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« le: samedi 08 décembre 2012, 13:49:55 »
Connaissez vous very bad trip? Non...C'est bien bizarre. C'est l'histoire d'une bande de copain qui après une fête monumentale se réveille je ne sais où avec un immense trou de mémoire. L'opus numéro 3 n'étant jamais sorti je pense que j'aurais été parfaite pour jouer la fille de la bande. Un affreux mal de crane, une chambre sans dessus dessous je me réveillai en pensant à ce bon vieux film qui m'avait fait tant rire. J'étais allongée sur le sol, de la chantilly plein sur les épaules habillée d'une petite nuisette noire mon premier réflexe fut de prier dieu pour que j'ai encore sur moi ma petite culotte et dieu merci elle était là et elle était bien sec. Je me levai baillant comme jamais je n'avais baillé, je contemplais le désastre. La chambre n'en était plus une, c'était devenu un vrai bordel et le pire était que je ne pouvais normalement pas me payer ce genre d'endroit mon compte devait surement être a sec à l'heure qu'il était et il le sera encore plus une fois que les propriétaires auront vu le carnage.
Je ne suis pas trop le genre de fille à me casser la tête ce qui est fait est fait, je me dirigeai donc vers la douche pour retirer cette odeur de nourriture et de condiment que je portais sur moi. Propre comme un sous neuf et habillée je me décidai donc enfin d'aller voir où j'étais en espérant ne pas m'être trop éloigner de Seikasu, quoi que plus j'étais loin moins j'avais de risque d'avoir fait un truc de préjudiciable à mon métier et à ma vie monotone et sans souci à laquelle je tenais tant. Je descendis au hall d’hôtel, il était somptueux. Assez beau pour loger les plus grands de ce monde et moi: la petite infirmière de lycée qui n'a dans ce compte que dix mois de salaire avait put se payer une chambre dans un hôtel pareil:j'ai dut contracter un prêt pendant mon délire pensais je.
Pardon Mademoiselle mais puis je savoir où nous sommes?
Vous êtes à l’hôtel Costa à Okinawa pourquoi?
Non non ... Rien merci mademoiselle.
Okinawa... C’était affreusement loin d'où j'habitais, j'avais surement pris l'avion pour venir jusque là et cette idée m'effrayait. J'ai toujours eu peur de l'avion et de tout ce qui volait, un traumatisme subvenu avec ma perte de mémoire le médecin m'ayant informé que j'avais fait une grande chute d'au moins deux étages. Je devais donc retourner chez moi par bateau, ou en me droguant et en prenant à nouveau l'avion mais pour à ce moment je n'avais pas d'autre idée que d'aller visiter ce bel endroit à l'allure paradisiaque.
De toute les situations bizarres dont lesquels je m'étais mise celle ci était ma préférée. L'endroit était juste somptueux, je n'avais encore jamais vu des ruelles et des panoramas aussi beaux. Je me pavanais en respirant l'aire frais légèrement salé, je m’arrêtai à un distributeur de billet où je fus agréablement surprise j'avais encore assez d'argent pour faire un peu de shopping. J'allai acheté un maillot gardant le reste pour un peu plus tard et me dirigeant vers la plage.Habillée de mon bikini je m'allongeai sur le sable chaud, portant mes lunettes de soleil et écouteur dans les oreilles je faisais ma feignasse et bronzais bien calmement. Bien entendu les petits garnements vinrent quelques fois me déranger envoyant sans le faire exprès du sable dans mon haut un peu trop serré ou dans une partie un peu plus dérangeante mais cette journée était agréable. Et puis finalement je commençai à m'ennuyait, le coté des jeun's était beaucoup plus mouvementé mais était ce bien cela que je voulais, pour me remettre les idées aux claires je décidai d'aller faire trempette.
En me dirigeant vers la mer je remarquai une petite blonde tout ce qu'il y a de plus mimi, un corps fin des cheveux d'or et une bouille qui aurait fait craquer n'importe quel monstre. J'aurais tant aimé l'aborder mais j'étais bien trop timide pour cela et puis elle devait être très jeune. Rougissante je plongeai la tête la première dans l'eau allons faire quelques brasses sans me retourner.L'eau était bonne, en faite tout était parfait sur cet île un petit déménagement vers ici ne me ferait pas de mal. Soudain un bruit de panique me fit tourner la tête vers le bord, une masse de gens s'était rassemblée autour d'un gros chauve very very laid.. Une victime de l'insolation peut être avec une masse pondéral comme celle qu'il avait il devait suffoquer à un temps pareille.
Je me mis à nager vers la foule et en m'approchant je remarquai la petite blonde craquante allongée sur le sable. Ce serait donc elle la victime de malaise ... Je sortis de l'eau rapidement remettant mes cheveux en arrière pour ne pas être gênée. Je bravi la petite foule qui était autour elle répétant par ci par là que j'étais infirmière et que je saurais quoi faire quand j'arrivai devant le gros moustachu.
Mademoiselle vous zetes infirmieeere? Je saiis pas ce qu'elle a ... Elle dit qu'elle a mal au peton ...
Euuh d'accord monsieur vous pouvez *je le poussais quelques peu de coté avec ma main* AHh beurrkk mais vous suez ... AHHHH nan mais c'est pas possible je suis enduis de votre sueur ...
J'étais mais ... Dégoûtée, pensant un moment à me couper la main. Le chauve s'en alla la tête basse ce qui me fit un peu de peine mais c’était vraiment ignoble que de le toucher. Je souris à la blonde me penchant un peu vers son pied, je l'attrapai délicatement y remarquant finalement l'écharde. Je me redressai en souriant la fixant du regard:
Ne t’inquiète pas c'est juste une écharde ... Rien de bien grave. *Je me tournai vers un jeune père de famille* Vous pourriez m'aider et la soulever juste la bas j'ai un peu d'alcool sur moi et en cas où je pourrais lui faire un bandage..
Aussitôt dit aussitôt fait, le jeune homme la souleva en souriant à sa femme qui le fusilla du regard ce qui me fit bien sourire. Nous fîmes quatre mètres ensemble avant qu'il ne la dépose sur ma serviette. Je sortis la bouteille d'alcool chirurgical de mon sac et je déposai les deux genoux au sol me mettant à quatre pattes pour pouvoir mieux entrevoir l'écharde.
Ça va un peu piqué ma belle ...
En une fraction de seconde je retirais le petit bout y appliquant directement l'alcool je lui jetai par la suite un nouveau regard en rigolant:
Ca te fait toujours mal? Ou était ce juste ta peur de l'eau qui te bloquait?