Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Molly P.

Pages: [1]
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Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: mercredi 01 mai 2013, 11:50:10 »

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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Petit con. (Gabriel)
« le: dimanche 07 avril 2013, 15:39:46 »



Dieu merci, les flics ne se firent pas désirer. Ils arrivèrent même plutôt rapidement. Molly n'eut même pas le temps de finir sa cigarette. L'adolescent s'agita, quand les agents de l'ordre - sur qui elle s'énervait assez fréquemment lors de free-party - entrèrent dans la pièce. C'était fini pour lui. Oh, bien sûr, elle aurait pu faire preuve de compassion, comprendre. Après tout, elle aussi se démontait joyeusement la gueule, parfois. Mais non. Pas envie. Ce môme, elle ne savait pas le blairer. Elle lui adressa un au-revoir moqueur de la main, tapant de l'index sur sa clope pour dégager les cendres. A elle, on ne fit aucune remarque. Que le Japon soit une terre très à cheval sur les principes, Molly n'en avait rien à caler. Elle était anglaise, issue des squatt et des rave violentes. Alors, fumer dans un lieu non-fumeur, ça ne la faisait pas vraiment culpabiliser. Elle n'en avait même rien à foutre.

- Dis, tu ferais tourner ta clope ? J’ai pas eu le temps de finir la mienne avant de venir. Juste une ou deux lattes !

La prof' haussa un sourcil. Et lui tendit la cigarette d'une main, s'éloignant de la fenêtre. Elle comprenait le manque de nicotine, et se révélait d'ailleurs très solidaire vis-à-vis des fumeurs, mais le tutoiement restait un mystère. Aussi lui adressa t'elle un charmant :

- 'Vous', s'il vous plaît.

Le ton était relativement cinglant, mais pas blessant. Molly se tritura un moment les mains, avant de répondre à la question qu'il venait de poser.

- Nous avons trouvés trente grammes, cachés ici et là dans l'école. Soit l'équivalent de 190000¥.

Elle hocha la tête en direction de l'élève, souriante, un brin moqueuse. C'était beaucoup. A bien y réfléchir, elle aurait du taper dedans, tiens. Mais elle ne souhaitait pas plus que ça s'attirer des ennuis, aussi s'était-elle privée de ce plaisir. Dommage. Une bonne soirée s'annonçait, bientôt, dans une usine reconvertie.

Passant une main dans ses cheveux, elle s'appuya sur le bureau qui siégeait dans la pièce.

- Que risque t'il ?





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Archives / Re : (Article) Critique de Warm Bodies
« le: vendredi 29 mars 2013, 18:55:09 »
... Quoi ? Il ne la bouffe pas à la fin ?

Je déconne. ROH.

Jolie critique, en tout cas, même si je n'irais sûrement pas voir ce film. Question d'esthétique. Je verse dans le série B. Je sors de voir La fiancée de Chucky et j'ai cru avoir un orgasme. Va faire un tour sur le site SensCritique, à l'occasion ! Ça pourrait te plaire. J'y écrit des critiques depuis un moment, et c'est très enrichissant. Si écrire te tente tant, je te le conseille. Tu peux y parler cinéma, musique, littérature, jeux vidéos, bande dessinées.

J'ai lu une critique de jesaisplusqui, ici, à propos de l'expression des acteurs. Comment ça, c'est pas important ? Ah, mais si je défends bec et ongle les films de série B, c'est parce que ras-le-bol des acteurs frigides qu'on nous sert ! L'expression est importante. Le jeu d'acteur est important. Sinon, où est l'intérêt ? Le cinéma, c'est pas Plus Belle la Vie.

Et OUI, Brad Pitt est un excellent acteur. Calez-vous devant Babel ou Fight Club pour vous rafraîchir la mémoire.

4
Blabla / Re : Re : Horloge parlante
« le: vendredi 29 mars 2013, 18:31:41 »


Quelqu'un peut me dire si Spring Breakers est une merde pour prépubère kikoo ou si y a un vrai fond ? La question me turlupine.


On m'a dit que c'était dans la lignée de Bully, de Larry Clark. Un bon film, donc. Pas un Projet X : Le retour, comme je le craignais. C'est trash, m'a t'on dit aussi.



