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Messages - Akimoto Hayashi

Pages: [1] 2 3 ... 5
1
Mh, la douleur lui montait sérieusement à la tête. Sa boite crânienne allait exploser d’un moment ou à un autre, s’en était presque insupportable. Un souffle sortit entre ses lèvres, comme excédé par la douleur cérébrale. Il avait l’esprit confus et embrouillé, et cette sensation était vraiment désagréable pour lui. Quelle heure était-il ?…

Il prenait un réel plaisir à se satisfaire sans rien demander à la jeune femme qui a eu le malheur de croiser sa route. Mais elle semblait impatiente qu'il continue ses caresses, qu'il continue de la découvrir ainsi.... peut être seulement une impression d'Akim mais elle ne lui laissait aucune impression.

Après le baiser, il lui léché les joues, les oreilles et les lèvres avant de descendre jusqu'au cou qu'il léché et embrassa ce dernier sensuellement plusieurs fois. Il souri et dégrafa son soutien gorge pour laisser sa poitrine à l'air libre avant de l'embrasser à nouveau en lui malaxant les seins, les caressants et lui pinçant les tétons. Il dit après le baiser en mettant un main sur les fesses

Finalement, elle coupa le silence avec une nouvelle réplique :

"Vous êtes si froid ..."

Est ce que cette phrase était pleine de sous entendus ou tout simplement innocente ? En tout cas oui Akimoto se trouvait bien froid, il avait envie d'avoir aussi et de ne pas seulement s'occuper de son bonheur à elle. Il se releva dans la noir de la pièce et enleva son jean sombre. Il balança se dernier devant la porte masquant le dernier espace de lumière. Il approcha son membre de la jeune femme. Il releva cette dernière sur les genoux avec force et lui demanda presque sauvagement :

"Alors je vous en prie, réchauffez moi ma chère".


Elle l'avait chercher ! Pas de gêne, pas de soucis majeurs. Non, on peut même dire qu’Akim était tout à fait à l’aise et cela se voyait bien dans la manière qu’il avait de regarder la demoiselle, cet air tantôt joueur et provocateur, tantôt sérieux et las. En attendant une quelconque réponse, il joua avec la fermeture de sa veste sans perdre la protagoniste du regard.

En fait il commençait à s’amuser, il avait envie de pousser, de pousser encore et toujours plus pour voir jusqu’où se trouvait la limite de la surveillante, il voulait jouer avec elle comme le chat joue avec la souris… mais pour cela il devait réussir à faire sortir la demoiselle de son rôle de femme de tous les jours, la pousser à se montrer vraiment.

2
Le baiser langoureux qu'ils avait eu semblait avoir figé dans le temps et l'espace, tout s'était stoppé autour. Le son des gouttelettes s'écrasant sur le sol et sur leur peau n'était plus. La chaleur de l'eau était absente, tout ne tournait plus qu'autour de la jeune femme dans la tête d'Alex. Un rêve éveillé en quelque sorte. Seule le plaisir de sentir sa chair sous ses doigts et au bout de ses papilles était là, ce contact sensuel et avenant.

La jeune femme ne réagissait pas, elle ne disait rien. Est ce qu'elle aimait le traitement que lui administrait le docteur loup garou ? En tout cas il était surpris qu'elle ne réagisse pas. Est ce que les femmes ne nos jours aiment se faire violer ? Pourquoi pas... Il continuerait donc à lui faire du bien dans l'espoir de réchauffer aussi la pièce, pensa t-il avec sarcasme. Attention mademoiselle, vous entrée dans le repaire du loup et vous feriez bien de faire attention. Bon après tout si la jeune femme souhaitais aller plus loin c'était son choix mais moi personnellement, je ne me serais jamais jeté dans la gueule du monsieur vampire. Ce n'est pas un doux cet homme aux yeux sangs... il a un caractère fort... Bref, tant pis pour vous.

Il lui mordilla doucement la nuque et lui embrassa doucement le cou, la peau de la femme était étrangement douce... Mais tellement bon... Il ferma alors les yeux et se laissa emporter. La main droite vint alors agripper une de ses fesse et couvrit sa hanche de caresse. Le jeune homme donnait à nouveau des coups de langue dans son cou tendit que sa main pétrissait son sein et jouant avec en pinçant son téton et en le tortillant dans tous les sens.

