Les terres sauvages / Re : Marché conclu ~ Mélusine
« le: mercredi 23 novembre 2022, 16:30:12 »« Enchanté Madame Clark ... Ou dois-je vous appeler Mélusine ? »
On me l'avait présenté sous son nom complet. De mon côté, issu de basse naissance, je n'avais pas de nom de famille, et n'avait pas cherché à m'en donner un. Je la suivais, entrant dans la demeure, alors que mon regard ne perdait pas de vue cette femme plantureuse, aux formes affriolantes. Je refermais la porte derrière moi, ayant toujours ce sentiment presque désagréable, sans parvenir à mettre le doigt dessus. Finalement, cela me frappa alors que nous arrivions à l'atelier de la jeune femme : la peinture. Je réalisais d'un coup qu'elle en avait des marques de ci de là, et qu'elle ne devait pas être dans son état normal, du moins s'il s'agissait de la peinture que je lui avais commandé. Soupçonneux, je tentais.
« Je ... Il s'agit de la peinture de ma commande ? »
Tout en prononçant ces mots, je désignais de l'index le front de la sorcière, où de la peinture maculait sa peau. Je connaissais l'effet que pouvait faire ce genre de peinture, et pas qu'un peu : j'en avais moi même abusé plusieurs fois, jouant de cette magie pour amaouder certaines modèles pour mieux les culbuter par la suite. Il était facile de décupler l'envie et d'en profiter. Un nouveau détail confirma ce que je pensais, car alors que nous débouchions dans l'atelier, je vis immédiatement la culotte qui traînait au sol. Ce n'était sûrement pas un hasard, et je ne pouvais qu'imaginer ce qui s'était passé ici avant mon arrivée. Avait-elle décidé de tester la peinture, d'en voir la capacité ? D'après les traces sur elle, c'était assez récent, et j'aurais pu juré qu'elle était encore sous l'emprise de la magie.
« En tout cas, je ne doute pas de la qualité ... »
Je fis quelques pas, m'approchant du centre de la pièce, des pots, puis me penchais, me redressant en tenant la culotte abandonnée. Elle était encore humide, signe qu'elle n'avait pas été ôté il y a longtemps. Je me retournais vers Mélusine, la culotte pendant en équilibre sur le bout de mon doigt, comme une preuve de ce que je venais de dire. Je n'étais pas sot, ni naïf, je comprenais très bien ce qui venait de se passer. Et de part mon sourire, je laissais entendre à la sorcière que cela ne me dérangeait pas. Je savais ce qu'était la curiosité, et je l'imaginais bien ayant voulu savoir par elle même. Je déposais la culotte sur l'un des pots de peinture, me plaçant face à elle, les fesses calées contre le bord du bureau.
« Je vois que vous avez voulu tester par vous même, je me trompe ? »
Je pris un air faussement sérieux, voulant voir ce qu'elle allait répondre. Je me fichais qu'elle ait pu tester, et je trouvais même cela plutôt flatteur. De plus, je pouvais imaginer ce qu'elle traversait, et je me doutais assez bien de la torture délicieuse et délicate dans laquelle elle se trouvait actuellement, devoir garder une allure correcte pour sa vente tout en étant tiraillée par ses désirs. Plusieurs fois j'opinais de la tête en écoutant sa réponse, avant de me redresser.
« Je vois, je vois ... »
Je faisais mine d'être presque embêté, comme si quelque chose n'allait pas, poussant le supplice au bout, l'obligeant à être intérieurement tiraillée. Puis, je haussais légèrement les épaules, venant faire face à Mélusine.
« Par contre, je me dois de vous prévenir, l'effet ne s'estompera pas avant plusieurs heures, j'en ai peur. J'imagine que le plus sage serait de mettre ce temps à profit. »
A ces mots, j'avançais une main, venant la placer sur l'une des cuisses de la sorcière. Je remontais, glissant sous la robe, et trouvais sans peine la direction de son entrejambe. Je sentis aussitôt la chaude vulve sous mes doigts, le clitoris gonflé de désir, et la mouille qui dégoulinait, trempant toute l'entrejambe. Mon majeur courut le long de la fente, avant de se rabattre sur le clitoris et tourner délicatement autour. Pour le coup, le contraste avec mon apparent détâchement quelques secondes avant et ce geste était saisissant. Je me rapprochais encore d'elle, de quoi venir souffler à son oreille.
« Voilà une manière de me dédommager de la peinture que vous avez utilisé ... Et de laisser libre court à la salope qui est en vous. »