgasme, l'héroïne finit par franchir la ligne alors que Tank cognait à un endroit particulièrement sensible, érogène, en son centre.
« Taaaank, s'exclama-t-elle d'une voix brisée, s'arquant encore plus contre lui, serrant les cuisses autour de ses hanches. »
Les yeux révulsé, ses parois compressant la trique épaisse, Présage inonda encore un peu plus son amant. Mais ce n'était que le début. L'héroïne délurée réservait encore pas mal d'endurance pour que le criminel puisse la ravager de tous les côtés. Et si besoin d'un remontant ? Le frigo et le bar étaient pleins.











