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Prélude / Re : Winnifer Ocherbraids [Valinanisée !]
« le: jeudi 03 janvier 2013, 03:25:52 »
Owiii ! *o*
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 26 juin 2012, 23:08:08 »
Marre de cette conec' de merdeuh T-T
23:08
C'est vide, sans Law..
23:08
C'est vide, sans Law..
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Les alentours de la ville / Re : Fairytails and ponytails [PV Sentinel Prime <3]
« le: lundi 25 juin 2012, 19:23:39 »
Le type masqué, et plutôt bel homme en dépit de son loup se penche vers moi et me murmure quelques trucs à l'oreille. Je ne distingue pas chaque mot en raison du bruit, mais je saisis le principal : il faut trouver quelqu'un qui dit être mon Peter. J'imagine sans peine que c'est le faux, parce qu'il est à Londres, premièrement, et puis parce qu'ensuite il ne serait jamais habillé comme sur l'île aux enfants étant donné qu'il a renoncé à l'enfance.
Mon petit cœur manque un battement.
Bon. S'il ne s'agit que de retrouver quelqu'un... Il me fait signe de passer devant lui, sans doute pour ne pas me perdre vue, plus facile que si je passais derrière lui, surtout au vue de ma petite taille...
Je lui souris, une idée naissant dans mon esprit. Je lui fait un clin d'oeil, et réduisant ma taille et me rendant invisible, je m'élève dans les airs, survolant la foule de près.
Je cherche le chapeau vert de Peter surplombé de l'immanquable plume rouge.
Il me saute brusquement aux yeux alors qu'il traîne à sa suite une jeune fille inanimée.
Aussitôt je fais volte face et reprenant ma taille normale, quoi que restant toujours invisible, j'attrape mon inconnu par les aisselles et avec un grand « Ahan ! » je le soulève et étends mon pouvoir d'invisibilité à lui, le traînant tant bien que mal au-dessus de la vaste populace de la convention. Enfin j'aperçois l'endroit reculé où j'avais repéré le faux Peter. Je l'émasculerai bien. Avec les dents. Je lui enfoncerais une aile dans la figure. Malappris.
Je dépose délicatement mon bellâtre et nous redonne notre visibilité aux yeux d'autrui. Personne ne semble nous avoir remarqué, en même temps l'endroit est bien reculé et personne n'y fait attention, trop occupé qu'ils sont à boire ou à errer...
D'un signe de tête je lui fais comprendre de me suivre.
Nous marchons sur à peine quelques mètres avant de trouver une jeune fille inconsciente adossée à l'arrière d'un stand, jupe retroussée. Mon sang ne fait qu'un tour, je m'approche et constate qu'elle ne semble rien avoir : pas de culotte baissée ni quoi que ce soit, pas de coup. L'homme, le traître a dû fuir...
Je me tourne vers l'homme masqué et lui fait signe de tête une nouvelle fois, cette fois pour qu'il s'engage dans l'étroit couloir que constituent les stands adossés les uns contre les autres, ne laissant qu'un maigre espace entre chaque paroi, espace dans lequel s'entremêlent de multiples câbles des différents stands. Un homme maigrelet peut y passer de face, mais vu la carrure de mon compagnon de fortune, il devra sans doute jouer des épaules et de souplesse pour y parvenir.
Le laissant à sa décision, je prends la jeune femme par la taille et la porte tant bien que mal jusqu'au poste de secours. Expliquant brièvement la situation, quoi que taisant d'instinct le fait que j'ai vu un homme, je leur laisse la jeune et belle inconnue. Me rendant de nouveau invisible je m'élance dans les airs et recherche l'homme en latex noir.
Je le repère bientôt, arrêté au niveau d'un carrefour dans ces étranges couloirs encombrés de câbles. Me déposant près de lui, redevenant visible et le faisant sursauter j'ouvre enfin la bouche pour la première fois, levant des yeux assombris par la colère envers ce type qui, non content de s'habiller comme Peter, tente de porter atteinte à l'intégrité physique et morale d'une jeune inconnue :
_Alors... ? Où est ce foutu pirate ?
