Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lynn Minmey

Pages: [1] 2 3 ... 44
1
Prélude / Re : Kendra Parks, Femme de tous les temps
« le: mercredi 25 septembre 2013, 05:28:28 »
Bienvenue à toi; voici une jolie fiche, malgré une histoire troublante.

Comme la malédiction de tes désirs serait une bénédiction pour mes plaisirs, nous pourrions les partager.

2
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 21 septembre 2013, 21:23:57 »
21h24 : je choisirais la 1 sans la moindre hésitation.

3
« Waouh ! », c’est le seul mot que je suis capable de prononcer en ouvrant la porte. J’allais plutôt envoyer une phrase sèche et expéditive à quelque fan boutonneux venu me dire qu’il allait perdre son pucelage en me faisant monter au septième ciel. Mais là, une visiteuse élégante, dans une robe dorée digne d’un grand couturier français. Comme si l’une des notables de la ville venait rendre visite à une artiste, à moins que ce ne soit une productrice intéressée à me prendre sous contrat.

J’allais lui dire que c’est trop tard, quand un « (…) je suis l’une de vos plus grandes fans (…) » me ramène à une basse réalité matérielle, presque décevante, si ce n’est le cadeau qu’elle tient en main. Hum, elle est même adorable cette Mélinda ; elle a l’air toute timide, malgré sa classe. Hum, je ne suis pas sure qu’elle le soit tout le temps, et, quitte à être là, je suis tout à fait en droit de demander à l’une de mes fans de me faire un massage décontractant au sortir de scène. Au moins, ça lui fera un souvenir.

« Merci, c’est gentil, ce DVD ; j’aime les cadeaux, je les garde tous, tu sais. »
Inutile de lui dire que les CD et autres DVD pourris de minettes qui essaient de me copier avec une voix de casserole et un look de pute, ou de gringalets qui croient que de les voir caresser leur instrument en vidéo me donnera envie d’une partie de jambes en l’air avec eux, ça finit directement à la poubelle.

Mais bon, elle est toute timide, et si je veux lui demander de me masser pour me détendre, autant faire un effort.
« Allez, parce que c’est toi, je vais le mettre de suite. Viens, entre et ferme la porte. Tiens, assieds-toi sur ce canapé. »
Et hop, le DVD dans le lecteur, le son assez fort pour bien ridiculiser les voix de crécelles et autres gargouillis de Mélinda et ses copines. Ca commence fort, avec un titre débile, « La vie secrète d’une artiste ». Si c’est elle qui se croit artiste…

Un mec ? Il fait quoi, là ? Je le connais… Je ne sais plus où… C’est quoi ce truc ?
Je regarde Mélinda, un peu surprise : « J’espère qu’il ne va pas rester sur la vidéo, celui-là ».
Elle ne me répond pas, sans doute parce que ça doit ménager un effet de surprise que l’arrivée de ses copines, je suppose. Vraiment ringard comme mise en scène, comme clip aussi !

Mais je commence à blêmir, quand je vois le mec se déshabiller jusqu’à être nu, mais vraiment nu ; ce n’est pas un sexe qu’il a, c’est un truc insensé, un braquemart démesuré.
J’en ai déjà vu un comme ça, et, vu le peu d’expériences que j’ai vécues…
Il se déplace, il entre dans une pièce éclairée de spots, tenant la grosse tige en mains. On dirait vraiment un porno de mauvais goût, et pas un clip de pucelles. A quoi joue-t-elle ?
Je regarde Mélinda, mais je ne parviens pas à saisir la signification de son sourire ni de son regard.

Le DVD continue, et une voix venue de nulle part lance : « Vas-y, elle est chaude, commence par lui ramoner la chatte ! ».
Cette voix, je la connais, c’est celle de ce gros porc de Tengiko Mei Linaïsu. Le nom a jailli dans ma tête, au moment même où la caméra fixe mes propres fesses pilonnées par l’autre complice. J’éteins aussitôt le lecteur, je connais la suite, mais là n’est pas le problème.

