Les terres sauvages / Re : Probabilité de merde [Pv Alix Sable]
« le: lundi 17 septembre 2018, 15:18:16 »Car Alix avait simplement lancé une vanne. Ce n’était rien de moins qu’une simple boutade sur sa propre érection, dont les fruits étaient certainement les véritables coupables, et non les formes enchanteresses de Ran. Quoique ces dernières n’étaient certainement pas étrangères. Mais tout de même, la dealeuse ne s’attendait certes pas à voir la lycéenne la prendre au mot, se mettre à genoux, et venir lui offrir une fellation gourmande sans cérémonie.
« Non mais c’tait juste pour… Rire… T’es pas obligé de… ‘Fin… Bon, tant pis… Aaah. »
Inutile d’argumenter quand Ran affichait cet air coquin, et qu’elle avait de toute manière, déjà la queue juteuse dans sa bouche. Alix sentit cette dernière aspirer son sexe, d’abord en le suçotant avec lenteur puis en tortillant sa langue autour. Elle se mordit les lèvres. L’effet était à la fois diaboliquement efficace, et suffisamment lent et sensuel pour juguler le plaisir à souhait.
C’était à croire que la lycéenne était devenue une véritable femme d’expérience en l’espace d’une journée. Etait-ce là l’effet des fruits ? Alix aurait eu tendance à le penser, si seulement elle-même ne ressentait aucun effet supplémentaire, si ce n’est cette libido exacerbée comme à l’accoutumée. En tout cas, la dealeuse avait beau regarder son corps sous toutes les coutures, elle ne ressentait pas le moindre changement.
*Et j’me sens pas plus motivée à baiser qu’auparavant… Ran est carrément sexy, mais j’trouve toujours ça un poil gênant de se lancer dans le cul pour oui ou pour un non…*
Toujours est-il que Ran faisait montre d’un talent exceptionnel, faisant gémir la jeune femme à de nombreuses reprises alors qu’elle se croyait au bord de l’orgasme. Ce dernier mit à un temps infiniment lent à venir, et Alix fut prise de frissons, de sueurs, et de même de tremblements avant de sentir finalement la tension familière exploser dans son sexe. Avec un petit cri, sa verge se mit à pulser en expulsant une généreuse quantité de jouissance dans la bouche de sa partenaire.
Les fruits faisaient toujours autant d’effets. Alix songea brièvement qu’elles avaient manifestement fait l’amour une partie de la nuit, et pourtant cela ne semblait même pas avoir affecté la puissance de son orgasme. Avant même qu’elle ne puisse faire un commentaire, Ran l’embrassa brusquement, délestant une partie du sperme dans la bouche de sa propriétaire. Une habitude un peu perturbante pour Alix, mais celle-ci ne put s’empêcher d’en ressentir une pointe d’excitation malgré le goût discutable.
« Euhm… Tu comptes faire quoi ? » Hasarda-t-elle, un peu dubitative. « Parce que j’suis ultra sensible au niveau du postérieur… »
La tournure particulièrement perverse de Ran avait de quoi la surprendre, sinon de l’inquiéter, mais malgré tout, Alix obtempéra. La dealeuse n’avait encore rien dit à sa collègue, mais malgré son sexe masculin, elle possédait une forte tendance à la soumission, sinon de gros fantasmes inassouvis. Elle s’installa à quatre pattes, à la fois légèrement inquiète et excitée, cambrant son dos pour présenter son joli derrière.
L’attente ne fut pas très longue. Alix sentit les doigts de la lycéenne caresser tendrement ses fesses, puis s’infiltrer dans son petit trou, et sans prévenir, la pénétrer à l’aide sa main. L’effet lui coupa le souffle. Quel genre de lubrifiant Ran venait-elle d’utiliser ? Ou bien était-ce encore un coup de ces maudits fruits ? Alix le pensa immédiatement quand la jeune femme commença à la sodomiser en enfonçant sa main jusqu’à son poignet sans la moindre difficulté.
« Oh putain… Comment t’as… Bordel, c’est trop bon ! » Gémit-elle avant se mordre les lèvres pour retenir un cri.
Alix adorait littéralement se faire prendre le cul. Preuve en est que la dealeuse se mit à jouir sans retenue presque aussitôt, sa queue laissant échappant un filet de sperme lent à mesure que son derrière se dilatait pour accueillir les doigts de Ran. Encore une perversion supplémentaire qui n’allait certainement pas passé inaperçu à ce stade, et elle continua à gémir, les jambes tremblantes.