18 : 32

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 29 mars 2013, 15:50:09 »
Je vous réponds à tous dés que mon moral ira mieux. Pour l'moment, c'est pas très folichon.









15 : 51

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 23 mars 2013, 18:14:38 »
Mon tatouage me fait teeeeeeeeeeeellement mal, putain. Ouargl.

Et la dubstep à fond, miaoum.




18 : 15

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Complexe d'études secondaires et supérieures / Petit con. (Gabriel)
« le: samedi 23 mars 2013, 17:21:19 »



- Petit con.

Les mots sonnèrent comme une sentence. Sortez le couperet, Molly va trancher. Ses doigts continuèrent de pianoter la table. L'élève, face à elle, se triturait nerveusement les mains, risquant de les briser au passage. Quand elle lui avait murmuré d'aussi doux mots, il n'avait pas tiqué. D'habitude, il l'ouvrait, sa petite gueule, quand quelque chose ne lui plaisait pas. Mais là, face à elle, et face aux faits qui l'accablaient lourdement, il ne pouvait que se taire. Et elle, elle ne pouvait qu'en profiter. Un sourire narquois poussa à la commissure de ses lèvres, tandis qu'elle continuait à faire les cent pas dans la classe. Les flics allaient débarquer d'ici peu. Ce petit jeune aux cheveux blonds avait fait le con. Il cachait ses paras de MD un peu partout dans le lycée, histoire d'être à l'abri. Sauf qu'il s'était fait pincer. Et qu'on ne profite pas aussi facilement d'un lycée. On lui avait découvert un casier judiciaire pour les mêmes soucis, et patati, et patata. Bref, en parfait petit délateur, le directeur avait appelé les forces de l'ordre. Et Molly, réputée pour ne pas être une tendre, devait le surveiller jusqu'à ce que les policiers arrivent.

- Comme si je n'avais que ça à foutre.

- Madame, je ...

- Oh, ferme-la ! Ferme-la !

Il la fixait, les yeux globuleux. Ce qu'il faisait pitié.

- Faut être sacrément con pour cacher ça dans un bahut. Tu t'es mis dans la merde tout seul. Tu assumes.

Et comme elle respectait vachement la loi, elle s'alluma une cigarette dans la salle de classe, ouvrant la fenêtre au passage. Il voulut lui faire une remarque, mais elle agita son index. Qu'il ne joue pas au plus fin. Entre la trentenaire qui clope et l'adolescent qui deale, le choix serait vite fait. Molly appuya ses coudes sur le rebord de la fenêtre, se cambrant un peu au passage. Qu'il la mate, si ça l'amusait. Ce serait son dernier petit plaisir avant de se faire coffrer.



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Prélude / Re : Mrs Plague. [Valawdée !]
« le: samedi 23 mars 2013, 16:41:57 »
Merci (:

Ahah, oui, une écossaise. Clin d'oeil à ma prof' de littérature européenne que j'aime tant, malgré son côté nazi qui t'engueule quand t'as le malheur d'arriver en retard en amphi'.

<3

9
Prélude / Mrs Plague. [Valawdée !]
« le: samedi 23 mars 2013, 16:25:18 »


Nom : Plague

Prénom : Molly

Surnom(s) : Mrs. Plague pour les élèves, Molly pour ses quelques amis, "La peste" pour beaucoup de personnes.

Âge : 28 ans

Race : Humaine

Profession : Professeure de littérature

Orientation sexuelle : Tout ce qui ne la fait pas chier. Elle n'aime pas s'ennuyer. Ah ça non. Et vaut mieux pas la contrarier.




