Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Catalina Taylor

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Catalina Taylor

Pages: [1] 2 3 ... 37
1
One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: jeudi 04 décembre 2025, 19:25:10 »
Si, en temps normal, c’est Présage qui mène la danse, la situation est toute autre ce soir. Et la blondinette n’est absolument pas contre ce changement. Elle adore sentir la poigne solide de Tank contre son corps, alors qu’il serre son cul si fort qu’elle en aura probablement un bleu le lendemain. Elle se complaît dans cette attitude dominante qu’il a adopté. Chacun de ses mots la laisse tremblante, soupirante, alors qu’il ne cesse de venir marquer son passage dans sa petite chatte trempée. Elle ne peut que murmurer, gémir, soupirer… Crier son nom. Comme une ode à sa virilité. A la manière dont il cogne aux portes de son utérus à chaque coup de rein.

Calamity n’a presque plus de souffle pour démontrer son enthousiasme. Heureusement, voilà qu’elle le sent se ficher profondément en elle. Encore. Et encore. Et elle ressent chaque tressautement de son chibre qui tapisse son intérieur de ce foutre épais, gluant, qu’elle a goûté précédemment. Ses ongles griffent ses épaules, sur le costume qu’il porte encore, tandis qu’elle sent un autre orgasme -moins puissant- faire s’étrangler un cri dans sa gorge. Apparemment, rien que le fait de le sentir la remplir suffit à ce que l’extase dévaste ses sens.

« Fiou, marmonne-t-elle en essayant de reprendre ses esprits alors qu’il s’était finalement retiré, laissant des coulées de fluide sirupeux descendre le long de ses cuisses rougies. Te détacher, mmh ? »

Elle sourit, adossée au mur alors que ses jambes ont du mal à retrouver leur stabilité. Elle peut toujours sentir sa chaleur qui se propage à son corps alors qu’il reste à proximité. Son regard clair reste attiré par le chibre qui luit dans la faible luminosité des lieux. Elle ne l’en détache que lorsqu’il attrape son menton pour la forcer à lever la tête vers lui. Un frémissement la fait se tortiller contre le mur alors qu’il ne perd pas cette attitude autoritaire. Elle en perd presque le souffle, ses lèvres s’entrouvrant d’elle-même tandis que le sens de ses paroles est enfin compris par son esprit prompt à la distraction.

« Oh, si tu insistes… Lâche-t-elle finalement dans un soupir, un sourire amusé luttant pour ne pas se montrer sur ses lippes rougies. »

Son corps, cela dit, trahissait le trouble qui l’agitait alors qu’elle se sentait incapable de lui refuser quoi que ce soit dès lors qu’il lui parlait de la sorte, qu’il la dirigeait de cette manière. Sans que ses prunelles bleues ne quittent celles du malfrat, Calamity glissa une main légère à sa ceinture pour en retirer les clés des menottes. A tâtons, elle chercha la serrure des petits bracelets d’argent pour y insérer la clé. Après un clic signifiant l’ouverture, elle tira sur la paire de menottes pour libérer le poignet de son amant les raccrochant à sa ceinture.

« Je veux bien t’emmener chez moi, mais tu me portes ! S’exclame-t-elle finalement en retrouvant un peu de ses esprits. »

Un sourire salace étira cette fois franchement ses lippes tandis qu’elle levait les bras pour qu’il la prenne contre lui, contre son torse, afin qu’elle noue ses chevilles dans son dos et revienne s’embrocher sur sa queue pour toute la durée du trajet. Rien n’empêchait, en effet, de lier l’utile à l’agréable.

« J’te guiderais, t’en fais pas, rassura-t-elle avec un clin d’œil. »

S’il acceptait, si effectivement il consentait à la prendre dans ses bras pour qu’elle puisse profiter de son chibre pendant qu’il marchait, elle le guiderait. Elle lui ferait prendre les ruelles où l’on ne croise jamais personne. Elle lui ferait prendre des raccourcis, jusqu’à finalement arriver en vue de l’immeuble dans lequel elle avait un petit appartement de quatre pièces. Elle lui donnerait le code de la porte d’entrée, et le numéro de l’étage. Ainsi que le numéro de son appartement. Elle lui dirait absolument tout ce qu’il devait savoir pour finalement pénétrer dans son intimité, figurativement parlant. Elle ne craignait pas que ça lui retombe dessus sans qu’elle ne le voit venir, après tout. Et elle se demandait même si, connaissant son adresse, il ne s’arrêterait pas « à l’improviste », de temps à autres, pour venir la remplir comme elle aimait si bien.

2
One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: mardi 02 décembre 2025, 21:11:00 »
L’héroïne ne lâchait pas sa prise sur Tank, enivrée par le plaisir qu'il lui offrait. Elle était tout à fait partante pour finir incapable de marcher, pour peu qu’il la ramène chez elle -ou chez lui- afin de remettre le couvert autant de fois qu’il le pourrait. Elle n’avait peut-être qu’un pouvoir de prédiction, mais son organisme mutant était malgré tout plus endurant qu’une simple humaine.

Mais la seule chose qui sort quand elle ouvre la bouche, ce sont des gémissements, des cris d’extase alors qu’il prend possession de son intimité à grands coups de triques, qu’il la secoue sans ménagement sur son chibre épais. Présage n’est plus qu’un amas de nerfs électrisé par chaque coup de rein donné. Elle n’a plus rien d’héroïque ainsi malmenée, appréciant chaque instant de cette étreinte sauvage, brutale. Et elle ne peut que l’encourager, encore et encore, d’une voix qui se brise parfois alors que ses chairs se contractent autour de son amant.