Puis soudainement, il arrêta les coups de langue et laissa cette dernière plaqué sur la peau du cou de la dénommé Shylee. Là il se passa une chose auquel la poupée de porcelaine ne s'y attendait pas surement, cette langue s'allongea sur le corps de la jeune. Entièrement induite de salive, elle glissa le long du torse de sa victime et s'enroula dans son autre sein, la salive . À présent sa somptueuse poitrine était attaqué par de différente manière...

Peu importe il fallait continuer cette petite danse sur ce mètre carré de béton. Continuer le spectacle tout en musique grâce au rythme entrainant de l'eau ruisselante. De ses mains baladeuses il remonta jusqu'aux bretelles du haut de la jeune femme afin de les défaire. Puis ils seraient peut-être enfin un peu à égalité, après tout Akim lui était aussi nu qu'un animal. Laisser le dessus à une sorcière n'est jamais une bonne idée... bien que Shylee soit légèrement différente des autres.

Le jeune homme se dévêtit de sa chemise à une vitesse de vampire et la pris dans ses bras. L'étreinte fût rompue au bout de... il n'en savait trop rien, tout s'était arrêté il y a déjà fort longtemps ou peut-être quelques secondes plus tôt. Enfaite ça n'avait aucune importance. Il la regardait droit dans les yeux de toute son attention et elle en faisait de même. Une sorte d'hypnose réciproque s'était installée. Il ne la prenait pas dans ses bras pour être doux mais bien pour le lui faire croire...

3
Il était froid. Tout comme la majorité des vampires du monde. Comme dans les contes, les légendes... Akimoto soupira intérieurement à cette note, c'était un des seuls désavantage d'être un méchant vampire, être aussi glacé que la neige.

Tenant toujours le bras de la jeune femme, se dernier l'embrassa de nouveau mais cette fois un peu plus longtemps laissant sa langue jouer avec celle de cette dernière. Il caressa pendant ce temps sous le bras attaché du bout de ses doigt. Cette même main qui caressait les parties sensibles de son bras,  alla finalement masser un des seins de la femme aux cheveux turquoises. Le vampire cessa son baiser et observa l'expression de la jeune femme...

Il esquissa de nouveau un sourire, et retira rapidement les boutons qui retenait le haut de la jeune femme... Il ne voyait plus être doux ou attendre pour perdre du temps précieux. Boum boum boum...Un peu comme le "tic tac" incessant des horloges rappelant que le temps passe en même temps que la vie. En plus humain, en plus affreux.

Une de ses mains se mit alors a jouer le long de ses formes et de ses courbes, le long de son fessier.

Il avait l’habitude de mentir sur son identité à toute personne sur qui il était. Trop dangereux. Pourquoi pas Ayashi ? «Mille fleurs » c’était plutôt joli. Il entrouvrit les lèvres, tout son être était devenu « Ayashi » son esprit lui hurlait qu’il était « Ayashi ».
Finalement, la voyant se perdre légèrement dans les frissons, lui révéla son nom avec un sourire sarcastique :

- Je me nomme Hayashi, mon prénom n'étant pas important dans le respect d'autrui.

En effet si tout deux venaient à se retrouver, le jeune vampire serait heureux d'entendre "bonjour M.Hayashi" que "Yo, Akimoto !" même si le terme bonjour ne serait pas forcement du dialogue.

Ces mains qui avait glissait sur ces omoplates tombèrent sur ces hanches, qu'il caressa du bout des doigts. La nuit devait être froide a l'extérieur, car un nouveau courant d'air s'infiltra sur eux, et Akim profita du léger frisson du corps de la jeune femme pour passer entièrement ces mains sous le tissus, puis dans son dos. L'image était très sensuelle et envoutante. Un vrai régal pour les yeux fatigué de l'homme aux yeux sangs. Continuant à caresser de ses mains froide mais pleine de tendresse en cette soirée, le dos de la jeune femme.

