Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lysandre Ovid

Pages: [1] 2
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Les alentours de la ville / Re : Des Ramen...
« le: samedi 06 juillet 2013, 22:49:25 »
Arriva soudain une inconnue, et c'était bien dommage... Qui n'aurait pas voulu connaître un être siégeant au sein d'un corps dont l'esthétisme frôlait de si près l'onirisme ? Lysandre aurait frissonné à la vue d'une telle créature s'il n'avait été doté d'assez d'expérience pour le prémunir de tels mécanismes. Oh, voilà bien une belle qui devait faire des ravages parmi la gent masculine. Lui, comme tant d'autres, sentait l'appel d'une bestialité trop forte pour être naturelle, une vibrante clameur que sa masculinité venait de bramer pour assourdir sa conscience et son intellect. La première était facile à avoir, le second était autrement plus redoutable, mais pas ennemi. Non, bien qu'intelligent, le jeune homme ne se départait pas de ses envies les plus basses, au contraire, il profitait de son peu de jugeote pour affiner ses charmes. La belle avait pour habitude de dîner ici, apparemment, car le vendeur la connaissait, chose étonnante vue sa forme - vues ses formes. Elle n'avait rien de l'effigie de la mal-bouffe, on l'aurait plutôt crue avatar de la beauté terrestre.

C'est lorsqu'il la vit de plus près, à la lueur des néons, alors qu'elle répondait à l'homme qui l'avait hélée, qu'il remarqua un tout autre aspect de sa personne. Ma foi, du haut de ses vingt-cinq ans, il arrivait encore à se tromper, mais après avoir passé près de la moitié de sa vie en compagnie de femmes à la morale douée de contorsions admirables, il pensait savoir reconnaître une femme excitée... L'excitation, chez elle, revêtait des aspects maladifs, cependant. Une telle débauche de  signes et d'alertes n'était généralement visible que dans la chambre à coucher - ou tout du moins, sur les lieux de l'acte alors qu'il s'apprêtait à avoir cours. Quittait-elle à l'instant un amant qui n'avait su s'investir ? Recevait-elle des propositions inavouables d'un "crush" dont elle voulait absolument rejoindre la compagnie ? Il n'en savait rien, quoi qu'il en soit, le jeune homme était à deux doigts de la certitude : elle était au bord de la déraison lascive. Avant qu'elle n'ait pu aller bien loin, il tenta de la retenir, sans la saisir, mais en lui parlant : "Et si nous partagions ce repas et cette douche, resteriez-vous ?" Il avait parlé Anglais, dans le triste espoir d'être compris de l'européenne plus que du commerçant - dont il avait ignoré la remarque. L'approche était sans grande subtilité, mais à l'allure où elle allait, mieux valait faire concis.

2
L'éphèbe au dressing code fort sérieux posa tranquillement ses mains au dessus des hanches de la jeune femme après qu'elle ait posé les siennes sur ses épaules. Son regard appelait toujours le sien, ses yeux, bleus sombres, se fixant sur ses pupilles comme les griffes d'un léopard sur sa proie. Il inspira doucement le mélange de parfum, d'alcool et de cigarette qui s'échappait d'elle. C'était là un mélange des plus incommodes, et pourtant, ça lui allait bien. Elle portait ces senteurs comme un charme. Elles avaient, chez elle, comme un effet mélioratif, ventant les mérites de son train de vie assez marginal, fait de beuveries, de rencontres tardives et de jeux ambivalents. Lysandre laissa les mains de sa main droite glisser sous le débardeur blanc de son interlocutrice, allant jusque dans son dos. L'inconnu devait avoir une bonne circulation sanguine, parce que ses mains étaient loin d'être froides, malgré l'air frais dans lequel elles étaient restées durant sa marche nocturne. Ses yeux non plus, d'ailleurs, n'étaient pas particulièrement froid, ils véhiculaient parfaitement la chaleur qu'il tentait de communiquer à la petite asiatique qui se trouvait au bout de ses bras.

"Tout dépend de l'inconnue, si elle délaisse ses défenses, et sous-vêtements." Il l'attira à lui sans trop de tact, et se pencha vers elle, arrêtant son visage près du sien, ses lèvres touchant presque les siennes. Ce ne devait pas être la première fois qu'il effectuait un tel mouvement, sans quoi il aurait bien risqué de lui mettre un coup de tête, d'en prendre un, ou de se trouver un peu trop loin pour arriver à l'effet escompter. Non, bien au contraire, il avait agi de façon fluide, contrôlé, et sentait à présent le souffle chaud et alcoolisé de Kuniie en train de courir sur ses lèvres. Elle n'était pas loin, un soubresaut à peine et leurs bouches se joindraient, à moins qu'elle ne le repousse.