« Aaa-aah, oui, Tank ! En-Encore ! Halète-t-elle avec difficulté. Remplis-moi, aaaah, partout ! »

Et alors qu’il commence à tenir sa croupe, à malaxer de sa main libre, la petite blonde s’arque contre le colosse, sa tête venant cogner le mur sans qu’elle ne s’en rende compte. L’orgasme est arrivé sans prévenir, à l’écouter lui dire à quelle sauce elle allait être mangé. Fulgurant, étourdissant. Le cri de jouissance s’étrangle dans sa gorge tandis qu’elle semble verrouillée contre le criminel, accrochée autant avec ses cuisses qu’avec ses bras.

« Haaa, Tank, putain… Exhale-t-elle finalement alors que son corps s’assouplissait de nouveau. Et d’un, mmh ? Plaisanta-t-elle, le souffle court, en ramenant son front contre le torse de son amant. »

Mais un orgasme était loin de la rassasier, bien entendu. Surtout avec le programme alléchant que lui avait promit l’homme. Et son regard clair, empli de lascivité alors qu’elle levait les yeux vers lui pour l’observer entre ses cils, l’indiquait tout aussi clairement que la manière dont ses reins repartaient déjà pour contrer chaque mouvement du malfrat, pour faire s’entrechoquer leurs bassins à chaque coups, tandis que sa cyprine coulait contre lui, gouttant au sol.

« Je vais tellement jouir que ton costume sera bon à changer, susurre-t-elle avec un sourire en coin, ses yeux roulants parfois dans leurs orbites alors que ses chairs sensibles étaient sollicitées encore et toujours. »

3
Bon. Pour ne pas polluer le récap et que je puisse continuer à poster derrière à chaque nouveau compte...  ;D

Donc ! S'il y en a qui seraient tentés d'incarner les frères Dalton alors que ces derniers viennent de braquer une banque et tente d'échapper au shérif, je peux proposer un tout nouveau personnage qui n'a pas de fiche mais qui bravera la section des One-Shot pour se faire kidnapper par ces mécréants. Je vous présente donc Calpurnia Tanner, qui préfère qu'on l'appelle Callie, la fille du shérif judicieusement en train de retirer des fonds au moment du braquage.

Pour ce sujet, j'accepte les réponses à la suite ou les MPs, ou même sur Discord. Je signalerais ici quand la place sera prise.


4
One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: lundi 24 novembre 2025, 18:56:43 »
Un frémissement d'anticipation courant contre sa peau, la jeune femme sourit de toutes ses dents en écoutant la réponse de Tank. Elle ne se fait pas prier quand il soulève sa cuisse pour la caler contre ses hanches, et elle s'accroche à ses épaules afin de l'y aider. Un petit halètement d'impatience souligne le moment où sa culotte se retrouve arrachée, ruinée par la force du criminel, et c'est un gémissement d'extase qui glisse hors de ses lèvres entrouvertes pour saluer l'introduction du chibre dans sa fleur trempée.

« Oooh, oui… Souffle-t-elle en se hissant complètement sur lui à l'aide de ses mains, venant enrouler ses jambes autour de sa taille alors qu'il est calé bien au fond de son intimité. Et si vraiment je ne peux plus marcher… Mmh, alors peut-être que je te détacherais pour que tu me ramènes chez moi… »

Lui offrir ainsi de découvrir où elle habitait ne lui faisait pas peur. Son sixième sens, verrouillé sur sa personne, la préviendrais bien vite de toutes « représailles » qu'il pourrait avoir envie d'exécuter. Le pire qui pourrait arriver serait de dévoiler son identité civile. Mais même ce détail ne l'embêtait pas.

Le genre qui… aaah, oui ! Qui aime vraiment ça ! S'exclama-t-elle dans un gémissement tandis que ses reins accompagnent les mouvements de bassin du colosse. Le genre… Ooh, oui, comme ça ! Le genre qui n'a pas peur de te supplier de la ravager avec ta grosse queue, Tank, mmmh… »

Oui, peut-être bien que Calamity était nymphomane sur les bords. Elle n’avait en tout cas aucun scrupules à se montrer docile et obéissante quand il s'agissait d'avoir ce qu'elle voulait. Ou agressive et déterminée. Peut-être que ce n'était pas très héroïque de sa part, mais elle était humaine avant tout.

Ses hanches se balançaient, cognant contre le bassin de l’homme, tandis qu'elle l'aidait à la ruiner comme une petite chienne en chaleur. Elle profita de sa position, accrochée aux épaules et à la taille de Tank, pour pousser contre le mur, l'incitant à se tourner et à la coincer contre le mur auquel il était attaché. A la plaquer contre la roche pour mieux lui casser les reins avec ses coups de butoir brutaux.

« Ah, putain, oui ! Défonce-moi Tank, gémit-elle en arquant ses reins. Remplis-moi jusqu’à ce que j’en dégouline, s’écria-t-elle crûment alors qu’elle griffait les épaules de l’homme en s’accrochant férocement à lui. »

A cet instant, elle ne pensait plus du tout au collier qu’elle lui avait subtilisé. Elle ne songeait qu’à la sensation absolument délicieuse, indécente, de son chibre qui la fourrait sans merci. Elle ne pouvait penser qu’à la sensation de son corps contre le sien, à la manière dont ses hanches cognaient contre les siennes, la faisant se sentir remplie, complète et absolument décadente.