4
(j'ai bien rattrapé mon retard xD)

La chaleur de son corps entre ses corps lui était agréable. Le vampire appréciait aussi beaucoup les frissons de la jeune femme au contact de ses doigts froid. Akimoto aimait caresser doucement le coup des femmes puisqu'elles frissonnaient toujours sous ce contact et certaines en venait même à vouloir l'embrasses rien qu'après cette caresse.

La jeune femme lui répondit avec une pépite de rapidité. Il est vrai qu'elle devait répondre mais le jeune homme se demandait vraiment si elle allait se risquer à le faire.

"Je m'appelle Shylee."

ll fut ravis d'entendre son prénom. Shylee... un prénom adorable qui sonnait légèrement anglais. Il ne l'oubliera pas de si tôt... Alors qu'il pensait passer à autre chose, la jeune femme poursuivit :

"Et ... vous ?"

Le jeune vampire sourit, il ne s'attendait pas à ce qu'elle ose demander son nom. Comment une brebis pouvait encore demander quelque chose en cette situation... Le vampire se dit alors, tout simplement, que la jeune femme n'avait certainement pas peur ainsi. Mais alors à quoi rimait son tour de passe passe, pour lui faire oublier son intervention si elle n'avait pas peur ? La peur est un sentiment puissant. Une sensation qui peut faire taire n'importe qui, cela Akim' l'avait bien compris et usait de cette peur pour s'introduire n'importe où et n'importe quand.

Laissant ses doigts danser sur le corps de la jeune femme, le vampire n'en pouvait plus. Il finit par s'abandonner un peu plus dans le bol de ses désirs. Comme tout homme qui se respecte, il en voulait plus dans la luxure et l'absence totale de lumière lui permettait de se sentir dans son élément. Akimoto se retourna vivement collant la jeune femme contre le mur et tenant fermement un de ses bras au mur, entre ses doigts et au dessus du visage de la jeune femme. Il était maintenant devenu le loup garous devant une brebis alléchante prisonnière contre un mur de béton.

Il l'embrassa perçant son regard rouge sans dans ses yeux bleus. Ses lèvres chaudes réchauffaient celles froides du vampire et le parfum de la brebis était agréable au vampire... C'était sa réponse au "et vous ?", une façon toute simple de réponse sans que l'autre ne puisse grogner. Lorsqu'il releva ses lèvres, il regarda toujours dans le fond des yeux de la proie comme pour y percer les sentiments perdus.

5
La jeune femme était tout toujours aussi bien installé sur ses jambes. Ayant de légères douleurs dans ces dernières et trouvant sa situation désagréable, le homme se mit en tailleur et laissa la jeune femme se glisser au centre laissant son adorable fessier sur l'entre jambe du vampire. Voilà une situation plus qu'agréable aux vues du jeune vampire.

Une journée entière venait de s’écouler, réduisant l’espérance de vie de tout être vivant par la même occasion, tout être fait de chair était destiné un jours où l’autre à périr, le lieu, l’heure, l’endroit, le défunt ignore tout de l’heure fatidique et pourtant il continue à vivre, planifiant des projets, songeant à des rêves. Lorsque qu’un homme décède, son passé, son présent ainsi que son futur, tout disparait en un instant. Ces paroles avaient été énoncé un jours par un ninja qui venait de perdre une personne qui lui était chère, et elle était à présent gravé dans la mémoire de chaque individu. Et les deux jeunes gens étaient là, dans une pièce ou l'une était aveugle et l'autre voyait parfaitement chaque traits de la pièce.

Maintenant, Akimoto pouvait passer à sa potion magique pour faire taire les gens un peu trop curieux et malins. Il avait senti de loin le courage émanent d'elle et ne lui avait pas laisser le loisir de s'échapper de son antre du soir. Un traitement qui fonctionnement sur n'importe quelle créature femelle : la luxure.

L'amour ? La luxure ? La luxure consistant à détourner un don de Dieu de sa finalité, elle est une faute contre Dieu, une faute contre le prochain, et une faute contre soi-même. Pourtant le jeune homme ne dépasse pas les limites. Il aime sortir de sa vie banale avec quelques amourettes par ici par là. Appelé cela de la luxure...