3
Petit haussement de sourcil à l'écoute de ce prénom, c'est tout de même peu commun. Bref mouvement de tête. "J'ai appris jeune, c'est pour ça." Rapide rotation du poignet, pour libérer sa main, qu'il repose, presque sagement, sur la hanche de la belle asiatique. Pourquoi aurait-il fallu qu'elle soit rendue facile par l'alcool lorsqu'il pouvait se permettre de la charmer. Ton amusé, à la question qui lui est posée : "D'autres talents, sans doute. La cuisine, le chant, et, peut-être bien, une activité dont tu es l'homophone, même si je doute que ça s'orthographie de la même manière." Il mena la jeune femme jusqu'à l'éclairage d'un lampadaire, après quelques mouvements de danse d'une grande fluidité, puis se permit de l'observer avec plus d'attention. Elle était plus petite que lui, mignonne, mais pas débauchée. Il y avait clairement une petite idée de punk derrière tout ça, cependant, elle se voulait un peu rebelle, mais aurait-elle vraiment jouer à ce jeu s'il ne lui plaisait pas ? Lysandre n'en savait rien, il ne s'encombrait pas de savoir ce que les autres voulaient, il agissait à sa manière, et voyait si ça fonctionnait. Ça n'était pas le plus grand des manipulateurs, il charmait plus qu'il ne séduisait. C'était sa personnalité qui faisait son succès, pas son talent pour se révéler sous un meilleur jour.

"Pour ma part, je m'appelle Lysandre." Il fit soudain un pas en arrière, rompant tout contact physique avec elle, resta immobile une seconde, puis se courba avec sobriété avant de chercher son regard. Il maintint la distance qu'il avait installé et usa de ses mains pour remettre en place la cravate qu'elle avait agressée un peu plus tôt. "Kuniie, as-tu, toi aussi, d'autres talents ? Ou mieux vaut-il que nous nous en tenions au chant pour ce soir ?" Ses lèvres formèrent un sourire taquin, tandis qu'il attendait sa réponse, sans se rapprocher d'elle.

4
Il fronça légèrement les sourcils. "Non, c’est de toi dont je…" Brutale traction du tissu péri-col, mutisme spontané, mouvement de côté et pas de deux. À quoi est-ce qu’elle s’attendait au juste ? Lysandre n’allait tout de même pas entamer une River Dance au milieu de la rue avec une personne face à lui ! Non, il posa une main sur sa hanche, attrapa son poignet pour qu’elle lâche sa cravate et pivota pour prendre les rênes de cet échange. Ses lèvres formèrent un nouvel "o" minuscule et se fut cette fois l’air, très connu, de la valse des fleurs qui s’en échappa en un petit sifflotement léger. L’écho revint, et il la mena doucement jusque sur la route où plus aucune voiture n’était passée depuis bien longtemps. Le quartier n’avait pas l’air plus actif que ça à cette heure… Ce qui était pour le moins surprenant, Tokyo était une ville particulièrement active.

Cette fois-ci, il la regardait dans les yeux, en souriant calmement. Il avait de toute évidence apprit à danser de la sorte, les danses de salon, même aussi simples que celles-ci, n’étaient pas à la portée de tous les hommes de son âge. Sa main, pourtant, glissa, descendant doucement, sur son postérieur, puis jusqu’à sa cuisse, avant de remonter, au-dessous de sa jupe pour gagner le rebondit d’une fesse. Il ne la pinça pas, ni ne la pressa, il se contenta de laisser la douceur de sa main reposer contre cette jolie courbe dissimulée sous son vêtement. Il se pencha légèrement en avant. "Alors, comment t’appelles-tu ?"

5
Peut-être était-ce le fait d’entendre une japonaise tenter de prononcer "hurroo" au sein d’une chanson qu’elle rendait étrangement punk ? Peut-être était-ce ces élucubrations poussées avec un accent nippon rendu fort évident par l’alcool ? Peut-être était-ce son extrémité soudaine, alliée à son manque total de sobriété – dans tous les sens du terme ? Peut-être était-ce l’une de ces choses, ou une tout autre, mais l’inconnu éclata de rire. Oh, il n’en perdit pas pour autant son port altier, ou son incommensurable talent pour avoir l’air de sortir d’un manoir anglais, non, il rit de façon ordonnée, presque mesurée. Ses yeux, pourtant, montraient bien ce qu’il cachait derrière ses manières : il était joueur, et un tantinet pervers, sans quoi il ne se serait pas attardé de la sorte sur le corps de la jeune femme plutôt que de la regarder uniquement dans les yeux.