Je me retourne vers Mélinda, les poings serrés :
« Où as-tu eu ça ? Tu as intérêt à me le dire, et vite ! Parce que, ton cadeau, je vais te le faire ravaler et tes jolies dents avec ! »
Zut, le vigile, il ne faut pas qu’il entende. Je rabaisse aussitôt la voix, pointant cette traîtresse du doigt :
« D’où tiens-tu ces horreurs ? De toutes façons, ce n’est qu’un montage foireux  fait par ce gros porc de Tengiko… »

Trop tard ! Je l’ai dit. Elle va savoir que je le connais, il faut vite faire diversion :
« Et cette robe, c’est quoi cette histoire de robe ? Tu sais ce que tu peux en faire de ta robe ? Tu vas vite me donner toutes les copies de ce DVD que tes copines ont aussi. Et tu as intérêt à disparaître aussitôt après. J’espère que c’est très clair ! »
Et moi, j’ai intérêt à vite savoir comment les saletés de ce pourri de Tengiko Mei Linaïsu sont arrivées là, et qui d’autre en a une copie. Passe encore que ma carrière d’actrice X soit en lancement, mais cette vidéo n’a rien du X raffiné, plutôt du porno de seconde zone.

4
La scène, la scène, la scène ! Je me dois à mes fans, et je l'ai compris dès la première minute. Je suis jeune, j'ai la pêche, j'ai des admiratrices jalouses et des admirateurs excités. Mais peu importe si elles rêvent de ma beauté ou si ils rêvent de me sauter, toutes et tous sont là, que ce soit à une vente de CD, que ce soit lorsque je sors en ville après en avoir informé les media, que ce soit lors de mes concerts. Ces moments-là, quand je suis sur scène et qu'ils m'adulent tous, ce sont de vrais moments d'extase. Je ne sais si ça s'appelle aussi la jouissance ; celle que je connais sur le plan sexuel est du genre limitée, vue mon inexpérience et, de ce fait, l'absence de diversité pour en juger. Mais, quand je sens mon corps vibrer sous les projecteurs, ça me procure un plaisir dont je ne saurais me passer.

Cette fois, pourtant, c'est le dernier concert de la tournée. Mon manager a choisi Seikusu, et carrément une scène aménagée dans la salle polyvalente du lycée, soi-disant parce que c'est une ville où les jeunes ont même créé une page sur moi dans les réseaux sociaux. Je pense plutôt que c'est là où vit son ex, et surtout là où habitent sa fille qui voudrait me ressembler et son fils qui voudrait m'épouser, du moins selon ses dire. Me marier, moi ? A mon âge ? C'est une blague ! Avec toute cette salle qui rêve de moi... Oh non, ça ferait trop de déçus parmi les non-élus, voire les non-élues. Oui, après tout, peut-être que ce sera une femme qui...

Mais pas le temps d'y penser pour le moment. Le retour oreillette m'indique que se lance l'intro de ma chanson fétiche, paraît-il inspirée d'une chanson d'amour française. La salle tape ds pieds, les bras sont tendus vers moi, des smartphones crépitent. Bon sang, sécurité de pacotille, j'avais dit que je ne voulais pas de photos réalisées à la sauvette pour traîner sur quelque réseau social ou autre blog ! S'ils ont fouillé les spectatrices, ça devait être pour les tripoter plus qu'autre chose. Quant aux mecs, je suis sure qu'ils n'ont pas osé les approcher.

Et ça continue... Alors que la salle scande le refrain, une espèce de tarée, que je n'ai même pas vue venir, se jette sur moi. Bras sur l'épaule, sa tête contre la mienne, le smartphone en face, et le flash en pleine tête, pour dire aux copines « t'as vu, j'étais près d'elle ». Pas assez rapide, je l'écarte enfin d'un sec mais discret coup de coude, reprenant juste au début du deuxième couplet, entendant dans l'oreillette un « Kiro s'en charge » même pas rassurant.

Pourtant, tournant la tête juste un peu, j'aperçois ce colosse qui a empoigné la demoiselle par les cheveux, l'entraînant hors de la scène avec un total et justifié manque de douceur. Je la devine descendre l'escalier, tirée sans ménagement, avec les jambes qui doivent claquer sur le bois, et je la vois distinctement faire un vol plané qui lui passera, je l'espère, l'envie de recommencer.

Mais Kiro ne semble pas en avoir fini, car je le vois remonter à sa place sur scène, exhiber un smartphone qui doit être celui de la demoiselle, et le piétiner à coups de rangers. Bien fait ! En voilà une à qui ses élucubrations auront coûté cher, et qui ne recommencera pas de sitôt...