Le jeune homme passa doucement ses doigt le long du corps de la jeune femme, il fit le tracé de sa colonne vertébrale avec ses doigts fin donnant de nouveaux des frissons. Les frissons, un des plus grand signe du désir ou de la peur entremêles, tout un art. Il caressa son cou avec douceur laissant l'instant durer.

Après tout, on n'est jamais tellement rassuré en sa présence mais elle avait la chance d'être à ses côtés aujourd'hui et pas demain. Akimoto, malgré lui, changeait souvent de caractère en fonction des jours qui passent, il fallait juste qu'une créature tombe le bon jour...

Finalement, sans arrêter ses caresses, le jeune homme brisa le silence :

- Pourrais je au moins connaître ton nom, chère demoiselle ?

6
Elle avait repoussé sa main. Une main pourtant si tendre avec la jeune femme, pourquoi devoir de suite se retirer ? Akimoto trouvait que c'était du gachi que de refuser une offre qu'il ne donnait pas souvent.

Le rejet systématique de l'autre est une forme d'intolérance. La peur d'autrui peut entraîner une certaine méfiance mais la persistance de cet éloignement ne peut être justifié par la différence. En effet le rejet de l'autre semble ne devoir être qu'une première étape devant être dépassée. L'homme est porté non seulement à l'association mais aussi au détachement. Ces deux élans antagonistes l'habitent. S'ouvrir à ce qu'il y a de plus beau en nous. S'ouvrir à ce qu'il y a de plus lumineux en nous. Trop souvent, on interprète le rejet comme étant la résultante du fait que nous ne sommes pas beau, intéressant, intelligent,... On s'évalue, mais selon le regard de l'autre. N'aurait-il pas là un puissant message de la vie que nous inversons les choses? Si l'autre nous rejette, pour une raison ou une autre, pourquoi faudrait-il se détruire, douter de soi? Peut-être avons-nous été rejeté parce que notre vérité choquait, dérangeait? Peut-être avons-nous été rejeté parce que nous ne répondions pas aux attentes que l'autre avait à notre égard? Peut-être avons-nous été rejeté parce que l'autre ne voulait et ne soutenait plus de voir son propre miroir en nous? Peut-être avons-nous été rejeté car l'autre n'arrivait pas à nous contrôler et contrôler la situation? Pourquoi, la sensation de rejet devrait-elle alors être source de destruction?

Pourtant Akimoto avait bien l'impression d'avoir été rejeté plus parce qu'il est un vampire plus que la situation effrayante pour la jeune femme. Il avait tellement été haïs qu'il ne voyait plus que cela dans le refus.

"Ecoutez ... je ... hmmm ... On m'attend et si je ne rentre pas, on risque de s'inquiéter."

Il ne répondit pas le moins du monde et attrapa le bras de la femme aux cheveux turquoise alors qu'il allait paisiblement se reposer sur les jambes de sa propriétaire. Il tira la jeune femme à l'aide de ce charmant bras venu ici par hasard, et la plaqua contre son torse entourant de ses deux ans le ventre de la jeune femme. Il avait l'impression d'être papounet avec sa fille sur les jambes sauf que la situation prenait des allures plus sexy.

Le jeune vampire sentait le parfum de la jeune femme et n'en était que plus heureux. Il aurait aimé pouvoir dire que la jeune femme s'était faite belle pour lui, mais la situation ne le permettais pas. Il ferma les yeux comme pour se calmer avant de dire ou de faire la moindre chose. Il ne voulait pas laisser ses instincts vampire trop prendre le dessus. après tout Akimoto était encore un jeune vampire et son envie, son désir pouvaient prendre des forces à faire peur à un ours.

Et restait là à entourer la brebis de ses griffes de loups et attendant de voir sa réaction. Appréciera t-elle d'être manipulée comme une poupée ? Il la traitait tout de même comme une poupée de soie jusqu'ici.

7
L'homme a naturellement peur d'être enfermé. Il y en avait une preuve flagrante, la jeune femme fixait la porte depuis quelques minutes maintenant comme si elle espérait qu'elle s'ouvre toute seule et l'aspire vers l'extérieur.