Oui, parce que les pirates avaient manqué de faire la même chose au chef des Indiens. Heureusement nous étions arrivés à temps... N'empêche que sans l'arrivée des trois morpions qui, en plus, n'étaient pas DU TOUT orphelins... Bon je vous l'accorde peu des enfants perdus étaient de vrais orphelins mais, quand même, sans ces trois idiots jamais nous n'aurions été inquiété ou quoi que ce soit. Crochet faisait sa petite guerre à Peter qui le battait systématiquement, mais avec l'intervention de Wendy qui avait été proclamée « maman des enfants perdus », jamais Crochet, Mouche et les autres pirates ne l'auraient convoité et nous n'aurions jamais eu d'ennuis ! J'ai été enfermée dans une cage, MOI, Clochette, la seule et unique Clochette ! Une honte ! Tout ça par leur faute... Par la faute de Wendy en grande partie.
Si ça se trouve ce type déguisé en Peter ne fait que manifester sa frustration quant à la disparition de l'île aux enfants et de Peter Pan, à la disparition de millions de fées, de faunes, de multiples créatures... Vous vous rendez compte que tout ça c'est dû à une greluche à la...
Mais la réponse de l'homme en collant me coupe dans mon flot de pensées rancunières.
Peu importe. J'aurai ce type et je lui ferai tâter de la force de la vraie seule Fée Clochette !
Mon petit cœur manque un battement.
Bon. S'il ne s'agit que de retrouver quelqu'un... Il me fait signe de passer devant lui, sans doute pour ne pas me perdre vue, plus facile que si je passais derrière lui, surtout au vue de ma petite taille...
Je lui souris, une idée naissant dans mon esprit. Je lui fait un clin d'oeil, et réduisant ma taille et me rendant invisible, je m'élève dans les airs, survolant la foule de près.
Je cherche le chapeau vert de Peter surplombé de l'immanquable plume rouge.
Il me saute brusquement aux yeux alors qu'il traîne à sa suite une jeune fille inanimée.
Aussitôt je fais volte face et reprenant ma taille normale, quoi que restant toujours invisible, j'attrape mon inconnu par les aisselles et avec un grand « Ahan ! » je le soulève et étends mon pouvoir d'invisibilité à lui, le traînant tant bien que mal au-dessus de la vaste populace de la convention. Enfin j'aperçois l'endroit reculé où j'avais repéré le faux Peter. Je l'émasculerai bien. Avec les dents. Je lui enfoncerais une aile dans la figure. Malappris.
Je dépose délicatement mon bellâtre et nous redonne notre visibilité aux yeux d'autrui. Personne ne semble nous avoir remarqué, en même temps l'endroit est bien reculé et personne n'y fait attention, trop occupé qu'ils sont à boire ou à errer...
D'un signe de tête je lui fais comprendre de me suivre.
Nous marchons sur à peine quelques mètres avant de trouver une jeune fille inconsciente adossée à l'arrière d'un stand, jupe retroussée. Mon sang ne fait qu'un tour, je m'approche et constate qu'elle ne semble rien avoir : pas de culotte baissée ni quoi que ce soit, pas de coup. L'homme, le traître a dû fuir...
Je me tourne vers l'homme masqué et lui fait signe de tête une nouvelle fois, cette fois pour qu'il s'engage dans l'étroit couloir que constituent les stands adossés les uns contre les autres, ne laissant qu'un maigre espace entre chaque paroi, espace dans lequel s'entremêlent de multiples câbles des différents stands. Un homme maigrelet peut y passer de face, mais vu la carrure de mon compagnon de fortune, il devra sans doute jouer des épaules et de souplesse pour y parvenir.
Le laissant à sa décision, je prends la jeune femme par la taille et la porte tant bien que mal jusqu'au poste de secours. Expliquant brièvement la situation, quoi que taisant d'instinct le fait que j'ai vu un homme, je leur laisse la jeune et belle inconnue. Me rendant de nouveau invisible je m'élance dans les airs et recherche l'homme en latex noir.