5
One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: dimanche 23 novembre 2025, 11:42:43 »
Diligemment, Calamity avalait et flattait la trique de Tank qu'elle s'était appropriée sans demander. Elle savait qu'il aimait qu'elle s'en occupe comme elle le faisait, même s'il appréciait moins la partie où elle le laissait prêt à être cueilli par les flics. Mais elle attendait encore qu'il réveille son côté dominateur pour profiter pleinement de l'expérience.

Elle n'eut pas à attendre longtemps, cela dit. Il sorti finalement de son hébétude pour prendre les rênes. Et le regard brillant qu'elle dirigeait à son encontre semblait le remercier alors même qu'il venait cogner durement contre sa gorge, prenant un rythme plus brutal que ce qu'elle avait initié.

La main contre son crâne se faisait ferme et autoritaire. A genoux devant lui, les cuisses écartées et sa fleur suintant du plaisir qu'il déclenchait chez elle, Présage laissait entendre à quel point elle aimait ça, à quel point elle voulait sa queue effectivement, à grands renforts de gémissements qui s'étouffaient contre la masse de chair qui venait déformer sa gorge, ses joues.

Elle sentait la salive s'amasser au coin de ses lèvres, mousser devant la puissance et férocité des coups de reins dont Tank la gratifiait. Elle sentait ces fluides couler contre son menton, goutter contre son décolleté. Respirant par le nez, par à-coups, l’héroïne ne pouvait que subir alors que ses mains s'agrippaient aux hanches masculines pour se maintenir ou continuaient à flatter les bourses pleines qu'elle espérait bien vider cette fois-ci. Mais elle subissait avec délice cet assaut sauvage entre ses lèvres, contre sa gorge.

 Ses grands yeux de saphir, mouillés de larmes mais si expressifs, s'efforçaient de ne pas le lâcher du regard. De communiquer à quel point il la comblait en ravageant sa gorge accueillante. Et à quel point elle brûlait de le sentir se déverser en elle.

Ce qui ne tarda pas à arriver, d'ailleurs. Le nez bloqué contre son aine, Calamity eut la joie de sentir des jets de foutre chaud couler dans sa gorge alors qu'elle peinait à déglutir autour de la queue plantée en elle. Il était généreux avec la dose et la blonde sentait le sperme qui venait jusqu’à couler à la commissure de ses lèvres, joignant les épais filets de salive qui s'y trouvaient encore.

Quand, enfin, le flot se tarit, quand la blonde sentit le criminel relâcher la pression de sa main contre son crâne, elle releva la tête. Libérant enfin le chibre épais après en avoir aspiré la moindre parcelle à mesure qu'elle redressait la tête, la jeune femme haletait mais paraissait très heureuse d'avoir reçu toute cette attention. Avec un sourire en coin, la belle récolta même la salive mêlée au sperme qui avait coulé et suça ses doigts avec un air des plus salaces.

Indécente, avec ses lèvres rougies, ses yeux larmoyants et ses cheveux emmêlés par la main de Tank, Calamity n'en avait pourtant pas fini avec lui. La dernière fois, ils avaient été interrompus alors que les flics se montraient plus efficaces que prévu. Cette fois, dans ces tunnels oubliés, il n'y avait pas ce risque. Et elle comptait bien en tirer avantage pour se retrouver remplie par le criminel de tous les côtés et de toutes les façons imaginables.

« Tu en avais bien besoin, mmh ? Ronronna-t-elle après s’être nettoyée de façon tout aussi obscène qu'elle avait été souillée. Ne t’inquiètes pas, c'est loin d’être fini. Les flics ne risquent pas de débarquer alors que l'apéritif est à peine commencé. »

Et, avec un petit sourire prédateur, elle vint se coller à lui, ses mains parcourant le corps mâle tout en défaisant habilement les attaches qu'elles pouvaient trouver pour dévoiler le colosse dans toute sa splendeur, tel Adam au premier jour. Ses lèvres venaient le taquiner tandis qu'elle faisait glisser le fourreau de l'immense épée pour le poser délicatement par terre.

« Comme c'est de ma faute si tu t'es retrouvé ainsi plein la dernière fois, je vais me vais me faire pardonner. Je te laisse choisir l’ordre et la manière dont tu vas me remplir. Ça te conviens, mon cher Tank ? »

Quand elle eut fini de le mettre à nu comme elle le pouvait, la blonde lui offrit un sourire radieux. Elle se hissa sur la pointe des pieds pour venir lui mordiller le lobe de l'oreille.

« Je te laisse même le choix de si tu me veux en tenue d'Ève ou bien si tu préfères me souiller avec ma tenue. Ne suis-je pas généreuse, mmh ? »

6
One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: samedi 22 novembre 2025, 15:05:38 »
Le regard brillant, Présage sent la queue durcir entre ses lèvres à mesure que sa langue la flatte. La main qui maintient sa tête contre l’aine masculine ne la gêne pas. Pas encore du moins. Tant que la trique s’obstrue pas sa gorge, la belle peut facilement respirer par le nez. Et quand elle déglutit, sa langue presse la chair en cours de rigidification contre son palais. Ses mains ne sont pas en reste, flattant les derniers membres du service trois pièces. Elle le sent paradoxalement se détendre au fur et à mesure qu’il durcit. Et ça l’excite.