5
Prélude / Re : Une jeune femme pleine de passions ! (Valiprimée !)
« le: lundi 16 septembre 2013, 21:08:24 »
Une salle sans public? Quel drôle de concept! Mais je suis prête à essayer...

6
Prélude / Re : Une jeune femme pleine de passions ! (Valiprimée !)
« le: lundi 16 septembre 2013, 05:38:00 »
Hum, quel joli timbre de voix; peut-être pourrons-nous former un duo, un jour? Bienvenue à toi...

7
Dernier concert, ou plutôt dernier concert avec ce manager. Bon, je ne remercierai jamais assez Ryoki, qui a toujours été fidèle au poste, et m'a toujours trouvé des endroits où me produire, sans compter qu'il a toujours tout préparé, pour que je n'aie qu'à chanter, sans me soucier de la technique ou de la logistique. On en aura fait des kilomètres dans le vieux car aménagé en studio de répèt', on en aura passé des nuits à se chamailler parce qu'il trouvait que je ne montais pas assez dans les aiguës, on en aura passé des fins de concert à débriefer dans ma loge.

Mais celle-ci ne sera pas comme les autres, et Ryoki ne viendra pas. Il sait que je suis en pourparlers très avancés avec une major company, qui pourra enfin m'offrir sa logistique pour commercialiser mes titres, et surtout me produire dans des salles dignes de ce nom. Et, ce soir, pour le dernier concert avant ma véritable carrière, j'ai vraiment tout donné. Rarement j'avais regagné ma loge aussi fatiguée, comme vidée de toute mon énergie. Trois bis, avec deux chansons à chaque fois, et l'orchestre qui s'amusait à faire durer, c'en est presque trop.

Et, sitôt dans ma loge, je m'écroule sur le canapé. Un canapé blanc, mon caprice de star en devenir, où, d'un seul coup, tous mes sens se relâchent enfin. L'adrénaline est tombée d'un coup sec, je peux commencer à me détendre. Pas de danger d'être surprise par un fan égaré, j'ai exigé la présence d'un vigile à l'entrée. Il me faut au moins ça pour me protéger des ados boutonneuses qui seraient prêtes à me voler mes habits pour prétendre me ressembler, ou des ados graveleux qui me coucheraient dans leur lit sous prétexte que circulent des rumeurs quant à ma participation à des films X.

Je ne dirai pas que les rumeurs sont infondées, mais ce n'est pas ça qui donne à chacun le droit de me sauter ! J'ai juste tourné quelques scènes, en vue d'un film c'est vrai ; j'avoue même que ce fut très agréable, une fois l'appréhension levée, et que j'en ai oublié les caméras. Pas comme ces castings que j'avais fait auparavant, avec ce gros porc de Tengiko Mei Linaïsu, qui m'avait obligée à faire l'amour devant la caméra, avec lui et deux acteurs, soi-disant pour voir si j'étais open pour toutes les scènes. Ce pervers s'était engagé à détruire les vidéos, une fois sa prétendue analyse cinématographique faite. Toujours est-il qu'il ne m'a jamais rappelée, et j'espère qu'il n'a pas revendu ces vidéos à quelque journaliste véreux en mal de sensationnel.

Je me demande ce qu'il aurait pensé de mon costume de scène de ce soir, toute en blanc avec ma petite chemise, ma jupe disons très courte, et mes grandes chaussettes. Comme une écolière, mais en plus sexy! Seules mes ballerines étaient noires, mais l'uniformité blanche à permis à la suiveuse de caler sa colorimétrie et d'offrir toujours un éclairage tip-top. Encore une belle idée de Rioky ! Mais c'est du passé, la page se tourne ; je vais désormais jouer dans la cour des grands, et affronter des requins qui se soucieront plus de leurs bénéfices que de ma santé. Si je veux conquérir l'archipel avant de conquérir la planète, je n'ai pas le choix.

Il me reste à pouvoir mener mes deux carrières de front, le chant car c'est ce qui m'a toujours motivée, et le cinéma car j'ai pris goût à ces scènes torrides qui en feront fantasmer plus d'un. Silence et bouche cousue sur ce projet-là, mais, plus j'y pense, et plus me reviennent de délicieux souvenirs. Comme cette scène dans les bois, l'une des rares en extérieur finalement, où mon partenaire devait me trousser avant de me prendre couchée sur le capot de la voiture. Quel plaisir, surtout qu'il a fallu recommencer la scène plusieurs fois, et même avec sa doublure. J'en a l'entrejambe qui s'échauffe. Mais, bon, ce n'est pas je sujet du moment, Lynn ; essaie plutôt de débriefer ta prestation de ce soir, au lieu de fantasmer.