Molly, Molly ... Molly aux yeux d'encre qui étouffent, à la bouche fine qui incise, aux doigts agiles qui griffent si facilement. C'n'est pas une femme facile. On ne l'appelle pas "La peste" pour rien. Oui, parce que la traduction de plague est 'peste', certes. Mais il faut croire que ce nom de famille a eu une influence toute particulière sur elle. Depuis qu'elle est môme, elle fait partie de ceux qui ne se laissent pas faire. Renvoyée de cinq écoles maternelle pour avoir fait manger du sable à une de ses camarades, entre autres. Collée sans cesse au collège. Respectée au lycée. Elle n'est pas une petite pétasse au torse bombé qui ramène sa poire sans raison. Et puis, elle n'avait pas, à l'époque, sa petite bande qui la suit où qu'elle aille, la couvrant de caresses et de compliments. Non, Molly n'était pas de ce genre là. Loin de là. Très loin de là. Et ne croyez pas qu'elle fait partie de ces femmes qui se donnent une allure de femme forte pour cacher une fragilité secrète. Ah non. La fragilité, elle la laisse aux autres. Molly, c'est la violence, la rage, la colère. Elle n'a certes pas pour habitude de claquer ses élèves contre des murs, non, non. Sa violence, elle sait la canaliser, mais se mettre en travers de son chemin, c'est récolter une tempête et cinquante cyclones. A la voir comme ça, elle ne semble pas aussi explosive : elle donne ses cours la journée, et va bouquiner dans un café le soir, enchaînant les cigarettes et savourant son whisky. Posey dans le cafey. Mais, mes petits coeurs, si vous osez venir la taquiner alors qu'elle n'est pas d'humeur, vous y perdrez bien plus que vos cojones. Elle a le sang chaud, le regard bouillonnant, les mots qui brûlent. Une nuance, cependant : non pas qu'elle soit vieille, mais les bastons, c'était bon pendant son adolescence. Maintenant qu'elle est adulte, notre Molly joue tout en subtilité. Et j'crois même que c'est pire. Elle ne vous lancera pas de verres au visage, chose qu'elle faisait fréquemment étant jeune. Non, non, non. Elle a vite compris qu'il y a bien pire à faire. Finalement, elle est assez partagée entre Mrs Plague, professeure intransigeante, et Molly, presque trentenaire au sang bouillonnant. Enjoy.



S'il fallait parler de son corps, y'aurait quand même pas mal à dire. Molly a eu du bol : ses incartades de jeunesse ne lui ont laissés aucune séquelle, sinon quelques cicatrices ici et là. Au fur et à mesure du temps, elle a réussie à gagner un corps digne de ce nom. Belle poitrine, longues jambes, fessier ferme, doigts agiles ... L'embarras du choix. La violence conserve bien. Pour maintenir ce corps en état, elle fait volontiers du sport. Course à pied, stand de tir, natation ... Tout est bon pour elle. Plaire n'est pas sa priorité. Mais être capable de répliquer, ça, elle veille à l'être, d'autant plus qu'elle fréquente les squatt' de Seikusu, en bordure de la ville, quand les sons deviennent bons. Là, par contre, elle devient intenable. Mais vous verrez, si vous la croisez, et on en reparlera. Quand elle donne cours, Mrs Plague envoie du lourd : gants de cuir, long manteau, chemise blanche, cravate propre, bottes en cuir, pantalon noir. Rien ne déborde. Molly s'habille toujours très classe face à ses élève, mais se laisse aller une fois chez elle, ou en concert. Nobody's at home ? Goodbye pants. Elle est une des profs les plus intransigeantes et détestées de tout le lycée. Pourquoi ? Parce que ses élèves prennent cher. Quand ceux qui ne la connaissent pas la croisent, ils se retournent, la sifflant parfois, certes. Mais, croyez-moi, ceux qui l'ont en professeure font nettement moins les malins. Elle possède une sorte de beauté froide et implacable, le genre qui fait peur. Le ton de sa voix est tranchant, ses yeux sont piquants, sa poigne est d'acier et son mental en béton armé. Beaucoup pensent qu'elle a fait l'école militaire. Non, elle a appris grâce à papa, maman, et ses quelques amis squatteurs. Et c'est nettement suffisant. Sinon, la voir sourire est un miracle, surtout pour ses élèves. Je vous le dis, elle ne fait pas dans le social. Elle est prof' un peu par dépit, et pour les vacances que ça entraîne, histoire qu'elle puisse sortir quand bon lui semble. Hm hm, elle reste une sale gosse. Et ça se voit sur ses traits. Tout dans son attitude indique qu'elle ne se laisse pas faire, qu'elle est indomptable et qu'elle tire les rênes. Sachez qu'elle n'est pas spontanément vulgaire, étant assez attachée à la beauté de la langue pour la gâcher. Mais elle n'hésitera pas à vous cracher des insultes au visage en cas de remous.