Je le repère bientôt, arrêté au niveau d'un carrefour dans ces étranges couloirs encombrés de câbles. Me déposant près de lui, redevenant visible et le faisant sursauter j'ouvre enfin la bouche pour la première fois, levant des yeux assombris par la colère envers ce type qui, non content de s'habiller comme Peter, tente de porter atteinte à l'intégrité physique et morale d'une jeune inconnue :
_Alors... ? Où est ce foutu pirate ?
Oui, parce que les pirates avaient manqué de faire la même chose au chef des Indiens. Heureusement nous étions arrivés à temps... N'empêche que sans l'arrivée des trois morpions qui, en plus, n'étaient pas DU TOUT orphelins... Bon je vous l'accorde peu des enfants perdus étaient de vrais orphelins mais, quand même, sans ces trois idiots jamais nous n'aurions été inquiété ou quoi que ce soit. Crochet faisait sa petite guerre à Peter qui le battait systématiquement, mais avec l'intervention de Wendy qui avait été proclamée « maman des enfants perdus », jamais Crochet, Mouche et les autres pirates ne l'auraient convoité et nous n'aurions jamais eu d'ennuis ! J'ai été enfermée dans une cage, MOI, Clochette, la seule et unique Clochette ! Une honte ! Tout ça par leur faute... Par la faute de Wendy en grande partie.
Si ça se trouve ce type déguisé en Peter ne fait que manifester sa frustration quant à la disparition de l'île aux enfants et de Peter Pan, à la disparition de millions de fées, de faunes, de multiples créatures... Vous vous rendez compte que tout ça c'est dû à une greluche à la...
Mais la réponse de l'homme en collant me coupe dans mon flot de pensées rancunières.
Peu importe. J'aurai ce type et je lui ferai tâter de la force de la vraie seule Fée Clochette !
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 23 juin 2012, 20:44:53 »
Raven : Ouais ça m'est déjà grave arrivé... Beaucoup de fois T-T
Et c'est quoi ton histoire de chapeau, là ? Oo
20:44
Et c'est quoi ton histoire de chapeau, là ? Oo
20:44
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Les alentours de la ville / Fairytails and ponytails [PV Sentinel Prime <3]
« le: samedi 23 juin 2012, 16:23:45 »
Bon allez, retour sur Terre. C'est le grand saut, depuis le départ de Peter... J'ai toujours peur de le croiser, de le voir en adulte, qu'il brise ainsi la belle image que j'ai de lui. Celui qui était toujours sur les barricades, prêt à défendre tous les enfants malheureux, celui qui leur donnait tout, sans aucune autre condition qu'ils respectent son autorité... Et puis évidemment cette grognasse de Wendy... Non contente d'avoir séduit MON Peter, d'avoir tout chamboulé, de nous avoir mis dans la panade, elle a fini par corrompre son âme d'enfant et l'a tout bousillé... Elle m'a volé Peter...
Assez. Assez de ressasser tout ça, il faut avancer. L'île aux enfants a coulé, tout avec elle. Moi-même finalement, j'ai coulé aussi. Il faut renaître. Allez.
Suivre la procédure que Peter suivait pour aller sur Terre... Ca, c'est facile, mais ce qui cloche c'est que je ne sais plus du tout comment aller jusque Londres, là où on allait toujours. Et là je suis au milieu d'asiatiques. Je sais même pas où je suis... Putainféchié.
Un gros attroupement sur ma droite... Bon, ben y a qu'à suivre.
Oh. Mon. Dieu.
Des gens bizarres absolument partout. Et moi qui avait peur de faire tâche avec mes ailes... Par rapport à certaines personnes, je suis la normalité incarnée. Une nana vient me voir, s'extasie sur mon « costume » qui, selon elle « est d'enfer ! ». Mon costume... ? Je souris, masquant mon incompréhension. Bon, c'est pas grave, on continue. Sous un grand hangar s'amasse une multitude d'individus autour de différents stands. Je m'approche de l'un d'eux. Iiieuw. Un mec est en train de se faire dessiner sur la peau un dragon à l'aide d'une sorte de machine qui semble lui transpercer la chair... Ils sont fous ces humains. Et puis je remarque alors que tous les gens m'entourant ont un dessin sur le corps, au moins un. Certains en sont tellement recouverts qu'il est presque impossible de les compter !