Hier encore, alors qu'il se balladait au nord de la ville, un ancien temple d'apparence en ruine était entré dans son champ de vision. Aussi bien visité par les plus anciens de la ville que par les plus jeunes, ce temple intriguait et attirait les plus curieux. Akimoto eut l'occasion d'arpenter ce sol mystique et d'en apprécier sa spiritualité. Amenant ceux qui le désirent à plus de méditation. Ce fut un des moines responsable du site qui le guida, amusé par les gestes de la jeune femme. En effet, il ne put s'empêcher de toucher le moindre objet en bois, la moindre pierre qui se trouvait ici. L'énergie qui émanait de ce lieu l'envoûta à tel point qu'il demanda la permission de pouvoir y venir après la fermeture du temple. Pour quoi? Et bien pour méditer, se recentrer, s'ouvrir et se préparer à l'entraînement. Et oui... Même s'il feignait ne plus vouloir pratiquer activement le kendo, son corps l'appelait toujours à une certaine discipline pour une meilleure sérénité de son esprit.

Malheureusement pour elle, Akimoto avait bien fermée cette dernière. Si elle se mettait à crier de toute façon, personne ne viendrait. Le garde ne patrouillait pas aux alentours à cette heure de la soirée, mais bien plus tard. Et le garde n'allait pas non plus réveiller un surveillant à trois heures du matin parce que des élèves étaient bloqués sur le toit.

"Et vous comptez me garder ici toute la nuit ?"

La demande surprit le jeune homme. Qui aurait pur penser que cette réplique pouvait mélanger à la fois l'envie de s'enfuir et celle de rester ? En effet, la jeune femme n'avait précisé en aucun cas que cette situation la gênait. La vie joue parfois des tours qui viennent à l’encontre de certaines règles. Elle nous fait rencontrer des personnes qu’on pensait sans importance mais finalement leurs places deviennent essentielles malgré ce que l’on aurait pu croire. Un jour ça arrive, la personne est ancrée dans notre histoire & elle finit par perdurer. On peut rencontrer les personnes dans des endroits improbables. Toutefois, les meilleures connaissances se font dans des lieux ayant peu de chances d’être réalisable. La vie est ainsi faite. Il y a d’excellentes surprises comme des surprises plus ou moins douteuses & contraignantes.

- Ce n'est pas une si mauvaise idée...

C'était de cet façon parfois qu'on pouvait révélé son véritable visage, mais notre jeune homme n'était pas pour autant un monstre, pas vrai ? Seulement, il avait encore beaucoup de mal à contrôler ses humeurs. Il accompagna sa parole d'une longue caresse de la main le long de son visage et de son cou laissant un léger frémissement à la jeune femme. La douceur de sa peau était un délice pour ses mains. Le jeune vampire continuait ainsi les vas-et-viens de ses doigts.

Fort heureusement c’était la trop sombre pour une humaine  & elle ne voyait donc pas qu’il avait les yeux rouge, plus rouge qu’une tomate encore. 

8

La jeune femme avait l'air bien insouciante. ll est bon c'est un fait de ne se soucier de rien, simplement de prendre la vie comme elle se montre à nous et d'en faire chaque jour une fête. Une fête parce que même si les mauvais côtés existent, que l'on soit insouciant ou non, nous nous devons de les affronter. Et puis au fond l'insouciance peut être un avantage pour affronter ce qui fait mal afin de peut être nous éviter de voir le pire et ainsi mieux résister.
Mais au fond que cela soit dans les bons ou mauvais moments, que l'on soit en enfance ou adulte chacun d'entre nous semble garder une part d'insouciance. Une infime part pour certains pratiquement invisible c'est vrai mais qui cependant au fond de nous même est belle et bien présente. Pourquoi? Simplement, peut être, parce qu'il est bon pour nous de se souvenir de l'insouciant que l'on était enfant et de le redevenir adulte même si ce n'est que pour quelques petites minutes. L'insouciance, finalement, un mot bien complexe et mystérieux cachant au fond de lui une multitude de définition. Mauvais pour certains, agréable pour d'autre...