Enfin, la pression de la main diminue. Calamity ne tarde pas à commencer à faire coulisser le sexe de Tank entre ses lèvres. D’abord d’un rythme lent, langoureux, se laissant le temps de flatter le chibre veineux de sa langue. Se laissant l’opportunité d’aspirer délicatement la peau sensible. Puis plus vite. Sa tête pousse contre la main qui résidait toujours dans sa crinière blonde à chaque fois qu’elle recule jusqu’à ce que seul le gland demeure au chaud entre ses lèvres. Et elle le tourmente du bout de sa langue, traçant la corolle et le méat, avant de la caler de plus belle au fond de sa gorge. Toujours plus profondément, toujours plus vite.

Ses grands yeux bleus se mettent à larmoyer alors qu’elle pousse jusqu’à ce que ses lèvres touchent la base du sexe érigé et s’y verrouillent tandis qu’elle contracte sa gorge autour de la tête qui s’y niche tout au fond. La belle adore sentir le criminel abandonner la lutte tandis qu’elle l’avale jusqu’à la garde. Le voir rendre les armes face à la fellation qu’elle lui impose, ça l’excite encore plus. Et comme il est endurant, Présage ne craint pas de le faire venir repeindre sa gorge avec son foutre. Elle sait qu’il y en aura une autre fournée après.

Décidée à lui offrir un moment détente inégalé, et à le sentir exploser au fond de sa gorge, l’héroïne redouble ses efforts pour lustrer sa queue. Elle augmente la cadence, invitant subtilement l’homme à s’accrocher de plus belle à ses boucles blondes, et fait buter ses lèvres contre son aine. Encore, et encore, et encore. Son étreinte sur les bourses pleines se fait plus ferme mais toujours aussi délicate. Et son regard… Oh, son regard ! La blonde garde les yeux levés vers le colosse, lui offrant un regard empli de désir. Elle est obscène et indécente, à saliver abondamment autour du chibre qu’elle dévore.

7
One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: jeudi 20 novembre 2025, 13:04:28 »
Pirouette sur la gauche, lui dit son instinct. Et Calamity ne réfléchit pas plus loin. Elle tourne sur elle-même, se rapprochant du mur, tandis qu'elle descend deux marches de plus. L'imposant criminel plonge, passant à quelques centimètres de ses hanches, et dévale l'escalier tête la première. L'héroïne s'arrête er s'accoude à la rambarde, toisant l'homme qui termine sa chute en bas. Un petit rire lui échappe. Elle ne s’inquiète pas, Tank est résistant. Il lui faudrait bien plus que ça pour se retrouver blessé.

« Tu n'es pas joueur aujourd’hui, mon chaton, soupire la facétieuse blonde. Il faut te détendre un peu. Regardes-moi ça, cette posture rigide… Mais ne t'en fais pas, je sais exactement ce qu'il te faut ! »

Passant une main à sa ceinture, Présage descend quelques marches d'un pas lent, ne semblant pas craindre le moins du monde une quelconque perfidie. Arrivée presque à portée de main du colosse, elle lui offre un sourire qui n'augure rien de bon.

D'un bond, la main qui était à sa ceinture se lance vers celle -tendue- du criminel tandis qu'elle lui saute dessus. Ses jambes s'enroulent autour de la taille masculine, un bracelet métallique bien spécial cliquète au poignet offert de Tank, et l'impulsion donnée par son corps pousse l'homme à reculer de quelques pas. Juste assez pour que la blonde, profitant de l'effet de surprise, parvienne à refermer le second bracelet des menottes contre un anneau fixé sur le mur de pierre derrière lui, juste à hauteur de ses épaules.

Ils ont fier allure, ces deux-là. Elle, arrimée à la taille de son adversaire avec une main contre son épaule et l'autre encore sur la paire de menottes. Lui, une main menottée au mur et une séduisante petite créature collée à son torse. Calamity rit soudainement, sa poitrine se soulevant avec sa cage thoracique et cognant probablement contre le menton masculin alors qu'elle rejette la tête en arrière.

Même s'il récupérait le collier, à cet instant précis, il ne pourrait rien en faire. Elle ne se sent donc pas particulièrement menacée dans cette position qu'ils ont. Elle ne relâche pas son emprise sur lui, remontant sa main doucement contre le bras du colosse pour venir emprisonner sa mâchoire alors qu'elle redresse la tête.

« Tu vas voir, tu seras aussi détendu qu’après de longues vacances quand j'en aurais fini avec toi, susurra-t-elle contre ses lèvres avant de venir l'embrasser voracement pendant de longues minutes, ne rompant le baiser que lorsque le besoin d'air se fit pressant. »

Lestement, elle détacha ses jambes pour se laisser glisser au sol. Ses mains caressent son torse encore couvert et se dirigent diligemment vers une partie bien précise de son costume, défaisant agilement les attaches qu'elle commence à bien connaître pour libérer l'épais mandrin qu'elle sait s'y cacher.

Avec un regard mutin, l'héroïne se laisse glisser jusqu’à ce qu'elle se retrouve à genoux devant le sexe libéré. Elle le ne lâche pas du regard pendant qu'une main vient s’enrouler autour du vît, que ses lèvres s'arrondissent pour venir happer le gland violacé. Elle lui a laissé une main de libre à dessein : pour qu'il l'arrête s'il en avait vraiment envie, ou pour accompagner les mouvements que ferait sa tête pendant qu'elle le sucerait avec appétit. N'était-elle pas aimable de lui laisser ce choix ?