Je tente de me frayer un chemin parmi la foule, une odeur âcre écorche mes narines... Elle n'est pas sans rappeler l'odeur du rhum que buvaient les pirates de l'île. Sans doute de l'alcool mais qui doit être moins fort que celui des pirates.
Bousculée, j'essaye de protéger mes ailes au maximum... quand brusquement, juste en face de moi je vois arriver un bel homme, tout de noir vêtu... Et surtout vêtu d'un collant moulant outrageusement son corps. Le rouge me monte aux joues, et j'essaye de m'écarter de sa voie, mais, rien à faire, la foule trop compacte, trop dense, ne me laisse d'autre choix que de me retrouver devant ses pieds.
Grand, il me dépasse non pas d'une tête mais de plusieurs. Anxieuse, je tortille ma couette autour de mon doigt et tente de m'écarter pour le laisser passer, absolument muette, comme à mon habitude.
Assez. Assez de ressasser tout ça, il faut avancer. L'île aux enfants a coulé, tout avec elle. Moi-même finalement, j'ai coulé aussi. Il faut renaître. Allez.
Suivre la procédure que Peter suivait pour aller sur Terre... Ca, c'est facile, mais ce qui cloche c'est que je ne sais plus du tout comment aller jusque Londres, là où on allait toujours. Et là je suis au milieu d'asiatiques. Je sais même pas où je suis... Putainféchié.
Un gros attroupement sur ma droite... Bon, ben y a qu'à suivre.
Oh. Mon. Dieu.
Des gens bizarres absolument partout. Et moi qui avait peur de faire tâche avec mes ailes... Par rapport à certaines personnes, je suis la normalité incarnée. Une nana vient me voir, s'extasie sur mon « costume » qui, selon elle « est d'enfer ! ». Mon costume... ? Je souris, masquant mon incompréhension. Bon, c'est pas grave, on continue. Sous un grand hangar s'amasse une multitude d'individus autour de différents stands. Je m'approche de l'un d'eux. Iiieuw. Un mec est en train de se faire dessiner sur la peau un dragon à l'aide d'une sorte de machine qui semble lui transpercer la chair... Ils sont fous ces humains. Et puis je remarque alors que tous les gens m'entourant ont un dessin sur le corps, au moins un. Certains en sont tellement recouverts qu'il est presque impossible de les compter !
Je tente de me frayer un chemin parmi la foule, une odeur âcre écorche mes narines... Elle n'est pas sans rappeler l'odeur du rhum que buvaient les pirates de l'île. Sans doute de l'alcool mais qui doit être moins fort que celui des pirates.
Bousculée, j'essaye de protéger mes ailes au maximum... quand brusquement, juste en face de moi je vois arriver un bel homme, tout de noir vêtu... Et surtout vêtu d'un collant moulant outrageusement son corps. Le rouge me monte aux joues, et j'essaye de m'écarter de sa voie, mais, rien à faire, la foule trop compacte, trop dense, ne me laisse d'autre choix que de me retrouver devant ses pieds.
Grand, il me dépasse non pas d'une tête mais de plusieurs. Anxieuse, je tortille ma couette autour de mon doigt et tente de m'écarter pour le laisser passer, absolument muette, comme à mon habitude.
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 23 juin 2012, 15:36:55 »
/!\ Annonce importante : SP risque de disparaître pendant un moment, arrêté à Dijon pour trouble à l'ordre public. /!\
15:36
L'homme en collant en prison... Ouch.
15:36
L'homme en collant en prison... Ouch.
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Prélude / Re : I do believe in fairies, I do, I do ! [Valiféérie !]
« le: samedi 23 juin 2012, 15:13:16 »
Ouais enfin, le filon a déjà été bien exploité par Irina Brook dans sa mise en scène de Songe d'une nuit d'été où elle a magnifiquement mis en scène la Fée Erie, la Fée Chier, etc.
Donc laissez tomber, vous êtes nuls à côté.
SP : You killed me. One more time.
Donc laissez tomber, vous êtes nuls à côté.
SP : You killed me. One more time.
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Prélude / Re : I do believe in fairies, I do, I do ! [Valiféérie !]