Il s’arrêta de marcher, sans doute plus pour voir si elle en ferait autant que par réelle envie de rester là où il était. Il ne connaissait pas cet endroit après tout, et n’avait pas grand-chose à faire dans ce quartier, sinon le traverser pour aller d’un point A à un point B… Rester à savoir si elle lui donnerait l’occasion de faire un petit détour, en mettant un nouveau point sur sa route, un point aux ambitions irrévérencieuses, point en état d’ébriété, point lubrique imaginons… Oh, ça, il imaginait ! Ça se voyait à la façon qu’il avait de l’observer, comme une proie dont la chair lui faisait des promesses coûteuses en patience. Peut-être était-il sorti, lui aussi, ce soir-là ? Peut-être revenait-il, lui aussi, bredouille de sa chasse ? Peut-être était-il tombé, lui aussi, sur une personne lorsqu’il s’attendait à être seul ? Peut-être l’une de ces choses, ou une tout autre, mais il lança, d’un ton amusé sans être moqueur : "Quel talent ! Quel est le nom de l’artiste ?"

6
Le coin du chalant / Re : Un petit RP avec Reiko ? Dis, t'as pas peur toi !
« le: vendredi 05 juillet 2013, 15:06:08 »
Salut !

Lysandre serait bien volontaire pour jouer les guides de bibliothèque... Encore faut-il que mes posts te paraissent bien rédigés ! =) Qu'en dis-tu ?

7
La danse, c’est une chose, mais le champ, s’en est une autre. Imaginez-vous un peu ça, un type, costume-cravate impeccable, les mains hors des poches comme il se doit, le dos droit, la tête aussi, les yeux sur l’horizon, en train de siffler un vieux refrain irlandais – Johnny I hardly knew you – tout en déambulant dans les rues de la capitale nippone. Le tableau vous sied, il me scie aussi ! Le portrait est atypique, et l’alcool n’est pas là pour l’excuser.

Il avançait donc d’un pas enthousiaste, ce jeune homme aux vêtements coûteux, dans une petite ruelle qui le mena bientôt jusqu’au trottoir où se trouvait la belle asiatique adepte de rythmiques vestimentaires. L’endroit était assez désert pour que le sifflement ait de l’écho, aussi dût-elle l’entendre arriver de loin. Il était étonnant, à vrai dire, qu’un riverain n’ait pas déjà ouvert sa fenêtre pour hurler au scandale. Le tapage nocturne, pourtant, remarqua Lysandre, était bien moins scandaleux que la tenue de l’inconnue qui… titubait un peu plus loin. Enfin, elle titubait de façon ordonnée. Il ne remarqua point le pas de danse, mais il avait bien conscience du motif, sans en connaître la source.

Ça ne l’empêcha nullement de continuer à siffler. Son envergure étant bien plus grande que celle de la jeune femme, il ne tarda pas à arriver non loin d’elle. Il se donna tout de même le crédit de ne pas être directement derrière-elle, profitant de la relative largeur du trottoir pour ne pas jouer les stalker, et tenter de la dépasser sans risque de la toucher… Ce qui ne l’empêchait pas de regarder cet étrange déhanché avec un rien d’intérêt.

8
Les alentours de la ville / Des Ramen...
« le: jeudi 04 juillet 2013, 20:45:25 »
Il était tard, l’air était frais. C’était peu e chose, mais c’est ce qui le poussa à se ramener près de ce stand sans grande allure où l’on vendait ces nouilles japonaises dont il entendait toujours parler. Ça avait peut-être un côté exotique en occident, mais il ne fallait pas se tromper, c’était l’équivalent japonais du hamburger-frites, et ça n’avait rien de gastronomique. Mais bon, il était loin de chez lui, un brin fatigué et savait que son frigo était plus vide encore que son portemonnaie. Ce petit dîner aux Ramen était donc le moyen le plus aisé de trouver un peu de chaleur et de tordre le cou à la faim qui le harcelait depuis peu. Ha, il était bien misérable en cette fin de journée, mais ça n’était pourtant pas son habitude.