Devant les légers mouvements d'incertitude de la jeune femme, Akimoto cru de suite qu'elle souhaitait rejoindre la porte qui se trouvait maintenant quasiment accessible. Mais la brebis doit aussi se soucier du loup tapis dans l'ombre et voyant parfaitement bien dans le noir. Il sourit lorsque la lueur de ses yeux changea un peu pour laisser place à la réflexion un peu trop rapide. Une parole fusa à nouveau dans la réserver :

"Et bien ... Je suppose que je peux le faire. Je peux peut-être partir alors."

Laisser moi rire ! Il faut voir plus de film ma jolie, quel méchant loup laisserait une si jolie biche mais pas pour le moins idiote, s'enfuir à toute jambe chez le gardien ? Akimoto s'approcha de la jeune femme encore plus si bien qu'ils se touchaient de l'épaule. Comme pour l'empêcher de faire le moindre geste avant même d'y penser, il posa fermement sa bras sur le ventre de la jeune femme avant d'agripper sa main à une barre un peu plus solide que les balais. Il souffla à son oreille :

- Vous pensiez vraiment que je ferais confiance à des mots d'une bouche maligne ? dit il avec un grand sourire narquois.

9
Archives / Re : D'Où Venez-Vous ?
« le: lundi 01 novembre 2010, 22:29:03 »
Je suis Breton, français et Ille-et-Vilainient XD

10
Akimoto réussit à ne pas être – trop - impressionné face à l'immense portail mais une fois rentré à l'intérieur de l'académie, son attitude blasée s'effrita face à la grandeur de l'endroit. Il avait beau avoir un sacré sens de l'observation, il lui faudrait au moins une bonne semaine pour se repérer facilement… Et encore. Il se sentait vraiment minuscule et ridicule avec ses deux grosses valises face à l'imposante bâtisse. Il n'y avait pas à dire, cet endroit en jetait…

Il voulait lui mettre la pression. Pour rendre la chose plus amusante. Il le fixait. Oh, il était du genre sans-gêne, au cas où vous ne l'auriez pas deviné. A croire que la pudeur et la politesse étaient des choses qui n'existaient pas, pour lui. Son sourire narquois restait gravé sur ses lèvres. Il avait un beau visage. Le regard du brun s'aventurait sur tout le corps de l'inconnu, avec une assurance non dissimulée et un culot incommensurable. Il n'avait pas honte. Après avoir terminé son examen oculaire, son sourire se transforma en une grimace lubrique. Moui. Pas mal, cette femme. Vraiment pas mal. Il souriait toujours. Sadiquement. Narquoisement. Amusé. Agaçant sourire, n'est-ce pas ?

Le recul de la jeune femme dans la petite pièce était le déclic pour le prédateur. Pour lui, une proie ne devait jamais faire un geste ou s'enfuir en courant à son approche même si le jeu n'en devenait que plus amusant. Il se releva de son petit siège et en un temps record, s'assit assez près de la jeune femme pour qu'elle sache qu'il n'était qu'à quelques centimètres. Le jeune vampire voulait jouer avec les limites de la jeune femme, il voulait voir comment pouvait se déclarer la peur chez cette gente humaine.

"Je ... Euh ... Que me voulez-vous ?"

Le jeune vampire avait presque imaginé un instant qu'elle allait se présenter. Mais évidement, dans une situation périlleuse comme celle ci, peu de monde se serait montré courtois. Pour ce qui est de la courtoisie, on repassera. Les seuls qui sont un peu courtois sont les jeunes de 25 ans et moins. Les personne âgées se disent probablement qu'ils sont trop vieux pour nous ouvrir la porte. Les gens ne sont plus aussi courtois que du temps de nos grands-parents, et on ne se préoccupe plus d’autrui. Nous sommes devenus égoïstes, nonchalants, et irrespectueux.

- Je veux m'assurer que le silence restera éternel sur cette rencontre.