« le: samedi 23 juin 2012, 15:00:25 »
Nigel : j'monte pas sur mes grands chevaux (t'façons j'irai plus vite en volant), je me moque =p Oui, je suis très vilaine.
SP : You killed me T-T Because jerry
Oriana : Ouais, ben je postule à ce poste !
Catwoman : *o* Merci
SP : You killed me T-T Because jerry
Oriana : Ouais, ben je postule à ce poste !
Catwoman : *o* Merci
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Prélude / Re : I do believe in fairies, I do, I do ! [Valiféérie !]
« le: samedi 23 juin 2012, 14:55:07 »
Nigel : donc en fait pour toi, sous prétexte qu'elle est une fée elle ne pourrait écouter que... je sais pas moi, du Lorie et autre Justin Bieber ? Donc en fait, selon toi les choses sont nécessairement manichéennes ? Et, de fait, puisque c'est une fée, créature qui, dans l'imaginaire, est toute petite toute mignonne toute gentille, elle ne saurait être autre chose qu'une petite créature frêle et fragile, délicate et donc, étrangère au monde du métal.
La prochaine fois je me ferai un grobill insupportable, moche et tout ce que tu veux, je l'appellerais Belle, rien que pour toi.
SP : En voilà un qui a du goût <3
La prochaine fois je me ferai un grobill insupportable, moche et tout ce que tu veux, je l'appellerais Belle, rien que pour toi.
SP : En voilà un qui a du goût <3
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Prélude / Re : I do believe in fairies, I do, I do ! [Valiféérie !]
« le: samedi 23 juin 2012, 12:50:51 »
Tu aurais lu la fiche, et tu écouterais du metal, tu saurais que c'est aussi un groupe de musique et que c'est pour ça qu'elle a choisi ce nom... 
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Prélude / Re : I do believe in fairies, I do, I do ! [Valiféérie !]
« le: samedi 23 juin 2012, 12:42:20 »
Merci tout le monde =3
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Prélude / Re : I do believe in fairies, I do, I do ! [Valiféérie !]
« le: samedi 23 juin 2012, 01:32:09 »
Merci à l'équipe \o/
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Prélude / Re : I do believe in fairies, I do, I do !
« le: vendredi 22 juin 2012, 20:59:37 »
Merci^^
Lily : ouiii mais je peux prendre la taille que je veux... Enfin en théorie ^^
Lily : ouiii mais je peux prendre la taille que je veux... Enfin en théorie ^^
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Prélude / I do believe in fairies, I do, I do ! [Valiféérie !]
« le: vendredi 22 juin 2012, 20:12:52 »
Pony Behemoth
24ans si l'on puis dire
Une femme, bien entendu, Pony est une femme.
Elle est hétérosexuelle
Elle est une fée
Me décrire ? Physiquement ? Vous vous moquez de moi ? Seriez-vous aveugle par le plus formidable des hasards ?
…
Non ! Je m'y refuse je...
…
D'accord.
Bon. On dit souvent que j'ai un petit minois adorable, une petite frimousse qui rappelle Amélie Poulain ou encore une enfant toujours prête à faire des bêtises dans votre dos. Des cheveux courts, noirs, aux nombreuses mèches rebelles et surmontées par une sorte de couette qui me donne un air encore plus enfantin qui n'est pas nécessairement volontaire. Cheveux bruns, yeux noirs, rien de fou, voilà voilà...
Hein ? Mes mensurations ? MAIS CA VA PAS NON ?
…
Bon. 1M60 pour 58kg, et... euh... un 85D et un petit 38 pour les hanches... Voilà, contents ?
Puis bon sinon j'ai refusé de retirer les vêtements que j'arborais sur l'île aux enfants : une large feuille qui couvre mon corps devant et qui tient à l'arrière par un jeu de ficelles et puis de longues chaussettes rayées orange/jaune et noir qui laissent mes pieds nus... Bien sur, j'ai aussi mes ailes accrochées au dos, superbes et transparentes, ainsi qu'un ras du cou composé d'une fleur et de sa tige enroulée autour de ma gorge... Voilà voilà, je ne saurais me décrire plus précisément.