Raté ! A peine l'idée m'effleure-t-elle qu'on toque à ma porte. J'avais pourtant dit au vigile de bloquer le chemin à tout le monde, surtout en sachant que Ryoki ne voulait pas venir pour éviter les larmes. Nouveaux coups portés à la porte, l'importun s'énerve. Si c'est une groupie ou un afficionado, peu importe ; ils vont se faire expédier ! Maugréant, je me lève, tandis qu'une troisième volée de coups insiste :
« Voilà, voilà, j'arrive ! »

8
Vous nous quittez déjà ? / Re : Happy new year... or not
« le: mercredi 11 septembre 2013, 06:08:40 »
Oh, j'en suis triste... A peine ai-je peut-être rencontré ma future mécène que...  :'(

9
Le parc et son sous-bois / Re : Un contrat exclusif (Yukio Onoki)
« le: samedi 07 septembre 2013, 11:00:49 »
La classe ! C'est le premier mot qui me vient à l'esprit, quand Yukio Onoki entre dans le petit salon. Sa mise est impeccable, sa tenue est raffinée, son élégance est unique. La classe, voilà ce que je n'ai pas encore, alors que nos âges doivent être proches. Il se dégage d'elle une telle aura ; moi qui, parfois lasse de ces fans masculins qui croient qu'une idole n'est à eux pas que sur scène mais aussi dans leur lit, rêve de rentrer d'un concert pour me plonger dans les tendres bras de celle qui saura m'aimer et me réconforter, je songe qu'une telle jeune femme serait peut-être idéale.
« Je suis enchantée de vous rencontrer ; ne parlons plus de cette prise de contact, l'essentiel est que nous soyons ici toutes deux, et que nous puissions discuter. Au moins serons-nous au calme, loin des regards et des oreilles indiscrets. »
Ma vie d'affaires comme ma vie de cœur doivent demeurer privées, même si certains imaginent qu'une naissante actrice de films X devient de ce fait une femme facile qu'on peut photographier n'importe où ; je ne suis pas de celles qui, hormis sur un tournage, se laisse filmer dans quelque ébat amoureux, vraiment amoureux et non contractuel.
« J'espère que vous aimez le thé. Madame Wo a des secrets de réalisation, des mélanges que je n'ai jamais savourés ailleurs. Quand je lui demande de m'en dire davantage, elle sourit juste, en me disant plutôt de lui dire avec qui je veux partager un thé, et dans quel état je veux mettre la personne. Je suppose que certains thés sont soporifiques et d'autres aphrodisiaques. Mais rassurez-vous, celui-ci est tout à fait classique, juste très parfumé comme j'aime. Asseyez-vous donc, je vous en prie. »
Même dans ce simple geste ordinaire, mon invitée a de la classe. Elle n'a pas que l'argent et son pouvoir, elle a d'autres atouts, et je ne dois pas croire que je vais la berner avec de vagues promesses de quelque single. D'ailleurs, si elle m'a contactée elle-même, c'est qu'elle a sûrement dû étudier ma carrière auparavant, voire que j'ai de la concurrence.

10
Le coin du chalant / Re : Don't you want somebody to love~ ?
« le: jeudi 05 septembre 2013, 16:36:22 »
Si la trame 2 en rubrique Hentaï est telle que je pense, pourquoi pas?