Molly est née en Europe. En Ecosse, pour être plus précise. Une jolie petite famille, qui ne descendait d'aucun clan, et c'était tant mieux. Elle évita bien des soucis. Quand ses amis se bataillaient pour des histoires d'ancêtres et d'héritages, elle ne pouvait que regarder ce triste spectacle d'un oeil blasé, fumant sa clope. Oui, elle fume depuis ses 12 ans. Comprenez aussi d'où vient son goût certain pour le bon whisky. Fille de Mr et Mrs Plague, elle fit des études de littérature sur les ordres de ses parents, qui voyaient en cette matière la seule manière de sauver l'humanité. Ça, et les armes, qu'elle apprit à manier très tôt, histoire de sauver sa petite gueule de l'humanité vilaine. Merci Papa. Bonne élève, elle bossait la semaine et sortait le weekend dans quelques squatt' ici et là, à Londres principalement, pour se manger en plein dans la gueule des sons d'une violence extrême. Elle qui était déjà assez vivace de nature fut confortée dans son caractère. Dés qu'une baston débutait, soyez sûrs qu'elle était dedans, manches relevées, regard haineux, décochant des coups virulents, là où ça fait très mal, elle vous montrera à l'occasion. Une insulte, et vous étiez sûr de vous faire décalquer la face. Molly sut se faire respecter très rapidement. Solitaire, elle fréquentait surtout des gens plus vieux qu'elle, qui voyaient en elle un petit monstre amusant et impulsif. Ce n'est qu'au lycée qu'elle apprit à canaliser cette violence hurlante, en l'assourdissant quelque peu. Un professeur remarque lui apprit comment se calmer, comment se taire pour mieux hurler. Elle prit note de tous ses conseils, et ne se fit plus renvoyer d'aucun établissement scolaire, elle qui les collectionnait. La jeune fille accéda à l'université rapidement. Elle devint une assez jolie femme, dont les formes étaient spotted de nombreuses fois. Molly s'en branlait complètement. Les gens ne l'intéressaient pas plus que ça. Ils n'avaient aucune saveur, à ses yeux. Elle ne noyait pas son manque de vie sociale dans l'alcool, non, mais se complaisait à ne pas se faire emmerder. Ses quelques amis étaient les personnalités les plus étranges de l'université, comme le gobeur aux yeux vides, la petite métisse qui crachait des insultes à tout va, ou la blondinette qui était tombée enceinte six fois en un an, enchaînant les avortements et les coups d'un soir. Ce qui l'intéressait, c'était les personnalités, finalement. Rien d'autre. La masse informe de gens qui se ressemblent, les petits cons qui essayaient de jouer à qui à la plus grosse et de la serrer à l'arrière d'une bagnole, jamais.  Elle frappait.

Molly décrocha ses diplômes sans soucis, bien décidée à se casser. The United Kingdom, c'était gentil deux secondes. Elle enseigna un an là-bas, et eut beaucoup de problèmes avec les parents d’élèves. Une de ses amies, une japonaise aux moeurs sexuelles assez étranges, lui proposa de la suivre, à Seikusu. Molly avait été une des meilleures de sa promo, et son amie pouvait lui avoir un poste de professeure de littérature là-bas. Notre peste la suivit, et mit un an à apprendre la langue et à se faire quelques contacts sur le terrain. Elle suivit quelques cours de relaxation, en vain, cette violence clignotante demeurant en elle sans jamais s'éteindre. C'est cette année qu'elle commence à enseigner au Japon, sous le nom de Mrs Plague, en souvenir de ses racines. Vous allez aimer la littérature. Vous n'avez pas le choix.

Assez expérimentée. Molly a eu des aventures, étant jeune. Elle ne dit pas non au plaisir, mais castre ceux qui oublient le sien pour que penser qu'à leur propre trip.

Doublette. Non sans déconner quelle surprise ohlala.


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