Elle n'est pas particulièrement expérimentée, a eu quelques amants, qui se comptent sur les doigts d'une seule main... Ce n'est pas pour autant qu'elle n'aime pas ça x)
De par sa condition de fée, elle possède quelques pouvoirs tels que ceux de faire voler une ou plusieurs autres personnes, elle peut se rendre invisible et changer de taille... C'est à peu près tout.
Ceci est une doublette et je n'ai toujours aucun moyen de faire connaître le fow'... Navrée... >>
Qui plus est, je tiens à souligner, comme c'est déjà précisé dans ma signature, que ce sont des dessins de Loisel que j'utilise ici, que j'adore, alors voilà, je m'excuse de ce qu'ils ne soient pas les plus beaux, mais je tenais en même temps à conserver cet aspect dessin/bd, si quelqu'un en revanche se sent de me le refaire un peu mieux (sans gommer la signature du dessinateur), je suis très ouverte à la proposition ^^
24ans si l'on puis dire
Une femme, bien entendu, Pony est une femme.
Elle est hétérosexuelle
Elle est une fée
Il était une fois, à ce que l'on dit, il y a fort longtemps, un royaume dans lequel nous avons tous un jour plongé. Celui de l'imaginaire. Et nous y retournons, nous, tous, nous nous y plongeons avec délectation, ici même, dans des forums, des livres, des films... Mais sachez que ce monde existe, oui. Il suffira d'y croire...
Dans un temps indéfini, dans un lieu magique et insituable quoi qu'étant sur Terra, qui ne saurait exister que pour nous, se trouvaient toutes sortes de créatures magiques et inventées. Dans cet univers, et en retrait de tous les autres, se trouvait une île fabuleuse, surnommée l'île aux enfants, ainsi nommée car ses habitants refusaient radicalement de grandir, et ils restaient de fait éternellement jeunes. Dans cet univers, de par l'imagination des enfants, Aphrodite s'était laissée convaincre et avait accepté de créer et mettre au monde de nouvelles créatures : faunes, sirènes, fées... Le chef de tous ces enfants s'appelait Peter, Peter Pan. Sa plus fidèle compagne était une jolie fée qui répondait au doux prénom de Clochette. Tout allait bien jusqu'à ce que, comme vous le savez tous, une fratrie de trois enfants menée par leur sœur aînée Wendy ne débarque sur l'île. Peter en tomba amoureux, Clochette était jalouse, etc. En revanche ce que l'histoire ne dit pas, c'est qu'après que Wendy soit partie, après qu'il ait rendu visite aux enfants qu'elle avait eu, elle, une fois adulte, il avait ressenti dans son âme un grand désarroi. Les enfants perdus étaient retournés chez eux, dans leur véritable foyer, trop longtemps abandonné. Lui-même se sentait désormais abandonné, même si la compagnie de la jolie fée le réconfortait parfois.
Mais un jour, Peter décida de repartir à Londres, et de devenir adulte à son tour, il accepta enfin l'inévitable. Cependant, le jour où il quitta Terra et surtout l'île aux enfants, cette dernière fut détruite, comme si toute l'innocence, tout l'imaginaire qui était lié à ce lieu avait disparu et avait entraîné la disparition du lieu magique. Contraintes et forcées, de nombreuses créatures durent fuir cette destruction, pour celles du moins qui le pouvaient... Beaucoup d'entre elles périrent ne pouvant ni fuir par la mer, ni fuir par les airs, et elles disparurent pour toujours.
Clochette, fée et de ce fait, créature volante, survécu à la catastrophe causée par la seule personne de Peter et échoua dans les terres sauvages de Terra. Terre jusqu'alors inconnue pour la jolie fée. Eperdue de frayeur face à la violence qui régnait dans ces terres, la petite fée abandonna son nom par trop connu et reconnu et choisi à la place « Pony » qu'elle accompagna d'un nom qu'elle trouva auprès d'un groupe de musique qu'une mercenaire avait écouté jusque tard dans la nuit dans une auberge : Behemoth. Clochette devint ainsi Pony Behemoth. De la même façon, elle abandonna sa taille féérique pour prendre une taille plus commode et plus passe-partout.