Ces mots étaient glacials. Encore aux premières rencontres, vous remarquerez son côté hostile et distant. Il ne laisse que de la froideur paraître dans sa voix, mais sans dévoiler une certaine méchanceté non plus. Déstabilisant, une fois de plus. Les gens ne savent pas où se mettre dans ces cas-là, ce qui est assez comique de son point de vue –mais ça, il ne le montre pas-. Bien entendu, certains s’essaient, tente de percer son mystère, de repousser ses barrières si difficilement entretenues, mais pourtant, cela donne toujours le même résultat : rien.

Il restait là en la regardant dans le noir le plus total, le dos contre le mur de la petite pièce. C'était un lieu où l'on pouvait facilement imaginer d'incroyables fins pour n'importe quel film.

11
La situation avait plutôt virée à l'étrange mais pourquoi pas... De toute façon il fallait qu'il parte, qu'il sorte de sa vie banale et lugubre dans les rues mal famées. Il voulait voir autre chose, découvrir des lieux qu'il ne pourrait jamais fréquenter.

"Lâchez-moi !"

Une simple phrase nominale des plus agressive. Aucune féminité cette fois dans ses paroles. Comme une si insignifiante personne pouvait bien donner un ordre ainsi... les hommes étaient décidément bien idiots parfois.

Il regarda pendant quelques temps la jeune femme. Elle était plutôt mignonne, une poupée de porcelaine qu'un artisan avait passé du temps à terminer. Cette jeune fille , est dotée d'une beauté timide , à quelques tendances sauvage ... Comme autrefois pour les poupées de porcelaines , la vie les avait dotée d'une inexistence , à travers leur yeux ... La neige recouvrait sa figure , allégeait ses quelques petites teintes carmins qui tels de la poudre de rose enveloppait ses joues d'un voile soyeux et infini. Le froid de l'hiver , faisait ressortir le cristal pur que contenait ses yeux , d'un bleu profond , mêlant l'interminable étendue de l'univers aux étoiles ... Comme si une galaxie avait demandé un toit dans son regard enfantin .. Une légère couche bleu marine s'était glissé dans cet amas de constellation , de pureté et de bienveillance ... Quand était - il de ses cheveux ? Cette matière , longue et miroitante , accueillait avec perfection les doux reflets de la Lune. Elle y faisait danser les astres dans ses doigts filants , comme ci elle tricotait des larmes brillantes qui vinrent à perler sur ses pointes .. Une cascade de couleur azur profond .. Une liberté .. Sans chaine ... Voilà , ce que sa chevelure laissait voir. La jeune femme , semblait petite .. Comme une enfant égarée dans le temps , qui se cherchait encore .. Mais , ses formes épousaient parfaitement sa carrure plus qu'angélique. Allongée sur le côté, la jeune femme avait naturellement une posture sexy comme sur les magazines de femmes mannequins ou de célébrités bien féminines.

Peut être que la jeune femme comprenait sa situation en fin de compte...Non...personne ne pouvait imaginer ce qu'il endurait chaque jours...
Après avoir soigneusement refermé la porte derrière lui, le jeune homme s'était installé sur un tabouret près de la porte,et avait débuté une longue observation silencieuse de la prisonnière... Il ne voulait pas brusquer les choses. Ce n'est pas pour autant qu'il réfléchissait à un moyen de la faire taire, de l'empêcher de parler de son entrer au lycée.

Akimoto espérait bien que la jeune femme ne soit pas claustrophobe. Il ne souhaitait vraiment pas que ce moment se termine en panique totale et mort. La peur des endroits clos...un peu qu'Akim est bien heureux de ne pas avoir développé dans son si petit monde sans aucune sortie ni même libertés.

12
En effet, la température c'était considérablement radoucis, la nuit était vraiment très fraiche ce soir mais il y a un point sur lequel Akimoto mentait, ca ne le dérangeais pas du tout et en plus ce n'était pas lui qui aurait crié pour que la température remonte. Le manteau de la nuit avait recouvert la ville depuis quelques heures déjà. Tout était calme et silencieux, on n'entendait que le bruit des bar ouvert tard dans la nuit. Mais qui sait ce que cache les ruelles les plus sombres de la ville ? Personne, c'est bien là qu'est le danger de trainer dans les rues le soir.