11
Si Alastyn est, comme il le dit, encore puceau, il a néanmoins des talents certains, et son réel pouvoir est peut-être dans ses caresses. La pointe de sa langue est absolument sublime, il sait en user et même en abuser, il a comme deviné la sensibilité de mon petit bouton. Alors que, dans les mêmes postures, les partenaires de mes films bâclaient presque l'instant, Alastyn y apporte tant de cœur et tant d'attention que je me sens fondre, que je sens mon sexe s'ouvrir en imaginant le regard de ce si désirable puceau. Sa langue sur ma sensible cerise est un vrai écho à ma langue sur la pointe de son gland, dont je recueille avec un réel et profond amour la première goutte qui perle.
« Et si on changeait un peu ? », la phrase me surprend presque, dans mon délice à savourer ce sexe dressé sous ma langue. Alastyn si timide oserait-il prendre quelque initiative ? Ce ne serait pas pour me déplaire, même si j'avoue aimer jouer ce rôle d'initiatrice qu'il m'avait attribuée, un peu à ma surprise quand même.
Et, sans même avoir le temps de lui répondre, je me retrouve, toujours avec la douceur qui est la sienne, allongée sur le dos, à la place où il état une seconde auparavant. Lui, le timide puceau, a su trouver la pose naturelle qu'ont les amants, au-dessus de moi, en appui sur ses bras. Et je sens son gland m'ouvrir, tandis que ses baisers dans mon cou me disent encore combien un acte charnel peut être beau s'il est empreint d'amour.
« Oh oui, Alastyn, comme ça, mais doucement ; vas tout doucement, une femme aime savourer. »
Oui, savourer, prendre le temps de savourer l'amour, le sentir en moi mais par amour. Je ne comprends pas comment ce sentiment que j'ignorais, avant même d'aller dans le parc tout à l'heure, a si vite pu s'emparer de moi, mais il est là, ou, du moins, il me comble. Si c'est ça l'amour, alors je comprends que ça fait oser plein de choses. Comme celle de ramener chez soi un quasi-inconnu et de s'offrir à lui presque aussitôt.
« Continue, Alastyn, oui continue, tu es très doué », peut-être une expression exagérée en songeant à mes partenaires de films qui, eux, avaient une expérience certaine, mais ne faisaient pas preuve, pour autant, de la même douceur touchante et attachante. Au fur et à mesure que je sens Alastyn prendre possession de mon sexe, je vois aussi son visage se métamorphoser. Est-il en train de découvrir le sexe, ce qui n'est peut-être pas comme ça dans le monde d'où il vient, ou alors ne sait-il pas s'il va pouvoir se retenir aussi longtemps que j'aimerais ? Mais, peu importe, être sa première est, pour moi, le plus beau des cadeaux, et, s'il ne pouvait se contenir, je saurais lui redonner vigueur pour cette nuit que je veux folle, folle comme cette soudaine envie que j'ai eue de ce tendre inconnu.