Après quelques semaines, puis mois, elle s'était enfin habituée aux us et coutumes de la région. Elle avait bien tenté de retrouver certaines des créatures qui avaient réussi à survivre aussi, mais jusqu'à présent cela s'était avéré sans succès aucun, mais elle ne désespérait pas, à plus forte raison au vue des si nombreuses autres créatures qu'elle avait découvert ici.
Dans un temps indéfini, dans un lieu magique et insituable quoi qu'étant sur Terra, qui ne saurait exister que pour nous, se trouvaient toutes sortes de créatures magiques et inventées. Dans cet univers, et en retrait de tous les autres, se trouvait une île fabuleuse, surnommée l'île aux enfants, ainsi nommée car ses habitants refusaient radicalement de grandir, et ils restaient de fait éternellement jeunes. Dans cet univers, de par l'imagination des enfants, Aphrodite s'était laissée convaincre et avait accepté de créer et mettre au monde de nouvelles créatures : faunes, sirènes, fées... Le chef de tous ces enfants s'appelait Peter, Peter Pan. Sa plus fidèle compagne était une jolie fée qui répondait au doux prénom de Clochette. Tout allait bien jusqu'à ce que, comme vous le savez tous, une fratrie de trois enfants menée par leur sœur aînée Wendy ne débarque sur l'île. Peter en tomba amoureux, Clochette était jalouse, etc. En revanche ce que l'histoire ne dit pas, c'est qu'après que Wendy soit partie, après qu'il ait rendu visite aux enfants qu'elle avait eu, elle, une fois adulte, il avait ressenti dans son âme un grand désarroi. Les enfants perdus étaient retournés chez eux, dans leur véritable foyer, trop longtemps abandonné. Lui-même se sentait désormais abandonné, même si la compagnie de la jolie fée le réconfortait parfois.
Mais un jour, Peter décida de repartir à Londres, et de devenir adulte à son tour, il accepta enfin l'inévitable. Cependant, le jour où il quitta Terra et surtout l'île aux enfants, cette dernière fut détruite, comme si toute l'innocence, tout l'imaginaire qui était lié à ce lieu avait disparu et avait entraîné la disparition du lieu magique. Contraintes et forcées, de nombreuses créatures durent fuir cette destruction, pour celles du moins qui le pouvaient... Beaucoup d'entre elles périrent ne pouvant ni fuir par la mer, ni fuir par les airs, et elles disparurent pour toujours.
Clochette, fée et de ce fait, créature volante, survécu à la catastrophe causée par la seule personne de Peter et échoua dans les terres sauvages de Terra. Terre jusqu'alors inconnue pour la jolie fée. Eperdue de frayeur face à la violence qui régnait dans ces terres, la petite fée abandonna son nom par trop connu et reconnu et choisi à la place « Pony » qu'elle accompagna d'un nom qu'elle trouva auprès d'un groupe de musique qu'une mercenaire avait écouté jusque tard dans la nuit dans une auberge : Behemoth. Clochette devint ainsi Pony Behemoth. De la même façon, elle abandonna sa taille féérique pour prendre une taille plus commode et plus passe-partout.
Après quelques semaines, puis mois, elle s'était enfin habituée aux us et coutumes de la région. Elle avait bien tenté de retrouver certaines des créatures qui avaient réussi à survivre aussi, mais jusqu'à présent cela s'était avéré sans succès aucun, mais elle ne désespérait pas, à plus forte raison au vue des si nombreuses autres créatures qu'elle avait découvert ici.
Me décrire ? Physiquement ? Vous vous moquez de moi ? Seriez-vous aveugle par le plus formidable des hasards ?
…
Non ! Je m'y refuse je...
…
D'accord.
Bon. On dit souvent que j'ai un petit minois adorable, une petite frimousse qui rappelle Amélie Poulain ou encore une enfant toujours prête à faire des bêtises dans votre dos. Des cheveux courts, noirs, aux nombreuses mèches rebelles et surmontées par une sorte de couette qui me donne un air encore plus enfantin qui n'est pas nécessairement volontaire. Cheveux bruns, yeux noirs, rien de fou, voilà voilà...