8
One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: mercredi 19 novembre 2025, 13:23:06 »
Un sourire amusé flottait sur les lèvres de la blondinette. Ses prunelles claires ne quittaient pas le criminel tandis qu'il la reconnaissait et grimaçait.

« Allons, allons, Tank, darling. Est-ce une manière de saluer une amie ? Je t'ai connu plus… affectueux. »

Elle se lève alors qu'il se dirige vers l'escalier camouflé. D'un pas léger, Présage se glisse dans le dos de l’homme, sa main droite venant malicieusement donner une tape affectueuse sur son fessier.

« Ne me dis pas que tu n'as pas apprécié notre dernière… joute, mh ?[/color] »

Un petit rire lui échappe alors que sa main gauche -suivant cet instinct quine la trompait jamais- venait agilement, discrètement, subtiliser le collier volé.

« Tu ne peux pas dire que je ne me suis pas bien occupée de toi. J'ai souvenir d'avoir eu droit à une explosion de joie de ta part, continua-t-elle pour le distraire. Si les flics n'étaient pas arrivés aussi vite, tu aurais été presque décent pour les accueillir… »

Menotté, mais décent. Un sourire narquois orne ses lèvres alors qu’ellese remémore l'instant. Puis elle s'écarte, aussi vive qu'une anguille, pour se retrouver directement devant l'entrée des souterrains, le collier subtilisé accroché à sa ceinture comme un trophée. D'un geste, elle déverrouille l'accès et s'y engage en lançant par-dessus son épaule, d'une voix moqueuse : « Tu viens ? »

Et elle fit tinter le collier en descendant les escalier d'un pas assuré, agile et d'une démarche volontairement aguicheuse.

9
One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: lundi 17 novembre 2025, 21:56:42 »
Calamity Tavish n’était pas une jeune femme ordinaire. Non pas qu’elle ressemble à un monstre, non. Loin de là. Au contraire ! Avec sa longue crinière d’or, son teint pâle et ses prunelles ressemblant à des saphirs, l’écossaise était même plutôt jolie femme. Ses courbes très féminines ne laissaient pas insensibles, et elle le savait. Elle en jouait, même.

Non, si Calamity n’était pas une jeune femme ordinaire, c’était parce qu’elle avait un étrange pouvoir. Un « Super Pouvoir ». Ce petit bout de femme mesurant à peine 162cm possède un « sixième sens ». Pas dans le vague sens « j’ai un mauvais pressentiment » de quand le cerveau voit des signes avant-coureurs d’une catastrophe sans toutefois les relier forcément entre eux tout de suite. Plutôt dans le sens « Pourquoi est-ce que j’ai l’impression qu’il faut que j’aille dans cette ruelle sombre alors que le chemin pour rentrer chez moi est à l’opposé ».

Elle avait découvert ce pouvoir avec l’adolescence. Du moins, elle avait appris à composer avec à cette période. Le soir, après les cours, elle suivait ce « sixième sens » et empêchait des accidents, le braquage de l’épicerie du coin ou encore elle arrivait à temps pour faire fuir un homme qui menaçait de violer une pauvre étudiante qui semblait s’être perdue dans les rues mal famées d’Edimbourg. Avec le temps, elle l’avait affiné. Elle pouvait maintenant choisir sur quoi ce pouvoir agissait. Et elle s’était créé une identité secrète. Après les cours, la nuit et le week-end, Calamity devenait alors « Présage ». Super-héroïne qui agissait en tant que justicière dans les rues de la capitale écossaise.

Depuis quelques temps, elle avait ajusté son « radar » sur un vilain bien précis. Parce que, si la première fois où elle l’avait empêché de commettre un méfait avait été un heureux accident (et elle l’avait laissé dans un état intéressant pour que la police le retrouve), elle avait tellement apprécié le contrer et lui « rendre la monnaie de sa pièce » qu’elle avait décidé d’en faire sa mission personnelle.

Plusieurs fois, depuis cet incident, elle avait fait échouer ses plans diaboliques. Calamity prenait goût à ce petit jeu. Elle ne comptait pas arrêter de sitôt. En plus, ça rendait service aux autres héros.

Ce soir-là, la blonde de vingt-six ans sentit son « sixième sens » s’activer. Sans perdre de temps, elle enfila la tenue moulante qu’elle s’était créée -appréciant tout particulièrement l’emblème de l’œil qui était devenu sa signature- et s’était échappée de la soirée à laquelle elle assistait. Ainsi vêtue de blanc, de mauve et d’argent, la jeune héroïne suivit son instinct et se dirigea vers la colline à la sortie de la ville.

Pour s’être déjà baladée dans le coin, Calamity savait qu’il existait un réseau de grottes souterraines sous ces collines et tumulus. Et son pouvoir lui disait qu’elle devrait emprunter l’un de ces boyaux caverneux pour arriver à sa destination.

Sans perdre de temps, Présage se glissa dans le tunnel et suivit ses serpentements jusqu’à ce qu’elle arrive finalement au pied d’un escalier taillé dans la roche. Elle y grimpa, avec précaution, et finit par déboucher dans un renfoncement qui se tenait au sommet d’une des collines qu’elle visait. Décidant de s’asseoir après avoir soigneusement masqué l’entrée dans le renfoncement, la blonde attendit que l’occupation de sa soirée arrive enfin.

Elle n’eut pas longtemps à attendre. Quelques minutes, tout au plus. Assise sur son rocher, les jambes croisées, le dos droit et les mains soigneusement posées sur le genou, Présage souriait. Un masque blanc strié de mauve couvrait le haut de son visage, au-dessus du nez, ne laissant que ses yeux de visibles.