Elle était là. On ne peut pas qualifier cela d'habitude mais ces derniers temps, on pouvait souvent apercevoir cette jeune femme. Qui était-elle ?

La faible lumière de la lampe torche de l'inconnue pénétrait difficilement dans la pièce par l'entrebâillement de la porte. On voyait à peine la présence du jeune vampire, son ombre.

« On entendait au loin
Comme un soupir humain
Et je ne sais à vrai dire
A quel fâcheux présage
Mon esprit inquiet
Alors s'abandonna. »


Un extrait de poème semblait résumé parfaitement la situation. Le jeune homme était comme un loup dans sa tanière, il guettait l'arrivée de la douce brebis innocente. Il entendait les souffles irréguliers et inquiets de la nouvelle arrivante ainsi que le son de ses pas. Une musique inquiétante pour un film au lycée. Akimoto était venu ici en touriste sans but vraiment précis mais l'apparition de la jeune femme (à 90% sur) allait changer le script du film.

«"S'il y a quelqu'un derrière cette porte ... Qu'il se manifeste ..."»

Oh mais quelle douce inquiétude que voilà... Ainsi elle savait qu'une autre créature vivante et à poils était dans les parages...l'effet de surprise ne sera donc pas le même. Lorsque la jeune femme s'approcha, il avança dans la réserve. Lorsqu'elle ouvrit un peu plus la porte, il se cacha plaqué contre le mur. Lorsqu'elle entra timidement dans la pièce, il la suivait de ses yeux rouge sang. Lorsqu'elle décida de ressortir de la pièce, maintenant persuadé que des illuminations lui jouait des tours, le vampire lui attrapa le bras et la tira à l'intérieur avant de fermer à «clef» la porte de l'intérieur, maintenant dos à lui. On ne voyait maintenant plus rien, plus aucune étincelle de lumière n'éclairait la pièce. Heureusement qu'Akim' était un vampire...

13
Comme c'est tranquille la salle d'étude en soirée... Aucun surveillant, aucun élève turbulent et surtout pas de petites madames bruyantes qui vous crient après si votre ordinateur fait un peu de bruits. C'était le moment parfait pour faire ses travaux d'espionnage étranges.... Ce que Akim aimait bien faire, histoire de se divertir un minimum durant les longs moments de solitude. Ainsi, le jeune vampire était installé. Petit moment nostalgique... Se rappelant pendant quelques instants les examens d'une facilité légendaire et les professeurs qui répétaient au moins vingt fois la même chose..

Une lumière... un professeur qui ne terminait pas son travail chez lui ou un étudiant enfermé ? Arff qui pouvait penser qu'une telle situation pouvait arriver dans un lycée. Etait ce un lieu d'ironie en tout point ? Est ce que toute la vie des étudiants n'était qu'une blague de mauvais goût ? Des questions d'un ignorant certes mais Akimoto connaissait assez le monde d'aujourd'hui pour connaître les pions et obstacles...

"Qui est là ?"

Maintenant de la lumière, une personne arrivait près du refuge du loup. Il sourit, une jeune femme tremblotante dans le couloir d'un lycée. Quelle ironique situation pensa t-il. Malheureusement elle ne devra pas rentrer chez elle avant qu'il s'assure que cette jeune femme ne dirait rien le lendemain. Dans un sourire mesquin, il entrouvrit un peu la porte. Une curieuse stratégie mais fonctionnelle. La jeune femme allait sans doute penser, en arrivant devant la porte que c'était uniquement son claquement et là...le loup sortirait de sa cage. L'avantage d'être narrateur c'est que l'on connait la situation du personnage sans que l'autre en soit au courant en dehors du second narrateur.

[désolé...j'arrive vraiment pas à faire mieux =S  Je me rattraperais au prochain promis...]

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Archives / Re : Deux questions en un sujet
« le: mardi 07 septembre 2010, 11:13:02 »
C'est bon c'est trouvé !
Merci beaucoup !!

15
Le coin du chalant / Re : Une entrée nocturne au lycée
« le: mercredi 25 août 2010, 20:40:28 »

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