Hein ? Mes mensurations ? MAIS CA VA PAS NON ?
…
Bon. 1M60 pour 58kg, et... euh... un 85D et un petit 38 pour les hanches... Voilà, contents ?
Puis bon sinon j'ai refusé de retirer les vêtements que j'arborais sur l'île aux enfants : une large feuille qui couvre mon corps devant et qui tient à l'arrière par un jeu de ficelles et puis de longues chaussettes rayées orange/jaune et noir qui laissent mes pieds nus... Bien sur, j'ai aussi mes ailes accrochées au dos, superbes et transparentes, ainsi qu'un ras du cou composé d'une fleur et de sa tige enroulée autour de ma gorge... Voilà voilà, je ne saurais me décrire plus précisément.
Comment dire.. ?
J'suis jalouuuuuse, à en faire trembler les geeeeens !
Possessive, jalouse, colérique, impulsive. Je crois que c'est ce qui me définirait le mieux. Je parle généralement peu et je n'aime d'ailleurs pas particulièrement les gens. De toutes façons ils finissent tous par nous abandonner, il vaut mieux rester seul, dans la solitude au moins, il n'y a que peu de risques de s'en prendre plein la figure. Les risques sont réduits.
Ce que j'aime, c'est voler un peu au hasard, me promener, observer les gens et me moquer d'eux, pauvres idiots, tous dépendants d'autres idiots... Enfin...
J'exècre les individus qui se croient tout-puissants et tout permis, qui ne respectent rien, aucune autorité, aucun sens moral, qui en ignorent jusqu'à la signification.
Enfin, c'est un peu difficile de se décrire comme ça...
Sinon j'aime bien rire, les joies simples, il en faut peu pour être heureux, tout ça... je n'aime pas particulièrement les surprises mais en même temps c'est important de me surprendre, alors démerdez-vous. Je n'aime pas faire d'efforts, je n'en ai pas envie. Et puis c'est tout. D'abord.
J'suis jalouuuuuse, à en faire trembler les geeeeens !
Possessive, jalouse, colérique, impulsive. Je crois que c'est ce qui me définirait le mieux. Je parle généralement peu et je n'aime d'ailleurs pas particulièrement les gens. De toutes façons ils finissent tous par nous abandonner, il vaut mieux rester seul, dans la solitude au moins, il n'y a que peu de risques de s'en prendre plein la figure. Les risques sont réduits.
Ce que j'aime, c'est voler un peu au hasard, me promener, observer les gens et me moquer d'eux, pauvres idiots, tous dépendants d'autres idiots... Enfin...
J'exècre les individus qui se croient tout-puissants et tout permis, qui ne respectent rien, aucune autorité, aucun sens moral, qui en ignorent jusqu'à la signification.
Enfin, c'est un peu difficile de se décrire comme ça...
Sinon j'aime bien rire, les joies simples, il en faut peu pour être heureux, tout ça... je n'aime pas particulièrement les surprises mais en même temps c'est important de me surprendre, alors démerdez-vous. Je n'aime pas faire d'efforts, je n'en ai pas envie. Et puis c'est tout. D'abord.
Elle n'est pas particulièrement expérimentée, a eu quelques amants, qui se comptent sur les doigts d'une seule main... Ce n'est pas pour autant qu'elle n'aime pas ça x)
De par sa condition de fée, elle possède quelques pouvoirs tels que ceux de faire voler une ou plusieurs autres personnes, elle peut se rendre invisible et changer de taille... C'est à peu près tout.
Ceci est une doublette et je n'ai toujours aucun moyen de faire connaître le fow'... Navrée... >>
Qui plus est, je tiens à souligner, comme c'est déjà précisé dans ma signature, que ce sont des dessins de Loisel que j'utilise ici, que j'adore, alors voilà, je m'excuse de ce qu'ils ne soient pas les plus beaux, mais je tenais en même temps à conserver cet aspect dessin/bd, si quelqu'un en revanche se sent de me le refaire un peu mieux (sans gommer la signature du dessinateur), je suis très ouverte à la proposition ^^
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