« Eh bien, ça alors ! Quelle surprise de vous trouver ici, cher ami… S’annonça-t-elle d’une voix traînante, moqueuse. »

Vu la carrure du Super-Vilain, on était en droit de se demander comment la brindille qu’était Présage arrivait à avoir le dessus. Mais c’est là qu’entrait à nouveau en scène ce don si particulier qu’elle possédait. Du moment qu’elle avait l’issue qu’elle désirait bien en tête, ce sixième sens lui permettait d’éviter agilement les coups et d’ainsi dominer l’homme. Il ne fallait juste pas qu’elle soit déconcentrée trop souvent.

10
S'il était possible pour l'intrépide veuve de mouiller plus qu'elle ne le faisait déjà, alors Vance aurait certainement du soucis à se faire pour la banquette de sa berline. Le sentir prendre le contrôle de sa tête, investir sa gorge ainsi, la mettait dans tous ses états. Et si la barrière de ses lèvres n'était pas suffisante pour retenir la salive qu'elle ne pouvait avaler, sa gorge se fit au contraire presque hermétique quand il fut question de contrôler les jets brûlant de sperme qui s'écrasaient contre ses parois cannelées.

Catalina déglutissait presque convulsivement, l'étreinte de sa gorge se faisant plus prégnante, pour ne pas en perdre une goutte. Quand, enfin, elle estima avoir fait son possible pour absorber ce que lui offrait si généreusement l'ancien catcheur, quand il se retira d'entre ses lèvres et la laissa reposer sa tête contre ses cuisses musclées, l'indécente brune laissa un tremblant soupir d'extase s'écraser contre le membre encore luisant.

« Si c'est pour en profiter de nouveau tout à l'heure, alors bien entendu. Recharge tout ce que tu peux, susurra-t-elle avec le sourire repu d'une chatte qui avait terminé son bol de crème. »

Le tutoiement s'imposait naturellement après cette expérience des plus intimes.

« Je l'espère bien, répondit-elle ensuite en faisant rouler sa tête contre les cuisses de l'homme, presque alanguie sur la banquette de la voiture. Ou j'aurais été obligée de me contenter de mes fantasmes d'adolescente. Ce qui, tu l'admettras, aurait été des plus regrettable. »

Si elle avait la voix un peu rauque de celle qui s'est égosillé lors d'un orgasme -quand bien même ces gémissements, ces cris, auraient été assourdis par le membre épais qu'elle avait semblé vouloir faire fusionner avec sa gorge- cela n'enlevait rien a8son charme indécent. La jupe retroussée sur les hanches, le tanga emmêlé au niveau de ses genoux et le buste pleinement exposé pour offrir ses courbes d'albâtre aux yeux de son idole, Catalina n'avait plus une allure sophistiquée. Mais elle compensait en assumant pleinement sa lubricité, en jouant de son appétit sans faille pour le sexe et toutes ses dérives.

La trentenaire finit par se relever après un instant à profiter de la vue de Vance et de son sexe encore humide portant la trace de son rouge à lèvre. Elle sourit, caressant d’une main douce l’organe qui reprenait son souffle lui aussi, avant de basculer pour se rasseoir confortablement sur le siège aux côtés du colosse. D’un geste presque anodin, si ce n’était le regard brillant toujours fixé sur son idole, Catalina fit glisser son sous-vêtement trempé contre ses jambes jusqu’à ce qu’il tombe au sol, rejoignant le soutien-gorge délaissé peu après leur entrée dans la voiture. Elle se trémoussa légèrement pour faire redescendre la jupe contre ses cuisses et cacher la vue de sa fleur encore détrempée. Finalement, elle se pencha, écrasant sa poitrine généreuse -dont les tétons ne semblaient pas vouloir redevenir discrets- contre ses genoux, et ramassa le chemisier blanc dont elle se para ensuite, se contentant de fermer quelques boutons pour qu’il tienne en place sans forcément cacher ce qu’il couvrait.

« Il nous faudra vraiment prendre un verre, très cher. Je crains qu’avec l’excitation du moment, tu n’aies oublié de nous faire profiter de ce mini-bar dont tu m’as parlé, taquine-t-elle en venant se lover contre sa forme imposante sans se soucier de remettre de l’ordre dans ses boucles brunes. »

Elle ne prit pas non plus la peine de masquer le khôl qui avait coulé sous ses yeux, ou le rouge à lèvre qui n’était plus aussi pimpant qu’en montant dans la voiture. Elle se contenta de garder une main légère contre le torse de Vance, ses ongles traçant des arabesques contre ses abdominaux et s’aventurant même pour taquiner le sexe toujours offert à sa vue.

Une fois sortie du parking, la voiture prit de la vitesse, le ronronnement de son moteur faisant écho aux élancements de désirs qui vivaient encore dans les reins de l’ancienne tueuse. Ses prunelles claires scrutaient la route, guettant l’entrée du parking de l’hôtel. Impatiente de continuer leurs ébats, la belle laissa à peine le temps à Vance de se rajuster à son tour avant de s’éjecter de la voiture aussi vivement qu’une anguille. Ignorant les regards qui pouvaient les suivre, la belle brune glissa à nouveau un bras sous celui de l’homme tandis qu’elle prenait le chemin des ascenseurs. De son sac, elle tira un badge qu’elle présenta une fois qu’ils furent à l’intérieur de la cabine. Elle n’eut même pas besoin de rentrer l’étage, l’engin se mit en route après avoir scanné la puce présentée.