12
Le parc et son sous-bois / Un contrat exclusif (Yukio Onoki)
« le: mardi 03 septembre 2013, 14:04:57 »
Le grand jour est enfin arrivé ! Ca en paraît si irréel, j’ai du mal à y croire. L’empire Onoki lui-même serait prêt à me soutenir, un grand groupe financier puissant et respecté qui vient à l’aide d’une chanteuse tout juste reconnue et d’une actrice en devenir. Je me pince encore, tant j’ai l’impression de vivre un rêve éveillée.
Je me souviens du premier contact, un appel masqué sur mon smartphone. Dix heures du matin, un lendemain de concert, l’heure où il ne faut pas me déranger car je suis encore épuisée et pas encore réveillée. Je dépense tant d’énergie pour mes fans qu’il me faut du temps, ensuite, pour récupérer. D’ailleurs, s’il prenait à quelque fan de vouloir me faire l’amour aussitôt sortie de scène, il aurait tout autant la chance de tomber sur une artiste encore dans les transes que, la seconde d’après, sur une marionnette désarticulée vidée de toute énergie.
J’avoue que je répondis mal ; mon interlocutrice, une certaine Yukio Onoki, très courtoise au demeurant, malgré l’heure… Onoki, le nom, pas si usuel… Mes neurones, vite reconnexion… Que me veut-elle ? Comment a-t-elle eu mon numéro ?... Mon talent, son appui financier… Je dois être en plein rêve… Mes talents de chanteuse, la promotion… Hum, voilà de doux mots… Mon projet d’artiste X, ses amis producteurs… Mais comment sait-elle ça ?... Tout se bouscule dans ma tête, vite répondre… Un rendez-vous, oui bien sûr… Trop impressionnant chez elle, trop minable chez moi… Le salon de thé de Madame Wo, le Jasmin aux mille senteurs… Un endroit loin de mes fans et des paparazzi… Un petit salon discret, demain à seize heures…
Jamais je ne m’étais éveillée aussi vivement ni aussi délicieusement. J’avais passé toute la journée sur un nuage, aimable comme jamais, nullement capricieuse au point d’en étonner lors de la répétition du soir. Pas de fausse note, pas de critique des musiciens, pas de remise en cause des arrangements, j’étais rentrée heureuse, je m’étais endormie paisiblement. Mais, maintenant que midi est bien passé, il est temps de me préparer pour ce rendez-vous qui est peut-être aussi important que ma propre naissance.
Pas de friandise au petit-déjeuner, pas de boisson sucrée, juste des céréales et un jus de fruits frais, aucun droit à l'erreur ! Puis direction la salle de bains, une douche à peine tiède pour bien décontracter la peau et lui donner ce teint si naturel qu'il m'est aisé de le souligner de petites notes sans excès. Senteurs de jasmin, dans le savon comme dans les cheveux, dans l'eau de parfum aussi ; j'ai l'image d'une chanteuse jeune et fraîche, sans ces artifices dont usent les autres, que ce soit pour effacer les affres du temps ou se transformer en bimbos. Pas de ça pour moi, mes seins sont fermes et altiers, et j'aime les regarder dans le miroir, en songeant qu'ils seront l'un de mes atouts pour ma future carrière cinématographique.
Habillés d'un soutien-gorge noir qui les fait pommer un peu plus, ils seront parfaitement mis en valeur ; pas trop pour ne pas rendre jalouse celle avec laquelle j'ai rendez-vous, mais juste assez pour qu'elle devine leurs atouts. Complétés d'une petite culotte assortie, avec un amusant nœud rose sur le devant, c'est un ensemble chic, qui demeurera discret sous ma robe fétiche. Celle qui m'affine encore plus à m'en rendre plus grande qu'en vrai, celle qui dessine mes seins et mes fesses sans vulgarité mais avec ostentation, celle qui s'arrête à mi-cuisses pour suggérer sans révéler. Accompagnée de petites ballerines noires, je serai irrésistible. Mais, si cette Yukio Onoki aimait les femmes, et tombait sous mon charme ? Zut, je n'y avais pas pensé ; on verra ça le moment venu ! Quant à mes cheveux, autant les laisser virevolter, libres comme l'air, libres comme moi ; ils contribuent à mon image jeune et libre. Libre mais pas libertine, chaque chose en son temps.
Quinze heures, je n'ai pas vu le temps passer ! Juste quelques ajustements, une mèche par ci, un pli par là. Mon petit sac à mains noir avec le seul essentiel, les clés de ma petite Micra au blanc nacré et aux vitres sombres, et direction le salon de thé de Madame Wo. Maudite circulation, je ne dois pas être en retard à ce premier rendez-vous ; rendez-vous amoureux ou rendez-vous d'affaires, le stress est le même. Et ces maudits embouteillages aussi ! Je veux être en avance pour m'assurer de tout, même si je sais Madame Wo irréprochable.
Heureusement, j'arrive quelques minutes avant l'heure du rendez-vous. Toujours impeccable dans sa livrée traditionnelle comme de la plus grande époque de ce pays, Madame Wo m'attend sur le seuil. C'est insolite d'imaginer qu'elle a reçu, dans son établissement, quasiment tous les notables de Seikusu, tout comme nombre d'élus du pays. Tiens, le père de celle que je dois rencontrer se serait-il laissé aller à quelque débauche dans ces salons feutrés ? Je n'en saurai rien, car Madame Wo sait garder le secret, tout comme elle ne parlera pas à quiconque de mon rendez-vous du jour.
Elle sait mes désirs, elle m'a réservé le salon blanc. Blanc comme les murs magnifiquement laqués, et recouvert d'estampes qui n'ont rien à envier au Kama Sutra. Dans cet écrin, juste des fauteuils bas de cuir noir et une petite table de bois laqué noir dont les quatre pieds sont autant d'olisbos stylisés. Tout est parfaitement agencé, le soleil filtre au travers des rideaux diaphanes en créant une douce lumière, le thé au jasmin savamment entretenu sur un support chauffant embaume ses senteurs. Voyons, où vais-je m'asseoir ? Fauteuil ou canapé ? Je les essaie tous, éviter la lumière dans les yeux, croiser ou décroiser les jambes, être sobrement assise ou négligemment étendue, je n'arrive pas à trouver la pose.
Et trop tard pour me décider. Un discret toc à la double porte, Madame Wo a de l'éducation, Yukio Onoki a de la ponctualité.