En témoignaient son costume trois pièces de prix, ses chaussures sobres mais impeccables, son teint frais et son œil vif. Il ne manquait pas d’argent, et n’avait pas l’habitude d’être dans une telle situation. Il ne se laissait pas abattre d’ailleurs, il préférait voir la chose comme une prise de contact éphémère avec la réalité. Ça lui tirait presque un sourire de se retrouver dans un lieu aussi banal et inintéressant. Près du stand, il planta ses baguettes dans le contenu de la boîte en carton et commença à manger. Il avait acquis un brin d’expertise dans le maniement de ces ustensiles depuis son arrivée, et s’en tirer assez bien à présent pour ne pas avoir l’air du touriste primaire dont les locaux n’avaient cure. À vrai dire, on voyait même à la façon dont il avait de se tenir, le dos droit, sans s’appuyer sur un quelconque support, qu’il abritait encore assez d’énergie pour répondre à l’étiquette qu’on lui avait inculqué dès son plus jeune âge. C’était en partie pour cela qu’il avait réussi à s’intégrer assez facilement au sein de la population japonaise : il avait un tel respect pour les traditions qui lui avaient été imposées qu’il n’avait aucun mal à étendre cette bienséance pour qu’elles conviennent aux normes du pays. Son accent était loin d’être mauvais, d’ailleurs, mais il n’avait jamais été mauvais en langues.

Non, au final, seule sa lenteur et les cernes visibles à la lueur des néons de l’enseigne arrivaient à donner une idée de sa fatigue. Il en avait assez, il voulait se reposer, tranquillement. Oui, il mangerait son quota de pâtes, puis il irait dormir. Déjà, il se promettait de faire les courses, le lendemain, afin de cuisiner par lui-même un repas digne de ce nom. Il retirerait aussi de l’argent, ce qu’il aurait dû faire en début de semaine… S’il n’avait oublié son portefeuille chez une conquête. C’était d’ailleurs la raison du périple qui l’avait épuisé ce jour-là.

9
Le coin du chalant / Pornotopia (juste pour faire vulgaire)
« le: jeudi 04 juillet 2013, 19:59:05 »
Bonjour gente dame, gente damoiselle peut-être.

Je suis à la recherche de sujets Hentai. Ceux-ci se limitent, pour le moment, aux personnages humains, féminins. Lysandre aime dominé. (Possibilité de triolisme si proposition acceptable.)

Quelques trames, pour la forme :

1. Rencontre lors d'une soirée de ce qui prétend être la haute société, un désaccord entre Lysandre et son interlocutrice se résout sur l'oreiller.

2. Une rencontre inattendu avec un ancien amour estival mène deux jeunes gens à s'ébattre à l'arrière d'un train.

3. Deux amateurs de littérature érotique se découvrent par hasard dans un salon et décident de mettre à l'épreuve leurs connaissances du genre.

4. Lysandre tombe sur une jeune femme innocente et tente de la débarrasser de cette vilaine qualité.

5... Des idées ?

10
Prélude / Re : Lysandresque [Validora !]
« le: jeudi 04 juillet 2013, 19:23:50 »
Merci beaucoup, Enora !

11
Prélude / Re : Lysandresque
« le: mercredi 03 juillet 2013, 21:15:14 »
Nous verrons, Adelyn, nous verrons en effet.

Merci beaucoup Prisma ! =)

12
Prélude / Re : Lysandresque
« le: mercredi 03 juillet 2013, 20:12:39 »
Merci, gente Funkette !

13
Prélude / Re : Lysandresque
« le: mercredi 03 juillet 2013, 15:29:16 »
Et je vous en remercie Adelyn, j'espère bien avoir la chance de jouer avec vous, non mais !

En plus, moi, les femmes qui jurent à la paysanne, ça me fait quelque chose. *wink, wink*

14
Prélude / Re : Lysandresque
« le: mercredi 03 juillet 2013, 15:10:11 »
Héhé, ce n'était pas un projet, juste une tentative d'humour (mes Dieux, que je suis mauvais dans cette discipline) en rapport avec un autre nouveau personnage.

Mais merci quand même, je suppose, pour l'offre... Je crois...

Et surtout, merci pour l'accueil !

15
Prélude / Re : Lysandresque
« le: mercredi 03 juillet 2013, 15:03:33 »
Merci pour l'accueil, même si je me dis qu'il lui aurait mieux valu une greffe mammaire à cet avatar pour avoir du succès, héhé !

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