Arrivés au dernier étage, la jeune femme guida l’ancien catcheur jusqu’à une porte en bois sombre ornée du numéro 286 en lettrine dorée. La clé de la chambre déverrouillant l’entrée, Catalina invita son compagnon à entrer au cœur de son intimité -du moins, celle qu’elle avait en n’étant pas chez elle.

Le petit hall d’entrée menait à une pièce de vie/salon. Le parquet sombre était alors remplacé par un tapis clair et visiblement doux. Le mobilier comprenait une table et un fauteuil pouvant accueillir deux personnes, faisant face à l’entrée et au mini-bar. Sur la droite, le mur était recouvert par un immense vaisselier miroitant. Sur la gauche, délimitant l’espace salon, il y avait deux canapés formant un angle ainsi qu’une petite méridienne qui était dos à la grande baie vitrée donnant sur un jardin magnifique. Un meuble télé et un écran plat ultra-large occupait le mur qui devait cacher la chambre tandis qu’une petite table basse incarnait le centre du salon. Un passage derrière le canapé menait à un petit couloir qui, lui, s’ouvrait sur la chambre. Là, un lit King-size trônait au centre de la pièce, appuyé contre le mur du fond. A droite, une autre baie vitrée tout aussi immense qu’au salon, et deux petits fauteuils. A droite, une ouverture pour accéder à la salle de bain et une dernière baie vitrée donnant vue sur la baignoire aux dimensions titanesques qui trônait dans la salle de bain. Dans la pièce réservée à l’hygiène, une large douche à l’italienne était cachée dans un renfoncement, faisant face à un coin WC plus discret.

Si, dans la chambre, le parquet avait été remplacé par de la moquette tellement agréable pour les pieds nus, et que les murs étaient couverts de draperies ou d’armoires anciennes, il en était tout autre à la salle de bain. C’était un style épuré, blanc, rayonnant. Des miroirs gigantesques, un lustre en cristal et des appliques murales intégrées dans le décor donnaient à la pièce des aspects royaux. Le sol et les murs en marbres donnaient tout de suite le ton.

Après avoir guidé brièvement le colosse au travers des pièces de la suite qu’elle occupait, Catalina l’invita à prendre place sur un canapé pendant qu’elle s’affairait dans le mini-bar. Courbée pour en sortir des bouteilles en même temps qu’elle lisait les noms à haute voix, attendant un mot de Vance pour garder sa boisson favorite sortie, la veuve en profitait pour onduler doucement ses hanches. Elle lui offrait volontairement la vision de ses fesses bombées, rondes et si invitantes. Le temps de la subtilité était bel et bien révolu.

11
Prélude / Re : Celindra, tête de Tigre ? [Seremialidée]
« le: mercredi 12 novembre 2025, 23:16:57 »
 8) Merci Randal eheh

Tant qu'elle n'a pas neuf têtes comme une hydre, Jack...  ;D  :-*

Merci Lynn :3

12
Prélude / Re : Celindra, tête de Tigre ?
« le: mardi 11 novembre 2025, 18:54:33 »
Done ! Et merci ahah (le M, c'est pour rappeler le chat de gouttière :D)

13
Le coin du chalant / Re : Cherchez le point commun ? (Récap' C. T. Team)
« le: mardi 11 novembre 2025, 18:53:50 »
Merci de ne pas poster à la suite. Si vous êtes intéressés, envoyez-moi un MP sur Catalina Taylor, avec lequel je me connecte le plus souvent.

25. Celindra Teralis

MP Ma Fiche



Mutante Créée en laboratoire A la tête d'une organisation criminelle Ni bonne, ni mauvaise

Preview (Toutes ces idées peuvent être jouées en OS.)

+ Titre Blabla.

Loading (0 RP)

+ www. Titre ft. XXX
Blabla

Loaded (0 RP)

+ www. Titre ft. XXX (STATUT)
Blabla

14
Si l’habitacle n’était pas insonorisé, le chauffeur devait certainement entendre ce que le couple trafiquait à l’arrière. Des gémissements étouffés de la brune contre le sexe qu’elle avalait presque religieusement aux sons obscènes qui venaient de leurs actes. Si Catalina se souciait d’être vue ou entendue, elle n’aurait jamais engagé leur activités sur ce terrain-là avant d’être à l’abri dans sa suite à l’hôtel.

Mais la brune était aussi gourmande qu’impudique, et tout ce qui l’importait à l’instant présent était de faire perdre pied à Vance, de le sentir se répandre dans sa gorge alors même qu’elle lui arroserait les doigts qui s’employaient avec tant de succès à lui prodiguer un orgasme ravageur. Ses mains, désormais inutiles pour tenir la queue et la guider dans sa gorge, s’occupaient des bourses délaissées, humides avec la salive qui s’écoulait peu à peu de la hampe lubrifiée. Si son bassin ne cessait d’aller à la rencontre de ces doigts qui lui faisait peu à peu perdre son emprise sur la réalité, elle ne cessait jamais de venir le faire buter contre sa gorge.

Sentir parfois la deuxième main de l’ancien catcheur pousser contre sa tête ne la dérangeait pas le moins du monde. Et elle s’empressait d’imiter le mouvement dès lors qu’elle le pouvait, l’accueillant toujours plus loin, plus longtemps, sans donner l’impression de vouloir cesser. La seule manifestation physique de la contrainte de son corps étaient ses yeux qui larmoyaient parfois quand le manque d’air commençait à se faire sentir. Mais ils étaient loin de supplier d’arrêter, implorant au contraire pour en avoir plus.