13
Vous nous quittez déjà ? / Re : Il n'est de bonne compagnie qui ne se quitte
« le: lundi 02 septembre 2013, 21:24:22 »
Reviens-nous vite...  ;)

14
Le coin du chalant / RP et trames
« le: samedi 31 août 2013, 23:12:35 »
Voici mes RP en cours :

Une rencontre romantique au clair de lune (Alastyn)
http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=10030.0

Un contrat exclusif (Yukio Onoki)
http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=12115.0


La jeune et jolie chanteuse va poursuivre sa carrière de chanteuse, et, en parallèle, elle va se lancer dans une carrière d'actrice X.
Ce qui ne l'empêche pas de continuer à chercher l'amour de sa vie, homme ou femme elle ne sait pas encore.

Voici donc quelques idées...
Trame 1 : Pour se lancer, Lynn a besoin d'un producteur ou d'une productrice.
Trame 2 : Lynn sait que, pour sa carrière d'actrice X, il lui faudra passer des castings.
Trame 3 : Lynn n'a pas négligé sa carrière de chanteuse, même si son image en a changé.
Trame 4 : Lynn est toujours en quête du grand amour, qu'il soit masculin ou féminin.

Mais la liste n'est pas exhaustive, et la boîte à MP est ouverte.


15
Il caressait mes seins tout en jouant avec mes tétons entre deux doigts. Mes tétons, toujours dressés sous l’excitation, devenait délicieusement douloureux sous ses doigts, pour un puceau, il s’y prenait très bien… je gémissais doucement sous ceux-ci. Puis il cessa de jouer avec mes tétons.

_ « Un peu des deux… Quand on est enfermé tout le temps, tout ce dont on rêve c’est de sortir, voir le monde, rencontrer des gens et se faire des amis. Je n’ai pas vraiment pris le temps de m’intéresser à tout ça et ne me suis donc jamais créé d’occasion. »

Il prit ma main qui était posée sur son torse entre les siennes et m’observa en me souriant tendrement avant d’approcher sa bouche de son oreille. Je continuais de lui caresser son membre viril tout en lui rendant son sourire. Enfermé ? Je comprends mieux… mais est-ce qu’il était un criminel ?

_ « Je t’ai attendue, toi qui me fait oublier le passé. Je ne regrette pas cette attente. »

Je rougis tandis qu’il relâchait ma main et qu’il se mit à caresser doucement mon corps, très lentement… il semblait apprécier chaque seconde passé avec moi, je gémissais sous ses caresses. Finalement, il m’attira contre lui et me murmura : _ « Montres-moi comme c’est bon, je suis tout à toi. »

Je lui fis un grand sourire avant de l’embrasser tendrement puis je me levais pour prendre une serviette. Je m’essuyais puis je pris une autre serviette avant de faire sortir Alastyn de la baignoire. Je me mis à l’essuyer doucement tout en en profitant pour le caresser. Une fois qu’il fut sec, je l’emmenais dans ma chambre.

Ma chambre était grande, avec un grand lit deux places. Elle possédait une armoire, deux tables de nuit. Je le fis s’allonger sur le lit et le dos. Puis je montais moi-même sur le lit de manière à me mettre au-dessus de lui et de lui présenter mon intimité rasée. Je rougissais un peu, parce que mon cœur battait très fort dans ma poitrine. C’était la première fois que cela m’arrivait. J’avais souvent été excitée, que ce soit durant mes deux films pornographiques qu’avec la plupart de mes amants et maîtresse, mais là… c’était différent. Il me plaisait beaucoup et faire l’amour avec lui, c’était tout ce que je désirais actuellement, je crois bien que j’étais en train de tomber amoureuse d’Alastyn.

_ « Voici l’intimité d’une femme… tu peux toucher et lécher… comme tu le sens… »

Je me mis à caresser son membre d’une manière sensuelle, passant ma main dessus, tandis que je me maintenais en équilibre de l’autre. Puis je pris le membre en bouche, passant ma langue sur le prépuce pour le lécher tout en continuant de le branler doucement. Son membre était dans la moyenne, mais cela ne me dérangeait pas du tout… pour moi, le principal était qu’il vienne en moi, qu’il me fasse l’amour…

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