[ /!\ Ceci est un flashback et donc est antérieur à tout autre rp.]
Je venais de quitter ma famille, celle qui avait voulu me marier avec grand-père Alphonse, dans mon sac se trouvait de la nourriture et de l'eau, sans oublier quelques bijoux, seulement depuis bientôt cinq jours j'erre dans un désert, m'obligeant à réduire ma consommation, jusqu'à trouver une oasis.
J'ai passé quatre nuit dans cet endroit hostile, le jours j'ai une soif insatiable, quant à la nuit je grelote de froid, je me lève à l'aurore, constatant à chaque fois que ma peau est blanche sous le joug du vent glaciale du désert la nuit.
Ce matin j'ai croisé des marchands nomades, j'ai put échanger mes gourdes vides et quelque bijoux contre une outre pleinement remplit et une direction à suivre pour me diriger vers la prochaine oasis, ils m'avaient dit que j'en avait encore pour une journée de marche. Aussi je ne perdis pas un instant pour marcher et suivre la direction qu'ils m'avaient désignés.
C'est après une longue,très longue, trop longue période de marche que je vois enfin l'oasis, le soleil commence à se coucher et je me dépêche, tombant trois fois sous la précipitation de mes pas.
Une fois arrivé à l'oasis, je boit l'eau de ce lieu et je me brule les lèvres, je constate que l'oasis est en faite ce que mes parent appelle une source chaude, je ne sais pas si l'eau chaude désaltère aussi bien que l'eau froide, mais c'était aussi une bonne nouvelle, car si la nuit serait froide comme les précédentes, je n'aurais qu'à me baigner pour ne pas mourir de froid.
Ni une ni deux, je retire mes affaires et plonge dans l'oasis, sentant l'eau retirer la crasse et le sable sur ma peau, je sort de mon sac un reste de savon marchandé et je me lave, tant pis si demain je bois de l'eau savonné,pour l'instant je voulais reposer mon corps et surtout mon esprit, un lieu reculé de toute civilisation et donc de ma famille autoritaire, voilà ce que je voulais, en même temps mon esprit vagabonda, imaginant mon mari idéale, il serait fort, par forcément riche, mais saurait s'imposer par sa carrure et sa puissance, quelqu'un d'attentionné, mais qui n'est pas gentil pour autant. Quelqu'un qui saura me prendre sous son aile et m'utiliser comme un outils, tout en me laissant la liberté d'agir sur lui.
Ma tête commença à devenir lourde et sans m'en rendre compte le marchand de sable passa. Laissant mon corps immergé dans l'eau chaude, mes cheveux flottant à la surface masquant les parties intéressantes de mon corps. Seul mon visage et une partie de mon cou restait à la surface.