Bientôt, cependant, elle ne put retenir les tremblements de son corps alors que le plaisir se déversait en elle, explosant de ses reins. Ses chairs intimes se contractèrent plus sérieusement contre les doigts qui les envahissaient, son bassin se bloqua contre cette main large qui l’explorait. Sa gorge se contracta également autour de la queue fichée en elle alors que ses gémissements s’employaient à la faire vibrer. Les yeux fermés comme pour ne pas louper les étoiles qui apparaissaient derrière ses paupières, Catalina verrouilla ses lèvres fermement à la base du sexe de Vance, ses mains se crispant sur ses cuisses après avoir abandonné les joyaux fragiles pour ne pas le blesser. Les joues creusées, comme pour implorer le colosse de venir s’abandonner dans sa bouche, la trentenaire n’était plus vraiment maîtresse de ses mouvements alors que l’orgasme lui bouleversait les sens.

15
Trouver une position adéquate pour donner et recevoir du plaisir, dans une voiture, avait toujours été l’un des charmes que la brune trouvait à se livrer à de telles actes. Aussi, quand le colosse entreprit de la faire changer de place, de position, pour avoir un meilleur accès à l’intimité qu’elle cachait encore derrière le tissu souple de sa jupe, derrière la fine barrière de dentelle assortie au soutien-gorge, Catalina se laissa guider docilement. Elle ne délaissait pas pour autant la gourmandise qu’elle sentait enfler et prendre forme entre ses lèvres, sa main fine s’enroulant autour de la base pour la maintenir dans l’angle idéal.

« Je n’ai nul doutes que la réalité surpassera la fiction, en profite-t-elle pour glisser, son souffle chaud caressant la peau humide de sa salive. »

Un nouveau sourire en coin fut adressé à Vance avant qu’elle ne revienne dorloter oralement ce sexe qui était loin d’être un désappointement. Elle avait entendu les rumeurs, bien sûr. Déjà à l’époque, quand il catchait encore, il se disait que vu la carrure du bonhomme, il abusait sûrement de stéroïdes et devait forcément perdre en virilité. Mais, pour la jeune adolescente d’alors, il n’y avait pas moyen que la masculinité son idole en soit réduite à un petit vermisseau. Elle avait aussi entendu les bruits qui parlait de cette trique comme étant monstrueuse, impossible à s’enfiler sans subir de sévères déchirements. Et si dans son imagination ces rumeurs pouvaient parfois avoir une place de choix, elle ne s’attendait pas réellement à ce que ce soit le cas.

Ses lèvres se resserrèrent autour de la chair à présent rigide, caressant chaque veine qui troublait la surface satinée, sa langue venant ensuite comme pour vérifier leur présence. Sa gorge se montra accueillante quand elle y fit buter le gland, témoignant probablement d’une grande maîtrise qui n’est venue qu’à force de pratiquer. L’ancienne tueuse se consacrait entièrement à son œuvre, usant de chaque réaction visible ou ressentie de la part de Vance pour parfaire sa technique, son rythme et la pression de ses joues.

Il n’était pas en reste, d’ailleurs, avec cette nouvelle position. Et il pouvait clairement sentir que ses cajoleries ne laissaient pas la trentenaire indifférente. Le contact de sa main contre sa fleur, des phalanges contre sa perle, ne la laissait pas de marbre. Bientôt, son corps échauffé ne tarda pas à produire le lubrifiant naturel qui permettrait et promettait une chevauchée plus que satisfaisante. Par instants, Catalina fermait les yeux en arquant ses reins comme pour rechercher toujours plus de contact, le sexe viril reposant contre sa langue alors qu’un soupir s’étouffait contre lui.

Son corps, cependant, réclamait plus. Son bassin poussait pour réclamer que cette main large commence à l’investir plus complètement, son être tremblant légèrement dans l’attente de se sentir comblé et agréablement maltraité. Et elle employa plus d’ardeur, un rythme plus prononcé, dans les oscillations de sa tête sur la queue tendue qu’elle se faisait un plaisir d’avaler, d’aspirer. A force de buter contre sa glotte, sa gorge se détendit progressivement et put accueillir plus confortablement l’érection jusqu’à ce que le nez de la veuve puisse s’enfouir dans l’aine de Vance. Jusqu’à ce qu’il puisse ressentir la pression de sa gorge chaude se contracter autour de son gland.

Nul doute qu’avec l’expérience qu’elle avait, Catalina pourrait figurer en starlette de films pornographiques. Ce qui la distinguait toutefois de ces actrices, c’était qu’elle ne faisait pas ça pour gagner sa vie. Elle le faisait par pur plaisir. Par désir de débauche, de sensations orgasmiques. Parce qu’elle aimait les hommes et ne s’en cachait pas. Et avec Vance, la brune mettait tout en œuvre pour qu’il ait un souvenir inoubliables de leurs ébats, plus tard.

Tandis que la voiture avançait à peine dans les bouchons, la trentenaire déployait tout son arsenal buccal pour contenter le colosse, variant la vitesse et la fermeté de ses caresses en fonction des réactions qu’il avait. Et des siennes, alors qu’elle se trémoussait contre la main qui la découvrait.

Pages: [1] 2 3 ... 37